La
Seyne-sur-Mer (Var) La
Seyne-sur-Mer (Var) (Var)
Histoire de La Seyne-sur-Mer
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Site de
Marius AUTRAN et Jean-Claude AUTRAN
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http://jcautran.free.fr
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La
Seyne dans la presse locale
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L'institut
Michel Pacha
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Référence et résumé
du contenu
des principaux articles que nous avons pu retrouver dans la presse
locale et dans les revues d'information municipale
NB.
Tous les articles qui ont pu être retrouvés ont
été numérisés aux formats jpeg et pdf avec
recherche de texte. Mais, pour
ne pas surcharger la page, nous n'avons fait figurer ci-dessous que
quelques articles sous forme de fichier image, choisis parmi les plus
représentatifs, tous les autres étant listés par
ordre chronologique, avec un lien (bleu
souligné) pour accéder au document intégral au format pdf.
Lien vers le site internet :
http://jcautran.free.fr/archives_familiales/la_seyne_dans_la_presse/casinos/institut_michel_pacha.html
- 1970
- — Étraves,
n° 15, automne 1970, pp. 25-27 : « L'Université de Lyon à La Seyne -
"Institut Michel Pacha" » - « Laboratoire de Physiologie de Tamaris pour
l'étude des organismes marins », par le Professeur Gabriel PERES.
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Étraves, n° 15, automne 1970, pp. 25-27 |
- 1973
- —
XIIe exposition de l'Entente Philatélique C.N.I.M. et Locale (Comité
Permanent des Fêtes), 3 et 4 février 1973, Laboratoire Maritime de
Phyiologie de Tamaris.
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- 1980
- —
Var-Matin,
janvier 1980
: « L'Institut Michel Pacha à Tamaris : Un laboratoire maritime de
physiologie travaillant résolument pour la collectivité » - « Le
professeur Peres - Du côté des chercheurs - Une expérience sur la
nutrition du loup - Le buste de Raphaël Dubois ».
- 1995
- — Var-Matin, 28 février 1995 : « Un siècle de recherche » - « L'Institut
Michel Pacha fêtera ses cent ans en juin prochain, à
l'occasion d'un congrès international sur la vie en environnement
extrême » (AF).
- 1999
- - Var-Matin, 23 octobre 1999
: « La traque aux « particules fantômes » - « La chasse aux neutrinos,
particules étonnantes, va commencer au large de Toulon grâce auprojet
Antarès. Une expérience unique au monde, qui consiste à installer un
détecteur d'astroparticule muni de 13 câblespar 2 400 mètres de fond.
But de ces manœuvres : mieux observer l'univers grâce à ces nouveau
messagers ».
- 2001
- —
Var-Matin,
28
janvier 2001 : « Institut Michel
Pacha - Les
vœux des chercheurs » - « Jean-Pierre Brichon a réuni ses
partenaires, chercheurs associés et amis, pour leur
présenter ses vœux » (SP).
-
- —
Var-Matin, 16 juin 2001 : « Conférence pour le développement des sciences
» - « Le bureau de cette association d'éminents vulgarisateurs des
sciences. Avant de laisser la parole au conférencier, les membres de
l'Association pour le développement de l'Institut Michel-Pacha
(ADIMPA). sous la présidence de son excellence Le Bailli, comte Géraud
de Pierredon, ont procédé, mardi, à leur assemblée générale statutaire.
La bonne santé de l'association a conduit les membres du conseil
d'administration
à renouveler leur confiance. Le professeur Gabriel Pérès,
vice-président, a rappelé les diverses et riches conférences sur le
milieu marin, de l'année écoulée, en remerciant les intervenants pour
leur érudition et les nombreuses personnes qui suivent assidûment ces
causeries. Le docteur Rinaldi, chef du service central de médecine
nucléaire du Centre hospitalier intercommunal de Toulon-la Seyne, a
ouvert sa conférence sur « Les acquis récents et perspectives en
médecine nucléaire ». Il a évoqué la longue
marche de la science avant la maturité de cette discipline, atteinte
seulement en 1965, grâce au professeur Tubiana. Il a conclu son exposé
en répondant aux nombreuses questions posées par les auditeurs » (JD).
- — Fenêtre-sur-Seyne,
N° 2 (2001) : Conférence à l'Institut Michel Pacha, 4
octobre 2001 : «
Le plancton, source de la vie marine », par M. Patrick Lelong.
- — Fenêtre-sur-Seyne, N°
4 (2001) : Conférence à l'Institut Michel Pacha, 29
novembre 2001 : «
Consommation des produits de la mer, santé et
longévité », par M.
Ceccaldi.
- 2002
- — Fenêtre-sur-Seyne, N°
9 (2002) : Conférence à l'Institut Michel Pacha, 25 avril
2002 : « Le projet Antarès », par M. John Carr.
- 2003
- — Fenêtre-sur-Seyne, N° 27
(décembre 2003) : Des scientifiques
décryptent l'univers
à Tamaris-Pacha - Claudie
Haigneré : le charme et la science : « La
station Antarès de l'Institut Michel Pacha installée au
large de
Tamaris n'a pas fini de faire couler de l'encre dans le monde. A tel
point que Claudie Haigneré, la ministre
déléguée à la recherche et aux
nouvelles technologies a inauguré le 18 novembre dernier ce
grand
projet qui va permettre aux scientifiques d'expliquer les fondements de
notre univers. « J'ai l'impression de participer à
l’une de ces belles
coopérations scientifiques. Ce projet va favoriser les
retombées
économiques et les transferts technologiques ne manqueront pas
d'en
découler ». Ce télescope d'un genre nouveau va
permettre de détecter
les neutrinos, ces particules élémentaires de haute
énergie,
insaisissables car infiniment petites. But : résoudre les
énigmes de la
matière, de l'astrophysique et de la masse manquante. Et le
docteur
Arthur Paecht d'ajourer : « Antarès va permettre de
grandes avancées
dans le domaine de l’imagerie médicale que ce soient les
scanners
classiques, l'IRM la dernière génération de
scanner qui identifie la
localisation précise et la consistance des tumeurs
cancéreuses ».
- 2004
- — Fenêtre-sur-Seyne, N°
35 (2004) : Conférence à l'Institut Michel Pacha,
Journées du
Patrimoine, 18 septembre 2004 : « La bioluminescence », par
M. Gérard
Brichon.
- 2005
- — Fenêtre-sur-Seyne,
N°
42 (2005) : « Institut Michel
Pacha : 114 ans au service de la
physiologie marine - Depuis 1891, date de sa création, la
station
marine du laboratoire de physiologie de l'Université de Lyon,
l'Institut Michel Pacha affiche sa spécificité en
matière de
physiologie marine, unique en Europe. Recherche, enseignement et
accueil d'étudiants français et étrangers,
l'Institut s'est construit
une solide réputation internationale. Aujourd'hui, il s'offre un
lifting qui réhabilite ses espaces dédiés à
la recherche et à l'accueil
ainsi qu'une mise aux normes de sécurité ».
-
|
Fenêtre-sur-Seyne, N° 42 (2005) |
- 2006
- —
Var-Matin,
16
février 2006
: « Antarès : la première ligne du
télescope
sous-marin est posée » - « L'infiniment petit pour
observer
l'infiniment grand. L'observation du neutrino, plus petite particule
élémentaire connue, permet d'étudier l'infiniment
grand. « Nous espérons étudier les objets
célestes sous un jour nouveau », explique John Carr,
manager du projet Antarès » - « La mise à
l'eau est une opération très délicate. La ligne,
à 2 500 m de fond, sera à l'abri de toute nuisance
optique » - « Véritable concentré de
technologie,
Antarès est le fruit d'une incroyable coopération
européenne (Bologne, Amsterdam, Valencia, Moscou, Bari,
Erlangen... ), sous le pilotage d'excellence du trio CEA, CNRS et
IFREMER. A la manière d'Airbus, les éléments sont
élaborés et réalisés dans divers
laboratoires internationaux, avant d'être assemblés au
Centre de physique des particules de Marseille. « Enfin,
ils sont acheminés jusqu'au large de Porquerolles où a
lieu le captage des données. Celles-ci sont reçues et
filtrées à l'institut Michel Pacha de La Seyne, avant
d'être envoyées au centre de calcul du CNRS à Lyon » ».
- 2007
- —
Var-Matin,
28
février 2007 : « L'Institut
Michel Pacha : un joyau qui
mérite de
retrouver son éclat » - Urgence : « Si les
chercheurs qui l'occupent sont performants, la bâtisse centenaire
mérite rénovation
» - « François Goulard, ministre
délégué à la recherche, hier sous les murs
délabrés de l'institut » - Les engagements du
ministre : « Nous avons le devoir de trouver des solutions pour
assurer leur devenir. Ça relève du domaine du possible
». Pour preuve de sa volonté, il déclarait :
« Dès demain nous allons nous employer pour trouver les
financements de cet Institut ». « Puissent maintenant ces
paroles être suivies d'effet » (CP).
-
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Var-Matin, 28 février 2007 |
- —
Var-Matin,
28
février 2007
: « Cinq ans de financement assurés
pour le programme
Antarès » - « Le ministre François Goulard a
visité hier à La Seyne le centre névralgique du
célèbre télescope sous-marin. Ce dernier disposera
de la totalité de ses capteurs avant la fin de l'année
» - « Aujourd'hui, au large de Porquerolles, cinq lignes de
capteurs ont été installées à 2 500
mètres sous le niveau de la mer, avec le concours d'Ifremer.
Sept autres compléteront le dispositif d'ici à la fin de
l'année. Les premières données parviennent
déjà jusqu'aux ordinateurs de l'institut Michel Pacha, au
terme d'une course de 45 km. Environ 20 millions d'euros ont été
investis pour parvenir à cette étape cruciale ».
- — Fenêtre-sur-Seyne,
N°
62 (février 2007), page 5 : « L'Institut
de biologie Michel Pacha ».
- — Fenêtre-sur-Seyne,
N°
63, hors série (mars 2007), numéro spécial Michel
Pacha : « Institut
Michel Pacha - Seule station de physiologie marine au monde - La
station de physiologie marine de Tamaris est née de la rencontre
de
Michel Pacha et du professeur Raphaël Dubois, professeur de
physiologie
générale comparée, de la faculté de Lyon,
à qui Michel Pacha offrit les
terrains nécessaires pour sa construction. Paul Page,
architecte, fut
chargé de sa construction, achevée en 1900. Elle se
signale comme un
édifice à l'architecture orientale. Raphaël Dubois y
fait une
découverte fondamentale en expliquant le phénomène
de bioluminescence,
une découverte qui trouve aujourd'hui son application dans de
multiples
domaines comme notamment le diagnostic de la tuberculose. Raphaël
Dubois donnera à l'Institut Michel Pacha son rayonnement
national et
international. Parmi les chercheurs qui s'illustrèrent à
l'institut,
Marie Curie, Harvey, chercheur américain qui fut le premier
à
s'intéresser à la chimie de l'eau de mer, Henri Cardot
connu pour ses
travaux portant sur la neurophysiologie. Dirigé aujourd'hui par
le
professeur Gérard Brichon, l'institut focalise ses études
sur le
métabolisme des lipides complexes et sur leurs fonctions
physiologiques. Laboratoire de l'Université Claude Bernard Lyon
1, il
accueille des étudiants et des chercheurs venus des
universités
françaises et étrangères les plus rayonnantes,
participe activement aux
enseignements dispensés par l'Université de Lyon 1,
réalise des
prestations pour le compte de sociétés privées et
accueille le groupe
Antarès (étude des neutrinos). L'Institut Michel Pacha
développe ses
activités de recherche avec le Centre Thématique de
Recherches et de
Soins de la région lyonnaise, l'Institut de l'Épilepsie
de l'enfant et
de l'adolescent, l'Institut de Médecine navale su Service de
Santé des
Armées. A terme, il pourrait offrir un plateau technique avec
pour
objectifs d'isoler de nouveaux lipides d'origine marine ayant des
propriétés pharmacologiques vis-à-vis du
système nerveux central, de
mettre en place une école de microdialyse avec l'Institut de
Médecine
navale, de valoriser les activités de recherche.
-
|
Fenêtre-sur-Seyne, N° 63 hors-série
(mars 2007), page 12
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Fenêtre-sur-Seyne, N° 63 hors-série
(mars 2007), page 4
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- —
Var-Matin, 3 mai 2007
: « Quelques secrets sur Antarès remontent à la surface » - « La salle
du Théâtre Apollinaire s'est remplie de nombreux Seynois et voisins,
intéressés par le sujet proposé par l'association « Le Transbordeur »
qui avait invité, John Carr, directeur du projet « Antarès ». C'est
avec beaucoup de clarté que le conférencier s'est plu à commenter
quelques images qui évoquaient le long montage du projet, sa
préparation, les recherches de partenaires, puis la réalisation de cet
observatoire dans les eaux varoises » (JD).
- —
Var-Matin,
21
décembre 2007 : « L'Institut
Michel Pacha menacé
de fermeture » - Conseil municipal : « Les élus ont
adopté hier une motion pour s'y opposer » (CM).
-
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Var-Matin, 21
décembre 2007 |
- —
Var-Matin,
23
décembre 2007 : « Menace de
fermeture pour l'Institut
Michel Pacha ».
- 2008
- —
Var-Matin,
3
janvier 2008 : « Plaidoyer pour
sauver l'Institut
Michel Pacha » - Sciences : « Les arguments de son
directeur Gérard Brichon contre la fermeture annoncée
» (CM).
-
|
Var-Matin, 3 janvier 2008 |
- —
Var-Matin,
5
janvier 2008 : « Réactions : à propos
de la
fermeture de
l'Institut Michel Pacha
» - « Nathalie Bicais candidate aux élections municipales de 2008
(UDF-Modem) a tenu à réagir après l'annonce de la fermeture de
l'Institut Michel Pacha Elle fait même une proposition. Voici quelques
extraits de son communiqué. « La
municipalité s'est proposée de le racheter et d'y accueillir
l'Université de Toulon. Pourquoi pas ! Mais comment cette université,
plus que celle de Lyon, pourrait assumer de prendre en charge les frais
de réhabilitation du bâtiment Attachée depuis toujours à la richesse et
à la beauté de nos rivages, et en particulier à l'héritage de Michel
Pacha, je propose un projet réaliste s'appuyant sur le caractère
original de ce lieu et de l'histoire qui s'y rattache. Au lieu
d'investir des millions d'euros dans un bâtiment neuf pour un " centre
de conférence ", il serait légitime de rendre au public ce haut lieu de
l'histoire locale, pour lequel la commune a versé au temps de sa
création, une participation financière. En aménageant là des salles de
conférences et un espace d'accueil au public, retraçant à la fois
l'histoire des conquêtes méditerranéennes de Michel Pacha au 19e
siècle, et celle des chercheurs en biologie marine du 20e siècle, on
marquerait ainsi notre volonté de valoriser nos atouts et notre
histoire, dans un projet culturel et touristique. C'est enfin
l'occasion d'aménager le terrain attenant, dernier espace libre au bord
de mer en créant un parc paysager intégrant des stationnements, les multiples
activités culturelles, touristiques, pédagogiques et de rencontres sur
le thème de la mer, permettraient un autofinancement du fonctionnement
du bâtiment, en assurant sa pérennité, et offrant l'image d'une ville
dynamique capable de valoriser son histoire exceptionnelle » - « Le « merci » de
Gérard
Brichon ».
- —
Var-Matin,
11
janvier 2008 : « Le projet «
Antarès » devrait
rester
à l'Institut
Michel Pacha » - Sciences : « L'Université de Lyon
pourrait continuer à abriter les chercheurs du CNRS » (CP).
-
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Var-Matin, 11 janvier 2008
|
- —
Var-Matin,
7
février 2008 : « Le
laboratoire de biologie de Michel Pacha fermera le 1er
mars » - Recherche : « L'Université de Lyon
confirme sa décision, Gérard Brichon s'insurge » (CP).
-
|
Var-Matin, 7 février 2008
|
- —
Var-Matin,
8
février 2008 : « A. Paecht : «
Devenir
partenaire de l'Université de Lyon » - Municipales 2008 :
« Patrick
Martinenq et l'Institut Pacha ».
- —
Var-Matin,
12
mai
2008 : « Un
partenariat pour sauver l'Institut
Michel Pacha
» - Recherches : « L'élaboration d'une convention
avec l'Université du Sud Toulon-Var, la communauté TPM et
le propriétaire du site semble en réflexion ».
- —
Var-Matin,
29
mai
2008 : « L'Institut Michel Pacha
fermé depuis le 1er mai
» -
Émoi : « Le couperet est tombé. L'Université
de Lyon a signé l'arrêt de mort de la station de
physiologie marine. Cent huit années d'activités
scientifiques s'achèvent ainsi » - « Une
décision très dommageable » pour Marc Vuillemot » (CP).
-
|
Var-Matin, 29 mai 2008
|
- —
Var-Matin,
25
juin
2008 : « Les déménageurs
commencent à vider
l'Institut
Michel Pacha » - Controverse : « Fermée depuis le
1er mai, l'antenne seynoise de l'Université Lyon 1,
spécialisée en biologie marine, se vide de tout son
contenu depuis hier » - Florence Cyrulnik : « avoir une
réflexion au sein de TPM - Que Gérard Brichon se rassure.
La commune va mettre tout en œuvre pour sauver ce site. " Le
souhait du maire est de conserver l'activité de recherche
liée à la mer » explique, dans un premier temps,
Florence Cyrulnik. Et l'adjointe au patrimoine et à la culture
d'ajouter : « Nous sommes intéressés par cette
grande salle et ses grandes vitrines chargées d'histoire. Nous
voulons conserver en l'état cette salle » (MP).
-
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Var-Matin, 25 juin 2008
|
- —
Var-Matin,
8
juillet 2008 : « L'Institut
Michel Pacha dans le giron de l'université
Toulon-Var ?
» - Sciences : « Alors que le laboratoire est inutilisable
après le déménagement, la faculté varoise
fait part de son grand intérêt pour ce patrimoine
scientifique et culturel ».
- —
Var-Matin,
19
septembre 2008 : « Le
CNRS et Antarès au secours de l'Institut
Michel Pacha
» - Patrimoine: « La vocation scientifique du
bâtiment devrait être conservée, quand tous les
partenaires se seront entendus. Car sa rénovation s'annonce
onéreuse » (PZ).
-
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Var-Matin, 19 septembre 2008
|
- —
Var-Matin, 17
novembre 2008 : « L'histoire du patrimoine de la ville dévoilé
» - « Gérard Brichon a donné un historique sur l'Institut
Michel-Pacha, mais aussi sur ses recherches et ses découvertes ».
- —
Var-Matin,
28
novembre 2008 : « La
fermeture du laboratoire n'est que provisoire
» - Biologie marine : « L'université Claude-Bernard
Lyon 1 confirme son intérêt dans l'avenir de
l'institut Michel-Pacha, sans être en mesure d'établir un
calendrier de réouverture » - « Une action en
justice engagée par les ayants droit » - « Le CNRS
investit dans le premier étage » (OM).
-
- 2009
- —
Le
Seynois,
N° 1 (janvier 2009) : Institut Pacha
: « L'université
confirme sa
présence ». Après la rencontre entre le
président, le vice président de
l'Université Claude Bernard Lyon 1 et le maire Marc Vuillemot,
l'université confirme que : « Elle est prête
à étudier tout projet de
développement d'un laboratoire de biologie marine,
répondant à ses
critères de qualité et à une extension du
laboratoire Antarès ».
- —
Var-Matin, 26
février 2009 : « Comment le
télescope
Antarès a dessiné sa première carte du ciel -
À ce jour, les données collectées par
Antarès sont centralisées à l'institut Michel
Pacha, sur la corniche Tamaris à La Seyne. L'équipe
restera dans ces locaux jusqu'en 2012. Pour l'avenir, par contre, un
nouveau projet est sur les rails : construire un autre
détecteur, en forme de cube d'un kilomètre de
côté. Trois sites sont en lice pour accueillir ce
télescope qui sera quarante fois plus sensible
qu'Antarès. Le choix se fera entre le Var, la Sicile et la
Grèce. L'investissement, sept fois plus élevé
qu'Antarès, se chiffre à 150 millions d'euros.
Maintenant, c'est aux partenaires Institutionnels de se battre pour que
l'aventure reste varoise.
- —
Var-Matin, 28
décembre 2009 : « L'Institut
Pacha : une
coquille semi-vide
» - Chantier : « Le CNRS, qui. occupe le premier
étage du bâtiment principal, réalise d'importants
travaux de rénovation. Mais l'avenir de l'Institut reste
incertain » (MV).
- — Images de la vie seynoise d'antan, tome II, 1988 (réédition de 2009) : « L'institut Michel Pacha » (Marius Autran).
- 2010
- —
Le Seynois,
N°
18 (septembre 2010) : François Morin, l’éternel
militant. « (…)
Autre source d'indignation, l'Institut
Michel Pacha, sur la corniche,
dans un état qu'il juge déplorable : « Il est
complètement abandonné,
c'est une honte ! La faculté de Lyon l'a reçu en donation
et ne le
mérite pas ! ». François Morin a envoyé une
pétition signée par un
millier de personnes à Chantal Jouanno, secrétaire
d'État chargée de
l'Écologie, mais celle-ci a répondu que «dans le
cadre de la politique
d'autonomie des universités, elle ne pouvait intervenir ».
- —
Var-Matin, 3
novembre 2010 : « Quel avenir
pour l'institut Pacha ? » -
« Selon l'issue du procès qui l'oppose aux
héritiers de Michel Pacha, l'université Lyon 1 pourrait
réintégrer les lieux » (JP).
|
Var-Matin, 3
novembre 2010 |
- 2011
- —
Var-Matin,
24
mai 2011 : « Mobilisation
citoyenne pour sauver l'Institut Michel-Pacha
» - « La Seyne : « Des citoyens au chevet de
l'Institut Michel Pacha » - «
A l'initiative de l'architecte Nathalie Bicais, des associations
locales s'activent pour redonner vie à ce joyau de la corniche
de
Tamaris » - « Valoriser le potentiel de la rade - Ce site
pourrait devenir un lieu de diffusion de l'histoire et des arts pour un
large public. Il pourrait être un espace d'échanges, un
lieu de pédagogie et de sensibilisation à l'environnement
marin et à la protection du patrimoine commun de la
Méditerranée, avance-t-elle. Autant de propositions qui
sont d'ailleurs détaillées dans une plaquette
destinée à servir de base de réflexion ».
-
-
|
Var-Matin, 24 mai 2011 |
- —
Var-Matin, 7
juillet 2011 : « Le
devenir de l'Institut Pacha connu fin septembre »
- Le bâtiment avait été légué par Michel Pacha à l'université de
Lyon. Mais celle-ci n'y est plus depuis 2008. Les héritiers entendent
récupérer ce bien - Les héritiers de Michel Pacha vont-ils récupérer le
fameux institut de la corniche de Tamaris que leur aïeul avait légué ?
Ou l'université de Lyon va-t-elle reprendre ses activités de recherches
scientifiques, commencées en 1890 et « suspendues » en 2008 ? ».
-
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Var-Matin, 7 juillet 2011 |
- —
Le Seynois,
N°
27
(novembre 2011) : La Seyne, terre d’innovation : (…)
« Sur un plan
historique, des chantiers navals à Michel Pacha, la ville puise
ses
racines dans la mer », relève le maire, Marc Vuillemot,
soutenant «
qu’industriellement, le présent comme le futur de La
Seyne-sur-Mer
passent par ce lien maritime ». L’Institut Michel Pacha
abrite ainsi à
son étage la station de contrôle du télescope
sous-marin Antarès : « Un
câble de fibres optiques de 40 kilomètres relie Les
Sablettes aux
capteurs, posés à 15 kilomètres au Sud de
Porquerolles par 2 500 mètres
de profondeur », signale Vincent Bertin, chercheur au CNRS,
responsable
de l’expérience Antarès au Centre de Physique des
Particules de
Marseille (CPPM). 900 capteurs, répartis sur 12 lignes de 500
mètres de
hauteur, scrutent les neutrinos, particules élémentaires
neutres créées
par des cataclysmes de l’univers ».
- —
Var-Matin, 12
décembre 2011 : « Institut
Pacha : la justice
donne raison aux héritiers
» - « La justice a tranché et le fameux
bâtiment de la corniche de Tamaris revient dans le giron des
descendants de Michel Pacha. L'université de Lyon fera-t-elle
appel ? » - « Jean-Yves Michel de Pierrredon
[arrière petit-fils de Michel Pacha] : « Pourquoi pas un
musée Pacha ? ».
-
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Var-Matin, 12 décembre 2011 |
-
- 2012
- — Var-Matin, 18
janvier 2012 :
« Institut
Pacha : l'Université
de Lyon fait appel » - Des héritiers « pas
âpres au gain et il est fort probable qu'ils opteront pour le
projet le plus symbolique pour la mémoire de Michel Pacha
».
-
|
Var-Matin, 18 janvier 2012 |
- —
Le Seynois,
N°
30 (février 2012) : « C’est un
fantastique outil de
recherche pour le
futur, pourtant essentiellement tourné vers le passé le
plus lointain.
Antarès s’intéresse aux conditions de naissance de
l’univers. De quoi
donner le tournis. La technique consiste sommairement à capter
des
neutrinos dans de grandes masses d’eau de mer, où filent
verticalement
des câbles intelligents : bardés d’instrumentation.
Ils sont douze
ainsi au large des Sablettes à La Seyne, reliés aux
laboratoires du
CNRS, logés par Ifremer à l’institut Pacha. Mais ce
n’est pas assez. Il
faut maintenant passer à la vitesse supérieure, bonifier
cette
recherche en lui donnant des moyens à la mesure de la
qualité de deux
équipes hors pair de la recherche française :
l’Insu, ou Institut
National des Sciences de l’Univers, et IN2P3, ou Centre de
Physique des
Particules de Marseille. Le CNRS pilote pour 28 instituts de recherche
de sept pays la deuxième phase d’Antarès, MEUST,
pour Mediterranean
Eurocenter for Underwater Sciences and Technologies. Et
l’organisme
public de recherche est prêt à investir 50 % des 23
millions d’euros du
projet. Avec celui-ci, la zone d’activité marine de
Brégaillon aurait
son phare, prestigieux, autour duquel les entreprises high-tech et
leurs emplois chercheraient à s’implanter »
- 2013
- —
Var-Matin,
21
septembre 2013 : « Institut
Pacha : La justice conforte les héritiers »
- « La cour d'appel d'Aix confirme l'annulation de la donation
effectuée en 1890 par Michel Pacha à l'université
de Lyon. Celle-ci ayant stoppé ses activités de recherche
en 2008 ».
-
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Var-Matin, 21 septembre 2013 |
- —
Var-Matin,
11
décembre 2013 : « L'avenir de l'institut Pacha en
cassation - L'université de Lyon aura pris son temps. Mais elle a fini
par formuler un pourvoi en cassation, dans le litige qui l'oppose aux
héritiers de Michel Pacha. Il s'agit de sceller l'avenir de l'institut
de recherche en physiologie marine situé sur la corniche de Tamaris. En
septembre, la cour d'appel d'Aix - confirmant le jugement de première
instance - avait donné gain de cause aux héritiers du bâtisseur de
Tamaris. Ceux-ci estiment que l'acte par lequel Michel Pacha avait fait
don du bâtiment à l'Université de Lyon en 1890 doit être annulé. À
l'époque, la donation était conditionnée au maintien d'activités de
recherches sur place. Des travaux scientifiques qui auraient cessé en
2008. Avec ce nouveau recours, la perspective d'une reprise du bien par
la famille, et de sa réhabilitation éventuelle s'éloigne de plusieurs
mois ».
-
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Var-Matin, 11 décembre 2013 |
-
- 2014
- —
Var-Matin, 9 mai 2014
: « Les Sablettes : un télescope pour percer les secrets de l'univers -
Au large de La Seyne, un nouveau télescope sous-marin doit être
installé pour observer l'univers, et notamment la matière noire. Une
enquête publique est en cours ».
- —
Var-Matin, 17
décembre 2014
: « Les Sablettes au cœur d'un
nouveau projet scientifique
» - « Grandes manœuvres depuis lundi sur la plage des
Sablettes : le CNRS fait poser un câble sous-marin dans le cadre
d'un programme destiné à étudier la mer et... le
cosmos » - « Un navire de la société Orange
Marine s'est présenté au large de la plage pour
dérouler l'extrémité du câble
électro-optique. Celui va être connecté aux
équipements du Centre de physique des particules de Marseille,
installés aux Sablettes dans le cadre du système
Antarès » - « Meust, le remplaçant
d'Antarès » - « L'Institut Pacha au cœur du
dispositif » - « Aujourd'hui,
explique Claude Vallée, du CPPM, c'est
l'Institut Pacha qui sert à contrôler le système
Antarès. Les données scientifiques y arrivent en
permanence, via un système automatique. Ces données sont
ensuite transmises au CNRS à Lyon, avec qui le CPPM a une
convention. Celle-ci court jusqu'en 2015. Après cette date, on
verra si on peut toujours utiliser l'Institut Pacha car
l'Université de Lyon s'est pourvue en cassation contre le
jugement de la cour d'appel qui avait donné raison aux
héritiers qui souhaitent récupérer le
bâtiment » - « À terme,
reprend M. Vallée, le
CPPM espère avoir, à Brégaillon, un bâtiment
de contrôle pour Meust. Le financement est en train d'être
bouclé ».
- 2015
- —
Le Seynois,
N°
56
(janvier-février 2015) : Câblage sous-marin - MEUST, acte
I : (...)
Vincent Bertin, chercheur au CNRS, responsable de l'expérience
Antarès,
lancée voilà 14 ans : « Ces muons sont produits par
des collisions de
neutrinos et d'atomes. Remontant du fond des mers, après avoir
traversé
le globe terrestre, ils révèlent des
phénomènes survenus dans le ciel
de l'hémisphère sud », raconte-t-il. A ce jour, 7
à 8 000 ont été
repérés par les scientifiques installés à
l'étage de l'Institut Michel
Pacha, dans l'attente d'un nouveau bâtiment, au technopôle
de la Mer, à
Brégaillon ».
- —
Var-Matin, 3
septembre 2015 : « Quel avenir
pour l'Institut Pacha ? Le bras de
fer » - « Dans le feuilleton judiciaire initié par
les héritiers de Michel Pacha, la fac
de Lyon revendique toujours l'ex-institut de biologie marine » -
« l'université de Lyon s'accroche à l'Institut
Michel-Pacha - Tiraillée entre l'université de Lyon 1 -
à qui Michel Pacha avait cédé le bien en 1890 - et
les héritiers du bâtisseur de Tamaris-sur-mer, la
bâtisse est toujours au cœur d'un feuilleton judiciaire
» (MA D).
-
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Var-Matin, 3 septembre 2015
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- 2016
- —
Var-Matin, 4 janvier 2016 : « Les particules cosmiques seront scrutées à Brégaillon » -
« Le CNRS recueille les résultats d'Antares, son observatoire
astronomique sous-marin, depuis l'institut Michel-Pacha à Tamaris. Les
scientifiques déménageront en 2019. Reportage ».
- —
Var-Matin, 22
septembre 2016 : « L'Institut
Michel-Pacha va-t-il sortir de l'abandon ? » - « Alors que le
contentieux entre les héritiers de Pacha et l'université de Lyon 1,
pour le devenir du site, sera bientôt jugé, le bâtiment fait l'objet
d'un - très léger - rafraîchissement... - Le feuilleton judiciaire
continue » (MG).
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Var-Matin, 22
septembre 2016 |
- 2017
- —
Var-Matin, 21 janvier 2017 : « Institut Pacha : Le “scoop” de Nathalie Bicais
- À l'occasion de la cérémonie des voeux qu'elle organisait hier soir
au restaurant La Frégate, l'élue multicasquette seynoise a annoncé une
« bonne nouvelle » aux 80 personnes présentes : le sort de l'institut
Pacha, suspendu à une décision de justice attendue depuis plusieurs
années, est désormais connu. L'institut restera aux mains de
l'université de Lyon qui pourra continuer à y pratiquer des activités
de recherches scientifiques marines (voir nos précédentes éditions). La
justice a donc estimé que l'utilisation de l'institut est conforme au
souhait exprimé par Michel Pacha, dont les héritiers ont été déboutés ».
-
- —
Var-Matin, 29 janvier 2017
: « De bonnes nouvelles pour les riverains des Sablettes (...). 4.
L'institut Pacha sait à qui il appartient ... en attendant de connaître
à quoi il va servir - Nathalie Bicais l'avait annoncé lors de ses vœux
aux Seynois, le 20 janvier dernier. L'élue seynoise l'a confirmé hier :
le sort de l'institut Pacha, suspendu à une décision de justice
attendue depuis plusieurs années, est désormais connu. La magnifique et
monumentale bâtisse demeurera aux mains de l'université de Lyon -
contre l'avis des descendants de Michel Pacha - qui pourra donc
continuer à y pratiquer des activités scientifiques. « Reste à savoir
exactement pour quel projet », a-t-elle interrogé » (MAD).
- — Facebook, 30 janvier 2017
: Nathalie Bicais : « Voici la lettre que j'ai reçue le 4 janvier du
Président de l’Université de Lyon. Celle-là même qui a reçu le lègue de
Michel Pacha pour son ami le professeur Raphaël Dubois. Depuis 2008,
date de la fermeture de l'Institut de Biologie Marine sur la corniche
de Tamaris, j'ai contacté toutes les collectivités pour envisager un
projet qui associerait les sciences de la mer et l'histoire du lieu ».
-
- Nathalie Bicais
: « Photo de Béatrice Pioli, pour l'exposition "Michel Pacha, histoire
extraordinaire d'un bâtisseur et de son rêve d'orient" que j'ai montée
dans le cadre de l'association AVEC ».
-
- —
Var-Matin, 10 février 2017
: « Institut Pacha : l'Université de Lyon défend son projet - Alors que
la justice lui a donné raison dans le contentieux qui l'oppose aux
héritiers de Michel Pacha, l'Université Claude-Bernard affiche de
nouvelles ambitions pour le site de Tamaris : « Nous prévoyons de
développer un centre de séminaires accueillant des
chercheursintematlonaux » - Nathalie Bicais : « Un patrimoine
extraordinaire » - Un nouvel épisode judiciaire ? »
—
Var-Matin, 11 février 2017 :
Le regard du maire sur l'actualité : « L'Institut Michel-Pacha reste à
la fac de Lyon » - « Le contexte : Alors que la justice lui a donné raison
face aux héritiers de Michel-Pacha l'université Claude-Bernard affiche
de nouvelles ambitions pour le site de Tamaris - La réaction du maire:
« Depuis
2008, la Ville n'a eu de cesse de plaider, ici et à Lyon, auprès des
présidents et vice-présidents successifs, pour le redémarrage d'une
activité, entre autres dans la perspective (2018) du départ de l'équipe
d'Antares vers Brégaillon. TPM, et notamment moi-même en qualité de
vice-président délégué à l'enseignement supérieur et la recherche,
travaillons avec l'université de Toulon pour accompagner le projet de
coopération scientifique qu'elle doit engager avec l'université de Lyon
; deux rencontres sontencore prévues dans les prochains jours » ».
|
Var-Matin, 11 février 2017 |
- —
Var-Matin, 12 mai 2017 : « L'Institut Pacha peut devenir attractif au niveau mondial
» - « Le président de l'Université Claude Bernard Lyon I est soutenu
dans son projet pour le site de Tamaris par les collectivités
territoriales, les mondes économique et académique - Autour du
président de l'UCBL Frédéric Fleury (3e en partant de la droite), le
maire de La Seyne Marc Vuillemot, le conseiller régional Jean-Pierre
Colin, les conseillers départementaux Nathalie Bicais et Dominique Lain
(de gauche à droite), réunis hier sur le site emblématique de Tamaris »
- « Pour l'heure, le site de Tamaris abrite toujours une équipe du CNRS
dans le cadre du projet Antarès. « Nous
démarrons cette année la construction d'un nouveau détecteur baptisé
KM3NeT, a précisé Vincent Bertin, responsable scientifique du projet.
L'Institut nous sert de salle
de contrôle, nous le quitterons en 2019 ou 2020 lorsque nous
disposerons d'un nouveau bâtiment dont la construction est programmée à
Brégaillon, surie site de l'lfremer ». Un délai qui va permettre
à l'Université de Lyon de peaufiner et concrétiser son ambitieux
projet. Après avoir défini précisément les contours des futures
activités, elle devra en effet évaluer les aménagements nécessaires
pour réhabiliter l'Institut et « réunir des fonds en cofinancement ».
Une chose est sûre: « Il faudra un niveau élevé de prestations et d'accueil », estime le président Frédéric Fleury (AF).
— Yves Stalloni : L’Homme des phares. « La vie très riche et très romanesque de Michel Pacha, Éd. Sudarènes, 2017 ».
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2019
—
Var-Matin, 31 mai 2019 : « L'institut Pacha rêve d'un rayonnement mondial »
- « La rénovation du bâtiment emblématique de Tamaris en centre
international de séminaire pour les scientifiques a été actée par
l'Université de Lyon. Ouverture prévue en 2022 - Sa situation en bord
de mer, sa façade immaculée et ses lignes orientales en font un des
bâtiments les plus remarquables de la rade. Mais c'est à une réputation
bien au-delà de la métropole qu'aspire désormais l'institut
Pacha, édifié en 1899 - Pourquoi Lyon garde la main sur le site - Le
CNRS parti pour rester - Pas
vraiment un scoop - Un projet ultra-structurant pour la métropole -
Sous les yeux du président de l'université de Toulon Xavier Leroux,
l'élu régional Jean-Pierre Colin est venu assurer le président de
l'université de Lyon 1 Frédéric Fleury du soutien financier de la
Région dans le projet d'aménagement de l'institut Pacha »
(MAD).
— Sciences-médias - Stations maritimes : « Histoire de l'Institut Michel Pacha - Focus sur les années 2008-2019
» - « Comme le titre de cet article l’indique, l’objectif est de
détailler l’histoire récente – les douze dernières années – et
complexe, impliquant de nombreux « acteurs », qui s’est déroulée autour
et à propos d’une station maritime originale et superbe, située sur la
commune de La Seyne-sur-Mer, dans le Var, l’Institut Michel Pacha. Mais
cette histoire récente ne peut être abordée sans rappeler, même
brièvement, sa naissance et sa construction, et le premier siècle de
son activité. Comme dans beaucoup de grandes histoires, celle-ci
commence par la rencontre de deux grandes personnalités…».
2020
— La Seyne en 1900, 6 août 2020 : « L’Institut Biologique de Lyon à Tamaris
» - « Les archives de l’Institut biologique de Lyon Michel Pacha
actuellement conservées aux Archives départementales du Var
représentaient plus de trente-cinq mètres linéaires, sans compter les
collections documentaires évaluées à quatre-vingt-deux mètres
linéaires. Dans la bibliothèque se trouvaient les archives
scientifiques de Raphaël Dubois, qui avaient été précieusement mises en
boîtes ainsi que ses cours (neuf mètres linéaires). Dispersés dans
plusieurs pièces du premier étage, il y avait quarante mètres linéaires
de thèses et mémoires réalisés sous le patronage de l’Institut. Dans le
bâtiment annexe, étaient restés les dossiers et les revues
scientifiques de l’époque de Gabriel Pérès : vingt-cinq mètres
linéaires… ».
—
Var-Matin, 7 septembre 2020 : « Les projets se précisent pour l'Institut Pacha
» - « Attendue depuis des années, la réhabilitation du bâtiment devrait
permettre d'y accueillir des scientifiques du monde entier. La maire
annonce aussi vouloir y organiser un événement international -
L'Institut de biologie marine fait faire l'objet d'un aménagement
réalisé par l'Université de Lyon pour accueillir des séminaires
scientifiques. Et la ville prévoit d'y organiser un événement déjàbaptisé "Les Rendez-vous de la Méditerranée" » (MG).
—
Var-Matin, 6 octobre 2020
: « Les collectivités appelées à « faire vivre » l'Institut Pacha » - «
L'Institut va accueillir un centre international de séminaires
scientifiques, mené sous la houlette l'Université de Lyon. D'autres
projets sont à l'étude pour « faire vivre le bâtiment » - « Développer
une activité de tourisme d'affaires » - « Les rendez-vous
méditerranéens de Tamaris » en Juillet 2021 - Nathalie Bicais souhaite
que ce nouveau rendez-vous estival soit « un moment d'échanges mettant en lumière la Méditerranée d'hier et aujourd'hui, sous tous ses aspects, sous toutes ses richesses ». Une occasion de faire rayonner La Seyne par le biais de ce joyau patrimonial qu'est l'Institut Pacha » (MG).
2021
—
Var-Matin, 31 octobre 2021 : « Mise en valeur de l'Institut Pacha : « promesses tenues »
» - « Dans le cadre de la mise en valeur économique et scientifique de
la ville de La Seyne, le conseil régional a voté, ce jeudi, une
subvention de500 000 € pour la restauration de l'institut de biologie
Marine (Institut Michel Pacha) sur la corniche de Tamaris ».
- 2022
- — Le Chasse-Marée, juin 2022, n° 327, p. 69 : « L'Institut de biologie marine Michel Pacha », extrait d'un article de 16 pages (pp. 54-69) [Michel Pacha - Les feux du Levant].
-
—
Var-Matin, 18 septembre 2022 : « L'institut Pacha livre quelques secrets
» - « Aujourd'hui encore, il est possible de pénétrer dans l'Institut
de biologie marine à l'occasion des Journées du patrimoine - Bernard
Argiolas, président de l'association des Amis de La Seyne ancienne et
moderne, et Jean-Claude Autran, vice-président, sont heureux
d'accueillir le public pour une visite guidée pleine d'histoires -
Depuis 1900, grâce à de nombreux donateurs, dont Michel Pacha,
l'Institut de biologie marine trône fièrement sur la baie de Tamaris -
Un projet validé ? » (LYF).
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-
—
Var-Matin, 10 octobre 2022 : « Institut Pacha : le projet de rénovation est enclenché
» - « L'Université
Claude-Bernard Lyon 1, propriétaire du bâtiment, annonce que le
concours de maîtrise d'ouvrage, pour la reconversion du site en un
centre de séminaires international, a été lancé - La réhabilitation du
bâtiment est attendue depuis de nombreuses années. Selon l'Université
Lyon 1, son propriétaire, les travaux pourraient débuter en 2024 - «
Ouvert sur la ville » - 6 millions à investir » (MG).
— Le Filet du Pêcheur, bulletin trimestriel des Amis de La Seyne Ancienne et Moderne, n° 160, septembre 2022, pp. 1-5 : « L'institut de Biologie Marine Michel Pacha
» - « A l’occasion des "Journées Européennes du Patrimoine", les samedi
17 et dimanche 18 septembre 2022, notre société des "Amis de La Seyne
Ancienne et
Moderne" a accepté d’assurer une médiation à l’Institut Michel Pacha.
En effet, exceptionnellement, il était ouvert au public de 10 h à midi,
lors de ces deux matinées. Christian CALABRÈSE, Jean-Claude AUTRAN, et
Bernard ARGIOLAS, ont ainsi accueilli le public venu en très grand
nombre : plusieurs centaines de personnes chaque jour !!!
2023
— Facebook, 17 mars 2023 : « Notre Institut de biologie marine Michel Pacha : lauréat régional de la « Mission Bern » de la Fondation du Patrimoine » (Nathalie Bicais).
—
Var-Matin, 18 mars 2023 : « Pourquoi l'Institut Pacha est-il retenu par Stéphane Bern ? » - « Après
l'annonce du choix de l'Institut de biologie marine, comme site
emblématique pouvant bénéficier du Loto du Patrimoine, les responsables
de l'opération expliquent leurs motivations » (MG).
— La Seyne en 1900, 18 mars 2023 : « Raphaël Dubois (1849-1929) : de la pharmacie à la bioluminescence » (Philippe da Prato).
—
Var-Matin, 10 juillet 2023
: « Un appel aux dons pour l'Institut Pacha » - « A La Seyne, le
président de l'Université Claude Bernard Lyon 1, propriétaire de
l'Institut de biologie marine, lance, avec la Fondation du patrimoine,
une souscription destinée à boucler le budget nécessaire à la
restauration du bâtiment qui sera ouvert à tous » - « Institut Pacha :
une souscription pour concrétiser l'ambition » - « Pour mener à bien le
projet de rénovation du site, en vue d'en faire un centre international
de séminaires ouvert à tous, un appel aux dons est lancé afin de
compléter les financements publics » (MG) - « Selon Frédéric Fleury,
l'inauguration du bâtiment rénové devrait intervenir « fin 2025-début 2026 »..
—
Var-Matin, 15 septembre 2023 : « La Mission Patrimoine signe un chèque de 400 000 euros pour l'institut Pacha ».
—
Var-Matin, 17 septembre 2023 : « Phare du patrimoine seynois l'Institut Pacha attire la foule » - « Exceptionnellement
ouvert au public à l'occasion des Journées du patrimoine, le joyau de
la corniche de Tamaris a attiré plusieurs centaines de personnes hier.
Il en sera de même aujourd'hui » (MG).
— Vivre à La Seyne, novembre-décembre 2023, p. 20 : « Fondation du Patrimoine: 400 000 euros pour l’Institut Pacha
» - « Le 16 septembre dernier, la Fondation du Patrimoine a remis pour
l’Institut Pacha un chèque de 400 000 € à l’Université Claude-Bernard
Lyon 1, propriétaire de l’institut. Nathalie Bicais, maire de La Seyne
s’est réjouie de ce nouveau pas vers « un établissement au rayonnement
scientifique international ».
—
Var-Matin, 8 juillet 2024 : « A La Seyne, le projet de l'Institut Pacha dévoilé
» - « L'antenne de l'université Claude-Bernard Lyon1 va être rénovée et
agrandie pour devenir un centre international de séminaires - Un
bâtiment neuf de 600 m2 va être construit » (GG).
—
Var-Matin, 22 août 2024 : « À La Seyne, le dernier directeur de l'lnstitut Pacha n'est plus » - «
Le décès de Gérard Brichon, à l'âge de 81 ans, jette un voile de deuil
dans la baie de Tamaris dont le chercheur, enseignant et dirigeant
émérite, assura le rayonnement à l'international » (JMV).
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