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de l'Histoire de l'École Martini
Marius AUTRAN
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Histoire de l'École Martini (1982)
L'enseignement à La Seyne-sur-Mer (1789-1980)
Préliminaires


Les origines de La Seyne-sur-Mer - L'enseignement avant 1789

Avant de traiter spécialement des problèmes de l'Enseignement, avant de tenter de comprendre les nécessités de sa création, le rythme de son développement, avant de raconter la longue histoire de l'École Martini, il était logique de consacrer quelques pages aux origines de notre commune de La Seyne-sur-Mer.

Nos concitoyens n'ignorent généralement pas que leur commune est la fille de Six-Fours.

De Six-Fours, perché depuis le haut Moyen Âge sur sa colline aujourd'hui occupée par un ouvrage fortifié. Du vieux bourg dont il ne reste que l'église collégiale de Saint Pierre (XIe et XVIe siècles), est partie toute l'histoire de notre contrée.

Le vieux Six-Fours, que l'on appelle parfois - à tort - le vieux Reynier, retranché derrière ses murailles, exerçait sa surveillance aussi bien sur la baie de Sanary-Le Brusc que sur la Rade de Toulon. Pour parfaire cette surveillance furent installés sur le territoire primitif de Six-Fours, qui couvrait alors l'étendue de cette commune, plus celle de La Seyne et de Saint-Mandrier, des tours de guet dont il reste des ruines, l'une sur la terrasse qui s'étend devant le parvis de Notre-Dame du Mai, l'autre sur la colline dominant, à l'est du Fort de Six-Fours, les quartiers Julien, Vignelongue et Saint Jean.

À ce moment-là, il fallait se protéger des incursions barbaresques fréquentes et dévastatrices qui semèrent la terreur sur nos rivages jusqu'à l'aube du XIXe siècle.

Mais déjà au XVIe siècle, des commerçants six-fournais avaient établi des entrepôts au fond de la rade de Toulon, dont les eaux poissonneuses favorisaient l'industrie de la pêche côtière. Ce site, qui se peupla progressivement de paysans, d'artisans, de pêcheurs et de commerçants, autour de trois quartiers, portait le nom de La Sagno. Ce nom, qui est celui d'une plante appelée aussi massette, lui venait du fait que le rivage marécageux était abondamment couvert de cette sorte de roseau.

Sur les trois quartiers les plus anciens de notre ville, deux portèrent le nom de familles fondatrices : Tortel et Beaussier. Le troisième, le quartier Cavaillon, doit son nom au Provençal cavaioun qui désigne un endroit perché (cf. le quartier Cavaillon de Marseille dans l'ancienne ville haute).

L'histoire locale nous apprend qu'en 1593, le premier port était vraisemblablement situé à l'emplacement actuel de la place Martel-Esprit. Le nom primitif de cette place, place Bourradet, viendrait de lou radet, la petite rade.

En 1612, il est souvent question du Grand Môle, c'est-à-dire du quai Hoche d'aujourd'hui.

Peu à peu, une urbanisation sommaire s'esquissa. En 1591, un premier sanctuaire fut édifié à l'emplacement de l'église actuelle. Il sera remplacé en 1603 par une chapelle dédiée à Notre-Dame du Bon Voyage qui deviendra une véritable église en 1674.

On a peine à l'imaginer, et pourtant au XVIIe siècle, l'église se trouvait sur le rivage qui suivait à peu près une ligne reliant les rues Berny, Carvin, République et Denfert-Rochereau. De vieux Seynois disaient d'ailleurs : " Nos pauvres grand-mères venaient chercher le varech devant l'église... ".

Les premières luttes que durent mener les habitants de La Sagno furent pour des questions de ravitaillement. Obligation leur était faite de cuire leur pain et d'acheter leur viande à Six-Fours, la cité-mère. Ils revendiquèrent le droit de construire des fours et d'avoir des bancs de boucherie dans leur hameau.

Ce n'est qu'en 1608 qu'ils obtinrent gain de cause pour les fours, et en 1631 pour les bancs de boucherie.

Peu à peu, le site de La Sagno, grâce au commerce maritime, à l'artisanat local, va prendre une importance consacrée par réédification de chapelles, couvents et divers sanctuaires (chapelle des Pénitents Blancs, construite en 1639 et détruite en 1925 qui se trouvait sur l'emplacement actuel du Centre médico-scolaire ; chapelle du Saint-Esprit, rue Charles Gounod ; Saint-Jean de Berthe ; Saint-Joseph de Gavarry, etc.).

Ce n'est qu'en juillet 1657 que La Seyne fut érigée en commune par lettre patente, c'est-à-dire par acte royal. Elle avait déjà dépassé la commune-mère sur le plan de son activité économique, comme sur le plan démographique. La signature authentique du Cardinal Mazarin (1) figure sur le document qui érige La Seyne en commune et que conservent nos archives municipales.

(1) Mazarin, en italien Giulio Mazarini. Cardinal et homme politique français d'origine Italienne (1602-1661). Il rencontra Richelieu au cours d'une mission en France et fut ensuite nommé Nonce à Paris, c'est-à-dire ambassadeur du Saint-Siège. Richelieu le fit nommer Cardinal alors qu'il n'avait jamais été ordonné prêtre et le prit comme principal collaborateur. À la mort de Richelieu, Louis XIII lui confia la direction du conseil qu'il conserva sous le règne de la régente Anne d'Autriche. Par sa politique habile quoique controversée par les grands du royaume (cf. les Frondes ou rébellions des nobles de la cour), il prépara l'avènement et le règne de Louis XIV.

Lettres Patentes de Louis XIV, avec la signature du Cardinal Mazarin, créant la Commune de La Seyne
(Service culturel de La Seyne)

Il fallut alors songer à donner des armoiries à la ville.

L'immense majorité de la population de l'époque était profondément attachée à la foi chrétienne et elle était surtout composée de cultivateurs, de marins et de pêcheurs.

On pensa donc qu'un écusson faisant allusion au miracle de la Multiplication des pains et des poissons (2) donnerait satisfaction à la grande majorité des Seynois.

(2) " En ce temps-là, Jésus s'en alla de l'autre côté de la mer de Galilée - ou lac de Tibériade : une grande foule le suivit, attirée par les guérisons miraculeuses qu'il opérait. Jésus gravit le flanc de la montagne et s'assit au milieu de ses disciples. La Pâque, la grande fête des Juifs, était proche ".
Ayant levé les yeux et vu l'immensité de la foule qui venait à lui, Jésus dit à Philippe : " Où pourrions-nous acheter du pain pour faire manger tout ce monde ? ". Il posa cette question pour l'embarrasser, car il savait, lui, ce qu'il fallait faire. Philippe lui répondit : " Deux cents deniers de pain ne suffiraient pas pour que chacun en reçoive un morceau ".
Un autre apôtre, André, le frère de Simon-Pierre, lui dit : " Il y a bien ici un jeune garçon qui a cinq pains d'orge et deux poissons. Mais qu'est-ce que cela pour tant de monde ? "
Jésus leur dit alors : " Faites les tous asseoir ! " Il y avait beaucoup d'herbe en cet endroit ; ils s'y assirent donc au nombre d'environ cinq mille hommes.
Jésus prit les pains et, après avoir rendu grâces, il les fit distribuer à ceux qui étaient assis - et, de même les poissons - autant qu'ils en voulurent. Quand tous eurent mangé à leur faim, Jésus dit à ses disciples : " Ramassez les morceaux qui restent pour qu'il n'y ait rien de perdu ! " Ils les ramassèrent. Les morceaux qui furent en trop des cinq pains d'orge, après que tout le monde eût mangé, remplirent douze corbeilles./.../ ". Évangile selon Saint Jean, VI, 1-15.

C'est pourquoi le blason de la ville se décompose en deux parties :

L'Armorial Général de la Généralité d'Aix donne, à la date du 16 juillet 1700, cette définition des armoiries de La Seyne :

" D'azur à deux poissons d'argent, l'un sur l'autre, le second retourné et un chef cousu de gueules, chargé de cinq pains d'or, posés trois et deux ".

Ces deux couleurs, d'azur (bleu) et de gueules (rouge) sont celles qui ornaient le chaperon des consuls.

Les magistrats locaux de l'Ancien régime, ou cònsous - consuls, portaient, comme emblème de leurs fonctions, non une écharpe, comme cela se fit après la Révolution, mais un couvre-chef, le chaperon, qui était orné aux couleurs de la ville. À Six-Fours, il était rouge et noir, à La Seyne, il était rouge et bleu. Ce sont ces couleurs qu'arborent d'ailleurs aujourd'hui les équipes sportives seynoises.

Le blason originel est entouré par des brins de siagno et coiffé de la couronne comtale surmontée d'une croix épiscopale car les seigneurs de La Seyne sont alors le comte de Provence et l'Abbé de Saint-Victor-lez-Marseille.

À la naissance de la République, des créneaux remplaceront la couronne et la croix, tandis que des feuilles de chêne et de laurier seront substituées aux brins de siagno.

La séparation des communes accomplie non sans quelques véhémentes protestations des Six-Fournais, la première administration seynoise fut mise en place. Furent alors désignés : trois Consuls (MM. Lombard, Tortel et Pascal), huit Conseillers, un Greffier et un Notaire royal, un Capitaine de ville (3), un Trésorier, des Intendants de santé, un Capitaine de port, des Marguilliers (4) et l'Enseigne de Jeunesse (5).

(3) Capitaine de Ville : Civil chargé de commander et d'entraîner la milice locale qui défend la Ville et y maintient l'ordre.

(4) Laïcs qui administraient les biens de la paroisse. En Provençal, fabricians.

(5) Enseigne de Jeunesse : jeune homme dont le rôle consiste non pas à enseigner mais à surveiller et à organiser les loisirs de la jeunesse du pays.

Les notables assuraient donc l'essentiel des fonctions indispensables à la bonne marche d'une collectivité : Administration, ordre public, justice, ravitaillement, santé et religion.

On voit que rien n'est prévu pour l'instruction publique.

À la lecture des documents d'archives, on se rend compte que le clergé n'envisage pas plus d'instruire la masse du peuple.

En effet, on a longtemps considéré dans le cercle de la bourgeoisie et d'une fraction obscurantiste du clergé, que des rudiments de calcul et de grammaire devaient suffire, avec l'enseignement religieux, aux enfants du peuple.

L'Église, qui est alors la seule structure officielle dispensant l'Enseignement, se soucie avant tout de former des élites qui lui seront fidèles et entièrement dévouées. Elle est alors la seule institution stable capable de diriger et d'administrer le pays.

En effet, pendant les siècles qui suivirent la chute de l'Empire Romain (Ve siècle), notre pays fut ravagé par les invasions barbares venues du Nord et du Centre de l'Europe. La barbarie, c'est bien sûr le monde sans école.

L'Église fut alors la seule puissance spirituelle capable de s'imposer aux rois et aux empereurs fauteurs de décadence, jusqu'à ce qu'à la fin du Xe siècle, les Capétiens (6) restaurent le pouvoir royal tombé en déshérence après le partage de l'Empire Carolingien.

(6) Capétiens : Troisième dynastie des rois de France qui succéda aux Carolingiens en 987 avec Hugues Capet et régna en ligne directe jusqu'à Charles VI le Bel (1328). Les Capétiens qui héritèrent d'un domaine peu étendu, le duché de France (Paris-Orléans), s'employèrent à l'étendre. Ce sont les Capétiens, Louis VII, Philippe Auguste, Saint Louis, qui s'illustrèrent au cours des croisades. Ce sont eux, également - Louis VIII le Lion et Saint Louis - qui menèrent une sanglante répression contre les Albigeois et annexèrent le Bas-Languedoc en 1229. À la mort de Charles IV le Bel (1328), c'est une branche collatérale qui accéda au trône, les Capétiens de Valois, avec Philippe VI. Pour ce faire, ils évincèrent Edouard III d'Angleterre, ce qui fut une cause immédiate de la Guerre de Cent Ans.

Pendant cette période, l'Église, non seulement réussit à s'opposer à la barbarie, mais elle parvint à convaincre des chefs à se rallier à sa foi. Tel fut le cas de Clovis (7), roi des Francs.

(7) Clovis: Hlodovic (466-511) - Roi des Francs (481-511). Il hérita d'un petit royaume entre la mer du Nord, l'Escaut et le Cambrésis. Il étendit son domaine jusqu'à la Loire en 486, puis jusqu'au Rhin. Sa conversion au catholicisme en 496 (?) sur les conseils de sa femme Clotilde et de l'évêque Rémi de Reims, lui acquit l'appui de ses sujets gallo-romains. Il conquit ensuite l'Aquitaine et annexa des petits royaumes francs. Il fut le protecteur du catholicisme.

Bien évidemment, dans son œuvre éducative, le clergé s'attacha en priorité à former des chrétiens par un enseignement surtout littéraire.

Au Moyen Âge, par exemple, l'Église détient le monopole du savoir. Les Clercs suivent deux cycles de formation : le trivium, achevé à quinze ans et qui comprend les seules matières littéraires, comme la grammaire, la rhétorique et la dialectique ; le quadrivium, qui se prolongeait jusqu'à dix-huit, vingt ans, était plus nettement scientifique : musique - étude de l'harmonie - arithmétique, physique et astronomie. Un Clerc n'était pas forcément destiné à la prêtrise. Il pouvait devenir médecin, juriste ou personnel de l'administration ecclésiastique. Certains poussaient leur instruction en suivant des études supérieures autour d'écolâtres - ecclésiastiques enseignants de haut niveau - ou, plus tard, dans des Universités également tenues par l'Église.

La vie, comme toujours, imposera des changements dans la méthode et dans le contenu.

L'Église avait donc le souci de former des cadres pour assurer l'exercice des plus hautes responsabilités dans la société. Elle opérait donc une sélection sévère, se souciant peu du bas peuple plongé et maintenu dans l'obscurantisme et la crainte de Dieu.

Ce souci sera encore présent à l'esprit des fondateurs du Couvent des Capucins, en 1621, sur l'emplacement du collège actuel des Maristes.

 

Tentatives d'enseignement

Dès le XVIIe siècle, l'Institution des Frères des Écoles Chrétiennes fondée en 1680 par Jean-Baptiste de la Salle (8) s'occupait d'enseigner les jeunes garçons.

(8) Saint Jean-Baptiste de la Salle (1651-1719) : Prêtre français. Fondateur de la congrégation des Frères des Ecoles Chrétiennes. Fête le 7 avril.

Avant 1789, vers la fin du XVIIe siècle, des tentatives d'enseignement public avaient été faites à La Seyne, par Messire Jean-Pierre Daniel, ancien curé de La Seyne, qui avait fondé, rue de l'Evêché qui deviendra rue d'Alsace, une école de filles ; MM. Lombard et Honoré, avaient créé, eux, une école de garçons dont ils étaient le grammairien et le régent d'école. Ces tentatives se sont terminées par des échecs aisément explicables : on ouvrait une école comme on ouvre une boutique, mais au bout d'un certain temps, on s'apercevait que le fonctionnement était coûteux. Il fallait payer des maîtres ou des maîtresses, entretenir des locaux, les chauffer, se procurer du matériel, etc... Les compétences étaient rares et la pédagogie peu attrayante. Il n'existait d'ailleurs pas d'école pour former les maîtres.

La fréquentation des élèves était très irrégulière. Et on le comprend ! Les récits de nos écrivains, les eaux-fortes exposées au Centre national de documentation pédagogique, nous montrent des salles de classe à peine éclairées, pas toujours chauffées, un plancher en grosses dalles de pierres mal taillées, quelquefois même en terre battue - on utilisait souvent des granges ou des écuries. Le matériel pédagogique est quasiment inexistant : il n'y a presque jamais de tableau noir, ne parlons pas des manuels scolaires ou des cahiers. Dans ces débuts, l'enseignement se faisait oralement.

Suivant les localités, le mode de fonctionnement et la nature de l'enseignement variaient.

Dans certaines communes, les maîtres d'école, avant 1789, étaient loués et percevaient des gages pris sur le budget. Mais le trésorier payeur percevait chaque mois auprès des parents, une participation, ce qui revient à dire que l'Enseignement était payant.

Toutefois, le salaire du maître n'était pas sûr. Il n'était en effet pas assuré d'un traitement minimum et les rétributions ou cotes versées par les parents étaient assez aléatoires.

C'est pourquoi, pendant longtemps, le maître d'école cherchera d'autres activités un peu plus lucratives : le secrétariat de Mairie, par exemple, ou un travail de comptabilité commerciale.

Nos archives locales nous apportent des preuves concrètes que nos premiers maîtres ont connu des situations très difficiles. Ils ont été hébergés gratuitement dans les salles de la Mairie, à la rue Berny ou à la rue Carvin, afin que leur sort soit quelque peu amélioré et que l'enseignement primaire puisse être dispensé.

Au début du XIXe siècle, le maître d'école accompagne encore les enfants à l'office religieux et, dans certaines localités, il lui arrive même de jouer le rôle de sacristain, de balayer l'église et de parer l'autel.

Du côté des élèves, les conditions d'inconfort, le manque d'hygiène cause de maladies fréquentes et souvent mortelles, les châtiments corporels, n'incitaient guère les enfants à fréquenter l'école assidûment.

D'autant que les parents ne poussaient pas forcément leurs enfants à s'instruire, un peu par ignorance de leurs intérêts, mais surtout parce que leurs enfants, dès qu'ils atteignaient l'âge de onze ou douze ans, et quelquefois avant cela, étaient dirigés vers les ateliers, embarqués comme mousses, ou employés aux travaux des champs. Aussi maigre qu'elle ait pu être, leur contribution à l'économie familiale était la bienvenue, tant la misère était grande dans les foyers de travailleurs.

L'enseignement d'alors n'était donc qu'une institution épisodique. Il faudra la loi Guizot pour que la situation connaisse une amorce de stabilisation. Mais, entre le moment où le pouvoir central prend un décret et celui où son application se concrétise, il y a souvent un délai énorme. Avant de promulguer des lois, de lancer des projets, de passer du désir à la réalité, les dirigeants, les responsables, les législateurs savent-ils toujours tenir compte de toutes les contingences ? Il est permis d'en douter.

En somme, si l'on veut faire un bilan sérieux de l'enseignement dispensé à nos ancêtres Seynois depuis la fondation de notre commune, il y a peu de choses à dire ou à écrire jusqu'à la Révolution, point de départ d'une volonté de créer un Enseignement public officiel.

Instruction sporadique et fragmentaire, réservée à une minorité, voilà les termes qui conviennent, ce qui explique la proportion d'illettrés qui compose notre population au début du XIXe siècle : 55 % selon les statistiques officielles.



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