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du Tome VIII
Marius AUTRAN
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Images de la vie seynoise d'antan - Tome VIII (2001)
Avant-propos

 

Propos liminaires

Avec ce huitième tome, la série Images de la vie seynoise d'antan vient de s'enrichir d'un autre ouvrage d'histoire locale dont la conception ne diffère pas tellement des précédents :

Avec des faits en évolution constante, des biographies de personnalités disparues dont les noms méritaient d'être pérennisés, des activités bénéfiques pour l'ensemble de notre communauté, des origines et des souvenirs attachants des plus vieux quartiers de notre terroir.

Les ouvrages précédents avaient apporté beaucoup de lumières sur les soucis de nos ancêtres responsables du destin de la vie communale, désireux d'instruire leurs administrés et de les éveiller à la culture intellectuelle et artistique.

L'histoire de l'École Martini et des problèmes locaux de l'Enseignement montrèrent les luttes sévères que nos anciens menèrent depuis la Révolution de 1789 jusqu'en 1833 pour voir la création de la première école d'enseignement public (future École Martini), près d'un demi-siècle après l'appel historique de Danton : « Après le pain, l'éducation est le premier besoin du peuple ». L'éducation artistique, longtemps ignorée, fut encore plus difficile à conquérir et le lecteur pourra constater, documents à l'appui, pour ne citer qu'un exemple, que ce fut seulement à partir de 1966, sous l'impulsion de la Municipalité Toussaint Merle que la jeunesse seynoise put recevoir enfin un enseignement véritable de la musique.

 

L'École municipale de musique fondée à cet effet méritait que son histoire fut contée, une histoire dont les 35 premières années sous la direction de Jean Arèse a apporté à la population et surtout à la jeunesse des satisfactions incomparables. Cette structure de premier plan avec des professeurs de haute compétence a procuré à la population les joies les plus pures (et ce n'est pas fini !), a permis à des centaines de jeunes d'exercer une profession des plus honorables.

Cet historique de l'École municipale de musique a montré toutes ses étapes administratives d'abord, les difficultés à la faire vivre, les activités multiples et diversifiées, le dévouement inlassable des professeurs. Les résultats et les récompenses obtenues au plus haut niveau par les élèves les plus doués.

La conclusion de ce récit apporte la certitude que cette œuvre va se poursuivre avec succès à la satisfaction générale des jeunes étudiants, de leurs parents, des professeurs, des amis de la musique.

 

Le second sujet traité dans cet ouvrage est une succession d'hommages rendus à des individualités du siècle dernier, cela sous le titre Chronique du XXe siècle : Des gens qui ont marqué la vie seynoise du siècle dernier. Ils ont droit à la reconnaissance de leurs concitoyens à des titres divers.

Cette liste n'est pas exhaustive. Elle pourra se compléter par l'apport des éléments biographiques qui ont manqué jusqu'ici.

Pour l'instant ont été cités :

- Marius Édouard AILLAUD - Enseignant (1866-1944)
- Jean Albert LAMARQUE - Homme politique (1885-1970)
- René CARMILLE - Général résistant (1886-1945)
- Émile MALSERT - Directeur d'école (1887-1964)
- Francis CRESP - Homme politique (1887-1960)
- Louis BAUDOIN - Écrivain historien (1892-1983)
- Alex PEIRÉ - Ingénieur administrateur (1901-1974)
- Philippe GIOVANNINI - Ancien maire (1908-1989)
- Toussaint MERLE - Ancien maire (1911-1969)
- Pierre CAMINADE - Écrivain (1911-1998)
- Louis MEUNIER - Sportif - Résistant (1918-1999)
- Joseph GRIMAUD - Syndicaliste (1924-1993)
- Raymond DIMO - Syndicaliste (1934-1996)

À la lecture de leur biographie respective, le lecteur estimera sans doute que leur souvenir méritait d'être pérennisé par un hommage public. Même si des oppositions momentanées se manifestèrent entre les Seynois et le richissime Marius MICHEL, dit Michel PACHA, entre les ouvriers de La Navale et leur directeur Amable LAGANE, entre le Maire Saturnin FABRE et les électeurs seynois, nos édiles du temps passé ont tout de même honoré ces personnages, en reconnaissance de leurs bilans prestigieux au bénéfice de la communauté seynoise dans son ensemble.

Il eut été mesquin de notre part de tenir rigueur de certaines lacunes ou erreurs imputables à tel ou tel élu du suffrage universel.

Il fallait juger et jauger les œuvres de nos concitoyens respectables, dans leur globalité.

Nous allons donc nous consacrer dans ce VIIIe tome des Images de la vie seynoise d'antan à ceux de nos concitoyens de souche ou d'adoption qui ont vécu intensément le XXe siècle seynois apporté leurs idées, leurs initiatives, leur dévouement au développement du bien être général de la population et laissé des souvenirs indélébiles dans tous les milieux sociaux en considérant qu'il serait profondément injuste de trop vite laisser tomber sur eux le manteau inexorable de l'oubli.

Il convient de préciser, avant d'entrer dans le vif de ce sujet, les buts recherchés dans les textes qui suivent se rapportant à des personnalités de toute condition sociale et dont l'influence sur la vie locale, à des titres divers, s'est affirmée avec force tout au long du XXe siècle.

Toutes n'ont pas été originaires de La Seyne, mais les hasards de leur vie les poussèrent à s'y fixer durablement : raisons familiales pour les uns, exigences de leurs activités professionnelles pour les autres.

Tous les citoyens honorables cités ici ont contribué avec la plus grande efficacité à l'animation de la vie associative, au triomphe des idéaux de progrès. Ils ont œuvré en dépit de maints obstacles à l'amélioration du bien être général, impulsé les problèmes de la culture et de l'éducation populaire, défendu leur patrie parfois jusqu'au sacrifice suprême.

Tous ces gens de cœur, admirables d'un dévouement poussé souvent jusqu'à l'abnégation, ont disparu aujourd'hui, mais le souvenir de leur exemple ne doit pas s'estomper trop vite.

De ces braves gens, remarquables par leur générosité, leur charisme exceptionnel, je peux en parler mieux que d'autres, ayant collaboré avec la plupart d'entre eux durant les longues de mon siècle.

La liste des personnages choisis n'est pas exhaustive. Elle aurait pu être plus complète et les hommages rendus plus nombreux. Mais il a fallu respecter l'opinion de ceux, hostiles à toute publicité les concernant, ceux qui ont préféré demeurer dans la catégorie des obscurs, des sans grade.

Ajoutons pour expliciter les difficultés de cette rédaction, que certaines familles très respectables n'ont pas ou peu le culte de leurs ancêtres et ne sont en possession d'aucune archive écrite ou illustrée. D'où les difficultés à reconstituer sérieusement les faits et le passé des personnalités. Par contre, si un appel avait été lancé pour des candidatures éventuelles, nul doute que les prétentieux, les arrivistes, les épateurs et autres olibrius auraient posé des problèmes délicats pour la rédaction de ces hommages publics.

Tout cela pour dire que le choix des vénérables a été difficile et forcément limité.

Autre impératif dont il a fallu tenir compte avec la plus grande rigueur : l'objectivité.

Parmi les biographies choisies figurent des élus politiques, des écrivains, des artistes, des éducateurs, des sportifs, des syndicalistes, des croyants, des libre-penseurs. Aucun commentaire n'était à faire sur leurs opinions, la foi dans leur idéal, leurs tendances politiques. Ce qui a compté avant tout dans ces textes ce sont les qualités morales, le dévouement, la probité, le souci d'apporter à la vie seynoise des bienfaits en tous genres, facteurs de rapprochement, de solidarité, de tolérance, qui doivent prévaloir pour les enfants de notre communauté.

 

Le sujet suivant s'intéresse aux quartiers et lieux-dits seynois.

Dans quels buts précis ? Leur énumération ne manquera pas d'étonner certains lecteurs généralement informés de leur appellation, toutefois sans savoir les situer de façon précise, ni en connaître leurs limites, pas davantage leur origine. À travers ces vocables très variés, ils comprendront sans peine pourquoi certains d'entre eux s'appellent Les Sablettes, Gai Versant, Coste chaude, les Plaines ou encore Vignelongue. Nombreux sont les autres ignorant l'origine des noms de Châteaubanne, l'Évescat, Fabrégas, Farlède...

Partant de leur origine jusqu'à nos jours, chaque quartier pourrait nous offrir sa propre histoire avec ses premiers occupants, ses activités qui ont bien changé à travers les âges, ses morcellements de terrain, ses structures en évolution constante, ses périodes prospères ou néfastes, ses mutations à caractères géographiques et économiques.

Certes les témoignages écrits sont rares en remontant le cours du temps ; mais les traditions familiales nous ont légué tant de souvenirs qu'il serait encore possible en ce début du troisième millénaire d'écrire une histoire des quartiers seynois qui ne serait pas dépourvue d'intérêt.

Tous ces fragments de notre terroir ont évolué de façon inégale, sous l'influence des phénomènes de la nature d'abord, celle des habitants qui ont construit ou détruit, modifié les paysages des administrateurs à la recherche de projets parfois spectaculaires, pas toujours en phase avec les caprices de l'histoire, les crises économiques et politiques génératrices d'instabilité.

Certains quartiers devenus surpeuplés, envahis par les ensembles immobiliers ont perdu leur vérité d'autrefois pour faire place aux illusions, pour ne pas dire aux leurres d'une urbanisation plus ou moins heureuse desservie par des réseaux routiers complexes, inadaptés, parfois anarchiques.

Il nous a semblé que les aspects changeants de ces quartiers, patrimoine naturel de notre communauté seynoise en constante évolution pouvaient offrir un certain intérêt à nos lecteurs.

 

Autre thème de réflexion : les problèmes de l'immigration, que le Tome III a déjà posés en 1990 sous le titre Du bourg provençal à la cité cosmopolite.

Les phénomènes de mutations étrangères ont existé de tout temps partout dans le monde et engendré souvent des problèmes de cohabitation entre population autochtone et étrangers venus parfois de très loin ; des gens au langage, aux sentiments, aux mœurs généralement mal acceptés dans leur terre d'accueil.

Pendant plus d'un siècle les étrangers à la communauté seynoise furent reçus plutôt froidement par nos anciens originaires de la vieille Provence.

Nous avons montré longuement comment au fil du temps leur hostilité s'émoussa. Il y eut rarement de violentes dérives à déplorer avec ces Italiens misérables que les administrations françaises et surtout le patronat à la recherche d'une main d'œuvre dont notre pays manquait, surtout dès le début du XIXe siècle qui s'ouvrait à l'industrialisation. Ce fut essentiellement de l'émigration italienne qu'il a été question dans le Tome III de notre ouvrage. Il nous a paru nécessaire de revenir sur ces sujets, car l'actualité en est toujours imprégnée.

Le courant migratoire italien posa des problèmes de cohabitation à nos édiles du temps passé. Des solutions heureuses ont finalement abouti pour résoudre les difficultés et fait place à une véritable convivialité.

Plus du tiers de la population seynoise actuelle est d'origine italienne et les enfants et petits enfants issus des familles italiennes n'ont plus à souffrir des quolibets sous forme d'insultes avec les expressions de babi, de macaroni, de piantous, de con à la voile (con la vela = venu avec la voile).

L'intégration des Italiens s'est effectuée pacifiquement. Nous verrons dans les textes qui suivent que ces étrangers ont donné un exemple admirable de leur discipline, de leur travail, de leurs initiatives, de leur amour pour leur patrie d'adoption.

Les Seynois seraient mal venus de manifester à leur égard des sentiments de racisme et de xénophobie.

Mais il faut bien dire qu'il se trouve encore des super-patriotes qui cultivent l'hostilité envers les étrangers dans des buts politiques bien précis visant - avant tout à déstabiliser la République. Il nous a semblé utile, dans le cadre de ces problèmes migratoires, de poser celui de l'arrivée en France des Corses, chassés eux aussi de leur pays par la misère, et dont l'adaptation à nos rivages s'effectua sans difficultés majeures.

- Autres formes des problèmes migratoires qu'il nous fallait bien évoquer : les Français d'Algérie, les Maghrébins, les Africains. Les uns chassés par la guerre ou les menaces de répression des tenants de l'Algérie française ; les autres appelés, malgré la couleur de leur peau à travailler dans nos industries locales.

Autrement dit : Si les problèmes de cohabitation, d'intégration ont été résolus avec les Piémontais, les Toscans, les Corses, les Français d'Algérie, il se trouve toujours des gens hostiles aux étrangers, même à ceux qui réparent nos routes, défrichent nos forêts. Fort heureusement il y a ceux plus compréhensifs, plus humains, plus généreux ; ceux qui aideront à trouver des solutions pacifiques par la tolérance, le respect des autres malgré leurs différences.

 

Le sujet suivant s'intitule : Seynois migrants et colonialistes au temps de la IIIe République.

Le transfert massif de populations étrangères vers notre Provence, et plus particulièrement vers nos rivages seynois, ne doit pas nous faire oublier qu'il exista aussi des courants contraires, des déplacements de Français et de nombreux Seynois et Toulonnais vers l'Afrique, l'Asie, l'Amérique et même l'Océanie avec des motivations bien différentes.

Si les populations italiennes et corses venaient chercher chez nous de meilleures conditions de vie, les Français conquirent l'Afrique du Nord, à partir de 1830 pour imposer leurs lois, exploiter au mieux les richesses de l'Algérie, de la Tunisie, des pays de l'Afrique noire.

Le conquérant Bugeaud n'avait-il pas conseillé aux colons français de s'emparer des meilleures terres ?

De toute la politique de conquêtes commencées sous le règne de Charles X, poursuivie sous le règne de Napoléon III et acceptée sous la IIIe République, nous ne ferons pas ici le procès.

Sur ces problèmes du colonialisme, nous ne parlerons que des petits colonialistes seynois partis très nombreux pour la Tunisie, au lendemain de la déclaration de guerre de 1914-1918, pour des raisons stratégiques - l'Arsenal de Sidi Abdallah ayant besoin de techniciens spécialistes des constructions navales.

Nous avons considéré que l'implantation des familles seynoises, de leurs activités, de leur comportement vis-à-vis de l'indigénat tunisien pouvait très bien s'intégrer dans les Images de la vie seynoise d'antan.

Les Seynois migrants de cette période ne connurent pas les mêmes difficultés que les Italiens miséreux entassés aux Mouissèques.

Nous décrirons leurs conditions d'installation, dans Ferryville, leurs activités, leurs loisirs et aussi pour certains des affaires lucratives.

Il sera nécessaire d'insister sur la grande misère du peuple pacifique tunisien, exploité à la fois par les colonialistes français et la classe bourgeoise de sa propre féodalité. Ce qui nous conduira à comprendre que les abus des exploiteurs, émigrés conquérants, seront à l'origine du mouvement d'indépendance - phénomène qui obligatoirement allait gagner tous les continents après la seconde guerre mondiale.

Le lecteur ne trouvera pas excessif, me semble-t-il que mes récits vécus en terre africaine, aient pris parfois un tour très personnel. À la vérité, la Tunisie au ciel éternellement bleu, ses richesses, sa population pacifique laisse aux étrangers qui la visitent des souvenirs si attachants qu'ils éprouvent irrésistiblement le désir de les exprimer.

 

Et maintenant, terminons ces avant-propos par des rappels historiques du XVIIe siècle en parlant d'une classe sociale, bien négligée jusqu'ici par les Images de la vie seynoise d'antan : celle des artisans fondateurs de la communauté seynoise.

Il faut entendre par le vocable artisans, ceux de nos ancêtres possesseurs d'importants terrains et de rivages dont ils firent l'acquisition grâce à leur fortune ou encore par légation des dirigeants de l'abbaye de Saint-Victor devenus incapables de gérer eux-mêmes leurs immenses domaines.

Les plus riches propriétaires, ont été cités précédemment. On les nommait : Tortel, Beaussier, Daniel.

Nous parlerons surtout des artisans manuels, des premiers occupants du patrimoine terrestre, qui eurent la charge de combler des marécages, de construire les premières habitations, de relier les quartiers primitifs par des communications sommaires, de donner au bourg de La Sagno ses premières structures administratives, tout cela au moyen d'un outillage rudimentaire et l'on a peine à imaginer qu'ils aient pu réaliser de telles prouesses.

Bien avant la création de la construction navale primitive, il y eut d'abord des maçons, des charpentiers, des puisatiers, des défricheurs de la forêt et des bois. Ce sera de tous ces métiers manuels dont nous parlerons longuement dans le chapitre artisanat. Les premiers artisans six-fournais fondateurs des premiers quartiers maritimes dont La Sagno qui précéda Cavaillon, Beaussier, Tortel furent des travailleurs bénévoles dans un premier temps. Puis ils comprirent la nécessité d'unir leurs efforts, de s'associer à des compagnons, des manœuvres. Ce fut alors l'ère des corporations qui s'effacèrent au fil du temps quand arriva la grande industrie.

Nous rappellerons les premiers artisans de la terre travaillant surtout à la bêche, quelquefois à la charrue au soc de bois tiré par un mulet au squelette ambulant à qui on aurait pu compter les côtes. Souvenons-nous aussi des courageux bûcherons dont l'entaille des haches résonnait dans la forêt de Janas.

La naissance et le développement fulgurant des activités maritimes allait bouleverser toute la vie seynoise : les constructions de bateaux en bois, de plus en plus gros, et aussi plus rapides aux XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles - puis les constructions métalliques. Des dizaines de métiers nouveaux apparurent.

Les progrès scientifiques furent naturellement à l'origine de la grande industrie, les sources d'énergie nouvelles. La vapeur, plus tard le pétrole, puis l'électricité. L'invention de l'hélice eut des répercussions énormes sur la navigation.

Des corporations artisanales disparurent au fil du temps, les bateliers à rames durent se reconvertir. Les lesteurs se faisaient plus rares, les calfats également. D'autres artisans apparurent. Le XIXe siècle fut celui d'une véritable révolution industrielle.

Nous évoquerons donc à travers ces textes relatifs à l'artisanat tous les aspects des activités seynoises qui se diversifièrent avec les métiers de la mer, ceux des transports et communications, ceux du petit commerce. Nous raviverons le souvenir de ces petits métiers artisanaux disparus comme le rémouleur, le tondeur de chiens, le bouilleur de cru, le raccommodeur de parapluie, le tailleur de pavés, le cireur de chaussures, nous le ferons avec attendrissement. Tous ces besogneux gagnaient leur vie honnêtement. Ils ont droit à notre respect.

Dans le même ordre d'idée, il était bien naturel de ne pas oublier les métiers féminins à l'époque où les femmes n'entraient pas encore dans la production industrielle ou dans les administrations publiques.

Pensons aux lavandières, aux couturières, aux matelassières, aux modistes, aux repasseuses.

Voilà donc les quelques commentaires estimés nécessaires pour une meilleure compréhension du choix des six sujets d'histoire locale qui suivent.

 

Marius AUTRAN


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