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La Seyne-sur-Mer,
La Seyne-sur-Mer, La Seyne-sur-Mer
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Les
élections à La Seyne-sur-Mer depuis 1945
-
jcautran.free.fr
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Elections
européennes du 25 mai 2014
(8e législature)
|
- Généralités sur
ces élections
- Tous les candidats, liste par liste
(pour la circonscription du Sud-Est)
- Résultats pour La Seyne
- Résultats pour la
circonscription du Sud-Est
- Résultats nationaux et
européens
- Autres documents sur les
élections européennes de 2014
Généralités
sur ces élections
Le dimanche 25 mai 2014, les
citoyens
français ont été appelés à voter
pour désigner 74 députés européens sur
les 751 que compte désormais le parlement européen situé à
Strasbourg.
Les élections européennes de juin 2009 avaient permis aux
citoyens de l'Union résidant en France de choisir les 74
députés représentant la France au Parlement
européen entre 2009 et 2014. Le vote s'est déroulé
à la proportionnelle dans le cadre de circonscriptions groupant
plusieurs régions. Ce cadre est conservé en 2014.
Le traité de Lisbonne, ratifié en novembre 2009,
prévoit 74 députés (deux de plus) pour la France.
À la suite de la ratification, le gouvernement français a
demandé à l'Assemblée nationale de désigner
deux de ses membres pour siéger au Parlement européen,
mais la procédure n’a finalement abouti qu’en 2011.
Pour les élections européennes de 2014, certains
redoutaient que le Parlement sélectionne à nouveau deux
députés en dépit du suffrage universel, quand ils
pourraient être affectés proportionnellement à la
population d'une ou deux régions. Ils sont finalement
affectés à la circonscription Île-de-France,
étendue par la loi no 2011-575 du 26 mai 2011 aux 1,6 million de
Français de l'étranger.
En France, les élections
européennes se déroulent au scrutin de liste à
un tour. Depuis les élections de 2004, le pays est
divisé en 8 grandes circonscriptions : Nord-Ouest, Est, Ouest,
Ile de France, Massif central-Centre, Sud-Est, Sud-Ouest et
Outre-mer. Dans chaque circonscription, les citoyens doivent voter
pour une liste où figure généralement plus d'une
vingtaine de noms appartenant à la même tendance
politique. Selon l'ordre de la liste, le candidat devient
député européen en fonction du résultat
obtenu, proportionnellement au nombre de suffrages. Ainsi, si une
liste obtient 10 % des voix, cela signifie que 10 % des candidats de la
liste sont élus députés européens (soit 2
députés sur une liste de 20 noms). Les listes ayant
recueilli moins de 5 % des suffrages exprimés n'obtiennent
aucun siège de députés.
Dans chacune des 8 circonscriptions, les
principaux partis politiques présentent des listes de
candidats. Le nombre de candidats par circonscription est égal
au double du nombre de sièges à pourvoir dans la
circonscription. La liste est composée alternativement d'un
candidat de chaque sexe et comporte en moyenne 20 noms. Chaque
circonscription n'a pas le même nombre de députés
européens, la différence s'expliquant par la
démographie. Par exemple, la circonscription de l'Ile de
France élit plus de députés européens
(13) que la circonscription Massif central-Centre (5).
Généralement, le premier de chaque
liste, qu'on nomme "tête de liste", est celui qui assure la
part la plus importante de la campagne puisqu'il sera le premier
élu si la liste obtient plus de 5% des voix.
Circonscriptions
inter-régionales
|
Nombre
de sièges
|
Nombre
de candidats par liste |
Circonscription
|
Régions
|
|
|
Nord-Ouest
|
Basse-Normandie, Haute-Normandie,
Nord-Pas-de-Calais, Picardie
|
10
|
20
|
Ouest
|
Bretagne, Pays de la Loire,
Poitou-Charentes
|
9
|
18
|
Est
|
Alsace, Bourgogne,
Champagne-Ardenne,
Franche-Comté, Lorraine
|
9
|
18
|
Massif central - Centre
|
Auvergne, Centre, Limousin
|
5
|
10
|
Sud-Ouest
|
Aquitaine, Languedoc-Roussillon,
Midi-Pyrénées
|
10
|
20
|
Sud-Est
|
Corse, Provence-Alpes-Côte
d'Azur, Rhône-Alpes
|
13
|
26
|
Île-de-France
|
Île-de-France,
Français de l'étranger
|
13
|
26
|
Outre-Mer
|
Sections : Atlantique,
Océan Indien, Pacifique
|
3
|
3 x 3
|
Total
|
|
74
|
151
|
Pour notre circonscription Sud-Est à
laquelle 13 sièges sont attribués, chaque liste
comporte 26 noms de candidats.
23 listes ont été
déposées. Toutefois,
pour 7 de ces listes les bulletins de vote n'étaient pas
présent dans la plupart des bureaux et 11 n'ont pas
adressé de profession de foi.
Nous ne pouvons donc présenter ci-dessous que les 16 bulletins
de vote et 12 professions de foi.
Tous les candidats, liste par
liste (pour la circonscription du Sud-Est)
- Liste Régions et peuples solidaires,
conduite par François ALFONSI
- Liste Espéranto Langue commune équitable pour l'Europe, conduite par Monique ARNAUD
- Liste Nouvelle Donne, conduite par Jean-Baptiste COUTELIS
- Liste Parti pirate Sud-Est, conduite par Valérie DAGRAIN
- Liste Lutte Ouvrière (LO), conduite par
Chantal GOMEZ
- Liste UDI-Modem Les
Européens, soutenue par François BAYROU et
Jean-Louis BORLOO,
conduite par Sylvie GOULARD
- Liste Une France royale au cœur de l’Europe (Alliance royale), conduite par Emmanuel GUIGON
- Liste Front National (FN), conduite par Jean-Marie
LE PEN
- Liste Nous Citoyens, conduite par Bernard
LESCURE
- Liste Parti fédéraliste européen, conduite par Alain MALÉGARIE
- Liste Mayaud hors bords, conduite par Christophe MAYAUD
- Liste Pour une Europe utile aux Français, conduite par Aurélien MICHEL
- Liste Alliance
Écologiste Indépendante (AEI), conduite par
Valérie MIRA
- Liste Force Vie, avec Christine Boutin, conduite par Jean-Marie MURE-RAVAUD
- Liste d'union de la Droite et
du Centre (UMP) Pour la France, agir en
Europe, conduite par Renaud MUSELIER
- Liste Choisir notre Europe,
(PS, PRG, PSE), conduite par Vincent PEILLON
- Liste gaulliste Debout
la France, avec Nicolas DUPONT-AIGNAN, conduite par Gerbert RAMBAUD
- Liste Communistes, conduite par Christophe RICERCHI
- Liste Europe
Écologie (EELV), conduite par Michèle RIVASI
- Liste Union Populaire Républicaine (UPR), conduite par Daniel ROMANI
- Liste Féministes pour une Europe solidaire, conduite par Élisabeth SALVARESI
- Liste Démocratie réelle, conduite par Éric SANSON
- Liste Front de Gauche
(FG), conduite par Marie-Christine VERGIAT
Liste Régions et peuples solidaires, conduite
par François ALFONSI
- 1 - François ALFONSI
- 2 - Anne-Marie HAUTANT
- 3 - Laurent BLONDAZ
- 4 - Fabienne GIOVANNINI
- 6 - Salima AIT-MOHAMED
- 7 - Jean-Baptiste
ARENA
- 8 - Christine AMRANE
- 9 - Hervé GUERRERA
- 10 - Marie-Françoise BOUTTAZ
- 11 - Didier CADE
- 12 - Nathalie FANTONI
- 13 - Noël COMMUNOD
- 14 - Fatima BEN MUSA
- 15 - Athman SAYAD
- 16 - Isabelle MEJEAN
- 17 - Alain DI MEGLIO
- 18 - Anne TOMASI
- 19 - Gérard LEYNAUD
- 20 - Patricia DUPUY
- 21 - Joël BOUC
- 22 - Delphine GRIMALDI
- 23 - Michel PRAT
- 24 - Maryama BENSALEM
- 25 - Vincent TABARINI
- 26 - Danièle CARLIER
|
|
 |
 |
Liste Espéranto Langue commune équitable pour l'Europe, conduite par Monique ARNAUD
- 01 - Monique ARNAUD
- 02 - Pierre GROLLEMUND
- 03 - Zdravka Boytcheva BOYTCHEVA
- 04 - Christian GARINO
- 05 - Rose-Marie QUINTIN
- 06 - Jérémie BERT
- 07 - Claudie DEMONGEOT
- 08 - Cédric FORGEAU
- 09 - Sylvie PLANTIER
- 10 - Philippe CHAVIGNON
- 11 - Marie-Christine PILON
- 12 - Olivier BALDELLON
- 13 - Marie SEGARRA
- 14 - David GLORIEUX
- 15 - Irène FAYET
- 16 - Bernard JULIEN
- 17 - Jeanine ROUBIÉ-RATOUCHNIAK
- 18 - Yannick DALZON
- 19 - Mireille KAVO
- 20 - Gaston RISTE
- 21 - Lydie MARTINIER
- 22 - Gilles WALLEZ
- 23 - Elsa PROVERBIO
- 24 - Laurent SILVIN
- 25 - Marie-France CLOT
- 26 - Christian CASTILLON
|
|
|
|
Liste Nouvelle Donne, conduite par Jean-Baptiste COUTELIS
- 01 - COUTELIS Jean-Baptiste
02 - LACOSTE Véronique
03 - MUSSI Philippe
04 - DUJARDIN Dominique
05 - RIVIER Rémy
06 - FINOT-BREMOND Lorraine
07 - HECKMANN Alain
08 - BOULFOUL Ramda
09 - POITTE Dominique
10 - PRUNIER Vanessa
11 - COLIN DE VERDIÈRE Patrick
12 - VIANEY Pauline
13 - CHAUMERY Emmahuel
14 - BRAMBILLA Véronique
15 - DJENNAS Hadj
16 - DRUT-GORJU Marie-Éliane
17 - LVOVSCHl Didier
18 - ANNE Carole
19 - CABARET Didier
20 - CONTURSI Patricia
21 - DARLET Ivan
22 - JUVIN Béatrice
23 - FOREST Didier
24 - GIBAUD. Laure
25 - GURY Jean-Jacques
26 - CHEUCLE Christine
|
|
 |
 |
Liste Lutte
Ouvrière, conduite par Chantal GOMEZ
- 1 - GOMEZ Chantal
- 2 - ROCHE François
|
|
 |
 |
Liste UDI-Modem Les
Européens, soutenue par François BAYROU et
Jean-Louis BORLOO,
conduite par Sylvie GOULARD
- 1 -
|
|
|
|
Liste Front National,
présentée par Jean-Marie LE PEN
- 1 - Jean-Marie LE PEN
- 2 -
|
|
|
 |
Liste Nous Citoyens, conduite par Bernard LESCURE
Liste Parti fédéraliste européen, conduite par Alain MALEGARIE
- 1 - Alain MALEGARIE
- 2 -
|
|
|
|
Liste
Alliance Écologiste Indépendante (AEI), conduite par
Valérie MIRA
Liste Force Vie, avec Christine Boutin, conduite par Jean-Marie MURE-RAVAUD
- 01 - Jean-Marie MURE-RAVAUD
- 02 - NICLAUSSE Géraldine
03 - BANES Jean-Louis
04 - AILLAUD Nathalie
05 - MONICA Patrick
06 - SIMO Christine
07 - AILLAUD Jean-Louts
08 - MORARDET Bernadette
09 - COTTA Michel
10 - ESQUIER Geneviève
- 11 - MICHEL Dominique
- 12 - MARECHAL Béatrice
- 13 - FUMEY Alain
- 14 - RUTA Patricia
- 15 - RECIPON Patrick
- 16 - GASTALDI Martine
- 17 - PIALA Henri
- 18 - BROSSARD-RUFFEY Axelle
- 19 - ROCHAT Philippe
- 20 - FAURE Danielle
- 21 - MOUQUE Tony
- 22 - FAURE Giselle
- 23 - TOLEDO Jeronimo
- 24 - ALLIONE Catherine
- 25 - THERY Bernard
- 26 - CASTELLO-ORGEVAL Annie
|
|
|
|
Liste d'union de la Droite et du
Centre Pour la France, agir en Europe,
conduite par Renaud MUSELIER
- 01 - Renaud MUSELIER
- 02 - Françoise GROSSETÊTE
- 03 - Michel DANTIN
- 04 - Agnès RAMPAL
- 05 - Franck GIOVANNUCCI
- 06 - Liliane BOYER
- 07 - Christian SIMON
- 08 - Anne LORNE
- 09 - Jean-Baptiste BLANC
- 10 - Nathalie GROSPIRON
- 11 - Jean-Pierre LECCIA
- 12 - Catherine ASSO
- 13 - Alexandre VINCENDET
- 14 - Marlène MOURIER
- 15 - Cyril PELLEVAT
- 16 - Cécilia DURIEU
- 17 - Patrick TAMBAY
- 18 - Sophie ROTKOPF
- 19 - Pierre-Emmanuel JUILLARD
- 20 - Delphine BANCEL
- 21 - David LACREPINIERE
- 22 - Alexandra BORCHIO-FONTIMP
- 23 - Didier BESNIER
- 24 - Sophie VAGINAY RICOURT
- 25 - Gérard GAZAY
- 26 - Valérie KANZA-DRUART
-
|
|
 |
 |
Liste PS, PRG, PSE Choisir notre Europe,
conduite par Vincent PEILLON
Liste gaulliste Debout la France avec Nicolas
DUPONT-AIGNAN, conduite par Gerbert RAMBAUD
Liste
Europe Écologie,
conduite par Michèle RIVASI
- 01 - Michèle RIVASI
- 02 - Karim ZÉRIBI
- 03 - Cormne LALO
04 - Jean-Charles KOHLHAAS
05 - Carmen DE JONG
06 - Antoine-Marie CASALONGA
07 - Pascale BONNIEL-CHAl.IER
08 - Jacques BUCKI
09 - Nadège BONFILS
10 - Olivier FLORENS
11 - Gwendoline DELBOS-CORFIELD
12 - Daniel IBANEZ
13 - Lé1a BENCHARIF
14 - Joël PRUVOT
15 - Michèle PONCET-RAMADE
16 - Christian MOYERSOEN
17 - Iréne BOURÉ
18 - Nicolas ROSSI
19 - Laurence PELLARINI
20 - Zafer GIRISIT
21 - Fatiha BENAHMED
22 - Patrick VELLA
23 - Martine LEGER
24 - Alaln CHABROLI.E
25 - Coline SERREAU
26 - Bernard BOLZE
|
|
 |
 |
Liste
Union Populaire Républicaine (UPR),
conduite par Daniel ROMANI
NB. Le
bullaetin de vote indique le nom de Daniel ROMANI comme n° 1,
tandis que la profession de foi reçue antérieurement
indiquait Anne-Claire MAGNIEZ comme tête de liste dans le Sud-Est
- 1 - Daniel ROMANI
- 2 - Anne-Claire MAGNIEZ
|
|
|
 |
Liste Front de Gauche,
conduite par Marie-Christine VERGIAT
- 1 - Marie-Christine VERGIAT
- 02 - Éric COQUEREL
- 03 - Anne MESLIAND
- 04 - Jacques LERICHOMME
- 05 - Hélène LE CACHEUX
- 06 - Jérôme MARCUCCINI
- 07 - Florence CIARAVOLA
- 08 - Raphaël DEBU
- 09 - Tiphaine DUCHARNE
- 10 - Robert INJEY
- 11 - Monique NIRONI
- 12 - Idir BOUMERTIT
- 13 - Martine DUBOIS
- 14 - Marcel BERNON
- 15 - Horiya MEKRELOUF
- 16 - Raphaël LAINE
- 17 - Catherine LAURENTI
- 18 - Pierre TRAPIER
- 19 - Elisa MARTIN
- 20 - Frédéric SOULA
- 21 - Annie ANSELME
- 22 - Hervé BORDES
- 23 - Christiane CALANDRA
- 24 - David EMAIN
- 25 - Katia PHILIPPE
- 26 - Michel STEFANI
|
|
 |
 |
Résultats pour La
Seyne-sur-Mer
|
Nombre
|
% /
inscrits
|
|
Inscrits
|
45 120
|
100,00 %
|
|
Abstentions
|
27 740
|
61,48 %
|
|
Votants
|
17 380
|
38,52 %
|
|
Nombre
|
% / votants
|
|
Blancs et nuls
|
459
|
2,64 %
|
|
Exprimés
|
16 921
|
97,36 %
|
|
Tête de liste
|
Voix
|
% / exprimés
|
- Jean-Marie LE PEN (FN)
- Renaud MUSELIER (UMP)
- Vincent PEILLON (PS)
- Marie-Christine BERGIAT (FG)
- Michèle RIVASI (EE)
- Sylvie GOULARD (UDI-Modem)
- Gerbert RAMBAUD (DR)
- François ALFONSI (RPS)
- Monique ARNAUD (ESP)
- Jean-Baptiste COUTELIS (ND)
- Chantal GOMEZ (LO)
- Bertrand LESCURE (MC)
- Alain MALÉGARIE (PFE)
- Valérie MIRA (AEI)
- Jean-Marie MURE-RAVAUD (FV)
- Daniel ROMANI (UPR)
- Valérie DAGRAIN (Parti pirate Sud-Est)
- Éric SANSON (Démocratie réelle)
- Élisabeth SALVARESI (Féministes)
- Aurélien MICHEL (Divers)
- Christophe RICERCHI (Communistes)
- Christophe MAYAUD (Divers)
- Emmanuel GUIGON (Alliance royale)
|
-
5 880
-
3 347
- 2 129
- 1 521
- 1 182
- 1 116
- 547
- 385
- 299
- 143
- 120
- 63
- 56
- 50
- 39
- 28
- 8
- 4
- 2
- 2
- 0
- 0
- 0
|
-
34,75 %
19,78 %
12,58 %
8,99 %
- 6,99 %
- 6,60 %
- 3,23 %
- 2,28 %
- 1,77 %
- 0,85 %
- 0,71 %
- 0,37 %
- 0,33 %
- 0,30 %
- 0,23 %
- 0,17 %
- 0,05 %
- 0,02 %
- 0,01 %
- 0,01 %
- 0,00 %
- 0,00 %
- 0,00 %
|
|
|
|
Var-Matin, mardi 27 mai 2014
|
Le Monde, mardi 27 mai 2014
|
Évolution
du pourcentage obtenu par les principaux partis ou coalitions aux
élections européennes à La Seyne-sur-Mer de 1979 à
2014
NB.
De 1979 à 1999 on a voté pour des listes nationales. De
2004 à 2014 on a voté pour des listes de la
circonscription régionale Sud-Est
|
 |
NB. Listes du Parti Communiste Français
de 1979 à 2004 ; listes Front de Gauche (Gauche unitaire - Parti
de Gauche - Parti Communiste Français) en 2009 et 2014
|
 |
NB. En 1979, il
n'y avait pas eu de liste présentée par le Front
national. Pour mémoire, la seule liste classée à
l'extrême droite était la liste Union française pour l'Eurodroite
conduite par Jean-Louis Tixier-Vignancour. Les autres années,
les pourcentages affichés sont ceux obtenus par le Front
national seul, sauf en 1999 et 2004 où on a additionné
Front national + Mouvement national pour la République (MNR)
dirigé par Bruno Mégret.
|
 |
| NB.
Les
pourcentages sont ceux obtenus par : Parti socialiste (PS) + Mouvement
des radicaux de gauche (MRG) (1979 à 1989) ; PS + Energie
radicale (1994) ; PS + Parti des radicaux de gauche (PRG) + Mouvement
des citoyens (1999) ; PS + PRG (2004, 2009) ; PS + PRG + Parti
socialiste européen (2014). |
|
 |
NB. Les
pourcentages affichés sont ceux obtenus par : Union pour la
France en Europe + Union pour la démocratie française
(UDF) + Défense des intérêts de la France en Europe
(DIFE) (1979) ; UDF + Rassemblement pour la République (RPR)
(1984) ; UDF + RPR + CDS (1989) ; UDF + RPR (1994) ; Mouvement
pour la France (MPF) + RPR + Démocratie libérale (DL)
(1999) ; Union pour un mouvement populaire (UMP) + UDF (2004) ; UMP +
Le nouveau centre + La gauche moderne (2009) ; UMP, Union de la droite
et du centre (2014)
|
|
NB.
Les pourcentages affichés sont obtenus par addition des
différentes composantes du mouvement écologiste qui,
selon les années, ont été (parfois unis, parfois
présents sur des listes séparées) : Europe
Écologie, Les Verts, Génération Écologie,
Mouvement écologiste européen, Europeangreens, Europe et
peuples solidaires.
|
Résultats pour la
circonscription du Sud-Est
 |
|
Le Monde, mardi 27 mai 2014
|
|
| Var-Matin, lundi 26 mai 2014
|
- 5 Front national (+ 4) : Jean-Marie LE PEN, Marie-Christine AMAUTU, Bruno GOLLNISCH, Mireille d'ORNANO, Dominique MARTIN
- 3 UMP (- 2) : Renaud MUSELIER, Françoise GROSSETÊTE, Michel DANTIN
- 2 Parti socialiste (=) : Vincent PEILLON, Sylvie GUILLAUME
- 1 Europe Écologie - Les Verts (- 2)
: Michèle RIVASI
- 1 MoDem (=) : Sylvie GOULARD
- 1 Front de gauche (=) : Marie-Christine VERGIAT
|
| Var-Matin, lundi 26 mai 2014
|
Résultats nationaux et
européens
Résultats nationaux en voix
|
Nombre |
% /
inscrits |
| Inscrits |
46 544 712
|
100,00 % |
| Abstentions |
26 796 819
|
57,57 %
|
| Votants |
19 747 893
|
42,43 %
|
|
Nombre |
% / votants |
| Bulletins blancs |
546 601
|
1,17 %
|
| Bulletins nuls |
245 531
|
0,53 %
|
| Exprimés |
18 955 761
|
40,73 %
|
Parti ou coalition
|
Affiliation européenne |
Voix
|
% exprimés
|
Sièges
|
| Front national | Alliance européenne pour la liberté | 4 712 461 | 24,86 | 24 |
| Union pour un mouvement populaire | Parti populaire européen | 3 943 819 | 20,81 | 20 |
| Parti socialiste - Parti radical de gauche | Parti socialiste européen | 2 650 357 | 13,98 | 13 |
| Union des démocrates et indépendants - Mouvement Démocrate | Parti démocrate européen | 1 884 565 | 9,94 | 7 |
| Europe Écologie Les Verts | Parti vert européen | 1 696 442 | 8,95 | 6 |
| Front de gauche - Union pour les Outre-Mers | Parti de la gauche européenne | 1 252 730 | 6,61 | 4 |
| Debout la République | EUDemocrats | 724 441 | 3,82 | 0 |
| Nouvelle donne | Aucune | 549 734 | 2,9 | 0 |
| Nous Citoyens | Aucune | 266 343 | 1,41 | 0 |
| Lutte ouvrière | Aucune | 222 491 | 1,17 | 0 |
| Alliance écologiste indépendante | Aucune | 211 759 | 1,12 | 0 |
| Parti chrétien-démocrate | Aucune | 138 708 | 0,73 | 0 |
| Europe citoyenne | Aucune | 127 849 | 0,67 | 0 |
| Parti du vote blanc | Aucune | 110 090 | 0,58 | 0 |
| Union populaire républicaine | Aucune | 76 907 | 0,41 | 0 |
| Nouveau Parti anticapitaliste | Gauche anticapitaliste européenne | 74 770 | 0,39 | 0 |
| Régions et peuples solidaires | Alliance libre européenne | 65 054 | 0,34 | 0 |
| Parti pirate | Parti Pirate européen | 39 338 | 0,21 | 0 |
| Europe Démocratie Espéranto | Aucune | 33 115 | 0,17 | 0 |
| « Féministes pour une Europe solidaire » | Aucune | 27 119 | 0,14 | 0 |
| Parti fédéraliste | Parti fédéraliste européen | 17 812 | 0,09 | 0 |
| Communistes | Aucune | 4 547 | 0,02 | 0 |
| Démocratie réelle | Aucune | 4 450 | 0,02 | 0 |
| Europe Décroissance | Aucune | 4 638 | 0,02 | 0 |
| Alliance royale | Aucune | 3 127 | 0,02 | 0 |
| Divers extrême droite | Aucune | 1 337 | 0,01 | 0 |
| Divers extrême gauche | Aucune | 628 | 0,00 |
| Autres divers gauche | Aucune | 543 | 0,00 |
| Divers autres inclassables | Aucune | 109 395 | 0,58 |
|
Au niveau
national, sur les 74 sièges de
députés européens, le FN en obtient 24 (+ 21),
l'UMP 20 (- 5), le PS
13 (+ 1), EELV 6 (- 6), le Modem + l'UDI 7 (- 3), le Front de gauche 4 (- 1), les Divers 0 (- 5).
Répartition des sièges en France
|
|
Le Monde, mardi 27 mai 2014 |
Représentation des différents partis en % des électeurs inscrits
 , |
Évolution du score du Front national
aux élections européennes françaises de 1984 à 2014
|
 |
| Évolution de la participation aux élections européennes françaises de 1979 à 2014 |
- Composition de la délégation française
Par parti
,Suite
aux Élections européennes de 2014, les 74
députés du Parlement européen élus dans les
8 circonscriptions inter-régionales de France étaient
répartis comme suit :
| Parti |
Députés |
Parti européen | Groupe parlementaire |
Parti socialiste (dont 1 PRG)
|
13 (+ 1)
|
Parti socialiste européen | S&D
|
| Union pour un mouvement populaire |
20 (- 5)
|
Parti populaire européen | PPE
|
| Mouvement démocrate et Union des démocrates et indépendants |
7 (- 3)
|
Parti démocrate européen | ADLE
|
| Front national |
24 (+ 21)
|
Alliance européenne pour la liberté
| Non-inscrit
|
| Europe Écologie Les Verts |
6 (- 6)
|
Parti vert européen | Verts/ALE
|
Divers
|
0 (- 5)
|
—
|
|
Front de gauche (PCF, PG, Union pour les Outre-Mer)
|
4 (- 1)
|
Parti de la gauche européenne | GUE/NGL
|
-
Les 74 élus
français
-
|
| Le Monde, mardi 27 mai 2014 |
| Front national |
Union pour un mouvement populaire |
Parti socialiste |
Mouvement démocrate et
Union des démocrates et indépendants
|
Europe Écologie Les Verts |
Front de gauche | Divers gauche
|
1. Louis ALIOT
2. Marie-Christine ARNAUTU
3. Nicolas BAY
4. Joëlle BERGERON
5. Dominique BILDE
6. Marie-Christine BOUTONNET
7. Steeve BRIOIS
8. Aymeric CHAUPRADE
9. Édouard FERRAND
10. Sylvie GODDYN
11. Bruno GOLLNISCH
12. Jean-François JALKH
13. Jean-Marie LE PEN
14. Marine LE PEN
15. Gilles LEBRETON (SIEL)
16. Dominique MARTIN
17. Joëlle MELIN
18. Bernard MONOT
19. Sophie MONTEL
20. Mireille D'ORNANO
21. Florian PHILIPPOT
22. Jeanne POTHAIN
23. Jean-Luc SCHAFFHAUSER
24. Mylène TROSZCZYNSKI
|
1. Michèle ALLIOT-MARIE
2. Alain CADEC
3. Arnaud DANJEAN
4. Michel DANTIN
5. Rachida DATI
6. Angélique DELAHAYE
7. Françoise GROSSETÊTE
8. Brice HORTEFEUX
9. Marc JOULAUD
10. Philippe JUVIN
11. Alain LAMASSOURE
12. Jérôme LAVRILLEUX
13. Constance LE GRIP
14. Nadine MORANO
15. Élisabeth MORIN-CHARTIER
16. Renaud MUSELIER
17. Maurice PONGA
18. Franck PROUST
19. Anne SANDER
20. Tokia SAÏFI
|
1. Christine REVAULT d'ALLONNES-BONNEFOY
2. Éric ANDRIEU
3. Guillaume BALAS
4. Pervenche BERÈS
5. Jean-Paul DENANOT
6. Sylvie GUILLAUME
7. Louis-Joseph MANSCOUR
8. Édouard MARTIN (DVG)
9. Emmanuel MAUREL
10. Gilles PARGNEAUX
11. Vincent PEILLON
12. Virginie ROZIÈRE (PRG)
13. Isabelle THOMAS
|
1. Jean ARTHUIS (UDI)
2. Jean-Marie CAVADA (UDI)
3. Sylvie GOULARD (MoDem)
4. Nathalie GRIESBECK (MoDem)
5. Dominique RIQUET (UDI)
6. Robert ROCHEFORT (MoDem)
7. Marielle de SARNEZ (MoDem)
|
1. José BOVÉ
2. Karima DELLI
3. Pascal DURAND
4. Yannick JADOT
5. Eva JOLY
6. Michèle RIVASI
|
1. Patrick LE HYARIC
2. Jean-Luc MÉLENCHON (PG)
3. Marie-Christine VERGIAT
| 1. Younous OMARJEE
|
24
|
20
|
13
|
7
|
6
|
3
| 1
|
NB.
Liste au soir du scrutin. En rouge, les députés de la région Sud-Est.
- Le nouveau parlement européen
Au niveau européen, sur les 751 sièges, les
Conservateurs en obtiennent 212, les Sociaux-démocrates 186,
les Libéraux-démocrates 70, les
Verts 55, les Conservateurs britanniques 44, la Gauche radicale 43, les Non-inscrits (dont le Front national) 38, les Souverainistes 36, les Divers 67.
|
|
Le nouveau Parlement européen
|
| Le Monde, mardi 27 mai 2014 |
Les 28 états membres de l'Union européenne et le nombre de sièges de chacun au parlement européen
Pays
|
Date d'entrée
dans l'Union
|
Nombre de
députés (2009)
| Nombre de
députés (2014)
|
ALLEMAGNE
AUTRICHE
BELGIQUE
BULGARIE
CHYPRE
CROATIE
DANEMARK
ESPAGNE
ESTONIE
FINLANDE
FRANCE
GRÈCE
HONGRIE
IRLANDE
ITALIE
LETTONIE
LITUANIE
LUXEMBOURG
MALTE
PAYS-BAS
POLOGNE
PORTUGAL
RÉPUBLIQUE TCHÈQUE
ROUMANIE
ROYAUME-UNI
SLOVAQUIE
SLOVÉNIE
SUÈDE
|
1957
1994
1957
2007
2003
2013
1972
1985
2003
1994
1957
1979
2003
1972
1957
2003
2003
1957
2003
1957
2003
1985
2003
2007
1972
2003
2003
1994
|
99
17
22
17
6
-
13
50
6
13
72
22
22
12
72
8
12
6
5
25
50
22
22
33
72
13
7
18
| 96
18
21
17
6
11
13
54
6
13
74
21
21
11
73
8
11
6
6
26
51
21
21
32
73
13
8
20
|
|
|
736
| 751
|
Autres documents
sur les
élections européennes de 2014
[source
: archives Jean-Claude AUTRAN]
Verbatim...
- - MYTF1News,
13 juin 2013 :
« Européennes : le FN, juste derrière l'UMP et
devant le PS dans un sondage - Le Front national effectue une
percée dans les intentions de vote pour les élections
européennes, en se hissant à la deuxième place
derrière l'UMP mais devant le PS, selon un sondage de l'institut
britannique YouGov ».,
- - Var-Matin,
jeudi 10 octobre 2013 : « Le FN pourrait arriver en tête
aux élections européennes, selon un sondage » -
« Ouvriers, séniors et déçus de Hollande
» - « Alain Delon apporte son soutien au FN, dont il
approuve la poussée en France, nourrie selon lui par un «
ras-le-bol » face au manque d'action politique ».
- - Var-Matin,
jeudi 24 avril 2014 : Peillon : « L'opinion doit se saisir des
débats
européens » - « Tête de liste PS aux
électione européennes dans le
Sud-Est, l'ancien ministre de l'Éducation nationale comprend les
doutes
et les craintes des Français qui veulent « savoir
où on les emmène » ».
- - Var-Matin,
vendredi 25 avril 2014 : A la Une : « Europe : et si on cherchait
à
comprendre ? » ; pages 2-8 : « Aux urnes Européens !
» - « Sondage
exclusif : Le Front national deux points devant » - « Les
candidats aux
treize sièges dans le Sud-Est » - « Les
députés du Front national ne
font rien » (Sylvie Goulard) - « Plus de pilote dans
l'avion » (Nicole
Fontaine) - « Ce que gagne un député » -
« 5 idées reçues sur l'Europe ».
- - Var-Matin,
vendredi 9 mai 2014 : A la Une : « Notre sondage exclusif : Vous
doutez encore de l'Europe, mais... - A deux semaines des
Européennes, vous êtes inquiets. Les candidats tentent de
vous rassurer » ; pp. 2-7 : « Le projet européen
dans une zone de danger - L'union européenne est à la
croisée des chemins - Les 7 dossiers qui attendent les
députés après le 25 mai - Trichet : «
L'Europe a passé le stress
test
de la crise » - Renaud Muselier : La France : aspirateur à
migrants » - Jean-Marie Le Pen : « L'Europe, une camisole
pour la France» - Vincent Peillon : « Nous sommes la seule
alternative » - Michèle Rivasi : « L'Europe
participe à notre quotidien »
- - Var-Matin,
vendredi 16 mai 2014 : pp. 31-35
: « Sondage
: le FN [25 %] creuse l'écart avec l'UMP [21 %] et le PS [18 %]
- A dix jours du scrutin, seulement 36 % des inscrits se disent «
tout à fait certains » d'aller voter le 25 mai. Une
absrtention qui amplifie la mobilisation de l'électorat FN au
détriment de l'UMP et du PS » - Le potentiel de
participation pour les élections européennes - Notre
débat pour mieux comprendre l'Europe - Quelle économie
pour demain ? - Faut-il encore élargir l'union ? - Il faut
revenir à une Europe de 8 à 12 pays - Questions de
citoyens ».
- - Var-Matin, dimanche 25 mai 2014 : « Européennes : l'abstention au centre des enjeux ».
- lci.tf1.fr, dimanche 25 mai 2014 :
17 h 00
: Européennes : « La participation est de 35,07 % à
17 heures. Elle est supérieure à celle de 2009 (33,18 %)
».
18 h 20. Selon TNS Sofres, la participation finale devait être de 56,5 %.
18 h 45. Qui du FN ou de l'UMP arrivera en tête ? Le
FN est donné légèrement en tête par la quasi
totalité des instituts de sondage devant l'UMP, reléguant
le PS au pouvoir à une peu glorieuse troisième place.
Contrairement aux récentes élections municipales, le
gouvernement, à l'image du Premier ministre Manuel Valls, et le
PS n'ont pas ménagé leurs efforts pour tenter de
réveiller le cœur de leur électorat et limiter
l'ampleur de la défaite. L'UMP, large vainqueur des
élections municipales, espère pour sa part devancer le
parti de Marine Le Pen sur le fil grâce à une meilleure
mobilisation de son électorat et préserver ainsi son
statut de premier parti d'opposition. La présidente du FN estime
pour sa part qu'une première place constituerait un tournant lui
permettant d'aborder en position très favorable les prochaines
échéances - régionales, législatives et
présidentielle.
20 h 00. Le FN remporte les européennes. Le FN confirme sa
progression d'élection en élection. Le parti de Marine Le
Pen arrive en tête selon les premières estimations de TNS
Sofres avec 25%, suivi par l'UMP (21%) et le PS (14,1%).
L'impopularité du gouvernement a une nouvelle fois des
conséquences électorales désastreuses pour les
socialistes. L'UDI parvient à faire un score à deux
chiffres avec 10,3%. Les écologistes font eux beaucoup moins
bien qu'en 2009 avec 9,4%. Le front de gauche recueille 6,5%.
Debout la République, le parti de Nicolas Dupont-Aignan,
récolte 3,7% et Nouvelle Donne, le mouvement de Pierre
Larrouturou, 3%. Quant à Force Vie, le mouvement de Christine
Boutin, il recueille à peine 0,7%. En sièges, la
répartition serait la suivante : 24 pour le FN, 20 pour l'UMP,
13 pour le PS, 7 pour le MoDem-UDI, 6 pour EELV, 3 pour le Front de
gauche.20h15. Le FN exige la dissolution de l'Assemblée
nationale. La présidente du Front national Marine Le Pen a
appelé dimanche François Hollande à dissoudre
l'Assemblée nationale et à instaurer un mode de scrutin
proportionnel afin de prendre en compte sa victoire aux
élections européennes. "Que peut faire d'autre le
président de la République face à un
désaveu aussi lourd que celui qui vient d'être
exprimé par les Français, que peut-il faire à part
en revenir précisément au peuple?", a-t-elle
demandé devant des journalistes.
20 h 20. Royal : "Un séisme à l'échelle du monde".
La ministre de l'Ecologie et de l'Energie, Ségolène
Royal, a estimé que le résultat du scrutin
européen et le résultat du FN constituait un "choc
à l'échelle du monde". "Ce soir les citoyens du monde et
les citoyens européens vont voir qu'en France, un
électeur sur quatre a voté pour un parti violemment
anti-européen", a-t-elle ajouté dimanche soir sur TF1.
20 h 25. Philippot : "le FN est le premier parti de France". Le
vice-président du FN Florian Philippot s'est
félicité du "score historique" de son parti qui, pour la
"pour la première fois", est le "premier parti de France". Au
Parlement européen, "nous irons porter le message de la France
et des Français qui est très très clair ce soir,
très clair par ce score historique du Front National. C'est la
première fois dans l'histoire de la Ve République que le
Front national est premier parti de France", a-t-il
déclaré sur TF1. "Les Français ont dit maintenant
que cette Europe-là, c'est terminé". "Ils ont
montré là une adhésion à des idées
extrêmement claires, à la souveraineté nationale,
à des frontières économiques, migratoires, au
protectionnisme intelligent, au débat sur l'euro", a
énuméré Florian Philippot.
20 h 30. Le Maire : "L'UMP est la seule force capable de
résister au Front national". L'ancien ministre UMP des Affaires
européennes Bruno Le Maire a estimé que son parti avait
été la "seule force capable de résister au Front
national" lors des élections européennes. "Je regrette
que le Front national arrive en tête. Mais je constate que la
seule force capable de résister au Front national, c'est l'UMP",
a-t-il déclaré sur TF1. "Je suis patriote et
européen et je pense que l'Europe aurait été mieux
défendue par l'UMP", a encore déploré Bruno Le
Maire, qualifiant le score du Parti socialiste (14-15% des voix) de
"déroute". Il a également lancé un appel au
ralliement aux "centristes" qui, sous la bannière UDI-MoDem ont
obtenu autour de 10% des voix, "pour constituer la vraie force
d'alternance par rapport au Front national".
20 h 35. Ancien député européen centriste,
Jean-Louis Bourlanges estime que l'effondrement du PS et de la gauche
"pose un problème". Si les Français ont envoyé un
message à la gauche, il juge que le centre "tire son
épingle du jeu".
20 h 40. Cosse : le rêve européen est menacé. Avec
un Front national en tête aux européennes, c'est "le
rêve européen" qui est "menacé", s'est
alarmée dimanche Emmanuelle Cosse la secrétaire nationale
d'Europe Écologie-Les Verts (EELV). "Quand le Front national
arrive en tête de cette élection, oui c'est une alerte
extrêmement forte, et oui le rêve européen est
menacé", a-t-elle déclaré sur TF1. "Ce qui s'est
passé aux municipales n'a pas été entendu et
aujourd'hui, il se manifeste quelque chose de très fort, comme
un malaise, une incompréhension", a ajouté Emmanuelle
Cosse. S'agissant du score des écologistes, elle a admis: oui,
"pour l'instant on perd des sièges, on espérait
être autour de 10" sièges.
20 h 50. Bayrou déplore la "décomposition de la vie
politique française". Les résultats des
européennes sont la preuve d'une "décomposition de la vie
politique française", a estimé dimanche soir
François Bayrou, président du MoDem. C'est "une
décomposition de la vie politique française": "La gauche
est dans le grave échec que tout le monde voit" et "il y des
tensions, crispations, difficultés, problèmes
énormes du côté de l'UMP", s'est-il ému sur
TF1. "Heureusement, il y a eu dans cette élection une force qui
a été à la fois une voix européenne claire
(...) et apparaît comme une force de renouvellement de la vie
politique française", a-t-il souligné.
20 h 55. "Le FN en tête est une information suffocante". Le fait
que "le FN (est) en tête est une information suffocante", a
réagi dimanche soir le co-président du Parti de Gauche,
Jean-Luc Mélenchon. "Mon propre résultat est celui de
2009, donc très décevant", a-t-il indiqué,
interrogé par France 2. "Je suis très triste pour ma
patrie ce soir", a-t-il souligné. Jean-Luc Mélenchon a
encore déploré que "Le bloc de gauche (...) (soit)
à son plancher historique, nous n'avons jamais été
aussi bas". "Si nous ne sommes pas capables de proposer une alternative
à gauche (...) nous irons au désastre", a-t-il
ajouté.
21 h 00. Fillon : l'UMP est "atteinte dans sa
crédibilité". L'ancien Premier ministre François
Fillon a reconnu "l'échec" de son parti aux élections
européennes dimanche, en estimant que l'UMP était
"atteinte dans sa crédibilité" et que "son honneur
(était) mis en cause". "L'UMP (...) est atteinte dans sa
crédibilité et doit s'interroger sur les raisons de son
échec. Elle n'a pas été en mesure de rassembler et
son honneur est mis en cause", a reconnu M. Fillon dans une
déclaration.
21 h 05 : Le tweet de Jean-Marc Ayrault : « Après un tel
choc, la priorité absolue: réorienter l'Europe. L'Europe
doit changer ».
21 h 10. Transparence à l'UMP : la gêne de Copé.
Assis aux côtés de Bruno Le Maire sur le plateau de TF1
qui venait de plaider en faveur de plus de transparence au sein de
l'UMP, Jean-François Copé s'est montré un peu
gêné.
21 h 20. Valls : "Un moment grave, très grave pour la France et
l'Europe". Les résultats des élections européennes
constituent un "séisme", a estimé dimanche Manuel Valls,
qui a néanmoins dit vouloir poursuivre la politique
engagé par son gouvernement, notamment la réduction des
déficits et son plan d'économies. "Nous devons faire
preuve de courage car la France doit se réformer", a dit le
Premier ministre en égrenant les mesures prises ou
annoncées pour relancer la croissance. Il a toutefois
ajouté que la victoire du Front national obligeait les
institutions européennes à répondre aux
inquiétudes exprimées par les Français dans les
urnes. "Le moment que nous vivons est un moment grave, très
grave pour la France et l'Europe", a-t-il dit dans sa
déclaration.
21 h 35. Cambadélis : "Un jour sombre pour la
démocratie". Pour le premier secrétaire du PS,
Jean-Christophe Cambadélis, l'Europe doit "cesser de se perdre
dans les détails de la bureaucratie", elle "doit devenir plus
démocratique, moins bureaucratique, plus solidaire et surtout
moins austéritaire", a-t-il ajouté dans une allocution.
Commentant la première place du Front national à l'issue
du vote, il a estimé que "le résultat est là et
même si l'abstention est forte et doit en modérer
l'analyse, il faut le regarder en face". "Les électeurs du Front
national, élection après élection, font maintenant
bloc", a-t-il affirmé ajoutant que l'extrême-droite
"profite de la difficulté des temps, du mécontentement
face au redressement de la France, qui est pourtant indispensable".
Sans évoquer directement le résultat du parti socialiste
dans sa courte allocution, il a estimé que "la gauche doit
retrouver le chemin de l'unité".
- - video.tf1.fr, dimanche 25 mai, 20 h 07
: L’eurodéputé FN Jean-Marie Le Pen a
commenté dimanche soir le score de son parti aux
élections européennes, placé en tête du
scrutin selon les premières estimations, le qualifiant de
"tremblement de terre".
- - video.tf1.fr, dimanche 25 mai, 21 h 18
: « Le Front national est arrivé en tête des
élections européennes avec 25,4% selon les
premières estimations. Avec à peine 14,5%, le PS est en
déroute. Ce résultat est un séisme pour la vie
politique française - C'est un séisme politique. Le Front
national est arrivé largement en tête des élections
européennes dimanche soir. C'est la première fois que le
parti de Marine Le Pen arrive en tête dans un scrutin national en
France. Le choc est d'autant plus fort à gauche que le PS
n'enregistre que 14,5% des voix. Une déroute. Les
écologistes d'EELV perdent également du terrain par
rapport à 2009 - En nombre de sièges, selon les
estimations de la TNS-Sofres-Sopra Group, le Front national enverra 24
députés à Bruxelles, l'UMP enregistre 20
sièges. Le PS perd encore un siège, avec 13 sièges
» - « "L'UMP touché, le PS coulé" - "L'UMP
est touchée, le PS est coulé", analysé sur
LCI Jérome Jaffré, directeur du Cecop (Centre
d'études et de connaissance sur l'opinion publique. "Le parti
socialiste rejoint ses plus mauvais scores des élections
européennes. C'est un vote de crise. Il n'y a plus beaucoup de
freins au vote Front national" - Conséquence de ce
séisme: Marine Le Pen a immédiatement demandé
à François Hollande de prendre "les dispositions qui
s'imposent pour que l'Assemblée devienne nationale". La leader
du FN réclame la dissolution de l'Assemblée et la mise en
place de la proportionnelle. "Notre peuple exige une seule politique.
La politique des Français pour les Français et avec les
Français", a estimé Marine Le Pen ».
- - lci.tf1.fr, lundi 26 mai 2014, 5 h 30
: « Le FN est arrivé en tête avec 26% des voix selon
les chiffres du ministère de l'Intérieur basés sur
80% des inscrits. Le PS enregistre une défaite historique - En
France 46 millions d'électeurs étaient appelés aux
urnes pour désigner les 74 nouveaux députés
européens français qui rejoindront le prochain parlement,
composé au total de 751 membres. Le Front national est
arrivé en tête des élections européennes en
France avec un score historique, l'UMP, en deuxième position,
sauve tout juste les meubles, tandis que le Parti socialiste au pouvoir
sombre - Un séisme politique.
Le Front national sort grand vainqueur en France des élections
européennes avec 26% des voix, une percée historique qui
relègue l'UMP à plus de cinq points (20,66%) et lamine le
Parti socialiste au pouvoir, crédité de son pire score
avec 13,88%, selon des résultats partiels. Malgré une
abstention notable (près de 57%), le "21 avril européen"
redouté par la gauche au pouvoir et la droite
républicaine est advenu. A l'issue d'un scrutin
considéré en France comme un "vote défouloir", le
FN, pour la première fois vainqueur d'une échéance
nationale et leader des partis d'extrême droite européens,
fait plus que quadrupler son score de 2009 (6,34% et trois
sièges). Il glanerait de 22 à 25 sièges sur les 74
eurodéputés que la France envoie à Strasbourg - Désillusion à l'UMP, déroute historique du PS.
L'UMP, qui entendait conforter son statut de première opposante
en sortant première des urnes, est nettement devancée
avec 20,66% des voix, selon des résultats du ministère de
l'Intérieur portant sur 80% des suffrages. Première en
2009 où elle était associée au Nouveau Centre,
elle avait obtenu 27,88% et 29 sièges. Le PS est à terre
avec 13,88% des voix. Pour leur premier test national depuis la fusion
de l'UDI et du MoDem en novembre 2013, les centristes ne parviennent
pas à atteindre la barre des 10% (9,7%). Les écologistes
obtiennent 8,75% (contre 16,28% en 2009) et le Front de gauche stagne
à 6,23% (contre 6,48%) - lundi 26 mai 2014 à 8 h 30 :
« Réunion de crise à l'Elysée ».
- - Blog de Marc Vuillemot, lundi 26 mai 2014 : « Niveau d'alarme franchi : il faut déclencher le plan rouge
- Ils ont tous l'air d'être des braves gens, mes concitoyens
seynois croisés au cours de cette journée de dimanche
d'élection, avec lesquels j'ai échangé des
poignées de main, des bises, et des propos sur tel ou tel sujet
de leur quotidien. Plutôt de bons citoyens, même,
puisqu'ayant été 5% de plus qu'en 2009 à avoir
voté pour ce scrutin européen, même si La Seyne est
à 4% en dessous de la moyenne nationale des votants, surtout
dans nos quartiers populaires. Ce qui, d'ailleurs, est loin
d'être réjouissant et mérite d'être
spécifiquement réfléchi. Il n'en reste pas moins
que, contrairement à l'élection municipale d'il y a un
peu moins de deux mois, car ils ont suffisamment de sens politique et de
connaissance des institutions, et savent distinguer les enjeux locaux
des questions nationales et supranationales, les Seynois ont
manifesté par leur vote que, vraiment, ça ne tourne pas
rond, et que ça ne peut pas durer. En Europe, donc aussi chez
nous. - UNE RACLÉE À LA SEYNE ! Là, on ne
rigole plus. À La Seyne, l'extrême-droite - parce que
c'est bien de ça qu'il s'agit, certes pas des fascistes ou des
nazis, mais en tout cas plus de simples droitiers populistes -
était à moins de 11% il y a cinq ans ; elle frôle
les 35% aujourd'hui. La droite perd huit points. Et la gauche presque
autant si on exclut le vote "Nouvelle Donne", mais encore 4% de plus si
on intègre le vote d'extrême-gauche. Alors, bon, le
premier ministre Manuel Valls, relayé par Stéphane Le
Foll, porte-parole du gouvernement, explique avec une emphase de
dramaturge qu'il mesure bien qu'il s'agit d'un vrai séisme. Mais
il embraye en disant qu'il faut continuer la même politique. Et
même lui donner un coup d'accélérateur. Ça,
c'est eux qui le disent. Moi, je veux juste livrer quelques-unes de mes
réflexions, sans les juger, d'autant qu'ils appliquent la ligne
majoritaire du PS, même si je pense qu'ils nous conduisent droit
dans le mur - NE POUVAIT-ON EXPLIQUER L'ENJEU : BATTRE LA DROITE
EUROPÉENNE ? La première, c'est que La Seyne est
une chose, la France aussi, mais que le sujet du jour, c'était
le Parlement européen et la présidence de la commission.
La droite européenne en sort gagnante, d'après les
estimations du soir, et continuera donc, après dix ans
d'exactions sociales, à conduire ses politiques dont nos 28
peuples feront les frais, pour le plus grand bonheur des
ultra-capitalistes qui jouent de leurs marionnettes qui sont à
la barre européenne Et mon propre parti en porte une
responsabilité : avec son slogan de baratineur de tête de
gondole de supermarché, "Choisir notre Europe", qui ne veut rien
dire, et en tout état de cause illustre son incapacité
à expliquer clairement à nos concitoyens que nos maux ne
viennent pas de l'Europe elle-même, mais des choix politiques
assumés de ses gouvernants de droite, et que l'enjeu
était bien de faire basculer l'Europe à gauche, le PS n'a
porté aucun propos d'espoir de changement. D'ailleurs, Vincent
Peillon, notre porte-drapeau régional, devant moi, à La
Seyne, et devant la presse locale, l'a lui-même
déploré ! - UN RETOUR DE MANIVELLE MÉRITÉ
APRÈS AVOIR MÉPRISÉ LE VOTE POPULAIRE - La
deuxième, c'est qu'il faut arrêter de mépriser le
peuple. Il y a neuf ans, en 2005, on lui a demandé de se
prononcer sur le traité constitutionnel européen. Il a
dit explicitement non, parce que pas assez social et trop
dérégulateur. C'était clair. Mais les partis au
centre des jeux politiques de la Vème République, l'UMP
et le PS, ont décidé, au mieux d'être sourds et
aveugles, au pire de s'asseoir sur le vote démocratique. Et le
peuple vient de leur rappeler que nos anciens n'ont pas versé
leur sang pour que les citoyens, en république, puissent
décider de leur devenir et que les délégataires de
leurs choix n'en tiennent aucun compte. Eh oui, le seul hic, c'est que
le peuple n'a pas la mémoire courte, et qu'il a manifesté
une vraie défiance en l'acte démocratique - puisqu'il a
été vécu comme ne servant à rien - en
donnant ses voix à ceux qui, justement, et tant qu'à
faire, jouent contre la démocratie. IL Y A URGENCE : UN
PLAN ROUGE POUR LE SOCIALISME - La troisième, et je ne
peux m'empêcher de faire des comparaisons avec une autre
récente élection, c'est que, quand les
sensibilités de gauche se parlent, et qu'elles parviennent
à l'unité autour d'un projet commun, elles gagnent la
confiance du peuple. Et même au-delà de leur camp, et
nous, Seynois, sommes bien placés pour le savoir. Oui, le
mépris entre partenaires se paye tôt ou tard. Pas de la
part des partenaires proscrits par le supposé plus fort d'entre
eux, mais de celle des électeurs. Quand on joue la carte de
l'union, fût-ce avec ses nécessaires compromis, on
défie les lois des mathématiques, et 1 + 1 + 1 + 1
n'égale pas 4, mais beaucoup plus ! Alors, en ce petit matin
blême d'un lendemain d'un grave tsunami, je veux dire aux miens -
ceux de mon parti, bien sûr, et aussi ceux des mouvements
politiques avec lesquels on peut et on doit avancer vers un nouveau
front populaire - qu'on a atteint le niveau du déclenchement de
l'alerte générale. Et qu'il est plus qu'urgent de mettre
en branle le plan rouge.
- Var-Matin,
lundi 26 mai 2014 : A la Une : « Le FN écrase UMP et PS -
France : FN 24,6 %, UMP 20,7 %, PS 14,2 %, abstention 57,5 % -
Élysée : François Hollande convoque une
réunion de crise - Sud-Est : Les treize députés
élus » ; pages 2-4 : « La vague FN submerge l'UMP
sur ses terres - Attendue, elle s'est transformée n
raz-de-marée aux européennes. Emportant même l'UMP
dans son passage dans la circonscription Sud-Est, et faisant mentir les
sondages - Les
treize députés de la région Sud-Est - Front
national : boum ! - Les réactions de Sylvie Guillaume (PS),
Renaud Muselier (UMP), Sylvie Goulard (L'Alternative), Michèle
Rivasi (EEMP), Jean-Marie Le Pen (FN), Gérard Rambaud (DLR),
Marie-Christine Vergiat (FDG), Mireille Peirani (PS),
Frédéric Boccaletti (FN), Georges Ginesta (UMP) - Le PS
sous le choc d'un « 21 avril européen » : Avec 24,6
% (contre 6,34 % en 2009), le parti de Marine Le Pen passe de 3
à plus de 20 sièges, devant l'UMP (20,7 %) et le PS (14,2
%) - Manuel Valls parle d'un « moment grave pour la France et
l'Europe » - L'extrême droite progresse aussi ailleurs en
Europe ».
- Le Monde,
mardi 27 mai 2014 : A la Une : « Le triomphe du Front national
dévaste le paysage politique français - Le chaos du
président Hollande - Tour d'Europe : Juncker revendique la
présidence de la commission » ; pages 2-8 : Commentaires
en France : « Le séisme qui ébranle la vie
politique française - Jamais un président n'a
été réduit à une base électorale
aussi ténue - La France en éruption volcanique - Marie Le
Pen franchit un nouveau palier - Le désespoir d'Edouard Martin :
« Une déculottée sans nom » - Le FN arrive en
tête dans 70 % des départements - François Hollande
plus fragilisé que jamais - Le Parti socialiste de nouveau
confronté à ses divisions internes - L'échec
des écologistes relance le débat sur leur ligne politique
- L'UMP défaite, le sort de Copé devrait se
décider mardi - Avec 10 % des voix, les centristes veulent
peser sur l'UMP » ; pages 9-13 : Commentaires en Europe : «
Vaque europhobe sur le Vieux Continent - Le populisme affaiblit le
Parlement face aux gouvernements - Bataille en coulisse pour un groupe
d'extrême droite - Les Européens face au choc Marine Le
Pen - Le renard UKIP est dans le poulailler du Parlement - Une victoire
historique pour les antieuropéens - Le message
anti-austérité des Grecs à l'Europe - En Italie,
la surprise Matteo Renzi - Nouveau triomphe pour le parti de M. Orban
en Hongrie - Donald Tusk limite la montée de l'euroscepticisme
en Pologne - Arrivée en tête, l'extrême droite
danoise est en quête de responsabilité - L'Allemagne reste
un pôle de stabilité électorale » ; pages
29-48 : Résultats dans les 28 pays de l'Union ; page 29 :
« Les listes arrivées en tête dans
les 28 pays de l'Union européenne » ; pages 30-33 :
« Résultats à l'étranger » ; pages
34-48 : « Résultats en France » ; page 47 : «
Les 74 députés européens français » ;
page 48 : « Répartition des sièges totale par
circonscription - L'abstention : 56,84 % des inscrits ».
- Var-Matin,
mardi 27 mai 2014 : A la Une : « Hollande maintient son cap - 24
sièges pour le FN - Les résultats ville par ville »
; pages 4-5 : Européennes le jour d'après, Sud-Est, Var :
« Dans le Sud-Est, le Front atomise la concurrence... [Il laisse
un PS atone et une UMP chamboulée d'avoir perdu la position de
leader sur « ses » terres. Le seul responsable du Parti
socialiste à s'exprimer minimise la portée de la
déroute - Marie-Christine Vergiat (FdG) « soulagée
et amère » - Les « petits partis » qui ont
marqué cette élection ] ... et dans le Var, il renforce
son implantation - Le parti de Marine Le Pen réalise un de ses
meilleurs scores dans le département, à dix points
au-dessus de la moyenne nationale. L'UMP et le PS se prennent une baffe
chacun, les écologistes reculent - A Toulon, la bonne
résistance de l'UMP - A Fréjus, le front du refus
européen impose sa loi » ; pages 6-11 : Les
résultats dans le Var, commune par commune ; page 12 : Ouest-Var
: « Le Front national en progression partout - Il y a un manque
d'éducation sur l'Europe - L'Europe est une nébuleuse
opaque » ; page 25 : « Un lendemain d'élection
complètement « fou » - Intervention surprise du chef
de l'État à la télé hier soir, perquisition
et règlements de comptes à l'UMP, gauche sonnée :
la victoire du FN aux européennes secoue les partis
traditionnels - Gérard Filoche (PS) : « Valls est
minoritaire » - Bernard Sananes (CSA) : « ils ont dit deux
fois non » ; page 26 : Europe : « Percée de
l'extrême droite : « regrettable » pour Merkel - A
l'image du Front national en France et du Parti de
l'indépendance au Royaume-Uni, les partis eurosceptiques ou
europhobes ont enregistré des scores très
élevés lors des élections européennes
».
- Var-Matin,
mercredi 28 mai 2014 : « Le Pen tente de constituer un groupe
à Strasbourg - Pour le ministre des Finances allemand, le FN est
« fasciste » ».
- Autres sources :
- http://fr.wikipedia.org/wiki/Élections_européennes_de_2014_en_France
- Le
Monde
- Le
Point
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