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Histoire de La Seyne-sur-Mer


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« La Seyne dans la presse locale »
La Seyne dans la presse locale
La corniche de Tamaris




1937

Le Petit Provençal, 19 janvier 1937 : « La population de Tamaris est très heureuse de voir toucher presque à son terme le beau travail entrepris par la municipalité de La Seyne pour la réfection et l'élargissement de la toute de la corniche de Tamaris-Les Sablettes. Les promeneurs très nombreux fréquentant notre littoral auront ainsi à leur disposition une voie magnifique dotée d'un large trottoir qui leur permettra de goûter en toute sécurité le beau spectacle de notre rade. Grâce à ces travaux dont la municipalité de La Seyne peut être fière, la commune de La Seyne possèdera, avec cette corniche une attraction telle que peu de stations varoises peuvent offrir. Les pêcheurs et plaisanciers du quartier de Tamaris apprécient aussi vivement la cale de halage installée sur la nouvelle route ».
Le Petit Provençal, 19 janvier 1937

Le Petit Provençal, 1er octobre 1937 : « Notre cliché montre la nouvelle corniche du littoral de Tamaris, aménagée par la municipalité socialiste de La Seyne ».


Le Petit Var, 31 décembre 1937: « Les travaux de réfection et d'élargissement du boulevard du Bord de Mer ont été interrompus au centre même de la station de Tamaris (...), un chantier abandonné (...), une bien mauvaise impression aux étrangers qui visitent notre littoral en cette saison d'hiver ».
Le Petit Var, 31 décembre 1937

1962
Le Petit Varois - La Marseillaise, 7 avril 1962: « Notre correspondant a bien raison : « Les chars passent sur la route presque quotidiennement maintenant. Celle-ci dans un état de plus en plus piteux, nous pouvons dire un état lamentable sur la Corniche de Tamaris. Cet état de chose est accepté, toléré, pour mieux dire autorisé par le Préfet. Mais voici qu'un petit paysan désire labourer un champ, éloigné de sa ferme à quelques centaines de mètres, avec un petit tracteur à chenilles. Il se voit interdire l'accès de la même route empruntée, quelque temps auparavant par une dizaine de chars ! Prétexte : dégradation de la chaussée. Est-ce l'éternelle histoire du pot de terre et du pot de fer ? De qui se moque-t-on ? A vous de juger » ».
Le Petit Varois - La Marseillaise, 20 avril 1962: « Encore et toujours le tour de la corniche » - « La société « Autobus Étoile » se voit dans l'obligation de modifier son itinéraire en raison du très mauvais état de la Route de la Corniche - Voilà des mois et des mois que nous précisons, à cette place, la responsabilité des F.C.M. et des autorités militaires qui veulent bien détruire la route, mais qui n'acceptent pas de rembourser les dégâts occasionnés ! - Monsieur le Directeur des F.C.M., notre ville ne vous intéresse-t-elle que dans la mesure où votre riche société s'enrichit encore plus en exploitant les Seynois ? - Maintenant vous trouverez normal de détruire régulièrement la plus belle promenade seynoise et de ne pas participer aux travaux de remise en état - Enfin, M. le préfet, vous tuteur des communes, que diriez-vous si demain un poteau indicateur était placé à la Rouve et aux Sablettes avec cette éloquente précision : " Route détruite volontairement par les essais de chars d'assaut. Mais les F.C.M. et les autorités militaires refusent de payer les déprédations dont ils sont responsables ". C'est pourtant la suggestion que nous présentons à la Municipalité et aux Ponts et Chaussées » (L'Estancaïre).

1986
Var-Matin, 5 février 1986 : « Corniche de Tamaris : Quatre pins déracinés par le vent découpés à la tronçonneuse par les pompiers » (MB).

Var-Matin, 5 février 1986
 

1993
Var-Matin, 9 juillet 1993 : « Lazaret, verte version... » - « Après avoir passé une bonne couche de peinture verte sur la baie, Luc
Patentreger présente son projet d'aménagement revu et corrigé » - « Promenade sur pilotis » - « Pas de doute. la corniche de Tamaris imaginée par les Verts aurait plu à George Sand car elle conserverait malgré les travaux qu'elle devrait subir son cliché actuel. La route garderait ses deux voies mais serait longée par une promenade sur pilotis au dessus de la mer. La tempête ne souffle jamais très fort dans ces eaux calmes et protégées. Le trottoir deviendrait la piste cyclable » - « Nous refusons l'agrandissement de la corniche. Si la chaussée passe à quatre voies, c'est la fin de la tranquillité » (RM).

Var-Matin, 9 juillet 1993

Var-Matin, 30 juillet 1985 : «  Tamaris la belle, Tamaris la renommée, Tamaris... on pourrait en faire un slogan pour changer l'image de La Seyne, à condition de ne pas voir de furieux et imbéciles dépôts d'ordures industrielles ou ménagères à proximité d'un bâtiment aussi beau que celui de l'Institut MichelPacha » (DN). 
Var-Matin, 30 juillet 1985

1996
Var-Matin, 20 avril 1996 : « Colère sur le front de mer » - « La Seyne laisse se dégrader son littoral - Se promener sur le littoral: un risque permanent - La côte, les collines : des atouts incomparables mal mis en valeur » (BO).


1999
Var-Matin, 2 avril 1999 : « Classement de la corniche de Tamaris ? » - « Visiblement Maurice Paul et Arthur Paecht, pourtant tous deux conseillers généraux, ne sont pas d'accord sur le classement de la Corniche de Tamaris en voirie départementale. Contrairement à ce qu'avait annoncé le maire, les choses seraient en cours à condition que la municipalité remplisse certaines obligations (...) (RM).

Var-Matin, 16 octobre 1999 : « Malaise sur la corniche » - « L'élargissement de la corniche de Tamaris ne pourrait être réalisé que vers la mer - Si la corniche de Tamaris est sans conteste un des sites les plus remarquables de la ville, ce n'est certainement pas dû à son état. Trottoirs et chaussées demeurent le royaume des trous, quand depuis des années on promet aux Seynois une promenade digne de ce nom ainsi qu'une piste cyclable. Les riverains n'ont d'ailleurs pas manqué de remarquer que cette voie primordiale ne figurait pas dans la liste des travaux de réfection prévus par la mairie en l'an 2000. « Elle est en passe de devenir départementale », expliquait alors Renzo Méi, adjoint délégué aux travaux.

Si la corniche devient effectivement départementale dans l'avenir, il est d'ores et déjà prévu l'aménagement d'une promenade et d'une piste cyclable, tout en maintenant les deux voies de circulation. Ce qui paraît difficile au vu de la largeur actuelle et provoque donc l'inquiétude des riverains. « L'élargissement à 16 mètres est déjà inscrit au P.O.S. C'est inconcevable, il faut maintenir les 7 mètres », s'indigne Florence Cyrulnik, présidente du C.I.L. de Balaguier-Le Manteau-L'Eguillette - Elle est d'autant plus inquiète qu'elle a rencontré la semaine dernière une équipe de géomètres sur la corniche. « Ils m'ont déclaré faire des relevés destinés à compléter des photos aériennes du littoral, surune profondeur de 70 mètres, pour étudier l'impact d'un passage du tramway », assure Mme Cyrulnik. Ce qui paraît en contradiction avec les discours rassurants que tiennent régulièrement les élus, qui ont annoncé maintes fois que le tracé par la corniche est abandonné. De plus, poursuit la présidente du C.l.L., « le conseil municipal du 22 juin dernier a décidé de mettre à l'étude la Z. P. P.A. U.P. [Zone de protection du patrimoine architectural urbain et paysager] des Sablettes à l'Eguillette. C'est à n'y rien comprendre ». Entre incertitude et contradiction, présager du futur visage de la corniche relève donc aujourd'hui de l' exploit » (AT).
Var-Matin, 16 octobre 1999


2005
Fenêtre-sur-Seyne, avril 2005, n° 40 : « Quartiers sud : la corniche protégée - La ZPPAUP (Zone de protection du patrimoine architectural, urbain et paysager) est une contrainte pour le respect de notre trésor : la corniche de Tamaris. Cette station balnéaire du siècle dernier doit retrouver ses lettres de noblesse. Aucun permis de construire ne peut désormais être délivré sans l'accord de l'Architecte des Bâtiments de France. Nous protégeons aussi le village Pouillon des Sablettes. Des initiatives qui développeront l'économie touristique de la ville ».
Fenêtre-sur-Seyne, avril 2005, n° 46 : « Des "quartiers tranquilles" seront aménagés où la vitesse sera aussi limitée à 30 km/h (Tamaris, les Sablettes et autour du nouveau parc paysager). La corniche de Tamaris sera sécurisée et un chemin piéton partira du centre en direction du futur parc ».
Var-Matin, 18 novembre 2005 : Aménagement : « Janvier 2007, la corniche de Tamaris valorisée » - « La totalité de la route de la corniche a vocation à devenir départementale (le transfert devrait se faire prochainement). Aménagement de voirie, implantation d'accueil hôtelier, développement des activités de loisirs, de restauration, desserte des transports maritimes et terrestres, trottoirs piétonniers, piste cyclable, bande anti-stationnement, patrimoine, rien n'est oublié. Le tout en conservant les perspectives sur la rade et le maintien des activités de mytiliculture. Cinq secteurs sont concernés. Outre celui de la rue Mattéi, ceux des corniches Georges Pompidou, Michel Pacha, Bonaparte et Philippe Giovannini. Après avoir souligné « le gros effort du conseil général » et précisé que c'était « une opération essentielle pour la ville », Arthur Paecht a expliqué que « quand on transfère une route, on le fait alors qu'elle est en bon état. La ville n'a pas les moyens de le faire, alors qu'il faudra conforter la partie de la corniche quasi impraticable ». Le maire de conclure : « Il s'agit de trouver le juste milieu entre l'aspect environnemental et celui économique ».
Var-Matin, 18 novembre 2005

2009
Var-Matin, 13 avril 2009 : « Corniche de Tamaris : on repart d'une copie blanche » - PATRIMOINE - Le transfert de la voirie au conseil général n'a jamais eu lieu. Le dossier repart de zéro. Les élus affirment leur volonté de mener à bien la réhabilitation - Au coup par coup - Présenter un dossier avant la fin de l'année - Arthur Paecht : « Impossible d'aller vite sur ce dossier » - « Les largardes hivernales ont laissé des traces sur te réseau routier de la corniche. Mais la municipalité n'a pas les moyens pour refaire la chaussée » (PZ).
Var-Matin, 13 avril 2009

2010
Var-Matin, 25 janvier 2010 : « La corniche de Tamaris entrevoit le bout du tunnel - RÉHABILITATION - Le conseil général et la municipalité travaillent à un nouveau projet de réaménagement qui pourrait être présenté en mars prochain - Un projet plus modeste - Concertation publique au second semestre - « Depuis juillet 2009, le conseiller général du canton sud, Gilles Vincent a demandé aux services du conseil général de travailler sur un projet de rénovation de la corniche en tenant compte d'un passage pour les piétons, d'une piste cyclable et de parkings ».

Var-Matin, 25 janvier 2010

Var-Matin, 25 janvier 2010

Var-Matin, 13 mars 2010 : « Un projet pour redonner du lustre à la corniche Tamaris - AMÉNAGEMENT - Gilles Vincent et le maire de La Seyne ont présenté ensemble, hier, un nouveau projet de requalification de la corniche. Budget : 5 à 6 millions d'euros » - « La corniche de Tamaris est particulièrement vulnérable. En cas de fort vent, la route est régulièrement inondée » - « Le conseiller général, Gilles Vincent, a présenté hier en compagnie du maire, Marc Vuillemot, et de l'adjoint à l'urbanisme, Claude Astore, la dernière étude du département pour la requalification de la corniche de Tamaris » - « Un parapet pour empêcher les voitures de se garer - Des luminaires encastrés dans le muret ».
Var-Matin, 13 mars 2010

2011
Var-Matin, 9 juin 2011 : « La corniche de Tamaris sera-t-elle relookée ? - La corniche de Tamaris va-t-elle - enfin - prendre de belles couleurs ? Depuis hier, on sait qu'un petit plus est en marche sur ce site. En effet, la commune vient d'acquérir - pour 300 000 euros, soit 130 euros le m2 environ - un terrain de 2 328 m2 (qui appartenait jusque-là à Toulon Provence Méditerranée). Sur ce terrain, on va y créer une voie d'accès au bureau de Poste et un parking ».

2012
Var-Matin, 6 février 2012 : « La corniche de Tamaris attend sa réhabilitation - Les élus ont joué la transparence à l'assemblée générale du CIL des Sablettes et environs : aucun grand chantier ne sera lancé cette année, mais les lieux continueront d'être « maintenus en état » - « La salle de la base nautique de Saint-Elme était comble, samedi matin, pour l'assemblée générale du comité d'intérêt local des Sablettes et environs - Claude Astore, adjoint aux travaux, aux infrastructures et à l'urbanisme, Gilles Vincent, maire de Saint-Mandrier et conseiller général, Marie Moreau-Obach, présidente du CIL des Sablettes et alentours, et Raphaëlle Leguen, première adjointe » - « Statu quo... en apparence - Un projet à six millions d'euros ».
Var-Matin, 6 février 2012
Var-Matin, 23 octobre 2012 : « La Ville lance une réflexion pour valoriser son littoral - Le conseil municipal a voté, hier, la mise en place d'une stratégie d'aménagement de la zone côtière de la commune, englobant la corniche de Tamaris jusqu'au môle d'armement » - « Le maire a confié à quatre adjoints, dont Raphaëlle Leguen, le soin de mener la réflexion sur l'aménagement de la zone côtière de la ville » - « Schéma d'aménagement du littoral - Intérêts touristique et économique - « Document de travail » ».

Var-Matin, 23 octobre 2012

2013
Var-Matin, 10 mars 2013 : « La corniche mérite mieux qu'un replâtrage » - Objection du conseiller général qui rappelle avoir présenté « un projet global de réfection qui n'aurait coûté que 6 millions et qui aurait pu être financé par la Ville en trois ans ».  « Cela veut dire 1,5 million annuel, réplique Claude Astore, ce qui est plus que le budget voirie de la commune ! ». Et Raphaëlle Leguen d'enfoncer le clou : « Un projet à 6 millions, c'est du tape-à-l'œil, du replâtrage qui durera deux ou trois ans. La corniche mérite mieux que cela » - « Si Marc Vuillemot a fait le déplacement, le député Jean-Sébastien Vialatte était aussi présent dans le public, tandis que Sandra Torrès (conseillère régionale UMP) a porté les réflexions du conseiller général Gilles Vincent, retenu à l'étranger » - « Pourquoi ne pas matérialiser l'interdiction de stationner par une ligne blanche au pied du trottoir ? », demande Nathalie Bicais, présente dans la salle. « Pourquoi pas... », rétorque M. Astore ».
Var-Matin, 28 juin 2013 : « Corniche de Tamaris : Le maire dégaine son plan - Piste cyclable du parc Braudel au parc de la Navale, mise en valeur du patrimoine, une ville tournée vers la mer... Marc Vuillemot a dévoilé ce que pourrait être le littoral seynois d'ici 2020 » - « Transformer la route en promenade ... Marc Vuillemot ambitionne de faire de la corniche, un « lieu de vie », « la porte d'entrée de la Ville par la mer » - Grandes lignes : • Tout le long de la route, une piste cyclable ainsi qu'un cheminement piétonnier. • La circulation serait maintenue à double sens. Mais la place dévolue aux voitures étant réduite, la vitesse serait limitée sur tout ou partie de la corniche à 30 km/h. La circulation des poids lourds serait encadrée. • Une vingtaine de stations d'information jalonneraient le parcours (tous les 200 m environ), afin de mettre en lumière l'histoire de la commune (chantiers, ouvrages militaires, héritage de Michel Pacha, architecture de Fernand Pouillon ... ) et sa tradition. • La Ville envisage un renforcement des transports en commun. Davantage de bus et des stations maritimes supplémentaires (ligne de cabotage). • Afin de régler la question du parking, le plan prévoit l'ouverture de poches de stationnement sur des voies adjacentes à la corniche. • Les professionnels de la mer pourraient bénéficier d'espaces dédiés pour proposer des haltes de dégustation. • Les petites plages qui jalonnent le littoral seraient maintenues et l'accès à la mer facilité (pontons, cales) - « Pourquoi maintenant ? - Un air de déjà vu ? - Qui pour payer ? - Quel calendrier ? ».
Var-Matin, 28 juin 2013
Le Seynois, n° 45, juillet-août 2013, pages 4-5 : « Corniche de Tamaris : c'est pour de bon ! » - « Le site méritait bien un dessein à la mesure de son caractère exceptionnel… Et celui-ci se dessine enfin : le “schéma directeur  d’aménagement et de revalorisation de la Corniche de Tamaris” a été adopté à l’unanimité par le conseil municipal de La Seyne le 24 juin dernier. A l’ordre du jour, cette fois-ci, un projet qui tient la route. Dans tous les sens du terme » - « Du diagnostic aux conclusions - Des contraintes physiques : C'est une voirie à la fois urbaine et littorale, soumise aux contraintes climatiques et géographiques : étroitesse de la bande à aménager, exposition aux largades détériorant les infrastructures. Ces contraintes empêchent de la requalifier en voie verte sachant que cheminement piétonnier sécurisé et piste cyclable figurent parmi les objectifs. - Mode de déplacement partagé : La réflexion sur les déplacements a conduit à privilégier le mode partagé : automobiles, piétons, cyclistes et transports en commun (navettes terrestres et maritimes avec la perspective de développer le cabotage). Le projet est conçu avec une vision beaucoup plus large en termes de transports et de déplacements, pour prendre en compte l’intermodalité dans son ensemble au sein de l’agglomération. L’idée étant de privilégier les modes de déplacements doux et, notamment, de faciliter la liaison avec la gare. La Ville, à la fois maître d’œuvre et maître d’ouvrage, a missionné pour l’assister dans ce domaine de compétences, l’agence d’urbanisme Audat. - Circulation : La circulation des véhicules reste à double sens, à une vitesse limitée à 30 km/h. La circulation des poids lourds sera « contrainte » et il est préconisé que des bus de plus petit gabarit assurent le transport en commun. Une piste cyclable et un cheminement piéton seront aménagés côté mer, sans interruption, des Sablettes au parc de la Navale (à l’aide, à certains endroits, d’infrastructures créées sur la mer). - Stationnement : La question du stationnement devrait être résolue en utilisant les voies limitrophes à la corniche. L’organisation des places de parking serait ainsi partagée entre usagers et riverains. Ces derniers seront par conséquent concertés selon le principe de la démocratie participative. 20 stations : Tous les 200 mètres environ, la promenade doit être jalonnée de stations d’arrêt valorisant la diversité du patrimoine : de Porte Marine à la Porte de la corniche en passant par le hangar CPM, le fort de l’Eguillette, Balaguier, le port du Manteau, le Croûton, etc. - Financement : L’enveloppe globale n’est pas encore déterminée. L’adoption de la délibération par le conseil municipal permet de lancer la recherche de partenariats institutionnels et financiers, notamment de solliciter Conseil régional et TPM (dans le cadre du Contrat de développement) ; le Conseil général (dans le cadre de l’appel à projet Mer et littoral). - Le calendrier : Une étude d’impact réglementaire doit être réalisée après procédure de cadrage préalable (d’ici la fin de l’année). Si l’étude d’impact est menée en interne, elle pourra être mise en œuvre dès le premier semestre 2014, les appels à projets pourront être lancés en parallèle, et les travaux pourraient démarrer au premier semestre 2015. Si l’étude d’impact est externalisée, elle sera conduite à partir du premier semestre 2015, les travaux démarreront donc en 2017.
Var-Matin, 17 juillet 2013 : Non-dit : « Corniche de Tamaris : Gilles Vincent demande des explications au maire de La Seyne » - « Le 27 mai dernier, en conseil municipal, le maire de La Seyne présentait son « schéma directeur de valorisation du littoral seynois », lequel inclut la réhabilitation de la corniche de Tamaris (notre édition du 28/06). Très concerné par le sujet - sur lequel il a déjà planché -, Gilles Vincent, conseiller général et maire de Saint-Mandrier, se fend d'un courrier à Marc Vuillemot pour lui faire part de ses commentaires. « Je suis très surpris, écrit-il, que votre projet n'ai pas été communiqué au conseiller général du canton (Gilles Vincent, Ndlr), d'autant que vous avez sollicité l'aide du département. Aussi, vous voudrez bien me faire parvenir un exemplaire du projet ». « En outre, poursuit-il, vous indiquez que, pour le plan que je vous avais remis en 2010, et qui était estimé à 6 millions d'euros HT, La ville n'avait pas les moyens de payer cette somme. Or je vous rappelle qu'à l'époque, je vous avais indiqué que ces travaux pouvaient être réalisés sur trois budgets et que le montant à la charge de la ville, compte tenu des aides diverses, n'aurait été que d'un million d'euros HT par an ». Pour finir, le conseiller général se dit « étonné qu'à quelques mois des élections, on puisse avancer un projet, sans montant ni financement, et dont l'échéance probable se situe dans dix ans ». Et de conclure que, « personnellement je pense que la réfection de la corniche pourrait être réalisée bien avant. J'attends donc avec impatience votre projet, et je ne manquerai pas d'y apporter mes commentaires ».

2014
Var-Matin, 14 avril 2014 : « La corniche de Tamaris en débat au CIL des Sablettes - L'assemblée générale du CIL des Sablettes et ses environs a été l'occasion, pour les habitants, de connaître l'avancement du projet de réfection tant attendu de cette partie de la ville » - « Le directeur général des services, Marcel-Paul Magagnosc, et Claude Astore, désormais ex-adjoint à l'urbanisme, ont expliqué que les travaux en surface de la corniche pourraient débuter d'ici deux ans et que la priorité serait donnée aux modes de transport doux, avec une vitesse réduite des véhicules à moteur » - « Le projet ne recule pas » (JP).

Var-Matin, 14 avril 2014

2015
Var-Matin,  9 février 2015 : « « Qu'en est-il de la remise en état de la Corniche ? » - « Les cars se désossent » ; « c'est un vrai calvaire pour les suspensions », sans parler des « maux de dos ». Jacques Fredière, un riverain, a le sens de la formule quand il s'agit d'évoquer la corniche de Tamaris. Marc Vuillemot l'a moins. Et pour cause. On lui pose souvent la question de la remise en état de la chaussée, et il n'a guère le choix que de se répéter : « Un projet de 6 millions d'euros existe, avec réduction des voies de circulation et aménagement d'espaces pour les piétons et les vélos ». Seul problème : « Aujourd'hui, les 6 millions, on ne les a pas... ». Et Claude Astore, élu en charge de la voirie, de préciser : « Compte tenu de l'état de nos routes, nos budgets vont en priorité à leurs mises en sécurité. Il nous faudrait presque un plan Marshall pour rattraper le retard... L'idéal serait d'insérer le réaménagement de la corniche dans un schéma d'ensemble pour avoir des aides du conseil général régional, de TPM, de l'État. Seule, la ville n'y arrivera pas » (MAD).
Var-Matin,  9 février 2015

Var-Matin,  26 septembre 2015 : « Nettoyage d'automne de la corniche des Sablettes demain » - « Le CIL des Sablettes organise le nettoyage d'automne de la corniche, en collaboration avec le centre Leclerc Tamaris, les associations et institutions partenaires habituelles, la conseillère régionale du secteur, et tous les bénévoles qui souhaitent ce joindre à cette démarche citoyenne ».
Var-Matin,  27 septembre 2015 : « Les bénévoles passent la corniche au peigne fin » - « Cette année, la conseillère régionale Sandra Torrès (qui participe depuis des années commé bénévole à l'opération) a souhaité associer le conseil régional en offrant des lots sur sa dotation d'élue - Grâce à la bonne volonté de tous, une cinquantaine de gros sacs poubelles ont été remplis durant la matinée ».

2016
Var-Matin, 29 février 2016 : « Corniche de Tamaris : la balle est toujours dans le camp de la Ville » - « Lors de l'assemblée générale dù CIL des Sablettes, ce week-end, les élus ont répondu aux questions de la salle et du bureau de l'association - Lors de la séance de questions posées aux élus par les responsables de l'association, l'adjoint au maire Claude Astore a rappelé que la réhabilitation de cette voie communale reste une des priorités de la municipalité, mais que celle-ci ne peut, à elle seule, financer le coût très important des travaux. Prenant alors la parole, la conseillère régionale Sandra Torres et la conseillère départementale Nathalie Bicais ont précisé que la Région comme le Département s'associeraient à ces travaux, pour peu que la commune présente un projet réaliste et prenant en compte la situation actuelle de budgets contraints que connaissent leurs exécutifs respectifs. La balle est donc toujours dans le camp de la municipalité, mais les nombreux participants à l'assemblée générale ont bien compris qu'il allait encore falloir attendre quelques années pour voir ce projet aboutir... » (PF).

Var-Matin, 29 février 2016

Var-Matin,  23 septembre 2016 : « Nettoyage de la corniche » - « Le CIL des Sablettes et environs organise demain matin, en partenariat avec le centre Leclerc des Sablettes, son traditionnel nettoyage de la corniche » (PF).

Var-Matin,  25 septembre 2016 : « La corniche de Tamaris passée au peigne fin » - « Organisée par le CIL des Sablettes, avec le renfort cette année de l'association "Action Terrre Neuve 83'', cette initiative citoyenne a vu la participation de dizaines de bénévoles et d'élus, dont le maire - Les bénévoles sont venus nombreux pour participer à une action écologique d'intérêt général » (PF).

Var-Matin,  25 septembre 2016

2017

Var-Matin, 23 janvier 2017 : « Tamaris : se garer pour mieux se déplacer » - « Les travaux du parking relais de Tamaris ont débuté. Ils s'étaleront sur une durée de cinq mois, avec pour but de créer 115 places pour les usagers destransports en commun » (SB).

Var-Matin, 29 janvier 2017 : « De bonnes nouvelles pour les riverains des Sablettes (...). 2. La corniche enfin à l'étude ? - Dossier emblématique s'il en est, la rénovation de la route du littoral de Tamaris, avec réfection des trottoirs et piste cyclable, est évoquée depuis des années... mais n'a jamais été programmée. Et pour cause : « C'est une voie municipale, explique Claude Astore. Sa réhabilitation est nécessaire sauf que la Ville, seule, n'en a pas les moyens. Mais nous avons tous conscience qu'il faut faire quelque chose ». Quoi ? « Nous venons de lancer des réunions avec les collectivités pour évaluer les montants », a annoncé Nathalie Bicais. Laquelle a assuré que « c'est TPM qui récupérera la route et qui est désormais un partenaire privilégié »... tout en se gardant cependant de dévoiler l'esquisse d'un début de calendrier. Elle a aussi soulevé l'enjeu d'une future déviation quand d'éventuels travaux débuteront. « Il sera nécessaire d'avoir une voie de contournement sur l'axe Saint-Mandrier-Toulon. Tout ça est en gestation » a-t-elle conclu. En attendant, Claude Astore a réaffirmé qu'il prenait très au sérieux la problématique du « stationnement anarchique » sur la corniche. « Rien que l'été dernier, on a dressé entre 240 et 280 PV ». Toujours ça de pris ? » (MAD).

Var-Matin, 29 janvier 2017

Var-Matin, 19 octobre 2017 : « Un parking pour vous faire préférer le bus et le bateau » - « Situé tout à proximité de l'embarcadère de Tamaris, ce parc relais s'inscrit dans une démarche globale visant à réduire la place accordée aux voitl!res dans les centres urbains - Réalisé en partenariat avec TPM et la ville de La Seyne, ce parc relais a bénéficié d'un soin particulier au niveau de la végétalisation et de l'aménagement de ses accès - Comment ça marche ? - Nous avons eu une mauvaise expérience - Le début a été chaotique et la note était parfois salée » (JP-LyF).

Var-Matin, 19 octobre 2017

Var-Matin, 1er novembre 2017 : « A La Seyne, un parking relais... en attendant mieux ? » - « Le nouvel équipement de Tamaris a été inauguré hier par Hubert Falco, président de TPM. Le maire de La Seyne Marc Vuillemot en a profité pour réclamer d'autres mesures en matière de transport - Comment ça marche ? - Au-delà de l'inauguration du parc relais, le maire de La Seyne Marc Vuillemot (à droite) a plaidé auprès du président de TPM Hubert Falco (à sa gauche) pour une réhabilitation « intercommunale » de la corniche - « L'extrême urgence » d'une ligne de cabotage » (MAD).

Var-Matin, 1er novembre 2017

2018

Var-Matin, 22 janvier 2018 : [Réunion du CIL des Sablettes et Environs] : « Des études pour la corniche de Tamaris » - « Quelques bonnes nouvelles ressortent de cette réunion : Les élus n'avaient pas que des mauvaises nouvelles à annoncer au bureau du CIL et au public présent à cette réunion riche en annonces. La conseillère régionale Sandra Torres a annoncé que le passage en métropole va permettre à la Région de subventionner des travaux, comme la réfection du port de Saint-Elme. La Région assumera 30 % du coût, soit 900 000 euros. Et, en prévision de la réfection de la corniche, elle attribuera cette année 450 000 euros pour les frais d'études, qui doivent s'élever au total à 1,5 million d'euros. Selon Claude Astore, elles pourraient être menées cette année pour un début des travaux, côté nord, en 2019. Le coût total de l'opération est estimé entre 15 et 20 millions d'euros. L'adjoint s'est félicité du soutien de la Région et a précisé que, pour sa part, la municipalité a déjà réalisé les travaux d'enfouissement du réseau d'assainissement de la corniche, travaux peu visibles mais impératifs » (PF).

Var-Matin, 13 octobre 2018 : « La réfection de la corniche de Tamaris sur la bonne voie » - « La métropole TPM va prendre en charge l'opération en souffrance depuis des années, annonce Marc Vuillemot. Un budget de 32 millions est prévu ainsi que des travaux d'urgence avant fin 2018 - Un an pour élaborer le projet - Les premiers travaux vont porter sur le confortement d'une partie des enrochements qui soutiennentla route. « C'est une obligation de sécurité », assure Marc Vuillemot - Presque trois fois le budget de la ville - « La métropole, une chance pour La Seyne » » (MG).

Var-Matin, 13 octobre 2018

Page Facebook de Nathalie Bicais, 16 octobre 2018 : « En 1995 je me suis engagée en politique pour pouvoir faire avancer les choses. Je me suis beaucoup impliquée dans la défense du patrimoine parce que c'est notre mémoire collective mais surtout parce que c'est un moyen de revaloriser l'image de la Seyne. J'ai organisé des conférences et mené des combats avec les moyens du monde associatif. Ensuite j'ai été élue adjointe. Entre Noël et Jour de l'An 2001, je suis restée en Mairie parce qu'on finalisait le projet de réhabilitation de la Corniche. A l'époque, le département ne voulait pas transférer la domanialité de cet ouvrage sans que la ville ait préalablement fait les travaux de réhabilitation, qu'il était prêt à prendre à son compte.
Malheureusement les travaux n'ont pas été réalisés et la corniche est restée communale, malgré ce que tout le monde a cru. Du fait, seul le Maire pouvait décider de lancer le projet ou pas. Dès mon élection au conseil départemental, la première chose que j'ai faite, c'est demander au Président que le département vienne soutenir financièrement le "nouveau" projet. Il en était tout à fait d'accord, si, bien sûr, la ville se mobilisait. Mais rien !
Et puis d'un coup, le Maire annonce 32 millions, mais il n'est que l'annonciateur, il n'y est, pour de bon cette fois-ci, pour rien !
Pire ! Ne faisant pas le travail préalable de phasage, de recalibrage du réseau qui devrait accueillir le trafic automobile, de préparation pour les commerces et autres professionnels, sans parler du projet lui-même, il nous met une nouvelle fois dans une position de désappropriation de notre territoire.
Les financements c'est une chose, les choix d'aménagement c'en est une autre. Quel projet ? Quels usages ? Quelle gestion ? Quelle esthétique ? Quel cap ?!
Les effets d'annonce ne font que réduire la crédibilité de ceux qui se battent réellement pour faire avancer les choses.
Les promesses n'engagent que ceux qui les croient ! » (NB).

Suite de la discussion :

- C'est une pure manœuvre politicienne de la part de Vuillemot. Et ce n'est pas fini. Il faut aller au fond des dossiers et bien démontrer l'imposture. C'est le rôle des élus notamment de l'opposition. Se réjouir de budget ? Se réjouir de promesses ? Se réjouir, comme tu le dis, d'un plan à 32M€ alors qu'il avait déjà promis un plan à 53M€... J'ai du mal à comprendre pourquoi tu le ménages autant... (GuC).
- C’est vrai. Mais je veux participer au projet, pourquoi pas le piloter... Ça ne m’intéresse pas d’attaquer les personnes. Je recherche l’efficacité. Mais de toutes façons je crois que personne n’est dupe... (NB).

- NB, quand tu fais de la politique, tu portes un projet, tu défends des convictions. Après, chacun sa manière de faire, de participer et/ou concrètement de changer les choses. Je suis comme beaucoup de seynois qui en ont marre de se faire balader par des incompétents, politiciens et qui se fichent de l'intérêt général mais pas de leur carrière. Tu as raison, personne n'est dupe (GuC).
- GiC être contre ? Contre la rénovation de la corniche ? Non ! Contre le fait d'être pris pour des idiots ? Oui. Chacun son style. (...).  Puisque vous dites que je suis toujours contre, avez-vous des exemples ?… Et puis le dossier de la corniche, c'est bien connu, n'a jamais fait l'objet de reculades... (GuC).
(...)
- GuC, je n'ai pas dit que vous étiez toujours contre, j'ai dit que de tout bord politique quand une idée est bonne il faut tous être solidaires et non pas dire non juste parce que c'est le politicien qui parle. C'est tout. Nous avons une corniche pourrie depuis des années et c'est toujours la bagarre entre la ville, le Département TPM et consorts, mettez autour d'une table et essayez d'œuvrer ensemble pour le bonheur de ceux qui la prennent sans arrêt... moi !! (GiC).
- GiC, c’est la tête et le cœur qui s’expriment là... Je n’ai aucun état d’âme à travailler avec des personnes qui peuvent avoir des points de vue différents mais qui ont un point commun : l’amour de notre ville. Alors, oui au travail en commun, oui aux projets porteurs mais, de grâce, apprenons à tirer des leçons du passé ! Ce n’est pas la première fois que certains politiciens essaient de nous vendre du vent ! (GuC).

- Cela fait maintenant 30 ans que j’y habite et j’aimerais y croire mais... De plus il ne faudrait pas qu’une quelconque association s’y oppose !!! (CF)
- Enfin, le projet doit être piloté par la Seyne. Bien sûr, les financements doivent être multiples car le lieu est un lieu à vocation métropolitaine, départementale et régionale ! Mais le pilotage doit être seynois (GC).
- Mais il faudrait y impliquer la commune de Saint-Mandrier, car par là passe la plus grande partie du délestage de cette commune et ça provoque encore plus de bouchon qu'à l'époque des chantiers, et surtout monétairement y compris la Marine qui voit y passer certainement plus de 80 % de ces salariés civils ou militaires (PL).
- Tout à fait (GuC).
- Je ne suis pas Seynois, Nathalie. Mais quel dommage de laisser cette corniche se détériorer au fur et à mesure du temps (CV).
- Ça devient malheureusement très inquiétant à mon avis dangereux, il faut faire vite (BP).
- Je suis d'accord avec toi : avec le dialogue on arrive à construire, mais garder toujours l'oreille à l'écoute, GuC n'a pas tort sur le fond, j'ai bien connu son père, on partageait des grandes valeurs humanistes... (JF).

- Se dire qu'enfin les choses avancent, serait presque un rêve réalisable. Entre étude bien ou mal menée, des vues utopistes, un départ de campagne en fanfare, l'aumône concédée par TPM, moi je reste vigilant et je déclare : QUE CET AMENAGEMENT NE PEUT SE FAIRE SANS NOUS LES SEYNOIS. Pas question de subir et de voire ENCORE NOTRE ARGENT dilapidé plutôt qu'investi parce QUE ce sont nos impôts ! Et puis 32 million c'est pas la somme qui au départ était budgétisée pour le pôle théâtral il y a déjà une décennie ? (JHJ).
- Déjà avec l'équipe de PM, NB avait proposé un schéma d'aménagement de la Corniche qui valorisait nettement le lieu. J'espère qu'ils ne vont pas faire n'importe quoi !! (CC).
- CC, c'était il y a près de 25 ans... (GuC)
- Hé oui, le temps est passé, l'eau a coulé sous les ponts mais la corniche est toujours égale à elle-même avec qqs éraflures supplémentaires !!! (CC).
- J’espère de tout cœur que ce projet va se réaliser... (MM).
- Il était temps (FD).
- Ça ressemble beaucoup à la goudronneuse électorale... Vous connaissez ???????? (DDM).
- Ce projet ??? MORT DE RIRE !!!!!@! (JMM).
- Cette corniche fait couler beaucoup d'encre*** verra-t-elle un jour l'aboutissement de tous ces projets théoriques ? Depuis le temps qu'on parle d'elle c'est devenu une vraie "STAR", mais elle n'a de star que l'illusion ! Tous Seynois qui se respectent aspirent à voir aboutir ce projet avant que d'être six pieds sous terre**. Ce n'est que trous et bosses, certains touristes disent même qu'à La Seyne nous avons une chaussée désastreuse, c'est flatteur pour la commune et pour nous-mêmes résidents ! (AP).

2019
Var-Matin, 5 juillet 2019 : « La corniche ? Ce sera 40 millions d'euros ».

Var-Matin, 5 juillet 2019

Le Seynois, n° 90, juillet-août 2019, page 17 : « Semaine européenne des mobilités « Tamaris pour tous » : action ! » - « A l'occasion de la Semaine européenne des mobilités, la Ville apportera son concours, notamment logistique, pour la mise en place, dimanche 22 septembre, d'une initiative proposée par les associations Vélos pour tous, Toulon Var Déplacements (TVD) et La Masse critique (collectif pour l'essor du vélo). Ces trois associations, très actives sur le territoire de la Métropole, ont en effet souhaité organiser une « journée au trafic apaisé » sur la corniche de Tamaris, « grâce à un simple plande circulation ».
Var-Matin, 9 novembre 2019 : « Oui, la corniche de Tamaris va bien être réhabilitée » - « Évoqués depuis des années, d'importants travaux ont été planifiés par la Métropole TPM sur la superbe route du littoral qui relie le centre aux Sablettes. Voici ce que l'on sait - « Créée » à la fin du XIXe siècle par Michel Pacha, la corniche de Tamaris est une route qui offre des panoramas imprenables sur les monts toulonnais, la rade, ses pontons, ses fermes aquacoles... en même temps qu'un parcours du combattant pour les automobilistes et les cyclistes - Un problème qui ne date pas d'hier - Abîmée par le passage des chars ! - « C'est budgétisé » - L'AVAP a déjà tout « prévu » - Pourquoi rien ne s'est fait avant ? » (MAD).
Var-Matin, 9 novembre 2019

Page Facebook de Madame Sandra Torrès, 9 novembre 2019 : « Depuis plus de dix ans la Corniche de Tamaris, joyau de notre ville doit être réhabilitée... Par voie de presse le maire apprend aux Seynois (et pour la seconde fois) que 40 millions d’€ vont y être consacrés. Et même que cette somme est budgétisée! Mais à quelle date??? D’ici trois ans ! Ce budget repose sur quel projet d’aménagement? Il n’a jamais été présenté au conseil municipal ! Néanmoins je reste particulièrement attentive à ce que ce projet aboutisse le plus rapidement possible. La re qualification de la corniche de Tamaris est inscrite dans le Contrat régional d’équilibre territorial, contrat porté pour cette action par le conseil régional #ProvenceAlpesCôtedAzur et la métropole Toulon Provence Méditerranée. Le conseil régional s’est engagé financièrement sur les études de sol et érosion, sur les études hydrauliques et de circulation. Pour les Seynois, pour les touristes que nous devons accueillir dignement au sein de notre rade, ce projet devra s’inscrire impérativement dans une démarche favorisant le développement économique et touristique comme (...).
- Echanges (9-11 novembre 2019) :
TE : La corniche mérite d'être belle et bien sur les routes c'est pas terrible pour faire du vélo c'est dangereux.
NE : C’est une honte cette corniche. La route est un champ de patate et dangereuse de surcroît...
SH : Cet aménagement de la Corniche c'est notre "Arlésienne " j'en entends parler depuis 27 ans que j'habite ici et près de la Corniche en plus.
CA : Certains locataires de la Corniche ne souhaitent pas une réhabilitation pour éviter l' afflux de touristes. C' est dit.
JYLD : On croit rêver... depuis près de 30 ans on en parle.
PJL : Comme d'habitude... et les impôts ont encore augmenté...
EP : Cela fait trente ans que l'on nous fait des promesses alors en période d'élection je ne crois plus personne
PS : Cet article me semble bien flou. Je cite : des travaux vont être lancés (quand), cela va coûter très très cher (combien)."C'est budgétisé" et plus loin "avec la mairie de la Seyne sur mer, nous sommes en phase d'études". Quelque chose m'échappe... Enfin bref, il n'y a rien...
JLE : J'habite sur cette corniche et croyez-moi, elle mérite vraiment une piste cyclable et une promenade pour les piétons Je me languis que Sandra soit à la mairie et fasse aboutir ce projet.
MC : D’accord avec toi JL !
MR : C'est honteux, les voies de la métropole sont dans un état déplorable, refaites tous les 20 ou 30 ans en moyenne et quand on les refait il n'a pas d'entretien (...).
AM : La chaussée de notre belle corniche est laissée à l'abandon par notre maire, il préfère emménager la Seyne nord afin d'avoir des futurs électeurs. Et il se dit Seynois, pour ma part, je ne voterai pas pour lui aux prochaines élections. Seynois, faites de même pour un meilleur avenir de notre belle ville.
Page Facebook de Nathalie Bicais, 12 novembre 2019 : « La corniche de Tamaris s’est invitée à la séance Plénière du département. Le Président a tenu à préciser que, contrairement à ce qui est dit, le conseil départemental n’a jamais eu la possibilité de décider des travaux à réaliser sur la corniche de Tamaris. C’est de la décision du Maire ! Encore maintenant d’ailleurs, puisque le président de TPM a dit suivre les décisions des Maires. J’ai pris la parole pour confirmer qu’à l’époque du mandat d’Arthur Paecht, j’ai assisté aux discussions avec le précédent président qui souhaitait que le transfert de la corniche se fasse après la réalisation des travaux, qu’il souhaitait subventionner. Les travaux n’ont jamais été réalisés ! Et comme un serpent de mer, le projet ressort à chaque élection. Marc Vuillemot nous l’a annoncé en 2014 pour 52 millions de travaux, cette année pour 40 millions. Pourtant durant ses 2 mandats, soit 12 ans, rien n’a été entrepris. Pire! Les trous dans la chaussée et les trottoirs n’ont jamais été aussi nombreux ! Les enrochements qui protègent l’équipement routier se sont dispersés, il y a du vide sous la voie. Les murs du parapet se décrépissent et présentent des trous et des effondrements. Les fils électriques provisoirement installés sur des vieux poteaux de bois ont des allures de tiers monde. La dégradation désolante de la Corniche est dû à un manque d’entretien et de soins, en plus du manque d’investissement. Alors c’est facile de vouloir trouver un responsable pour se dédouaner, mais c’est bien le Maire qui doit assumer cet état de fait ! »
Var-Matin, 14 novembre 2019 : « Corniche de Tamaris : nul besoin de polémiquer » - « Marc Vuillemot, le maire de La Seyne, ne comprend pas pourquoi il a été pris à partie mardi matin par le président du conseil départemental Marc Giraud. Il a beau retourner dans tous les sens ses propos sur la corniche de Tamaris, il ne voit pas. « Même en relisant à plusieurs reprises et jusqu'entre les lignes mon propos au sujet de la corniche de Tamaris, je n'y retrouve nullement ce qui semble avoir provoqué la colère de Marc Giraud, président du Département », réagit le maire de La Seyne. Puis que ses déclarations, voire ses intentions ont été mal interprétées, Marc Vuillemot reformule ses propos. « Oui, mon prédécesseur Arthur Paecht a eu raison de vouloir céder la route au Département, car la commune n'avait pas plus qu'aujourd'hui les moyens de la remettre elle-même en état. Non, le Département, malgré son accord de principe, n'a pas voté pour accepter ce transfert. Et, oui, la Métropole Toulon-Provence-Méditerranée, qui est désormais compétente en matière de voirie, prévoit la réfection de cette voie. Et c'est très bien ainsi. Ce sont là des faits indiscutables. Point. », déclare-t-il. Avant d'ajouter : « Où est la malhonnêteté ? Pourquoi polémiquer ? Pourquoi Nathalie Bicais, alors adjointe d'Arthur Paecht et aujourd'hui conseillère départementale, n'a-t-elle pas confirmé mon propos ? Étrange et inutile crispation... ».
Var-Matin, 22 novembre 2019 : « La corniche de Tamaris fermée à la circulation » - « A la suite d'un nouvel éboulement sur la chaussée mercredi soir, un tronçon de la route du littoral a été fermé à proximité du fort de l'Eguillette. Pas de réouverture prévue avant la semaine prochaine » (MAD).


2020
Var-Matin, 9 mars 2020 : « Pour eux, la corniche de Tamaris mérite un « plan B » » - « Insatisfaites du projet de réhabilitation, les associations engagées en faveur des « modes de déplacements actifs » veulent une meilleure prise en compte des enjeux environnementaux - Une vingtaine de personnes sont venues à vélo, d'autres à pied, hier à Balaguier, pour débattre du projet de réhabilitation de la corniche de Tamaris porté par TPM - Un concours de projets au printemps » (MG).
Var-Matin, 9 mars 2020
Var-Matin, 23 octobre 2020 : « La corniche à pied ou à vélo, c'est dimanche » - « Pour la première édition de « Dimanche sur la corniche », ce week-end, toute la route sera réservée aux modes de déplacement actifs, du parc de la Navale aux Sablettes, de 13 h à 17 h » (MAD).
Var-Matin, 26 octobre 2020 : « A chacun son rythme, sur la corniche de Tamaris » - « Vélos, trottinettes et autres skate-boards étaient les rois du bitume, hier, sur une partie du littoral seynois. L'après-midi sans voiture a connu hier un joli succès populaire. Prometteur - Après une première expérience il y a un an, la formule sans voiture a été reconduite. Le concept devrait être pérennisé par la municipalité - Chaque semaine dès le printemps 2021 ? - Ce qu'ils en pensent » (PF).

Var-Matin, 26 octobre 2020
 
Var-Matin, 16 décembre 2020 : « Grands travaux à La Seyne » - « Attendu depuis bien des années, le programme pluriannuel pour la réhabilitation de la corniche de Tamaris est adopté. Les travaux sont programmés sur six ans (2021- 2026) et les élus ont voté hier une autorisation de programme pour un montant de 30 millions ».

Var-Matin, 16 décembre 2020

Var-Matin, 17 décembre 2020 : « La corniche de Tamaris sera comme neuve « en 2026 » ! - « C'est officiel : les travaux de réhabilitation de la corniche reliant les Sablettes aux anciens chantiers navals commenceront dès 2022. Un projet colossal qui ne concerne pas que la route - Le patrimoine architectural et culturel « sera mis en avant », assure la mairie - La voirie sera réaménagée pour être partagée par les voitures et les modes de transports doux - La ville compte acquérir le fort de Balaguier et créer un pôle multimodal d'échange à ses abords. Un projet en trois étapes - La voirie rénovée - D'autres aménagements » (RG).

Var-Matin, 17 décembre 2019

2021
Var-Matin, 11 janvier 2021 : « La corniche de Tamaris en mode transports doux, même sous la pluie » - « Calme et sérénité - Le temps gris n'a pas découragé certains adeptes de la petite reine » (AR).
Var-Matin, 12 février 2021 : « Les premiers contrôles sur la corniche limitée à 30 km/h » - « Les cinq kilomètres reliant les Sablettes à l'espace Grimaud sont désormais limités à 30 km/h. Mercredi, les premiers contrôles ont eu lieu. Pas d'amende, l'heure est à la pédagogie - D'ici la semaine prochaine, des contraventions seront dressées - Les risques encourus - « La corniche est devenue un périphérique » - La mesure est loin de faire l'unanimité auprès des automobilistes et des riverains - Pour Florence Cyrulnik (...), ces panneaux de limitation représentent « l'incohérence parfaite de la signalétique sur la corniche ». « Limiter à 50 km/h, c'est très bien et c'est respecté. Mais à 30, c'est tout simplement illusoire » » (RG).
Var-Matin, 12 février 2021
Var-Matin, 11 octobre 2021 : « Des souhaits et des projets pour la corniche de Tamaris » - « Le comité d'intérêt local de Balaguier - Le Manteau - L'Eguillette a listé plusieurs problèmes qui nuisent à la qualité de vie des habitants du secteur. Des réponses leur ont été apportées » - « À proximité du parking relais de l'embarcadère de Tamaris des adhérents subissent des nuisances causées par les regroupements d'une dizaine de personnes bruyantes sur ce parking en soirée et tard dans la nuit - Des nuisances à Balaguier - Dimanche sur la corniche : mensuels - Focus sur le parking relais de l'embarcadère de Tamaris » (JMV).

Var-Matin, 11 octobre 2021
Var-Matin, 17 novembre 2021 : « Nouveau visage pour la corniche Giovannini » - « La corniche Giovannini devient « un espace à vivre » - La réfection de la corniche proche du centre-ville touche à sa fin. Après le recalibrage de la voirie, une promenade est aménagée avec une voie « verte », des espaces ludiques, sportifs et de détente » - « Venue voir l'avancement des travaux, Nathalie Bicais a tenu à saluer le travail du bureau d'études de l'antenne métropolitaine de La Seyne, qui assure la maîtrise d'œuvre de l'opération » - « La première étape d'un très long projet - Une démarche écologique - Parmi les équipements installés, on trouve une piste bosselée pour les VIT, et des jeux pour les enfants : un petit mur d'escalade, une poutre et un parcours d'équilibre, un mini-pont de singes, deux petits trampolines... Au passage, le sol de l'entrée de l'Espace Grimaud a été refait » (MG).

Var-Matin, 17 novembre 2021

Var-Matin, 17 novembre 2021

2022
Var-Matin, 6 janvier 2022 : « Quel avenir pour la corniche de Tamaris ? » - « Corniche de Tamaris : donnez votre avis » - « Vendredi marque le début de la concertation sur la rénovation de l'un des joyaux du patrimoinelocal. Objectif de la démarche : informer sur le projet et recueillir les propositions du public - Un programme jusqu'en 2026 - Début des travaux pour fin 2023 - Comment participer ? ».

Var-Matin, 6 janvier 2022

Var-Matin, 6 janvier 2022

Var-Matin, 8 janvier 2022 : « Réhabilitation de la corniche : un premier échange avec le public » - « « Redonner son lustre d'antan à la corniche, avec une connotation contemporaine » est le parti pris - La circulation à double sens sera maintenue - Participer à la concertation ».

Var-Matin, 8 janvier 2022

Var-Matin, 16 janvier 2022 : « Corniche de Tamaris : la concertation est en marche » - « Pour préparer la réhabilitation de la corniche, les Seynois étaient invités, hier, à parcourir l'un des tronçons concernés, à échanger avec l'architecte chargé de concevoir le projet, et à donner leur avis - Corniche Pompidou : une promenade sur ponton ? - Corniche Pacha : l'équation se complique - L'espace naturel du Croûton à valoriser - Parking-relais et embarcadère : redonner du lustre » (MG).
Var-Matin, 16 janvier 2022
Var-Matin, 24 janvier 2022 : « Corniche de Tamaris : en avant marche ! » - « Corniche de Tamaris : l'avenir se dessine à grands pas » - « Consultés sur la réhabilitation programmée des 4,5 km de littoral, les Seynois ont parcouru les deux derniers tronçons concernés en présence des acteurs du projet. Restitution à la mi-mars. Enquête publique en 2023 - Le débarcadère de Tamaris - Le port du Manteau - L'esplanade Sébille - Le fort Balaguier - L'anse du Père Louis - Le jardin des Canets - Le fort de l'Eguillette » (JMV).

Var-Matin, 24 janvier 2022
Var-Matin, 24 mars 2022 : « Corniche de Tamaris : donnez votre avis sur « l'esquisse » » - « Près de 200 personnes ont participé à la précédente étape de concertation, les « diagnostics en mar­chant » organisés fin janvier - Des ateliers de concertation » (MG).
Var-Matin, 24 mars 2022
Var-Matin, 27 mars 2022: « Les belles surprises du projet de rénovation de la corniche » - « L'architecte paysagiste chargé de dessiner le projet de réhabilitation de la corniche de Tamaris a présenté vendredi soir ses premières esquisses. Le concept de « pontons promenade » fait sensation - Outre les aménagements de voirie, l'agence d'architecture paysagère chargée de concevoir le projet, propose d'installer des « pontons promenade » (comme sur cette photo prise à Peyriac­-de-Mer, dans l'Aude) le long de la corniche Pompidou - La concertation continue - Marcher sur l'eau - Pour conserver deux voies de circulation et aménager la piste cyclable sur les portions les plus étroites, l'architecte suggère d'installer la promenade piétonne sur « encorbellement » au­ dessus de l'eau. Dix « zones d'animation » - Plus de deux cents personnes ont assisté, vendredi soir, à la réunion publique organisée à la Bourse du travail » (MG).
Var-Matin, 27 mars 2022
Var-Matin, 9 avril 2022 : « Ils enrichissent le projet pour la corniche de Tamaris » - « Depuis janvier, plusieurs centaines de personnes ont participé à la concertation sur le projet d'aménagement. Une démarche constructive qui a permis de faire émerger nombre de propositions - L'architecte paysagiste Vincent Guillermin et son équipe ont écouté les attentes des participants et répondu aux questions sur le projet - Les pontons font un carton - Les propositions pour les 10  zones d'animation - En juin, la Métropole fera des arbitrages et validera le projet final qui devra recevoir un avis positif des services de l'État. Ce projet sera présenté aux habitants fin juin, puis fera l'objet d'une enquête publique avant un début de travaux prévu pour fin 2023 - début 2024 » (MG).
Var-Matin, 9 avril 2022
Var-Matin, 18 avril 2022 : « La batterie des Canets sera ressuscitée en jardin de lecture » - « Dissimulé aux regards, surplombant la route invisible et la mer, le vaste terrain verdoyant et sa soute à munitions seront valorisés dans le cadre de la rénovation de la corniche de Tamaris - Christelle Lachaud, adjointe au patrimoine est attachée à la valorisation de la batterie des Canets - La soute à munitions construite en 1861 - Défense des deux rades de Toulon » (JMV).
Var-Matin, 18 avril 2022
Var-Matin, 13 mai 2022 : « Un dispositif pour empêcher de stationner sur le trottoir de la corniche » - « Ce sont 22 poteaux et 11 gros bacs à fleurs qui ont été placés mardi par les services techniques de l'antenne locale de TPM » (PF).
Var-Matin, 13 mai 2022
Var-Matin, 22 juillet 2022 : « Le futur visage de Tamaris » - « Rénovation de la corniche de Tamaris : les avancées du projet » - « Une réunion publique a permis aux habitants de découvrir les évolutions du programme, établies après une phase de concertation. La circulation et les pontons ont été largement commentés - Sens unique : une étude de circulation diligentée fin août - Piétons et piste cyclable - Sécurisation des pontons et nettoyage des fonds marins » (SA).

Var-Matin, 22 juillet 2022
Var-Matin, 25 juillet 2022 : « Corniche de Tamaris, « le projet (de rénovation) n'a rien de nouveau » tacle Marc Vuillemot » - « Suite à la présentation « quasi finale » du projet de rénovation de la corniche de Tamaris, mercredi en réunion publique, par la maire Nathalie Bicais et les équipes en charge du dossier (Var-matin de vendredi), l'ancien premier magistrat Marc Vuillemot estime dans un communiqué qu'il « n'a rien de nouveau ». Cela « ne justifiait pas de nouvelles dépenses de pseudo­ concertation, celles-ci ayant eu lieu entre 2016 et 2019 dans le cadre du « comité des usagers des mobilités », à partir du travail entamé en 2010 entre la Ville et Gilles Vincent, alors conseiller général, et sans coût induit puisqu'animées par les fonctionnaires du service de la démocratie locale ».

2023
Var-Matin, 11 décembre 2023: « Rénovation de la corniche : les craintes des riverains » - « Faute d'informations sur le projet qui devait débuter fin 2023, et hostiles à certaines options montrées dans les ébauches, les habitants du quartier font part de leurs questions et préoccupations - Comme le montre cette esquisse présentée l'an dernier lors de la concertation, une partie de la corniche serait mise en sens unique, au grand dam des riverains et usagers de la route... - Aucune décision prise » (MG).
Var-Matin, 11 décembre 2023
Var-Matin, 21 décembre 2023 : « Rénovation de la corniche : pourquoi tant de retard ? » - « Lors des réunions de concertation organisées l'an dernier autour du projet, le début des travaux avait été annoncé pour « fin 2023 ». Voici les points de blocage qui ont  rallongé les délais - Cette esquisse présentée lors de la concertation montre une partie de la corniche Michel-Pacha mise à sens unique afin d'aménager piste cyclable et cheminement piéton - Quatre points « bloquants » - Début des travaux en 2025 ?- Sens unique : rendez-vous à l'enquête publique » (MG).
Var-Matin, 21 décembre 2023
Var-Matin, 9 décembre 2024 : « Corniche de Tamaris : enquête publique en 2025 » - « Une projection de la future corniche, si paisible sur le papier, mais qui doit encore gagner l'assentiment des riverains » (LYF).
Var-Matin, 9 décembre 2024


 



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