La
Seyne-sur-Mer (Var) La
Seyne-sur-Mer (Var)
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Hommages
rendus à Marius AUTRAN à la suite de sa disparition le 20 janvier 2007
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A voir également
:
Marius AUTRAN,
mon père, est décédé le samedi 20 janvier
2007 à la clinique Malartic d'Ollioules, à 16 h
40. J'étais présent, seul avec lui, à cet
instant d'intense émotion où j'ai pu entendre sa toute
dernière respiration. Dès la soirée du 20
janvier, les plus proches parents et amis de Marius AUTRAN sont
informés de son décès par
téléphone.
Le dimanche 21
janvier, à 7 heures du matin, un grand nombre d'amis et
anciens élèves reçoivent le message suivant
:
Marius
Autran, mon père, s'est éteint le samedi 20 janvier à 16 h 40 à la
clinique Malartic d'Ollioules à l'âge de 96 ans. Une fracture du col du
fémur avait entraîné son hospitalisation le 3 janvier dernier. Il avait
commencé à se remettre de cette épreuve, mais il n'a pas pu surmonter
de nouvelles complications intervenues en début de semaine.
Jean-Claude Autran
L'avis de
décès suivant paraît le mardi 23 janvier dans
Var-Matin :
On aurait pu rajouter que
Marius AUTRAN était également :
-
Président d'honneur
de la Société Nautique de la Petite Mer (S.N.P.M.)
-
Président d'honneur
de la Philharmonique « La Seynoise »
-
Président d'honneur
de la section locale des Anciens Combattants de la Résistance
(A.N.A.C.R.)
-
Président d'honneur
de la section locale de l'Association Républicaine des Anciens
Combattants (A.R.A.C.)
-
Président d'honneur
de l'Office Municipal de l'Action Socio-Éducative (O.M.A.S.E.)
|
Mais, dès
le lundi 22 janvier, grâce au travail et au dévouement
de Monsieur Francisque LUMINET, qui prépara au cours de la
journée du dimanche un texte à l'intention de la presse
locale, la disparition de Marius AUTRAN put être
annoncée dans les pages de La Seyne-sur-Mer de
Var-Matin et de La Marseillaise. La nouvelle se
répandit aussi très vite parmi les Seynois, notamment
sur la Place du Marché, dont Marius AUTRAN avait
été l'un des habitués pendant des
décennies.
Pendant
plusieurs jours, de très nombreux amis, voisins, anciens
camarades, anciens élèves de Marius AUTRAN vont rendre
visite au domicile ou adresser des messages de condoléances
à la famille. Voir
par ailleurs le détail de ces messages et la liste de toutes
les personnes qui ont exprimé leur
sympathie.
Hommages rendus dans la presse
locale et nationale entre les 22 et 25 janvier 2007
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Var-Matin, 22
janvier 2007
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La Marseillaise,
22 janvier 2007
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Les mardi 23 et
mercredi 24 janvier, plusieurs autres hommages à Marius AUTRAN
snt publiés. L'un dans la presse nationale
(L'Humanité), grâce à M. Jacques GIRAULT,
historien, professeur à l'Université de Paris 13, qui
fut élève de Marius AUTRAN en 1949-1950 au
Collège Martini. Les autres dans Var-Matin, avec notamment un
texte d'Henri TISOT, comédien, acteur de théâtre
et de cinéma, lui aussi ancien élève de Marius
AUTRAN (1948-1949), un hommage rendu par l'Amicale des Anciens
Élèves de l'Ecole et du Collège Martini, un
autre , signé par Jeanne VAÏSSE, Présidente de la
section locale des Association Nationale des Anciens Combattants de
la Résistance.
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Fenêtre Sur Seyne,
Le magazine de La Seyne-sur-Mer, n° 62, page 14, février 2007
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Un an
plus tard :
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Var-Matin, Samedi 19
Janvier 2008
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Var-Matin, Dimanche 20
Janvier 2008
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Les
obsèques de Marius AUTRAN ont eu lieu le mercredi 24 janvier
2007. Selon ses volontés, clairement exprimées depuis
de longues années, son corps fut incinéré
à Cuers à 10 h 30, en présence de 9 personnes :
M. et Mme Jean-Claude AUTRAN, Mme Odette MEUNIER et son fils Roland,
M. et Mme Gilbert MARRO, M. et Mme Christian CIAMPI et M. Jacques
GIRAULT.
Une
émouvante cérémonie d'adieu eut ensuite lieu
à 15 heures, devant l'entrée du cimetière de La
Seyne, autour de l'urne funéraire. Cinq allocutions furent
successivement prononcées par d'anciens amis, camarades ou
élèves de Marius AUTRAN.
- M.
Francisque LUMINET
- Mme
Josette VINCENT
- M.
Gabriel JAUFFRET
- M. Jacques
GIRAULT (texte de M. Henri TISOT)
- M. Jean ARÈSE
(voir ci-dessous
les textes de leurs allocutions)
Pour
clôturer la cérémonie la philharmonique La
Seynoise interpréta, sous la direction de Jean ARÈSE,
un andante de Gounod, suivi du chœur des esclaves de Nabucco de
Verdi, auquel Marius AUTRAN avait toujours été
très sensible.
L'inhumation eut
lieu ensuite dans le caveau familial, allée 29 Sud.
Également selon les volontés de Marius AUTRAN, l'urne
contenant ses cendres fut déposée sur le cercueil de
son père Simon AUTRAN, mort en 1962.
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Textes des cinq
allocutions prononcées devant l'entrée du cimetière de La Seyne
-
lors de la cémémonie des
obsèques de Marius AUTRAN, le 24 janvier 2007
Allocution de
Monsieur Francisque LUMINET
Ancien Premier
Adjoint au Maire de La Seyne
Marius AUTRAN
(02-12-1910/20-01-2007)
• Avant de parcourir,
brièvement, près d'un siècle de ce que fut la vie de Marius AUTRAN, vie
publique pour une large part, il convient d'avoir une pensée pour la
vie personnelle, familiale, faite de malheurs et de bonheur. Une pensée
pour l'épouse de Marius AUTRAN (Louise GAUTIER) disparue, pour tous les
proches, disparus, de cette famille, et le sentiment de fierté que
peuvent nourrir les descendants, en particulier les plus jeunes, à
l'égard de celui à qui nous rendons hommage aujourd'hui.
• 2 décembre 1910, 5 rue
Philippine DAUMAS à La Seyne, naît Marius AUTRAN ; son père, 23 ans,
est matelot mécanicien ; sa mère, Victorine AUBERT, sans profession,
est âgée de 20 ans. La Seyne compte 19 800 habitants ; 1910 est l'année
de transition entre deux maires de la Seyne : Jean ARMAND, le
pharmacien et Jean JUÈS.
• Marius, enfant unique, est
élevé dans l'amour et la rigueur de ses parents et grands-parents, dans
le respect et la soumission au « maître d'école » qu'il souhaita, très
jeune, lui aussi devenir.
• Elève à l'école Martini,
puis à l'Ecole Normale d'Instituteurs de Draguignan. Des liens se
tissent et se renforcent entre Toussaint MERLE et Marius AUTRAN. A la
sortie de l'Ecole Normale, poste d'instituteur pendant 15 jours à
Ste-Anne du CASTELLET (comme T. MERLE). Puis le service militaire.
Après le service militaire, affectation comme instituteur à MONTMEYAN
(Haut Var). C'est là que lui parvient, par radio, le mot d'ordre de
grève anti-fasciste du 12 février 1934 : grève républicaine. La période
était critique. Rapportons les paroles de Paul PRATALI, jeune copain
aujourd'hui âgé de 94 ans de Marius, qui estime que, lors des grèves
précédentes de 1933 à Toulon, le père de Marius AUTRAN était
certainement le seul cadre de l'Arsenal à participer aux manifestations.
• Puis ce fut la « drôle de
guerre » ; Marius AUTRAN est mobilisé, officier au 3e R.I.A. de HYÈRES,
puis ce fut NICE, puis le NORD, puis la Haute-Saône, puis la
Picardie... avec des mulets face aux blindés allemands...
• La culture le passionnait
également. En 1971, bien qu'élue au premier tour face à plusieurs
listes adverses (il s'agissait de la première élection depuis 1947 sans
la tête de liste T. MERLE disparu, mais avec Ph. GIOVANNINI). La liste
n'était pas d'union de la gauche, bien qu'étant d'UNION. En cela, La
Seyne était la seule ville de plus de 30 000 habitants sans liste
d'union de la gauche. Il fut décidé de réaliser cette union pour les
élections municipales de 1977. Des anciens durent se retirer ; démarche
douloureuse ; Marius le fit ; pour avoir été l'intermédiaire entre les
instances dirigeantes (dont Ph. GIOVANNINI) et celles et ceux invités à
« laisser leur place », je dois dire que cela fut effectivement
douloureux ; Marius le ressentit mal ; il me l'a dit ; il me l'a écrit
; mais il s'exécuta ; son activité ne tarit pas pour autant ; elle se
déploya toujours principalement au service de ses concitoyens.
• D'instituteur, Marius
devint professeur (comme T. MERLE) ; Marius se spécialisa dans
l'enseignement des sciences naturelles. Il enseigna à l'école MARTINI,
au lycée BEAUSSIER, au collège Marie CURIE. Des centaines, pour ne pas
dire des milliers de Seynoises et de Seynois ont bénéficié de son
enseignement. Je pense que certains d'entre eux apporteront tout à
l'heure leur témoignage.
• Je ne fais que citer son
immense travail de recherches qui a été nécessaire pour élaborer le
bonne dizaine d'ouvrages que Marius a consacrés à sa ville et qui sont
des sources extraordinaires.
• Marius AUTRAN fit un long
chemin au sein du Parti Communiste Français ; il appartenait à la
cellule Georges POLITZER des enseignants de la Seyne. En 1952, lors de l'affaire du « complot des pigeons », il fut recherché ; « complot des
pigeons » : bêtes retrouvées dans la voiture de Jacques DUCLOS, et
destinées à la marmite familiale ; mais la guerre froide et
l'anticommunisme en avaient fait des « porteurs de messages » vers
l'ennemi désigné, l'URSS ; Marius AUTRAN était bien caché (et alimenté)
dans une campagne du quartier BASTIAN. Il avait été également un
formateur au sein du P.C.F.
• La nature : la terre, la
mer le passionnaient.
• La curiosité du savoir, le
devoir de diffuser le savoir l'animaient.
• La justice sociale, la
paix, la liberté, la démocratie étaient ses idéaux.
• Avec la disparition de
Marius AUTRAN, La Seyne perd un homme d'honneur et de devoir.
• Avec le respect et
l'amitié que nous témoignons à tous ses proches, nous nous inclinons,
avec la population, devant l'homme, l'enseignant, l'historien (dont il
se défendait d'être), l'ancien combattant, l'évadé, le Résistant, l'élu
qu'a été Marius AUTRAN.
Francisque LUMINET
Allocution de
Madame Josette VINCENT
Adjointe
Honoraire
La disparition d'un
homme, d'une femme, que l'on a bien connu et estimé est difficile à
surmonter.
Et quelquefois, ça dépasse
la réalité, persuadé que la mort ne peut pas atteindre ceux que l'on
aime et que l'on croit invulnérables - tel notre camarade Marius Autran.
C'est le sentiment qui
atteint beaucoup de ses amis, de ses proches, devant son départ.
Certes, Marius avait atteint
un bel âge, comme l'on dit. Mais il nous avait habitués à sa présence,
à ses écrits, et l'on ne pensait pas que cela puisse s'arrêter. Il
faisait partie de notre patrimoine.
Il est parti, et les
souvenirs se précipitent.
J'ai eu le privilège de le
connaître, de l'approcher, et cela avant la guerre. Plus tard, au
Conseil Municipal, où nous nous sommes retrouvés de nombreuses années,
puisqu'il fut Conseiller Municipal dès 1950, Adjoint au Maire de 1959 à
1977, s'ajoutant à cela sa participation au Conseil Régional où il
siégea de 1974 à 1977.
Ses activités municipales
furent en grande partie dans le domaine scolaire, en direction des
enfants, milieu qu'il connaissait parfaitement, étant un enseignant de
grande qualité, défenseur fidèle de l'école laïque.
La Caisse des Ecoles connut
un grand essor, ce qui était nécessaire avec l'augmentation de la
population. Il s'y investit avec ténacité, aidé en cela par des élus
disparus : Alex Peiré, Mme le Dr Dupoyé - à qui nous devons aussi
l'Ecole de Plein Air à la Dominante.
Les Colonies de Vacances,
surtout, ont retenu toute son attention, conscient que notre population
laborieuse, douloureusement marquée par la guerre et les bombardements,
n'avait pas les possibilités d'offrir des vacances à leurs enfants. De
1200 à 1500 petits Seynois ont pu connaître les joies de la montagne.
Combien d'entre nous s'en souviennent avec reconnaissance et nostalgie !
Et pour nous, les anciens
Conseillers municipaux et Adjoints, J. Passaglia, L. Brémond,
n'oublierons pas ce camarade ouvert à toute discussion.
Ses camarades de toujours
n'oublient pas le Marius Résistant ! Instituteur à La Seyne depuis
1938, profondément attaché aux idées de Justice, toujours prêt à
défendre les causes justes.
La guerre de 39 ne le laissa
pas indifférent. Mobilisé en Juillet 39, fait prisonnier à
Lamotte-Beuvron le 19 Juin 40, il s'évade du camp de Pithiviers le 10
Juillet 40.
Il ne reste pas indifférent
à la situation créée suite à l'occupation allemande et participe
activement à la reconstitution du Parti Communiste clandestin. Il fut
l'un des rédacteurs du journal clandestin « L'Echo Seynois ».
Responsable du Front
National (de l'époque !), en collaboration notamment avec son camarade
Paul Pratali qui fut, lui aussi, Adjoint au Maire à la municipalité
Toussaint Merle.
Ces activités lui valurent
d'être arrêté dans sa classe, devant ses élèves, le 17 Mars 42.
Le procès qui suivit, où se
trouvait entre autres un Seynois qui deviendra Conseiller Municipal,
Louis Meunier, le relaxera, et il reprit sa place dans les rangs de la
Résistance, dont l'activité fut d'ailleurs concrétisée par la Croix de
Guerre - et surtout la Croix de Combattant Volontaire de la Résistance
- ce que sa modestie lui interdisait de mettre en valeur.
Avec Marius Autran, c'est un
peu de l'histoire de notre ville qui disparaît et nous sommes tristes -
en nous disant, malgré tout, que a vie fut pleine d'espérance, de
bonheur et de confiance en l'homme, pour qui il rêvait à un avenir
heureux.
Ses leçons, nous ne les
oublierons pas.
Son histoire, nous la
raconterons, et nul doute qu'elle sera citée en exemple.
A Jean-Claude, son fils, son
épouse, ses fils, nos amitiés les plus sincères.
Josette VINCENT
Allocution de
Monsieur Gabriel JAUFFRET
Premier Adjoint
au Maire de La Seyne, ancien élève
[1947-1948] de Marius
AUTRAN
Retenu au chevet de son épouse, le Docteur Arthur PAECHT
regrette de ne pouvoir aujourd'hui s'associer à l'hommage rendu à
Monsieur Marius AUTRAN, ancien Adjoint au Maire, ancien Conseiller
Régional, ancien professeur des écoles, historiographe de notre ville,
ancien combattant, ancien résistant. Il a demandé à ce que je le
représente avec une délégation du Conseil Municipal.
Nous mesurons ce que fut aujourd'hui le combat de Monsieur
Marius AUTRAN, les difficultés auxquelles il a dû faire front comme élu
au lendemain de la seconde guerre mondiale dans une ville ravagée par
les bombardements et les destructions opérées par l'ennemi.
Ancien élève de l'école normale des instituteurs de Draguignan,
il avait été fortement marqué, comme tous ses camarades, par son
Directeur Monsieur GILLET, un homme d'une grande austérité, un
pédagogue remarquable qui ne transigea jamais avec les valeurs de la
République. Je ne puis oublier que je fus son élève en classe de 6ième
au Collège Martini en 1946.
Le Collège Martini, qui a traversé les épreuves de la guerre,
reçoit alors des élèves qui tous ont été affectés, à des degrés plus ou
moins forts, par la guerre qui vient de s'achever. Dénutris pour la
plupart en dépit des efforts des parents qui se sont privés pour eux,
ils ont connu une scolarité aléatoire rythmée par les bombardements,
les évacuations successives.
A cette époque, Monsieur AUTRAN est alors dans la force de
l'âge. Rigoureux, intègre, sévère aussi, il a le plus grand respect
pour sa fonction d'enseignant qu'il honorera durant toute sa longue
carrière.
Austère, mesuré dans ses propos, il est à l'image des derniers
hussards de la République qui firent rayonner l'image de l'école laïque
dans notre pays.
D'une apparente froideur, il ne tolérait chez ses élèves ni la
paresse, ni l'approximation et encore moins l'inexactitude.
Ennemi des bousculades, des jeux violents, il était toujours là
pour tempérer, sans éclat de voix, le trop plein de vie de ses élèves.
Je me souviens encore du regard chargé de tendresse qu'il
portait souvent sur mon camarade de jeux, aussi mon voisin de banc. Un
gamin gracile, aux longs cheveux blonds, aux yeux d'un bleu limpide
empreints d'une tristesse qui ne se dissipait jamais.
Comment oublier sa sollicitude, son affection discrète envers
ce jeune élève qui fut mon ami.
Il appartenait à une famille juive décimée durant la guerre.
Nous saluons, avec émotion, sa mémoire et présentons à sa
famille les condoléances attristées du Docteur Arthur PAECHT et de son
Conseil Municipal.
Gabriel Jauffret
Texte de
Monsieur Henri TISOT, comédien, acteur de
théâtre et de cinéma, ancien élève
[1948-1949] de Marius AUTRAN,
lu par Monsieur
Jacques GIRAULT, Historien, Professeur à
l'Université de Paris 13, ancien élève
[1949-1950] de Marius
AUTRAN
A Marius Autran,
notre maître.
Il est des êtres qui
entraînent derrière eux tant et tant de choses lorsqu'ils s'en vont,
que c'est bien plus qu'eux-mêmes que l'on enterre. C'est le cas ici en
ce qui concerne Marius Autran qui, en nous faussant compagnie, emporte
avec lui la mémoire de La Seyne. Fort heureusement, comme il avait, de
tout temps, prévu le coup, tout se trouve consigné dans ses livres et
sur Internet grâce à Jean-Claude, son fils. Sans cela, l'histoire de La
Seyne partirait à la dérive.
Pour le cas où tous les
élèves dont je suis moi-même, seraient encore en vie, c'est un drôle de
défilé qui devrait suivre sa dépouille. Pour ma part, c'est en pensée
depuis Paris que je me mêlerai à vous tous. Responsable à l'époque de
ce que l'on appelait la classe de sixième qui vous propulsait dans les
classes supérieures qui préparaient au B.P.C, on devenait, en en
faisant partie, des nouveaux grands qui faisaient suite aux anciens
petits des classes élémentaires. Monsieur Autran était aimé par ses
élèves et d'une façon naturelle. Peut-être parce qu'il n'abusait jamais
de son autorité et qu'il lui suffisait, lorsque la file se formait pour
entrer en classe dans la cour de Martini, d'un simple « allons, allons
! », que j'entends encore, pour que tout entre non pas dans l'ordre,
mais plus simplement que nous entrions tous dans le rang. Je n'ai pas
le souvenir d'un Monsieur Autran envoyant un élève - terrible affront -
chez le directeur, Monsieur Malsert. Monsieur Autran ne déléguait pas,
il prenait les choses en mains. Je puis assurer, sans flagornerie
aucune, que sans Monsieur Autran, je n'aurais peut-être pas eu le goût
comme je l'ai, de me poser des questions sur tout, c'est ce qui me
maintiendra vivant jusqu'à ma mort, comme lui qui n'a jamais lâché
prise, ayant toujours fait son devoir, tandis qu'il avait incité des
générations d'élèves de s'appliquer à faire les leurs.
Merci Monsieur Autran, on ne
vous oubliera pas de sitôt, vous avez été un professeur exemplaire dans
cette Seyne d'antan, présente dans tous nos cœurs vieillissants.
Henri Tisot.
A la suite de la lecture de ce texte, Jacques Girault prononce
alors les phrases personnelles suivantes :
Depuis octobre 1949, Monsieur Marius
Autran occupe dans ma vie une place essentielle. Il m'a aidé à entrer
dans le monde des adultes. Il l'a fait avec une fermeté bienveillante
tout en respectant la liberté du jeune, puis de l'homme que j'étais. Il
a été mon guide, mon mentor, mon camarade, mon ami.
Adieu maître.
Allocution de
Monsieur Jean ARÈSE, Président de la Philharmonique
La Seynoise, ancien Directeur de l'Ecole Municipale de
Musique
avec la
participation de la Philharmonique La
Seynoise
Pour nous Musiciens
de « la philharmonique la seynoise », nous vous sommes infiniment
reconnaissants d'avoir été notre Président d'Honneur pendant des
décennies, mais aussi et surtout de nous avoir offert ce travail
remarquable sur notre Société « L'HISTOIRE DE LA PHILHARMONIQUE LA
SEYNOISE » ou « CENT CINQUANTE ANS D'ART MUSICAL À LA SEYNE ».
Ce riche document nous a
fait honneur et nous pourrons le léguer à nos descendants pour
perpétuer cette lignée de musiciens amateurs.
N'avez-vous pas écrit dans
ce livre : « HONNEUR À TOUS CEUX QUI ONT PORTÉ LA SEYNOISE AU FAITE DE
LA GLOIRE » ?
C'EST À NOTRE TOUR DE VOUS
DIRE « HONNEUR À VOUS, MARIUS », pour cette histoire de la
Philharmonique.
C'était mon vieil ami. Ces
dernières années, mes visites quasi hebdomadaires m'ont permis
d'apprécier l'homme honnête, généreux de conviction et de rigueur. Il
incarnait les valeurs républicaines laïques que lui avaient transmises
ses maîtres qui ignoraient la résignation, la compromission.
Je puis attester qu'il eut
une retraite paisible, chez lui, au milieu de ses livres et une fin de
vie douce. Soigné par Josiane avec dévouement, qui veillait sur lui
pour tous les problèmes matériels. « Comme une fille », disait-il.
À Jean-Claude, son fils « Il
n'a jamais fait quelque chose qui m'ait déplu », disait-il, son épouse
et à ses cinq petits-fils « Le nom des Autran n'est pas prêt de
s'éteindre ! », plaisantait-il, nous témoignons toute notre sympathie.
Ils peuvent être fiers d'être les descendants de MARIUS et de MADAME
AUTRAN, femme de cœur si attachante.
Nous allons essayer de
conclure en musique ce moment plein d'émotions.
Jean et Jacqueline ARÈSE
Messages de
condoléances et de sympathie
Un grand nombre de marques de sympathie et d'amitié nous
ont été témoignées à la suite du
décès de Marius AUTRAN : visites au domicile, envoi de
gerbes ou de bouquets de fleurs, courriers ou messages de
condoléances (que nous avons tenu à rappeler
ci-dessous).
Nous avons adressé à tous ceux-là la carte de
remerciements suivante, souvent accompagnée de quelques
phrases personnalisées :
- Jean-Claude AUTRAN, son fils
- Yolande AUTRAN, sa belle-fille
- Rémy, Nicolas, Jean-Robert,
Pierre-Olivier et Jean-Victor, ses cinq petits enfants,
Profondément touchés des marques
de sympathie et d'amitié que vous leur avez témoignées lors du décès de
-
- Monsieur Marius AUTRAN
- Vous prient de trouver ici
l'expression de leurs très sincères remerciements.
-
- Mais Marius AUTRAN ne
disparaîtra pas tout à fait. Homme d'honneur et de devoir, c'était
aussi un grand érudit et il a beaucoup Åìuvré pour diffuser le savoir
et sauvegarder un patrimoine culturel fait de ses propres souvenirs.
Tout cet héritage lui survivra et sera une source de connaissances pour
tous ceux qui seront amenés à effectuer des recherches sur l'histoire
de la Seyne sur Mer.
- Ses leçons, nous ne les
oublierons pas. Son histoire, nous la raconterons, et nul doute qu'elle
sera citée en exemple.
Jean-Claude Autran
Que tous ceux et celles (dont les noms suivent) qui sont venus
nous apporter leur réconfort par leur présence aux
obsèques ou la signature du livre des condoléances :
membres de la famille, délégation du Conseil Municipal,
associations, anciens élèves, amis, voisins,
internautes, etc., que nous n'avons peut-être pas tous pu
identifier, soient une nouvelle fois remerciés très
sincèrement.
Associations et organismes
officiels
- Monsieur le Maire et le
Conseil Municipal
- La Philharmonique La
Seynoise
- La Société Nautique de la
Petite Mer (SNPM)
- L'Amicale des Anciens Élèves
de l'École et du Collège Martini (AAEECM)
- L'Association pour le
Maintien des Intérêts des Anciens de la Navale (AMIANS)
- L'Association pour
l'Histoire et le Patrimoine Seynois (HPS)
- L'Association Les Relais de
la Mémoire
- Les Amis de La Seyne
Ancienne et Moderne
- La Société des Sciences
Naturelles et d'Archéologie de Toulon et du Var (SSNATV)
- Le Souvenir Français
|
Famille
- AUTRAN Gabrielle, Jean-Luc
et Marie-José
- BAGLIOTTO Denis et Claudine
- BAGLIOTTO Paulette
- BONNARDEL Corine, Luc et
leurs enfants
- CAVERNI Monique
- GANZIN Henri et Annick
- HERVIEU Renée et Jean-Claude
- LOTTO Michèle et Gérard et
leurs enfants
|
- MARRO Eric et famille
- MARRO Gilbert et Rosette
- MASSOL Geneviève
- MASSOL Gérard
- MEUNIER Odette
- MEUNIER Roland et ses enfants
- MORELLI Louis, Mme et leurs
enfants
- TAXI Mireille et Claude
|
Anciens élèves de
Marius AUTRAN
- AYME Giney
- BACCHI Jean-Pierre
- BALANÇA Pierre
- BALMATTO
- BARDES Pierre
- BERBEYER Jean
- BERBUDEAU Christiane
- BERBUDEAU-ADALID Colette
- BERNE Daniel
- BORGNA Jean-Louis
- BRESSAN Marc
- BROUSSARD-FORTI Christiane
- DENIS Jacques
- EICHAKER Jean-Yves (Dr)
- ERUTTI Jean et Madame
- FALUGI Jean-Marie
- FRANCESCHINI Robert
- GATUMEL Raymond et Jacky
- GILOUX Jean et Madame
- GIOVANNETTI Henri et Janine
|
- GIOVANNINI Lucien
- GIRARD Georges et Francine
- GIRARD Marie-Claude
- GIRAULT Jacques et Danielle
- GRISOUL Michel et Isabelle
- HAVARD Jean-Jacques
- HAVARD Michel
- HONNORÉ René
- HUIART Alain
- IMPERIALE Louis
- ISNARD M.
- JAUFFRET Gabriel
- JAUFFRET Lucien
- JOUCLA Jean
- LEYRET Robert
- LIVACHE Gérard
- MALCOR Serge et Eliane
- MATTIOLI Jean-Marie et
Rose-Marie
- MELGAZZA Marcel
- MERLE Maurice
|
- MERLE Michel
- MERLE René
- MOLINARI Roger
- MORELLI Louis
- NORE Louis
- ODIARDO Joël
- PASQUINI Ange
- PINSON Joël
- PLANEL Maryse
- PROVOST Daniel
- RAVOUX Michel et Françoise
- ROBBIANO Jean-Claude
- SANTANIELLO Joseph
- SAUVAIRE Marcel
- SIGALLON Claude
- TASSELLI Daniel et Lucien
- THOMAS Olivier
- TISOT Henri
- VIDAL Louis
- VILLECROZE Roger
- VILLEDIEU Georges
|
Amis, camarades, voisins,
internautes
- ABBONA Paul et famille
- AGUADO Richard
- ANIKINE-DUCHER Marie-France
- ARESE Jean, Jacqueline et
Serge
- ARGIOLAS (M. et Mme)
- ARMANDO Christian et famille
- ARMANDO Marie
- ARNAUD Alphonse
- BALLATORE Jacques (Dr) et Mme
- BASCHIERI Georges
- BATTAJON Francis et famille
- BÉRENGER Rogette et ses
enfants
- BERTOLOTTO Antoine et Madame
- BERTOLOTTO Barthélemy
- BERTOLOTTO Marc et Madame
- BERTRAND Nathalie
- BLAISSE Annie et Jacques
- BLANC André et Madame
- BLANC Jean-Paul et Jacky
- BOUANICH Eric
- BROUDEUR Christiane et
Jean-Charles
- BROUDEUR Pierre et Madame
- CABRAS Louis et famille
- CAMINADE Madeleine
- CANAL Jacqueline
- CATTANEO-CHEVAILLIER Annie
- CAVALLO Marc
- CESANA, GUISEPPI et MORELLO
(famille)
- CESANA Jean-Jacques et
Michèle
- CESANA-GIUSEPPI (famille)
- CIAMPI Josiane et Christian
- CIRIO Louis et Madame
- COGORDAN Jean et famille
- CONAN Armand
- CONTENT Claude
- CORNELOUP Michel
- CYRULNIK Boris et Florence
- DALLEST J.-C.
- DE MARCH Danielle
- DE ROVERE Coco
- DE ROVÈRE Lida
- DEL BUONO Antoine et famille
- DELAIRE Gaston et famille
- DELUY Sylvie
- DIFRAYA Jean-Claude, Alain
et Roger
- DON Marius et sa famille
- DUCHER Bernard et famille
- ERA Jean-Pierre (Président
AMIANS)
- ERUTTI Jean et famille
- FERNANDEZ DIEGO (famille)
- FERRAT Patrick
- FERRERO Simone
- FERRI Marcel
- FILLON Nicole
- FIOL Michèle
- FOURNIER Georges et Madame
- FOURNIER Jean
|
- FRONTEAU Gilles
- GANDOLFO Paule et famille
- GARABELLO (famille)
- GARABETIAN Gaby
- GASTAL (famille)
- GAY Raymond
- GENTA-CAMOIN Annie
- GÉRIN Elia
- GERMONI Antoine, Robert et
Louis
- GILMEZ Andrée
- GILOUX Paule
- GIORDANO Hélène
- GIRAUD Claude et Simone
- GIRAUDO Jean-Marc
- GIRAUDO-HUOT (famille)
- GOMBERT Noël et Françoise
- GRIMAUD Claude et ses fils
- GRIMAUD Joseph (famille de)
- GRIMAUD René et son fils
- GUIGOU (famille)
- GUIOL Raoul et famille
- GUITTAT Gabriel
- GUITTAT Jean et Madame
- HEURTAULD Roger
- ISNARD Augustin et famille
- JAKUBEK Franck
- JAUFFRED Jean-Claude
- JOUVHOMME Raymond
- LAFUY-TELLE (famille)
- LAIGNELET Thérèse et Bernard
- LANATA Robert et ABBONA
Nicole
- LASSERRE Thérèse-Marie
- LAZREG Mohamed
- LE GALLO Yolande
- LIEUTAUD André et Renée
- LIVACHE Jean
- LULLIEN-PELLERIN Valérie
- LUMINET Francisque et
Danielle
- LUPERINI Maurice
- MALLET Annie
- MARTIN Marie
- MARTINENQ Patrick et famille
- Marylou
- MASCHERPA Jean et Elisabeth
- MASONI Albert
- MILANÈSE Marcel et Madame
- MINETTI Jean-Pierre et
famille
- MIRABEAU (famille)
- MIRABEAU (famille)
- MORÈRE Michel
- MOUNIN Lucien
- NAVETTI (famille)
- NOVELLI Pierre et Madame
- OBINO Elise
- ORTIGUE Denise
- OUSTRIÈRES Bernard, DIMO
Monique et famille
- OUSTRIÈRES Maurice
|
- PADOVANI Jacqueline et sa
fille Mireille
- PAGANELLI-ARGIOLAS (famille)
- PARENA (famille)
- PASSAGLIA Jean et Annette
- PEDINIELLI Jacqueline
- PÉGUIN Jean-Claude (Dr),
Président SSNATV
- PEIRÉ José
- PEIRÉ Paul
- PELLISSIER Maurice et Jolanta
- PEREZ (famille)
- PERGOUX Rémy
- PERSICO Robert
- PESCE Jean
- PINCET Sylvette
- PINKAS M. et Madame
- POGGIO Barthélemy
- POLIDORI (famille)
- PONS Emilie
- POURRIERES Georges
- PRATALI Paul
- PROVOST Maryse
- PUCCINI (famille)
- PUJOL Robert
- RABARIN
- RAVEL Maurice
- RAVOUX (famille : Michel,
Françoise, Nadine, Lucienne)
- RAYMOND Claude
- REVERDITO Jean et famille
- REVERDITO René
- REVERTEGAT Jean
- REYNAUD G.
- RIVAS Claude
- RODRIGUEZ (M. et Mme, née
GRISOUL)
- ROMANELLO (familles)
- ROME Christiane et Georges
- SABATIER (famille)
- SADOWSKI Marie et famille
- SAMMARTINO (famille)
- SAMSON Marie-Françoise
- SANDRINI B. et le personnel
de la Bibliothèque Municipale
- SCARPELLINI Noël et sa
famille
- SÉGUÉLA Matthieu
- SICARD Jean et Madame
- SUPERCHI-FORAY Michèle
- TERNUS Hervé
- TILLÉ Jean
- TORDJMAN Michel
- TOURET Eliane et famille
- VELACCI Michèle et Baby
- VERRANDO Laure
- VIAZZO Jacques
- VILLOING Claude et Madame
- VINAI Monique et sa famille
- VINCENT Josette et son fils
- VORGEAT Evelyne
- WERTHEIM Georges
- ZINA Albert
|
Courriers et messages de
sympathie et d'amité
21 Janvier :
- Peu importe où j'irai après la
mort, car des deux côtés, j'ai des amis qui m'attendent ; Marius
marquera à jamais nos mémoires de seynois, il restera pour nous
toujours vivant.
- Soyez assurés de nos affectueuses
condoléances.
- MV
-
- Cher Jean-Claude Autran,
- je vous prie de recevoir mes
condoléances LES PLUS SINCÈRES, je suis très attristé par cette
nouvelle et vous engage à poursuivre le site en souvenir de votre père.
- GA
-
- Cher Jean-Claude, profondément
attristée par la mort de ton père, je t'assure de toute ma sympathie.
Si cela peut soulager ta peine, dis-toi bien que tu as manifestement
été sa joie et sa fierté, comme l'attestent les sites qu'il avait
ouverts. Et le fait d'être entouré par toi et ta famille a certainement
embelli ses dernières années. Je t'embrasse bien amicalement.
- CB
-
- Cher Jean-Claude,
- Nous te présentons nos plus
sincères condoléances, pour le décès de ton papa. On a beau se dire,
qu'il a eu une grande, et belle vie (la maman de J.C s'est éteinte à 97
ans!), le chagrin est là, quand même. Toutes nos affectueuses pensées à
toi, et à tous les tiens. Amitiés.
- CB
-
- La disparition de Marius Autran
m'attriste comme elle attriste sûrement beaucoup de ses anciens élèves.
- En vous demandant d'accepter mes
condoléances, je voudrais aussi rendre hommage à votre propre fidélité
à ses actions, et à votre piété (il n'aurait peut-être pas aimé le mot
!) filiale. Heureux homme qui a pu voir son fils prendre le relais
comme vous le faites.
- Que votre père repose en paix.
- PB
-
- Très touché par le décès de votre
papa que j'ai eu comme professeur au collège martini et au lycée
Beaussier, je tiens à vous présenter mes plus sincères condoléances
ainsi que toute mon admiration pour le travail réalisé par votre papa
sur la mémoire seynoise.
- GL
-
- Cher ami,
- Veuillez recevoir nos plus
sincères condoléances à l'occasion du décès de votre cher papa. Il lui
est arrivé la même chose qu'à ma belle-mère qui n'a survécu que
quelques jours à l'opération de sa fracture du col du fémur.
- Soyez courageux et comptez sur la
fraternité des internautes qui connaissaient par la Toile votre
famille.
- MP
-
- Veuillez accepter mes plus
sincères condoléances.
- C'était un professeur d'une
qualité qui n'a plus cours aujourd'hui.
- Très sincèrement vôtre.
- MP
-
- Bonjour,
- Je suis vraiment désolé et je vous
présente mes condoléances les plus sincères. C'est une belle vie qui
est partie.
- Cordialement.
- LN
-
- Je viens de prendre connaissance
de votre message m'informant du décès de votre père.
- J'en suis sincèrement attristé
puisque Mr Autran restait fortement présent dans ma mémoire d'ancien
élève du collège Martini.
- Il aura marqué de son savoir et de
sa personnalité beaucoup d'autres contemporains d'alors, et oeuvré pour
la connaissance de l'histoire de la Seyne au profit de tous.
- Je vous prie de bien vouloir
recevoir mes très sincères condoléances.
- Très cordialement.
- JB
-
- Mon cher Jean Claude,
- C'est avec beaucoup de peine que
je reçois cette triste nouvelle depuis Montréal où je réside une partie
de mon temps. J'ai déjà retransmis à Claude Sigallon cette information
et je n'ai pas pu encore avoir Georges Klimoff qui je suis sûr sera
comme moi très touché.
- Reçois mes sincères condoléances
et en tout cas même depuis le Nord de l'Amérique j'aurais lundi une
pensée pour vous.
- AP
-
- C'est avec beaucoup de tristesse
que nous apprenons le décès de ton Papa. Permets nous de vous présenter
à Toi et Ta famille nos sincères condoléances et nos regrets à la
disparition d'un personnage qui a su marquer l'histoire de La Seyne et
qui a lancé dans la vie active tant d'écoliers et de lycéens
reconnaissants.
- Sincères salutations
- JMM
-
- Cher collègue
- C'est avec tristesse que j'ai
appris le décès de ton Père.
- En dépit du temps qui me sépare de
l'époque où il a été mon professeur, je garde de lui le souvenir d'un
homme bon.
- Je suis de tout cœur avec toi
ainsi que toute ta famille.
- Avec toute mon amitié.
- JJ
-
- Sincèrement attristé par cette
nouvelle, je vous présente toutes mes condoléances, d'autant que je
m'étais connecté sur votre site hier au soir, après ne plus y être allé
depuis longtemps.
- RL
22 Janvier :
- C'est avec beaucoup de regrets que
j'apprends la triste nouvelle. Je vous adresse mes très sincères
condoléances. Votre père restera à jamais dans ma mémoire d'enfant, et
aussi dans celle de l'homme car je n'oublierai pas ses mots
réconfortants quand notre famille a traversé des moments difficiles.
- Je m'associe à votre douleur.
- JP
-
- Cher Jean-Claude,
- C'est avec une infinie tristesse
que j'ai appris ce matin par Serge le décès de celui qui fut, non
seulement le professeur inoubliable et porteur de valeurs vraies, mais
aussi et surtout le dépositaire de la mémoire seynoise si riche dans sa
pluralité. Un homme s'en va... Un Père, un père spirituel, un bel
exemple pour nous tous qui restons. Que soit honorée et perpétuée sa
mémoire. Francine se joint à moi pour te présenter nos plus sincères
condoléances et t'assurer de toute notre sympathie, au sens littéral du
terme, s'entend... Mardi, je ne pourrai, hélas, être présent pour
saluer une dernière fois Monsieur Autran... Mon état actuel m'empêche
encore tout déplacement en voiture et la station debout ne m'est pas
recommandée. Par la pensée nous serons à tes côtés.
- GG
-
- Bonjour Jean-Claude,
- Je viens d'apprendre le décès de
votre père par votre mail d'hier matin.
- J'en suis ému et je vous
transmets, ainsi qu'à vos proches affectés, mes très sincères
condoléances.
- Avec la disparition de Marius
Autran, le moins que l'on puisse affirmer est qu'une figure
exceptionnelle de La Seyne s'éteint.
- Votre père a été mon professeur
lorsque j'étais en sixième 2 pendant l'année scolaire 1959-1960,
l'année de l'inauguration du lycée Beaussier. Toussaint Merle faisait
partie de l'équipe des professeurs de cette classe. Tous deux menaient
de pair leur activité professionnelle (de qualité, j'en témoigne) et un
intense travail politique au service de la ville et de ses habitants.
- Je les ai côtoyés quelques années
plus tard lorsque j'ai été adhérent puis responsable du Parti
Communiste Français à La Seyne où j'ai été l'un des secrétaires de
Section avant que de créer celle de Six-Fours.
- De plus, je ne sais si vous vous
en souvenez, ma famille habitait à l'époque l'immeuble situé en face le
vôtre. J'étais enfant (l'un des deux jumeaux) et souvent ma mère
évoquait la situation difficile sur le plan politique. J'ai des
souvenirs des évènements dans lesquels votre père et ses camarades ont
été impliqués. Je me souviens notamment d'une descente armée des CRS
lors d'importantes grèves des chantiers dans les années 1955-1957. J'ai
aussi très souvent entendu votre père évoquer la situation qui lui
(leur avec Toussaint) était faite par l'Administration et les
adversaires de tous poils tant sur le plan professionnel que politique.
- Bien plus tard, dans les années
1990, avec sa gentillesse et sa disponibilité coutumières il aida ma
fille à travailler un sujet consacré au choléra à La Seyne.
- Enfin, je me souviens de ses
remontées en vélo sur le boulevard ponctuées de très nombreux arrêts
tant il connaissait de personnes et n'était pas avare de paroles ! !
- Malheureusement, Marius n'aura pas
l'occasion de vivre la commémoration du 350è anniversaire de la
création de la ville. Mais l'oeuvre écrite par ses soins restera l'une
des références majeures et particulièrement l'approche et les
explications qu'il offrait de la situation sociale et d'un monde
ouvrier encore debout. Le travail indispensable que vous réalisez avec
le site internet amplifie incontestablement ce corpus. Il sert de
relais entre un vécu en voie d'extinction, les souvenirs diffus de
quelques indiens et une autre Seyne à la mémoire sélective oublieuse de
ce qu'elle a été, grande dans sa dimension sociale.
- Je suis très triste et je vous
assure de mon affectueux soutien.
- JD
-
- ADIEU MONSIEUR LE PROFESSEUR.....
ET MERCI
- HG
-
- Bonjour,
- Fils de Philippe Giovannini,
ancien maire de La Seyne, aux côtés de qui, votre père a fait un long
morceau de route au service de notre ville, je vous adresse ainsi qu'à
tous les proches, mes sincères condoléances, je me permettrai d'ajouter
affectueuses, vu la grande amitié qui les liait tous deux, et l'estime
que je lui portais, ayant été entre autre un de ses élèves, de sa
première classe de sixième à Martini.
- Son souvenir restera dans nos
mémoires, comme un homme de convictions.
- Bien cordialement et courage.
- LG
-
- Je suis actuellement au Japon mais
je ne manquerais pas de faire part de cette mauvaise nouvelle a mon
père et vous présente au nom de toute la famille Tasselli nos plus
sincères condoléances
- DL
-
- Cher ami,
- M. Pellissier vient de m'annoncer
la nouvelle pour votre papa. Croyez bien que je suis de tout coeur avec
vous ; acceptez donc toutes mes condoléances.
- Amicalement
- GF
-
- A sauvé du peloton d'exécution mon
Père (à Compiègne)
- CR
-
- Un grand homme nous quitte. J'ai
été honorée de faire sa connaissance ces derniers temps. Recevez toutes
mes condoléances.
- SD
23 Janvier :
- Cher Mr Autran,
- J'ai appris dès dimanche le décès
de votre père, mais une grippe m'a empêché de vous écrire plus tôt et
malheureusement d'assister à la cérémonie qui a eu lieu au cimetière
mercredi.
- J'ai beaucoup de peine pour vous
qui admiriez tant votre père (tout dans votre site internet montre le
grand hommage que vous lui rendez et la grande reconnaissance que vous
avez pour lui, pour ce qu'il vous a apporté) et je désirerais vous
transmettre la sympathie la plus chaleureuse, sans oublier vos proches
qui doivent eux-mêmes être très affectés.
- Mais je crois que, grâce à vous, à
vos efforts, aux livres qu'il a écrits, votre père continuera à nous
apporter beaucoup, à nous servir de référence, Marius Autran fera
toujours partie de nous. Je vous embrasse.
- MF
-
- Cher Jean-Claude,
- J'avais été heureuse de te voir en
novembre au Colloque sur le Patrimoine et à ce moment-là les souvenirs
de tes parents et de toi sont revenus nombreux : la période Toussaint
Merle, le Bd Staline, les luttes politiques, etc… Avec le décès de ton
père, re repense à son énergie à faire revivre le passé de La Seyne
(qui a 350 ans cette année), à tous les livres qu'il a écrits avec
passion, à ses conversations avec Pierre.
- Les années passent. Je suis
contente que tu sois revenue à la ville de ton enfance et dans cette
période douloureuse qui est la tienne en ce moment, je te prie de
croire à toute ma sympathie.
- Amicalement à toi.
- MC
-
- Cher Jean-Claude,
- Je tiens tout particulièrement à
t'adresser tes condoléances suite au décès de ton père. Je garderai de
lui le souvenir de sa vivacité d'esprit et de sa combativité que nous
avions perçue l'été 2003 lors de notre visite, mon épouse Marianne et
moi.
- (…) En renouvelant mes sentiments
solidaires et amicaux.
- RP
-
- Chers amis,
- Mon mari se joint à moi pour vous
présenter à vous et à votre famille nos plus sincères condoléances pour
la perte de votre père.
- C'est une grande figure de La
Seyne qui s'en va et il va manquer à beaucoup de monde.
- Sincères amitiés.
- MSF
-
- Cher Jean-Claude
- C'est avec une grande tristesse
que j'ai appris le décès de votre papa dont j'ai beaucoup entendu
parler avec estime et affection par mes parents lorsque j'étais enfant
et adolescente.
- Je sais, hélas, combien ces
moments sont douloureux et je vous présente, ainsi qu'à tous les
vôtres, mes sincères condoléances.
- AGC
-
- Docteur PB et Madame
- Vous adressent leurs sincères
condoléances à la disparition de leur vieux camarade et ami Marius.
- Amicalement
- PB
-
- J'ai bien reçu le message et vous
transmettrez mes condoléances à son fils. Malheureusement je suis
actuellement à Paris et je ne pourrai donc pas assister à la cérémonie.
- MM
-
- Merci de votre mot (triste) :
j'allais vous envoyer un mail ayant appris par le journal le départ de
votre père : je pense au proverbe africain : "quand un homme meurt,
c'est une bibliothèque qui part..." ; je n'ai qu'un mot pour le
qualifier (que l'on a employé pour ceux qui ont aidé les juifs) : le
mot "JUSTE" accolé à celui de "SAGE"... Sa mémoire est à jamais en
nous, SEYNOIS d'un "certain âge"... Son exemple à suivre à l'heure où
le monde est de moins en moins "sage" !... Toutes mes sincères
condoléances...
- JYE
-
- Nous sommes de tout coeur avec toi
et ta famille dans ces instants douloureux.
- Je pense que ton papa comme le
mien a quand même savouré longuement les bonheurs de la vie.
- Je sais ce n'est pas une
consolation, on voudrait les garder encore et encore.
- Nous vous embrassons
affectueusement.
- CR
-
- Monsieur.
- Je viens d'apprendre la
disparition de Monsieur Marius Autran, votre père ; je veux m'associer
à tous ceux qui prennent part à votre peine, car c'était un grand
Monsieur.
- En ces moments difficiles, je
tenais à vous adresser mes sincères condoléances.
- RP
-
- Peinés par la disparition de M.
Autran, vous présentent leurs sincères condoléances.
- C'était un homme cultivé et plein
d'humour mais aussi un écrivain et un conteur hors pair.
- Ils garderont le souvenir d'un
homme charmant qu'ils aimaient beaucoup.
- JPB
-
- Chers vous tous,
- Sincères condoléances et de tout
cœur avec vous, pour la perte cruelle de Papy.
- J'ai bien de peine.
Malheureusement, avec l'âge et sa chute. Sa vie n'a pas été bien
facile. Il vous faut surtout du courage. C'est un moment très dur.
- Je vous embrasse tous très
affectueusement.
- GA
-
- Monsieur Jean-Claude Autran,
- C'est avec tristesse que j'ai
appris le décès de Monsieur Marius Autran, dont je possède tous les
livres qu'il a publiés sur l'histoire de « La Seyne d'antan ».
- Je tiens à vous exprimer, ainsi
qu'à tous ses proches, toutes nos plus sincères condoléances.
- MC
-
- De tout cœur avec vous dans ces
épreuves cruelles que vous traversez.
- Nous sommes peinés, nous vous
adressons nos bien sincères condoléances.
- Nous garderons le souvenir de M.
Autran que nous avons servi et connu durant de longues années.
- JE
-
- Marius Autran était un ami de la
Navale de La Seyne.
- Devant ce deuil qui vous frappe,
nous vous présentons nos sincères condoléances
- Cordialement
- JPE
-
- Monsieur,
- Je vous prie d'agréer nos très
sincères condoléances pour le décès de votre père, qui a été sûrement
le meilleur instituteur que j'ai eu.
- Je regrette beaucoup de ne pas
avoir été là pour ses obsèques.
- Veuillez agréer, Monsieur,
l'expression de mes meilleurs sentiments.
- MS
-
- Bien chers amis,
- C'est avec tristesse que nous
apprenons les deux décès qui vous frappent de façon aussi rapprochée.
Nous comprenons que votre peine doit être grande, car même si la raison
nous fait penser que la mort est inéluctable pour les êtres qui nous
sont chers, le cœur est touché profondément. Nous participons donc en
pensées affectueuses à votre peine. Nous souhaitons que cette année se
poursuive plus sereinement, dans la paix et l'amour de tous vos enfants.
- Avec Bernard, nous vous embrassons.
- TL
-
- Monsieur Autran n'est plus, mais
son souvenir et tous ses livres nous restent.
- Madame Veuve LDR et toute sa
famille, vous adressent, ainsi qu'à tous vos proches, leurs plus
sincères condoléances.
- LDR
- « L'Homme domine le Temps
- Le Temps est incontournable » Kant
- Très Cher Ami,
- Il est toujours difficile de
s'exprimer devant la mort.
- C'est avec tristesse, avec peine,
avec désespoir, que l'on voit disparaître un des siens, surtout lorsque
c'est son Père, son Papa.
- Avec votre Père, c'est « une
bibliothèque qui disparaît ».
- Mon cœur est à La Seyne, j'ai
toujours suivi ses travaux, son dévouement.
- Voilà 46 ans que mon père est
mort, c'est comme si c'était hier. Je n'ai que des souvenirs, des
souvenirs d'après-guerre à l'Ecole François Durand puis au Collège
Martini. Mon passage au Lycée de Toulon ne me laisse que peu de
souvenirs.
- Instituteurs Publics, ce sont ces
Hommes qui nous ont inculqué cet esprit de Liberté, de Justice,
l'esprit Républicain, Laïque.
- Le souvenir de votre Père restera
toujours gravé en nos mémoires. Vous faites vivre votre père au travers
des âges : ses ouvrages, votre site internet… Un Grand Homme vient de
disparaître.
- Je me sens très proche de vous,
dans votre chagrin, je suis à vos côtés.
- Accolades très fraternelles
- LJ
-
- Le Président, le Bureau, le
Conseil d'Administration du Comité de La Seyne-sur-Mer du Souvenir
Français
- Très émus par le Deuil cruel qui
vous frappe en la personne de notre ami Marius, votre Père, grand-Père
et arrière Grand-Père, s'associent à votre peine et vous présentent
leurs condoléances attristées.
- Je garderai toujours le souvenir
de celui qui m'a toujours aidé pour la recherche des noms des enfants
seynois qui sont Morts pour la France.
- Je vous transmets à toute la
famille, mes très sincères amitiés.
- RH
-
- Tous les membres du Conseil
d'Administration [de la Société des Sciences Naturelles et
d'Archéologie de Toulon et du Var] se joignent à moi pour assurer toute
notre famille de notre extrême tristesse et compassion à l'occasion de
ce douloureux décès qui vous affecte.
- JCP
23 Janvier : Messages
accompagnant les gerbes et bouquets de fleurs
-
- Monsieur le Maire et le Conseil
Municipal.
-
-
- Sincères condoléances de l'Amicale
des Anciens Elèves de l'Ecole et du Collège Martini (AAEECM)
- AI
-
-
- De tout cœur avec vous, toute
notre affection et nos sincères condoléances
- OM, RM, ML, GL
-
-
- Profondément peinés par la
disparition de Marius, votre cher Papa et Grand-Père, vous présentent
leurs sincères condoléances et vous assurent de leur sympathie et de
leur affection.
- GM, RM, CB, EM, LM, leurs
conjoints et enfants
-
-
- Le Président et les Membres du
Conseil d'Administration
- Les Musiciens de LA SEYNOISE
- S'associent à votre douleur et
vous prient d'accepter leurs sincères condoléances pour la perte
cruelle que vous venez de subir.
- Les Membres de la Philharmonique «
La Seynoise », attristés, ne pourront oublier tout ce que Marius a fait
pour cette « vieille dame » qu'il aimait tant et dont il était un
fervent admirateur et défenseur
- Grâce à ses écrits, ils ne
pourront perdre la mémoire.
- JA
-
-
- Je vous présente mes condoléances
au nom de l'Amicale des Vétérans du Parti Communiste pour ce qu'il a
réalisé en tant qu'adjoint communiste de la Municipalité de La Seyne et
en tant qu'ancien Conseiller pédagogique à La Seyne de 1968 à 76 où
j'ai pu apprécier son action en faveur de l'école laïque. Merci à vous.
- AC, avec la participation de DDM
et de JV
-
-
- Avec toute notre sympathie
attristée
- CB et JCB
-
-
- Sincères condoléances.
- JC et CC
-
24 Janvier :
- Je viens d' apprendre avec
tristesse le décès de Mr Autran. J'ai été son élève en 6ème à Martini
année 50-51 .
- Je consulte souvent son site qui
est une mine d'or pour un natif de la Seyne comme moi.
- Je vous présente mes condoléances
les plus sincères.
- PB
-
- Bonjour Jean-Claude,
- Michel m'a fait suivre ton message.
- Je suis très peiné d'apprendre la
disparition de ton papa.
- En ces tristes et douloureuses
circonstances permets-moi de t'adresser ainsi qu'à toute ta famille mes
très sincères condoléances.
- Avec ma profonde sympathie et
toute mon amitié.
- JJH
-
- Ma famille se joint à vous, dans
cette douloureuse épreuve, pour partager votre peine et vous présente
ses plus sincères condoléances.
- MM
-
- Je m'appelle RF.
- Nous avons été dans la même classe
de Mathématiques Elémentaires en 1961-1962.
- J'ai découvert ton site et celui
de ton père.
- Très intéressants.
- Aujourd'hui j'ai assisté à
l'hommage rendu à ton père lors de ses obsèques au cimetière de La
Seyne.
- Je dois te dire que je l'ai eu
comme professeur dans les années 1955-1957.
- Un homme que j'appréciai
particulièrement.
- Les années sont passées, mais je
ne l'ai pas oublié.
- Longue vie et beaucoup de santé.
- RF
-
- Bonsoir Jean Claude et Yolande,
- Pour avoir connu cette situation
les mots sont bien bien inutiles. Serge m'a raconté qu'un hommage très
émouvant à eu lieu cet après-midi.
- Un petit mot tout spécial pour
Yolande les affectueuses pensées d'Aïcha, c'était un grand Monsieur,
elle aura certainement l'occasion d'en discuter, et de toute façon
pratiquement toutes les personnes présentent ce soir-là le
connaissaient.
- Encore une fois les mots sont
biens difficile, je vous souhaite beaucoup de courage et surtout
Yolande qui a également des soucis avec sa Maman.
- Amicalement.
- EM
-
- Bonsoir
- Je viens d'apprendre le décès de
Monsieur Marius Autran.
- Je vous présente mes plus sincères
condoléances. C'est un grand homme qui disparaît.
- AM
-
- À toi et à ta famille, nos plus
sincères condoléances. Quel que soit l'âge, c'est toujours une peine de
perdre un être cher. Ton père s'était rendu à un bel âge, toujours
lucide, actif intellectuellement, pas trop handicapé par des ennuis de
santé et il aura eu la joie de vous voir revenir à La Seyne.
- Je pense à vous en cette journée
de funérailles.
- MC
-
- Nous nous inclinons devant ce
maître à penser, cet homme dominant dans tous les secteurs où il s'est
engagé, toujours avec succès, et ce Père qui a su partager la réussite
familiale.
- Veuillez accepter nos condoléances
attristées et nos amicales pensées.
- RG
-
- Chers cousins,
- C'est avec une profonde tristesse
que nous avons appris la disparition de Marius.
- Bien sûr, le grand âge était là,
mais avec son caractère bien trempé et son intellect toujours «
d'aplomb » il nous donnait la vision d'une personne vieillissant bien.
- Nous pensons bien à vous et
surtout à Jean-Claude : il est difficile de se séparer d'un père et on
voudrait toujours reculer le moment fatal… hélas nous ne décidons pas
du moment !
- Recevez nos affectueuses pensées.
Nous vous embrassons
- RH et JCH
-
- Chers cousins,
- Très peinés de n'avoir pu, au
dernier moment, assister aux obsèques du plus âgé des cousins, nous
vous présentons nos sincères condoléances.
- Nous voilà maintenant basculés au
rang des aînés !…
- Mais des anciens comme eux,
dynamiques, pleins d'humours et de projets, qui aimaient la vie ?
- Affectueuses pensées.
- MT et CT
-
- Bien chers vous tous,
- Nous avons appris avec beaucoup de
tristesse le décès de Marius.
- Un de plus, serions-nous tentés de
dire, hélas c'est la vie qui tourne.
- Malheureusement, vu la distance,
le temps et l'annonce de son départ, nous n'avons pu être à vos côtés
le jour des obsèques.
- Nous pensons bien à vous et à vos
anciens dans ces moments d peine et de douleur !
- Grosses bises à vous tous.
- HG et AG
25 Janvier 2007
[C'est au matin de ce jour, au lendemain des obsèques
de Marius AUTRAN, qu'une seconde disparition frappe la famille en la
personne de Madame Georgette MASSOL, mère de Yolande AUTRAN,
belle-mère de Jean-Claude AUTRAN]
- Monsieur AUTRAN
- Monsieur, j'ai appris avec
tristesse le décès de votre père,
- je vous prie d'accepter mes
sincères condoléances ainsi que celles de mon père .
- SALUTATIONS
- VS
-
- Bonsoir,
- Je suis vraiment désolé pour votre
père, ma mère et moi nous vous présentons nos condoléances.
- Effectivement, mon père est
décédé, il y a maintenant plus de trois ans. Je serai toujours très
reconnaissant à votre père de lui avoir fait une place dans les
mémoires de la ville pour son action à l'école de plein air, et pour
son engagement au sein du CSMS.
- Personnellement, je me souviens
encore de votre père comme Professeur.
- Avec toute ma sympathie.
- AH
26 Janvier :
- Je partage votre peine en ce
moment de douleur et vous prie de bien vouloir accepter mes très vives
et sincères condoléances à vous et à votre famille.
- OT
-
- Chers Yolande et Jean-Claude,
- Nous venons d'apprendre les décès
de vos parents respectifs et nous prenons part à votre douleur.
- Nous vous prions de recevoir nos
plus sincères condoléances et l'expression de notre profonde sympathie.
- MFS et vos anciens collègues de
Montpellier
-
- Bonjour Yolande et Jean-Claude,
- C'est avec tristesse que je viens
de prendre connaissance des décès de vos parents.
- Dans ces moments de douleur, je
tiens à vos exprimer ma sincère compassion.
- Bien amicalement.
- RP
-
- Bonjour JC
- J'ai appris la profonde douleur
qui doit être la vôtre en de pareils moments. Je vous envoie toute mon
amitié.
- VLP
-
- Mon cher Jean-Claude,
- J'apprends par la presse le décès
de ton père. J'imagine ta peine et le vide que laisse la perte d'un tel
père.
- Heureusement, tu pourras retrouver
à tout instant toutes ses créations, ses livres et continuer à faire
vivre le site Internet qu'il avait créé, démontrant ainsi ses capacités
à s'adapter aux nouvelles technologies malgré son grand âge.
- Je regrette de n'avoir pu assister
à ses obsèques ayant été averti trop tard.
- Elisabeth se joint à moi pour te
présenter, ainsi qu'à ta famille, nos sincères condoléances.
- Amitiés.
- JM
27 Janvier :
- Mr
- Je me permets de vous envoyer ce
mail, car j'ai découvert le site de votre papa aux alentours du 15
Janvier 2007 tout à fait par hasard à un moment où je recherchais sur
un coup de nostalgie d 'éventuels documents relatifs à une colonie de
vacances où j'allais dans ma jeunesse avec à la ville de la Seyne sur
mer ! Et en me reconnectant ces jours-ci sur le site de votre papa,
j'apprends son décès datant du 20 Janvier cette nouvelle m'a touché car
je tenais à saluer son travail qui constitue une véritable mine d'or !,
j'ai redécouvert avec plaisir l'histoire et les photos de la
construction de l'école Toussaint Merle que j'ai fréquentée de 1971 à
1976 mais surtout une photo du château de la Motte les bains, où
j'allais tous les été à partir de 1974 ! et qui représente beaucoup
dans mes souvenirs de jeunesse !
- Un grand Merci encore ! et
permettez-moi de vous présenter toutes mes condoléances
- Mon nom EB, je suis ingénieur du
son et gérant d'un studio d'enregistrement audiovisuel à Paris et
Marseille .
- EB
-
- Cher camarade, lorsque j'ai envoyé
mon contact par Email ce matin, je n'avais pas vu la page d'accueil du
site sur laquelle j'ai appris le deuil très récent qui est survenu,
c'est pourquoi par ce petit Email complémentaire, je voudrais juste
dire que les mots ne sont JAMAIS suffisants pour compenser le départ
d'un être cher, et que si cela était possible, par la pensée,
j'aimerais vous soulager d'une partie de cette peine.
- Amicalement, et bravo encore pour
la qualité du site, qui lui, va permettre de prolonger encore un grand
moment sa présence !
- MC
-
29 Janvier :
-
- Bonjour Jean-Claude et Yolande
- Thérèse m'a fait part du décès de
vos proches parents. Je pense fortement à vous ainsi qu'à vos enfants,
partage votre peine et vous souhaite beaucoup de courage pour surmonter
cette double séparation si douloureuse.
- TML
31 Janvier :
- Cher Monsieur,
- J'apprends à l'instant le décès de
votre Père à l'âge de 96 ans.
- Il a atteint un bel âge et peut
maintenant reposer en paix.
- Je vous présente ainsi qu'à vos
proches, toute ma sympathie
- Nous lui serons, tous,
éternellement reconnaissants pour la richesse de l'immense travail de
mémoire, sur l'histoire de sa région, qu'il nous laisse.
- J'ai toujours l'impression qu'avec
la disparition d'un ancien, avec toutes les connaissances accumulées au
cours de sa vie, qui plus est, s'il est historien, est une perte pour
l'humanité.
- Qui sait, peut être qu'un jour
viendra ou il sera possible de sauvegarder la mémoire.
- Bien cordialement,
- PF (Ile Maurice)
-
- Originaire de La Seyne, je réside
actuellement en Franche-Comté. Je visite souvent votre site qui est
d'un grand intérêt. C'est avec émotion que j'y ai appris le décès de
votre père que j'ai eu comme professeur au collège Martini au milieu
des années 50 et que j'avais revu un jour qu'il était venu avec
d'autres personnes rendre visite à Mr Louis Baudouin qui habitait chez
mes parents. C'est une grande figure de La Seyne qui disparaît. Je me
permets de vous adresser mes sincères condoléances. Adieu monsieur le
professeur.
- JCR
1er-15 Février
:
- J'apprends aujourd'hui le décès de
votre père pour lequel j'avais une grande estime. Je voudrais vous
faire part de toute ma sympathie pour cette douloureuse épreuve.
- JLB
-
- C'est avec beaucoup de tristesse
que j'ai appris le décès de votre père.
- C'était un ami de mon père et un
de mes plus chers professeurs, ayant été son élève en 1945-1946.
- Je me joins à votre peine et vous
adresse mes plus sincères condoléances.
- RM
-
- Bonsoir Mr Autran,
- J'ai eu le grand plaisir de
recevoir aujourd'hui un mail de Mr Pellissier de Pologne avec lequel
vous avez eu de nombreux échanges de courrier ; mais il m'a appris la
disparition de votre papa et d'après le contenu de vos courriers j'ai
compris le très grand attachement qui vous liait à votre Père; je me
permets donc de vous adresser mes très sincères condoléances ; pour
être passé par cet évènement, je sais que lorsque l'on perd un être
cher et quel que soit son âge, la réalité de sa disparition ne se
révèle qu'avec le temps qui passe ; heureusement que pour apaiser cette
souffrance, il nous reste les souvenirs qui perpétuent les moments de
complicité passés avec nos parents et c'est le seul moyen de continuer
à les faire vivre...
- Bon courage
- Cordialement
- MT
-
- Mon cher Jean-Claude,
- Je n'ai pas besoin de te dire que
La Provence a perdu un enfant du pays. Marius Autran fait (c'est bien
un présent intemporel que j'emploie) partie de ces géants, de ces
piliers inébranlables qui supportent l'échafaudage de l'histoire
collective de toute une ville. Le professeur Autran a tout fait pour
projeter La Seyne au niveau de la planète. Avec ses notes, ses livres,
ses souvenirs et l'affection de ses nombreux élèves, il a su
communiquer aux générations d'écoliers cette passion exquise pour la
petite histoire (et la grande aussi), pour les sciences naturelles, et
pour l'amour de son pays. Son idée de mettre son savoir et sa mémoire
sur internet a été simplement géniale. Ton père avait compris qu'à côté
de l'histoire officielle, il y avait aussi "l'autre", celle qui
concerne les petites gens, les faits de tous les jours, les élèves
qu'il a formés avec tant de dévotion et de dévouement. C'est l'histoire
des FCM ou des CNIM, de l'école Martini et François Durand, de la
Mairie ou de Berthe, du Bois Sacré ou du Lycée Curie. Pour Marius,
l'enseignement n'était point un métier mais bel et bien un apostolat.
Je suis sûr qu'il doit être aujourd'hui au paradis des Seynois où il a
retrouvé ses vieux copains d'antan, Toussaint Merle, Étienne
Jouvenceau, Madeleine Ravézié parmi tant d'autres. Le legs de M. Autran
à sa ville est immense, j'espère que les Seynois sauront l'apprécier,
l'enrichir et le sauvegarder.
- Toutes mes sincères et profondes
condoléances, bien amicalement,
- LI (Professor of Romance
Languages, University of Missouri-Kansas City, USA)
-
- Bonsoir Claudet et Yolande (ainsi
que les "petits")
- Je suis désolée d'avoir été
absente lors des deuils qui vous ont frappés ; même si on s'y attend,
c'est toujours un traumatisme pour le famille. Je profite de ce mel
pour vous dire que je pense beaucoup à vous dans ces moments si
douloureux ; si vous avez besoin, appelez, je suis encore là (jusqu'au
21 Février, je repars à Plaisir m'occuper des petits enfants).
- Yolande, je sais ce que c'est de
perdre sa mère pour une fille, toute une complicité de tant d'années
qui se retrouve à néant ; j'espère que tu arriveras à reprendre le
dessus, car malgré tout, dans ces moments difficiles, les enfants et
mari comptent sur la présence féminine pour retrouver un équilibre et
c'est assez dur ; essaie d'être forte.
- Claudet, j'ai énormément d'images
qui me viennent à l'esprit en pensant à Marius, et pendant mon séjour à
Plaisir, j'en parlais à Karine. Des images lointaines et plus récentes.
Les lointaines, tu les connais car grâce à nos pères nous sommes
instruits de pas mal d'histoires de leur jeunesse (des biens et des
pires, car pour moi, ce qu'ils ont fait pendant leur jeunesse et plus
tard relève de l'héroïsme, mais pour eux c'était normal, il fallait le
faire même s'ils se sont retrouvés prisonniers, dans des situations
beaucoup plus qu'inconfortables devant la gestapo ou pire les milices
françaises). Ensuite à la Libération, ils se sont retrouvés à la
Municipalité avec tous les inconvénients que cela pouvait apporter pour
eux et leurs familles ; leur entourage (je ne parle pas de nos mères ou
de nous mêmes) ne se rendait pas forcément compte de leurs actions et
sacrifice. (…)
- CB
-
- Bonsoir Monsieur Autran,
- Je me permets de vous adresser
toutes nos condoléances pour le décès de votre papa que nous venons
d'apprendre en lisant "Fenêtre sur Seyne". C'était un homme de valeur
extraordinaire et il manquera beaucoup à sa famille, ses amis et à la
ville de la Seyne.
- Vous aviez eu la gentillesse de
répondre à mes questions sur notre maison "La Sénégalaise" chemin de
l'Evescat et de me donner des précisions historiques sur ce quartier et
je vous en suis encore très reconnaissante.
- Grâce au site dédié à Marius
AUTRAN, site qui est une référence sur notre ville et que je recommande
à tous nos amis qui veulent connaître la Seyne avant de venir nous
rendre visite, je suis sûre que la mémoire de votre père perdurera et
que vous ne pouviez pas lui rendre un plus bel hommage.
- Avec mes plus cordiales
salutations.
- AB
16-28 Février
:
- Bonjour,
- Je vous présente mes sincères
condoléances.
- Grâce, entre autre, à la magie
d'Internet, Marius Autran va continuer d'exister.
- Très cordialement,
- HT
-
- Mon nom est CB(T). J'ai été
élève de votre papa ainsi que de votre maman dans les années 60. J'ai
appris le décès de votre père fin janvier à mon retour de voyage et je
tenais à vous présenter toutes mes condoléances avec un peu de
retard mais sincérité.
- J'avais beaucoup d'affection pour
votre père avec qui j'ai gardé des liens tout au long de ma carrière.
J'ai enseigné comme institutrice à l'école Malsert 2 puis
comme Directrice à l'école Leo Lagrange1. Souvent il venait me
rendre visite à mon bureau il me présentait ses nouveaux livres et
nous avions plaisir à discuter de La Seyne, de l'enseignement et
de notre famille.
- Je suis désolé de n'avoir pu etre
là pour ses obsèques. Je vous félicite pour le site qui est à son image
et qui perpétue sa mémoire.
- Bien sincèrement.
- CB
-
- Cher Monsieur ou plus simplement
Cher Jean Claude, je viens d'apprendre sur Fenêtre sur Seyne le décés
de votre papa.Cela m'a beaucoup émue et je tenais à vous en faire part
et à vous présenter mes condoléances ainsi que celles de ma maman àgée
de 93 ans et qui a connu vos parents.Moi-même je me souviens très bien
de votre maman.
- Ma famille est de La Seyne depuis
plusieurs générations c'est vous dire que les livres écrits par votre
papa m'ont fortement intéressés! d'autant plus que je me suis mise à
écrire,pour mes enfants, l'histoire de maman et qu'ils m'ont étés de
grande utlité pour illustrer et approfondir mon travail! Maman qui a
été élève à l'école Clément Daniel a même retrouvé sur une photo, sa
tante qui était alors institutrice dans cette école : c'était en 1928 !
- J'avais écrit à votre père il y a
quelques années pour le remercier de la joie que ses livres me
procuraient et il avait eu la grande gentillesse de me répondre! je
possède toujours cette lettre dans un de ses livres !
- Nous, au collège Martini, nous
avons dû nous manquer d'une année car vous donnez des noms de camarades
que j'ai connus!J'étais en M' en 56et 57 ; dans ma classe il y avaient
G Bernardini, JP Maciejewsky, G Farges, J Gabriel, M Th Ramat, D
Gueirard,M Décugis.. moi je suis JC. J'ai eu comme profs Mrs Turquay,
Faber,Dary, Pinson, Laure, Mariotti,Muraccioli... C'est avec ma classe
que Mr Pinson a mis en place son club et c'est nous qui l'avons appelé
Antarès ! A la fin de l'année il nous avait mené à l'observatoire St
Michel. Je possède deux photos de cette sortie !
- Je suis retraitée de
l'Enseignement Primaire ; j'habite un petit village des
Bouches-du-Rhône La Fare les Oliviers et maman est depuis 3ans
pensionnaire de la maison de retraite de ce village. Nous avons gardé
notre maison à La Seyne et nous suivons avec intéret tous ses grands
changements !
- Je vous prie d'excuser cette
longue lettre venant d'une inconnue mais je pense qu'elle était
nécessaire pour vous faire comprendre combien je suis attachée la
disparition de votre papa ! J'en profite pour vous remercier aussi de
l'oeuvre de mémoire que vous accomplissez !
- Cordialement.
- JC(G)
-
- Cher monsieur,
- Je vous présente mes biens
sincères condoléances après avoir pris connaissance du décès de votre
père. Je n'ai connu de lui que son site mais quelle oeuvre il laisse !
Et quel homme il fut !
- MS
-
- Cher ami,
- C'est plus d'un
mois après le départ de votre papa que j'ose vous envoyer ce message.
Je sais que grâce à vous la relève est faite en ce qui concerne la
continuité d'un historique déjà bien décortiqué au niveau de la SEYNE.
- Les photos que
vous avez mis en ligne le concernant, sont vraiment très prenantes, et
moi qui ne l'avais jamais vu, hormis la photo qui trône au début de
votre site, j'ai été saisi par sa "bonhomie" et par cette "chaleur" qui
se dégage de lui.
- Quand je vous
avais rencontré, vous m'aviez dit que vos enfants ne se sentaient pas
l'âme de reprendre un jour ce que votre papa a commencé à construire.
J'espère seulement qu'un jour, ils changent d'avis.
- GF
Mars :
- Bonjour,
- Je suis navré d'apprendre le décès
de Monsieur AUTRANS et vous prie d'accepter mes sincères condoléances;
ses travaux m'ont permis de découvrir des informations sur ma région
(je suis lillois) et de découvrir les multiples facettes de la votre.
Je viens de mettre en ligne sur le tout récent blog de notre cellule,
la biographie de jean-bart Ledieu que j'avais trouvé grâce à votre site
; au nom de la cellule René Denys, je vous adresse mes plus profonds
regrets.
- FJ
-
- Monsieur,
- En revenant sur ce site j'ai
appris le décès de votre père Marius Autran. Je suis seynoise de
naissance, fille de seynois et je trouve admirable le travail de votre
père sur la vie seynoise. Je vous présente mes sincères condoléances .
Il restera de lui ses écrits sur La Seyne et de cette façon il
continuera à vivre dans le cœur de ceux qui l'on connu.
- EV
-
- Cher Monsieur,
- Je viens d'apprendre le décès de
Monsieur Marius Autran, votre père, en allant sur ce site Internet. Je
vous présente bien sincèrement toutes mes condoléances.
- Vous avez eu le père que de
nombreuses personnes rêveraient d'avoir. Quelle valeur ! Une mémoire
attachée à ses racines, en somme, une remarquable fidélité à ses goûts,
à ses centres d'intérêts et à ses idées, sans égoïsme, puisqu'il a aimé
en faire profiter les autres.
- J'ai découvert la ville de La
Seyne-sur-Mer grâce à ce site sur lequel j'ai trouvé mes origines
familiales inattendues puisque toute ma famille est regroupée en
Loire-Atlantique. Et pourtant, ma grand-mère vient de Marseille, mais
auparavant cette branche vivait à La Seyne et cela depuis longtemps. Je
m'appelle BERNY. J'ai appris sur ce site qu'une rue porte ce nom à La
Seyne. Lors d'une visite dans votre ville il y a 2 ans, j'ai trouvé
cette rue et je me suis rendue d'abord à l'hôtel de ville qui m'a
dirigée vers la bibliothèque. Là, j'ai été remarquablement reçu par une
dame charmante qui m'a dit que pour connaître qui était celui qui a
donné son nom à cette rue, il n'y avait que l'ouvrage de Monsieur
Autran qu'elle m'a aussitôt permis de consulter. J'y ai trouvé le
renseignement que je cherchais. Depuis j'ai aussi pu lire les
chroniques sur la vie des habitants de La Seyne, ce qui est fort
intéressant.
- Je réitère ma considération pour
l'homme si apprécié de tous qu'était votre père, car je viens de lire
ces témoignages unanimes. Vous avez eu beaucoup de chance, Monsieur.
J'espère que vos enfants et petits-enfants en seront conscients.
- Continuez cette oeuvre, elle le
mérite et vous le ferez pour le bien de tous. Merci.
- Recevez, cher Monsieur,
l'expression de mes sentiments distingués.
- SP
-
- Cher Jean-Claude Autran,
- Je reprends contact ce jour avec
le site de votre père. Je voulais vous présenter toutes mes
condoléances et vous féliciter de poursuivre ce site. Malgré sa
disparition, il reste présent parmi tous ces internautes, historiens et
autres passionnés.
- Ce site, et à travers lui votre
père, demeure pour les chercheurs un formidable outil de communication.
Grâce à vous, je suis entrée en contact avec de nombreuses personnes
s'intéressant comme moi à Tranchant de Lunel. Merci.
- Et puis beaucoup de plaisir à
lire, au hasard, les différents thèmes que vous abordez.
- Sincères salutations
- NB
-
- Je voudrais rajouter, que votre
père n'a pas uniquement oeuvré pour la mémoire de La Seyne mais dépasse
les frontières. La preuve les contacts que j'ai eu grâce à votre site.
Et c'est bien là la valeur de la recherche : l'universalité.
- NB
-
- Bonjour
- Je viens d'apprendre en parcourant
le site la tragique nouvelle et la perte de cet homme que
j'aurais aimé connaître plus. Je ne m'étendrai pas car je maîtrise
mal la façon de taper a l'écran
- Mon épouse et moi nous présentons
nos condoléances
- ARL
Mai :
|
Annales de la Société des Sciences Naturelles de Toulon et du Var (S.S.N.A.T.V.), 1er quadrimestre 2007 |
Juin :
Bonjour, J. Claude. J'ose
encore.
à mon MAITRE
- Mon maître m'a quitté.
- Il m'avait tout appris,
- Le calcul, le français
- Et l'amour de la vie.
- Pendant près de cent ans
- Il a dépeint sa ville
- Narré ses habitants
- Avec des mots habiles.
- Vous étiez le gardien
- Le guide inégalé,
- Chercheur jusqu'à plus faim
- De nos heures passées.
- Adieu Marius Autran !
- Adieu les belles pages !
- Adieu le bon vieux temps
- Et ses belles images.
HG
Juillet :
- Bonjour monsieur
- Je viens juste de revenir sur
votre site et ainsi d'apprendre le départ de votre père, alors
permettais moi avec du retard de vous présenter mes condoléances, je
vous avez contacté pour vous demander des renseignements sur Mr
Tasselli Lucien, voilà pour me situer bien à vous.
- Marylou
-
- Monsieur, une amie de la Seyne m'a
téléphoné ces jours ci et m' a annoncé le décès de Monsieur
Autran votre père. J'en ai beaucoup de peine et je vous présente
mes plus vives et sincères condoléances. J'aurais aimé le
connaître et discuter avec lui mais le destin en a décidé autrement,
une fois seulement, nous nous sommes parlé au téléphone. Je possède ses
livres sur l' histoire de la Seyne et j' en suis heureuse. C'est une
mémoire et une bibliothèque des souvenirs de la Seyne qui s'en est allé
mais il nous a laissé ses oeuvres et je le remercie. Mon mari et moi
même nous partageons votre peine. Cordialement.
- CV
Septembre :
Cher
Monsieur,
Je n'ai appris le
décès de Marius Autran que maintenant en lisant le dernier numéro (août
2007) du JOURNAL DE LA RÉSISTANCE (mensuel de l'ANACR). Je tenais à
vous adresser l'assurance de toute ma sympathie en cette occasion.
Je viens de
consulter le site Marius Autran pour y relire sa biographie (maintenant
complétée) et j'ai essayé de retrouver l'échange de correspondance que
nous avons eu à propos des chansons de la libération de Paris. Mais j'y
renonce, tellement c'est compliqué pour moi (81 ans), il y a tant de
rubriques ! Cela n'a pas de grande importance, je vous ai dit
l'essentiel ci-dessus.
Bien amicalement,
GW
Décembre
:
Salut
Jean-Claude,
C'est avec retard
et tristesse que j'ai appris, en lisant le catalogue d'octobre de" Lire
en fête" qu'une page d'Histoire avait été tournée en janvier dernier,
avec le décès de ton père.Pour moi c'est un jalon qui disparaît de ma
vie car c'était une figure-phare de mes premières années à La Seyne
avec le collège Martini. Fils d'immigrés italiens, mes parents avaient
déménagé de Roquebrune / Argens à Six-Fours afin que leurs enfants
puissent continuer leurs études. C'est dire à quel point je fus marqué
par cette figure emblématique qu'était M. Autran.
Tu peux être fier
d'être le fils de ce grand bonhomme.
Téléphone moi si tu
viens dans le coin, ça me ferait plaisir de te revoir. Je suis
actuellement plus branché sur Six-Fours, j'ai donc raté ta venue à La
Seyne en octobre.
A+ et meilleurs
souvenirs
JS
Les dernières
photos de Marius AUTRAN
A
voir
également : La
biographie de Marius AUTRAN
Le médaillier de
Marius AUTRAN (ci-après)
|
Marius AUTRAN était
titulaire de 9 distinctions honorifiques : 1 - Croix de Guerre
(1939-1945), 2 - Palmes Académiques (officier) ; 3 - Médaille de
combattant volontaire de la Résistance ; 4 - Médaille des évadés ; 5 -
Médaille des Collectivités Locales ; 6 - Croix du combattant ; 7 -
Médaille d'honneur de la Confédération des Musiques de France ; 8 -
Palmes Académiques (chevalier) ; 9 - Médaille de l'Association
Républicaines des Anciens Combattants ; 11 - Médaille de la Guerre
1939-1945.
NB. La médaille n° 10 est
celle de chevalier des Palmes Académiques de Louise Gautier, épouse de
MariusAutran ; la n° 12 est la médaille du Maroc (1909) de Louis
Gautier, père de Louise Gautier, tué le 25 septembre 1911 dans
l'explosion du cuirassé Liberté en rade de Toulon.
|
Jeudi
2 décembre 2010
Un hommage public a
été rendu au cimetière de La Seyne
pour le 100ème
anniversaire de la naissance de Marius AUTRAN
|
La Marseillaise, 1er décembre 2010 |
|
Var-Matin, 3 décembre 2010 |
Vendredi
20 janvier 2011
Un hommage a été
rendu sur Facebook
pour le 5ème
anniversaire de la disparition de Marius AUTRAN
|
Jean-Claude Autran : Hommage à Marius AUTRAN
Il
y a déjà 5 ans (20 janvier 2007), mon père
s’éteignait, à l’aube de ses 97 ans.
Pour lui rendre hommage, venez visiter le site
internet que je continue de développer en sa mémoire : http://jcautran.free.fr/
Avec notamment le rappel des hommages qui ont
été rendus :
M-claude
Paganelli, Nathalie Bertrand, André Touvier et 3 autres personnes
aiment ça.
Henri Ribot :
Une bonne partie de ma vie s'est contruite avec le soutien de Marius
Autran. Ce fut lui qui, dès ma classe de 6ème m'incita
à me lancer dans des recherches dans le ravin du Destel, point
de départ d'une vie qui aura l'histoire et le patrimoine comme
mamelles. Plus tard, je l'ai côtoyé, en même temps
que Toussaint Merle lorsque nous nous sommes retrouvés
professeurs à Curie. Que de discussions entre nous ! enfin,
arrivé à l'âge mûr, je l'ai souvent
retrouvé à lors de réunions, de colloques, de
manifestations où nous avons échangé nos
idées sur l'histoire. Pour moi, Marius Autran est resté
et restera à jamais le "Monsieur Autran" de mon enfance et de
mon adolescence.
vendredi, à 08:37
André Touvier : Très
bel hommage pour un Homme qui le mérite bien tant il a
compté et compte encore pour ses engagements, ses travaux, son
goût pour le partage de la connaissance.
vendredi, à 09:49
Serge Malcor : J'ai
eu le plaisir de connaître Marius Autran à la fois en tant
que voisin, papa de mon ami "Claudet", client du garage de mon
père et surtout en tant que professeur au collège
Martini. C'est lui qui m'appris à aimer ma ville de La Seyne
mais aussi Six Fours, ses collines et surtout la péninsule de
Sicié. J'ai eu également l'honneur d'humblement
participer à l'inventaire sous marin de notre littoral
grâce à quelques photos. Son oeuvre,
réactualisée par les travaux de son fils, restera une
pièce maitresse pour le patrimoine de notre ville.
vendredi, à 10:54
Henri Ribot : Bravo, Serge !
vendredi, à 12:44
Henri Ribot : Et
bravo Jean-Claude ! continue à maintenir la mémoire de
ton père et poursuit la quête de ses écrits. Il
doit bien en rester d'inédits quelque part. Et pourquoi pas un
colloque autour de Marius Autran ? et des Mélanges offerts
à sa mémoire ? La ville pourrait participer à la
mise en place et à l'édition.
samedi, à 09:44
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Marius
AUTRAN et
-
Jean-Claude
AUTRAN
jcautran.free.fr
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2018