- —
Var-Matin, 19 novembre 2018 : «
Les enjeux à Bois Sacré » -
« L'association s'inquiète de circulation qui seront générés par la
construction de 350 logements à Bois Sacré. « Le
plan local d'urbanisme prévoyait la possibilité de construire jusqu'à
600 logements sur le site, rappelle le maire. La révision que nous
avons faite a permis de réduire les droits à construire ».
- 2020
- — Var-Matin, 10 février 2020 : « On va enfin savoir pour le projet de Bois
sacré
» - « Le programme de 352 logements, surplombant la corniche de La
Seyne est en stand-by. Peut-être plus pour longtemps : le conseil
d'Etat se penche mercredi sur le permis de construire modificatif - Le
site de Bois sacré, qui offre une vue imprenable sur la rade, est
aujourd'hui une grande friche industrielle parsemée de pins -
L'urbanisation est devenue un enjeu politique - Les épisodes précédents
- Questions à Philippe Bega, direction générale de Constructa promotion
et vente : «Rien ne se fera avant 2021 » - Le CIL toujours contre »
(MAD).
- — Var-Matin, 14 février 2020 : « Marc Vuillemot ne « versera pas de larmes »
pour Bois sacré
» - « Si le promoteur immobilier Constructa doit commencer à
sérieusement s'inquiéter pour la viabilité de son projet de 352
logements à Bois sacré, ce n'est apparemment pas le cas de Marc
Vuillemot. Le maire a ainsi fait savoir hier qu'il ne verserait « pas
de larmes » si d'aventure le Conseil d'Etat décidait de renvoyer
l'affaire devant le tribunal administratif de Toulon (notre édition
d'hier), actant finalement par là que le programmeimmobilier ne
respecte pas la loi littoral (...) ».
-
- — Var-Matin, 14 mars 2020 : « Le permis de Bois sacré validé par la
justice»
- « Alors que les détracteurs du projet espéraient son renvoi devant
le tribunal administratif, le Conseil d'Etat a annoncé ne pas s'opposer
à la construction de 352 logements sur la friche Total - Accordé en
2015, le permis de construire 352 logements sur le terrain de Bois
sacré, au 617, corniche Philippe Giovannini, ne peut plus être attaqué
- L'association condamnée à verser 3000 euros - Constructa veut «
verdir » sa copie » (MAD).
-
- — Var-Matin, 25 septembre 2020 :
« Bois Sacré : Nathalie Bicais en
appelle au chef de l'État
» - «
Déjà opposée au projet de 350 logements sur la corniche, la maire a
découvert dans le dossier des points « aberrants». Incapable
d'empêcher, seule, sa réalisation, elle interpelle le président Macron
- Nathalie Bicais et Jean-Pierre Colin, hier sur le site de Bois Sacré.
Selon le 1er adjoint,« ils espèrent, à bas-bruit, construire 350
logements, comme si de rien n'était. Et ce, avec la passivité de l'État
» - « Corriger les obligations faites à Total » - « Quid de la
pollution ? » (MG).
-
— Vivre à La Seyne, septembre-octobre
2020
: « Nous nous battons également pour stopper le projet scandaleux de
Bois Sacré qui fait fi de la protection de notre patrimoine écologique
et de la qualité de vie des citoyens (...) ».
-
-
— Var-Matin, 27 octobre 2020 : « Une pétition contre le projet immobilier à
Bois Sacré » - « Le permis de construire ayant été délivré et
les recours purgés, « il ne reste
que l'action politique et citoyenne
» contre le projet immobilier, expliquent les auteurs de la pétition -
«
Ce projet est l'affaire de tous » - Le soutien de Nathalie Bicais »
(MG).
-
— Var-Matin, 30 octobre 2020 : « Quels vieux secrets renferme la terre de
Bois sacré ?
» - « Opposée au projet immobilier sur le site de Total, la maire
Nathalie Bicais aimerait y relancer des investigations dans l'espoir
qu'elles révèlent un intérêt historique du terrain. Explication - Avant
Total, une usine de briques de charbon - Si le secteur de Bois sacré
est notoirement pollué en sous-sol, certains estiment que la terre de
cet ancien site industriel renferme d'autres secrets, historiques ou
archéologiques cette fois - L'origine du nom - Le charnier de 1793
toujours pas localisé - Trois squelettes... et puis c'est tout - Le
dossier archéologique est bouclé - Les « enterrés » des Mouissèques
seraient morts de la peste » (MAD).
— Var-Matin, 4 novembre 2020 : « La pétition contre le projet immobilier à
Bois Sacré flambe
» - « Lancée le 21 octobre par le CIL Balaguier - Le Manteau -
L'Eguillette, la pétition en ligne contre le projet immobilier à Bois
Sacré (355 logements prévus sur 7 étages) a dépassé le millier de
signatures ».
— Var-Matin, 9 décembre 2020 : « Coste chaude, Bois sacré... et maintenant ?
» - « L'abandon des deux projets immobiliers par la nouvelle équipe
municipale a animé les débats, lundi soir, lors du conseil. Mais
l'avenir de ces deux terrains reste mystérieux - A Bois sacré, la
municipalité dit vouloir préempter le terrain pour empêcher la
réalisation d'un programme immobilier de 452 logements. Coût de
l'opération : 6,3 millions d'euros » (CG).
2021
— Var-Matin, 21 novembre 2021 : «
Quel projet alternatif pour le site de
Bois Sacré ? » - « L'an dernier, la maire de La Seyne annonçait
sa décision de préempter le site de Bois Sacré que le propriétaire, le
groupe Total, comptait vendre au promoteur Constructa pour y
construire 350 logements (dont 30 % de sociaux) en bordure de la
corniche Giovannini. Désormais, la ville lance une concertation
publique sur le devenir du site.
« Nous préemptons le site pour 8 millions d'euros, soit le montant de
l'estimation des Domaines, explique Nathalie Bicais. Nous devons
maintenant présenter un projet alternatif avec une programmation qui
dynamise l'économie locale tout en n'impactant pas fortement
l'environnement. Comme cela relève de l'intérêt général des Seynois,
on engage une concertation sur le type de projets à mettre en œuvre. Et
à quel endroit car il y a des zones de cet ancien dépôt pétrolier dont
les sols contiennent des hydrocarbu res, et qu'il faudra dépolluer.
D'autres parties n'auront pas vocation à être aménagées afin de garder,
par exemple, des espaces de promenade » (MG).
— Var-Matin, 29 novembre 2021 : «
Des citoyens planchent sur l'avenir de
Bois Sacré » - « Après avoir bloqué la construction de 350
logements sur le site, la ville doit présenter un projet alternatif.
Pour l'élaborer, elle recourt à la concertation. Les premières
propositions émergent - Pour la plupart riverains de Bois-Sacré, une
vingtaine de Seynois ont participé au premier atelier de concertation
sur l'avenir du site - Encore trois ateliers ouverts à tous - A gauche : Voici le plan réalisé
par un urbaniste sollicité par la ville pour préparer le travail de
concertation. On y voit notamment, en vert, les espaces naturels (qui
le resteront) et en violet, les zones à urbaniser, limitées aux
secteurs qui ont déjà été bâtis par le passé. A droite : beaucoup aimeraient
conserver tout ou partie des graffs réalisés sur le site. Pour l'heure,
la question reste en suspens » (MG).
2022
—
Var-Matin, 11 mai 2022 : « Bicais - Colin : la rupture » - «
Suite à un profond différend sur la gestion du dossier Bois Sacré, la
maire retire au 1er adjoint ses principales délégations. Tandis
que la menace de 350 logements sur la corniche ressurgit » - « À
l'origine, j'ai reçu un courrier de Total me disant que je n'ai
aucune légitimité à travailler avec la population, via des ateliers de
concertation, sur un projet alternatif pour le site de Bois Sacré.
Motif : la procédure de préemption quevoulait engager la ville, est «
caduque». Sur le moment, je n'ai pas compris, puisque cette procédure
devait avoir été lancée depuis des mois. Après recherches, on s'est
aperçu que l'avocat chargé de s'en occuper, ne l'avait pas verrouillée
comme on le demandait. En plus, j'apprends que les services de la ville
ont relancé trois fois cet avocat, avant la date limite, pour qu'il
confirme la procédure. Incompréhensio totale. Nous en parlons alors
entre élus de la majorité et on s'accorde sur le fait que c'est
inconcevable que l'avocat, que l'on paie pour faire les choses en temps
et en heure, nous ait mis dans cette situation. Et là, Jean-Pierre
Colin, qui nous avait recommandé cet avocat, nous explique que c'était
fait exprès, que c'était « une stratégie », et qu'il lui a demandé de
ne pas confirmer la procédure. (...) "Alors, que faire avec un élu en
charge du contentieux qui décide d'une stratégie tout seul, alors qu'on
était tous d'accord pour faire le contraire. Je ne peux plus lui faire
confiance, d'autant - et j'en suis scandalisée - qu'il me fait
porter le chapeau en disant que j'étais au courant. Aujourd'hui,
il n'y a plus de terrain d'entente. Je décide donc de lui retirer
ses délégations aux affaires juridiques, au contentieux et au
développement économique » - « Une
divergence de méthode » - « Interrogé hier soir, Jean-Pierre
Colin explique d'abord qu'« avec
Nathalie Bicais, nous sommes d'accord sur le fond : on ne veut pas de
ce projet immobilier de l'ère Vuillemot sur 21 000 m2 à Bois Sacré.
Telle était donc la commande politique que m'avait passée la maire de
La Seyne : faire en sorte qu'il n'aboutisse pas. Mais ce sont des
procédures complexes et il esttoujours délicat de s'en expliquer
publiquement, sinon on donne des armes à l'adversaire, dont Total
- qui n'est autre que la première entreprise française. Sans
oublier que le permis de construire accordé à Constructa a
été validé par la plus haute juridiction, le Conseil d'État ! »
- « Aussi,
poursuit Jean-Pierre Colin, en
lançant une procédure de préemption, il faut faire très attention
à ne pas être en situation d'abus de droit... À un moment, il fallait
s'engager à maintenir cette procédure, or celle-ci n'était pas
structurée pour être acceptée par letribunal administratif ».
Pour le moment, il ne souhaite pas en dire davantage, mais reconnaît « une divergence sur la méthode »,
avec Nathalie Bicais » (MG).
— Var-Matin, 12 mai 2022 : « Bois Sacré : Marc Vuillemot veut « rétablir
la vérité » » - « L'ancien maire de La Seyne ne veut pas laisser
dire qu'il serait responsable de ce projet immobilier. Et martèle qu'au
contraire, il s'est attaché à en minimiser les impacts, dans le cadre
de la loi - « Nous avons réduit les droits à construire » - « Un maire se doit de respecter la loi
», rappelle Marc Vuillemot à Nathalie Bicais et Jean-Pierre Colin, qui
lui reprochent d'avoir accordé le permis de construire à Bois Sacré. « D'ailleurs, tous ceux qui ont tenté de le
faire annuler par la justice administrative s'y sont cassé les dents
» - En conclusion, Marc Vuillemot tacle : « Les engagements à accomplir l'impossible,
c'est utiledans une campagne électorale. En responsabilité, la réalité
imparable du droit républicain vous rattrape. Il aura fallu deux ans
pour que la municipalité le réalise. Pourvu que l'impact
budgétaire des stratégies d'apprentis sorciers de Mme Bicais et M.
Colin sur cette affaire ne soit pas dévastateur pour les finances
communales » (JP).
— Var-Matin, 11 juin 2022 : « Bois Sacré : Nathalie Bicais veut « une
mobilisation citoyenne » » - « Lors d'une réunion à huis clos
du conseil municipal, jeudi soir, la maire a annoncé sa volonté
d'appeler la population à une manifestation contre le projet de 350
logements sur le site - Dans quel but
? Pour demander à l'État de ne pas cautionner, en vue d'un
projetimmobilier, la vente d'un terrain pollué par les hydrocarbures.
Et ce, alors que la servitude préfectorale 121 surle site permet à
Total de le faire. Donc Total peut vendre au promoteur sans avoir
l'obligation de dépolluer ; ce qui amène à un mauvais projet avec des
immeubles en R +6 collés à la corniche à cause de la pollution
laissée au cœur duterrain. Notre idée est donc d'organiser une
mobilisation pour appeler l'État à se positionner sur cette situation
scandaleuse au nom du principe « pollueur = payeur » qu'il prône.
Aujourd'hui, nous n'avons plus que ça pour faire entendre la voix des
Seynois - Quel message
souhaitiez-vous faire passer ? (...) Puis, en novembre, nous
avons enclenché la procédure de préemption envue de réaliser un
meilleur projet, plus conforme à nos attentes en termes de dépollution
du site et de respect de la loi « Climat et résilience », qui fixe un
objectif de « zéro artificialisation nette ». Nous avons ensuite mis
sous sé questre lasomme de 948 000 € (représentant 15% de l'évaluation
du site par les Domaines) via une délibération votée en conseil
municipal le 12 avril 2021. Mais nous avons eu une difficulté technique
et politique, puisque la notification de cette procédure, qui devait
être envoyée au plus tard le 26 avril, a été faite avec 13 jours de
retard par l'avocat. Et le juge a considéré que, malgré le dépôt des
fonds, la consignation était imparfaite dans sa forme, donc non
valable. Et vous estimez que la faute
incombe à Jean-Pierre Colin ? Il nous dit que c'était sa
décision de demander à l'avocat de ne pas respecter le délai. Mais cela
pose un problème avec cet adjoint qui œuvre seul et prend une décision
qui va à l'encontre de la volonté de la majorité. Il a décidé de faire
avorter cette préemption et c'est, pour moi, une trahison de nos
objectifs de campagne concernant Bois Sacré - Le premier adjoint Jean-Pierre Colin : «
Démontrer ma bonne foi et éviter un risque pénal » - « Nathalie
Bicais veut me faire porter le chapeau » : Pour autant, ajoute-t-il, « Total et Constructa peuvent faire
condamner la Ville pour procédure dilatoire, du fait de la préemption
en bois qui avoit été engagée, mais qui n'est pas de mon fait puisqu'il
y a un adjoint en charge de l'urbanisme qui aurait dû travailler,
durant l'été 2020, sur un projet altematif. Pour autant, Nathalie
Bicais veut me faire porter le chapeau » - Quid du dossier
aujourd'hui ? « Le préfet
ayant dit clairement que le permis de construire était purgé de tout
recours et validé par le Conseil d'État, on ne peut pas l'ignorer,
répond Jean-Pierre Colin.Et la préemption étant caduque, il ne reste
que deux possibilités : soit on laisse construire, soit on paie... plus
de 20 millions. En effet, selon une junsprudence du Conseil d'État, il
faudrait indemniser la perte que représenterait, pour le
promoteur, la non-réalisation de l'opération. Soit environ
12 millions, auxquels s'ajoute le prix du terrain (8 millions) et 1,3
million de frais déjà engagés par le promoteur... « Lors de la réunion jeudi soir,
conclut le 1er adjoint, l'élu
d'opposition Olivier Andrau a suggéré de consulter les Seynois, par
référendum, sur l'alternatiue « payer ou laisser construire ». Il me
semble que c'est une bonne option » (MG).
— Var-Matin, 24 juin 2022 : « Pollution à Bois Sacré : de quoi parle-t-on
? » - « Pour s'opposer au projet de 350 logements sur le site où
Total a stocké des hydrocarbures durant des décennies, la municipalité
affirme que le site est « pollué ». Qu'en est-il ? - Sur ce site de 7
hectares, Constructa dispose d'un permis de construire validé en mars
2020 par le Conseil d'Etat, la plus haute juridiction administrative du
pays - Deux procédures en cours
- La Ville a engagé une procédure de préemption en novembre 2020,
mais les délais n'ayant pas été respectés (voir nos éditions
précédentes), la procédure a été jugée irrecevable par le tribunal
administratif de Toulon. La ville a fait appel de cette décision devant
la cour administrative d'appel de Marseille. Par ailleurs, dans sa
volonté de préempter, elle a fait une contre-proposition de prix :
elle voulait acheter le terrain pour 6,3 millions alors que Total le
vend à Constructa 8,8 millions. Suite au refus, la ville a saisi le
juge de l'expropriation pour que le prix soit fixé judiciairement »
(MG).
— 22 juin 2022 :
Lettre de Mme Nathalie Bicais, Maire de La Seyne-sur-Mer, à M. le
Président de la Réppublique :
« Nathalie Bicais,
22 juin 2022 :
Vous aussi dites NON à ce projet, SIGNEZ LA PETITION
https://chng.it/cNkg8XNt & PARTICIPEZ A LA MOBILISATION CITOYENNE
LE 25/06 https://bit.ly/3nd9mt6
Déjà en 2013, je m’étais mobilisée pour dire NON AU PROJET TOTAL SUR
BOIS SACRE ! Dès mon élection en tant que Maire de La Seyne-Sur-Mer,
avec l’équipe municipale, nous avons poursuivi le combat. A ce titre,
j’ai alerté le Président de la République Emmanuel Macron le 14
septembre 2020. Aujourd’hui, je l’interpelle à nouveau pour lui
demander de nous aider à remettre en cause ce projet et à imposer une
réelle dépollution du site. Voici le courrier envoyé ce jour
Vous pouvez également soutenir cette cause en partageant la pétition,
l’évènement Facebook, les publications et en mobilisant vos contacts
presse (envoyez les coordonnées à boissacre@la-seyne.fr).
#SauvonsBoisSacré
#TotalNeDétruisPasNotreLittoral #TouchePasMonBoisSacré
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— Var-Matin, 26 juin 2022 : « 200 citoyens derrière la maire contre le projet de Bois Sacré
» - « Samedi matin, Nathalie Bicais et quelques élus ont manifesté avec
des Seynois contre le programme de 352 logements prévus en bord de
corniche, malgré un permis de construire valide - "cc Un espace naturel
pollué en son cœur » - « Oui à un projet intelligent, utile aux Seynois
» - Munis de banderoles et de pancartes, les manifestants, emmenés par
Nathalie Bicais et quelques élus, se sont rendus en face du site de
Bois Sacré, où aucun d'eux ne veut voir construire « une muraille de
béton » (JP).
— Var-Matin, 2022 : «
— Var-Matin, 2022 : «
— Var-Matin, 2022 : «
Coste
Chaude
- 2019
— Var-Matin, 7 mars 2019 : « Les riverains font bloc contre « le projet
Coste Chaude »
» - « La ville s'est heurtée à l'hostilité des habitants de ce quartier
résidentiel quand elle leur
a présenté un programme immobilier de 145 logements, dont un tiers de
locatifs sociaux - « Urbaniser, ce n'est pas massacrer » - Des
bâtiments en R+2 - Localisé dans les quartiers sud de la ville, le
projet immobilier est délimité par les chemins de Mauvéou et de Fernand
Bonifay - Environ 150 riverains du quartier se sont rendus, mardi soir,
à la réunion de présentation du « projet Coste Chaude » organisée par
la mairie - L'absence du maire remarquée - Le programme immobilier en
bref » (MAD).
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Var-Matin, 7 mars 2019
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— Var-Matin, 16 mars 2019 : « Coste Chaude : la résistance contre le
projet immobilier s'organise
» - « La réunion publique de Nathalie Bicais, jeudi soir aux Sablettes,
aura permis aux opposants au futur complexe résidentiel de 144
logements de fourbir leurs armes pour attaquer le projet - La réunion
publique de campagne de Nathalie Bicais a attiré une centaine de
personnes venues chercher des réponses sur la manière de s'opposer au
projet immobilier - Voici le visuel du projet de lotissement avec 144
logements tel qu'il a été présenté la semaine dernière à l'hôtel de
ville - « Un massacre à la bétonneuse » - Comment attaquer ? » (MG).
-
— Var-Matin, 20 mars 2019 : « Nathalie Bicais « lutte contre la
bétonisation »
» - « Candidate aux élections municipales de 2020, Nathalie Bicais (LR)
tient son sujet du moment pour capter les foules. Le projet immobilier
dit de Coste Chaude, porté par la Ville et qui se heurte à une vive
opposition des habitants du quartier, sera en effet le sujet de sa
prochaine réunion publique, le 4 avril à 18h, à l'Hacienda (forêt de
Janas) ».
— Var-Matin, 26 mars 2019 : « Coste Chaude s'invite dans le débat
» - « Une vue d'architecte du projet de Coste Chaude - Le maire ne
recule pas ».
— Var-Matin, 31 mars 2019 : « Immobilier à Coste Chaude : les riverains
seront consultés
» - « La rencontre était annoncée houleuse. Et elle le fut ! Lors de
l'assemblée générale du CIL Ouest et Sud, le maire a justifié le projet
contesté de 145 logements. Et ouvert la voie à une consultation - Près
de 150 personnes et une dizaine d'élu(e)s ont participé à cette
assemblée générale au cours de laquelle le projet immobilier à Coste
Chaude a été au cœur des débats - « Rien n'a été fait dans le dos de
quiconque » - « L'enquête publique n'est pas obligatoire » - « Discuter
pour avancer » (MG).
— Var-Matin, 28 septembre 2019 :
« Modification des règles d'urbanisme
: exprimez-vous » - « Le projet immobilier de Coste Chaude ».
— Var-Matin, 23 octobre 2019 : « Le bouillant projet à Coste chaude mobilise
plus que jamais
» - « Ouverte depuis quatre semaines, l'enquête publique sur la
modification du plan local d'urbanisme se termine vendredi soir.
Phénomène rare, mais attendu : l'abondante participation des Seynois -
Depuis le 23 septembre, les Seynois viennent massivement s'exprimer
contre le projet de modification du plan local d'urbanisme (PLU) lequel
prévoit, entre autres, l'ouverture à l'urbanisation du secteur de Coste
Chaude, afin d'y construire un complexe immobilier de145 logements que
l'on peut visualiser sur ce document - Un flot de critiques
ininterrompu - A boulets rouges - Avis
et conclusions le 25 novembre - Le Cillsos s'implique - Les
justifications - Plan à l'appui, l'Etablissement public foncier fournit
cette information à l'enquête publique. Il explique que, face à la
réaction des riverains, des amendements ont été apportés au projet : « L'implantation des bâtiments se veut désormais plus compacte, ce qui
augmente la surface d'espaces verts
et dégage de larges espaces plantés aux pourtours de l'opération. Les hauteurs des bâtis sont désormais en R + 2
sur la partie sud-ouest, le long du chemin de Mauvéou; et en R + 1 au
nord-ouest et à l'est » » (MG).
— Le Seynois,
décembre 2019, page 38 : « Alors qu’en 2008 Marc Vuillemot promettait
de mettre fin à l’urbanisation galopante, il en est aujourd’hui à
amputer nos espaces boisés au profit de projets immobiliers. (...)
Aujourd’hui, le Maire est plus obstiné que jamais dans sa volonté de
construire toujours plus. L’enquête
publique diligentée sur le projet immobilier Coste Chaude vient de
s’achever. Elle a provoqué une très forte mobilisation des Seynois qui
ont tenu à exprimer leur volonté de sauvegarder la nature et de
s’opposer à la frénésie urbanistique de Marc Vuillemot » (LR-UDI).
— Var-Matin, 13 décembre 2019 : «
Feu vert pour le projet immobilier à
Coste Chaude
» - « La modification du Plan local d'urbanisme, qui permet la
construction de 145 logements à Coste Chaude,
a reçu un avis favorable suite à l'enquête publique et a été validée
par les élus de TPM - le projet, dont on peut ici visualiser l'emprise,
prévoit la création de 145 logements dans le sud de la commune. Malgré
la forte opposition des riverains - « Une psychose des proches
riverains » - Une réserve et trois recommandations - le PLU impose un
quota de 40 % d'espaces non imperméabilisés - Droit au but - Les
réponses de la Métropole » (MG).
— Var-Matin, 14 décembre 2019 : «
L'opposition s'écharpe au sujet de
Coste Chaude
» - « Bien que le projet immobilier n'était pas à l'ordre du jour du
conseil municipal qui s'est tenu hier, son évocation a entraîné une
vive passe d'armes... entre les opposants à ces 145 logements - C'est
au dernier rang (en bas sur la photo) que se sont concentrés les débats
les plus virulents du conseil municipal d'hier matin - Le duo
Colin-Bicais justifie son abstention - « J'ai plus de respect pour
celles qui vendent leur corps ! » (MAD).
— Var-Matin, 16 décembre 2019 : «
Luc Patentreger et l'épineuse question
de Coste Chaude
» - « Si l'impopulaire projet de construction de 145 logements au
lieu-dit de Coste Chaude n'en finit plus d'empoisonner la vie de la
majorité municipale, mais aussi de l'opposition (lire notre édition de
samedi), il oblige également le candidat écologiste Luc Patentreger à
un positionnement pour le moins délicat. Celui-ci, clairement opposé au
programme immobilier, le clame haut et fort : « Il
est encore possible d'arrêter ce projet qui va à l'encontre de la
demande citoyenne d'un territoire d'équilibre. La municipalité (...)
appuie sur l'accélérateur de la bétonisation de nos derniers espaces
verts ». Une position logique, sincère sans doute, quand on se
veut le chantre de la protection de l'environnement. Sauf qu'on ne
saurait oublier aussi que la modification du Plan local d'urbanisme, et
de fait le projet de Coste Chaude, sont des dossiers portés à bout de
bras par Denise Reverdito, adjointe au maire. Et que cette même élue
EELV est une proche de Luc Patentreger et un soutien de poids pour sa
liste ! « Denise a proposé un projet
le moins constructible possible et la ville est tenue par une
convention qui la taxe de 2 millions d'euros si le projet, signé sous
Paecht, ne se fait pas», la défend le candidat. Qui insiste : « Je
m'emploierai avec force à stopper ce projet néfaste et à présenter une
alternative écologique raisonnable ». En concertation avec
Denise Reverdito ? » (MAD).
— Facebook, 22 décembre 2019 : « Parés à déposer des recours contre le
projet immobilier à Coste Chaude
» - « Nathalie Bicais et la Coalition redisent leur opposition au
projet de 145 logements à Coste Chaude et dénoncent le "coup
d'accélérateur du Maire" - Nathalie Bicais (au centre), entourée par
des membres de la "Coalition", et aux côtés de responsables de
l'association Agir pour Coste Chaude, se sont rassemblés hier sur le
site du projet pour expliquer leurs positions ».
- 2020
-
— Var-Matin, 1er février 2020 : «
Un recours contre le projet
immobilier à Coste Chaude
» - « Le projet de 145 logements à Coste Chaude a animé la fin de
séance du CIL Ouest et Sud hier soir - « Changer de doctrine » » (MG).
-
- —
Var-Matin, 3 septembre 2020 : «
Coste Chaude : La maire fait une
croix sur le projet immobilier » - « Le complexe résidentiel de
140 logements dans la pinède de la rue Fernand-Bonifay ne verra pas
le jour. Nathalie Bicais annonce qu'elle refuse le permis au projet
porté par Vinci Immobilier - Nathalie Bicais s'est rendue hier sur la
colline de Coste Chaudepour annoncer, in situ, sa décision de refuser
le permis de construire - Pourquoi le rejet ? - Quels acteurs concernés
? - Quel coût pour la
ville ? - Quel projet à la place ? - Quid des logements sociaux ? »
(MG).
-
— Vivre à La Seyne, 3 septembre 2020
: « Coste Chaude : promesse tenue
» - « C'était une promesse de campagne : Madame le Maire Nathalie
Bicais a annoncé hier mercredi 2 septembre l'annulation du permis de
construire sur l'espace boisé de Coste Chaude. Objectif, rendre sa
vocation agricole au site ».
— Var-Matin, 15 novembre 2020 :
« Coste Chaude : la Ville a
trois ans pour racheter les terrains
» - « La page du projet immobilier de 145 logements dans la pinède de
la rue Bonifay est définitivement tournée. La municipalité doit
désormais en assumer, seule, les conséquences financières - Dernier
versement en décembre 2023 - La pinède de Coste Chaude va revenir dans
le giron de la Ville - L'inquiétude des élusd'opposition - Un litige
avec Vinci - Quel projet alternatif ? » (MG).
- Var-Matin, 28 novembre 2020 : «
Coste Chaude fait flamber le groupe
d'opposition
» - « Cassandra Lai, Stéphane Lancellotta et Basma Bouchkara quittent
le groupe formé, au conseil municipal, avec les ex-colistiers de
MarcVuillemot - Trois des quatre élus de l'ex-liste de Luc Patentreger
(Basma Bouchkara, Cassandra Laï et Stéphane Lancellotta) annoncent
qu'ils quittent le groupe d'opposition « Énergie positive pour une
ville verte et ouverte » formé, au sein du conseil municipal, avec les
quatre conseillers municipaux de l'ex-liste conduite
par Marc Vuillemot. Cette décision, expliquent les « partants » à un
désaccord sur le dossier Coste Chaude » (MG).
Gai versant
- 2006
- — Var-Matin, 12 mai 2006 : « Le Gai-Versant se sent sacrifié
» - « Les riverains se battent pour « tempérer les ambitions des
promoteurs - Pierre Matrullo, président de l'association de Défense du
quartier Gai-Versant voudrait que l'on « mette à profit le terrain
Total
pour réaliser des espaces publics en réduisant le dépôt de bus et les
surfaces construites - Programme : quatre-vingts logements d'ici à 2008
» (PHC).
-
- 2007
- — Var-Matin, 2 août 2007 : « Plus
de 140 logements au Gai Versant en décembre » - « Résultat
d'une collaboration entre l'Office public de l'habitat et la SNI -
Bientôt 146 logements en lieu et place du terrain vague... - Mail
rétrocédé à la ville » (AT).
-
- 2008
-
— Var-Matin, 23 octobre 2008
: « L'explosion immobilière du Gai Versant inquiète les riverains » - «
La population du quartier pourrait doubler dans les années à venir.
Mardi soir, les habitants ont partagé leurs craintes avec les élus de
la ville - La réunion publique organisée en mairie mardi soir a été un
franc succès. Plus d'une centaine de riverains du quartier du Gai
Versant s'étaient déplacées p our discuter avec les élus. Les échanges
ont duré près de trois heures - Un futur carrefour stratégique - Le
zonage modifié dans la révision du PLU ? - Pas assez de place de
parking par logement » (OM).
-
-
- 2009
-
— Var-Matin, 13 janvier 2009 : « Gai-Versant : le balai des camions
» - « Le président de l'association de défense du Gai-Versant, Pierre
Matrullo, nous fait parvenir les photos des poids lourds contraints
d'emprunter le chemin du Gai-Versant pour accéder au chantier de
construction des nouveaux immeubles. « Cette situation génère des
risques. Les camions arrachent des clôtures, emportent des fils
téléphoniques... la gêne est très importante », nous explique le
riverain ».
- —
Var-Matin, 18 février 2009 : « Le chantier des 74 logements a débuté au
Gai-Versant
» - « Le directeur de l'office public de l'habitat, Joël Canapa,
satisfait " que le PRU soit dans les temps " comme le vice-président
Jean-Luc Bruno et la sous-préfète Caroline Gadou - La future résidence
se décompose en trois corps de bâtiment - Livraison prévue en juin 2020
» (PZ).
-
— Var-Matin, 20 août 2009
: « Au Gai Versant, la petite maison trop près du chantier des HLM » -
« Le quotidien très difficile d'un couple de personnes âgées habitant à
moins de trois mètres d'une résidence de 74 logements qui sort de terre
- Le chantier de la résidence du Gai Versant (74 logements sociaux)
pousse juste sous les fenêtres de la villa des Zoldi Le couple de
personnes âgées se dit exténué des nuisances quotidiennes provoquées
par les travaux - Privé de télévision à cause des travaux - « Que vaut
notre maison maintenant ? » - Joël Canapa, directeur de l'Office : «
Nous sommes bien conscients des difficultés » (OM).
-
-
— Var-Matin, 23 novembre 2009 : «
Les riverains du Gai-Versant ne
veulent pas d'une cité-dortoir»
- « Les habitants du quartier profondément transformé souhaitent la
création d'espaces publics à la place du projet de dépôt de bus.
Surtout, pas plus d'immeubles - Sous les grues des nombreuses
constructions émaillant la colline du Gai-Versant, l'ex-terrain Total
(au premier plan) jouxtant le chemin de Lagoubran aux Playes,
doit accueillir un grand dépôt de bus destiné au réseau Mistral - Un
œil
sur la révision du PLU - Crèche, école, commerces... - 153 bus moins
gênants que des immeubles ? » (PZ).
-
- 2010
— Var-Matin, 8 septembre 2010 : «
Les habitants du Gai Versant se
penchent sur la révision PLU » - « Elus et membres de
l'association de défense du quartier ont
discuté, mercredi soir, des diverses problématiques en rapport avec la
révision du PLU - « Agrandir et créer des rues » - Réhabilitation de la
gare » (AL).
— Var-Matin, 5 décembre 2010 : « Quartier Gai-Versant : « Notre rue est un
chantier » » - « L'Association de défense du quartier
Gai-Versant en
travaux, a tenu son assemblée générale, hier - L'association dénonce,
entre autres, les problèmes de circulation et de stationnement sur le
chemin du Gai-Versant - Ras-le-bol général - « Pas de stationnement » »
(JP).
-
- Porte Marine
- 2005
— Var-Matin, 12 août 2005 : « Porte Marine s'ouvre sur 600 logements
» - « Intrigués par la façade de bois, Seynois et vacanciers sont
nombreux à passer la Porte Marine pour découvrir le projet de création
de logements qui devraient sortir de terre d'ici à 2007 » (PC).
-
— Var-Matin, 23 septembre 2005 :
« Arthur Paecht : « ici... tout va
changer !
» - « Hier matin, la commercialisation du programme immobilier le plus
important de la région a été lancé. Première livraison en 2008. Au
terme du projet, plus de 500 logements sortiront de terre - Une
métaphore d'un passé glorieux - L'Escale
sera l'un des quatre bâtiments de la première tranche du programme -
Accès difficile - Des logements sociaux aussi - Arthur Paecht : « On
a commencé à planter les arbres. Des palmiers... bon ! je n'aime pas
les palmiers, ce n'est pas un arbre d'ici. Nous ne sommes pas à
Marrakech » (PC).
-
- 2006
— Var-Matin, 13 juin 2006 : « Achetez ! En bord de mer, vous ne vous
trompez pas » - « Selon. Marc Piétri, p.-d.g. de Constructa, La Seyne a des atouts
uniques en France - L'Atoll, l'Amirauté,
l'Archipel et L'Escale constituent la première tranche du vaste
programme immobilier Porte
Marine qui en compte quatre. Premier coup de pioche dans quelques
semaines - L'hôtel sortira-t-il de terre un jour ? » (PC).
-
— Var-Matin, 26 septembre 2006 :
« Premiers coups de pelle à Porte
Marine
» - « Un an après la commercialisation, 80 % des 220 appartements ont
été vendus - Au printemps, les grues fleuriront sur le site des futurs
immeubles de la première tranche de Porte Marine : l'Atoll, L'Archipel,
l'Amirauté et L'Escale - Futur hôtel : dans l'antichambre de la
décision » (PHC)
-
— Var-Matin, 29 septembre 2006 :
« Qui sont les propriétaires des
appartements neufs ?
» - « Dans
le programme Grand Horizon, un acquéreur sur deux est Seynois - 15%
sont des investisseurs - Une vue virtuelle du projet tel qu'il a été
dessiné par le cabinet marseillais d'architecture C+T... - et tel qu'il
prend corps actuellement. La livraison est prévue pour le mois de
septembre 2007 » (PHC).
- 2007
— Var-Matin, 26 avril 2007 : « A plus de 3500 € le mètre carré les
appartements s'arrachent
» - « Un quartier de standing va s'amarrer au parc de la Navale - les
grues hérissent l'horizon de la Seyne pour faire sortir de terre les
vaisseaux de béton et de verre - Une pyramide d'argent - Déjà la 2e
tranche de 154 logements - Jamais Marc Piétri, le pdg de Constructa
n'aura été aussi près d'aboutir sur le projet d'hôtel à la Seyne, une
promesse faite à Arthur Paecht » (PC).
-
— Var-Matin, 17 septembre 2007 :
« Porte marine : « La vraie percée
commence maintenant »
» - « Entre les immeubles, les travaux du « mail paysager » ont débuté
- Le « Mail paysager de Porte marine » représente une surface de plus
de 6900 m2 contenant 30 places de stationnement, 60 arbres et 850 m2
d'espaces verts. Sa façade Est se compose de quatre bâtiments de 221
logements, sa façade Ouest de quatre bâtiments de 183 logements - « Une
saine concurrence »- 5,5 millions d'euros » (AT).
-
— Var-Matin, 6 novembre 2007 : « Porte Marine, le vaisseau de béton arrive à
bon port
» - « Les premiers logements seront livrés dans huit mois. Visite de
chantier - L'Atoll le bâtiment le plus avancé sera livré au mois de
juin prochain, puis viendront en septembre l'Amirauté, l'Archipel et
plus tard l'Escale » (PHC).
-
- 2008
— Var-Matin, 17 janvier 2008 : « Porte Marine : à nouveau quartier, nouveaux
commerces
» - « 1500 m2 de surfaces commerciales naîtront au pied des immeubles -
La première tranche de l'immense projet « Porte Marine » devrait être
livrée en septembre. Cinq commerces seront alors concernés - La vue sur
les monts toulonnais et la rade devrait être prisée des restaurateurs »
(PZ).
-
— Var-Matin, 11 juin 2008
: « Porte Marine : cent soixante-dix
logements bientôt à la livraison
»
- « Du studio au T5, la seconde tranche démarre d'ici quelques
jours sur le cours Toussaint-Merle, pour s'achever, normalement, dans
24 mois - Les 170 logements de la première tranche du projet « Porte
Marine » devraient être livrés à la rentrée scolaire. D'ici quelques
jours, les travaux des trois bâtiments composant la deuxième tranche
vont débuter. Au total, près de 400 logements borderont cette nouvelle
avenue en Juin 2010 - Des immeubles.et... des commerces » (MP).
-
- 2009
— Var-Matin, 2 juillet 2009 : « La difficile commercialisation des locaux
de Porte Marine
» - « Seulement deux espaces du mail ont trouvé preneur. La crise, les
travaux en cours, et ceux du port pas entamés, poussent les commerçants
à attendre - Tambours et trompettes ont célébré le week-end dernier
l'inauguration du mail paysager baptisé, allées Maurice-Blanc.
Dans son discours, le maire a comparé le nouvel espace aux Ramblas de
Barcelone. Un argument de vente pour les locaux commerciaux ? -
Services
à la personne - Dix locaux de 80 à 200 m2 disponibles » (OM).
-
— Var-Matin, 9 novembre 2009 : « La troisième tranche de Porte Marine en
sursis
» - « EDF, GDF Suez et Marseille Aménagement, organisme mandaté par la
Ville, n'arrivent pas à se mettre d'accord sur le prix de vente des
terrains restants - Marseille Aménagement, mandaté par la Ville, est
chargé d'acheter puis de viabiliser le terrain avant de revendre « la
charge foncière » au promoteur. Le prix n'est pas fixé selon la taille
du terrain mais sa « constructabilité » - Subvention d'équilibre - Le
prix de la ville ? 1,5 M€ » (OM).
-
— Var-Matin, 14 novembre 2009 : «
Le groupe Constructa bétonne son
opération séduction
» - « Son président a invité la presse à découvrir « un site
exceptionnel ». Déjeuner à l'hôtel du port, visite de Porte Marine. Le
maire se met à l'unisson - Un groupe de journalistes, principalement de
la presse nationale, est venu découvrir la rénovation urbaine de La
Seyne - Marc Pietri, construit pour durer - Le président de Constructa
veut se démarquer des autres promoteurs » (SB et MV).
-
— Var-Matin, 23 décembre 2009 : «
Porte Marine : Quid des futurs
commerces ?
» - « En marge de leur assemblée générale, les commerçants du
centre-ville ont également exprimé leurs inquiétudes sur les commerces
du futur port, qui viendra compléter le quartier neuf de Porte Marine -
Christophe Chabert a exprimé les inquiétudes des commerçants du centre
ancien - Tirer profit d'une nouvelle clientèle - Les habitants prennent
leurs marques dans le nouveau quartier - René Blanchard est l'un des
tout premiers habitants de Porte Marine. Il est ravi d'habiter ce
nouveau quartier proche du centre-ville et de ses commerces » (OM et
CM).
-
2010
— Var-Matin, 16 janvier 2010 : « La livraison des immeubles de Porte Marine
II repoussée ?
» - « Le rachat des terrains EDF et GDF Suez s'éternise. Du coup,
l'aménagement du site est sérieusement ralenti et les futurs
propriétaires s'inquiètent - Ce futur propriétaire s'inquiète de la
présence des ruines sur les anciens terrains d'EDF et GDF Suez. Selon
lui, tant qu'elles ne seront pas détruites, les accès pour les voitures
ne pourront être aménagés - Ce n'est pas ce qu'ils nous ont vendu ! -
Un maximum de profits » (OM).
-
— Var-Matin, 9 mars 2010 : « Immeuble "Lylo Marine" : la
commercialisation a débuté
» - « Le projet de l'immeuble « Lylo Marine », dans le tout nouveau
quartier seynois, prévoit d'abriter 37 logements, du T2 au T4 -
Livraison prévue pour le premier .trimestre 2012 ».
-
2011
— Var-Matin, 15 décembre 2011 :
« « Quand on s'installe, c'est
durablement ! »
» - Directrice des programmes Constructa promotion, Caroline Suprano
revient sur l'action de l'entreprise dans la politique locale de
renouvellement urbain - Caroline Suprano, directrice des programmes
Constructa promotion, présente le nouveau projet des bâtiments de Porte
Marine, le Redline » (KM).
-
— Var-Matin, 29 décembre 2011 : «
Pour finir Porte-Marine, la Ville
passe à l'offensive
» - « Une partie de ce quartier emblématique du renouveau du
centre-ville peine à se terminer à cause d'une ancienne agence EDF-GDF,
aujourd'hui en friche - Laissé à l'abandon, non sécurisé et squatté, ce
terrain appartenant à EDF-GDF empêche la réalisation de logements, d'un
parking et d'une voie de liaison dans ce quartier en pleine
réhabilitation - Une question de prix - Accélérer les choses » (JP).
-
2012
— Var-Matin, 5 mars 2012 : « Porte Marine, un nouveau quartier en vogue
» - « En six ans, les immeubles ont poussé comme des champignons dans
ce secteur en front de mer. De
nouveaux habitants mais aussi des commerces de proximité dynamisent
toute la zone - À terme, une quinzaine de commerces de proximité sera
implantée au pied des nouveaux immeubles - Le chantier du «Redline »
démarre » (MV).
-
2013
— Var-Matin, 16 décembre 2013 :
« Un terrain d'entente pour Porte
Marine 3
» - « Depuis près de trois ans, le promoteur Constructa négocie le
rachat des terrains d'EDF-GDF pour terminer la tranche 3 de l'opération
immobilière Porte Marine. Un accord a enfin été trouvé - Le terrain en
friche d'EDF-GDF, situé dans le prolongement des immeubles de Porte
Marine 1 et 2, où le promoteur de Constructa doit terminer la dernière
tranche du même nom - Dépollution du site - Un projet à 55 millions
d'euros - Philippe Béga, directeur régional de Constructa » (MV).
-
2015
— Var-Matin, 25 juillet 2015 : « Porte Marine 3 : ça se précise » - «
La dernière phase de l'aménagement du quartier se profile : la
pré-commercialisation est
(bien) partie et le début des travaux est prévu pour le premier
trimestre 2016 - Philippe Bega, directeur de Constructa annonce une
livraison du nouveau programme pour début 2018 - Tout le panel du
logement - « Volonté de mixité » » (SH).
-
2016
— Var-Matin, 23 décembre 2016 :
« Constructa fait d'une pierre trois
coups
» - « Le promoteur immobilier a profité du lancement des travaux de
Porte Marine 3 pour annoncer le nom de la place centrale du quartier et
son partenariat avec le club de rugby seynois - Le dernier volet de Porte Marine
- Philippe Bega a fait un « cadeau formidable à l'USS juste avant Noël
», a apprécié Philippe Sintes, coprésident du club en charge du
sportif, en présence de Dominique Laboroi, coprésidente en charge de
l'événementiel, et du maire Marc Vuillemot - La place ''dei Moussi'' »
(SH).
-
2018
— Var-Matin, 23 octobre 2018 : «
Répondre aux attentes des résidents de
Porte Marine
» - « Dédiée à la défense des intérêts des habitants du quartier,
l'association Porte Marine & Co a franchi ces jours-ci le seuil des
800 adhérents. Et vient d'élargir le champ de ses missions - Jean
Cozette, préside l'association qui compte, à ce jour, 832 adhérents,
essentiellement des résidents (propriétaires et locataires) des
immeubles du secteur Porte Marine (26 immeubles) et quelques adhérents
individuels résidant à proximité - « Nous sommes appelés à nous étendre
géographiquement afin de suivre les problématiques de la partie sud de
la rade - Le marché aux puces dans le collimateur » (MG).
-
— Var-Matin, 19 novembre 2018
: « Le maire face aux attentes des résidents de Porte Marine » - «
L'assemblée générale de l'association Porte Marine & Co a permis,
ce week-end, aux habitants du quartier de soumettre leurs questions et
doléances directement au premier magistrat - Marc Vuillemot, accompagné
de plusieurs élus (Jean-Luc Bruno, adjoint de quartier, et Bouchra
Reano, conseillère municipale à la démocratie locale) et de
fonctionnaires (dont son chef de cabinet et le directeur général des
services techniques), le maire a répondu aux questions des 85 adhérents
de l'association présents lors de cette assemblée générale - Le
président satisfait - Les enjeux à Bois Sacré - Impasse Zunino » (MG).
-
- Révisions du P.L.U.
- Quelle
Différence entre le P.O.S. et le P.L.U. ?
- Les POS « Les Plans d’Occupation des Sols »
: Ils ont été supprimés. Ils définissaient les règles générales de
construction et les contraintes d’utilisation des sols. En effet, la
loi du 13 décembre 2000 (loi de Solidarité et Renouvellement Urbain,
dite “loi SRU”) a modifié en profondeur certaines anciennes
dispositions du code de l’urbanisme. Depuis le 1er janvier 2002, les
schémas directeurs, et avec eux les POS et les Plans d’Aménagement de
Zone (PAZ), ont disparu. Ils ont été remplacés par les Schémas de
Cohérence Territoriales (SCOT), les Plans Locaux d’Urbanisme (PLU) et
les cartes communales.
Le SCOT « Schémas de Cohérence
Territoriales »
: il fixe et coordonne les projets d’aménagement dans le périmètre des
communes ou des groupements de communes ; il détermine notamment les
espaces et les sites naturels ou urbains à protéger ; il subordonne, le
cas échéant, la construction de nouveaux quartiers à la création de
dessertes et de transports collectifs et coordonne les politiques
d’urbanisme et d’habitat ainsi que toutes les implantations des
équipements commerciaux ou économiques.
Les PLU « Les Plans Locaux
d’Urbanisme »
: ils ont pour vocation de compléter le SCOT en précisant, comme
l’exprimaient auparavant le POS, les règles générales et les
contraintes d’utilisation des sols. Définis par les conseils
municipaux, les PLU fixent, pour chaque zone, la nature des activités
qui peuvent y être exercées, l’aspect extérieur et les dimensions des
constructions, la superficie de terrain constructible et les
Coefficients d’Occupation des Sols (COS).
- Le COS « Coefficients d’Occupation des Sols
»
qui existait dans les Plans d’Occupation des Sols (POS) est désormais
repris dans les PLU et continue de fixer le rapport du nombre de mètres
carrés de plancher constructible sur la surface totale du terrain. Plus
ce coefficient est élevé et plus le terrain coûte cher. Le PLU doit
également permettre aux municipalités d’exprimer leurs projets
(aménagement et développement de quartiers, renouvellement de quartiers
en difficulté, aménagement d’espaces publics, protection d’espaces
naturels et urbains, etc.). Le PLU ne peut en aucun cas entrer en
contradiction avec le SCOT, mais il doit concourir à sa mise en œuvre.
- 1992
— Var-Matin, 7 janvier 1992 : « Le P.O.S. : on en cause
» - « Depuis 1974, l'élaboration du Plan d'occupation des sols a
fait couler bien de l'encre. Aujourd'hui, il est à nouveau en révision
- Marcel Barbero : « Il existe deux
types de citoyens seynois : ceux qui peuvent construire et ceux qui ne
le peuvent pas » - Aldo Bacci : « Nous avons protégé toutes les zones
boisées, à tel point que certains s'en son plaint » - Petite
histoire du P.O.S. » (MLM).
-
- 1997
— Var-Matin, 10 mars 1997 : « Onéreuse révision du P.O.S.
» - « Si, lors du dernier conseil municipal, les débats entre Maurice
Paul, les dissidents magagnosciens et les opposants politiquement
corrects du groupe Martinenq restèrent relativement courtois, on
assista quand même à une belle prise de bec entre Didier Dorn, toujours
très remonté, et le pacifique Claude Astore, nouvel adjoint à
l'urbanisme. Par ailleurs, le maire et le Dr Luc Patentreger, qui ne
s'aiment plusdu tout, ont brisé quelques lances mais sans trop
s'emballer » (BO).
- 1998
— Var-Matin, 1er octobre 1998 : «
La terre va bouger
» - « Le Plan d'occupation des sols après dix ans de sommeil est en
pleine révision. C'est le moment de faire remonter en mairie problèmes
et souhaits » (RM).
- 1999
— Var-Matin, 6 février 1999 : « Le P.O.S. toujours à venir
»- « Il date de 1988, est en révision depuis 1991 et sa sortie
imminente avait été annoncée comme un film grand public à l'affiche
dans une salle de cinéma. Il faut dira qu'il est très attendu par
nombre de Seynois qui fondent en lui beaucoup d'espoir ou craignent de
lui de lourdesmodifications ».
— Var-Matin, 21 mai 1999 : « Parler d'avenir
» - « C'est le moment ou jamais de. s'exprimer sur le P.O.S. en
révision. Pas seulement pour présenter des requêtes mais aussi pour
participer à l'aménagement de la ville » (RM).
- 2007
— Var-Matin, 15 janvier 2007 : « Opposition : une extrême urgence à modifier
le PLU
» - « Les élus de la « Gauche unie» dénoncent l'urbanisation et ses
conséquences - Les élus de la liste « Gardons le cap » partagent une
vision opposée à celle du maire de la nouvelle Seyne qui commence à se
dessiner, même si cette année 2007 les amènera, inévitablement, à des
choix nationaux divers - Jusqu'à 18 m de haut dans certains quartiers -
Parkings : ne pas toutdéléguer au privé » (AT)
— Var-Matin, 24 mars 2007 : « La Gauche unie dénonce la révision du PLU
» - « « En 2002, le maire avait
promis une limitation de la population à 65 000 habitants, une Seyne à
taille humaine » renchérit Jean Michel. Selon Marc Vuillemot : «
Le
PLU adopté deux ans plus tard va à l'encontre de cela. Le maire fait
venir une nouvelle population, dans le but qu'elle fera rentrer des
taxes foncières pour combler le manque à gagner des 40 % de foyers
fiscaux qui n'en paient pas. On peut estimer qu'au vu des permis de
construire déposés le chiffre de 80000 habitantssera vite atteint
» (CHP).
— Var-Matin, 25 août 2007 : « L'opposition « contre la bétonmania
» - « Mobilisation
contre le projet de révision du PLU discutée lundi - L'aspect « village
de pêcheurs » de Saint-Elme est menacé selon l'opposition - La Gauche
unie estime que cette révision est « un
rendez-vous manqué » - Nathalie Bicais regrette « un manque de réflexion urbaine » »
(PC)
— Var-Matin, 28 août 2007 : « La révision du PLU divise la majorité
municipale » - «
Hier soir, Florence Cyrulnik adjointe au Patrimoine a voté « contre » -
Les élus - et le public - ont assisté à une séance d'explication de
deux heures avant d'obtenir la parole - La révision à la loupe -
Florence Cyrulnik : Le choix de dire « non » (PC).
— Var-Matin, 29 août 2007 : « La révision du PLU adoptée
» - « La proposition a été acceptée par 28 voix opntre 10 - Dans les
rangs de l'opposition, Marc Vuillemot et Nathalie Bicais se sont
exprimés - Répondant à Florence Cyrulnik qui redoutait un élargissement
du chemin du Manteau, le maire a répondu « je n'ai pas vu disparaître
de servitude » et concernant la menace sur le petit port de pêcheurs «
Je n'ai pas un seul projet d'immeubles à saint-Elme. Tant que je serai
maire on nefera pas d'immeuble à Saint-Elme » - Débat : Colère d'Arthur
Paecht » (PC, MP et PHC)
- 2008
— Var-Matin, 30 mars 2008 : « Les Seynois listent les priorités de la
nouvelle municipalité » - « De nombreux lecteurs se sont
exprimés sur www.laseyne.maville.com - Urbanisme : débat sur la
révision du PLU - « Monsieur
Vuillemot a été élu avec les voix des victimes des nouveaux bâtiments,
donc la priorité devra être la révision du PLU », estime Jérôme.
« Ensuite,
comme il l'a promis, attirer des entreprises pour créer de l'emploi à
La Seyne. Enfin, terminer le réaménagement du site. Pour la suite, la
réorganisation de la circulation, l'image de la ville. Et en 2014, on
revotera pour Vuillemot » ».
— Var-Matin, 24 mai 2008 : « Nous devons nous mettre à la hauteur de nos
moyens
» - « La mise en révision du plan local d'urbanisme inscrite à l'ordre
du jour hier matin, a alimenté les débats entre ancienne et nouvelle
majorité - « Le but est de donner à
La Seyne un développement urbain moins quantitatif, plus qualitatif, et
surtout plus humain », a rappelé Claude Astore au sujet du PLU -
Stopper la spéculation - Sortir de la logique d'ultra-urbanisation »
(KM).
- 2009
— Var-Matin, 19 mai 2009 : « Démocratie locale : Réunions autour du plan
local d'urbanisme
» - « Les élus souhaitent lors des trois prochaines réunions discuter
avec les habitants de la révision en cours du plan local d'urbanisme -
Changement de zonage aux Mouissèques » (OM).
— Var-Matin, 3 juin 2009 : « La « frénésie immobilière » freinée par la
révision du PLU
» - La révision du plan local d'urbanisme en cours permettra bientôt à
la commune d'opposer un sursis à statuer pour tout nouveau dépôt de
permis de construire - À Porte-Marine, de nombreux logements neufs ont
vu le jour. Avec la deuxième tranche, d'autres programmes immobiliers
doivent sortir de terre - Avenue Esprit-Armando, d'autres projets sont
encore en cours. Claude Astore, adjoint à l'urbanisme affirme néanmoins
qu' « il faut mettre un stop à la frénésie immobilière actuelle ».
— Var-Matin, 3 juin 2009
: « Révision du plu (suite) - Toute La Seyne de demain, en théorie » -
« Réagissez ! Vous pouvez consulter, noter et même réagir à nos
articles sur www.varmatin.com, rubrique La Seyne, tous les matins.
Écrivez-nous également par mail à laseyneloc@nicematin.fr ».
2010
— Var-Matin, 19 mars 2010 : « La majorité pose des limites à la
constructibilité
» - « Le conseil municipal a arrêté la révision du Plan local
d'urbanisme. Retour sur les principales modifications engendrées par
cette nouvelle réglementation - La zone la plus permissive divisée en
deux - À Châteaubanne, la zone UA (la plus permissive en terme de
construction) passe en zone UB. Les immeubles seront limités à trois
étages - C. Astore : « Un PLU d'adaptation » - La problématique des «
dents creuses » - Un festival
de répliques - Arthur Paecht fait sortir deux élus - Barbero/Astore :
le match » (MV).
— Var-Matin, 12 juillet 2010 : « Plan d'urbanisme : amorcer le débat
» - « Le public sera consulté fin août par la ville. L'association Cité
conviviale veut faire de la pédagogie - Que les gens se prononcent -
Extraits du plan local d'urbanisme nouvelle version, pour les quartiers
du centre jusqu'à Balaguier » (SB).
— Var-Matin, 23 août 2010 : « Révision du PLU : enquête publique dès
aujourd'hui » - « Les citoyens sont invités à donner leur avis
sur le plan local
d'urbanisme à la mairie annexe jusqu'au 1er octobre - « L'attente » des
Seynois - Plusieurs paysages seynois ont considérablement évolué ces
dernières années, comme ici aux Mouissèques - « Pas de bon ou de
mauvais PLU » » (PZ).
— Var-Matin, 1er octobre 2010 : «
Plan local d'urbanisme : Dernières
heures pour la concertation
» - « La mairie a l'intention de donner un coup de frein aux règles de
construction, qui ont déjà bouleversé plusieurs quartiers, dont par
exemple celui de Gai-Versant. Les zones les plus permissives devraient
être largement réduites - Une cinquantaine d'entretiens - Quartiers
mobilisés - Esthétique - La suite de la procédure » (SB).
— Var-Matin, 4 novembre 2010 : « Plan local d'urbanisme seynois : bientôt la
quille ?
» - « Le plan local d'urbanisme de La Seyne sera-t-il modifié à la
marge ? La réponse à cette question sera donnée prochainement. Le
commissaire-enquêteur devait rendre ses conclusions début novembre à la
mairie, après avoir entendu les doléances des habitants ».
— Var-Matin, 17 décembre 2010 : «
Pas d'opposition à la révision du Plan
local d'urbanisme
» - « Les élus ont adopté, mercredi, la modification du document
d'urbanisme. Avec la bénédiction de l'ancien maire, Arthur Paecht - On
s'attendait à un face-à-face entre l'artisan de la révision du PLU,
Claude Astore et l'ancien maire Arthur Paecht. Mais ce dernier a voté
la délibération ! - « Un document ambitieux » - « Certains ont utilisé
le règlement à fond » - L'avis favorable du commissaire enquêteur -
L'enquête publique s'est déroulée du 23 août au 1er octobre - Modérer
l'appétit des pros de la construction » (MV).
- 2011
— Var-Matin, 1er mars 2011 : « « Redonner aux Seynois une certaine qualité
de vie »
» - « La révision du plan local d'urbanisme (PLU) est désormais en
vigueur. Que change-t-elle ? Réponses de Claude Astore, l'élu chargé du
dossier - Claude Astore, adjoint à l'urbanisme, a été l'artisan de
l'élaboration du nouveau plan local d'urbanisme - « Nous avons fait le constat qu'il y avait
de très grandes possibilités à construire
à La Seyne, et nous avons entendu les nombreuses inquiétudes durant la
campagne municipale, de la part de Seynois qui voyaient des immeubles
pousser dans tous les quartiers. Marc Vuillemot avait donc fait de la
révision du PLU, une priorité. Il faut dire que le PLU est un outil
très important puisqu'il définit les droits à construire et la valeur
du bâti. De plus, il engage l'avenir pour une dizaine d'années. Ce
travail nous permettait donc à la fois de redonner aux Seynois une
certaine qualité de vie, et de réenclencher une dynamique sur notre
collectivité » (MG).
- —
Var-Matin, 24 mars 2011 : « La Seyne échappe aux recours sur le PLU
» - « La Seyne, critiquée par ses voisines sur certains sujets (souvent
les impôts), peut aujourd'hui donner des leçons dans un domaine : celui
de l'urbapisme. La plupart des villes de l'ouest-Var ont vu leur Plan
local d'urbanisme attaqué - par des particuliers et des associations -
et beaucoup ont même été annulés. Que ce soit sur la forme, le fond, ou
même les deux - « On a fait beaucoup
de réunions publiques, les gens ont pu s'exprimer », signale
Claude Astore, adjoint à l'urbanisme » (MV).
- —
Var-Matin, 4 mai 2011
: « Fière de son Plu, la mairie l'expose à ses concitoyens » - « Des
panneaux géants stylisés présentant les grandes lignes du Plan local
d'urbanisme révisé s'offrent à la vue de tous, jusqu'au 3 juin - Le
maire a vivement remercié ses équipes, notamment celles de l'urbanisme
et de l'aménagement du territoire, qui ont mené à bien ce projet, et
dans les temps, « pour faire de La Seyne une ville à taille humaine » -
« Champ de bataille urbanistique » - « Travail de pro » » (JP).
- 2014
— Var-Matin, 25 juin 2014
: « La Ville va réformer son Plan
local d'urbanisme » - « Une
modification du document va rapidement être lancée pour éviter tout
excès en matière de construction lié à la loi Alur. Et une révision en
profondeur est prévue en cours de mandat - Enquête publique - Le maire
et son adjointe, en charge notamment de l'aménagement durable et de
l'urbanisation, souhaitent élaborer « un PLU ambitieux et innovant,
dans un souci de valorisation et de préservation du territoire » - «
Une révision pour une ville verte » (JP).
— Var-Matin, 29 juin 2014 : « PLU : « Il y a une histoire, on est obligé
de faire avec »
» - « Denise Reverdito a redit sa volonté de voir le projet
d'aménagement de Bois Sacré « évoluer »... - L'élu FN Damien Guttierez
s'est inquiété du remboursement des 117 000 euros avancés par l'office
public de l'habitat - OPAH : 8000 euros de prime aux accédants à la
propriété » (KM).
- 2015
— Var-Matin, 15 avril 2015 : « Modification du PLU : enquête publique
jusqu'au 19 mai
» - « Olivier Villedieu de Torcy est le commissaire enquêteur en charge
de mener à bien l'enquête publique sur les modifications « très
techniques » du PLU - Intégrer la loi Alur au PLU » (JP).
- —
Var-Matin, 13 mai 2015 : « Le futur PLU « expliqué » aux opérateurs de
l'immobilier » - « En vue de réviser l'actuel nouveau Plan local
d'urbanisme,
le maire Marc Vuillemot a voulu associer les promoteurs à la
concertation - Inédit, l'exercice avait autant vocation à séduire qu'à
demander « aimablement » un coup de pouce. Hier, à l'Hôtel de ville, le
maire et ses adjoints avaient tenu à rencontrer les « opérateurs de l'immobilier
» pour leur parler de la révision du Plan local d'urbanisme (PLU), qui
pourrait être lancée l'an prochain . De Bouygues à Eiffage en passant
par Nexity, certains des plus grands promoteurs avaient accepté
l'invitation - « Une pause » espérée dans trois quartiers » (MAD).
- 2019
— Var-Matin, 6 novembre 2019 : « La Ville va modifier les règles d'urbanisme
» - « Affichant des orientations « sociales et écolos », le maire
dévoile les grandes lignes des changements à venir, qui tendent à
limiter la constructibilité « partout où c'est possible » - Ce document
illustre le programme immobilier prévu à Coste Chaude. Un projet qui ne
sera pas remis en question, assure Marc Vuillemot, malgré les
modifications en cours - Coste Chaude : le projet immobilier seramené à
bien - « Protéger les zones agricoles et naturelles [ mais il en reste très peu] » - Une
enquête publique dans deux semaines » (MG).
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