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Histoire de La Seyne-sur-Mer


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La Seyne dans la presse locale
Le crématorium et le cimetière de Camp Laurent


Référence et résumé du contenu des principaux articles que nous avons pu retrouver dans la presse locale et dans les revues d'information municipale

NB. Tous les articles qui ont pu être retrouvés ont été numérisés aux formats jpeg et pdf avec recherche de texte. Mais, pour ne pas surcharger la page, nous n'avons fait figurer ci-dessous qu'une partie des articles sous forme de fichier image, choisis parmi les plus représentatifs, tous les autres étant listés par ordre chronologique, avec un lien (bleu souligné) pour accéder au document intégral au format pdf.

Lien vers le site internet : http://jcautran.free.fr/archives_familiales/la_seyne_dans_la_presse/crematorium/
crematorium.html


2005
Var-Matin, 22 mars 2005 : « La Seyne : un cimetière nommé désir » — « A La Seyne, seconde ville du département forte de plus de 60 000 âmes, comme dans de nombreuses localités varoises, l'unique cimetière sature. Malgré la fermeture des chantiers navals, le nombre d'habitants n'a pas décru. Le cimetière central qui s'étend sur plus de sept hectares, accueille déjà 7 346 concessions, plus de 100 cases funéraires et 258 inhumations en terres communes. (...) Devant cette pénurie de places qui menace, il y a plus d'une décennie, la précédente municipalité a décidé d'ériger un second cimetière dans la zone industrielle du quartier camp Laurent, avenue Robert Brun. Depuis, les caveaux ont été construits. Au nombre de 250 de quatre places et une cinquantaine de deux places. Plus une centaine de places en terre commune. Initialement. le projet prévoyait d'être étalé sur trente ans pour parvenir à un cimetière de 10 000 places.
Un endroit mal choisi — Pour tout arranger, l'endroit choisi à contre lui, le fait d'être coincé entre l'autoroute et la voie ferrée, mais aussi d'être éloigné du centre ville. Mal desservi par les transports en commun. Un système de navette est indispensable. On imagine les efforts que devront fournir les familles des défunts et surtout les personnes âgées le 1er novembre, leur pot de chrysanthèmes dans les mains. Surtout si aucun fleuriste ne s'installe rapidement à proximité. Quant aux murs d'enceinte, la maison du gardien et le bâtiment pour les services administratifs, ils font cruellement défaut.L'ouverture d'un crématorium reste toujours d'actualité « Le dossier est entre les mains des services de la Préfecture », explique l'adjoint. Et comme rien n'est très simple dans cette histoire, trois interlocuteurs rivalisent d'importance dans la  gestion du dossier. « TPM a en charge le reformatage de l'avenue Robert-Brun. Le trop étroit passage, en zone inondable, sous le pont d'accès à hauteur de la gare de La Seyne qu'il faudrait agrandir, est du ressort de la SNCF. Enfin, à l'autre extrémité de l'avenue, la route est de la compétence du conseil général ». Bref, on peut craindre que ce n'est encore pas demain que le premier convoi funèbre franchira la porte d'entrée du cimetière » (CP).
Var-Matin, 22 mars 2005


2007
Var-Matin, 26 juin 2007 : « Nouveau cimetière : les travaux devraient reprendre en 2009 » — En sommeil depuis 2001, le site de 4 hectares pourrait être achevé en 2010 — Suivi par différentes municipalités depuis près d'un quart de siècle, relancé à plusieurs reprises, puis retombé dans l'oubli et remis au goût du jour depuis 2002, le dossier de mise en service d'un nouveau cimetière à Camp-Laurent devrait, finalement, connaitre son dénouement. « On a rouvert le dossier » confirme Christian Battle, l'adjoint concerné.
Des travaux en série. Tout commencera par la remise en état du site, laissé à l'abandon depuis des années. Ainsi, la voirie sera reprise, le revêtement des allées également « avec une largeur et un rayonnement suffisant pour que les convois funèbres puissent circuler librement ».
Dès le mois de septembre prochain, deux délégations de service public (DSP) concernant le crématorium et le cimetière dans son ensemble devraient être lancées. Le début des travaux est prévu pour le premier semestre 2009. La fin est annoncée pour le second semestre 2010 » (MP).


Var-Matin, 26 juin 2007

Var-Matin, 26 octobre 2007 : « Un crématorium pour l'ouest Var au Camp Laurent en 2010 » — « La construction et la gestion seront confiées à un délégataire — TRENTE SEPT délibérations étaient inscrites à l'ordre du jour du conseil municipal, hier matin. L'une d'entre elles devrait engager la commune pour les trente années qui viennent : la délégation de service public pour la conception, la, réalisation et l'exploitation d'un crématorium.
Alors que le taux de crémation dépasse les 25 % et que la courbe est croissante, les ouest-Varois ne disposent que du site de Cuers pour répondre à l'attente des familles. « La commune doit donc se doter d'un équipement accessible, moderne qui devrait s'intégrer dans le projet de construction du cimetière du Camp Laurent », justifie la majorité.
« Un mauvais emplacement » — Un bâtiment de deux niveaux entouré d'un parking de 70 places réservées aux usagers. Pas d'autres précisions pour l'heure si ce n'est que les travaux ne débuteront pas avant janvier 2009 et l'ouverture est prévue en juin 2010. La durée de la délégation sera de trente ans. Déjà le projet ne fait pas l'unanimité. D'emblée l'opposition, par la voix de Marc Vuillemot a estimé qu'il aurait été « judicieux et raisonnable d'attendre les élections municipales » avant de lancer cette nouvelle délégation de service public. « Ce n'est pas à quelques mois des élections que le problème se pose. Je ne fais que poursuivre votre action » a rétorqué le maire rappelant que le projet de création du cimetière du Camp Laurent remonte au précédent mandat. « Vous avez d'ailleurs choisi un très mauvais emplacement puisqu'il est situé sur une colline, un site remarquable, et qu'il est particulièrement difficile d'accès ». (...) « Oui, nous pensons qu'il y a des choses qui vont bien en régie et d'autres qui relèvent plus de l'ordre de l'usager que du contribuable. Comme le crématorium mais pas le cimetière », a indiqué Arthur Paecht. Mettant un terme au débat » (PHC).

Var-Matin, 26 octobre 2007

2009
Var-Matin, 10 novembre 2009 : « Le cimetière de Camp Laurent ressort de terre » – « La Ville a réussi à acquérir un terrain permettant la création d'un nouvel accès au nord de la nécropole. L'épilogue d'un très vieux projet ? – Le dossier du cimetière de Camp Laurent relancé. Raphaëlle Leguen, première adjointe, a annoncé hier, en séance du conseil municipal, que la commune venait d'acheter pour 100 000 euros un terrain nu d'une surface de 6 371 m2 situé au nord du  site. Cette acquisition permet de réactiver le très vieux projet lancé dans les années 1990 de création d'une desserte derrière le cimetière. « Le projet initial était bloqué depuis des années, mais nous avons tout mis en œuvre pour le réaliser. Les négociations étaient difficiles. Ce n'était pas évident de trouver un terrain d'entente, mais nous avons réussi à le faire à l'amiable et je suis heureuse de l'aboutissement », témoignait, à la fin de la séance du conseil, l'élue en charge du dossier.
La nécessité du crématorium. Pour avancer, la municipalité avait scindé la délégation de service public du crématorium de la question de l'accès au cimetière. La date limite pour le dépôt des candidatures de la DSP prenait fin hier midi. La parcelle appartenant en indivision aux consorts Bousquenaud et à une propriétaire privée, Mme Simone Bonnet, a été acquise au-delà de la valeur estimée par les Domaines (soit 15,7 €/m2 contre 11,85 €/m2). Une offre plus chère de 25 % « cohérente et justifiée » selon la commune car elle permet la maîtrise foncière du cimetière et donc la réalisation du crématorium, « un équipement public qui fait défaut aujourd'hui dans toute l'agglomération ». Ce terrain au nord devrait servir à la création de la maison du gardien et à l'acheminement vers le cimetière auparavant « enclavé ». « Pour l'anecdote, nous avons accepté de conserver sur le terrain les deux grands arbres existants », glissait Raphaëlle Leguen. La municipalité va désormais réfléchir à la mise en valeur du site. Avec un objectif : casser l'aspect minéral du cimetière notamment grâce à la végétation et la plantation d'un « collier de garrigue ». La Ville va également consulter les représentants des communautés religieuses pour offrir un « espace beau et apaisé » aux carrés israélites et musulmans » (OM).

Var-Matin, 10 novembre 2009


2010
Var-Matin, 1er novembre 2010 : « Le cimetière de Camp Laurent ouvrira en 2013 » — « Annoncés depuis 20 ans, les travaux du futur cimetière seynois sont enfin programmés. Ils sont prévus pour la fin de l'année 2011 — Les cimetières sont des lieux de toute éternité... mais parfois ils se font attendre. Vingt ans, ça fait long. Contraints et forcés, les habitants de la deuxième ville du département doivent être patients. Après des années d'attente, le cimetière de Camp Laurent sera bien construit comme l'a précisé le maire, Marc Vuillemot. « Le projet est actuellement à la phase consultation de maîtrise d'œuvre. » Et pour confirmer ses dires, le premier magistrat avance quelques dates. « Le marché sera lancé au début de l'année prochaine. ». Cette étape achevée, on procédera à la suivante : le gros œuvre proprement dit. « Les travaux débuteront fin de l'année 2011 », ajoute le maire.
En « ballottage » défavorable durant des années. « J'étais alors adjoint à l'état civil (une délégation qui incluait alors la délégation aux cimetières, Ndlr) sous le mandat de Maurice Paul ». L'adjoint Toussaint Codaccioni connaît le problème. « Je savais qu'il y avait urgence à mener à bien ce dossier et à construire le plus rapidement ce nouveau cimetière. J'ai fait le nécessaire, y compris mettre en place un crématorium intercommunal. On a tout fait pour améliorer ce cimetière avec lequel il fallait tout reprendre de zéro», explique-t-il. Et puis tout s'est compliqué. Les années défilaient, l'horizon était toujours bouché. Alors qu'en 1999, on argumentait qu'il y avait urgence, sous le mandat d'Arthur Paecht, on ne se précipitait pas. « Il n'y a pas urgence », soulignait Christian Battle, l'adjoint, qui se penchait sur une éventuelle « réalisation d'un crématorium ». Le projet initial était bloqué à cause d'un problème de foncier. Une parcelle a été acquise en 2009, pour accéder au cimetière, enclavé, et pour permettre de bâtir un crématorium.
Le seul crématorium de l'agglomération. Des modifications ont également été apportées, afin d'aménager deux carrés, l'un pour les musulmans, l'autre pour les israélites. « L'ouverture du cimetière est prévue fin 2013 », ajoute Marc Vuillemot. Le crématorium devrait ouvrir à la fin du premier semestre 2013. A ce jour, la ville procède à l'analyse des offres, car « on a lancé une DSP (délégation de service public) », ajoutait le maire. Ce sera le seul crématorium de l'agglomération toulonnaise. Un équipement public nécessaire et attendu » (MP).
Var-Matin, 1er novembre 2010


2011
Var-Matin, 26 juillet 2011 : « Le crématorium sortira de terre en 2013 » — « Les élus ont attribué hier la délégation de service public pour la création du bâtiment à Camp Laurent — Le cimetière et le crématorium de Camp Laurent, annoncés depuis trente ans, verront-ils enfin le jour sous le mandat de Marc Vuillemot ? On n'ose y croire : depuis le début des années 1990, toutes les municipalités ont annoncé que ces équipements seraient achevés sous leur mandat. La première adjointe, Raphaëlle Leguen, en charge des cimetières, s'est démenée depuis le début du mandat pour faire aboutir ces deux projets, jugés « prioritaires ». Hier matin, les élus ont voté, à l'unanimité, l'attribution de la délégation de service public pour la construction et l'exploitation du crématorium. Ce sont les pompes funèbres Lévêque (La Seyne) qui ont remporté le marché. Le contrat va être signé cette semaine, pour une durée de vingt-cinq ans.
L'opposition satisfaite. Pour Raphaëlle Leguen, cette délégation de service public est l'aboutissement de deux ans et demi d'un travail acharné. « Nous pouvons être satisfaits de permettre aux gens qui sont dans la douleur de pouvoir gérer leur deuil dans les meilleures conditions », a-t-elle souligné. L'élue a été félicitée, y compris par l'opposition. « Nous sommes très heureux de voir aboutir ce dossier, a dit Christian Battle, car c'était la dernière délibération que nous avions votée (sous le mandat d'Arthur Paecht, Ndlr) mais on n'a pas pu mener le projet à terme. Nous saluons ce remarquable travail, qui a été mené avec intelligence. Il s'agit d'un équipement indispensable pour les Seynois et les ouest-Varois ». Le maire a, quant à lui, salué la concrétisation d'un projet certes pas très clinquant, « mais qui fait partie des missions centrales » d'une commune. « Je pense qu'on arrivera au terme de ce mandat avec le sentiment du devoir accompli », a-t-il conclu, satisfait ». (MV)

Var-Matin, 26 juillet 2011

Var-Matin, 10 septembre 2011 : « Le crématorium entrera en service à l'été 2013 » – Vingt-quatre mois seront nécessaires à la réalisation du futur pôle funéraire, en bordure du cimetière de Camp Laurent – De la Seyne aux frontières des Bouches-du-Rhône: le pôle funéraire, qui s'élèvera d'ici à vingt-quatre mois, en bordure du cimetière de Camp Laurent, viendra soulager des familles pour qui l'inhumation par crémation relève parfois du chemin de croix.. Déficit de crématorium oblige, les délais sont parfois longs. Pour l'architecte Serge Hérisson, concepteur du futur pôle funéraire suivant les directives du concessionnaire - les pompes funèbres Levêque - « le projet ne s'articule pas du tout comme si l'on était en centre-ville ». Il a d'abord fallu tenir compte des contraintes des lieux : la proximité du centre de traitement Veolia, de la zone industrielle, le dénivelé du terrain, par ailleurs de forme oblongue, la nature du sol (roche dure à faible profondeur), l'entrée du cimetière enfin, en partie nord du terrain, en point haut de la parcelle, ce qui accentue la vision sur le centre de tri.
Une symbolique autour des éléments de la vie. Le projet architectural s'appuie sur la symbolique du lieu en fonction des quatre éléments et ce à travers la matérialisation d'un véritable cheminement piétonnier depuis l'entrée du crématorium, avenue Robert-Brun. L'eau « source de vie et de pureté », que l'on retrouvera dans l'accueil des familles à travers une perspective qui se prolongera entre deux bâtiments à travers un jardin zen linéaire ; la pierre apparente sur les murs, représente la terre ; l'air avec un patio à l'intérieur du bâtiment et enfin le feu, la crémation.Il faudra vingt-quatre mois pour voir le crématorium sortir de terre : le permis de construire a été déposé, il faut désormais compter huit mois environ pour purger les délais et recours légaux. En parallèle sera lancée l'enquête publique. Suivront les appels d'offres pour la réalisation des travaux. Le crématorium devrait être livré entre juillet et août 2013. Coût des opérations à réaliser : 3,65 millions d'euros hors taxes » (KM).

Var-Matin, 10 septembre 2011



2012
Var-Matin, 16 avril 2012 : « Crématorium : l'enquête publique est ouverte » – « A partir d'aujourd'hui et jusqu'au 21 mai inclus, chacun peut prendre connaissance du dossier concernant le projet de crématorium sur le site de Camp Laurent et formuler des observations.
Dans la continuité du cimetière. Chacun va pouvoir se déplacer pour donner un avis, qu'il soit favorable ou défavorable. Le projet s'inscrit dans un plan d'ensemble d'aménagement du cimetière dit « Camp Laurent », situé en entrée de ville, au nord de la commune et au pied de la colline de la Petite Garenne – L'architecture, symbolique, a été conçue autour des éléments de vie : la terre, l'eau, le feu – Le bâtiment le plus haut sera construit sur la restanque sud de la parcelle, tandis que le plus bas sera édifié dans la partie nord. L'architecture a été pensée de manière à cacher l'activité du centre de tri de Véolia. Les toitures des bâtiments seront végétalisées. Les rejets (cendres et fumées) seront peu, voire pas polluants. La politique d'accueil du délégataire sera conforme aux principes du service public. La mise en service du crématorium est prévue pour l'été 2013 (CHB).

Var-Matin, 16 avril 2012


2013
Var-Matin, 3 janvier 2013 : « Les travaux du futur crématorium sont lancés » – « Depuis quelques semaines, le chantier avance sur le terrain de Camp-Laurent où, d'ici fin 2013,  on pourra procéder à l'incinération des défunts, dans un cadre propice au recueillement – Le projet de crématorium, dont on parlait déjà sous la mandature de Maurice Paul, est en passe de devenir réalité. Les premiers coups de pelleteuse ont été donnés début décembre. Situé en amont de l'avenue Robert Brun, à Camp-Laurent, au pied de la colline de la Petite Garenne, le chantier devrait durer un an. « Aujourd'hui, quasiment une personne sur deux choisit la crémation », explique Alexandre De Carlo, gérant des pompes funèbres Lévêque, qui a décroché la maîtrise d'ouvrage. Un constat confirmé par l'activité du seul crématorium de l'agglomération, situé à Cuers, « victime » de son succès. Marc Vuillemot, le maire, précise que « là-bas, ils sont parfois obligés de faire patienter les familles plusieurs jours avant les cérémonies ».
Vers un « pôle funéraire » à Camp-Laurent. Si le maire se réjouit du début des travaux du crématorium, il attend aussi avec impatience la livraison du nouveau cimetière, qui se situera quelques mètres au-dessus du crématorium : « Il y a urgence car le cimetière du centre-ville commence à être saturé », rappelle-t-il. À l'heure actuelle, seuls le chemin d'accès et l'emplacement des caveaux ont été réalisés. Il devrait être opérationnel en 2014. Le crématorium et le cimetière, bien que possédant chacun une entrée distincte, formeront le « pôle funéraire » de Camp-Laurent » (JP).

Var-Matin, 3 janvier 2013

Var-Matin, 12 avril 2013 : « La Seyne : Paecht, Le Guen, Barbero et le cimetière. Au cours d'une délibération sur le futur cimetière, mercredi en séance du conseil municipal, Raphaëlle Leguen en est venue à évoquer l'état du cimetière central. Et les « gros efforts » effectués par la ville sur « le patrimoine funéraire ». Des remarques pas au goût de Marcel Barbero (opp.). « Quand je vais au cimetière, raconte-t-il, les gens m'arrêtent. Ils me font part de leurs doléances, et constatent un laisser aller ». Et l'opposant de proposer à Raphaëlle Leguen de « faire un tour » au cimetière central. Proposition acceptée par l'adjointe, puisque, selon elle, le cimetière mérite « plus les félicitations qu'autre chose ». C'est finalement Arthur Paecht qui a mis fin aux débats : « Chère Raphaëlle, j'aimerais mieux vous inviter à d'autres visites ». Dont acte... ».
Var-Matin, 15 avril 2013 : « Le crématorium de Camp-Laurent sort de terre » – « Débutés en novembre dernier, les travaux avancent bien, les premiers bâtiments ont été construits. Le chantier devrait s'achever en fin d'année, pour une ouverture prévue début 2014.
Mille deux cents crémations par an. Les travaux devraient s'achever d'ici la fin de l'année, pour une ouverture prévue en 2014. Le site sera alors accessible du lundi au samedi de 8 h à 18 h. En principe, l'ouverture du crématorium devrait coïncider avec celle du cimetière de Camp-Laurent (lire ci-contre). Le « pôle funéraire » de La Seyne sera ainsi opérationnel l'an prochain. Il est, en tout cas, très attendu.
Et le futur cimetière ? Véritable arlésienne, le cimetière de Camp-Laurent devrait enfin être opérationnel début 2014. Construit dans les années 90, le cimetière n'a jamais ouvert faute d'accès. La municipalité Vuillemot a exhumé le dossier. « On a fait toutes les acquisitions de parcelles pour créer la voirie. Le cahier des charges a été défini. L'appel à projet est terminé, nous allons lancer les marchés pour créer les accès », précise Raphaëlle Leguen, la première adjointe en charge du dossier. L'accès au cimetière ne se fera pas par la même entrée que le crématorium, mais de l'autre côté de la colline. « Il y aura aussi la création du parking et la construction du bâtiment d'accueil. Les travaux débuteront en même temps que ceux de la voirie. Tout est organisé pour une ouverture du cimetière début 2014 », ajoute l'élue, qui précise que la municipalité « a beaucoup travaillé sur ce projet pour l'intégrer dans l'environnement et y ajouter deux carrés israélite et musulman » (MV).

Var-Matin, 15 avril 2013

Var-Matin, 20 septembre 2013 : « Le troisième crématorium du Var va ouvrir à La Seyne » – « A Camp-Laurent, c'est la fin de près d'un an de travaux : l'établissement devrait ouvrir ses portes d'ici janvier prochain. Une réponse à une demande qui devrait aller croissant – De La Seyne, le trajet prend parfois une bonne quarantaine de minutes. Le crématorium de Cuers, le plus proche de l'ouest-Var, est à une trentaine de kilomètres de là. Sinon, c'est Vidauban ou Aubagne. La situation devrait bientôt changer : un crématorium doit être inauguré à La Seyne courant janvier. Alexandre de Carlo, le gérant des pompes funèbres Lévêque, le délégataire de service public - pour 25 ans - espère une mise en service pour la deuxième semaine du mois. Et du côté de Camp-Laurent, le bâtiment s'élève déjà. Le gros œuvre est terminé. Reste maintenant les finitions de ce grand ensemble de plus de 1 000 m2. Coût total : « de 3,5 à 4 millions d 'euros » à la charge du délégataire, dit Alexandre de Carlo. Et, à la clé, « la création de cinq emplois ». Alors que « la région PACA est l'une de celles où la crémation est la plus développée », dit Richard Feret, le directeur général de la Confédération des professionnels du funéraire et de la marbrerie, qui agrège quelque 2400 points de vente en France. Alexandre De Carlo avance, pêle-mêle, « l'entrée de la crémation dans les mentalités, un esprit ouvert à l'acte » ; ou encore « le prix et le manque de foncier dans la région ». Bref, il attend un développement de la crémationdans les années à venir. D'où, aussi, ce nouveau crématorium pour La Seyne et le Var » (NH).

Var-Matin, 20 septembre 2013


2014
Var-Matin, 7 janvier 2014 : « Le crématorium est ouvert » – « La structure a procédé, hier, à sa toute première crémation. Les responsables de ce « bel outil », confiants, pensent dépasser les 1200 prestations annuelles nécessaires à sa rentabilité – Rémi Laugier, directeur, et Fabrizio Verrechia, conducteur de four, ont procédé hier à leur toute première crémation. Côté public, tout a été conçu pour permettre un accueil sobre et serein, autour des trois éléments - le feu, l'air et l'eau - : un vaste espace d'accueil, deux salles de cérémonie (une petite et une autre d'une capacité de 140 places) équipées de rétroprojecteur pour accompagner ces moments solennels avec des films, des photos, de la musique; un patio et un espace de convivialité avec tables, tabouret, café et boissons, deux salons d'attente, deux salles de remises des urnes funéraires... Le bâtiment, en forme de U, a été pensé pour que deux cérémonies puissent se dérouler en même temps sans que les familles se croisent. En « coulisse », la salle des deux fours est entièrement informatisée, et les manipulations des techniciens, avant la remise des cendres, ont été grandement facilitées. « C'est ce qui se fait de mieux au niveau européen », résume Claude Delesse.
Faible impact environnemental. En matière environnementale, l'endroit est conforme à la nouvelle réglementation, dont tous les crématoriums devront être équipés avant 2017 : meilleure filtration, moins de poussière, traitement des fumées, faibles rejets dans l'atmosphère, etc. Autant d'atouts qui, ses gérants l'espèrent, vont permettre à la structure seynoise de se faire une belle place sur ce marché très concurrentiel. A noter que la production d'eau chaude engendrée par les incinérations permettra d'alimenter tout le bâtiment (et, fin 2014, même les locaux techniques du cimetière attenant, en cours de construction) en chauffage et en climatisation. Avec un service facturé à 720 euros TTC (c'est plus qu'à Aubagne et moins qu'à Cuers), le taux de rentabilité est estimé à 1200 crémations par an, sur 25 ans, durée de la délégation de service publique signée avec la municipalité. Mais MM. De Carlo et Delesse pensent pouvoir faire « beaucoupmieux » (JP).

Var-Matin, 7 janvier 2014

Var-Matin, 19 janvier 2014 : « Le crématorium officiellement inauguré » – « Malgré la météo, plus de deux cents personnes sont venues, hier matin, participer à l'inauguration du crématorium, du côté de Camp Laurent. Cela démontre bien l'attente du public et l'attention portée à cette infrastructure (sachant que, de nos jours, 31 % des défunts se font incinérer). Pourtant, si le premier crématorium français a été créé en 1889 au cimetière parisien du Père Lachaise, il aura fallu attendre 1988 pour que le Var en soit doté d'un, à Vidauban. Et malgré la création d'un deuxième à Cuers, le département ne pouvait pas répondre à toutes les demandes des familles.La preuve de l'utilité du nouveau crématorium seynois est démontrée par les 61 crémations déjà effectuées depuis son ouverture le 6 janvier. Mais cette installation ultramoderne respectant les contraintes environnementales est aussi un édifice répondant aux attentes des familles qui vivent, dans ce lieu, leur dernier rendez-vous avec leur être cher disparu. Le maire Marc Vuillemot a, dans son discours, dit sa satisfaction d'inaugurer une installation aussi attendue par la population et qui s'inscrit « dans une logique d'aménagement du territoire ». Et le premier magistrat de préciser que, s'il n'est pas un service public, le crématorium est « un équipement au service du public ». Il a remercié particulièrement sa première adjointe Raphaëlle  Leguen pour son « important investissement » dans l'aboutissement de ce projet, ainsi que l'architecte qui a su créer «  un lieu moderne et fonctionnel mais aussi d'intensité émotionnelle où l'humain prime » (PF).
Var-Matin, 21 mars 2014 : « Crématorium : pourquoi le permis a été annulé » – « Le tribunal administratif a annulé le permis de construire suite à la plainte d'une voisine. La Ville va faire appel. En attendant, le site fonctionne normalement – L'information a de quoi dérouter : alors que le crématorium est en service depuis janvier dernier, le tribunal administratif de Toulon a annulé, jeudi dernier, le permis de construire délivré par la Ville aux pompes funèbres Lévêque, le 14 décembre 2011. La mairie a également été condamnée à verser 1 000 euros à la plaignante. Cette dame habite en contrebas du crématorium. Sa maison n'offre pas une vue directe sur le site, mais la voie menant au crématorium passe à proximité de chez elle – (...) Alors que la délégation de service public du crématorium porte sur 5011 m2, le permis de construire a été déposé sur une parcelle beaucoup plus vaste, de 47 290 m2 (incluant le futur cimetière). D'autre part, le juge a retenu que le bâtiment était trop haut par rapport à la hauteur autorisée (maximum 6 mètres) et qu'il se trouvait trop près (moins de 4 mètres) de la limite séparative avec le centre de traitement des déchets de Véolia, situé juste en dessous – La décision du tribunal n'est pas suspensive, le crématorium va donc continuer de fonctionner normalement en attendant le jugement en appel, qui prendra encore beaucoup de temps. Mais, un autre recours contre le crématorium de La Seyne, est toujours dans les tuyaux. La délégation de service public avait été attaquée par les dirigeants du crématorium de Cuers, concurrent du site de La Seyne. La Ville a gagné en première instance, mais le dossier est en attente de jugement en appel – « Drôle de coïncidence », lâche une source proche du dossier en mairie, qui se demande comment la voisine du site seynois a pu s'en remettre au même avocat parisien » (MV).

Var-Matin, 21 mars 2014

2015
Var-Matin, 1er novembre 2015 : « Derrière la vitre du nouveau crématorium » – « Cet après-midi-là. Madame X est devenue la 2834e personne à être incinérée au crématorium de La Seyne-sur-Mer. C'est ce qu'indique son « numéro d'ordre », inscrit sur un badge et déposé dans l'urne. Après s'être recueillis en salle d'oraison, puis avoir assisté au « départ » du cercueil, proches et familles ont quitté l'établissement, situé dans la zone d'activités de Camp-Laurent, un peu plus de trente minutes seulement après leur arrivée. Dans deux heures, le service funéraire leur apportera les cendres de la défunte, dont ils disposeront ensuite selon leur volonté... et les limites légales autorisées.
Regroupés derrière une vitre. « Ce n'est pas un travail comme les autres, acquiesce d'abord Rémi Laugier, directeur de l'établissement. Il y a une responsabilité particulière. Le respect des disparus mais aussi des vivants doit être omniprésent ». La « salle du départ » reste inaccessible au public. Pour des raisons de sécurité, d 'abord : « Imaginez si quelqu'un s'accrochait au cercueil... À l'intérieur de l'unité de crémation, la chaleur dépasse les 900 degrés ». Unité de crémation ? « C'est un four à pierres réfractaires qui fonctionne au gaz de ville. Toutefois, ce vocabulaire ne nous plaît guère. Comme nous préférons le terme crématiser à celui d'incinérer. Ce sont les déchets qu'on incinère. Dans ce métier, la terminologieest primordiale 90 min à un corps pour disparaître – Les cendres considérées comme un « corps » – « Notre métier consiste en de l'accompagnement, explique Rémi Laugier. Ceux qui reçoivent les proches sont aussi ceux qui leur remettront l'urne, avec l'intégralité des cendres du défunt. On ne manipule pas n'importe quoi ». Avant de partir, nous assistons à l'arrivée d'une nouvelle famille. Les visages sont fermés, enveloppés de tristesse. Au milieu des oliviers et de la verdure d'un site que l'on trouverait agréable en d'autres circonstances, la mort et la vie ont appris à cohabiter. Tant bien que mal, mais avec une sobriétéexemplaire » (MAD).

Var-Matin, 1er novembre 2015

2016
Var-Matin, 15 février 2016 : « Le cimetière de Camp Laurent renaîtra-t-il de ses cendres ? » — « Trente ans que le terrain est réservé et vingt, déjà, que de nombreux caveaux ont été installés. Pourtant, à deux pas du crématorium, le« nouveau »cimetière reste désespérément vide... — C'est un endroit unique, désert. Comme abandonné de tous. À l'atmosphère étrange et à la vue imprenable sur la ville. Au bout du chemin qui surplombe le crématorium flambant neuf, dominant le quartier de Camp Laurent, des dizaines de caveaux funéraires sont dispersés sur la colline de la Petite Garenne, au milieu des herbes folles. Ni pierre tombale ni cercueil. Certains, mystérieusement endommagés, laissent entrevoir leurs entrailles profondes et gorgées d'eau. Pas de pierre tombale, ni de nom ou d'ornement. Et aucune dépouille, heureusement : les pièces maçonnées destinées à recevoir des cercueils sont vides depuis leur installation... au siècle dernier. Nul signe d'activité ne laisse par ailleurs entrevoir que la situation puisse bientôt changer.Et pour cause : l'histoire du cimetière dit de Camp Laurent est rocambolesque. Déjà imaginé au début des années 90 sous la municipalité UDF de Charles Scaglia (1984-1994), qui acquiert alors 4 hectares de friche, le cimetière prend forme pendant le mandat de l'édile communiste Maurice Paul (1995-2001), avec l'installation des premiers caveaux. (...) L'inauguration est même actée pour 1999. Mais de faillite d'entreprise, en marchés infructueux, jusqu'aux inévitables tergiversations politiques, le coupage de ruban ne se fera jamais. Malgré plus de 500 000 euros dépensés. En 2001, l'équipe municipale d'Arthur Paecht décide de reprendre le dossier. La Ville installe de nouveaux caveaux et quelques oliviers, annonce une ouverture pour 2003... avant de faire machine arrière et de dénoncer un coût « prohibitif »pour ses finances.
Questions à Marc Vuillemot, maire de La Seyne : « Sauf imprévu, on fera un jardin du souvenir cette année » (MAD).

Var-Matin, 15 février 2016
Var-Matin, 21 mai 2016 : « Le permis de construire du crématorium annulé ! — La cour administrative d'appel de Marseille confirme le jugement du tribunal de Toulon qui concluait déjà, voici deux ans, à l'annulation du permis attaqué par une riveraine » — « Le permis de construire du crématorium enfreint certaines dispositions du Plan local » (MG).
Var-Matin, 21 mai 2016

Var-Matin, 27 mai 2016: « Où l'on reparle du permis de construire du crématorium ». « C'est Sandra Torres (LR), la première, qui a dégainé, demandant des explications au maire sur le fait qu'il ait « signé un permis de construire qui ne respectait pas les règles ». Marc Vuillemot a plaidé la bonne foi : « Je ne suis pas rechnicien et j'ai l'habitude de faire confiance à ceux qui savent. J'espère juste qu'on ne va pas être obligé de démolir le crématorium ».

Var-Matin, 27 mai 2016

Var-Matin, 22 septembre 2016 : « Le maire Marc Vuillemot (PS) attaque Sandra Torres (LR) en justice pour « propos diffamatoires » — Ce jour-là [conseil municipal du 26 mai], l'assemblée réagissaità l'annulation du permis de construire du crématorium de Camp Laurent [Pour des questions de hauteur du bâtiment et de distance par rapport aux voisins incompatibles avec le pPlan Local d'Urbanisme (PLU]. Sandra Torres s'était montrée particulièrement virulente, demandant notamment des explications au maire sur le fait qu'il ait « signé un permis qui ne respectait pas les règles ». Sur son Facebook, l'élue allait plus loin : « Il se dit dans la profession au niveau national que le choix du délégataire est plus que douteux et que le marché aurait été acheté ».
Var-Matin, 10 octobre 2016 : « Le crématorium de Cuers souffre de la concurrence seynoise — En 2014, l'activité de l'établissement cuersois a baissé de 34 %, obligeant la ville et le délégataire à revoir le montant de la redevance et à prévoir de nouveaux investissements Près de 900 000 € d'investissements — Un effort de la commune — De nouveaux équipements doivent venir renforcer l'attractivité du crématorium. Soumis à rude concurrence depuis 2014, il a vu sa fréquentation baisser de 34 % cette année-là. Une perte de recettes pour le délégataire du service public, mais aussi pour lacommune, explique le maire Gilbert Perugini — Les cendres doivent être traitées comme un corps » (CM).
Var-Matin, 11 mai 2018 : « La résurrection annoncée du cimetière de Camp-Laurent » - « Laissé à l'abandon depuis sa construction en 1992, le terrain pré-aménagé accueillera l'an prochain un jardin du souvenir et cent caveaux flambant neufs. Début des travaux en Juillet — L'inauguration était prévue en 1999 — La végétation a envahi ce qui devait être, il y a 26 ans déjà, le plus grand cimetière de la ville — Le cimetière enterréà cause d'un trou — Trois phases pour des travaux conséquents — 3,7 millions d'euros au total — Si, dans l'immédiat, la Ville va réhabiliter 100 concessions, créer un jardin du souvenir et un columbarium, l'objectif de l'élue en charge du dossier Martine Ambard et de son équipe est aussi l'installation de carrés musulmans et israélites, ainsi que des bâtiments techniques et administratifs » (MAD).
 
Var-Matin, 11 mai 2018

Var-Matin, 1er novembre 2018 : « À La Seyne, un projet longtemps enterré » - « Près de trente ans, pourtant, que cet endroit à l'atmosphère forcément étrange et à la vue imprenable sur la ville aurait dû servir à compenser la « crise du logement » qui sévit au cimetière central. Tour à tour, les maires Charles Scaglia, Maurice Paul, Arthur Paecht et Marc Vuillemot ont annoncé une ouverture prochaine ; certains une date d'inauguration. (...) « Camp-Laurent, c'est pour 2019 », assure-t-on toutefois désormais en mairis (...). Le chantier vient de commencer, et Martine Arnbart, l'élue en charge du dossier, nous a récemment assuré que les premiers locataires pourraient arriver courant de l'année prochaine. (MAD). 
Var-Matin, 1er novembre 2018

Var-Matin, 30 janvier 2020 : « Le cimetière de Camp Laurent doit ouvrir au printemps » - « Sur la colline de la Petite Garenne, l'heure est aux travaux de finition. La Ville annonce que ce projet d'équipement public, vieux de plusieurs décennies, est bien sur le point de voir le jour - Une histoire tourmentée - Un projet en trois temps à 5 M € - A quelques mois de l'ouverture du cimetière de Camp Laurent, on peut y découvrir de nouveaux aménagements,ainsi qu'un carré des anges ou un columbarium sobres et lumineux » (MAD).

Var-Matin, 30 janvier 2020




 



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