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Histoire de La Seyne-sur-Mer


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La Seyne dans la presse locale
Le domaine de Fabrégas


Référence et résumé du contenu des principaux articles que nous avons pu retrouver dans la presse locale et dans les revues d'information municipale

NB. Tous les articles qui ont pu être retrouvés ont été numérisés aux formats jpeg et pdf indexé. Mais, pour ne pas surcharger la page, nous n'avons fait figurer ci-dessous qu'une partie des articles sous forme de fichier image, choisis parmi les plus représentatifs, tous les autres étant listés par ordre chronologique, avec un lien (bleu souligné) pour accéder au document intégral au format pdf.

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1992
Var-Matin, 23 septembre 1992 : « Sadovar : démission des élus RPR » - « Comme nous l'écrivions récemment, les élus du RPR, François Hérisson et Jean-Baptiste Mattéi, adjoints au maire de La Seyne, ont démissionné du conseil d'administretion de la Sadovar (société d'aménagement et de développement de l'Ouest-Var) (...) la volonté du Rassemblement pour la République de s'éloigner radicalement de la politique financière et de la gestion de la Sadovar dans ses choix : Villa Tamaris-Pacha et ZAC de Fabrégas notamment ».

1993
Var-Matin, 30 mars 1994 : « Fabrégas : du vin et des jeux » - « Il y aura une école de golf, un centre équestre, une grande piscine ludique et des courts de tennis. Il y aura aussi un parc naturel, d'une vingtaine d'hectares, ouvert au public et six cent trente cinq logements de standing. Le village "bas" de Fabrégas ressemble sur le papier, à un quartier résidentiel très accueillant. Même amputé par la commission des sites de sa partie haute, le projet immobilier porté aux nues par la municipalité reste un paradis pour cadres supérieurs à la retraite, qu'ils soient français, anglais ou allemands. Mais, avant de poser la première pierre, il faut en passer par 1a création d'une zone d'aménagement concerté en repartant à zéro. Ce domaine de qualité sera l'un des plus proches en France de l'équateur avance le Maire comme argument international, avec son hotel et son centre d'hébergement sportif. De plus. il rapportera de l'argent à la ville sous forme de rentrées fiscales : sept à huit millions par an contre
une charge d'un million de francs. dépensé en entretien du parc de vingt hectares.
Var-Matin, 30 mars 1994

1994
Var-Matin, 30 mars 1994 : « Sadovar : la pieuvre seynoise » - « La société d'économie mixte s'est investie dans tous les grands dossiers économiques de La Seyne qui ont échoué - Yvan-Paul Valenti, l'ancien directeur de la Sadovar - La société d'économie mixte d'aménagement de l'ouest varois (SADOVAR) exerce sur la ville des prérogatives tentaculaires. Depuis sa création en 1986 malgré les millions de francs qu'elle a dévorés, rien n'a abouti. La Z.A.C des Playes, l'aménagement des terrains et des bureaux des Coop, la villa Tamaris-Pacha, la Z.A.C de Fabrégas sont tous sujets à polémiques, à dénonciations des élus de l'opposition en conseil municipal, à des mises en garde du préfet, de la cour régionale des comptes, du ministère de l'Intérieurvoire même à des actions devant les tribunaux (...) - La zone d'aménagement concerté de Fabrégas : Le 3 mars 1989, la SEM achète des terrains situés à Fabrégas d'une superficie de plus de 43 hectares pour 25 millions de F. Elle les revend immédiatement pour 27.9 millions de francs à la Société civile immobilière de Fabrégas. Celle-ci se dote à cette occasion d'un contrat en béton par l'intermédiaire de conditions suspensives dans l'acte notarié. Extraits : « Au cas où le permis ne serait pas obtenu avant le 30 avril 91 et qu'il serait néanmoins obtenu avant le 31 août 91, le prix serait réduit à 25.9 MF ». NDLR : C'est ce qui s'est passé. « Au cas où la superficie obtenue serait inférieure de plus de 10 % de la surface initialement prévue. le prix fixé serait réduit proportionnellement... » . NDLR : Si à la date du 30 août 91 le permis de construire n'était pas obtenu. l'acquéreur (NDLR : donc la S.C.I) aurait la possibilité soit de renoncer à la vente, soit d'acquérir les terrains pour 12 millions de francs au lieu des 27.9millions de francs initiaux » (RM).
Var-Matin, 13 octobre 1994 : « La Villa - exit Valenti » - « François Hérisson pas mécontent d'ajouter quelques paragraphes au chapitre des bonnes nouvelles, hier après-midi en préambule au conseil municipal - (...) Il faut savoir qu'il n'est pas question de bétonner la ZAC de Fabrégas. Il n'est pas question non plus de faire payer les Seynois. En la matière, nous suivrons donc scrupuleusement les réglements de la commission des sites. Mon ambition est évidemment d'arrêter la Sadovar » (MLM).

1995
Var-Matin, 7 avril 1995 : « Fabrégas et le Lyonnais » - « L'affaire de la ZAC de Fabrégas plonge la commune dans la tourmente du Crédit Lyonnias, dont la présidence rencontrera sous peu le maire - Les "f'ondés de pouvoirs" du Crédit Lyonnais rencontreront François Hérisson en tant que maire et président de la Sadovar, au sujet de la ZAC de Fabrégas, le 19 avril. Les hommes de la banque, qui traverse un cyclone, viennent avec une sérieuse envie de régler cette "affaire" à leur avantage. Idem pour François Hérisson qui souhaite une solution "allégée" pour le portefeuille de ses administrés. Le 19 avril, la ville retiendra son souffle. Mais comment la ZAC de Fabrégas se trouve-t-elle aujourd'hui mêlée aux affaires du Crédit Lyonnais ? Explications. - Au commencement, il y a 43 ha 20 ca de pins et de champs à proximité de la mer, et une maison d'habitation : un espace comme il n'en existe plus dans le département parce que tous ont déjà été bétonnés et urbanisés. Un espace sur lequel plane l'ombre d'une spéculation immobilière. En 1989, la Sem-Sadovar, Société d'économie mixte chargée du développement de l'Ouest Var, présidée par Charles Scaglia qui est aussi maire de la ville, décide de racheter ces terres. Elles appartiennerit, à l'époque, à la Caisse d'action sociale de EDF qui les a elle-même achetées pour 41.000.000 F. Faute d'avoir pu obtenir un permis de construire, elle souhaite s'en débarrasser. Le 3 mars 1989, la Sadovar se porte donc acquéreur de ce que l'on appelle aujourd'hui la ZAC de Fabrégas pour 25.000.000 F, un prix très largement inférieur à celui qu'avait payé EDF. Cette somme lui sera prêtée par la Société civile immobilière du Domaine de Fabrégas qui, comme par hasard, rachètera ces terrains le même jour pour 27.900.000 F en signant un compromis de vente. Lorsque celui-ci est, confirmé, quelques mois plus tard, par les deux parties, dans un acte authentique, les problèmes commencent pour la commune. En effet, Charles Scaglia, en tant que président de la Sadovar, engage très dangereusement l'argent de la commune en signant cet acte authentique où
sont introduites des conditions suspensives aussi pittoresques que risquées. Elles se résument ainsi : si la Société civile immobilière ne parvient pas à obtenir le permis de construire, elle pourrait soit renoncer à la vente, soit bénéficier d'une réduction du prix de vente qui passerait de 27.900.000 F à 12.000.000 F. La différence devant être payée par les contribuables seynois. Six ans plus tard, ce permis de construire n'a toujours pas été obtenu. La Société civile immobilière de Fabrégas a accordé un dernier délai fixé au mois d'octobre prochain pour faire valoir ces conditions suspensives qui d'une façon ou d'une autre pénalisent la ville - Les multiples liens avec le Crédit Lyonnais (...) » (RM).

Var-Matin, 7 avril 1995

Var-Matin, 25 novembre 1995 : « Sadovar : lourd passé » - « En dehors des illégalités soulevées au tribunal de Toulon, cette société d'économie mixte reste la spécialiste des projets coûteux sans lendemain - La société d'aménagement et de développement de l'ouest Var (Sadovar) vit en ce moment ses derniers jours. Dans un an, elle aurait pu fêter son dixième anniversaire d'une vie remplie de scandales et vide de réalisations. Son nom est associé aux plus grandes déconfitures que la ville ait connu et à deux noms : celui de Charles Scaglia mis en examen pour violation des marchés publics, présentation de faux bilans et abus de confiance par le juge Frank Landou qui en était son président et celui d'Yvan-Paul Valenti, son directeur parti en 1990 pour de plus grandes destinées à la Villa Tamaris Pacha dont la Sadovar est à l'origine  (...) - Il y eut aussi Fabrégas où devait naître un village pour milliardaires. Charles Scaglia en tant que maire et président de la SEM s'était engagé à obtenir le permis de construire faute de quoi l'acheteur bénéficierait d'un prix d'achat de ces 43 hectares boisés et en bord de mer, considérablement revu à la baisse. La Sadovar s'est irrémédiablement engagée à hauteur de 25 millions de francs qu'elle avait empruntés à la Société du Domaine de Fabrégas. Elle devait lui revendre les terrains pour 27,9 millions de francs avec le permis de construire en prime. A la fin de son règne, Charles Scaglia n'avait toujours pas obtenu de permis. Le prix de rachat des terrains par la Société du domaine de Fabrégas n'est plus aujourd ' hui que de 12 millions de francs. Or la ville doit toujours rembourser son emprunt initial de 25 millions. C'est un des casse-tête de la nouvelle municipalité qui refuse que ses contribuables le paient au Crédit Lyonnais, qui par filiales interposées a hérité du "bébé" et réclame aujourd'hui son dû » (RM).
Var-Matin, 4 décembre 1995 : « Fabrégas : la douloureuse » - « Rembourser 40 millions de francs au Crédit Lyonnais ou autoriser la construction de 17.000 m2 ? Le conseil municipal cherche des solutions - Fabrégas : une ruine sur une lande qui pourrait coûter 40 millions de francs aux Seynois - La trop célèbre Sadovar est revenue sur le devant de la scène, hier soir, en réunion pubilque du conseil municipal. Une délibération concernait en effet l'élection des onze délégués de la municipalité au conseil d'administration de la société d'économie mixte que préside toujours François Hérisson. Pourquoi Maurice Paul a-t-il tant tardé avant de proposer la désignation des nouveaux délégués et prendre la présidence de la Sadovar ? "Nous étions inquiets, souligna-t-il, nous le sommes encore d'ailleurs, mais sur les conseils de notre avocat, nous allons aujourd'hui rejoindre le conseil d'administration de la Saem et constater qu'effectivement, son action est considérablement réduite mais que de douloureux problèmes n'onttoujours pas trouvé de solution" » (AF).


2001
Var-Matin, 1er juillet 2001 : « Le Conseil général achète le domaine de Fabrégas » - « Le Département va développer un projet « culturel et/ou environnemental » dans cette prppriété dont l'histoire est liée au scandale de la SADOVAR - Le domaine, d'une surface de 43 ha, a été acheté 9 millions de francs par le Conseil général - L'horizon s'éclaircit au-dessus du domaine de Fabrégas. Dans quelques jours, le Conseil général deviendra propriétaire de cette magnifique propriété de 43 hectares, au pied du massif du cap Sicié, au départ de la corniche merveilleuse. Ainsi en a décidé le tribunal de commerce de Toulon, chargé de la vente de ces terrains dans le cadre de la liquidation judiciaire de la SADOVAR (Société d'économie mixte d'aménagement de l'Ouest varois). Plusieurs candidats ont soumis leurs offres. Celle du Conseil général, d'un montant de neuf millions de francs, a été retenue. « Nous avons acheté sur deux lignes budgétaires, explique-t-on à la direction de l'environnement, à l'hôtel du département. D'une part avec la taxe espaces naturels sensibles, le reste sur le budget ordinaire du département, ce qui permettra l'aménagement de la propriété ». Pour préserver le site :
La destination de ces quarante-trois hectares n'est pas encore connue. Tout juste indique-t-on que les services départementaux
travaillent d'ores et déjà sur plusieurs projets, « liés à l'environnement et/ou à la culture ». Plus que la réalisation d'un projet précis, il s'agissait pour le Conseil général, sollicité par Arthur Paecht avant qu'il ne soit maire de la ville, d'assurer la préservation d'un site exceptionnel, qui aurait pu devenir un village de vacances pour milliardaires sous la municipalité Scaglia, sans tous les aléas liés au scandale de la SADOVAR. La propriété est en effet classée en zone NA, c'est-à-dire constructible, indique-t-on au Conseil général. Il va sans dire qu'une telle opportunité ne peut qu'aiguiser les appétits des promoteurs. D'ailleurs, on reconnaît au Conseil général, que « des tentatives de médiations ont eu lieu » à l'instigation d'autres candidats à l'achat, parmi lesquels figuraient de grands groupes français.
A travers, cette opération, il s'agit, pour le département, de rendre inconstructible, au moins pour l'habitat, un tel site exceptionnel. « Il sera possible de construire éventuellement un bâtiment public, un auditorium, des serres, tout dépendra du projet... Mais sur une surface limitée des quarante-trois hectares ». Affaire à suivre donc » (CM).

Var-Matin, 1er juillet 2001

2007
Var-Matin, 22 mars 2005 : «

2009
Var-Matin, 3 février 2009, à la Une : « Le conseil général vend son patrimoine » - « Le domaine de Fabrégas fait partie d'une vingtaine de bâtiments ou terrains mis en vente par le Département. Après un audit de ses 730 biens , la collectivité a souhaité « rationaliser » un patrimoine parfoismal situé et plus toujours adapté aux besoins ».

Var-Matin, 3 février 2009


Var-Matin, 3 février 2009, page 4 : « Le conseil général cède pour 20 millions de patrimoine » - « A La Seyne, c'est une villa de maître, « le domaine de Fabrégas » qui sera cédée » (LR).
Var-Matin, 21 février 2009 : « Château de Fabrégas à vendre » - « Inutilisé depuis son acquisition par le conseil général il y a moins de dix ans, le domaine va être mis à la vente. Mais la commune ne peut se l'offrir - Espace naturel sensible - « Avant mon élection à la mairie, il y avait eu plusieurs projets sur ce site, notamment l'édification d'un village vacances pour un organisme public, se souvient Arthur Paecht. Face à l'appréhension de voir les lieux lotis, le conseil général en avai t fait l'acquisition grâce notamment au produit de la taxe sur les espaces naturels sensibles » - Si elle est imposante, la grande bâtisse nécessite quelques travaux de réhabiltiation. Quant au terrain, le plan local d'urbanisme l'a rendu inconstructible - La commune n'a pas les moyens - Une vocation agricole ? - « Toute cette zone était dans un passé lointain à vocation agricole, précise Marc Vuillemot. Conformément aux recommandations du schéma de cohérence territoriale, je pense que recréer des espaces agricoles à cet endroit, entre la forêt et les habitations, serait une bonne idée. Nous essaierons d'encourager cela » (PZ).

Var-Matin, 21 février 2009

Var-Matin, 19 mai 2009 : « L'esquisse d'une solution pour le domaine de Fabrégas » - « Le conservatoire du littoral pourrait acquérir la partie de la propriété mise en vente par le conseil général. La ville est sollicitée pour assurer la gestion du projet - Une solution se dessine pour assurer la sauvegarde d'un patrimoine cher au cœur des habitants de Fabrégas. Le domaine pourrait conserver sa vocation agricole, s'il est racheté par le conservatoire du littoral et si la ville peut prendre en charge le plan de gestion - Quatre partenaires impliqués - En tant que gestionnaire, la ville aurait à sa charge la rénovation du château [875 m2] : « Au moins 900 000 euros », avance Gilles Vincent » (CM).

Var-Matin, 19 mai 2009

Var-Matin, 7 juin 2009 : « Quelle destination pour le domaine de Fabrégas ? » - « De nombreux projets sont prêtés au site et à la bâtisse, mais le conservatoire devra élaborer un cahier des charges préalable à toute décision - S'il suscite beaucoup d'attentes et de rumeurs, l'avenir du domaine de Fabrégas ne sera pas fixé avant des phases d'étude et de réflexion - Réhabilitation, fréquentation... - Le « plus » Natura 2000 ? L'extension en projet de la zone « Natura 2000 » six-fournaise aux côtes seynoises (notre édition du 8 mai) pourrait également avoir des retombées sur la réhabilitation du domaine de Fabrégas. « Ce serait un atout supplémentaire, estime Céline Chicharo. Accéder à ce programme européen permettrait peut-être d'obtenir des moyens supplémentaires, et surtout de bénéfider d'une connaissance plus fine, et scientifiquement plus pointue, de l'écosystème de notre territoire » » (PZ).

Var-Matin, 7 juin 2009

Var-Matin, 19 juin 2009 : « De nombreux candidats pour cultiver les terres de Fabrégas » - « Alors que les terres agricoles se réduisent comme peau de chagrin, les candidatures se multiplient pour relancer une exploitation maraîchère à Fabrégas - Un terrain convoité - Des terres protégées - Les terres agricoles sont devenues rares à proximité des villes, englouties sous le béton. Les hectares cultivables du Domaine de Fabrégas sont une exception, autant qu'un enjeu crucial - Gilles Vincent confirme qu'il a d'ores et déjà connaissance de « cinq candidats pour créer des exploitations agricoles, dont deux AMAP ». Au moins trois exploitations agricoles distinctes pourraient être installées à Fabrégas » (SB).

2010
Var-Matin, 22 février 2010 : « Domaine de Fabrégas : changement de propriétaire » - « Le conseil général cède la bâtisse au conservatoire du littoral pour un million d'euros. La gestion et les travaux incomberont à la municipalité - La belle bâtisse endormie se prépare-t-elle enfin à retrouver de l'activité ? Et qui plus est à accueillir du public ? Un premier pas en ce sens vient en tout cas d'être accompli, avec l'accord intervenu en début de semaine entre le conseil général et le conservatoire du littoral - Le conseiller général Gilles Vincent et l'adjoint aux infrastructures Claude Astore ont estimé « à la louche » le montant des travaux à un million d'euros. Ils seront à la charge de la commune - « Une concertation avec les associations concernées a mis en exergue il y a quelques mois une volonté générale de voir la bâtisse retrouver sa vocation agricole », ajoute le conseiller général. « Un projet d'agriculture bio conjoint avec des chambres d'hôtes ou similaires, et un restaurant utilisant les produits bio avaient été retenus » - Les 45 hectares des Moulières jouxtant le domaine font également l'objet d'un ambitieux projet municipal de réhabilitation et de valorisation des nombreux vestiges hydrauliques s'y trouvant (moulin, canaux d'irrigation, bassin de récupération des eaux). Le patrimoine historique des quartiers sud verrait alors se réaliser un des projets les plus ambitieux qu'on ait vu depuis longtemps » (PZ).

Var-Matin, 22 février 2010

— NB. Février 2010 : Parution de l'historique du Domaine de Fabrégas rédigé par Céline Chicharro, mairie de La Seyne-sur-Mer, 29 pages.
 
Var-Matin, 16 août 2010 : « Un projet de ferme pédagogique retoqué » - « Antoine Gonzalez [homme d'affaires résidant à La Seyne - La société Mana est une entreprise familiale de construction, travaus publics et hôtellerie] a déposé un permis de construire d'une ferme destinée aux enfants - D'abord accordée, l'autorisation a été annulée - Antoine Gonzalez a acheté en 2000 ses 12 hectares de terrain dans la forêt de Janas. Sur 2 ha, situés en zone agricole, il ambitionnait d'ouvrir une ferme pédagogique. Mais le projet a été bloqué après le recours de deux associations - Le principal point d'achoppement est la construction de la maison. Un argument repris lors de l'annulation du permis, le 15 juin dernier : « Aucun élément dans le dossier de demande de permis de construire ne démontre l'existence d'une exploitation agricole qui nécessiterait la construction d'une habitation » - L'adjoint à l'urbanisme regrette aussi l'abandon du projet : « On était intéressé par la ferme pédagogique. Actuellement, les enfants vont jusqu'à Méounes. Mais devant les remarques insistantes du préfet, nous n'avons pas voulu jouer le bras de fer » « (MV).

Var-Matin, 6 novembre 2010 : « La renaissance du domaine de Fabrégas » - « L'acquisition du site par le Conservatoire du littoral permet d'engager sa sauvegarde et sa redynamisation - le Conservatoired u littoral va engager plusieursé tudes au terme desquelles les plans d'actions sur le devenir du site pourront être validés - La ville doit procéder à des travaux d'urgence sur le bâti dégradé au fil du temps. Prévu pour 2011, ce chantier sera financé avec l'aide de la région et du département. Suivra l'élaboration d'un plan de gestion, dont l'enjeu sera de valoriser le site sous l'angle du développement durable - Dans l'immédiat, la ville de La Seyne va affecter trois employés à l'accueil du public, à l'entretien et à la surveillance du site. « Ils seront formés par le Conservatoire du littoral et assermentés au titre de la protection de l'environnement, ce qui leur permettra de faire respecter des règles de bonne conduite et, si besoin, de dresser des procès-verbaux », ajoute Claude Astore » (MG).

2011
Var-Matin, 21 juin 2011 : « Le domaine de Fabrégas repris en main » - « Propriété du Conservatoire du littoral, le site est sous la responsabilité de la ville. Des changements sont déjà visibles - Travaux d'urgence - L'intention du propriétaire est bien de valoriser le domaine sous l'angle du développement durable. À cet égard, le Conservatoire et la Ville ont la volonté conjointe de réinstaller des activités agricoles sur le site. « Il serait aussi intéressant de remettre en valeur certains vestiges comme les canaux d'irrigation et les vieux lavoirs qui présentent un intérêt patrimonial », avance Claude Astore. Quant à la réhabilitation complète du bâti, en vue d'y accueillir le public, elle se fera avec des techniques semblables à celles de l'époque de construction. Dans cette opération, la Ville se dit doublement satisfaite : d'avoir sauvé le domaine de la vente au privé, mais aussi d'avoir noué « un partenariat de qualité avec le propriétaire, qui permet une véritable sauvegarde du domaine sans pour autant trop peser sur les finances municipales ». Au final, la remise en état globale du domaine pourrait se prolonger sur une dizaine d'années. Mais la Ville insiste sur le fait que les Seynois doivent pouvoir « continuer à profiter de ce site auxquel ils sont attachés » (MG).

Var-Matin, 21 juin 2011

Var-Matin, 20 août 2011 : « Chantier d'insertion réussi au domaine de Fabrégas » - « Des détenus volontaires ont effectué des travaux de remise en état d'un terrain. Une occasion pour eux de préparer leur sortie - Outils en main, les participants, entourés de Claude Astore et d'équipe encadrante, ont achevé le chantier hier - « Nous ne les considérons pas simplement comme de la main-d'oeuvre », souligne la responsable du domaine. « On leur explique, on leur apprend. lls se sentent intégrés dans une compétence et considérés individuellement car chacun a une tache et nous passons du temps auprès d'eux pour les guider. Les détenus se sont montrés très impliqués , avec beaucoup d'envie et de curiosité », s'est également réjoui Céline Chicharro - L'avenir des lieux : le domaine de Fabrégas, acquis pour un million d'euros par le conservatoire du littoral, doit être remis en état. Mais une fois les travaux achevés, que faire de la bâtisse et des terrains qui l'entourent ? Pour Céline Chicharro, responsable du domaine, l'option de transformer la propriété en musée n'est pas envisagée. L'employée municipale aimerait en revanche replanter les cultures agricoles qui existaient autrefois. « Ce serait une belle manière de réhabiliter le lieu ». Un problème, soulevé par Claude Astore : le manque de points d'eau aux alentours. Mais l'adjoint à l'urbanisme a peut-être aussi trouvé la solution : « Il faudrait des plantations peu consommatrices » (DB).

Var-Matin, 20 août 2011

Var-Matin, 17 septembre 2011 : « Comment redonner vie au domaine de Fabrégas ? » - « Le Conservatoire du littoral, propriétaire, a fait plancher des étudiants pluridisciplinaires sur diffërentes pistes à explorer - Le Conservatoire du littoral, propriétaire du domaine, et la ville de La Seyne, gestionnaire du site, s'accordent déjà sur la volonté de revaloriser ce patrimoine dans une logique de développement durable - Les représentants de la ville, du Conservatoire du littoral, et de l'association pour la participation et l'action régionale (organisatrice du campus), en compagnie des étudiants qui ont réalisé une étude prospective sur l'avenir du domaine - Un scénario en trois temps : 1) redonner de la visibilité au site ; 2) permettre la découverte du site en équipant les points de vue de bancs, en aménageant des parcours thématiques sur le thème de l'eau et de la flore méditerranéenne : 3) exploitater des potentiels touristiques et agricoles : les ouvrages hydrauliques et les canaux d'irrigation seront remis en fonctionnement, des cultures maraîchères seront lancées afin de produire des légumes bio vendus sur place et/ou proposés aux cantines de la ville. La bâtisse deviendra une vitrine du domaine et un point de vente des produits du site » (MG).

Var-Matin, 17 septembre 2011

2012
Var-Matin, 1er avril 2012 : « Le domaine de Fabrégas, un tremplin pour l'insertion » - « La Ville, gestionnaire du site, a confié à l'association Tremplin le nettoyage d'une partie du site. Objectif : favoriser l'accès à l'emploi d'adultes en difficulté - Attirer un public familial sur le site - Comprendre et faire comprendre - L'association que dirige Jean-Noël Arrou-Vignod « aide les jeunes à s'insérer dans le monde du travail », via des chantiers d'insertion comme celui en cours au domaine de Fabrégas - Dans la zone des vestiges, dont ils réhabilitent les 8 hectares hectares, ils débroussaillent, élaguent,
dépolluent, taillent des arbres. « Un travail plutôt remarquable », note Céline Chicharro. Qui rend un bref hommage aux six jeunes présents : « Vous faites du super boulot ». « Je suis impressionné », renchérit Marc Vuillemot » (NH).
Var-Matin, 24 mai 2012 : « Ils gèrent les propriétés du Conservatoire du littoral » - « Protection de la faune et de la flore, travaux de réfection, accueil du public, etc., les gardes du littoral ne chôment pas. Sur le domaine de Fabrégas, ils sont quatre à assurer ces fonctions - « La trouée dans les arbres permet de repérer une activité humaine. On a même
trouvé une moto volée », explique Cécile Chicharro. Certains gardes du littoral sont assermentés et peuvent dresser des procès-verbaux - Garantir l'homogénéité du domaine : À La Seyne, ils sont quatre gardes du littoral, pour gérer les 47 hectares du domaine de Fabrégas. « Il y a un agent pour la surveillance, un autre qui gère les taches administratives, un responsable et un dernier qui gère les travaux forestiers », explique Claude Astore - Questions à Myriam Granier, responsable des services aménagements : « Un rôle pédagogique » - Quels sont les enjeux qui se cachent derrière cette fonction ? « Tous les sites du Conservatoire du littoral sont très fréquentés. Il faut réaliser des travaux d'aménagement tout en laissant possible l'accueil au public. Il faut donc accueillir des visiteurs sans dénaturer les sites » » (NH).
Var-Matin, 8 novembre 2012 : « Un « potager municipal » au Domaine de Fabrégas » - « La Ville et le Conservatoire du littoral souhaitent remettre en culture quelque 11 ha de terres agricoles. A terme, les légumes récoltés pourraient être servis dans les cantines scolaires - Lorsque la phase de réhabilitation sera terminée, les terres agricoles pourront à nouveau être cultivées - Plusieurs pistes ont été étudiées. Celle de jardins familiaux a été abandonnée, car la privatisation de certaines par celles paraissait peu compatible avec la vision du Conservatoire du littoral. La création d'une Amap a également été évoquée. « Mais avec des paniers vendus en général autour de 22 euros par semaine, nous avons estimé que ce n 'est pas quelque chose d 'accessible à tous ». Finalement, Ville (gestionnaire) et Conservatoire du Littoral (propriétaire) ont opté pour une remise en culture de terrains. Une partie des terres serait confiée - par le biais d'une conventjon - à un maraîcher qui disposerait d'un point de vente sur place - « Dans les objectifs du Grenelle », se réjouit le maire. Déjà satisfait d'avoir pu contribuer à sauver « ce terrain à l'abandon de l'urbanisation », Marc Vuillemot exprime sa satisfaction de voir les terres agricoles à nouvéau exploitées - Retaper la bâtisse : Dans le prolongement de la majestueuse allée de palmiers, la bâtisse jouit d'une vue imprenable. Mais ses 875 m2 demandent de lourds travaux de réfection, à commencer par la toiture. Actuellement utilisé partiellement par les agents travaillant sur le site, le mas, érigé à la fin du XIXe pourrait à terme, accueillir un centre de formation et d'échange de savoir faire autour de l'horticulture » (CG).
Var-Matin, 8 novembre 2012

2013
Var-Matin, 13 janvier 2013 : « Visite guidée d'un Domaine de Fabrégas ressuscité » - « Longtemps laissé à l'abandon, ce site remarquable est, depuis deux ans, géré par une équipe municipale. Hier, une centaine de personnes a pu mesurer le travail accompli - Après un gros travail d'enlèvement de déchets et de débrousaillage, les vestiges d'une intense activité agricole s'offrent à la vue des promeneurs - Ils ont pu découvrir la mosaïque de paysages qui compose les 55 hectares de terrain : planches de cultures qui, jusque dans les années 60, étaient encore cultivées, forêts méditerranéennes, prairies, vues sur mer, vestiges de moulins à farine et à huile d'olive, lavoirs, canaux d'irrigation... Mais tout cela n'aurait pu être « rendu » aux promeneurs, cueilleurs, centres aérés, etc. sans plusieurs partenariats, comme l'a expliqué Mme Chicharro : « Depuis deux ans, grâce au travail remarquable et au dynamisme de détenus en fin de peine de La Farlède et l'association de chantiers d'insertion Tremplin, nous avons dépollué une grande partie du site ». Durant des années, des décharges sauvages avaient fleuri en plusieurs endroits. Et plusieurs bennes ont déjà été remplies. « Mais il en reste encore, précise la responsable. On a même enlevé 7 m3 d'ossements d'un équarrisseur qui venait tout jeter ici » - En fin de promenade, les visiteurs ont eu droit à la démonstration d'un jeune cheval de labour, que ses propriétaires viennent entraîner sur les terres du Domaine, pour l'heure inutilisées » (JP).
Var-Matin, 24 mai 2013 : « Les membres du conseil municipal se sont rendus au domaine de Fabrégas, en bus hier, à l'issue du conseil municipal » - « L'objectif était de découvrir les enjeux du projet et l'état d'avancement des travaux. Les élus ont été accueillis sur place par les agents du Conservatoire du littoral, en présence de l'équipe de l'association Tremplin qui travaille sur le chantier. Autour d'un buffet préparé par les employés municipaux du service restauration, Marc Vuillemot a rappelé brièvement l'histoire de l'acquisition du domaine de 50 hectares par le Conservatoire du littoral et les principaux objectifs poursuivis : redonner à la forêt son aspect originel, remettre en valeur le système d'irrigation, permettre la mise en culture d'une partie du domaine. « Nous allons produire du bio pour la restauration scolaire. Avec 3 hectares et demi, on arrivera à alimenter les petits de chez nous », a commenté Marc Vuillemot. L'exploitation de la terre sera rendue possible grâce à une convention avec le Conservatoire du littoral. La Ville se fera aider, dans sa démarche, par l'association Agribio var. La restauration de la demeure nécessitera une intervention lourde de 2,5M. Jusque-là, sauf exception, les lieux ne se visitent pas. Marc Vuillemot a formulé des voeux d'encouragements à l'équipe qui travaille sur place : Céline Chicharro, la responsable du projet au Conservatoire du littoral, Jean-Pierre Viguier, l'agent forestier, Antoine Sabatier, le gardien, et Sophie Calabrese, l'agent adminitratif » (MV).
Var-Matin, 11 novembre 2013 : « Un appel lancé pour remettre en culture 3,4 hectares de friches  agricoles à La Seyne » - « Protéger plus de 30% du littoral avant 2030 - C'est l'objectif du Conservatoire du littoral, qui lance un appel à projets à Fabrégas. En trente ans, ce rempart contre la pression foncière a acquis soixante-dix sites sur la Côte d'Azur - La Ville, en la personne de Claude Astore, adjoint à l'urbanisme et aux infrastructures et le Conservatoire du littoral, représenté par Céline Chicharro collaborent pour la remise en culture des friches agricoles - Livrer la cuisine centrale en produits bios - Point de vente directe pour tous - Appel à candidatures : Un cahier des charges à respecter - Les agriculteurs souhaitant se porter candidats au projet devront répondre à certaines conditions. Tout d'abord, le Domaine de Fabrégas appartenant au Conservatoire du littoral, le cultivateur ne sera jamais propriétaire des terres. Le bail proposé dans le cadre du projet a été fixé à six ans reconductibles, pour un loyer mensuel de 536 euros. Les prix de vente seront, eux, fixés par l'ouvrier agricole. Aucun logement sur place n'est mis à disposition, pour le moment, mais la rénovation de la bâtisse pourrait peut-être permettre de créer un appartement de fonction. Par ailleurs, tous les locaux sont fournis, quant au point de vente directe, il sera aménagé à la charge du Conservatoire également » (CC).

Var-Matin, 11 novembre 2013

2014
Var-Matin, 25 février 2014 : « Le Domaine de Fabrégas tient son exploitant » - « Chargé par le Conservatoire du littoral de gérer le Domaine de Fabrégas, la commune était à la recherche d'un exploitant agricole afin de remettre en culture les friches (3,4 ha). Au terme d'un appel à projets, la candidature de Bruno Oberti a été retenue. Cobjectit est de mettre en place sur le site du maraîchage biologique, un rucher pédagogique, ainsi qu'un verger communal. Par ailleurs, la Ville a sollicité des aides financières auprès de Ja Région et du Département pour le fonctionnement du Domaine, estimé à 177 000 euros pour 2014 ».
Var-Matin, 7 mars 2014 : « Le futur agriculteur de Fabrégas se dévoile » - « L'agriculteur est impatient de poser son matériel sur le Domaine de Fabrégas : « Il y a là un microclimat extrêmement favorable à la culture maraîchère bio » - Qui êtes-vous Bruno Oberti ? J'ai 38 ans. J'ai arrêté la restauration après de longues années, pour me reconvertir en 2009 dans l'agriculture. J'ai suivi pour cela des études à Hyères et obtenu mon diplôme de niveau 4. L'agriculture bio m'a toujours attiré, car je suis très sensibilisé à l'environnement, mais aussi à la malnutrition. J'ai suivi plusieurs stages et actuellement, je cultive une parcelle à Cassis (...) - « Avec moi, il ne faudra pas s'attendre à manger des tomates en hiver » - On compte particulièrement sur vous pour fournir la cuisine centrale et nourrir les élèves seynois. Qu'allez-vous faire pousser ? « Ce ne sera que de l'agriculture maraîchère bio. Des fruits et des légumes de saison. Avec moi, il ne faudra donc pas s'attendre à manger des tomates en hiver. Et de toute façon, en hiver, le corps humain a surtout besoin de choux, de blettes ou d'épinards. La nature est bien faite : les légumes de saison possèdent des molécules qui bénéficient à notre système de défense... Bien manger est une question de goût, mais aussi de santé » » (JP).
Var-Matin, 30 novembre 2014 : « L'agriculture reprend ses droits à Fabrégas » - « Lancée il y a quatre ans, l'idée d'un retour du maraîchage sur ce site historique a bel et bien germé. Hier, l'exploitant des 3,5 ha cultivables a été intronisé - Bruno Oberti « prépare le terrain » depuis quelques semaines déjà. Mais hier, il recevait officiellement les clés du Domaine de Fabrégas, où il doit exploiter, pour six ans minimum, 3,5 ha en maraîchage biologique. À terme, 9 ha devraient être consacrés au retour de l'agriculture sur ce site historique - Le bio, c'est son domaine : Un peu de pression Bruno Oberti ? Forcément. Mais beaucoup d'excitation, surtout. Sa prise de fonction s'est officiellement déroulée hier, mais l'agriculteur chargé d'exploiter 3,5 ha du domaine est, en fait, arrivé il y a quelques semaines déjà. Entre les divers travaux d'irrigation, la construction du hangar, la fertilisation de la terre (avec des engrais naturels), le mauvais temps des derniers jours qui l'a contraint à faire des « saignées » pour que l'eau s'écoule... il n'a pas vraiment eu le temps de chômer. Et, surtout, pour avoir une belle première récolte au printemps, il a fallu commencer à semer : « Petits pois, fèves, pois écossais, gourmands, de l'ail, des cébettes. Puis vont suivre la salade, les radis, etc. C'est parti ! ». Des plants de figuier ou de fraisier ont même déjà fait leur apparition... Pour proposer, aux petits Seynois notamment, de sains et bons fruits et légumes de saison, Bruno Oberti a carte blanche. Et il ne compte pas s'en priver » (JP).

Var-Matin, 30 novembre 2014

2015
Var-Matin, 13 juin 2015 : « A Fabrégas, le bonheur est dans le prêt » - « Le Conservatoire du littoral, propriétaire du site, visitait jeudi le Domaine de Fabrégas. Havre de paix racheté en 2011 et confié à la gestion de la Ville qui y a installé un agriculteur - « De vraies récoltes, pas pour les bobos » - Le domaine tient son toit - Le Domaine de Fabrégas, propriété du Conservatoire du littoral, est laissé en gestion à la commune. Bruno Oberti est en charge de l'exploitation agricole du site » (LS).

Var-Matin, 13 juin 2015

Var-Matin, 10 août 2015 : « Fabrégas : à l'école des abeilles c'est l'happyculture » - « Le rucher pédagogique exploité par Antoine Sabatier, employé communal, prend tout juste son envol. Le projet s'inscrit dans le plan de réhabilitation du domaine. Une « ruche » idée ! - L'apiculture en communion avec l'agriculture « Ces petits panneaux sont ceux qui servent à la récolte du miel », explique Antoine Sabatier. De 40 000 à 50 000 abeilles composent une ruche, mais chaque ruche n'a qu'une seule reine » (MG).
Var-Matin, 27 septembre 2015 : « Les productions bio mises en lumière au domaine de Fabrégas » - « Le domaine de Fabrégas a célébré hier deux fêtes pour le prix d'une : la fête de la gastronomie et le 40e anniversaire du Conservatoire, propriétaire des 55 hectares du site dont la gestion a été confiée à la Ville. Le maraîcher installé sur place, Bruno Oberti, a pu faire déguster quelques-unes de ses productions, préparées par les agents de la restauration scolaire. Ils ont excellé pour faire ressortir les saveurs des courges, radis, tomates, oignons, poivrons, etc, servis crus ou cuits à la plancha. Du grand art qui a ravi les visiteurs, qui ont aussi pu découvrir le domaine et appréhender le sens d'une agriculture biologique. La responsable du domaine, Valérie Roche, et Bruno Oberti se sont alors volontiers prêtés au jeu des questions-réponses - Il est possible d'acheter les légumes biologiques de la ferme chaque mercredi de 14 h à 17 h et le samedi de 9 h à 12 h. » (DD).
Var-Matin, 25 décembre 2015 : « La ferme de Fabrégas va nourrir les écoliers seynois dès janvier » - « La ferme de Fabrégas a remporté l'appel d'offres des cantines scolaires - Les légumes biologiques de la ferme du domaine de Frabrégas font le bonheur de nombreuses personnes qui s'approvisionnent soit sur place, soit dans une grande enseigne qui commercialise une partie de la récolte. Mais, à partir de janvier, ces consommateurs vont avoir du mal à s'approvisionner car les légumes si appréciés vont maintenant fournir les cantines scolaires de la commune. C'est en marge de la signature de la convention relative à la COP 21 que le maire Marc Vuillemot a révélé que le domaine de Fabrégas a remporté l'appel d'offres des cantines scolaires. Ce n'était pas gagné d'avance car d'autres producteurs étaient également candidats - Le maire s'est réjoui de cette information car cette nouvelle source d'approvisionnement respecte à la lettre les préconisations environnementales de par son circuit on ne peut plus court, et aussi parce que les minots auront dans leurs assiettes des légumes de qualité tant sur le plan gustatif que nutritionnel » (PF).

2022
Var-Matin, 19 novembre 2022 : « De nouveaux aménagements au Domaine de Fabrégas » - « Le chantier ouvert sur la partie basse du site appartenant au Conservatoire du littoral vise à réaménager l'aire de stationnement et à réaliser un verger de collection. Fin des travaux avant Noël - L'aménagement en cours se trouve sur la partie du domaine située en bordure du rond-point des Deux-Frères. En médaillon, Richard Barety, chargé de mission au Conservatoire du littoral - Pourra-t-on promener les chiens sans laisse ? » (MG).

Var-Matin, 19 novembre 2022


2023
Var-Matin, 4 mars 2023 : « Au Domaine de Fabrégas, le parking naturel est prêt » - « l'aire de stationnement a été réaménagée et végétalisée - 30 places en plus » (MG).
Var-Matin, 4 mars 2023










 


 



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