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Patronymes seynois et généalogie :
Années 2006-2022



Rappel des anciens échanges de correspondances à propos des patronymes ou des familles :
Aniol, Astegiano, Beaussier, Bergonzo , Berretta, Beulaigue, Blacas, Borreani, Cadière, Carle, Champey, Chesta, Dallest, Daniel, David, Ducher, Ferranti, Ferrat, Fille, Gertosio, Graglia, Jaubert, Jauffret, Lacasse, Lubonis, Mabily, Massé, Merle, Molinier, Moutte, Novaro, Pacini, Paul, Poncet, Pourquier, Prat, Savona, Timmermans, Tisot

Autres sujets : Recensements 1911 du Var

Voir également les correspondances des années : 2001-2002 et 2003-2005







4 février 2020 - 6 juin 2023 : Famille Auffan-Bergonzo - Lien avec La Seyne de Jean-Louis Bergonzo, écrivain

Q1.

Je recherche des renseignements sur Jean-Louis Bergonzo (dont ta famille semble apparentée) qui écrivit "L Auberge Espagnole" édition Gallimard et autres . Décédé tragiquement le 21 04 1973 (né à vérifier en 1939) sur une plaque en son hommage est inscrit "gradué de philosophie  écrivain" Cet écrivain qui me semble avoir eu des fortes attaches Seynoise est peut être enterré ailleurs. Cette plaque souvenir est sur la tombe de la concession 1146  BERGONZO - AUFFAN  allée 5. Cimetière de la Seyne bien sûr. Merci une fois de plus pour ta précieuse aide

Amitiés.

MQ

R1.

Bonjour Marc,

Je ne me souvenais pas de ce Jean-Louis Bergonzo, auteur de l’Auberge Espagnole.

Quelles étaient ses attaches avec La Seyne ? Je n’ai pas encore réussi à les retrouver avec une totale certitude.


Il est vrai que ma famille a une parenté avec une branche Bergonzo. Mais c’est une parenté très éloignée puisqu’elle passe via les Mabily, les Méla, les Millou, les Gavarry, avant d’arriver aux Bergonzo. Et encore, ce n’est pas avec la même branche Bergonzo-Auffan qui paraît être celle de Jean-Louis Bergonzo.


J’ai bien connu dans mon enfance le couple Jean Auffan (1882-1967) – Philippine Bergonzo (1888-1977), qui habitaient à Mar-Vivo près de mon grand-père, mais qui étaient sans enfant. Philippine Bergonzo était la fille de Joseph Bergonzo, né en Italie, clarinettiste, puis chef adjoint de le philharmonique La Seynoise. Tandis que Jean Auffan avait été longtemps vice-président de la même Seynoise.


Joseph Bergonzo

Joseph Bergonzo n’avait eu que 3 enfants : Philippine, Louis (1892-1937) [qui ne peut donc pas être le père de Jean-Louis, mais peut-être le grand-père ?], et Marie, morte en bas-âge.


La plaque en l’hommage de Jean-Louis Bergonzo se trouve bien sur la tombe de la concession Bergonzo-Auffan, mais je ne suis pas certain de son lien avec le reste de la famille (je n’ai pas la photo complète de la pierre tombale – il faut que j’aille revoir cette tombe). Je n’ai que la dernière ligne : Jean Bergonzo 1919-1995.


Il est possible que Jean-Louis Bergonzo ait été le fils de Jean (1919-1995) et le petit-fils de Louis (1892-1937). Mais, malgré mes recherches dans plusieurs sites généalogiques, je n’ai pas pu le prouver.

Le Petit Marseillais, 4 février 1937

Je n’ai trouvé qu’un relevé de la naissance et du décès de Jean-Louis Bergonzo (ci-joint) : né le 17 août 1939 à Paris (14°) et décédé le 14 mai 1973 à Saint-Denis-lès-Martel (Lot).

Ses attaches avec La Seyne seraient donc d’ordre familial, mais il n’y était pas né, il n’y était pas mort, ni apparemment inhumé. Je ne sais pas s’il a pu parfois résider à La Seyne.


C’est tout ce que je peux dire aujourd’hui. J’essayerai de creuser un peu plus avec les noms de la pierre tombale.


Amitiés.


Jean-Claude



Q2.

Bonjour Jean Claude.

Merci pour tes renseignements sur ce Jean-Louis Bergonzo. J'ai pu faire quelques photos de cette tombe, concession 1146, allée 5. Au service cimetière mairie j'ai pu obtenir sans plus qu'il existe de nos jours un héritier direct de cette tombe un certain monsieur DA (...). Son numéro TL n'est plus le bon de celui sur internet. Peut être que par ce monsieur nous pourrions avoir des renseignements sur ce J.-L. Bergonzo qui si on se réfère à la documentation sur Google connut une certaine renommée littéraire. Donc à suivre encore merci pour ton aide. Toutes mes amitiés.

MQ

R2.

J'ai pu aller étudier la pierre tombale de la famille Bergonzo-Auffan. Mais je suis guère plus avancé concernant la parenté de Jean-Louis Begonzo avec les autres Bergonzo. Pourrait-il être un fils de Jean Bergonzo (1919-1995) ? Cela signifirait alors que sa mère, Gilberte Barbier (1923-2007), n’aurait eu que 16 ans à sa naissance !? Pourrait-il être un neveu de Jean ? Impossible car Jean ne pouvait pas avoir de frère plus âgé, puisqu’il était né en 1919 l’année-même du mariage de ses parents. Alors, pour l'instant, mystère.

JCA

R3. (2 octobre 2022)

Bonjour Marc,
 
Je reviens sur un échange que nous avions eu il y a plus de deux ans à propos de Jean-Louis BERGONZO, auteur de L’Auberge Espagnole. A l’époque, je n’avais pas pu apporter de réponse satisfaisante à ta question.
 
Je viens de retomber par hasard sur la généalogie des BERGONZO et je pense avoir trouvé la parenté de Jean-Louis BERGONZO avec les autres BERGONZO seynois inhumés dans la tombe de l’allée 5.
 
Jean-Louis BERGONZO est bien le fils de Jean (Marie Joseph Charles) BERGONZO (1919-1995). Initialement, ça me paraissait difficile vu que Jean BERGONZO avait (d’après la tombe) pour épouse Gilberte, née BARBIER (1923-2007), une épouse qui n’aurait que 16 ans à la naissance de Jean-Louis BERGONZO.
 
Mais ce que je viens de retrouver, c’est que Gilberte BARBIER était la seconde épouse de Jean. Ce dernier avait eu une première épouse, Odette RICHARD (1919-2010), de laquelle il avait divorcé en 1943. C’est avec cette première épouse qu’il avait donc eu deux enfants : Jean-Louis et Olivier.
 
« Jean Louis José BERGONZO, né le 17 août 1939 à Paris, décédé le 14 mai 1973 à Saint-Denis-lès-Martel (Lot), inhumé au cimetière de Puybrun (Lot) ».
 
Je n’en sais pas plus, mais je pense avoir répondu à ton interrogation.
 
Amitiés. A bientôt sans doute.
 
Jean-Claude Autran

Tombe BERGONZO-AUFFAN à La Seyne

 
Tombe de Jean-Louis BERGONZZO à Puybrun


Fragment de la généalogie des Bergonzo

Q4. (3 juin 2023)

Cher Monsieur Autran,

Je me permets de vous contacter car en cherchant des informations sur mon grand-père, je suis arrivé sur votre site de l’histoire de la Seyne-sur-Mer-sur-Mer.
Je m’appelle PB et je suis le fils de OB, petit-fils de Jean et donc arrière-petit-fils de Louis. Mon prénom, Philippe, a semble-t-il était inspiré de celui de mon arrière grand-tante, Philippine Bergonzo.
Je vis actuellement au Japon et fait récemment des recherches sur ma famille. J’ai vu que vous aviez pu réunir des informations assez précises sur ma famille. Est-ce que nous sommes liés à un certain degré?
J’avoue que je suis tout à fait novice en matière de généalogie et je me demandais s’il vous serait possible de partager avec moi les informations que vous avez sur mes ancêtres.
J’imagine que vous êtes très occupé, aussi j’espère que me requête ne vous dérangera pas trop.

En vous remerciant de votre aide et votre compréhension.


Bien amicalement

PB

R4.

Cher Monsieur,
Votre message a reçu toute mon attention.
J’ai bien connu dans mon enfance Philippine Auffan, née Bergonzo. Le couple Auffan-Bergonzo avait une petite maison d’été à quelques pas de celle de mon grand-père au quartier Mar-Vivo, non loin de la plage. Je crois qu’ils n’avaient jamais eu d’enfant. Je les ai aperçus régulièrement jusqu’en 1962, année de décès de mon grand-père. Mes souvenirs sur eux sont malheureusement très limités car tout ceci est très très loin, d’autant que, quand on est enfant, on ne fait guère attention aux conversations des adultes. Mes parents et grands-parents auraient eu beaucoup à raconter sur eux, mais ils ne sont plus là et ne m’ont rien transmis. Je me souviens seulement que c’était un couple bien sympathique, que Philippine était une personne très joviale. Une des dernières fois que je l’ai vue, elle riait en racontant qu’à leur âge ! ils s’étaient payé des lits jumeaux pour ne pas se gêner la nuit...
Jean Auffan était je crois agent des Postes et Télécommunications, mais je ne sais pas quel grade il avait. Il avait été aussi musicien, puis président d’honneur de la philharmonique La Seynoise. C’est peut-être ainsi qu’il avait rencontré sa future épouse puisque Philippine était la fille de Joseph Bergonzo, musicien clarinettiste bien connu de la même Philharmonique au début des années 1900. Son nom et sa photo apparaissent plusieurs fois dans le chapitre 4 de l’Histoire de la Philharmonique La Seynoise : http://seynoise.free.fr/histoire_seynoise/chapitre_4.html
 
Vous pouvez trouver sur le site Geneanet tout ce que j’ai pu rassembler sur la généalogie de la famille Bergonzo en suivant le lien suivant : https://gw.geneanet.org/jcautran_w?lang=fr&pz=jean+claude+lucien&nz=autran&p=philippine+felicie+elisabeth&n=bergonzo
 
Pourquoi ai-je ajouté cette famille Bergonzo dans mon arbre généalogique familial ? Parce qu’il existe un lien de parenté, certes éloigné, mais réel entre nos deux familles. Le tableau ci-joint [extrait de mon fichier généalogique sous Heredis] reconstitue ce lien qui se situe au niveau de ma trisaïeule Hortense Mabily, famille qui avait une parenté avec les Mela et les Gavarry, ce qui nous amène à Elisa Gavarry, mère de Philippine Bergonzo. Et comme le couple Auffan-Bergonzo faisait partie des amis de ma famille, j’ai particulièrement creusé cette branche, bien que notre parenté soit assez éloignée.

J’ai aussi travaillé sur les Bergonzo suite à la demande d’un ami historien de La Seyne, qui s’interrogeait sur le lien avec La Seyne de l’écrivain Jean Louis Bergonzo, tragiquement décédé en 1973 et dont le nom figure sur la tombe Bergonzo-Auffan au cimetière de La Seyne. Les réponses que j’avais pu trouver ont été relayées dans la section suivante du forum de mon site : http://jcautran.free.fr/forum/genealogie_2006_2020.html#53
 
Ci-joint [ci-dessus] une photo de la tombe Bergonzo-Auffan au cimetière de La Seyne, allée 4 ouest, où se trouvent plusieurs médaillons d’assez bonne qualité.
 
C’est à peu près tout ce dont je peux me souvenir comme informations sur vos ancêtres. Je reste à votre disposition si vous souhaitiez que je fasse une recherche plus précise (par exemple actes de naissance, de mariage, de décès) ou si vous souhaitez quelques conseils pour travailler à votre généalogie familiale.
 
Bien à vous.
 
Jean-Claude Autran





13-20 décembre 2019 : Recensements 1911 du Var

Q1.

Bonjour,

Je suis coordinateur d’un projet de relevés de recensements de population en France dans le cadre des projets collaboratifs de Geneanet. Je me permets donc de vous contacter pour vous présenter ce projet.

Les recensements sont une source précieuses pour les généalogistes. Ils permettent de connaître la composition des familles d’une même maison, d’identifier la localisation de la maison (au moins le nom du hameau, voire le numéro précis de la rue pour les villes plus importantes).

Nous lançons ce projet sur le département du Var. En effet, de nombreux recensements ont déjà été indexés sur ce département (déjà 50 communes à ce jour), mais il en manque encore...

Auriez-vous donc un petit peu de temps à consacrer au dépouillement des autres communes ? Il suffit simplement d’une connexion Internet et de remplir un tableau Excel.

Si ce projet vous intéresse, n’hésitez pas à me répondre en me précisant la commune qui vous intéresserait, je vous enverrai le modèle du tableau à remplir.

Avec l’équipe des projets collaboratifs de Geneanet, nous avons convenu de nous concentrer sur l’année 1911. Si néanmoins une autre année ou un autre département vous intéresse, vos suggestions seront bien sûr les bienvenues.

Vous trouverez l’ensemble des recensements déjà en ligne sur Geneanet ici pour vérifier si la commune qui vous intéresse est déjà présente ou non.

Un grand merci par avance pour votre aide.

Bien cordialement,

BB

R1.

Bonjour,
 
Je ne vais pas avoir le temps, en raison de trop nombreuses sollicitations, de contribuer efficacement à votre projet de de relevés de recensements.
 
Pour information, il y a quelques années, j’avais fait un relevé partiel des recensements de 1836 et de 1906 dans le cadre d’une conférence que je préparais sur les patronymes de La Seyne-sur-Mer. Je n’avais alors relevé que les rubriques qui m’étaient utiles. Je ne suis pas certain que cela peut vous rendre service, surtout si vous vous concentrez sur l’année 1911, mais je vous envoie néanmoins ci-joint les fichiers Excel que j’avais créés :

recensement_la_seyne_1836.xlsx
patronymes_recensement_la_seyne_1906.xlsx 

Je serais intéressé de recevoir le modèle de tableau à remplir pour voir si une récupération de mes données, même partielles, serait possible vers votre modèle.
 
Bien cordialement.
 
Jean-Claude Autran

Q2.

Bonjour Jean Claude,

Merci pour votre réponse

Je vous fais suivre le modèle de fichier : Commune_code INSEE_Année Modèle.xlsx

En vous remerciant

Cordialement

BB
 




12-16 juillet 2019 : Familles Beulaigue et Chesta

Q1.

Monsieur,

Je me permets de vous contacter car je fais des recherches sur le patronyme CHESTA, et la personne que vous mentionnez dans votre arbre est dans cette arbre. Cependant le patronyme de son époux est BEULAIGNE et non BEULAIGUE, vous pouvez le vérifier car sur l'acte de naissance de leur fille Laurence, née en 1907, il est bien indiqué avec un N et non un U. Les actes sont en ligne sur les archives numérisées du var. Auquel cas je pourrai vous l'envoyer.

Marie CHESTA s'est mariée le 21 novembre 1903 à la Seyne avec Esprit BEULAIGNE.

La famille CHESTA est domiciliée au 117 avenue Auguste Plane à la Seyne, petits enfants du frère de Marie CHESTA depuis pas mal d'années maintenant, ayant conservé la maison familiale.

Ils travaillaient au Chantier de la Seyne, ou mon père a connu cette famille.

Très cordialement

VP

R1.

Bonjour,

Merci pour ces précisions.


J'ai très bien connu Achille (1910-1998), le frère de Laurence. Le patronyme d'Achille s'écrivait et se prononçait clairement BEULAIGUE. (J'ai son acte de naissance et son acte de décès). Mais, effectivement, sur l'acte de naissance de Laurence en 1907, il est écrit BEULAIGNE, ainsi que sur l'acte de mariage de ses parents (Esprit BEULAIGNE x Marie CHESTA) en 1903. De même sur la table décennale 1903-1913.


Mais sur les tables de recensement de La Seyne, on trouve bien la famille « CHESTA-BEULAIGUE » en 1906 à la campagne CHESTA, quartier St Antoine, et en 1911, quartier St Lambert. Egalement, si l'on remonte à l'acte de naissance d'Esprit en 1871, il est clairement écrit BEULAIGUE. De même sur l'acte de naissance de son père, François BEULAIGUE, né en 1839 à La Seyne, et sur celui de son grand-père Marcelin BEULAIGUE, né en 1811 dans l'Ariège. On note toutefois que, au sein des fratries de ces générations, on trouve différentes orthographes : BEULAIGUE, BEULAÏGUE, BEULAYGUE et même BEULAIGO. Ceci est sans doute lié à l'étymologie de ce patronyme qui devait signifier Belle Eau (Bello Aïgo, en occitan).

La forme BEULAIGNE semble donc n'avoir été utilisée (volontairement, ou suite à une erreur de transcription ??) qu'entre 1903 et 1907. Avant et après (Achille BEULAIGUE, 1910), on ne trouve que la forme BEULAIGUE ou ses variantes BEULAÏGUE, BEULAYGUE, etc.


Je pense que, dans mon arbre, je vais donc conserver la forme BEULAIGUE, mais en mentionnant en Note que le patronyme a été orthographie BEULAIGNE dans l'acte de naissance de Laurence et dans l'acte de mariage de ses parents.


Si vous me communiquez une adresse mail, je peux vous envoyer copie de tous les actes, tables décennales et recensements cités ci-dessus.


Bien cordialement.


Jean-Claude Autran

Q2a.

Bonjour,

merci beaucoup pour votre retour. Je vous prie d'excuser mon empressement à vouloir corriger le patronyme BEULAIGUE/GNE effectivement les deux orthographes se croisent tour à tour dans cette famille.

Mon email est (...). J'étais semaine dernière chez ma soeur à St Elme. J'ai vraiment plaisir à retrouver Tamaris et tout ce joli bord de mer. Je reprend le travail ce lundi.

Je viens de vous envoyer un email sur votre adresse orange.fr

Cordialement

VP

Q2b.

Bonjour,

Je vous ecrit directement par email vous avez raison c'est plus simple.

J'ai donc trouvé 6 enfants (en me basant sur l'ami de mon papa Fernand Chesta) du couple Georges CHESTA et Therese OCCELLI, originaires de Roccasparvera, 12010 (CN), ITALIE :

Marie Victorine CHESTA : °17 septembre 1882, Forcalqueiret, 83136, FR
Valentine Nathalie CHESTA :°16 septembre 1885, La Seyne-sur-Mer, 83500, FR (acte n°237, page 65 de l'année 1885)
Barbe CHESTA : °07 mai 1889, La Seyne-sur-Mer, 83500, FR (acte 108 page  30 de l'année 1889)
Antoine Baptiste CHESTA : °07 février 1891, La Seyne-sur-Mer, 83500, FR (acte n°44)
Lucie Josephine CHESTA : °19 août 1893, La Seyne-sur-Mer, 83500, FR
Adrien Jules CHESTA : °13 avril 1896, La Seyne-sur-Mer, 83500, FR

Je n'ai  à ce jour consulté que les naissances de Forcalqueiret et la Seyne et non les décès.

(ci joint  Registre militaire  de Antoine Baptiste CHESTA : Visionneuse - Archives départementales du Var)

Antoine Baptiste CHESTA est le père de Fernand CHESTA, né le 11 mars 1925 et décédé le 14 mai 2007. Ils travaillaient tous les 2 aux Chantiers de la Seyne.

Fernand était l'ami de mon papa, j'ai souvenir de lui et de la maison. Mon père est de 1930, il a travaillé au Chantier également.

Bon voila pour l'instant.

Très cordialement.

VP

R2.

Bonjour,

Merci pour toutes ces précisions que je vais étudier en détail.

Puisque j’ai maintenant votre adresse mail, je peux vous communiquer ci-joint tous les documents d’état-civil et de recensement que j’ai pu rassembler sur les Beulaigue et Chesta, ainsi qu’une photo de la tombe Chesta du cimetière de La Seyne, où vous pourrez déchiffrer [en zoomant] les noms de plusieurs membres de cette famille avec notamment Marie Chesta, veuve Beulaigue (1882-1961) et Achille Beulaigue (1910-1998), Valentine et Lucie Chesta, etc.

Bien cordialement.

Jean-Claude Autran

Q3.

Bonjour,

Merci beaucoup pour toutes ces informations.

Je viens de trouver ce matin l'acte de décès de Antoinette Pauline BLANC, épouse de Victor PIOLET, décédée le 22 janvier 1916 place Daviel, 13002 MARSEILLE 2ème arr. [Voir généalogie de la famille Autran].

J'ai trouvé ces actes en ligne sur filae (je suis abonnée sur les 2 sites). Cela dit, les actes de décès sont en accès libre sans limite de date, et vous pouvez aller à n'importe quelle mairie consulter les registres de décès et les tables décennales de décès. Ils n'ont pas le droit de refuser.

Concernant les photos du caveau familial :

- il est indiqué ISNARD Marguerite. C'est l'epouse de Antoine Baptiste CHESTA, parents de Fernand CHESTA.
- Il est indiqué SERY Adolphe, décédé 4 ans après son mariage avec Valentine CHESTA
- Il est indiqué Robert CHESTA décédé en 1941 à l'age de 20 ans : je ne l'identifie pas dans l'arbre. Cela dit, j'ai fait une demande en ligne a la mairie de la seyne pour l'obtenir et verifier la filiation.

Je ne vois pas mentionné Adrien Jules CHESTA décédé en 1979. Peut etre un autre caveau familial.

Je vous adresse en PJ les actes suivants :

- acte de décès de BLANC Pauline ep. PIOLET en 1916

- acte de naissance de Adrien Jules CHESTA en 1896
- acte de naissance de ISNARD Marguerite en 1893 ep. CHESTA
- acte de naissance de Lucie CHESTA en 1893
- acte de naissance de Antoine Baptiste CHESTA  en 1891(epoux ISNARD)
- acte de naissance de Barbe CHESTA en 1889
- acte de naissance de Valentine CHESTA en 1885 (epouse SERY Adolphe, vve, epouse GAROUTTE)

Du coup je vais vous faire bosser un peu avec ces mises à jour hahah !

Je vous souhaite une belle journée

Cordialement

VP



28 novembre - 2 décembre 2018 : Généalogie de la branche Gertosio

Q1.

Bonjour,

J'ai certainement la suite de votre arbre, branche GERTOSIO. Effectivement mon arriere arriere grand  pére Antoine a bien un lien avec Artimisio Rosa.

Je sais qu'il y a eu 4 enfants d'un premier mariage (je pense) Antonio-Marie-Jean-Auguste mais rien sur Aurelie. Antoine s'est remarié avec Garrino Antoinette il ont eu un fils Mathieu. Pouvez vous me dire si le lien est bon.

Bonne journée.

PG
    

R1. (1er décembre 2018)

Merci pour votre message. Le lien est le bon.
 
Une branche Gertosio figure bien dans mon arbre généalogique en ligne.

Je suis parti d’un Seynois, Joseph MAGLIOTTO, Mort pour la France, qui avait épousé Adrienne CHAMPEY, née à Brignoles, dont un oncle, Gabriel CHAMPEY avait épousé Aurélie GERTOSIO en 1892 à Brignoles, fille d’Antoine GERTOSIO, votre ancêtre.
 
Bien que ce soit une branche assez périphérique pour moi, j’ai effectué, après réception de votre message, une recherche un peu plus approfondie des différents GERTOSIO de Brignoles d’après l’état-civil, les tables décennales et certains recensements (en ligne sur le site des Archives départementales du Var).
 
J’ai ainsi retrouvé beaucoup d’autres enfants d’Antoine GERTOSIO (né ≈1830 - † 1901) dont vous ne deviez pas avoir connaissance. Il en avait eu une dizaine de son premier mariage avec Rosa ARTINISIO (≈1837-1877), dont 2 (ou 4 ?) nés en Italie et les 6 suivants à Brignoles ; et au moins 2 de son second mariage avec Antoinette GARRINO, nés à Brignoles également.
 
En voici la liste, avec les dates de naissance et de décès :
 
Du 1er mariage :
 
- GERTOSIO Mara (vers 1857 - ?)
- GERTOSIO Antoine (vers 1859 - ?)
- GERTOSIO Jean (vers 1862 - ?)
- GERTOSIO Justin (vers 1854 - ?)
- GERTOSIO Thomas Constant (1867-1870)
- GERTOSIO Jules Clément Pierre (1869-1870)
- GERTOSIO Louise Rose (1871-1871)
- GERTOSIO Aurélie Victorine (1872-1957)
- GERTOSIO Magdeleine Louise Rose Françoise (1874-1877)
- GERTOSIO Rose Antoinette Marie (1876-1877)
 
Dans le recensement de 1876, la famille (orthographiée semble-t-il ZARTAGIO !) habite rue Boucherie à Brignoles. Elle est alors composée de : Antoine (père, 48 ans), Rosa (épouse, 39 ans), Mara (fille, 19 ans), Antoine (fils, 17 ans), Jean (fils, 14 ans), Justin, fils (12 ans), Aurélie (fille, 6 ans), Magdeleine (fille, 2 ans), Rose (fille, 1 an)
 
Sa première épouse, Rosa ARTINISIO, meurt le 13 mars 1877 à Brignoles
 
Antoine GERTOSIO se remarie, mais pas à Brignoles, probablement en Italie, à Alma (Piémont) avec Antoinette GARRINO, née vers 1853 à Alma.
 
Il y aura au moins deux autres enfants :
 
- GERTOSIO Mathieu Marius (1885-1916), Mort pour la France, tué à la guerre à La Chapelotte (Meurthe et Moselle). Il s'était marié en 1911 avec Baptistine DUCHÊNE
- GERTOSIO Laurence Joséphine (1888 - ?)
 
Antoine GERTOSIO, père, meurt à Brignoles le 15 décembre 1901.
 
Voilà le résultat de mes recherches. Vous pouvez retrouver tout cela sur le site des Archives départementales du Var. Mais, je peux aussi, si vous le souhaitez (et si vous me donnez une adresse e-mail), vous faire parvenir les copies de tous ces actes de naissance, de décès et les pages de recensement.
 
Bien cordialement,
 
Jean-Claude AUTRAN

Q2. (1er décembre 2018)

Bonjour

Merci et super travail de recherche, il y a beaucoup d’enfants. Je maitrise mal le site des archives départementales pouvez vous me faire une recherche sur madame DUCHENE Baptistine Denise veuve Pouget Camille valentin, femme de Mathieu Marius Gertosio.

Juste une question qui est GERTOSIO Laurence Joséphine (1888 - ?) je ne comprends pas.

Grace à votre recherche j'ai de nouvelles infos.

Encore merci

Bonne soirée

PG

R2.

Bonjour,

Comme vous le souhaitez, vous trouverez ci-joint, en deux envois, toutes les copies des actes de naissance, mariage et décès que j’ai pu retrouver, ainsi que des extraits de tables décennales (TD) et de recensement de Brignoles.

Les actes sont classés par ordre chronologique : 1867 à 1876 (1er envoi) et 1877-1911 (2e envoi).

Malheureusement, je ne dispose pas des actes antérieurs à 1867 qui correspondent à des naissances ou des mariages en Italie (San Damiano, Piémont), ni ceux postérieurs à 1912 qui ne sont pas accessibles sur internet (il faudrait aller à l’état-civil de Brignoles ou aux Archives Départementales à Draguignan).

Je pense que Antoine GERTOSIO a dû se marier en Italie vers 1855 avec Rosa ARTINISIO [on trouve aussi sur certains actes « Arthemise Eurozia »] et qu’ils ont dû arriver en France vers 1865 avec déjà 4 enfants. Les 6 enfants suivants (à partir de Thomas, 1867, sont tous nés à Brignoles).

Après la mort de Rosa ARTINISIO (1877), Antoine GERTOSIO se remarie, sans doute en Italie, avec Antoinette GARRINO et ils ont au moins deux autres enfants, nés à Brignoles. J’ai retrouvé Mathieu (né en 1885) et Laurence (née en 1888).

En 1911, 5 ans avant d’être tué à la guerre, Mathieu s’était marié avec Baptistine DUCHÊNE (née en 1877 à Brignoles et veuve de Camille POUGET (1867-1909)) et ils avaient eu un enfant, Honoré GERTOSIO, né en 1911.

Cet Honoré GERTOSIO, qui sera Pupille de la Nation, se mariera en 1933 avec Laure GARRUS, mais je n’ai pas accès au détail des actes postérieurs à 1912.

De son côté Laurence GERTOSIO se mariera avec Louis PAGET en 1909 à Brignoles, mais je ne connais pas la suite de la descendance

Tout ce que je sais sur Baptistine DUCHÊNE se trouve dans les 3 actes de naissance (1877) et de mariage (1903 et 1911). Elle aura donc été veuve deux fois, mais je ne connais pas la suite de son histoire, n’ayant pas accès aux actes postérieurs.

Je pense avoir répondu à vos interrogations. Je reste à votre disposition si vous souhaitez que je poursuive d’autres recherches.

Bien cordialement.

Jean-Claude Autran

Q3.

B‌onsoir,

Encore merci pour toutes les informations et vos recherches.

Sans votre aide, je n'aurais jamais pu trouver l'ensemble des documents.

Merci et bonne soirée.

PG





22 octobre - novembre 2017 : Familles Carle

Q1. (à BA)

Bonjour Monsieur BA,
  
(je me permets de mettre ce message en copie à Monsieur Autran)
  
Suite à notre entretien téléphonique en ce début de semaine, je vous envoie comme convenu ce message afin de vous communiquer davantage de détails concernant la recherche généalogique que nous menons. J'étais particulièrement occupé ces jours-ci et n'avais pas pu vous envoyer ce courrier auparavant.

Ma femme CC est vénézuélienne. Son grand-père, Onorato CARLÉ, est né le 22 octobre 1897 à La-Seyne-Sur-Mer, de parents tous deux originaires de Chiusa Di Pesio en Italie (cf. son acte décès au Venezuela). Sur son acte de naissance (trouvé sur les archives du Var en ligne), il s'appelle Honoré et ses parents sont dénommés Joseph CARLÉ et Catherine MUSSO (sans doute Giuseppe et Caterina à l'origine).
  
Onorato étant décédé en 1959, ma femme CC (née en 1975) ne l'a ainsi jamais connu.
De même, Carlos le père de Carla étant né en 1947, celui-ci n'a pas pu connaître son père Onorato très longtemps (jusqu'à ses 12 ans).
Et par ailleurs, Carlos étant mort il y a 20 ans en 1997, ma femme CC n'a pas pu grandement échanger avec son père au sujet de son grand-père
(NB : les parents de Carla ont divorcé lorsqu'elle avait 6 ans, puis elle a vécu avec sa mère principalement).
  
Ce que nous savons d'Onorato pour l'instant, c'est que suite à son arrivée au Venezuela (date d'entrée dans le pays encore inconnue à ce jour), il a participé en 1942 à la création d'un lycée dans la ville d'Acarigua, où il a par la suite enseigné l'Anglais. Tout le monde le disait français-italien, et justement preuve en est, il est français de sol et italien de sang.
   
Nous avons pu également découvrir, via les archives en ligne (tables décennales, registres civils, recensements), qu'il avait une sœur Madeleine âgée de 4 ans de plus que lui (née en 1893). Le domicile des parents était situé au 49 rue Evenos. Ces derniers ont eu une première enfant en 1890, mais qui fut déclarée morte-née. Dans le recensement de 1911, Onorato et Madeleine (alors âgés respectivement de 14 et 18 ans) n'apparaissent plus dans le foyer de leurs parents, alors que ces derniers y figurent encore (et on ne trouve aucun acte de décès au nom de Madeleine dans les registres civils en ligne...).
  
Autre information, non négligeable : nous avons trouvé (via Google) un document en ligne dans les archives historiques de l'Université de Turin qui indique qu'un étudiant nommé Onorato CARLÉ, né à La-Seyne-Sur-Mer et de parents originaires de Chiusa Di Pesio, a été inscrit dans cet établissement pour des études de Médecine à partir de 1910/1911 et y resté quelques années.
  
Ce qui nous vaut de mener nos investigations, c'est : de chercher/trouver quelques infos concernant le parcours de vie d'Onorato CARLÉ (et de ses parents, immigrants italiens) avant son arrivée au Venezuela de réaliser (qui sait) une partie de son arbre généalogique (cousins, neveux, etc.) en découvrant, entre autres, l'éventuelle descendance de sa sœur Madeleine
  
Tout d'abord, comme je vous l'ai expliqué au téléphone, ayant eu pour ma part un grand-père qui s'intéressait beaucoup à l'histoire de son village en Alsace (Betchdorf) et qui en était même devenu « la Mémoire du village » car il avait réalisé l'arbre généalogique de nombreuses familles, je me suis dit qu'il devrait pouvoir y avoir, parmi les « anciens » de La-Seyne-Sur-Mer, l'une ou l'autre personne qui saurait nous raconter diverses histoires au sujet des habitants du début du siècle dernier.
  
Comme vous me l'avez expliqué : les temps ont changé... mais nous essayons cela dit par divers moyens de nous mettre en quête de contacts qui pourraient correspondre à ce type de profil... De ce fait, un grand mystère que nous cherchons à élucider est : « Que sont devenus Onorato (Honoré) et Madeleine à partir de 1911 ? » (ou plus précisément, après le recensement de 1906). Ils sont sans doute partis vers d'autres horizons, mais nous cherchons cela dit à comprendre ce qui a bien pu les faire « disparaître » du domicile de leurs parents...
  
Autres questions qui me viennent :
- Dans quel cadre le père d'Onorato (forgeron) aurait-il travaillé ?
- Peut-être dans les chantiers navals ?
- De même, qu'est-ce qui a pu amener cette famille à venir de Chiusa Di Pesio jusqu'à La-Seyne-Sur-Mer, tout comme d'autres habitants à la même époque qui étaient originaires de ce même village italien et dénommés CARLÉ ? (seraient-ils tous issus de la même famille? nous comptons d'ailleurs nous rendre à Chiusa Di Pesio par la suite, afin de trouver d'autres informations...)
- Dans quelle(s) école(s) de la ville Onorato aurait-il étudié ? Serait-ce lui qui aurait été inscrit (prématurément à l'âge de 13/14 ans !) à l'Université de Turin par la suite ? (juste avant la Grande Guerre...)
- Quel a pu être le destin des différentes familles d'immigrés italiens de La-Seyne-Sur-Mer avant, pendant et après la Première Guerre Mondiale ?
   
Nous avons par ailleurs découvert sur le site de Jean-Claude Autran des éléments concernant un dénommé CARLÉ qui avait enseigné à l'Ecole Martini au début du XXème siècle (tailleur de pierres). Nous allons par conséquent tenter de découvrir également si cette personne aurait un éventuel lien avec le village de Chiusa di  Pesio et peut-être avec la famille de Carla.
   
Comme dit au téléphone, nous sommes domiciliés à Lille et allons nous rendre aujourd'hui à La-Seyne-Sur-Mer, jusqu'à mercredi environ. Nous avons pour l'instant un rendez-vous prévu mardi matin aux Archives municipales. Sans doute que d'autres questions nous viendront encore à l'esprit d'ici là.
  
Nous vous remercions d'ores et déjà pour l'attention que vous portez à notre recherche.
  
PS et CC

R1.

Cher Monsieur,
 
Pardon pour le retard considérable avec lequel je réagis à votre message du 22 octobre. J’ai été particulièrement occupé ces dernières semaines avec diverses sollicitations de la Ville ou d’associations locales. J’ai de la peine à trouver du temps pour faire avancer ma propre généalogie. Vous comprendrez donc que je n’aie pas pu passer beaucoup de temps pour me pencher sur la vôtre.
 
Il se trouve que j’avais travaillé il y a quelques années sur les 630 pages du recensement de La Seyne de 1906 (le plus récent qui était alors mis en ligne) et j’en avais extrait un fichier exhaustif de tous les patronymes seynois de l’époque, page par page et rue par rue. En interrogeant ce fichier, j’ai identifié 15 familles portant le patronyme CARLE (ou CARLES).
 
Vous trouverez ci-après un tableau faisant la liste de ces 15 occurrences du patronyme CARLE dans le recensement de 1906, avec notamment le nom de la rue et surtout la page du livre de recensement où chacun de ces patronymes apparaît (cela vous permet d’aller directement à la bonne page, sans avoir à feuilleter les 630 pages d’écran du registre).
 
Nom          Page Adresse                       Nombre     Commentaires
CARLE        107   Rue Victor Hugo              1                Né à La Seyne
CARLE        116   Esplanade St Esprit          2                Nés à Saint-André
CARLE        124   Rue Séminaire                3                dont 2 nés à Chiusa, 1 à La Seyne
CARLE        143   Rue Parmentier               4                dont 2 nés à Tavernes, 2 à La Seyne
CARLE        218   Rue Évenos, n° 39           1                Louis, né Bartolome (Italie)
CARLE        220   Rue Évenos, n° 49           3                dont 1 né à Pesio, 2 à La Seyne
CARLE        220   Rue Évenos, n° 49           4                dont 2 nés à Pesio, 2 à La Seyne
CARLES      264   Rue Cavaillon                  1                Née à La Seyne
CARLE        307   Chemin Ste Anne             1                Né au Canet
CARLE        310   Chemin Ste Anne             5                dont 3 nés à Chiusa di Pesio
CARLES      314   Rue de Lodi                     1                Née à Chiusa
CARLE        317   Rue de l’Avenir                5                dont 2 nés à Chiusa
CARLE        407   Quartier Fort-Caire           6                dont 1 CARLE, ép. GASTALDI, née à Chiusa
CARLE        546   Quartier Peyron               6                dont 5 nés à Cassis (dont 1 tailleur de pierres)
CARLE        569   Quartier Brégaillon           2                Nés à Besançon
 
Sur ces 15 familles CARLE, 7 ont un ou plusieurs membres nés à « Chiusa » (mais, selon les cas, il est écrit : Chiusa, Chiusa di Pesio, ou Pesio). Cela peut répondre en partie à votre question, à savoir s’il peut y avoir un lien entre certains CARLE de La Seyne.
 
Malheureusement, je n’ai pas fait de travail équivalent sur les autres recensements !
 
Mais j’ai quelques autres informations à vous livrer :
 
1) Le père d’Onorato, forgeron, travaillait bien aux chantiers de construction navale, la colonne entreprise mentionnant F & C, c’est-à-dire Forges et Chantiers de la Méditerranée.
 
2) Concernant le tailleur de pierres CARLE dont parle mon père dans son « Histoire de l’école Martini », il n’était pas enseignant, mais tailleur de pierre professionnel dont l’atelier se trouvait à quelques dizaines de mètres de l’école, chemin du cimetière (d’où le bruit qui perturbait les classes lorsque sa machine sciait des pierres tombales…).
 
En 1906 (cf. page 546), le CARLE tailleur de pierres se prénommait Jules et travaillait dans un autre quartier de la ville (Peyron, sans doute avenue Gambetta). Plusieurs générations de CARLE figurent ainsi dans les annuaires des professions de La Seyne à la rubrique MARBRIERS : en 1920 (avenue Gambetta), puis en 1932 et 1937 (chemin du cimetière), puis en 1950, 1956 et 1960, quartier Saint-Honorat (mais il s’agit aussi du quartier du cimetière). Dans ces 3 derniers annuaires, il s’agit d’un CARLE Joseph (probablement un descendant, fils ou petit-fils de CARLES Jules).
 
Mais cette piste du tailleur de pierres ne doit pas être intéressante pour vous car toute cette famille CARLE était née à Cassis (13)
 
3) J’avais fait il y a 2 ans une recherche sur une autre famille (JAUFFRET) qui, par hasard, avait quelque temps habité la même maison (37 place Verlaque, La Seyne) qu’une famille CARLE (dont il se trouve que je connais les descendants). J’avais consulté aux archives municipales les recensements de 1921, 1926, 1931 et 1936.
 
Cette famille CARLE n’apparaît place Verlaque qu’en 1926 [copie du fragment de registre ci-jointe]. Ils changent ensuite de quartier. Mais il est intéressant que le chef de famille CARLE François, boulanger en 1926, était né à Chiusa de Pesio en 1884. Il est alors marié avec Claire (ou Elisa ?) X et à une fille Anna. On les retrouve en 1936, avenue de Donicarde, « maison Carle » [copie ci-jointe]. Le père est alors devenu agriculteur. Deux autres enfants sont nés à La Seyne : CARLE Marie (1926) et CARLE Gaston (1935). Les descendants de cette famille habitent aujourd’hui encore cette même maison, appelée aussi « campagne Carle ». Marie CARLE a épousé Jean MARTINENQ (1920-2000), un cousin de ma mère, et ils ont eu 2 fils : PM (...) et PM (...), que je connais tous deux. Tout ceci pour vous dire surtout que PM est depuis longtemps Président de l’Association des Amis du Piémont (en mémoire à ses ancêtres CARLE). Et que je vous conseille de le contacter, parce qu’il a sans doute parmi ses adhérents, outre ses propres ancêtres CARLE, un certain nombre de natifs de Chiusa di Pesio parmi lesquels se trouvent peut-être des gens qui sauront répondre à votre question (à laquelle je ne sais pas répondre moi-même), notamment le devenir de Onorato (Honoré) et de Madeleine à partir de 1911.
 
Peut-être avez-vous déjà eu une partie des réponses à vos questions puisque vous être venus consulter les archives municipales de La Seyne récemment, mais, personnellement, c’est tout ce que je peux vous répondre pour l’instant.
 
Concernant les raisons de l’immigration massive italienne, notamment piémontaise, à La Seyne, voyez les chapitres écrits par mon père en 1990 (http://jcautran.free.fr/oeuvres/tome3/cite_cosmopolite.html#6) et en 2001 (http://jcautran.free.fr/oeuvres/tome8/terre_d_accueil.html#2).
 
Si d’autres éléments me reviennent en mémoire, ou si j’en découvre au hasard de mes recherches, je ne manquerai pas de vous les communiquer.
 
Bien cordialement.
 
Jean-Claude Autran








13-20 décembre 2016 : Familles Savona et Fille

Q1. (via Geneanet)

Bonjour Mr AUTRAN, en faisant des recherches sur généanet, je suis tombé sur une partie commune avec votre arbre, je pense. Je suis l'arrière petit fils de Camille SAVONA, mariée avec E.F.E FILLE. Pensez-vous que des recherches en Italie seraient fructueuses ?

Cdt EF

R1.

Cher Monsieur,

Oui, nous avons une partie commune entre nos arbres. Vous avez certainement vu sur Geneanet quel était mon lien avec la branche SAVONA, originaire de Pieve di Teco. C’est mon grand-père paternel, Simon AUTRAN, qui, veuf, avait épousé en secondes noces Joséphine GUIMBERTY (1891-1974), fille de Pierre GUIMBERTY et d’Angèle SAVONA, née en 1870 à Pieve di Teco, qui avait une sœur, Camille SAVONA, née en 1865 et qui avait épousé E.F.E. FILLE dont vous descendez.

1) J’ai assez bien connu certains membres de la famille FILLE, notamment Camille, cousin germain de Joséphine GUIMBERTY, et époux de Gisèle APESTEGUY (que mon père connaissait d’ailleurs déjà dans son enfance puisqu’ils avaient ensemble été à l’école des Sablettes dans les années 1917-1920). Camille FILLE et Gisèle venaient régulièrement chez mon grand-père à Mar-Vivo et ma famille leur avait rendu visite plusieurs fois à La Valette, avenue de la Libération, au tout début, à droite, de la montée de La Valette vers la corniche du Super-Toulon. Je ne sais plus combien ils avaient eu d’enfants. Je ne me souviens que d’un fils, Evariste, qui avait une dizaine d’années de plus que moi, qui faisait vers 1958-1960, des études de droit et qui hésitait alors entre les métiers de commissaire de police ou d’avocat. C’est probablement de lui que vous descendez. Mais le contact avec la famille FILLE s’est perdu après la disparition de mon grand-père en 1962.

2) La famille SAVONA a dû émigrer dans la région de Toulon-La Seyne.

Le phénomène de l'immigration italienne qui a concerné notre région s'est manifesté à trois périodes distinctes : le milieu du XIXe siècle, la fin du XIXe siècle, surtout dans les années 1875-1876, et l'après-guerre de 1914-1918 jusqu'en 1936.

Mais, d’après les recherches que je viens de mener dans l’état-civil de La Valette-du-Var, il apparaît que la famille SAVONA a dû venir en France au début des années 1870, vers 1872-73. Je viens en effet d’identifier deux autres filles du couple SAVONA-FASSONE, mortes en bas âge, l’une, Doménica, née vers 1867 à Pieve-di-Teco et décédée à La Valette en 1873 ; l’autre, Claire Françoise Marie, née à La Valette le 15 mai 1874 et décédée à l’âge de 3 jours.

On retrouve par ailleurs la famille SAVONA dans plusieurs recensements de La Valette à partir de 1876.
- Dans le recensement de 1872, il ne semblent pas figurer.
- Dans celui de 1876, la mère (« Benedicta FASSONNE femme SAVONO ») et ses deux filles, 11 et 6 ans, y apparaissent, rue de l’Égorgerie. Le père n’apparaît pas. Est-il absent de La Valette au moment du recensement, ou est-il toujours en Italie, n’ayant pas encore rejoint le reste de sa famille venue en France ??
- Dans celui de 1881, la famille [orthographiée SAVONNE] est au complet : François, cordonnier, 45 ans ; Benedète FASSONE, sa femme, 36 ans, journalière ; leurs filles Camille et Angéline, respectivement 16 et 12 ans. Ils habitent alors rue Nationale.
- Dans celui de 1886, ils ne sont plus que 3 [SAVONNE] (le père étant décédé en 1884) : Bénedetta, veuve SAVONNE, 40 ans, blanchisseuse ; Camille, 20 ans, blanchisseuse ; Angèle, 16 ans, jardinière. Elles habitent toujours rue Nationale.

NB. Je possède des copies d’écran de tous ces actes. Si vous ne les avez pas, je peux vous les communiquer, si vous voulez bien me donner une adresse e-mail.

3) Mais tout ceci ne répond pas à votre question principale à savoir si des recherches en Italie seraient fructueuses ?

Malheureusement, je n’ai pas de véritable expérience en la matière, n’ayant pas de branche d’origine italienne parmi mes ancêtres directs.

Tout ce que je peux vous dire, ayant demandé sur internet « rechercher ses ancêtres en Italie », qu’il y a un certain nombre de pistes de proposées, ainsi que de sites internet italiens de généalogie

Voyez par exemple à la page : http://www.guide-genealogie.com/guide/genealogie_italie.html

qui fournit les liens des sites à consulter :

•    Projet des ancêtres italiens : Rendre des registres d’état civil italiens consultables en ligne gratuitement
•    Généalogie - Italie : >Groupe de discussion : Groupe destiné aux généalogistes amateurs souhaitant communiquer et s'entraider sur la recherche de leurs racines familiales d'origines italiennes.
•    Archives italiennes : Des actes en lignes, des recherches par nom…
•    Groupes de discussions en généalogie : Pour voir d'autres listes, consulter la page du site
•    Ancêtres Italiens : Association généalogique basée à Paris : à ne pas manquer.
•    Gens Italia : En italien : Tapez le nom de famille à gauche dans "Cognome". Vous obtiendrez alors une carte avec la répartition géographique
•    Federazione delle Associazioni Italiane di Genealogia, Storia di Famiglia, Araldica e Scienze Documentarie : En italien : de nombreux liens
•    Ellis Island : En anglais : Des cousins aux Etats-Unis ? Base de données des immigrants américains : recherche par nom
•    Christian Serpero, généalogiste professionnel : Recherches généalogiques en Italie

Egalement : http://www.geneaita.org/fr/
Ou : http://www.geneanet.org/search/?country=ITA&region=LIG&subregion=IMP

C’est probablement plus compliqué que pour la France, vu que l’état-civil italien n’existe que depuis 1866, mais, avec de la patience, vous pourrez probablement obtenir des résultats.

Je fais faire quelques tentatives de mon côté et je vous tiendrai au courant si je trouve une piste intéressante.

Bonne continuation de vos recherches.

Bien cordialement.

Jean-Claude Autran

Q2.

Bonjour Mr AUTRAN,

Je vous remercie pour vos  précieuses lumières. Je suis le petit fils de Laurent FILLE (1899-1958) qui était le frère de Camille FILLE.

Evariste FILLE, cousin germain de mon père est DCD dernièrement, je sais.

De mon coté je possède quelques photos de famille, je vais rechercher pour savoir, si Angèle SAVONA y figure.

Pour votre proposition, cela sera avec plaisir.

Je réside dans les Corbières (11), mais mes parents sont toujours à La Valette-du-Var
 
Cdt EF





 

15 juillet - 15 octobre 2015 : Famille Daniel

Q1.

Cher Monsieur,
 
Notre séjour dans votre région m’ a enchanté, elle est belle et il reste fort heureusement encore des coins où la Nature a conservé ses droits. (...).
 
Mon père m’ avait dit que son grand-père Hyacinthe Bonaventure DANIEL né ā Aix en Provence en 1814 - fils d’ André Marie Melchior – descendait d’ une famille d’armateurs.  Je pense que l’ on pourrait retracer le noms des vaisseaux  et d’ autres renseignements dans les archives naval de Toulon.  Pourriez vous me conseiller ā qui m’ adresser ? Je prendrai bien entendu tous les frais ā ma charge.

(...)  Bien cordialement,

MCS

R1.

Bonjour,

Merci pour votre message.

Je suis heureux que votre séjour dans notre région ait été une réussite et j’espère vivement qu’une rencontre sera possible lors de votre prochain passage.

(...) Concernant vos ancêtres DANIEL, je ne dispose d’aucune information sur eux. Il y a eu des DANIEL célèbres à La Seyne, des anciens administrateurs, gouverneurs ou consuls de la ville au cours des XVIIe et XVIIIe siècles (Laurent DANIEL, Honoré DANIEL, Louis DANIEL, Melchior DANIEL,...), ainsi qu’un ancien médecin-chef bénévole de l’hôtel-dieu dont une rue de la ville porte le nom (Clément DANIEL). Mais d’après les historiens, il s’agit de familles issues du village de Six-Fours où le patronyme DANIEL était très répandu. Je ne connais pas de lien avec des DANIEL d’Aix-en-Provence, ni avec une profession d’armateur.

Pour avoir des informations sur vos ancêtres descendants d’armateurs, vous pouvez toujours essayer d’interroger les Archives de la Marine :

Service Historique de la Marine
Passage de la Corderie
BP 45
83800 Toulon Armées
http://www.culture.gouv.fr/mpe/carto/fiches/210.htm

Personnellement, je n’ai jamais pris le temps d’y aller effectuer des recherches car j’ai toujours reculé devant l’énormité de la tâche (ils ont 15 kilomètres linéaires d’archives...). Je ne sais pas si vous pourrez obtenir quelque chose d’eux en écrivant. Car il faudrait pour cela que vous puissiez leur fournir des indications précises (dates, nom des navires, nom de l’armateur, etc.). Mais vous pouvez toujours essayer.

Merci de me tenir au courant si vos recherches ont été fructueuses.

Bien cordialement.

Jean-Claude Autran

Q2.

Bonjour Monsieur Autran,
 
(...) J’ai suivi votre conseil en évitant de faire des recherches du côté des archives maritimes de Toulon, j’avais en effet lu combien c’est difficile d’aborder une telle accumulation d’informations.  
 
Mais qui dit marine marchande dit assurance.  Je savais que l’ancêtre de mon père André Marie Melchior DANIEL, armateur et commerçant était décédé à Marseille en 1834.  En consultant  le Journal de Jurisprudence Commerciale et Maritime j’ai pu retracer le nom de certains de ses bateaux, dont «  Le Béarnais » construit par les chantiers Jouglas (1818) « Le Charles Philippe », « Le Pierre » qui venait aux îles de Bourbon et Maurice pour charger du sucre de canne.  Le lien que je recherchais se trouve là.  Je voulais comprendre pourquoi son fils est venu dans les îles où il a acheté une propriété sucrière.  Je vais essayer de retrouver le nom du bateau sur lequel mon arrière grand-père Hyacinthe Bonaventure (né à Aix le 16 mars 1814 – le mois de la chute de Napoléon ) était arrivé à Bourbon où il avait investi dans des propriétés avant de venir à Maurice pour épouser en 1845 une mauricienne descendante d’un officier du Balli de Suffren, comme le monde est petit !
 
Par mon père nous descendons de :
1. Antoine Daniel (ca 1630 – 1675 de La Seyne)
2. Melchior (1675 – 1727 de La Seyne)
3. Melchior (né en 1715)  maire de Toulon. Nous n’avons pas la date de son décès, ni de celle de son épouse Anne Catherine EMERIC
4. Louis Bonaventure (fils de Melchior né à Toulon en 1747 et décédé à La Seyne en 1841) il  épousa Claire Hélène GRANET  (fille de Toussaint Granet) ils sont les parents de :
4. André Marie Melchior Daniel armateur et fournisseur à l’Armée d’Italie. Son épouse était italienne, Marie Josephine FUMAGALLI
5. Hyacinthe Bonaventure  dont la descendance est Mauricienne.
 
Mon frère ainé m’a remis une liasse d’archives de la famille, j’ai voulu tenir la promesse que je lui ai faite de rassembler ces documents et photos pour mes neveux et nièces. Cela  m’a incitée à lire des ouvrages liés à l’histoire du Var. Ma génération avait appris en classe la littérature et l’histoire de France, mais j’étais assez ignorante de celle de la Provence, j’ai eu beaucoup de plaisir à lire le récit  des évènements qui ont marqués le passé de votre beau pays.
 
Bien à vous,

MCS





 

2-19 juillet 2015 : Familles Borréani - Pacini

Q1.

Monsieur Autran bonjour,

Je suis entrain d'écrire un livre sur la vie de mes ancêtres  en quelque sorte je construis mon arbre généalogique et je cherche des gens qui auraient pu les connaitre dans les années 1918 à 1942.

Je vais très fréquemment sur le site de votre papa Marius Autran  je trouve fabuleux  les écris et les photos souvenirs qu'il a récolté durant toutes ces années de vie dans le Var

Moi je suis la petite fille de Borréani Louis et de Diomiria Pacini. Ils venaient tous les deux d'Italie, ils ont vécu à la Seyne sur mer jusqu'en 1924, lui était agriculteur, elle employée de maison, ils étaient mariés mais je n'arrive pas à trouver de trace de leur passage dans votre ville j'ai aussi fait appel aux archives des mairies environnantes rien les concernant encore moins sur leur décès...

Je suis un peu déçue, car si je connais le passé de mes grands parents cela me permettra de mieux comprendre leur vie en tant qu'immigrés et celle de ma mère !

Voilà je ne sais pas si dans les archives de votre papa, vous trouverez quelque chose sur eux. mais merci d'avance bonne continuation pour votre site

Amicalement

EBD

R1.

Bonjour,

Votre message a retenu toute mon attention.

En recherchant dans les nombreuses archives de mon père, la plupart numérisées, je n’ai malheureusement pas retrouvé de mention des nom des ancêtres auxquels vous vous intéressez : Borréani Louis (ou Luigi) et Pacini Domiria.

S’ils ont, à une certaine époque, vécu à La Seyne, ils doivent pouvoir être retrouvés dans les livres de recensement de la ville qui ont été établis tous les 5 ou 6 ans. Ces recensement sont accessibles sur le site internet des Archives Départementales du Var, mais uniquement lorsqu’ils on plus de 100 ans. Le dernier consultable est celui de 1911. Le suivant est celui de 1921, mais il vous faut aller consulter le livre aux Archives Municipales de La Seyne. C’est un travail qui peut être long si l’on ne connaît pas les noms des rues qu’ils ont habitées car c’est un document de 700 ou 800 pages qu’il faut parcourir. Mais s’ils ont habité La Seyne jusqu’en 1924, ils figurent certainement, avec leur date et lieu de naissance, dans ce livre du recensement de 1921. Ayant la date et le lieu de naissance, vous pourriez poursuivre votre recherche généalogique.

Vous pouvez trouver aussi des informations sur des sites internet généalogiques. Je me suis ainsi amusé à taper “diomiria borreani” et je suis arrivé à une page créée par une généalogiste nommée Delphine Borréani [copie ci-jointe] qui mentionne le nom de vos ancêtres. Aucun autre détail n’a pu m’être donné car il s’agit de données familiales privées. Mais vous, étant de la famille, vous pouvez apparemment en savoir plus en vous adressant à l’auteur du site Delphine Borréani (aller à la page : http://www.myheritage.fr/inbox/compose/recipient/278851884/type/1). Vous pourrez alors lui envoyer votre question dans la fenêtre du message prévue à cet effet.

J’espère que vous allez ainsi pouvoir progresser. Merci de me tenir au courant.

Bien cordialement.

Jean-Claude Autran

Q2a.

Re bonjour mr Jean-Claude

Voila ce matin j'ai envoyé un message à delphine borréani,en passant par le site my héritage que vous m'avez envoyé, la personne n'a pas daigné me répondre,​ceci dit j'avais essayé de contacter d'autres  membres de la famlle borréani dans la région du Var ils sont pour la plus part boulangers comme l'étaient mes deux oncles, il y en a aussi à Marseille, j'ai retrouvé un cousin germain fort gentil mais qui ne sait rien de nos grands parents, j'ai de nouveau écrit à la mairie de st cyr, du castellet, de la seyne sur mer, pas de trace d'eux!! ni de leur mariage ni de leur enterrement. alors que je leur ai fourni les actes de naissance !

Enfin ca ne fait rien, je regarde avec plaisir les témoignages de ceux qui racontent leur vie dans les communes du Var, à bientôt cher monsieur AUTRAN
EBD

Q2b.

​Bonjour monsieur

Je suis vraiment touchée de votre sollicitude, depuis l'an dernier je n'ai de cesse de chercher dans les archives du var, j'ai même envoyé des courriers aux mairies où ont habités successivement mes grands parents,

J'ai leur acte de naissance à tous les deux! aucun des services n'a trouvé ni acte de mariage ni acte de décés mais je vais envoyer un mail à la personne dont vous m'avez donné les coordonées, je vous tiendrez au courant de la suite et vous remercie beaucoup pour toutes vos infos de recherches

Cordialement

EBD

Q2c.

​Bonjour mr. Autran

Vous m'aviez écris très gentiment un long mail, afin de m'aider dans mes recherches concernant mes grands parents, après avoir insisté "lourdement" auprès de la mairie de la seyne, une personne fort aimable a cherchée et à trouvé !

J'ai reçu l'acte de décés de ma grand mère qui est morte le 19mars 1931 à l'hospice hôpital de la seyne sur mer. Sur le certificat il est mentionné qu'ils habitaient tous les deux = Luigi  BOREANNI et elle PACINI  diomiria, à LA SEYNE SUR MER, donc mon grand père à dut lui aussi mourir dans la même ville, en 1937 (vers l'âge de 37 ans) d'après ce que m'a dit ma mère à l'époque  à la mairie il me semble que l'on écrivait l'adresse de résidence des gens ?

J'ai regardé dans le site de votre papa, si leurs noms apparait mais rien! je pensais que dans les archives de l'hôpital il y aurait une trace mais je ne connais pas l'adresse du vieil hôpital, l'auriez vous dans vos archives personnelles ?

à bientôt bonnes vacances

EBD

R2.

Bonjour,

Merci pour vos dernières informations.

Si votre grand-père est bien mort à La Seyne en 1937, vous devez pouvoir retrouver son acte de décès auprès de la mairie, en téléphonant ou en écrivant, de la même façon que vous avez eu celui de votre mère en 1931. Il est probable que son adresse (ou un lieu de décès comme l’hôpital) figure sur l’acte.

Vous pouvez essayer de contacter l’hôpital pour qu’ils recherchent s’il y a un dossier concernant votre père dans leurs archives de 1937. L’ancien hôpital se trouvait au même emplacement que l’actuel. Seule l’entrée a changé de côté. L’adresse est : « Hôpital de La Seyne-sur-Mer, avenue Jules Renard, 83500 La Seyne-sur-Mer -  04 94 11 30 00).

Si vous arrivez à obtenir davantage de précisions sur leur adresse, il sera possible de consulter les livres de recensements de 1921, 1926, 1931 pour avoir confirmation de leur date et lieu de naissance ainsi que de leurs professions. Je pourrais alors essayer de faire cette recherche lors de mon prochain passage aux Archives municipales, mais ce ne sera pas avant fin septembre car j’ai trop de travail de préparation de conférences d’ici là.

Il n’y a rien, effectivement, dans les archives de mon père, ce dernier n’ayant pas dû connaître votre famille. Il n’a jamais eu non plus d’élève portant le nom de Borréani.

Bien cordialement.

Jean-Claude Autran

Q3a.

Merci jean claude pour votre réponse je vais donc chercher dans les archives sur la rubrique recensement

à bientôt de vouss lire

amitiés

EBD

Q3b.

rebonjour JEAN CLAUDE
j'a en ma possession les dates et lieu de naissance de mes GRANDS PARENTS ils sont ​d'origine ITALIENNE, ma grand mère est décédée le 19/03/1931 à l'hôpital de la seyne, donc sur ce point j'ai ce qu'il faut comme infos.

En rentrant de l'hôpital j'appelle l'hospice de la seyne pour savoir s'ils sont des archives numérisés,hier j'ai passé la journée à éplucher les journaux quotidiens de l'époque pour vor s'il y avait un AVIS DE DECES pour mon grand père ,mais avec 1700 pages à regarder rien que pour une seule année!mes pauvres yeux......

Mais je vais faire ce que vous m'avez conseillez voir sur les recensements, je n'y ai pas songé merci

à bientôt

EBD

Q3c.

bonjour JEAN CLAUDE

Je viens d'aller sur le web pour retrouver mon grand père sur une liste de recensement de  1921 à 1937 hélas elles   ne sont consultables qu'en salle de lecture !

je cherche ailleurs!!

EBD

R3.

Bonjour,

Oui, c’est ce que je vous avais dit. Seuls les recensements de plus de 100 ans sont en ligne sur le site internet des Archives départementales. Le dernier est celui de 1911. Pour les périodes plus récentes, il faut aller les consulter en salle de lecture - et encore mieux vaut avoir une idée de l’adresse de ceux que l’on recherche, sinon ça obligera à feuilleter plus d’un millier de pages... Comme j’imagine que vous n’habitez pas sur place, je vous proposais d’aller faire cette recherche dans les livres de recensement en septembre – mais à condition que vous arriviez à avoir une adresse à partir de l’acte de décès de votre grand-père auprès de l’état-civil de La Seyne.

Bien cordialement,

Jean-Claude

Q4.

Coucou!

Alors j'ai vaguement vu quelques registres sur le recensement d'immigration il y a des listes  avec des chiffres ,mais très peu de noms c'est passionnant ces recherches mais un peu décevant car des BORREANI il y en a un paquet!

La seule qui a doit avoir quelques  renseignements sur mon grand père, c'est la personne dont vous m'avez donné le site, je ne lui écris plus elle ne répond pas....
mon grand père serait mort très jeune entre 37 et 40ans d'une pneumonie à l'hôpital civil, mais lequel?!!

Je n'arrive pas à accéder aux archives des hôpitaux, encore moins des églises qui souvent avaient les déclarations mariage, naissance, décès,mais tout a changé
je voyage  virtuellement entre toutes les villes du var,proches de toulon  j'ai même consulté la rubrique  mariage et nécrologie de tous les quotidiens de l'époque! vous imaginez aussi le nombre de pages que je tourne! mais finalement je pense que je vais arrêter pour mon grand père car s'il a été enterré dans une fosse commune au cimetière du quartier bois sacré  depuis le temps tout a été nettoyé.!

A bientôt

EBD




13 mars - 2 avril 2015 : Familles Graglia - Champey

Q1.

I have a great aunt named Caterina Graglia who was born in Borgio San Dalmazzo, Italy. Her parents were Giuseppi Graglia and Caterina Giraudo. There are family stories that she and some of her siblings moved to Brignoles. I have a picture of her (or perhaps her daughter, Marie - one of them was a nurse).  Is this part of your family tree?  If so, I would like to share information.

 AGB

R1.

Hello,

Yes, it seems to be part of my family tree (although it is a distant branch) as I also have Giuseppe Graglia and Maria Catterina Giraudo, who are the parents of Maria Graglia, all the three being born in Borgo-San-Dalmazzo. So it is likely that your great aunt Caterina Graglia was a sister (whose I ignored existence) of Maria Graglia

The only information I have about this family is that Maria Graglia moved to Brignoles (Var, France) where she married in 1911 with Charles Alphonse Laurent Champey, a man who was born and lived in Brignoles. Maria Graglia, 17, was his third wife. He was 46 and had been widower twice before. He had many children in all (one daughter with his first wife - the only one with whom I have a distant relationship - seven children with the second, and possibly four (all born in Brignoles born between 1913 and 1921) with Maria Graglia. [I say possibly four because I found four births with a Champey last name in the Brignoles decennal tables but, as tI could not access to the birth certificates as they are less than 100 years old and therefore not available for consultation on the internet site]. I am sorry that I have no idea about what they became afterwards, where the lived and about their possible progeny. I have not idea either about Caterina Graglia life. I would be pleased, however, if you know more about her and if she had other brothers or sisters. If you have evidence that she also lived in Brignoles, it would be possible to find information on her family in the Brignoles population census (i.e. 1901, 1906, 1911).

Your ssincerely,

Jean-Claude Autran

Q2.

It was wonderful to get your message.  Yes, it seems as if we are distant relatives.  I am the granddaughter of Stefano Gralia, the oldest brother in the Graglia family (the middle "g" was dropped when he immigrated to America.)  The verbal history is that there were at least 9 children in the family of Giuseppi and Caterina.  Stefano, then Teressa, Caterina, Vincenzo, Michael, Maria, Paulo, Baptista, and Giuseppina. The names of Peter, Marietta and Josephine are listed, perhaps some of these names are the same people.

I have photos with first names of "family" but I don't know true relationships.  Paul may have moved to "southern France" after 1909. There is a letter from an Aunt married to Joseph Bergia, living in Nice in 1940. Also a note with the last name of Brenguier living in Brignoles in 1903 (married name of one of the sisters, perhaps)  All of the females are said to have "moved to France."

My pictures are of Caterina, in a nurse uniform, and her daughter that was taken in Brignoles (1917). Another series of photos are of Josephine (?) and her daughter Marie Louise (1924); the daughter of Teressa (from Eugenia Niyga, 1924) and Teresa with her daughter Ginetta and son Vincenzo when he received his first communion in 1936 in "Nizza" (Nice?) and another of Vincenzo with HIS daughter Maria Cristina in 1958.

This is all very confusing since I don't know how these people are related to me (and you, possibly). I have been attempting to do research in Italy for birth certificates, death certificates, on my grandfather, Stefano and his parents.  I only recently learned of these people who moved to France and have only started doing research on them. Any information you may be able to find would be appreciated.  

Thank you

AGB



2-5 juillet 2012 : Patronyme Dallest

Q1.

Bonjour,

Je viens de m'inscrire sur Geneanet, le nom de DALLEST apparaît-il dans votre arbre ? serait-il possible d'y accéder?

Par avance merci

MD

R1.

Bonjour,

Oui, le patronyme DALLEST apparaît dans trois branches différentes de mes données généalogiques. Aucune ne se trouve toutefois parmi mes proches parents.

Vous devriez pouvoir consulter ma page Geneanet des DALLEST en utilisant le lien suivant :

http://gw2.geneanet.org/jcautran?lang=fr&m=NG&n=dallest&t=N

Cordialement,

Jean-Claude Autran



20 juin - 9 novembre 2012 : Recherches sur la famille Astegiano et sur le Roulet entre Toulon et La Seyne

Q1.

Bonjour Monsieur

Dans le cadre de recherches généalogiques, je suis en quête  d'informations concernant la période ou le "Roulet" existait entre Toulon et la Seyne. Mon arrière grand-père Thomas ASTEGIANO ou ASTEGGIANO travaillait à la  RMTT et d'après mes infos, il tirait le "Roulet" entre ces deux villes. Il est venu à la Seyne pour travailler au Chantier Naval après la réunification de l'Italie. Ses enfants sont tous nés en Italie, donc la venue en France date, je pense, début 1900. Avez vous des archives de cette période ?. Je vous remercie par avance.

Très cordialement

CG

R1.

Bonjour,

En réponse à votre message, je regrette de ne pas avoir d’archives précises sur cette époque des premiers transports hippomobiles entre Toulon et La Seyne, ou entre La Seyne centre et la gare de La Seyne, en dehors de ce que mon père avait écrit dans l’un de ses ouvrages et que j’ai relayé dans mon site internet au chapitre :
http://jcautran.free.fr/oeuvres/tome1/du_bourriquet_au_sitcat.html

En particulier, si la société de transports Pellegrin y est souvent citée, je n’ai pas retrouvé dans le texte de mon père (ni dans d’autres ouvrages d’histoire locale ayant abordé la question des transports) la mention du nom de Thomas Astegiano ni d’aucun des autres employés.

J’ai cependant retrouvé le nom de Thomas Astegiano dans le recensement de La Seyne-sur-Mer de 1906, que j’avais en partie numérisé il y a quelque temps.

On retrouve en effet à la page 206 de ce recensement (que vous pouvez consulter par internet sur le site des Archives départementales du Var) le détail de la famille de Thomas Astegiano, qui demeurait alors au n° 25 de la rue Clément Daniel. Voir ci-joint des copies de ce fragment du recensement, qui indique les dates et lieux de naissance des membres de cette famille. Il est bien mentionné que thomas Astegiano était “cocher” aux Etablissements Pellegrin. Il est clair que les premiers enfants étaient nés en Italie (1886 et 1889), les trois suivants à La Seyne (1891, 1894 et 1899). Leur arrivée à La Seyne semblerait donc se situer entre 1889 et 1891.

Mais peut-être aviez-vous déjà ces informations ?

C’est tout ce que j’ai trouvé dans un premier temps. Je crains de n’avoir rien de plus sur les sociétés de transport. Mais dîtes-moi si vous souhaitez que je poursuive les recherches sur d’autres documents de recensement ou d’autres périodes de l’état-civil.

Bien cordialement,

Jean-Claude Autran

Q2.

Bonjour et un grand  merci pour ces infos. Par contre, j' ai un souci avec le mariage de Thomas. D'après les actes de naissance en ma possession, Annonciade, ma grand-mère, est bien la fille de Thomas, né en 1856. En ce qui concerne sa mère j'ai Marguerite MATTONE née en 1857 à Fabrosa Soprana, et d'après le recensement elle s'appelle Jeanne... peut-être un autre mariage car les enfants ne sont pas les mêmes :

avec MARGUERITE : les deux dont je suis sûr :

Pierre
Né le 29 juin 1886 (mardi) - Frabrosa Soprana - Province de Cunéo - Italie
Décédé
Agent technique

Annonciade
Née le 18 avril 1884 (vendredi) - Frabrosa Soprana - Province de Cunéo - Italie
Décédée le 3 août 1935 (samedi) - Toulon 83, à l’âge de 51 ans

avec JEANNE : d'après le recensement :

Félicie Sidone Marguerite
Née le 27 mars 1894 (mardi) - La Seyne sur Mer 83
Décédée le 9 juillet 1908 (jeudi) - La Seyne sur Mer 83, à l’âge de 14 ans

Louise Joséphine
Née le 3 mars 1897 (mercredi) - La Seyne sur Mer 83
Décédée le 22 juillet 1898 (vendredi) - La Seyne sur Mer 83, à l’âge de 16 ans

Victorine Françoise
Née le 25 juillet 1899 (mardi) - La Seyne sur Mer 83

Sur l'acte de décès de Félicie Sidonie en 1908, il y a André PELLEGRIN entrepreneur comme témoin. Ce dernier était le patron de Thomas ASTEGIANO ; c'est donc bien un enfant de Thomas. Il y a peut-être une erreur sur le nom de la mère "Jeanne Marguerite" ou "Marguerite Jeanne". Si le couple THOMAS ASTEGIANO et JEANNE-MARGUERITE MATTONE sont un seul et même couple, ils ont donc pour l'instant 5 enfants. Voila mon dilemme.

Très cordialement

CG

Q3. (8 novembre 2012)

Bonjour,

Dans la rubrique "patronymes seynois 2006 à 2012.

20-29 juin 2012: recherches sur la famille ASTEGIANO et sur le roulet entre Toulon et La Seyne.

Une personne se dit  être l'arrière petit fils de Thomas ASTEGIANO.

Mon épouse est née ASTEGIANO, née le 12/11/1935 à Toulon, de la lignée de Thomas ASTEGIANO, mais je n'arrive pas à établir le lien. est-il possible d'avoir l'adresse électronique de cette personne

Merci de votre réponse.

GP

R3.

Bonsoir,

Ma correspondante au sujet de la famille ASTAGIANO est Mme CG (...).

Vous pouvez la consulter de ma part en faisant référence à ces échanges de messages que j’ai eus avec elles en juin dernier.

Je vous adresse aussi les copies des pages du recensement de La Seyne de 1906 où apparaît le nom d’ASTEGIANO (pages que je mentionnais dans mon message avec Mme CG mais qui n’étaient pas reproduites sur mon site internet).

J’espère que vous allez pouvoir établir le lien avec cette famille.

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q4.

Bonjour,

Je viens de recevoir votre message, je vous remercie beaucoup.

Cordialement,

GP


29-30 décembre 2011 : Patronyme Berretta

Q1.

Bonsoir,

Je m'escuse pour mon francais, mai j'aimerai bien savoir qui est ce Berretta qui rentre dans votre famile,

Je suis un Berretta de la famille de Dego (Savona) depuis 1796, (Berretta Giovanni)

Un frère a grand-pere, Berretta Giuseppe, a vecu a Ollioules de 1922 a 1960 mais, a ma connaissance il a jamai été marié,

merci a l'avance pour votre reponse.

IB

R1.

Bonjour,

Il y a actuellement une quinzaine de Berretta dans le département du Var, dont au moins 6 à La Seyne-sur-Mer. Parmi ceux-ci, il y a les desendants d'un cousin de ma grand-mère :

Joseph François Berretta :

Né le 19 mars 1898 - La Seyne-sur-Mer, 83500
Marié le 16 septembre 1922 avec Clémence Marie Vairolatto (1900-1980)
Décédé le 8 octobre 1985 - La Seyne-sur-Mer, 83500, à l'âge de 87 ans
Expert comptable

Ce Joseph François Berretta était le fils de :

François Jean Baptiste BERRETTA né à Trisobbio (Italie) en 1873 et décédé en ?
Catherine Marie BORGATTA née à Trisobbio (Italie) en 1873 et décédée en 1955

Vous trouverez aussi tous ces renseignements (ainsi que les noms des descendants actuels de Joseph François Berretta) sur mon arbre Geneanet à l'adresse :

http://gw2.geneanet.org/jcautran_w?lang=fr;pz=jean+claude+lucien;nz=autran;ocz=0;p=joseph+francois;n=berretta

Il ne doit pas s'agir de la même branche Berretta que la vôtre puisqu'ils venaient de Trisobbio et ont dû arriver en France vers 1895 car Joseph François Berretta est né à la Seyne en 1898. Ses parents devaient être mariés en Italie car je n'ai pas trouvé de trace de mariage Berretta à La Seyne à cette époque.

Je reste à votre disposition si vous souhaitez avoir d'autres renseignements.

Bien cordialement,

Jean-Claude Autran



4-8 septembre 2011 : Famille Ferranti - David - Molinier

Q1.

Mon arrière grand-mère Mathilde Ferranti est née à La Seyne en 1867. Son père : Théodore Alexandre Ferranti, né à Paris, 1840. Sa mère : Julie Henriette David. Pas de date de mariage. Je ne sais rien de Mlle David.
 
Théodore Ferranti était artiste gymnaste selon l'acte d'état civil de naissance de Mathilde. J'essaie de savoir ce qui a pu le mener à La Seyne sur Mer : apparemment lui est ses frères étaient saltimbanques et suivaient les foires où ils pouvaient exercer leur métier (ses frères étaient à Lyon en 1865). Que s'est-il passé à La Seyne sur Mer en 1867 qui aurait pu le mener jusque là ? 

Y-a-t-il eu une quelconque foire ou fête foraine ou spectacle de cirque voire fête aéronautique ?
 
D'avance je vous remercie de bien vouloir me répondre.

Cordialement

SL (http://sylvielatrille.monsite-orange.fr/)

R1.

Bonsoir,

Je n’ai pas pu consacrer beaucoup de temps à vos questions étant en pleine préparation de deux conférences.

Toutefois, voici deux premiers éléments de réponse, l’un est négatif, mais l’autre porte peut-être quelque espoir d’avancer :

- Je n’ai pas trouvé pour l’instant (en recherchant dans les différentes “chronologies” détaillées de La Seyne, ainsi que dans le livre de 900 pages de notre historien local, M. Baudoin) d’événement de type foire ou fête foraine qui se serait passé à La Seyne en 1867. Il y a eu naturellement, de tout temps des fêtes foraines, soit à l’occasion des fêtes annuelles de la ville, soit à l’occasion des pèlerinages du mois de mai à la chapelle Notre-Dame du Mai, mais rien de spécifique à l’année 1867.

- Mais je pense avoir relevé une piste concernant la famille David. L’acte de naissance (22 mars 1867 à La Seyne) de Mathilde Victorine Ferranti mentionne en effet : « ... fille de Théodore Alexandre Ferranti... et de Julie Henriette David, son épouse,... domiciliée à La Seyne, rue Ferblanterie n° 5... » [Cette ancienne rue Ferblanterie s’est appelée par la suite rue Thiers, puis, actuellement, rue Léon Blum]. Or, dans le recensement de 1866 en ligne sur internet (page 141), on trouve à cette même adresse : David Jacques, marchand de vins, 38 ans et son épouse, Molinier Augustine, 25 ans. Il y avait donc un David habitant La Seyne, en 1866, à l’adresse exacte où Mathilde Victorine Ferranti était née. Je ne suis pas arrivé pour l’instant à déterminer de lien de parenté entre ce Jacques David et Juliette Henriette David, mais il en existe très probablement un.  J’ai essayé de rechercher dans les recensements antérieurs et postérieurs à 1866, mais je n’ai malheureusement pas pu y retrouver cette famille - du moins dans cette rue Ferblanterie. Elle a pu se trouver à une autre adresse de la ville, mais je n’ai pas eu le temps de feuilleter toutes les pages des recensements... Je n’ai pas trouvé non plus, pour l’instant, de trace d’une naissance de Jacques David, ni d’Augustine Molinier, dans les tables décennales de La Seyne (mais il y a d’autres naissances David à cette époque), ni d’un mariage David x Molinier. Cela ne vous avance peut-être guère, mais il me semble qu’il y a une piste à creuser.

Je pourrai reprendre les recherches dès que j’aurai un peu plus de temps.

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q2a.

Oui, j'ai cherché, et vous aviez déjà cherché pourtant. Effectivement, il n'y a rien. Consulter les recensements précédents peut-il donner une info sur les origines ? Les gens d'alors bougeaient autant que les gens d'aujourd'hui, et ils n'avaient pas besoin d'être Voyageurs pour ça : il fallait aller où le travail se trouvait, surtout au XIXème, début de l'ère dite industrielle...
 
David Jacques était marchand de vin : voilà la piste si jamais c'est une activité familiale. Piste à faibles traces...
 
Enfin au moins Jacques est un prénom pour essayer de trouver sur Toulon, Marseille, Aix... et avec plus de temps que je n'en ai dans chacun des villages (XIX°) dans ce triangle.
 
Cordialement

SL

Q2b.

Je me demandai si l'acte de baptême de Mathilde Ferranti pourrait nous aider : famille catholique. Le baptême a dû avoir lieu assez rapidement après la naissance ( 20 mars 1867), il permettrait de connaître les noms des parrain et marraine. Il ne faut négliger aucune piste.
 
Mais je ne peux m'occuper moi-même de rechercher cet acte : est-ce que vous accepteriez de le faire ? Vous êtes le mieux à même étant sur place, et connaissant de quelle paroisse dépendant la rue de la Ferblanterie.
 
Merci d'avance pour votre réponse.
 
Cordialement

SL

R2.
Bonsoir,

Avec un peu de flair et un peu de chance, j’ai retrouvé le mariage de Jacques David et d’Augustine Molinier (Mollinier) à Toulon en 1863. L’un était né à Entrevaux (04), l’autre à Solliès-Pont (83). Voir ci-joint copie du début de l’acte de mariage (année 1863, page 324).

Je n’ai rien trouvé sur Julie Henriette David, ni à Toulon, ni à Entrevaux. Mais Jacques David faisait partie d’une fratrie de 7 (voir sa fiche sur Geneanet, ci-jointe). Si l’on admet qu’il y a un lien de parenté (oncle ??) entre Jacques David et Julie Henriette David, peut-être l’un des frères de Jacques David est-il le père de Julie ? Je n’ai pas eu le temps de creuser davantage, mais je vous laisse cette autre piste.

Je veux bien essayer de retrouver l’acte de Baptême de Mathilde Ferranti à la paroisse de La Seyne, mais je ne vous promets pas de délai précis ; je suis très pris en ce moment par mes conférences.

Cordialement,

Jean-Claude Autran
Q3a.

C'est déjà une vraie piste que vous m'envoyez là : ils sont donc très probablement venus voir quelqu'un de la famille.
 
Je vous remercie très vivement pour cette information : si vous trouvez quelque autre trésor de ce type, merci d'avance !
 
Et merci déjà, merci beaucoup de m'avoir éclairée sur les habitants de la rue Ferblanterie.
 
À très bientôt...
 
SL

Q3b.

L'état civil de La Seyne est en ligne : j'ai déjà vérifié que Julie Henriette David n'est pas née à La Seyne, et que le mariage avec Théodore Ferranti n'y a pas eu lieu non plus.
 
Je vais chercher Jacques David naissance vers 1828, et Augustine Molinier naissance vers 1841, et avant :  mariage entre 1860 et 1866.
 
Ça peut donner une piste pour remonter vers Julie-Henriette, sait-on jamais, et le pourquoi de ce voyage. Ce qui m'étonne dans l'acte de naissance de mon arrière grand-mère Mathilde c'est que les témoins soient deux agents de police : Paul Cheuset (?) et Hippolyte Arnoux. Personne de la famille ?
 
Merci encore de l'attention que vous voulez bien apporter à ma requête.
 
SL

Q3c.

Suis allée aussi voir l'état civil de Toulon et avec la même chance que vous j'ai trouvé le décès de Jacques David. Qui m'a mené à Entrevaux, Le Fugeret,  Bargeme et Vidauban via Généanet. Il n'y a toujours pas de Julie Henriette de ce côté là, mais je poursuis moi-même avec Généanet : Bargeme mène à Saint-Auban, La Garde Castellane et Comps. J'essaierai les états-civils demain. Plus Généanet pour David + Vidauban, voir où ça mène. Du travail de fourmi, mais parfois la chance... Je viens de faire pire avec le registre des baptêmes du Duomo de Florence (pour un certain Filippo Ferranti)!
 
Ce qui est en  ligne et que je peux faire depuis chez moi, ce n'est pas la peine de vous en occuper, si vous avez du travail par ailleurs. Par contre poursuivre les recherches sur les fêtes foraines et foires dans le Var et les départements limitrophes (un endroit où des saltimbanques auraient pu venir faire leur spectacle), et/ou récupérer l'acte de baptême de Mathilde, ça  je ne peux le faire moi-même, donc si vous trouvez quelque chose... mais rien d'urgent.
 
Je vous remercie sincèrement du temps que vous voulez bien m'accorder.
 
Amicalement
 
SL

R3.
Bonjour,

En réponse à votre post scriptum : “comment faites-vous pour enregistrer les données d'état-civil de Toulon ?”, j’utilise un logiciel de “capture d’écran”. Avec mon système (Macintosh), j’utilise “Aperçu” qui permet de conserver en fichier image, soit l’écran entier, soit une fenêtre que l’on définit avec la souris. Si vous travaillez sous Windows, il doit y avoir un moyen équivalent de copier le contenu de votre écran (touche Print Screen, ou Impr. écran ?). Mais je ne connais pas assez les PC. Essayez de vous renseigner avec un connaisseur des PC.

Ci-joint un exemple de capture d’écran avec l’acte de décès à Toulon (1888) de Jacques David.

A noter qu’en 1888, il est “époux d’Augustine Christine Mollinier, s.p., domiciliée à Toulon”

Comme l’adresse indiquée sur l’avis de décès est “9 rue Cathédrale”, je n’ai pu m’empêcher d’aller sur les recensements de Toulon de 1886, 1881 et 1876. Heureusement, leur consultation est facile car ils ont eu la bonne idée de fournir à la fin un récapitulatif du nom des rues, et de faire apparaître ces rues à peu près toujours dans le même ordre d’un recensement à l’autre (ce qui n’est pas le cas dans beaucoup d’autres villes...).

Ainsi, Jacques David se retrouve bien au 9 rue Cathédrale dans le recensement de 1886 (bas de la page 401), mais “58 ans, s.p., seul”.
De même, en 1881 (page 426), même adresse : Jacques David (54 ans, ouvrier, chef de ménage”).
De même en 1876 (page 450), même adresse : Jacques David, 48 ans, boulanger, marié”.

Et pourtant, dans aucun de ces recensements, il n’apparaît vivre avec son épouse Augustine Mollinier (qui est en principe toujours vivante sur l’acte de décès de Jacques David en 1888), ni avec aucun autre membre de sa famille. Mystère.

Dans le recensement de 1872, Jacques David n’apparaît pas, du moins pas à l’adresse ci-dessus. Je ne sais pas s’il était déjà arrivé à Toulon, ou s’il était encore à La Seyne.

Mais toujours aucune trace de Julie.

Je vous laisse donc ces quelques pistes, qui ne mènent pas loin pour l’instant, mais avec de la patience...

Je reprendrai contact avec vous quand j’aurai pu obtenir le certificat de baptême de Mathilde Ferranti et si je trouve quelque chose sur les fêtes foraines et foires de la région.

Amicalement,

Jean-Claude Autran
Q4a.
Décidément cette famille David est un mystère ! Je vais continuer les recherches des David des dpts 83 et 04 pas à pas à partir de Jacques donc.
 
Merci pour ces infos en tous cas.
 
Si je trouve Julie Henriette je vous informerai.
 
Cordialement

SL
Q4b.
J'ai trouvé une Julie David née à Hyères, table décennale 1842 - 1852, page 24. Elle est notée née le 10 mars 1849. Mais je n'ai rien su trouver sur les registres d'état-civil... Erreur de transcription ? Et sur les registres, des erreurs, semble y en avoir en pagaïe ! Ou bien c'est moi qui me trompe.
 
Cordialement

SL

Q4c.

J'ai trouvé sur les tables décennales des mariages de Toulon 1863 - 1873 l'indication suivante (page 4) Mariage David Jacques et Augustine Christine Mollinier, acte 293 1er juillet 1869.

Et sur le registre mariage, acte 293 de 1869 : du 28 juillet, concerne Louis Mathieu et Rose Jacques...  (page 320) Vérification à la table alphabérique du début : le seul David marié cette année-là, c'est Auguste ! Et en réalité ils se sont mariés en 1863, le 1/7... Acte qui ne nous apprend rien de plus sinon qu'Augustine est née à Solliès Pont..
 
Mais si tous les registres d'état civil du Var sont dans le même style jeu de piste, je ne vais jamais y arriver ! Je vais me remettre sur la piste de la Julie de Hyères, en cherchant un peu avant et un peu après 1849, sans plus parce que l'âge de 19 ans en mars 1867 est confirmé par l'âge de 21 ans en mars 1869, il faudrait donc qu'elle soit née entre avril 1847  et mars 1849. Ça correspond bien à celle de Hyères, pourtant.
 
Cordialement

SL

R4.

Bonsoir,

J’avais bien noté l’erreur dans la table décennale des mariages 1863-1873. L’acte 293 ne correspondait pas à celui de David x Mollinier, ce dernier, dont je vous avais envoyé la copie étant en effet de l’année 1863 et non de l’année 1869. Mais la manière dont certains écrivaient le 3 à l’époque pouvait amener une confusion avec le 9 (voir copie ci-jointe de cet acte) : le 293 semble bien être un 299, et donc l’année 1863 a pu aussi être recopiée en 1869 dans la table décennale.

Je ne crois donc pas qu’il y ait plus d’erreurs dans les registres du Var que dans les autres. On rencontre de temps en temps des erreurs de transcription des noms ou d’années, ou de numéros d’actes, mais cela arrive partout.

En ce qui concerne Julie David, que vous avez retrouvée sur Hyères en 1849, il n’y a pas non plus vraiment d’erreur. Le problème vient que Hyères comportait à l’époque plusieurs hameaux (qui sont devenus aujourd’hui des communes à part entière). Je viens de retrouver que Julie était bien née à Hyères, mais au hameau de La Crau, acte n° 16 du 10 mars 1849, page 204 des actes de l’année 1849 (copie ci-jointe). Vous aviez dû limiter votre recherche à Hyères-ville, mais il y a d’autres pages ensuite dans le registre pour La Crau, Porquerolles, etc.

Mais je crains cependant qu’il ne s’agisse pas de la même Julie car, même si l’âge correspond, celle qui avait épousé Théodore Alexandre Ferranti était une Julie Henriette David. A suivre...

Bon courage pour cette suite.

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q5a.

Merci merci
 
je vais juste vérifier s'il y a un lien entre ce Louis David et le Jacques David de La Seyne.
 
J'ai envoyé quelques courriels à des membres de Généanet s'occupant des généalogies David des dpts 83 et 04.
 
Ensuite on verra...
 
Bonne journée. Ici pluie !

SL

Q5b.

Le fait que le prénom Henriette ne figure pas sur l'acte de naissance importe peu, elle a pu se faire appeler comme ça par la suite. J'ai bien d'autres exemples parmi mes recherches...
 
J'ai trouvé les père et mère de Louis père de la Julie d'Hyères, Honoré David et Marie Euphrosine Lion, mariés à Hyères, 6 Floréal an 12. Honoré né à La Garde, fils de Pierre David et de Marguerite Rouvier. N'ai trouvé aucun lien entre Jacques et Louis, sinon que Jacques mourut boulanger et qu'Honoré fut boulanger. C'est plus qu'anecdotique. Si lien il y a il faudrait qu'il remonte à fort loin. Oublions donc la Julie de Hyères.
 
Il y a des David à profusion dans tous les petits villages du 83 et du 04. Julie Henriette est une aiguille dans une meule de foin, sinon même dans une grange remplie de bottes de foin ! Et pourtant je doute qu'elle ait atterri pour accoucher par hasard chez Jacques David à La Seyne ! Laissons faire le hasard, sait-on jamais avec lui.
 
Cordialement
 
SL




5 avril 2011 : Famille Beaussier

Q1.

Bonjour, je souhaitai avoir des réponse à mes questions et malheureusement les pages ne souvrent pas à propos du théme ci dessous;  Beaussier :
- Au quartier Beaussier
- Qui étaient les Beaussier ?
- Lou Casteou Bory
- Le vélocipède de Chapuis
- La Crèche municipale
- Le Lycée Beaussier 


Car, mon compagnon est un descendant de la famille Beaussier et nous aurions voulu faire quelques recherches.


Je vous remercie.

 
Cordialement,
 
SLG
R1.
Bonjour,

J’ai dû procéder à diverses modifications dans l’arborescence de mon site, il y a quelques semaines et, effectivement, les liens que vous avez ne fonctionnent plus : le mot glossaire a été partout remplacé par le mot œuvres. Ainsi l’accès au chapitre “Au quartier Beaussier” se fait donc désormais par : http://jcautran.free.fr/oeuvres/tome4/au_quartier_beaussier.html

Je reste à votre disposition si, après lecture de ce chapitre, vous souhaitez avoir d’autres précisions.

Cordialement,

Jean-Claude Autran

 

3 avril - 4 mai 2010 : Origine du patronyme Tisot

Q1.

Bonjour,

J'ai vu sur votre site que vous aviez effectué une recherche sur la généalogie d'Henri TISOT sur La Seyne et Toulon. J'ai beaucoup travaillé sur ce patronyme à Marseille ( St Giniez) et je peux vous fournir si vous le voulez l'ascendance de Joseph TISOT (X Marie Anne BLANC). Assez curieusement ce patronyme a évolué au début du 18° siècle de PISOT à TISOT sans que j'en connaisse la raison.

Cordialement,

CG

R1.

Bonjour,

Merci pour votre message.

Bien que ce ne soit pas ma famille (c'est par amitié avec Henri Tisot que j'avais réalisé cette recherche généalogique dans les années 2000-2001), je suis très intéressé par votre proposition de me fournir l'ascendance de Joseph Tisot à Marseille. Je transmettrai ces informations à Henri Tisot qui en sera certainement très intéressé.

Je vous en remercie sincèrement par avance.

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q2.

Bonjour,

Ci-joint le gedcom de l'ascendance de Joseph TISOT. Vous pouvez vous faire aussi une idée plus complète de ses liens marseillais sur la page des TISOT de mon arbre des familles de Mazargues et alentours.

A votre disposition pour toute précision.

Cordialement,

CG

R2.

Bonjour,

Merci beaucoup pour le gedcom de l'ascendance de Joseph TISOT et pour tous les liens marseillais sur votre page des TISOT et PISOT.

J'ai pu fusionner les ascendants de Joseph TISOT avec la descendance des TISOT de La Seyne-sur-Mer que j'avais déjà et je vous adresse le gedcom que j'en ai tiré, qui descend maintenant jusqu'à Henri TISOT.

Je vais adresser à Henri TISOT ces données ainsi complétées sur ses ancêtres TISOT et PISOT de Marseille.

Toutefois, je ne publie pas cet arbre sur Geneanet, car mon arbre (*) se limite à ma famille et je n'ai pas, pour l'instant, trouvé de lien entre ma famille et celle des TISOT.

(*) http://gw2.geneanet.org/index.php3?b=jcautran

Merci encore à vous.

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q3.

Bonjour,

Merci pour le gedcom, si j'ai d'autres infos je vous les communiquerai.

Cordialement,

CG

Q4. (à Henri Tisot) (4 mai 2010)

Cher ami Henri,

Il y a quelques années, je t'avais envoyé un arbre généalogique des TISOT, à partir des données de l'état-civil de La Seyne.

L'ancêtre le plus ancien qui avait pu être retrouvé (7e génération) était alors : TISOT Joseph, né en 1746 à Marseille.

Très récemment, un de mes correspondants généalogistes des Bouches-du-Rhône m'a dit qu'il avait effectué des recherches sur le patronyme TISOT à Marseille, et il a pu ainsi m'envoyer les ascendants de ce TISOT Joseph, en remontant encore de 5 générations.

Mais, curieusement, je ne sais pas si tu le savais, les générations antérieures au début du XVIIIe siècle, portent le patronyme PISOT. C'est vers 1700 que « PISOT » devient « TISOT », du moins à Marseille.

Tu trouveras donc ci-joint :

- une liste d'ascendance 12 générations (qui est à peu près complète jusqu'à la 5e génération, mais qui reste à compléter pour les patronymes autres que TISOT pour les générations plus anciennes).

- un arbre d'ascendance 4 générations

- un arbre de descendance 8 générations de Joseph TISOT (1746-1821).

Ce dernier document est certainement incomplet au niveau de tes cousins, neveux ou nièces OLLIVIER, ou VINCENT, etc. que je ne connais pas, et que je ne peux pas connaître puisque seules les données de plus de 100 ans sont consultables aux archives. Cela pourra toujours être complété à une prochaine occasion.

Avec toutes mes amitiés.

Jean-Claude

 


 

15-22 mars 2010 : Patronyme Ducher

Q1.

Bonjour, mon cher Monsieur. Je sui sénégalais âgé de presque 59 ans. J'ai connu une famille Ducher au Sénégal quand j'étais très jeune. Je garde des souvenirs assez vagues de cette famille, mais tout de même de bons souvenirs; dans la société des Ducher qui s'occupait des Carrières, mon père y travaillait comme tailleur de pierres et ma mère comme femme de ménage. Ce dont je suis sûr c'est qu'ils n'avaient pas d'enfants. Ma grande sœur et moi vivions presque dans cette maison et nous y étions choyés. Je me souviens qu'en 1957 année ou je devais aller à l'école à quelques 10 kms de Rufisque, ils m'avaient chargés de gâteaux, d'habits et de beaucoup d'autres choses encore. J'appris quelques années plus tard que Monsieur Jean Ducher qui était retourné en France y mourut peu de temps après, a cause de la rudesse de l'hiver. Sa femme dont je ne me souviens plus du nom (Madeleine je crois) mourut quant à elle en faisant une croisière, suite à une chute au dessus de la passerelle. Si vous pouviez m'informer sur cette famille, ça me plairait beaucoup. Je passe souvent devant l'ancienne maison des Ducher et je ne peux m'empêcher de penser à eux, d'autant plus que j'y ai un souvenir inoubliable; en effet, je me suis brulé la jambe droite avec de l'essence, dans cette maison; un de leurs chiens s'appelait Golf et il avait le pelage noir! Merci.

AB

R1.

Bonjour Monsieur,

J'ai bien reçu votre message.

Mais je regrette de vous informer que la famille Ducher que vous avez connue ne peut pas avoir de rapport avec celle, amie de ma famille, dont je reproduis l'histoire dans mon site internet. Cette dernière (Jean-Régis Ducher, Henri Ducher, Bernard Ducher) est originaire de Haute-Loire et du Cantal (où ils étaient agriculteurs) et s'est fixée ensuite à La Seyne-sur-Mer (Var) avec la profession de charpentier de marine. Ils n'ont jamais quitté ces régions et vous n'avez donc pas pu rencontrer de membre de cette même famille au Sénégal. Ils n'ont jamais eu de rapport avec le nom d'une société de Carrières.

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q2.

C'est vraiment gentille de votre part d'avoir bien voulu répondre à mon mail. C'est dommage que je doive perdre les traces de mon ancien bienfaiteur, avec toutefois le réconfort d'avoir au moins essayé. Je vous remercie infiniment et biens des choses à votre famille!!

AB


 

17-18 février 2010 : Acte de naissance de Toussaint Merle

Q1.

Bonjour,

En cherchant dans les AD du var j'ai trouvé cet acte:

Bonne journée à tous.

DQ

R1.

Bonjour,

Merci beaucoup d'avoir pensé à moi pour cet acte.

Mais je l'avais déjà vu passer puisque Toussaint Merle apparaît dans mon arbre généalogique :

http://gw2.geneanet.org/index.php3?b=jcautran&lang=fr;pz=jean+claude+lucien;nz=autran;ocz=0;p=toussaint+constant+fernand;n=merle

(son arrière grand-mère, Anne Agathe Sabbatier, était sœur de mon arrière-arrière grand-mère Marie Anne Joséphine Sabbatier)

Amitiés,

Jean-Claude Autran


 

1er - 14 janvier 2009 : Patronyme Jouvenceau

Q1.

Bonjour

Ceci peut compléter vos recherches.

Renseignements trouvés sur le site des archives d'outre-mer à Aix-en-Pce: état-civil de Bône, notamment l'acte de mariage Canisoli-Jouvenceau et les actes de décès de Cauvin Rossoline, Conisoli Sabin.

Cordialement

ML

JOUVENCEAU Jean Joseph - Décès : 17 août 1883 - Bône X CAUVIN Rossoline Joséphine - Naissance calculée : 1809 La Seyne-sur-Mer - Décès : 16 janvier 1880 Bône

FAMILLE - Statut marital : (Mariés)

ENFANTS :

JOUVENCEAU Victoire Antoinette - Naissance : 15 décembre 1845 La Seyne-sur-Mer - Conjoint : Consoli Sabin - Mariage 14 mai 1892 (mariés) - Bône
JOUVENCEAU Augustine Marie - Naissance : 20 décembre 1848 - La Seyne-sur-Mer
JOUVENCEAU Laurent - Naissance calculée : 1854

R1.

Bonjour,

Un grand merci pour votre aide, avec cette fiche familiale Jouveanceau x Cauvin. Grâce à ces informations, j'ai déjà pu retrouver dans les archives de La Seyne en ligne l'acte de naissance de Laurent Jouvenceau en 1853 (copie ci-jointe).

Je vais essayer de suivre la descendance de cette famille Jouvenceau car mes parents avaient plusieurs proches amis Jouvenceau à partir des années 1920 à La Seyne. Et peut-être l'une de ces branches descendait de Jean Joseph ou de Laurent Jouvenceau et mes parents étaient peut-être alors parents avec eux sans le savoir. Je vous informerai des résultats de mes recherches.

Merci encore. Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q2a.

Bonjour,

Je vous remercie de votre prompte réponse

En fait je cherche l'ascendance de Jouvenceau Victor Clérin marié à Bône avec Angèle Vassalo, mon arrière Grand-tante. or il n'y a qu'une famille Jouvenceau sur toute l'Algérie à cette époque et réside à Bône. J'avais donc pensé que Alexis (prénom d'usage) en faisait partie mais je n'ai pas trouvé son acte de naissance. Pourriez vous chercher à La Seyne sur mer dans les années 1880 ± 5ans ? Pour votre info les enfants Robert et Jeanne sont dcd. En 2005 l'épouse de Robert, France, était encore en vie,mais en maison de retraite et il n'était plus possible d'obtenir des info sur la famille. Cependant je doute qu'ils aient pu être amis de vos parents, car ils ont vécu en Algérie jusqu'en 1960 ±

Cordialement

ML

Q2b.

Bonsoir

J'ai trouvé le site des archives du Var et j'ai pu avoir l'acte de naissance de Victor Alexis Jouvenceau : il est bien le fils naturel de Victoire Antoinette Jouvenceau, mais je n'ai pas trouvé de reconnaissance de la part de Conisoli Sabin.

(...) Cordialement

ML

R2.

Bonjour Monsieur,

(...) Je vois que vous avez trouvé l'acte de naissance de Victor Alexis Jouvenceau. J'avais commencé à effectuer quelques recherches mais (outre le fait que les tables décennales mises en ligne sont quelquefois difficiles à déchiffrer), je n'avais pas trouvé d'Alexis Jouvenceau (Victor étant le premier prénom).

En effet, il y a peu de chances qu'il y ait un lien avec les familles Jouvenceau que mes parents ont connues, qui elles n'ont jamais quitté La Seyne. Peut-être y a-t-il cependant des ancêtres communs, mais c'est une recherche assez longue vu que le patronyme Jouvenceau est très répandu à La Seyne dans les années 1830-1880.

Mais si je peux vous aider à retrouver d'autres actes dans les Archives de La Seyne (en complément d'internet, je vais aussi régulièrement consulter les documents sur place), n'hésitez pas à me le demander. Et il y a aussi les recensements, qui sont en ligne jusqu'à 1906, qui sont souvent très précieux pour retrouver la composition exacte d'une famille à un moment donné.

Cordialement,

Jean-Claude Autran


26 novembre - 4 décembre 2007 : Patronyme Lacasse

Q1.

Bonjour, j'aimerais savoir l'origine de notre nom LACASSE (Casse,Cassé) etc., et de quel coin Europe sommes-nous natifs ?

Merci à l'avance

JPL

R1.

Bonjour,

J'ai bien reçu votre message, mais je n'ai pas de connaissance particulière en matière d'origine des noms de famille. Je ne peux que vous recopier ce que chacun peut trouver dans des ouvrages spécialisés ou dans des sites internet.

Ainsi, dans le Dictionnaire Larousse des noms de famille de France (dont je possède une édition de 1951), on trouve seulement :

Lacasse, « le chêne » (Sud-Ouest). V. Casse. Lacassie, n. de domaine (plantation de chêne, casse).

Mais un grand nombre de sites internet (que vous pouvez consulter), traitent de l'origine des noms de famille :

http://www.geneanet.org/onomastique/index.php3?nom=lacasse&lang=fr
http://www.orange.fr/bin/frame.cgi?u=http%3A//genealogie.orange.fr/v2/boutique/produit-dossier-nom-de-famille.asp%3Frubrique_active%3Dnoms

On y trouve par exemple :

Lacasse : C'est dans le département du Nord que ce nom est le plus répandu. Il correspond au wallon casse (= caisse) et doit désigner un porteur ou un fabricant de caisses.

Soucas, Soucasse : Il s'agit peut-être d'un toponyme signifiant sous le chêne (sous casse). Je préfère pour ma part un dérivé du mot souche (latin socca, catalan et occitan soca), formé avec le suffixe péjoratif -asse.

Casse, Casses : Fréquent en Languedoc, désigne celui qui est originaire d'un lieu-dit Casse(s), autrement dit le chêne. C'est dans la région toulousaine qu'il y a le plus de Casse, les Casses étant surtout présents dans l'Aveyron.

Cassu, Casso, Cassou, Casse, Cassé : Renvoie à un arbre, le chêne. Nous avons ici affaire à une étymologie celtique (gauloise), *cassanos > casse. Le nom désigne celui qui avait un chêne dans sa propriété ou près de sa maison, ou qui est originaire d'un lieu-dit (le) Cassou.

Casse, Casses : Fréquent en Languedoc, désigne celui qui est originaire d'un lieu-dit Casse(s), autrement dit le chêne. C'est dans la région toulousaine qu'il y a le plus de Casse, les Casses étant surtout présents dans l'Aveyron.

Ducasse : Fréquent en pays gascon, désigne celui qui habite un lieu-dit le Casse (= le chêne). Le nom Ducassou a le même sens.

Egalement, pour la répartition du patronyme Lacasse en France, voir à :

http://www.geopatronyme.com/cgi-bin/carte/famcarte.cgi?nom=lacasse&client=carte
http://www.geopatronyme.com/cdip/index.htm
http://jeantosti.com/noms/a.htm
http://pages.infinit.net/philtek/lacasse.htm

C'est tout ce que je peux vous apporter.

Cordialement,

Jean-Claude Autran




21 juin 2007 -  18 juin 2021 : Marius Jauffret et les patronymes Jauffret et Mabily

Q1a.

Cher Ami,

Très touché par votre message, je tiens à vous en remercier.

Je ne vous avez pas abandonné, mais je recherche toujours de documents sur JAUFFRET Joseph, Marius sur la SFIO à La Seyne, c'est à dire savoir qui était mon grand-père JAUFFRET Marius, Baptistin, Joseph ou sur certains actes JAUFFRET Marius, Joseph secrétaire de la SFIO de La Seyne. Par courrier, je vous fais parvenir les documents prouvant que mon grand-père était secrétaire du parti socialiste.

S'il vous est possible de lancer un appel sur votre site, cela me ferait grand plaisir.

Je précise que tous les documents que je vous fais parvenir peuvent être diffusés avec mon autorisation et sous ma responsabilité.

Bien cordialement

LJ

Q1b.

Cher Ami,

Un moment tranquille, je retourne sur votre site

Décembre 2001 : il y a un descendant de Dolfi-Mabily, c'est un de mes petits cousins (...) issu du côté de ma Mère Pujarniscle.

Si cela vous convient, je peux contacter mon cousin.

Cordialement.

LJ

R1.

Cher ami,

Merci pour vos deux messages et pour l'envoi de tous vos documents, par courrier, qui me sont bien parvenus.

Concernant votre grand-père, je vais essayer de vous dire ici ce que je possède comme informations, mais il va falloir que je consulte mon ami historien Jacques GIRAULT, qui est spécialiste du mouvement socialiste dans le Var de 1920 à 1940, pour en savoir davantage.

Il pourrait en effet y avoir eu quelque confusion entre deux personnes s'appelant JAUFFRET et ayant appartenu à la SFIO dans les années 30.

1) Dans les fiches biographiques du mouvement ouvrier seynois que Jacques GIRAULT a rassemblées (fiches qui ont été mises sur mon site internet), on trouve en effet :

(Voir à l'adresse : http://jcautran.free.fr/fiches_mouvement_ouvrier/J/jauffret_marius.html)

JAUFFRET Marius [JAUFFRET Joseph, Marius].
Né le 30 octobre 1864 à Trans (Var), mort le 5 février 1936 à La Seyne (Var)

Ce dont je suis certain c'est que ce Jauffret a été menuisier aux Chantiers, qu'il a épousé Elisabeth PHILIP née au Muy, et que c'est bien celui qui fut le père de notre fameux Inspecteur de l'Education Nationale Edouard Jauffret (1900-1945)

2) Jacques GIRAULT m'a dit avoir aussi une fiche sur un autre militant JAUFFRET :

JAUFFRET Marius Baptistin Joseph, né le 21 janvier 1883, marié le 18 janvier 1908, et mort le 9 décembre 1962.

Il s'agit certainement de votre grand-père, dont la tombe se trouve au cimetière de La Seyne, sur laquelle on trouve gravés les noms de Françoise, née Beltrando (1882-1931), qui devait être son épouse, et naturellement de votre père André JAUFFRET (1911-1960).

Mon père avait bien connu votre grand-père qui habitait chemin des Plaines. Il se souvenait de l'avoir vu quelquefois lors de meetings socialistes à la Bourse du Travail de La Seyne dans les années 30, et chantant l'Internationale, le poing levé.

D'après Jacques GIRAULT, ce Marius JAUFFRET avait aussi intenté un procès aux Chantiers de La Seyne, les accusant d'avoir provoqué la mort, en 1919, du Maire Baptistin Paul (brutalement décédé à Paris, devant le Ministère de l'Industrie, alors qu'il était allé y défendre les intérêts des ouvriers de La Seyne), procès qu'il avait finalement perdu.

Il me semble cependant que l'existence de ces deux JAUFFRET vers la même époque, avec le même prénom d'usage Marius, a pu être à l'origine de confusion entre les deux fiches biographiques rassemblées par Jacques GIRAULT. Dans la fiche biographique de JAUFFRET Joseph, Marius, mise sur internet, certains éléments (représentant de commerce ; secrétaire de la section socialiste SFIO (1918-vers 1930) puis PSDF (1933) de La Seyne, etc.) semblent en effet davantage correspondre à votre grand-père JAUFFRET Marius Baptistin Joseph. C'est bien ce dernier qui a longtemps occupé des fonctions à la section SFIO de La Seyne et qui fut proche de RENAUDEL. Tandis que l'autre JAUFFRET Joseph Marius, s'il a bien travaillé aux Chantiers comme menuisier, et s'il a peut-être été syndiqué et proche de la SFIO (à vérifier), ne semblerait pas y avoir occupé de fonctions importantes, contrairement à ce que sa fiche biographique indique.

Il faut donc que je revoie Jacques GIRAULT (il va certainement venir à La Seyne en juillet) pour qu'il vérifie s'il n'y a pas eu mélange d'informations entre ses fiches sur les deux Marius JAUFFRET, et que l'on effectue ensuite les corrections nécessaires. On verra également s'il possède d'autres informations plus précises sur votre grand-père, qui pourraient vous intéresser.

Comme vous le souhaitez, je vais également lancer un appel concernant votre père et votre grand-père, pour essayer de rassembler de nouvelles informations sur eux. Ce sera fait lors de la prochaine mise à jour de mon site. Je pourrai reproduire aussi, puisque vous m'y autorisez, un certain nombre de photos et documents que vous m'avez adressés qui concernent votre grand-père, la SFIO à La Seyne, RENAUDEL, etc.

Dernier point, vous me parlez d'un descendant MABILY : (...).

Je ne suis pas au courant. Si ce n'est pas confidentiel pourriez-vous me préciser sa filiation avec les MABILY et avec votre famille ? Mon père connaissait Michèle Dolfi-Mabily, ancienne directrice de l'Ecole Municipale des Beaux-Arts, fille adoptive de son cousin Amable MABILY (1897-1959), mais je ne la connais pas personnellement. En fait, je reste intéressé par les MABILY car mon arrière-arrière-grand-mère était une MABILY et je possède dans mes archives une très vieille photo où il est inscrit "MABILY", mais je ne sais pas de quel ancêtre (Jean-Louis MABILY ? Joseph MABILY ? Victor MABILY ?...) il s'agit. J'aurais aimé savoir si un descendant actuel des MABILY n'aurait pas par hasard hérité de vieux documents de famille (actes, livrets, photos) qui m'auraient permis d'avoir davantage d'informations sur cette branche de mes ancêtres MABILY, et peut-être d'identifier l'unique photo que je possède. Si vous pouviez donc contacter votre cousin pour savoir ce qu'il en est, cela me rendrait en effet service. Je vous en remercie par avance.

A bientôt sans doute.

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q2.

Cher ami,

Merci, votre message est très clair et je confirme qu'il n'y a pas de descendance directe avec Édouard Jauffret.

Toutefois, j'essaie de remonter l'arbre généalogique car à Châteauneuf-les-Moustiers, tous les villageois ou presque portaient le nom de JAUFFRET. Village en ruines et je dois aller à Digne pour rassembler plus de documents.

(...)

Cordialement

LJ

Q3a. (10 juin 2021)

Bonjour,

J'ai vu sur geneneanet.org votre nom avec des parents Jauffret, nés à La Seyne et originaires de Brignoles.

Je n'arrive pas à retrouver la page.

Pouvez-vous m'indiquer si j'ai fait une erreur dans mes recherches ou me confirmer.

Remerciements.

Bien cordialement

LJ

Q3b. (via Geneanet)

Bonsoir,

Suite à mon dernier message, je retrouve ma page. Attention aux erreurs et pièges de la généalogie. J'ai commis une impasse, il y a plus de 10 ans et tout le monde Jauffret a suivi. (...).

Mes prénoms sont: Lucien, Jean, Marius, André.

Je suis issu de Pierre Jauffret marié à Blanc Marie Agripine dont 1 fils mon arrière grand père (livret de famille).

A bientôt

Bien amicalement

LJ

R3.

Cher ami,
 
Tout a commencé avec une recherche que je poursuis depuis plusieurs années (avec d’autres amis) sur le personnage d’Édouard Jauffret, Seynois, devenu instituteur, puis inspecteur, puis auteur d’ouvrages mythiques « Au Pays Bleu » pour l’apprentissage de la lecture. Ce travail – qui vient d’aboutir à un texte publié récemment par l’Académie du Var – (voir pièce jointe) m’a notamment amené à effectuer des recherches généalogiques approfondies sur cette famille Jauffret, et, pendant que j’y étais à d’autres familles Jauffret amies ayant vécu à La Seyne, dont la vôtre.
 
Pour des raisons « techniques », j’ai rassemblé toutes ces données sur mon propre arbre généalogique [au moins provisoirement, le temps de la durée de mes recherches], car le logiciel utilisé permet des recherches automatiques de parenté entre différents individus, de différentes branches figurant dans le même arbre. C’est ainsi que vous avez dû trouver dans mon arbre une branche Jauffret de La Seyne [celle de la famille des coiffeurs seynois, de père en fils] avec des ancêtres originaires de Brignoles.
 
Mais je n’ai pas actuellement trouvé de parenté entre cette branche Jauffret et ma famille, pas plus d’ailleurs qu’avec la branche d’Édouard Jauffret, ni avec la vôtre. La seule branche Jauffret avec qui j’ai une parenté lointaine, c’est celle de Marie Madeleine Jauffret (1708-1762), épouse de Charles Pons (1705-1743).
 
Le lien qui permet d’accéder à la liste des différentes branches Jauffret mises actuellement sur mon arbre est : https://gw.geneanet.org/jcautran_w?lang=fr&m=S&n=jauffret&p=
 
Concernant votre famille (je réponds ici à votre message sur Geneanet), je n’ai fait figurer que les données en ma possession et en me limitant (pour la période récente) au premier prénom. Je me souviens que vous avez 4 prénoms, d’où la « confusion » avec Jauffret Lucien Jean Marius (1912-1973), qui était d’ailleurs le frère de Marcel Jauffret, coiffeur bien connu de la rue Franchipani.
 
Je sais que vous descendez de Jean Pierre Jauffret (né en 1801 à Châteauneuf-les-Moustiers) et de Marie Agrippine. Mais je n’ai pas trouvé de patronyme Blanc pour cette dernière, qui sur son acte de mariage du 3 novembre 1829 figurait avec ses seuls prénoms, comme « fille naturelle de l’hospice de Draguignan ».
 
Je n’ai pas l’intention de creuser davantage les recherches sur cette branche avec laquelle j’ai peu de chances de trouver une parenté, vu ses origines Bas-Alpines. Mais je reste intéressé par les recherches que vous poursuivez.
 
Bien cordialement.
 
Jean-Claude Autran

Q4a.

Cher Ami,

Je souhaitais simplement vous prévenir d'une erreur commises par moi-même et répercutée sur tous les cites.

J'ai commencé en cherchant aux archives de la Seyne, puis avec les archives en ligne.

J'ai tous les relevés papier de tous les actes.

A Moustiers-Ste-Marie, Châteauneuf-les-Moustiers tous prenaient le nom du père ou des parrains. Mariage Jauffret à Jauffret...

Je recherche quelle est la famille Jauffret qui est arrivée la première à Toulon. J'aimerais vous fournir tous les docs en ma possession, ceux qui vous manquent.  Pour moi, Jean-Pierre Jauffret est le fils de Pierre Jauffret et Anne Isnard. Je vais vous faire parvenir mes docs. Je suis pour le partage.

Mon arbre sur Geneanet n'est pas à jour et a de grossières erreurs. J'ai recommencé sur Heredis.

Sous qq jours je vous envoie la fiche de Blanc Marie Agrippine, veuve de Pierre Jauffret + ............ ...

Bien cordialement et amicalement.

LJ

Q4b.

Cher ami,

En pièces jointe, veuillez trouver qq docs, très incomplets.

Si vous souhaitez qq photos, je les tiens à votre disposition.

Vous pouvez tout reproduire, cela me fait plaisir. Bonne journée et bonne écriture.

Amicalement

LJ

Q4c.

Bonjour qq docs qui peuvent être utiles

Amicalement

LJ

Liste des actes :

1764 03 27 Naissance de Pierre JAUFFRET, fils de Joseph JAUFFRET et de Anne BONDIL.doc
1773 08 28 Naissance de Marie Marguerite JAUFFRET, fille de Joseph JAUFFRET et de Anne BONDIL.doc
1789 11 16 Mariage de Madeleine JAUFFRET, fille de Joseph et de feu Anne BONDIL.doc
1794 06 22 Mariage de Pierre JAUFFRET et de Anne ISNARD, au Poil 04270.doc
1797 02 28 Naissance de Simon, fils de Pierre JAUFFRET et de Anne ISNARD.doc
1799 09 12 Naissance de Clair fils de Pierre JAUFFRET et de Anne ISNARD.doc
1801 09 07 Naissance de Jean Pierre JAUFFRET, fils de Pierre JAUFFRET et de Anne ISNARD.doc
1805 03 30 Naissance d'Amédée Joseph, fils de Pierre JAUFFRET et de Anne ISNARD.jpg
1808 08 26 Naissance Anne Clere Eufroisine fille de Pierre JAUFFRET et de Anne ISNARD.doc
1808 11 02 Naissance de Marius JAUFFRET fils de Jean Pierre et de Euphrosine JAUFFRET.doc
1813 06 13 Naissance de Jean Joseph, fils de Pierre JAUFFRET et de Anne ISNARD.doc
1814 06 23 Naissance de Marie Agrippine, enfant trouvé, Plan de la Tour.JPG
1823 20 07 La Seyne Mariage d'Honoré POURQUIER et de Marie Anne MIEILLE à La seyne.doc
1829 11 03 Mariage de Jean Pierre JAUFFRET et de Marie Agripine à Chateauneuf les Moustiers.doc
1833 03 04 Décès d'Anne ISNARD, épouse de Pierre JAUFFRET à Chateauneuf les Moustiers.doc
1836 03 05 Naissance de Joseph Ferdinand JAUFFRET, fils de Jean Pierre et de Marie Agrippine BLANC.doc
1836 Recensement de Chateauneuf les Moustiers.docx
1843 07 12 Naissance de Joseph Pierre JAUFFRET à Chateauneuf les Moustiers.docx
1849 03 21 Décès de JAUFFRET morte-née, fille de Pierre JAUFFRET et de MarieAggripine BLANC.docx
1849 06 21 Décès de Marie JAUFFRET, fille de Pierre JAUFFRET et de Marie Aggripine BLANC.doc
1850 10 03 Naissance d'Euphrosine Léonide JAUFFRET à Chateauneuf les Moustiers.docx
1851 06 02 Décès de Pierre JAUFFRET, mari de Marie Aggripine BLANC.doc
1852 02 13 Décès de Pierre JAUFFRET, veuf de Anne ISNARD, à Chateauneuf les Moustiers.docx
1883 01 31 Décès à Toulon de Marie Agrippine BLANC 75 ans, née à Draguignan.docx
1912 12 23 Décès de Euphrosine Clémentine JAUFFRET à Toulon.docx

R4.

Cher ami,
 
Merci pour vos nombreuses copies d’actes d’état-civil de vos ancêtres. Vous avez accompli un travail considérable, mais compliqué s’agissant d’actes fin XVIIIe – début XIXe siècles quelquefois difficiles à déchiffrer. Et aussi par le fait qu’un même prénom puisse se retrouver sur plusieurs générations chez les grand-père, père, oncles, enfants, neveux,...
 
A première vue, j’ai eu quelque difficulté à faire le lien entre « Marie Agrippine », née en 1814 (épouse de Jean Pierre Jauffret, né en 1801) et « Marie Blanc », épouse de Pierre Jauffret. En effet, dans l’acte de décès (1849) d’une Marie Jauffret, mort-née, les parents sont : Marie Blanc, 37 ans, et Pierre Jauffret, 45 ans, ce qui donnerait alors pour leurs années de naissance, respectivement 1812 et 1804. Peut-être les âges portés sur les actes sont-ils approximatifs, mais cela demande une vérification plus approfondie.
 
Je vous promets donc de reprendre cette passionnante étude en détail à partir de vos données et des miennes, dès que je pourrai dégager du temps. (Pour l’instant je suis très occupé, car j’assure après-demain la présidence d’un bureau de vote, ceci pour la première fois de ma vie, et ce qui me demande donc un gros travail de formation afin qu’il n’y ait ni hésitation, ni bavure dans mon bureau...
 
Avec amitiés.
 
Jean-Claude Autran



5 juin 2007 - 3 avril 2009 : Patronymes Cadière, Martinenq, Isnard

Q1.

Bonjour Monsieur,

Je viens de voir l'arbre des cadière, je suis DC née à la Seyne. vous avez des martinenque, moi aussi un jean Isnard décédé avant 1696 marié à martinenque Anne. Est-ce les mêmes descendances ? J'ai une partie de mon arbre sur geneanet, il faut que j'ajoute encore pas mal de personnes.

Cordialement.

DC

R1.

Bonjour,

Mon arbre généalogique se trouve entièrement sur Geneanet : http://gw.geneanet.org/index.php3?b=jcautran

J'ai beaucoup de Martinenq parmi mes ancêtres. Voir leur liste à l'adresse :

http://gw.geneanet.org/index.php3?b=jcautran&lang=fr;m=N;v=MARTINENQ;t=A

Mais je ne crois pas que ce soient les même branches que les vôtres car je n'ai pas de Anne Martinenq, ni de Jean Isnard. Je n'ai qu'une Anne Isnard (1755-1791) qui a épousé en 1769 Jean Félix Ferrandin (1746-1800).

Par contre j'ai le patronyme Cadière, avec Françoise Marie ("Tante Fanny") Cadière (1865-1925), qui a épousé en 1884 Joseph Alexandre Apollon Martinenq (1863-1938).

(Voir à l'adresse : http://gw.geneanet.org/index.php3?b=jcautran&lang=fr;m=N;v=CADIÈRE;t=A)

A bientôt peut-être, si vous découvrez une parenté entre cette "Tante Fanny" Cadière et votre famille ?

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q2. (12 mars 2009)

Bonjour et merci pour ce site qui régale la Seynoise que je suis.

J'ai trouvé dans mes recherches sur mes ancêtres en 5ème génération un Cadière Joseph Marie marié à Sophie Antoinette Cazalie que je retrouve dans votre arbre.

Je descends moi de Marius Paulin Cadière qui devait être de le frère de "tante Fanny".

Si vous avez des renseignements sur cette branche, je serai enchantée.

Je m'appelle IM et je vis à Six-Fours, il semblerait peut-être que l'on soit de trés lointains parents.

Merci encore

IM

R2a.

Bonjour,

Merci pour votre message.

Oui, si vous avez parmi vos ancêtres le couple Cadière Joseph Marie x Cazalie Sophie Antoinette, nous devrions en effet être de lointains parents, puisque leur fille Françoise Marie Cadière, dite "tante Fanny" était une belle-sœur de mon arrière grand-mère Jeanne Madeleine Martinenq.

Mais je n'ai encore jamais fait de recherche exhaustive sur la fratrie de cette "tante Fanny" et j'ignorais l'existence du frère (Marius Paulin Cadière) que vous mentionnez. Mais, d'après les tables décennales, les Cadière sont très nombreux à La Seyne à cette époque et c'est un travail de patience que d'identifier ceux qui descendent de Cadière Joseph Marie.

Pour l'instant, je ne vais pas avoir le temps de le faire car je dois finaliser la réédition d'un livre de mon père d'ici la fin Mars. Mais aussitôt après, je pourrai m'y pencher.

Je n'ai fait que jeter un rapide coup d'œil aux tables décennales sur internet et (sauf erreur de ma part) je n'y ai pas trouvé de Cadière Marius Paulin né à La Seyne, ni d'ailleurs de mariage Cadière x Cazalie à La Seyne pour les périodes 1853-1862 et 1863-1872. Ils ont dû se marier dans une commune voisine et, si "tante Fanny" est bien née à La Seyne en 1865, certains autres enfants du couple ont pu naître dans cette autre commune.

D'ici fin Mars, si vous voulez essayer vous-même d'avoir quelques autres informations, vous pouvez aller explorer les tables décennales de La Seyne sur internet :

http://www.archives.var.fr/arkotheque/tables_decennales/fond_resu.php?id_ark_type_fond=18&choix_commune=Seyne-sur-Mer%20(La)

Ainsi que les actes d'état-civil :

http://www.archives.var.fr/arkotheque/etat_civil/fond_resu.php?id_ark_type_fond=23&choix_commune=Seyne-sur-Mer%20(La)

A bientôt. Je vous recontacte dès que j'ai le temps de me pencher sur la question.

Cordialement,

Jean-Claude Autran

R2b. (2 avril 2009)

Bonjour,

Comme convenu (suite à votre message du 12 Mars, ci-dessous), je reprends contact avec vous à propos de la généalogie Cadière, sur laquelle j'ai eu le temps de me pencher.

En fait, je n'ai pas retrouvé à La Seyne de Marius Paulin Cadière que vous pensiez être de le frère de ma "tante Fanny" (Françoise Marie Cadière).

J'ai recherché tous les naissances, mariages et décès Cadière à La Seyne de 1853 à 1885, soit environ une centaine d'actes. Parmi tous ceux-ci, j'ai pu ainsi retrouver la fratrie complète de cette Tante Fanny, que je n'avais jamais explorée. Ils étaient 6 filles et un garçon, la plupart décédés en bas âge :


26 mars - 1er avril 2007 : Recheche de Louis PAUL, à La Seyne

Q1.

Bonjour Monsieur, permettez que je m'adresse à vous pour vous demander si vous avez eu l'occasion de connaître des personnes pouvant se nommer PAUL Louis ayant demeuré Cours Louis BLANC dans le début des années 1900/1920 pouvant être marié à une dame MARTIN Louise qui avait comme enfants : Ernest, Hortense, Marie et Louis.

La dame MARTIN étant l'une de mes ancêtres avait quitté en 1896 le Briançonnais (05) pour se rendre avec ses enfants à LA SEYNE sur MER. L'un des fils (Ernest) correspondait régulièrement avec mon grand-père . C'est ainsi que j'ai su qu'il avait servi dans la Marine Nationale sur les bateaux suivants: MASSENA, DEMOCRATIE, CHANZY, et TITANIA . J'ai tenté de rechercher cette famille , sans résultat. J'ai tenté de rechercher le nommé MARTIN Ernest en contactant la Marine Nationale, sans résultat.

Aussi, sur Internet je trouve votre site et je vous adresse ce courrier dans le cas où vous auriez des éléments sur mes recherches.

Je vous prie d'agréer, Monsieur, mes salutations.

YB

R1.

Bonjour Monsieur,

Je suis désolé, mais je n'ai aucun élément de réponse à votre question. Je n'ai pas connu cette époque, étant né en 1944. Et mon père, qui était né en 1910 et qui avait justement habité le cours Louis Blanc dans sa jeune enfance, est décédé en janvier dernier. Je n'ai donc plus aucune source d'information directe sur La Seyne de cette époque et je ne peux malheureusement pas vous aider dans votre recherche.

Cordialement,

Jean-Claude Autran (fils de Marius Autran, 1910-2007)

Q2a.

Cher Monsieur, permettez tout d'abord que je vous remercie de m'avoir répondu. Je vous comprends (j'ai 2 ans de moins que vous) et cette époque est difficile à cerner vu que les "anciens" nous ont quitté. C'était une bouteille à la mer que j'ai tenté car il s'agissait de cousins selon ma mère très liés à sa famille et pour sa mémoire je voulais tenter de retrouver une trace jusqu'alors impossible

Par ailleurs, sur votre site vous recherchez des chansons anciennes aussi pour vous être agréable je voulais vous en communiquer car les textes sont d'époque écrits par mes ancêtres. J'ai déjà tenté cette semaine de vous les adresser mais mon serveur n'accepte pas le format alors je vais aller à nouveau tenter un format plus petit. Egalement je me souviens que mon grand père avait un carnet sur lequel il avait écrit ce genre de chansons d'époque je vais aller le chercher et dès que je le trouve pas de problème je vous adresse le contenu et vous ferez le tri..

Encore merci.

YB

Q2b.

Bonsoir Monsieur. Permettez que je vous adresse cette fois sous forme de deux messages (compte tenu du volume) quelques paroles de chansons anciennes retrouvées dans un tiroir datant de 1901.

Je vous souhaite bonne réception.

Cordialement

YB

Q2c.

Monsieur, permettez que je termine mon envoi concernant les paroles de chansons anciennes.

Etant donné l'ancienneté je pense qu'elle peuvent vous intéresser. Je vous laisse le soin de "faire le tri".

Je vous prie d'agréer Monsieur , mes salutations distinguées.

YB

PS: si je trouve ce vieux carnet de chansons dont je vous parlais, je pense à vous.

R2.

Bonjour Monsieur,

Merci beaucoup pour votre réponse, suivie de vos 8 images de textes de chansons. Tout m'est bien parvenu sans problème. C'est très aimable à vous.

Ces documents sont d'une excellente qualité et sont faciles à relire. Si vous le permettez, certains pourraient être retranscrits et rajoutés aux nombreux textes déjà mis en ligne car ils pourraient intéresser bien des amateurs de chansons anciennes. En particulier : « pourquoi ne pas m'aimer », « le testament de Pierrot », « les blondes », « veux-tu ? », qui semblent inédits sur internet. Par contre « types de femmes » est déjà sur mon site, et, de même, les morceaux d'opéra Faust, Mignon, Maître Patelin sont faciles à trouver sur de nombreux sites.

En ce qui concerne la famille que vous recherchez (PAUL Louis, MARTIN Louise, etc.), je viens de penser que je pourrai peut-être avoir un petit renseignement en consultant les livres de recensements de La Seyne pour les années 1906 et 1911. On devrait retrouver normalement sur le cours Louis Blanc la liste des membres de cette famille y ayant habité. A la prochaine occasion où je pourrai me rendre aux Archives de la ville, je pourrai essayer d'obtenir ce renseignement. Je ne vous promets pas de délai précis, mais je ne vous oublierai pas.

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q3.

Bonsoir Monsieur,

Très surpris par votre intérêt concernant mon envoi de chansons anciennes, considérez que je vous les ai offertes. Celles-ci ont été transcrites par mon grand-mère.

C'est pour moi un grand plaisir de vous aider. Vous avez un site remarquable.

Pour mes ancêtres, je vous remercie et je ne suis pas pressé dans la mesure où le temps a passé et je n'ai rien su jusqu'à présent .

J'ai trouvé un carnet de chansons écrites au crayon donc difficiles à lire mais elles semblent se rapporter à celles que je vous ai envoyées. Voici un exemple joint. Je ne désespère pas de trouver mieux.Je possède des carnets d'époque d'école dont le contenu se rapporte à des études de racines carrées, de moyens de calculer des surfaces, volumes et autres . Je ne pense pas que ce soit de votre intérêt mais je vous en parle quand même .

Dans le cas où vous seriez à la recherche de documents faites-moi signe, si je suis en mesure de vous aider c'est sans problème.

Je vous prie d'agréer, Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées.

YB 


18-21 mars 2007 : Famille Lubonis

Q1.

Bonjour monsieur, je permets de vous écrire pour vous féliciter de continuer l'oeuvre de votre père qui a bien connu ma famille.

Ce site et super pour les jeunnes qui s'intéressent à leur racines comme moi.

SL

R1.

Bonjour,

Merci pour votre message et vos félicitations pour continuer l'œuvre de mon père Marius AUTRAN.

Mon père avait bien connu la famille LUBONIS depuis qu'il avait acheté, en 1942, sa propriété du quartier Bastian (où je réside actuellement).

J'ai connu moi aussi plusieurs membres de la famille LUBONIS, notamment Marcel et André, lorsqu'ils avaient 20 ou 25 ans et qu'il travaillaient comme maçons chez notre voisin M. FRANCIOLI. Merci de me dire avec lequel vous êtes parent. Donnez-leur aussi le bonjour de ma part. J'espère les revoir un jour.

Amitiés,

Jean-Claude Autran

Q2.

Bonsoir monsieur Autran. Suite à mon courrier vous m'avez posé une question. Je suis le fils de Marcel Lubonis et le petit cousin de André Lubonis. Mon père (...) a dû arrêter son activité de président des chasseur seynois ; je n'ai pas vérifié si votre père avait abordé la chasse seynoise dans ses recherches. Moi j'ai étudier mes ancêtres en généalogie : les Lubonis sont présent à La Seyne depuis 1900 et originaire du village de Clans dans le Mercantour depuis aux moins 1700es. Dans mes ancêtres il y a des vieilles familles seynoises : André, Signe, Cadière, et Durel nom de jf de ma grande mère paternelle originaire de Toulon, La Seyne et Cherbourg. Bonne continuation à vous ; cordialement.

SL

R2.

Bonjour,

Merci pour votre réponse. J'ai bien connu votre père autrefois, mais je ne l'ai plus vu depuis bien longtemps. Il faut dire que j'ai été absent de La Seyne pendant près de 40 ans et je ne suis revenu y vivre qu'à ma retraite, en 2004, après avoir fait construire une maison au quartier Bastian. Je ne sais pas s'il se souvient de moi, mais transmettez-lui toutes mes amitiés (...). (Je crois qu'il habite chemin de l'Oïde, j'ai vu son nom écrit en passant).

Concernant le sujet de la chasse seynoise, mon père n'avait que très peu écrit, sauf dans son chapitre sur la forêt de Janas. Il aurait pu sans doute en raconter beaucoup car il connaissait bien les espèces animales, surtout les oiseaux. Il avait surtout chassé quand il était jeune instituteur dans le haut-Var, mais beaucoup moins à La Seyne.

C'est très bien de vous intéresser à la généalogie de votre famille. C'est une recherche toujours passionnante. Bonne continuation.

Amitiés,

Jean-Claude Autran


28 février  2007 - 16 novembre 2022 : Décès de Hugo Aniol lors de la catastrophe de l'Émissaire Commun (11 juillet 1944)

Q1.

Monsieur,

Je viens de consulter par hasard votre site et je trouve un HUGO ANIOL, qui faisait partie des 92 Seynois, lors de la catastrophe de l'emissaire......

De quoi s'agit il?

Que savez vous de ce Hugo ANIOL?

Le nom ANIOL est rare en France, c'est polonais et maman est née ANIOL, les quelques porteurs ANIOL en France sont de ma famille, je suis généalogiste et je ne connais pas de Hugo ANIOL en France, a part mon petit cousin de Clermont-Ferrand qui a 8 ans, donc rien à voir...

Pourriez vous m'en dire plus, si cela est possible sur ce Hugo ANIOL ?

Je vous en remercie par avance.

Cordialement

CQA

R1.

Bonjour,

Concernant la « catastrophe de l'émissaire commun » du 11 juillet 1944 à La Seyne, il s'agit de la mort par étouffement et piétinement de près d'une centaine de personnes venues se réfugier (pour s'abriter des bombardements alliés sur la région de La Seyne occupée par les Allemands) dans un conduit souterrain, en cours d'aménagement comme collecteur d'égout, mais mal ventilé et non conçu pour servir d'abri anti-aérien.

Vous en trouverez tous les détails dans un chapitre de livre que mon père a écrit et dont le texte se trouve sur internet :

http://jcautran.free.fr/oeuvres/tome2/annees_dramatiques.html#8

Quant au patronyme ANIOL et au nommé Hugo ANIOL qui figure parmi les victimes de cette catastrophe, je n'ai malheureusement aucune idée sur la question.

Le nom de Hugo ANIOL a été recopié sur le livre de l'état-civil parmi les déclarations de décès du 11 juillet 1944 à La Seyne. Cette liste a dû être fournie à mon père par un employé de l'état-civil lorsqu'il a écrit son livre (Tome II) en 1988. Mais je n'ai pas moi-même accès à ces actes, qui ont moins de 100 ans. Je ne sais pas si cet Hugo ANIOL était né à La Seyne, ni s'il était résident permanent ou seulement de passage le jour de la catastrophe. Je n'ai personnellement pas connu de famille ANIOL à La Seyne, et il ne semble plus y avoir aujourd'hui de porteur de ce patronyme, ni à La Seyne, si même en région PACA.

Si vous avez une parenté avec des porteurs du patronyme ANIOL, vous pouvez peut-être essayer d'obtenir une copie de l'acte de décès de Hugo ANIOL en écrivant (et en expliquant votre parenté possible avec la personne décédée) au Service de l'Etat-Civil, Mairie de La Seyne, quai Saturnin Fabre, 83500 La Seyne sur Mer. Si vous obtenez la copie de l'acte de décès, vous aurez alors probablement connaissance de sa date et de son lieu de naissance.

Cordialement,

Jean-Claude Autran

R2. (17 novembre 2022)

Bonjour,

Ayant eu la possibilité, récemment, de consulter les actes de décès de l'année 1944 en mairie de La Seyne (en prévision de la gravure de nouvelles plaques à la mémoire des victimes des bombardements de La Seyne), j'ai pu accéder à l'acte de Hugo ANIOL (ci-dessous).

Hugo ANIOL, né le 28 février 1903 à Stare Miesko (Tchécoslovaquie), célibataire, domicilié à La Seyne, 15 rue Nicolas Chapuis (en 1944) était donc le fils de Robert ANIOL et d'Odile KROSTMIGES. Sa profession de "journalier" ne nous indique pas pourquoi il était venu habiter La Seyne à cette époque. Je n'en sais pas plus.

Codialement.

Jean-Claude AUTRAN



27 septembre - 2 octobre 2006 : Recherche d'informations sur Eugénie Massé

Q.

Bonjour,

Je me permet de vous écrire en souvenir de ma grand-mère, qui demeurais et vivais a la Seyne sur mer.

Elle travaillais a la clinique de thalassothérapie à Goubran en tant qu' infirmière, jusqu'en 1936/1939.

Je vous donne son: Eugénie Massé.

Pourriez vous me répondre?

Cordialement.

JM

R.

Bonjour,

J'ai bien reçu votre message, mais je n'ai malheureusement aucune information à vous donner sur votre grand-mère. Il est très possible que ma mère et ma grand-mère l'aient connue car à l'époque La Seyne n'était qu'un gros village où tout le monde se connaissait. Mais elles sont décédées depuis longtemps. Et mon père, Marius Autran, âgé maintenant de 96 ans, n'a pas conservé de souvenir particulier sur Eugénie Massé.

Je regrette. Cordialement,

Jean-Claude Autran


24 septembre - 9 octobre 2006 : Dominique Jaubert / Henriette Autran

Q1.

J'effectue des recherches sur la famille de mon arrière-arrière grand-mère Henriette AUTRAN, née vers 1819 et qui a épousé en 1839 Jacques JAUBERT, dont le fils Dominique JAUBERT, mon arrière grand-père a sa rue à La Seyne. La tradition familiale prétend que Henriette AUTRAN était apparentée au poète Joseph AUTRAN.

Le portrait que je possède d'Henriette AUTRAN est charmant. Le Louvre avait demandé à mes parents (qui n'ont pas accepté) de le lui prêter pour une exposition sur les portraits de famille. Il représente une jeune fille en buste au regard spirituel et intelligent.

Si vous pouvez me fournir des informations je vous ferai parvenir une photo de cette "AUTRAN" qui ne figure pas sur votre site.

Merci d'avance pour votre aimable collaboration.

PT

R1.

Bonjour,

Merci pour votre message.

J'avais noté un premier message de votre part, en janvier 2006, m'apportant des précisions sur Dominique Jaubert (suite à ma recherche de l'origine du nom du boulevard Dominique JAUBERT à La Seyne), et m'indiquant qu'Henriette Autran était apparentée au poète marseillais Joseph Autran.

Grâce à ces informations, j'ai pu rajouter Henriette AUTRAN à la liste des Autran célèbres (voir à : http://jcautran.free.fr/genealogie/autran_celebres.html)

Je n'ai malheureusement aucune information sur cette famille Autran et je n'envisage pas actuellement de reconstituer la généalogie des Autran de Marseille, car ceux-ci y ont été et y sont encore extrêmement nombreux - et que je n'ai pas de parenté avec les familles Autran de Marseille, mes ancêtres Autran étant tous originaires du Var.

Je reste cependant très intéressé de recevoir une copie de votre portrait d'Henriette Autran, que je pourrai insérer dans la page des Autran célèbres, si vous le permettez. Je vous en remercie par avance.

Voici mes coordonnées : (...)

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q2.

Monsieur,

Je viens de faire un grand tour sur votre site et vous prie d'accepter tous mes compliments pour l'important et très intéressant travail que vous faites sur les rues de La Seyne.

J'ai lu aussi avec un grand intérêt les échanges qui sont sur votre forum relatif à ce travail, d'autant plus grand que Dominique Jaubert était l'arrière-grand-père de mon mari. Avocat au barreau de Toulon, il habitait en effet Fabrégas avec sa nombreuse famille mais mon mari ignorait qu'il eût un boulevard à son nom à La Seyne. Dominique Jaubert a écrit plusieurs ouvrages dont un roman historique, "Gestes de Provence" qui montre qu'il possédait, outre une grande culture historique, un réel talent d'écrivain.

Dans les courriers qui le concernent, j'en ai relevé un, daté des 21-23 février derniers, signé "P.T.", discrètes initiales d'un monsieur qui est lui aussi un arrière-petit-fils de Dominique Jaubert. Je souhaiterais beaucoup entrer en contact avec lui pour des questions de généalogie et, si vous avez encore son adresse e.mail, auriez-vous l'amabilité de lui demander s'il veut bien m'écrire à l'adresse de ce courriel, en lui indiquant mon nom ? Il saura peut-être où se situe mon mari dans la famille. Si vous ne l'avez plus, cela n'a pas d'importance. C'était juste une bouteille à la mer !

Encore bravo pour votre travail et toutes vos recherches.

Cordialement

SLJ

21-23 février 2006, au sujet du boulevard Dominique Jaubert

Q.

Monsieur,

Vous effectuez des recherches sur Dominique JAUBERT mon arrière-grand père qui était avocat à Toulon. Issu d'une ancienne famille provençale remontant au Moyen-Age, il était né vers 1840 de Jacques JAUBERT et Henriette AUTRAN. (Je recherche des informations sur cette dernière qui était née en 1819 et s'est mariée en 1839 ou au début de 1840. Elle était apparentée au poète Joseph Autran).

Dominique JAUBERT a publié une douzaine de livres sur l'histoire, l'économie, la politique. Je vous signale notamment : Gestes de Provence et un opuscule La reine Jeanne. Il est mort de la grippe espagnole en 1918.

Bien cordialement,

PT

R2a. (à SLJ)

Bonjour,

En réponse à votre message du 3/10, j'ai bien demandé à mon correspondant, dont les initiales sont P.T., d'entrer en contact avec vous. [Dans les échanges de courriels que je fais figurer sur le "forum" de mon site, j'ai l'habitude de ne pas divulguer les noms, ni les adresses électroniques ou postales, ni bien sûr le téléphone de mes correspondants - je ne mentionne que leurs initiales ou leur "pseudo"].

Je pense néanmoins que je peux maintenant vous communiquer le nom de ce correspondant qui est un arrière petit-fils de Dominique Jaubert. Il s'agit de (...).

Cordialement,

Jean-Claude Autran

R2b. (à PT)

Bonjour Monsieur,

Suite à nos différents échanges concernant Henriette AUTRAN et Dominique JAUBERT, une internaute m'a adressé le message suivant :

Monsieur,

Je viens de faire un grand tour sur votre site et vous prie d'accepter tous mes compliments pour l'important et très intéressant travail que vous faites sur les rues de La Seyne.

J'ai lu aussi avec un grand intérêt les échanges qui sont sur votre forum relatif à ce travail, d'autant plus grand que Dominique Jaubert était l'arrière-grand-père de mon mari. Avocat au barreau de Toulon, il habitait en effet Fabrégas avec sa nombreuse famille mais mon mari ignorait qu'il eût un boulevard à son nom à La Seyne. Dominique Jaubert a écrit plusieurs ouvrages dont un roman historique, "Gestes de Provence" qui montre qu'il possédait, outre une grande culture historique, un réel talent d'écrivain.

Dans les courriers qui le concernent, j'en ai relevé un, daté des 21-23 février derniers, signé "P.T.", discrètes initiales d'un monsieur qui est lui aussi un arrière-petit-fils de Dominique Jaubert. Je souhaiterais beaucoup entrer en contact avec lui pour des questions de généalogie et, si vous avez encore son adresse e.mail, auriez-vous l'amabilité de lui demander s'il veut bien m'écrire à l'adresse de ce courriel, en lui indiquant mon nom ? Il saura peut-être où se situe mon mari dans la famille. Si vous ne l'avez plus, cela n'a pas d'importance. C'était juste une bouteille à la mer !

Encore bravo pour votre travail et toutes vos recherches.

Cordialement

SLJ

Accepteriez-vous, je vous prie, comme elle le souhaite, d'entrer en contact avec elle.

Merci par avance,

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q2a. (de SLJ)

Bonjour.

Vous avez absolument raison de jouer la discrétion sur le forum et je vous remercie de votre réponse ainsi que d'avoir contacté Monsieur T. En effet, il est du cousinage de mon mari, mais nous ne le connaissons pas personnellement. Voilà une bonne occasion de le faire.

Encore un grand merci.

Cordialement

SLJ

Q2b. (de PT)

Cher Monsieur,

Je vous remercie de m'avoir mis en contact avec cette cousine issue de germaine par alliance et que je ne connaissais pas. Je dois certainement savoir qui est son mari, mais elle n'en donne pas le prénom ce qui ne me permet pas de le situer.

Merci, bien à vous.

PT


14-28 juin 2006 : Généalogie de la famille Ferrat

Q1a.

Bonjour Monsieur Autran,

En cherchant des renseignements sur mes ancetres Ferrat, j'ai eu la chance et le plaisir de voir et d'acceder au magnifique site cree par votre pere Marius Autran.

Ce nom m'a tout de suite dit quelque chose, une cousine de mon pere de plus de cent ans habitant a Marseille etant la fille unique d'Auguste Autran ex commandant des Messageries Maritime au debut du siecle dernier .Elle avait epouse Gabriel Pradal fils unique d'un notaire,Il etait Capitaine de vaisseaux. le couple n'a jamais eu d'enfant . .Auguste Autran avait epouse une soeur (Marie) de ma Grand Mere Therese Poupard a l'Ile Maurice.

Elle etait l'epouse de mon grand pere Hilaire Spiridion Ferrat ne a Saint-Nazaire/Sanary en 1848 Capitaine marin Francais arrive a l'Ile Maurice en 1877, marie a T.Poupard en 1888 .Il est decede a Maurice en 1935.Il laissa a sa mort une assez belle situation.et une reputation a toute epreiuve. Son pere Joseph Ferrat,sa mere Elisabeth Ferrat nee Allemand (Sanarienne), ses soeurs epouse Martinenq et epouse Jouve ,ses nieces sont tous enterres dans un caveau dans le vieux cimetiere de Sanary.

Mon pere disait toujours que les Ferrat etaient de Saint Mandrier .

Voila ce que j'ai en ma possession:

Un acte de bapteme precise que Antoine Ferrat, fils de Jacques Ferrat et Suzanne David est baptise le 28/2/1752, jour de sa naissance dans la paroisse de Ste.Marie ( Toulon ?)

Antoine ne donc en 1752 epouse en 1779 Catherine Francoise Peyret ( voir acte de mariage ,fevrier 1779 dans registre conserve mairie de la Seyne.

Antoine Ferrat est "Fabricant de thuilles" domicilie au quartier de St Mandrier.....Voir acte de naissance de son fils Antoine Laurent Siffroy Pierre Ferrat

En 1823, voir acte de naissance de Joseph Desire Ferrat qui dit que son pere A..L.S,P, Ferrat est domicilie a Toulon et est Capitaine au petit cabotage.Aussi Syndic des gens de mer. ( voir acte deces Joseph Etienne 30/1/1852 ) .( Voir acte de naissance de Antoine Laurent Siffroy Pierre Ferrat qui decede le 14 janvier 1875. Il epouse Ursule Marie Giraud ne en 1800 à la Seyne.

En 1848 (voir acte de naissance de Hilaire Ferrat) qui dit que son pere Joseph Desire est ne le 15/3/1823 a Toulon,il est domicilie a St Nazaire/ Sanary..Il est Marin. (En 1875il est Capitaine Marin a St Mandrier. Renseignement provenant d'un acte de succession en 1875 du pere de Joseph Desire

Afin de vous permettre de mieux me situer , voici quelques infos me concernant. Je m'appelle Patrick Raoul Ferrat, j'ai 66 ans, je suis retraite et m'interesse depuis plusieurs annees a l'histoire en general et celle de l'ile Maurice en particulier . La genealogie m'interesse aussi et bien entendu plus paticulierement celle de ma famille .J'ai ete pendant plusieurs annees secretaire du comite d'administration de la Societe de l'Histoire de l'Ile Maurice cree en 1938. je suis membre de la Societe Royale des Arts et des Sciences de l'Ile Maurice.J'ai ete jusqu'a tout recemment un directeur du Mauritius Museum Council et je siege sur un des comites du National Archives. Je represente a Maurice l'Association des Amis du Musee de la Marine de la place Chaillot. J'ai aussi d'autres activites dans bien d'autres domaines......

L'annee derniere lors d'un voyage dans le sud de la France j'ai visite le cimetiere de St Mandrier dans l'espoir de voir une tombe de Ferrat ou d'un conjoint mais n'ai rien trouve. Des amis m'attendant dans une voiture pendant ma visite,je n'ai peut etre pas accorde le temps necessaire a mes recherches. J'ai longuement tape a la porte et interpelle le prepose responsable du cimetiere pour demander s'il n'existait pas un registre des tombes,mais ce fut sans succes.Jamais eu de reponse malgre que j'entendais de la musique et voyais un chien a l'interieur du local qu'il semblait occuper.

Tout cela pour vous dire que je vous serai extremment reconnaissant si vous pouviez m'aider sur le passe des Ferrat a St Mandrier ou meme ailleurs dans le sud de la france .

Pierre Ferrat un fils a Antoine, un frere de Antoine Laurent Siffroy Pierre Ferrat etait L'Aide de Camp de Murat .Il a du mourir a la Seyne.

Son fils Charles-Marie ne a Naple est mort a la Seyne. Une de ces petites filles Anais a epouse un Nicolini d'une famille patricienne Italienne .

Une porte d'entourage a St Mandrier a longtemps porte des initiales FN ou NF

Je suis sur qu'il y a un lien entre les Ferrat de Moustier et mes ancetres.On retrouve chez ceux de Moustiers aussi des fabricants de tuiles. .

J'ai toute la genealogie de ceux de Moustier ,Il me faut maintenant trouver quelqu'un qui puisse m'aider a faire cette relation...

Bien cordialement

PF

P.s. je suis aussi en relation a travers un cite genealogique avec un Jean Marie Autran qui descend de Emile Autran un frere a Auguste Autran qui avait epouse Germaine Poupard une autre soeur de ma Grand Mere Therese Poupard.

Q1b.

Bonjour Monsieur Autran ,

afin de m'assurer que vous avez bien recu mon mail d'il y a deux jours, soyez gentils ne me faire un simple retour de ce present e-Mail.....Cela me rassurait .

Merci d'avance pour votre bienveillance

PF

Q1c.

Att.Monsieur Jean Claude Autran

merci de m'assurer que ce mail est bien le votre

Cela me confirmera par la meme occasion de la compatibilite de nos programmes.....

Merci d'avance

Bien cordialement

PF

Q1d.

Bon Dimanche de l'Ile maurice de l'archipel des Mascareignes, sous les tropiques,dans l'hemisphere Sud.

12000 Km nous separent physiquement, mais qui grace a internet fait que nous pouvons dialoguer comme si nous etions un en face de l'autre, profitons-en....

PF

R1.

Bonjour Monsieur,

Veuillez m'excuser pour le long délai pour réagir à vos messages. Etant en vacances ces derniers jours, je ne les ai lus qu'à mon retour, et j'ai naturellement beaucoup de retard dans les réponses à tous les courriers qui s'étaient accumulés.

Voici ce que je peux vous répondre :

1) Concernant le patronyme Autran qui existe dans votre famille, notamment à Marseille, je n'ai aucun élément permettant d'établir une parenté avec ma propre famille. J'avais bien un arrière grand-père nommé aussi Auguste Autran, qui a longtemps vécu à Marseille, mais il était né en 1853 à Barjols (dans le Var), ainsi que ses ancêtres. Il était forgeron, ainsi que ses ancêtres, et n'est venu s'établir à Marseille que vers 1870. Il n'avait aucune parenté avec toutes les dizaines de familles Autran de Marseille (où le patronyme Autran était extrêmement répandu, et aujourd'hui encore).

2) Je ne sais malheureusement rien sur le patronyme Ferrat. Je n'en ai aucun dans ma généalogie, ni parmi les connaissances de ma famille.

3) Il est possible que certains actes concernant vos ancêtres puissent être retrouvés dans les archives de l'état-civil de Toulon, La Seyne ou Saint-Mandrier. Ou que des tombes Ferrat existent dans les cimetières de la région. Mais je ne peux pas vous promettre de faire de telles recherches, étant déjà extrêmement sollicité au sujet de mon site internet, et n'ayant même pas eu le temps depuis 3 ans d'aller consulter ces archives pour faire avancer ma propre généalogie.

4) Ce que vous pouvez faire, à distance, outre les recherches sur internet (de plus en plus d'actes sont numérisés et en particulier les archives du Var seront en principe mises en ligne à partir de 2007), c'est d'essayer de vous procurer des copies des actes en écrivant aux différentes archives ci-dessous :

- Département du Var. Archives départementales. M. Alain Droguet. B.P. 277, 83007 Draguignan Cedex 07. 157 avenue Alphonse Daudet. Tél. : 04.98.10.22.40 ; télécopie : 04.94.67.00.57 ; courriel : ad83@cg83.fr. Lu.-Ve. 8 h 30 à 17 h. Fermé tous les premiers jeudis matin du mois. www.var.fr

- Commune de Toulon. Archives municipales. Mme Christine Monge. 3 impasse Calvi, 83100 Toulon. Tél. : 04.94.27.35.39 ; télécopie : 04.94.27.33.61 ; courriel : archives@mairie-toulon.fr. Lu., Me., Ve. 8 h 30 à 16 h 30, Ma. 8 h à 12 h. Fermeture annuelle : entre Noël et le Jour de l'An et tous les après-midi du mois d'août. www.toulon.com

- Commune de La Seyne. Service Municipal Archives Historiques. Uniquement le mardi, 8 h à 18 h. Mme Adeline Luminet. Place Ledru-Rollin, 83500 La Seyne-sur-Mer. Tél. : 04 94 06 95 00

- Commune de Saint-Mandrier. Archives de l'Etat-Civil. Place des Résistants, 83430 Saint-Mandrier-sur-Mer. Tél. : 04 94 11 51 60

Ayant déjà des dates et lieux de naissances, mariages et décès bien précis, vous pourrez certainement, avec de la patience, faire progresser ainsi une grande partie de votre généalogie.

Je suis désolé de ne pas pouvoir actuellement vous aider davantage.

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q2.

Cher Monsieur Autran,

ce fut pour moi un grand plaisir de prendre, hier, connaissance de votre reponse mail, meme si ,et je le comprends bien ,vous ne pouvez pas beaucoup m'aider directement dans mes recherches.

Merci pour toutes ces adresses et contact utiles concernant le Var,Toulon, St Mandrier et la Seyne qui certainement devraient pouvoir m'aider dans mes demarches.

Bonne continuation

Merci encore pour votre aide

Bien cordialement

PF


19-27 avril 2006 : Famille Poncet

Q.

Je souhaite tout simplement transmettre tout mon respect à monsieur Marius AUTRAN qui m'a marié à la mairie de la Seyne en 1974 avec le fils PONCET /ZALI dont le était un ami de l'école martini. Je suis partie longtemps de la région mais je n'ai jamais oublié la Seyne sur mer et je suis heureuse d'y être revenue.

DD

R.

Bonjour,

Merci pour votre message, que j'ai transmis à mon père (Marius Autran).

Mains mon père a maintenant plus de 95 ans et n'a donc plus qu'un souvenir assez lointain de votre mariage. Par contre, il se souvient très bien avoir connu pendant de nombreuses années M. Poncet, Mme Poncet et deux de leurs enfants, qu'il avaient eus comme élèves, et dont l'un est donc votre époux. J'ai moi même bien connu Alain Poncet (nous avions été aide-moniteurs de colonie de vacances ensemble), mais je l'ai perdu de vue ensuite, ayant été absent de La Seyne entre 1962 et 2004. Est-ce lui votre époux ou est-ce son frère cadet (je crois que son prénom est Yves, que j'ai moins bien connu car plus jeune que moi). Je ne me souviens plus, excusez-moi, s'ils avaient ou nom un troisième frère plus âgé ?

Si vous pouviez me rappeler la composition de cette famille et me dire quel a été leur parcours depuis que je les ai perdus de vue, vers 1962, cela raviverait quelques-uns de mes vieux souvenirs. Merci d'adresser aussi le meilleur souvenir de mon père (et le mien également) aux frères Poncet.

A noter que mon père cite plusieurs fois dans ses textes le grand-père, M. Poncet, qu'il avait connu comme enseignant à Martini dans les années 40 et 50 :

http://jcautran.free.fr/oeuvres/martini/chapitre_6.html

ainsi que la grand-mère Mme Poncet/Zali, à propos des colonies de vacances de La Seyne :

http://jcautran.free.fr/oeuvres/tome3/jeunesse_au_plein_air.html

Cordialement,

Jean-Claude Autran


1er - 7 mars 2006 : Généalogie de la famille Moutte

Q.

je me présente .. je suis JM, né de Antonin Eléonore Jean MOUTTE ne a LA SEYNE le 6 janvier 1892 , mon père avait travaillé au chantiers quand il était jeune ... ainsi que son frère Maximilien ( il a habité toute sa vie rue Dominique ARAGO à LA SEYNE ) qui lui a fait toute sa carrière d' ouvrier au chantier ..... pour tout vous dire je suis a la recherche de mes racines , et après avoir lu votre rubrique sur les chantiers de LA SEYNE , je vous contacte pour vous demander votre aide .... avez vous une piste qui m' aiderais dans ma recherche généalogique???? merci d' avance

JM

R.

Cher Monsieur,

J'ai bien étudié votre message, mais je n'ai malheureusement que très peu d'informations à vous fournir.

Je en me souviens pas que ma famille ait connu de frères MOUTTE qui aient travaillé aux Chantiers. Et mon père (Marius Autran, 95 ans !) ne se souvient de rien de précis sur le patronyme MOUTTE à La Seyne.

Pour progresser dans vos recherches généalogiques à La Seyne, la meilleure solution est de s'adresser (pour les actes de moins de 100 ans - ce qui est le cas de votre père : 6 janvier 1892) aux Archives de l'état-civil de La Seyne (Villa Tamaris-Pacha, avenue de la Grande Maison, 83500 La Seyne-sur-Mer. Si vous n'habitez pas loin, il suffit de prendre RV avec Mlle Adeline Luminet, tél. 04 94 06 84 12, pour compulser les actes d'état-civil. Si vous habitez loin, vous pouvez lui écrire (avec timbre pour la réponse) pour obtenir la copie de l'acte de naissance de votre père, sur laquelle vous trouverez les noms et prénoms de ses parents et, en mention marginale, les dates et lieux de mariage et de décès. Ainsi, de proche en proche, vous pourrez progresser dans votre recherche généalogique. Mais cela demande beaucoup de patience.

Concernant la carrière aux Chantiers de La Seyne de votre père et de son frère, vous pouvez peut-être retrouver leur trace en contactant l'Association pour le Maintien des Intérêts des Anciens de la Navale (AMIANS), qui doit posséder des archives sur les anciens personnels des Chantiers. Son siège est : boulevard Toussaint Merle [dans l'ancienne Porte des Chantiers], 83500 La Seyne-sur-Mer. Tél. 04 94 94 07 46 / 04 94 94 09 13. (Président : Jean-Pierre Era ; vice-président : Lucien Conac).

Bon courage. Cordialement,

Jean-Claude Autran


21-22 février 2006 : Famille Timmermans

Q.

Bonsoir Monsieur,

Je viens de rentrer dans votre site par hasard et je me permets de vous demander si vous n'auriez pas connu des TIMMERMANS venant de Belgique vers 1850 mon arriere grand-pere TIMMERMANS FRANCOIS PIERRE venus s'installer a marseille et s'est marier avec une demoiselle PERRAYON JEANNE, car je fais l' arbre genealogique de ma famille pour mes enfants et petits enfants, mon grand-pere est ne a marseille TIMMERMANS JOSEPH ANTOINE ne en 1876, si vous connaissais ce patronyme

merci a vous de me renseigner et ou je pourrais me renseigner

avec mes remerciements

YS (JFC)

R.

Bonjour,

J'ai bien reçu votre message. Mais, je suis vraiment désolé, dans ma famille, nous n'avons pas connu de personnes portant les noms de TIMMERMANS, ni de PERRAYON. Ces patronymes n'apparaissent pas dans notre généalogie, ni dans nos relations.

Puisque vous connaissez une date précise (1876, Marseille), vous pouvez obtenir l'acte de naissance en écrivant aux Archives de l'Etat-Civil de Marseille (10 r Clovis Hugues 13003 MARSEILLE). S'il vous était possible de vous rendre un jour à Marseille à cette même adresse, vous pourriez aussi consulter les registres d'état-civil (naissances, mariages, décès) du XIXe siècle pour rechercher d'autres TIMMERMANS qui pourraient être apparentés à votre grand-père.

Cordialement,

Jean-Claude Autran


20 janvier - 4 février 2006 : Famille Novaro/Benso

Q1.

Bonjour,

Je m'appelle Jean-Marc NOVARO et j'ai entrepris - depuis plusieurs années - des recherches généalogiques sur ma famille. Mes pas m'ont ainsi conduit il y a environ cinq ans jusqu'à La Seyne, ville dont est originaire une partie de ma famille paternelle. J'avais alors obtenu vos coordonnées aux archives municipales et découvert dans la bibliothèque une partie de vos ouvrages. Je vous avais d'ailleurs contacté téléphoniquement (peut-être vous en souvenez-vous?) afin de savoir si vous connaissiez mon patronyme et vous m'aviez alors répondu que le nom de NOVARO ne vous était pas inconnu.

C'est donc avec beaucoup de plaisir que j'ai découvert votre site internet et pu naviguer au hasard de l'histoire de La Seyne. J'ai ainsi lu avec émotion les pages consacrées à la tragédie du "Liberté", épisode que mon grand père - témoin des faits (il avait alors 17 ans) - m'avait rapporté dans mon enfance, celles relatives à l'école des maristes où mon père a été élève dans les années 1920 ou 30 ou celles concernant les chantiers de la Méditerranée où plusieurs membres de ma famille ont travaillé.

Permettez moi cependant de me situer plus précisément en vous apportant les éléments suivants:

- Mon arrière grand père - Frédéric NOVARO - a vécu à La Seyne avec son èpouse - née BENSO - au Cours Louis Blanc. Sans doute a-t-il travaillé comme mécanicien aux chantiers de la Méditerranée (bien que je n'en ai aucune preuve formelle). Son èpouse a tenu un commerce rue Franchipani (au n°18) et c'est là qu'elle a fini ses jours en 1942.

- Trois enfants sont nés de cette union. Mon grand père a lui même vécu à La Seyne où il a exercé quelque temps aux forges et chantiers de la Méditerranée. Il a participé à la Grande Guerre durant laquelle il a été blessé plusieurs fois. Il a ensuite vécu à Marseille où il s'est éteint en 1981. Son frère, également employé aux chantiers de la Méditerranée, a quant à lui connu un destin dramatique puisqu'il est mort noyé au large de Six Fours en 1919 (il semble d'ailleurs qu'il soit enterré au cimetière de La Seyne dans le tombeau de son oncle BENSO (ou BENSA) mais je n'ai pas pu à ce jour vérifié cela).

Je dispose évidemmment de plus de détails sur mon histoire familiale que je mettrai bien volontiers à votre disposition si cela vous intéresse.

Je serai simplement heureux de savoir si ces éléments évoquent en vous un quelconque souvenir et si vous pouviez me dire où je pourrai me procurer des renseignements relatifs aux personnes ayant travaillé aux forges et chantiers de la Méditerranée afin que je puisse vérifier les informations en ma possession.

Merci encore et bravo pour votre remarquable travail de recherche et de mise en valeur du patrimoine historique de votre cité.

Bien cordialement.

JMN

R.

Bonjour,

Merci pour votre message. Je m'appelle Jean-Claude Autran, fils de Marius Autran. C'est moi qui assure la correspondance relative site internet de mon père, ce dernier étant maintenant très âgé (95 ans).

J'ai communiqué votre message à mon père. Malheureusement, s'il se souvient un peu de votre patronyme, il n'a pas pu me fournir de souvenir précis sur les membres de votre famille que vous mentionnez. Cela est maintenant bien loin pour lui.

Concernant votre question sur la recherche de renseignements relatifs aux personnes ayant travaillé aux Forges et Chantiers de la Méditerranée, la principale piste que je connaisse est l'Association pour le Maintien des Intérêts des Anciens de la Navale (AMIANS) dont le siège est : Place Benoît Frachon, 83500 La Seyne-sur-Mer. Tél. 04 94 94 07 46. (Président : Jean-Pierre Era ; vice-président : Lucien Conac).

L'AMIANS a créé l'an dernier un site internet : http://www.amians.com/

Toutefois, j'ai constaté que ce site n'était plus opérationnel depuis quelques semaines, probablement en raison du déménagement de l'Association, actuellement en cours, vers ses nouveaux locaux qui ont été aménagés dans l'ancienne porte des Chantiers, complètement rénovée. Il faudra réessayer dans quelques temps pour accéder aux intéressantes archives qu'ils ont mis en ligne.

Je regrette de ne pas pouvoir vous fournir davantage d'information.

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q2.

Merci pour votre réponse et vos indications concernant l'AMIANS que je contacterai de toute façon.

Bonne continuation à vous...

Au plaisir de vous lire ou de vous rencontrer peut-être un jour prochain.

Je ne manquerai pas pour ma part de vous recontacter afin de receueillir d'autres renseignements ou conseils.

Cordialement

JMN


3 décembre 2005 - 26 juin 2008 : Famille Pourquier et patronymes Prat, Blacas,

Q1.

Bonjour Monsieur,

Je m'appelle AM, et j'habite Rouen.

Je fais actuellement des recherches sur ma famille, et en particulier sur ma grand-mère maternelle, Marie-Louise POURQUIER, née à La Seyne sur Mer le 22 février 1907 et aujourd'hui décédée

J'ai vu sur votre site que le patronyme POURQUIER était cité ....et je souhaiterais savoir si vous aviez des informations sur cette famille ...nombreuse puisque ma grand mère avait quinze frères, dont elle a perdu la trace quand elle était jeune. Peut-être le Pourquier que vous citez a t'il un lien de parenté....

Je ne sais rien pour l'instant de ses parents sinon qu'ils sont décédés avant l'âge de 50 ans. Je suis sur le point d'engager des démarches auprès le Mairie de la Seyne pour retrouver trace de ma famille.

Je vous remercie de votre aide

AM

R1.

Bonjour,

J'ai bien étudié votre message, mais je n'ai que très peu d'informations à vous fournir.

Mon père (Marius Autran, 95 ans !) a effectivement cité le patronyme POURQUIER dans l'un de ses textes (colonies de vacances seynoises). Il m'a dit qu'il s'agissait d'une personne qu'il avait bien connue et qui avait longtemps occupé la fonction de lingère dans les écoles et les colonies de vacances municipales et qui s'appelait Rose POURQUIER. Mon père croit se souvenir aussi que le mari de cette personne tenait un bureau de tabac à La Seyne, rue Hoche, et qu'ils avaient perdu un enfant âgé de 14 ans environ.

Nous ne savons malheureusement rien de plus précis sur le patronyme POURQUIER.

Le patronyme POURQUIER semblait beaucoup plus répandu autrefois à La Seyne et surtout à Six-Fours (où il existe un quartier POURQUIER). Actuellement, d'après les pages jaunes, il n'y aurait plus qu'une seule famille Pourquier à La Seyne et plus aucune à Six-Fours.

Pour progresser dans la recherche de vos ancêtres de La Seyne, il vous faudra certainement vous adresser (pour les actes de plus de 100 ans) aux Archives de l'état-civil de La Seyne (Villa Tamaris-Pacha, avenue de la Grande Maison, 83500 La Seyne-sur-Mer, sur RV avec Mlle Adeline Luminet, tél. (...). Pour les actes de moins de 100 ans (cas de votre grand-mère née en 1907), il vous faut écrire pour en obtenir une copie (avec timbre pour la réponse) au service de l'état-civil, hôtel de ville, quai Saturnin Fabre, 83500 La Seyne-sur-Mer.

Bon courage. Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q2a.

Je vous remercie pour votre réponse et pour les recherches que vous avez faites pour moi. C'est très gentil de votre part et de celle de votre papa.

Ma grand-mère a été placée à l'âge de 7 ans comme employée à tout faire dans une école d'après ce qu'elle m'a raconté de son vivant, mais ni le nom, ni la situation de famille (ni celle de ses parents) ne correspond ...il semble que mon arrière grand-père ait été marin pêcheur et mon arrière grand-mère.....mère de seize enfants.

Ma grand mère a épousé à Toulon mon grand-père et tous deux travaillaient dans commerce de chaussures à Toulon, rue d'Alger.

Ils sont arrivés à Rouen pendant la guerre et y sont restés, d'où ma présence à Rouen...

Je vais faire des recherches dans le sens que vous m'indiquez

Encore merci et bien cordialement

AM

Q2b (21 février 2006).

Bonjour,

Il y a quelque temps, je vous avais demandé si vous aviez des informations sur les Pourquier de La Seyne sur Mer. Depuis, j'ai retrouvé les ancêtres de ma grand mère (jusqu'au XVI ème !).

J'ai aussi retrouvé la trace des ses frères aînés, ce qui m'amène à vous écrire à nouveau.

J'ai lu avec attention (et passion) le contenu du site de votre père et notamment le mouvement ouvrier des chantiers navals (où mon arrière grand père était charpentier)

J'ai noté le passage suivant concernant ROVERE Guiseppe.

"Né le 5 septembre 1889 à Trinita (Italie, province de Cuneo), Guiseppe Rovere vint à La Seyne (Var), en 1896 avec sa famille. Marié en novembre 1918 à Turin (Italie), mobilisé en Italie (1915-1918), ouvrier riveur aux Forges et chantiers de la Méditerranée de La Seyne, ses trois demandes de naturalisation furent rejetées. Communiste italien, il fut interné au fort Saint-Catherine à Toulon, le 13 décembre 1939 puis au camp du Vernet (Ariège). Rovere mourut en Italie.

SOURCES : Arch. Dép. Var, 7 M 12 1, Cabinet 863. - Renseignements fournis par J.-M. Guillon"

Or, l'un des frères de ma grand Mère, Louis Baptistin POURQUIER, né le 28/02/1900 à La Seyne, a épousé le 6 septembre 1920 à la Seyne, Ernestine, Maria de Rovère.

Auriez vous des informations sur la famille de Rovère ? Savez vous s'il avait une soeur ?

Un grand merci pour toutes les informations que vous pourrez me communiquer sur ce sujet.

Cordialement

AM

R2.

Bonjour,

Suite à votre dernier message, j'ai essayé d'interroger de nouveau mon père sur les familles ROVERE ou DE ROVERE à La Seyne.

Malheureusement, il ne se souvient pas d'avoir connu le militant des Chantiers Giuseppe ROVERE (cette biographie a été en fait établie à partir des recherches historiques du professeur Jacques GIRAULT et non par mon père), et ne sait pas si ce Giuseppe ROVERE avait une sœur.

En fait les ROVERE ou DE ROVERE ont toujours été nombreux à La Seyne (il y en a encore au moins une douzaine de familles actuellement - d'après les Pages Jaunes). Mon père n'a connu que les suivants :

- Paul ROVERE, secrétaire de la Section Socialiste de La Seyne dans les années 50 et 60.

- Alceste DE ROVERE et Anaclée (dit "Cleto") DE ROVERE, deux frères qui étaient ouvriers aux Chantiers dans les années 50 à 75 environ. Anaclée est décédé il y a quelques mois seulement.

Mais il ne sait pas qui a pu être Maria De Rovere. Elle a pu être apparentée à l'un des De Rovere ci-dessus, ou à l'une des familles De Rovere habitant actuellement La Seyne, mais laquelle ? Je suis désolé de n'en savoir vraiment pas plus.

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q3.

Bonjour,

Merci à vous pour votre réponse et votre aide.

J'ai hélas beaucoup de mal à retrouver les traces d'une famille très nombreuse qui semble avoir presque totalement disparu aujourd'hui.

Je tenais vraiment à vous remercier vous et votre père pour la richesse de votre site sur La Seyne qui me permet à moi, depuis ma Normandie natale, d'en apprendre beaucoup sur cette ville dont je suis un peu originaire (je suis remontée au début du XVIème siècle dans une famille Pourquier 100% Seynoise)

J'ai lu en particulier le récit de l'explosion du "Liberté" que ma grand mère, encore enfant, a vécu de près puisqu'elle habitait aux "Mouissèques".

Bien cordialement

AM

Q4a.

Bonjour,

Je me permets de vous contacter à nouveau dans le cadre de mes recherches familiales.

Il y a quelques mois, vous m'aviez donné quelques précisions sur le patronyme POURQUIER, nom de ma grand-mère maternelle originaire de la Seyne.

Mes recherches m'ont permis de retrouver des descendants des frères de ma grand mère, qui vivent toujours à La Seyne aujourd'hui.

J'ai appris la chose suivante : mes arrières grands parents, décédés à La Seyne en 33 et 34 ont été inhumés dans le cimetière de la ville.

Il semble que lors d'un bombardement allié en 1944 (je ne connais pas la date), une bombe est tombée sur le cimetière, à proximité de la tombe de mes arrières grands parents. Sous l'effet du souffle, les corps auraient été "propulsés" hors de terre, et se seraient retrouvés projetés sur la voie publique. A l'époque, j'imagine bien que les recherches ADN n'étaient pas d'actualité et que l'on se préoccupait à juste titre des blessés.... les restes de mes arrières grands parents auraient été mis dans une fosse commune.... ainsi donc auraient disparu leurs tombes et dépouilles.

Pourriez vous si cela vous est possible demander à Monsieur Marius Autran  s'il se souvient de ce bombardement et de ce qui s'est passé dans le cimetière de la Seyne ? Sinon, où pensez vous que je puisse orienter mes recherches pour en savoir plus ?

Un grand merci à l'avance

Cordialement

AM

Q4b.

Bonsoir à nouveau

En consultant le site de Monsieur Marius Autran, j'ai découvert la liste des Seynois décédés pendant la guerre  de 39-44.

Je souhaitais vous faire savoir que le frère cadet de ma grand mère Marie Louise Pourquier, César Jean Robert POURQUIER, né à La Seyne sur Mer le 29/04/1916 de parents Seynois (Les Pourquier sont Seynois depuis de nombreuses génération, et il y a dans leur généalogie des Lombart, Imbert, Gaudin, Prat ... autant de patronymes que j'ai retrouvés sur la liste des maires de votre commune)  est décédé à Toulon, le 24 novembre 1943  -rue du Grand Port Marchand, lors d'un bombardement allié. Il était sous-marinier (Le Vengeur ou le Fresnel, pour l'instant, je ne sais pas encore)

Son nom figurerait sur le monument aux morts du cimetière de Lagoubran..

Voilà. Je ne sais pas si cette précision vous apportera quelque chose et s'il est possible d'inclure mon grand oncle sur la liste des victimes de guerre, mais c'est vrai qu'en tant que descendante d'une longue ascendance de Seynois d'origine, j'en serais très touchée.

J'essaie avec mes très modestes moyens depuis ma Normandie natale de retrouver les traces et faire revivre une grande famille Seynoise dont le patronyme semble aujourd'hui disparu.

Avec mes remerciements

AM

R4.

Bonjour,

Je me souviens très bien de nos échanges de messages, début 2006, à propos de votre famille et des patronymes Pourquier et Rovere.

Merci de m'informer de la suite de vos recherches. Il est clair que votre branche de la famille Pourquier a des origines seynoises bien établies. Mais en remontant dans le passé, l'origine de ces Pourquier devait se situer à Six-Fours, puisque La Seyne ne s'est détachée de sa commune mère, Six-Fours, que vers le milieu du XVIIe siècle. Je vous avais d'ailleurs indiqué qu'il existe toujours un quartier (un ancien hameau) et un chemin (que j'emprunte très souvent) portant le nom de Pourquier à l'Est de Six-Fours, en limite de l'actuelle commune de La Seyne.

Je n'ai malheureusement aucun élément nouveau sur le patronyme Pourquier à La Seyne. J'ai questionné de nouveau mon père, et il m'a redonné exactement les mêmes informations sur la famille qu'il a connue (Mme Rose Pourquier) et que je vous avais communiquées précédemment. Mais je ne sais pas quel a pu être le lien entre cette famille que mon père a connue et celle de votre grand-mère maternelle. Peut-être pourriez-vous me communiquer la partie de généalogie (les 2 ou 3 dernières générations, avec le patronyme des descendants qui vivent toujours à La Seyne) que vous avez pu rassembler. Peut-être cela rappellera-t-il quelque souvenir plus précis à mon père.

Si vous aviez un jour l'occasion de venir à La Seyne ou à Six-Fours, il serait intéressant que vous puissiez passer un peu de temps à compulser les archives de l'état-civil pour reconstituer des parties manquantes de votre généalogie. (Je ne peux pas vous promettre de faire de telles recherches moi-même car je ne pense pas en avoir le temps, du moins dans les mois qui viennent).

Concernant la tombe de vos grands parents au cimetière de La Seyne, il est exact que, lors du bombardement de 29 avril 1944, une ou plusieurs bombes ont touché le cimetière de La Seyne et que de nombreuses tombes ont été endommagées ou complètement pulvérisées. Mes parents ont vécu ces évènements puisqu'ils habitaient à peu de distance, et mon père a mentionné ces faits dans un chapitre de son tome II (avec une photo du cimetière), que vous pourrez retrouver à l'adresse : http://jcautran.free.fr/oeuvres/tome2/annees_dramatiques.html#6

Ce drame explique que la tombe de vos arrière grands-parents ait disparu et que leurs restes aient malheureusement se retrouvez dans une fosse commune.

Vous m'indiquez également que votre grand-oncle né à La Seyne est décédé à Toulon le 24 novembre 1943. Il était donc parmi les victimes de l'autre dramatique bombardement, celui qui a touché surtout Toulon le 23 novembre 1943, qui visait en principe les installations portuaires militaires, mais qui fit des centaines de victimes parmi les populations civiles.

Etant décédé à Toulon le nom de votre oncle ne figure pas dans la liste des victimes seynoises que mon père a reproduite dans ses ouvrages. Ces listes ont été en effet intégralement transcrites à partir des actes de décès de l'Etat-civil, et je ne peux pas les modifier. Toutefois, comme il est mentionné que certaines victimes des bombardements de La Seyne étaient originaires des communes voisines, je pourrais rappeler qu'inversement, des Seynois d'origine (tels que votre grand-oncle) ont été tués dans les bombardements de Toulon. Je vais donc essayer de trouver une formule qui permette de rajouter le nom de votre grand-oncle à la liste des victimes de la guerre 39-44. J'essayerai aussi de retrouver son nom sur le Monument au Morts du Cimetière de Lagoubran la prochaine fois que je m'y rendrai.

A bientôt sans doute.

Très cordialement,

Jean-Claude Autran

Q5.

Bonsoir Monsieur Autran

Je vous remercie beaucoup de l'attention que vous avez portée à mon message .

Figurez vous que dans l'un des actes qui m'ont été envoyés par le petit cousin que j'ai retrouvé  figure le nom de Emile Autran - employé - âgé de 28 ans - qui dit être "instruit" du décès de Tropez Léonard Cros le 22 mai 1912. Tropez était le père de Marie Cros, Epouse Pourquier, mon arrière grand mère.

Sans doute s'agissait-il d'un membre de votre famille qui était à l'époque employé de mairie.

Pour le cimetière, j'ai effectivement lu l'article qu'a rédigé votre père et vu la photo. C'est une terrible histoire mais à ce moment là, les "anciens" morts n'étaient sans doute pas les plus à plaindre. Je pense que la maison de mes arrières grands parents aux Mouissèques a disparu dans le bombardement aussi. Ma grand mère me disait quand j'étais petite quelle n'existait plus ....

Je vous remercie pour César Pourquier, mon grand oncle. J'ai appris par ma tante que ma grand mère avait pratiquement élevé ce petit frère et qu'elle avait été très affectée par son décès. A moi, elle n'en avait jamais parlé.... Je suis vraiment très touchée par ce que vous vous proposez de faire.

Avez vous besoin de la copie de son acte de décès ?

Pour la généalogie, je vous adresse le lien Internet vers mon arbre en ligne qui vous permettra d'accéder à mes données sur ma généalogie Pourquier.

http://gw0.geneanet.org/index.php3?b=animalet123

Dernier point que j'ai appris hier soir.

Le frère aîné de ma grand mère, Victor Marius Pourquier se serait embarqué vers 1920 sur le "Marceau" et il ne serait jamais revenu chez lui. Personne ne sait ce qu'il est devenu.

J'ai trouvé sur Internet quelques sites où il est question de ce cuirassé construit aux chantier navals de la Seyne sur Mer. il aurait été désarmé en 1922.

Avez vous des informations sur ce navire ? J'ai un peu fouillé le site de votre père, mais je n'ai rien trouvé. Peut-être n'ai-je pas cherché où il fallait...

Je vous remercie pour tout. Grâce à votre père, à vous et à tous ceux qui m'ont aidée (je n'ai pas l'occasion de me déplacer à la Seyne pour le moment) j'arrive petit à petit à reconstruire des petits morceaux de "mon" histoire.

Bien cordialement

AM

R5.

Bonjour,

En réponse à votre message :

1) Le nom d'Emile Autran ne m'est pas inconnu. Je sais qu'il y a eu au début du XXe siècle à La Seyne un "Emile Autran", membre de l'Union Sportive et également un Autran (dont j'ignorais le prénom), qui fut conseiller municipal sous la municipalité Baptistin Paul (1912-1919), que mon grand-père Simon Autran connaissait et dont il disait qu'il était surnommé "Autran le dévôt". D'après ce que vous me dites ("Emile Autran", employé de mairie), il n'est pas possible que ces deux Autran ne soient en fait qu'une seule et unique personne (?). Mais dans tous les cas, il ne peut y avoir aucune proche parenté avec ma famille car mon grand-père, venu s'établir à La Seyne au début du XXe siècle, avait ses origines à Marseille, et antérieurement à Barjols (Var).

2) Concernant César Pourquier, votre grand-oncle, victime du bombardement de Toulon, j'ai inséré à la suite de la liste des victimes seynoises (rubrique in memoriam), le petit paragraphe suivant :

Ces listes ayant été établies à partir des actes de décès dans le registre de l'état civil de La Seyne, il est probable que plusieurs habitants des communes voisines se trouvant à La Seyne un jour de bombardement, y périrent, mais que leur décès fut déclaré dans leur commune d'origine. Inversement, plusieurs habitants de souche seynoise ont péri dans les bombardements de villes voisines, tels que ceux de Toulon. On nous a ainsi signalé le décès à Toulon, le 24 novembre 1943, rue du Grand Port Marchand, lors d'un bombardement allié, de César Jean Robert POURQUIER, sous-marinier, né à La Seyne le 29 avril 1916 et issu de plusieurs générations de Seynois (Lombart, Imbert, Gaudin, Prat) [Information communiquée par Madame Annie MALLET, petite-nièce de César POURQUIER].

Si vous souhaitez une expression différente de ces phrases, merci de me proposer un texte qui vous conviendrait mieux,

3) Merci par ailleurs pour le lien vers votre arbre en ligne (et un grand bravo pour le remarquable travail de reconstitution que vous avez réalisé). J'ai commencé à l'explorer. J'ai imprimé la page des Pourquier et je la montrerai à mon père. Peut-être certains prénoms de Pourquier seynois lui rappelleront quelque souvenir... Je note que plusieurs patronymes de votre famille se retrouvent aussi dans ma généalogie : Audibert, Guigou, Lombart, Prat, etc. Mais, effectivement, contrairement à ce que je pensais (c'est-à-dire qu'en remontant la généalogie des Pourquier on devait assez rapidement trouver des origines six-fournaises), je constate que tous vos ancêtres Pourquier étaient déjà à La Seyne, même à la fin du XVIIe siècle.

4) Concernant le cuirassé Marceau, j'en avais un peu entendu parler par un internaute, descendant de l'ingénieur Opin qui avait participé à sa construction aux chantiers de La Seyne entre 1882 et 1887. Quelques photos du navire avaient été mises sur le forum de mon site à l'adresse : http://jcautran.free.fr/forum/chantier_navires_2003_2004.html#3. Dans un des ouvrages sur les Chantiers de La Seyne, on mentionne seulement : Cuirassé Marceau, année de construction 1881, longueur 103 mètres, 5832 CV, Construit pour la Marine Nationale Française. Mais je n'ai rien trouvé sur la carrière de ce navire. Ni rien de très précis sur internet, sauf que ce navire soit mentionné « le 31 mars 1915, nous fîmes escale à Navarin en Grèce, appelé maintenant Pyrgos (NDLR Une base de fortune a été installée à Navarin autour du vieux cuirassé Marceau... ». Apparemment il a été désarmé en 1922, mais je ne sais pas à quelle campagne de guerre il a pu participer. Je ne sais pas ce qui a pu se passer pour votre grand-oncle Victor Marius Pourquier en 1920. Il faudrait sans doute essayer de compulser les carnets de navigation du Marceau qui se trouvent sans doute dans les archives de la Marine Nationale, au Fort de Vincennes ou à l'Arsenal de Toulon ?

Voilà pour aujourd'hui. Si je trouve à l'occasion quelque information nouvelle sur l'un des sujets ci-dessous, je ne manquerai pas de vous en informer.

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q6a.

Bonjour Monsieur Autran

Je remercie encore une fois. Ce que vous me proposez pour César Pourquier me convient tout à fait et je suis très touchée . Je vais en informer mon cousin de la Seyne (descendant de Marius Victor) dont j'ai fait la connaissance la semaine dernière grâce à nos recherches communes.

C'est grâce à ses indications et à une mention figurant sur un acte de mariage que nous pensons que son arrière arrière grand père était embarqué sur le "Marceau"

Nous avançons à petit pas tous les deux.

Comme il n'a pas Internet, je vais le tenir au courant de nos échanges.

César Pourquier était fiancé à une receveuse employée à la société des tramways de Toulon quand il est décédé. Qui sait, son nom rappellera peut-être des souvenirs à quelqu'un qui l'aurait connu ...

Pour ce qui est de mon arbre généalogique, j'ai eu la chance de pouvoir trouver une bénévole qui a retrouvé mes arrières grands parents ainsi que plusieurs générations au dessus. Ensuite, j'ai eu une autre chance, celle d'accéder aux tables des BMS de La Seyne mises en ligne par un généalogiste que vous connaissez peut-être et qui est J. Louis Curet.

http://membres.lycos.fr/jlouiscuret/BMS/sicie/83126/tabnai/P1.HTM

nous avons d'ailleurs un ancêtre commun qui est Dominique Aman Pourquier.

Il est tout à fait possible aussi que vos ancêtres et les miens se croisent dans la mesure où les Audibert, Prat, Gaudin, Imbert, Tortel, Lombart (qui venaient d'Italie) semblaient être des familles Seynoises bien établies.

J'ai retrouvé sans cesse les mêmes patronymes en faisant mes recherches.

Pour les frères de ma grand mère, c'est plus compliqué car j'ai dû parfois recourir à de savants détours en écrivant au hasard à  des familles qui portaient le nom des conjointes de mes grand oncles.....et ça a marché en partie.

L'état Civil de la Seyne et les Archives municipales ont été bien mis à contribution car j'ai écrit plus d'une fois et ils m'ont toujours très gentiment répondu.

Il ne faut pas oublier qu'au départ je n'avais rien d'autre que l'acte de décès de ma grand mère et quatre photos (Emile et Marie Pourquier) et des portraits de groupes de soldats qui restent encore bien mystérieux. Mais mes efforts ont été bien récompensés

Comme vous l'aurez compris, je suis à la recherche de tout indice, toute information sur ma branche Seynoise et je vous remercie pour votre aide précieuse. Merci aussi pour le travail de votre père qui est pour moi très précieux

Bien cordialement

AM

Q6b.

Bonsoir Monsieur Autran

J'ai vu sur votre site le texte concernant mon grand oncle César Pourquier et je ne sais comment vous remercier. J'ai lancé une recherche au service des archives de la marine de Toulon pour essayer de retrouver son passé militaire, ainsi que celui de son frère aîné (né en 1892) , Marius Victor, marin de son vivant (Cuirassé "le Marceau" ) et disparu pour sa famille en 1921 sans laisser de trace.

J'ai eu l'immense joie de retrouver les descendants de ce dernier qui demeurent toujours à la Seyne aujourd'hui. J'ai ainsi découvert la photo du frère aîné de ma grand mère. C'est pour moi un trésor inestimable.

Avec un peu de chance, je vais réussir à retrouver quelques bribes du passé militaire des deux frères Seynois.... et marins comme leurs ancêtres.

Je possède aussi deux photos de militaires (identifiées comme le 7ème régiment du génie et le 173ème RI de Bastia, compagnie Hors rang - par des spécialistes des uniformes) retrouvées dans le portefeuille de ma grand-mère qui restent encore pour moi très mystérieuses....d'autres frères peut-être.....

On trouve avec les descendants des Pourquier certains patronymes que je veux bien vous communiquer (au cas où votre père les connaîtrait ) mais je souhaiterais qu'ils ne soient pas publiés sur le forum car je ne sais pas s'ils sont d'accord pour y figurer. Je ne sais pas si c'est possible.

Tirer sur un fil en déroule toujours un autre et j'espère avancer encore dans ma quête du passé.

Merci pour tout

Cordialement

AM

Q6c.

Bonsoir Monsieur Autran

Poursuivant ma quête, j'ai reçu le résumé de la carrière de César Pourquier dans la Marine Nationale.

J'ai découvert qu'en 41, il avait été démobilisé et s'était retiré Route de Tamaris, Campagne Garbello, où est par ailleurs décédé son frère Louis Baptistin en 37. Louis était son tuteur après la mort de ses parents.

J'ai regardé sur votre site si vous faisiez mention de cet endroit, mais je n'ai rien trouvé. Bien sûr, je sais où est la route de Tamaris (entre les Sablettes et les chantiers navals), mais sur le terme "campagne" et le nom de Garbello, je ne sais pas de quoi il s'agit. Avez vous des informations sur cet endroit qui m'est bien mystérieux ?

Merci à vous et bonnes fêtes de fin d'année à vous et votre famille

AM

R6.

Bonjour,

Merci de m'avoir fait part de l'avancement de vos recherches.

La "route de Tamaris" est une la dénomination ancienne (mais encore parfois utilisée par les anciens) de la voie qui relie l'actuel rond-point Kennedy au quartier de Tamaris (corniche Michel Pacha) en passant du côté sud de le colline du fort Napoléon. Cette route a été maintenant découpée en 3 tronçons successifs portant les noms d'avenue Pierre Fraysse, d'avenue du Général Carmille et d'avenue Auguste Plane. L'adresse que vous avez trouvée pour votre grand oncle se situait sur l'un de ces tronçons, mais je ne sais pas lequel. Ce pouvait être près du centre-ville, ou au contraire près de l'extrémité de la route, côté Tamaris ? Ce terme de "campagne" était autrefois très classique dans la région. Avant l'instauration d'une numérotation des chemins ruraux, une adresse était souvent constituée du nom du quartier, et du nom d'une propriété, dont l'activité généralement agricole, et qui correspondait au nom d'une famille bien établie en ce lieu. Dans ma famille, on disait par exemple : "campagne Martinenq, quartier Touffany", "campagne Marro, route de Tamaris", "campagne Audibert, quartier Mar-Vivo", etc. Les gens, et le facteur, s'y retrouvaient très bien ainsi, à l'époque où l'habitat rural était très dispersé. Localement, on utilisait aussi le mot "bastide". Ainsi, lorsque George Stand vient passer quelques mois à Tamaris, elle loua la "bastide Trucy".

Malheureusement, le nom de Garbello ne me dit rien. Cela a dû être une famille importante riveraine de la route de Tamaris, mais je ne sais pas où, et le patronyme Garbello n'existe apparemment plus à La Seyne. Il est probable qu'en feuilletant les documents des recensements de la ville des années 30 on retrouve cette adresse, avec la composition de la famille qui y demeurait - bien qu'en l'absence de numérotation de la voie, on risque de ne pas pouvoir localiser la "campagne Garbello" avec précision. Je ne vous promets rien question délai, mais à l'occasion d'un passage aux archives, je peux essayer de regarder (si on m'autorise l'accès à ces documents qui sont en principe confidentiels puisqu'ils ont moins de 100 ans).

Concernant votre message précédent, je suis heureux que vos recherchent progressent et que vous ayez trouvé des descendants Pourquier à La Seyne. J'ai montré à mon père le tableau des Pourquier qui ressort de votre arbre Geneanet. Mais cela ne lui a pas rappelé de lien possible avec la famille Pourquier qu'il a connue. Le seul nom qui lui ait dit quelque chose est celui de Lucie Mouton, veuve de Marius Victor Pourquier. Il a assez bien connu cette Lucie Mouton (...).

Si vous voulez bien me communiquer les autres patronymes seynois de votre famille, je les communiquerai à mon père. Peut-être cela lui rappellera-t-il quelque chose ? (...)

Dernier point, vous parlez de deux photos de militaires. Je pense que l'une d'elles est celle qui se trouve à l'adresse : http://francegenweb.org/~photogenweb/base/details.php?image_id=404 que j'ai retrouvée en faisant quelques recherches de mon côté.

A bientôt ans doute. Très cordialement.

Très bonnes fêtes de fin d'année !

Jean-Claude Autran

Q7a.

Bonsoir Monsieur Autran

(...) Merci pour toutes les précisions que vous m'apportez sur les dénominations des quartiers et rues de la Seyne. Je connaissais bien la corniche de Tamaris pour l'avoir faite un certain nombre de fois à pieds quand je revenais des Sablettes (je rentrais à Toulon en prenant le bateau soit aux Sablettes, soit à La Seyne, soit je rentrais carrément à pied !) quand j'étais adolescente en vacances chez ma tante. Ma grand mère m'avait dit une fois que son père (Charpentier aux chantiers navals mais aussi patron pêcheur) possédait un parc à moules près de la corniche ....comme elle se plaisait aussi à raconter que ses frères allaient jusqu'aux  "deux frères"  à la nage depuis les Sablettes ! Ces rochers m'ont toujours fascinée.

Pour le Garbello, figurez - vous que je viens de trouver la réponse.... sur l'un de vos forums :

La garbello est le nom provençal de la nasse.

Voilà un mystère éclairci, mais j'ai peu de chance de retrouver la maison de Louis. Je vous remercie à l'avance de m'aider si vous le pouvez, mais rassurez vous, je ne suis pas pressée. Je viens tout juste de retrouver des ancêtres dont j'ignorais tout il y a si peu de temps, que je peux bien attendre !

(...) Voilà  ce que je peux vous dire (...).

Pour les photographies, vous avez effectivement trouvé celle des soldats du 7ème génie. j'ai trouvé dans les affaires de ma grand mère une autre photo prise semble t'il à  Bastia l 6 11 1922 (173ème RI compagnie Hors rang)....pour l'identification, je ne suis pas très avancée non plus. Il y a un autre frère né en 1901 et mort à Lyon en 1979 qui garde encore sa part de mystère .... peut-être est ce lui le soldat sur l'une des photographies.

Voilà !

Bien cordialement

AM

Q7b.

Bonsoir Monsieur Autran

Je m' aperçois que dans les patronymes, j'ai oublié de citer ma tante LA qui vit toujours à Toulon. Elle m'a dit que de son côté elle connaissait plusieurs personnes s' appelant Autran, sans pouvoir toutefois me donner de prénom ...

Cordialement

R7.

Bonsoir,

(...) J'ai bien reçu vos différents messages.

- Concernant garbello, vous avez tout à fait raison. Votre ancêtre ayant été patron pêcheur, il est tout à fait plausible qu'il ait dénommé sa propriété ainsi. Mais, s'agissant d'un substantif (et garbello est un substantif féminin en provençal), il me semble que la dénomination aurait peut-être dû être "campagne La Garbello". Car lorsqu'il n'y a pas d'article, c'est qu'il s'agit en principe d'un nom propre. Mais d'autre part, j'avais certainement tort d'imaginer l'existence d'un propriétaire portant ce nom de Garbello, bien que cela sonne bien comme un patronyme italien (et il y en a beaucoup à La Seyne). J'ai vérifié, en effet, que ce patronyme n'existait nulle part en France. Donc c'est bien de la nasse, ou la corbeille à poissons, qu'il s'agit (on dit aussi localement le canestèu pour désigner cet objet).

- (...) Enfin, il est bien possible que votre tante de Toulon ait connu plusieurs Autran. Peut-être a-t-il pu s'agir de mon père Marius ou de mon grand-père Simon, qui étaient des personnes assez connues. Mais peut-être s'agit-il d'autres Autran, car ce patronyme est très commun dans le Var. Il y en a plusieurs centaines et rares sont les villes ou les villages du Var qui n'en comptent pas quelques-uns...

Voilà ce que je peux répondre pour l'instant.

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q8. (8 novembre 2007)

Cher Monsieur AUTRAN,

Comme ce nom m'est familier !

Je suis originaire de Sollies-Pont où nous avons eu André AUTRAN comme maire. C'était un ami proche de mon père, ce fut d'ailleurs le seul à assister aux mariage de mes parents à Mérignac (Bordeaux) en 1946. Mireille AUTRAN, toujours à Sollies est une de mes amies d'enfance.

Voilà en fait pourquoi j'ai été attirée par votre site. Mais ma question ne concerne pas cette famille là.

J'ai lu que la personne qui signe Q6C possèdent des photos de 2 personnes du 173ème RI. Je suis à la recherche de photos ou de renseignements concernant Frédéric CASTEL, soldat de 1ère classe du 173ème RI classe 1910. C'était un cousin de mon grand père, dont la maman était la tante de Frédéric. Tout ce que je sais c'est qu'il a été "tué à l'ennemi" dans un petit village des Vosges.

Peut être y a t-il une indication au dos des photos que possède ce Monsieur. Me serait-il possible de les voir ?

Je vous autorise bien évidemment à lui communiquer mon adresse EMail, mais ne désire pas qu'elle soit publiée sur votre site.

Merci pour le travail de mémoire que vous effectuez.

J'ose espérer que vous répondrez à ce message, et d'avance, vous en suis reconnaissante,

FR

R8.

Bonjour,

Merci pour votre message et pour me rappeler les noms de quelques familles AUTRAN du Var (où les AUTRAN sont nombreux).

J'ai eu en effet plusieurs échanges dans le courant de l'année 2006 avec une personne nommée (...) (AM) à propos de divers patronymes varois. Elle me disait notamment qu'elle possédait deux photos de militaires, (identifiées comme le 7ème régiment du génie et le 173ème RI de Bastia). L'une de ces photos a été mise sur la page internet suivante : http://francegenweb.org/~photogenweb/base/details.php?image_id=404

Je ne suis pas certain que les noms des soldats soient donnés au verso de ces photos car AM ne semblait pas savoir où se situait son grand-père. Mais vous pouvez toujours essayer de lui poser la question directement, de ma part (peut-être que, depuis nos derniers échanges, a-t-elle pu obtenir davantage d'informations sur ces photos du 173e RI. Voici son adresse e-mail : (...).

Je vous souhaite bonne chance pour progresser dans vos recherches. Il est bien entendu que votre adresse e-mail ne figurera pas sur le forum de mon site (je ne divulgue jamais les adresses, adresses e-mail, ou n° de téléphone, sauf lorsqu'il s'agit de d'anciens élèves ou d'anciens camarades de classe, qui m'ont autorisé à le faire).

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q9. (1er mars 2008)

Bonsoir Monsieur Autran

Je me permets de vous contacter à nouveau car mes recherches progressent à grand pas sur ma famille de La Seyne les Pourquier avec l'aide de mon cousin.

Aujourd'hui, en lisant à nouveau quelques pages sur le site de votre père, je découvre la photo ci-dessous :

École Ernest Renan (année 1952-1953)

Elèves du CM1 (Classe de Mme Marie-Louise MERLE), année scolaire 1952-1953
Debout sur le banc : Michel RAVOUX, Jean-Louis GIRAUDO, Raymond GATUMEL, Robert REGIS, VINCENT, Michel MORERE, Denis BAGLIOTTO, Jean-Claude AUTRAN, Rémy PERGOUX, Jean GAYRAUD
Debout : Alain OLIVA, ?, Guy ORSINI, ?, ?, Robert VALENTIN, MOYEUNIN, VENTRE, GIBELIN, Alain RENZONI, Jean LAURENTI, François BOSCHETTI, Paul JEAN
Assis : Florent GARCIA, Louis BELLONE, Théodore PÉPINO, MARINO, Jean ROY, ?, Michel LECLERE, Jacques BELLONE, Gérard BLACAS
Il y a encore quatre ? sur cette photo, et il manque aussi quelques prénoms. Qui peut nous aider à identifier les derniers élèves que nous n'avons pas reconnus ?

Je ne  pourrai pas vous aider pour retrouver les noms qui manquent, en revanche, je puis vous dire aujourd'hui que GB, âgé de 65 ans aujourd'hui est de ma famille.

Il est en effet le petit fils du frère de mon arrière grand père Emile Pourquier.

Du coup, la photo  prend pour moi une tout autre dimension....

En effet, mon cousin a retrouvé deux tombes dans le cimetière de la Seyne appartenant à ma famille. La dépouille la plus ancienne est celle de Joséphine Prat née Gaudin (1811-1890).

Dans la deuxième tombe, on trouve le grand-père de Gérard Blacas.

Votre papa a également eu comme élève Jacqueline Pourquier, aujourd'hui décédée. Elle était la fille de Louis, le frère de la grand mère .

De nouveaux noms apparaissent : Artufel, Roubert, Robert, Marquand, Bonet, Bocassini, Audibert , Blacas ... les fils se déroulent doucement et l'histoire se reconstruit.

Cette page "mon siècle avait 10 ans" a retenu aussi mon attention car tous les noms cités apparaissent dans ma généalogie...

"Les luttes à caractère économique furent menées obstinément par le petit peuple des campagnes et des rivages désireux d'améliorer ses conditions de vie misérables et mieux encore par une bourgeoisie des affaires composée d'artisans, de commerçants, de propriétaires terriens, de capitaines au long cours.Ces luttes portèrent de grands préjudices au Clergé qui fut souvent obligé, pour survivre, de céder à des familles de haute lignée, d'immenses domaines dont l'exploitation fut bénéfique pour toute la population, ce qui ne signifie pas que les manants furent libérés de toutes contraintes.À l'influence du Clergé se substitua celle des Tortel, des Beaussier, des Lombard, des Daniel, des Vidal et bien d'autres dont les noms sont restés attachés au quartier de leur implantation."

Par ailleurs, j'ai l'intention de demander la communication des dossier médicaux d'Emile Pourquier et Marie Cros, mes arrières grands parents, décédés à l'hôpital régional pour connaître la cause de leur décès. Leurs dépouilles ont disparu lors du bombardement du cimetière.

J'ai lu sur une autre page l'information suivante :

"Ce n'est pas le cas pour celui de La Seyne qu'on a toujours appelé Hôpital Régional parce que, depuis son origine en 1905, il a accueilli des malades de l'Ouest varois. Il ne serait pas exclu toutefois qu'il portât le nom d'un scientifique de haut niveau ou même d'un médecin seynois réputé pour son dévouement illimité à la population dans la période dramatique des épidémies des siècles passés."

Est ce que vous pourriez me dire  quelle est l'adresse de cet hôpital aujourd'hui afin que je puisse faire ma demande ?

Sans le savoir, votre père m'aura beaucoup apporté, et vous aussi.

Merci et bien cordialement

AM

R9.

Bonjour,

Merci pour votre message et veuillez m'excuser pour le retard à y répondre.

Je suis heureux que vos recherches progressent, comme en témoignent le nombre de détails et de précisions que vous me communiquez.

Tout d'abord, je suis très intéressé par ce que vous me dîtes de GB. En effet, J'ai très bien connu GB et sa famille dans les années 1949-1950 car nous habitions la même maison, à La Seyne, route de la Colle d'Artaud, actuellement route des Gendarmes d'Ouvéa. Nos deux familles étaient locataires d'une maison appartenant à M. Elie Zunino, eux occupaient le rez-de-chaussée, nous, le premier étage. Nous avions donc beaucoup joué ensemble car j'étais fils unique et que Gérard était mon voisin immédiat et le seul autre garçon des environs. Gérard avait un an de plus que moi et il était donc déjà scolarisé à l'école Ernest Renan, un an avant moi. Malgré que c'était dans la période de mes 5-6 ans, j'ai énormément de souvenirs de cette époque, de nos jeux dans le jardin, de toute la famille Blacas. GB avait une sœur, AB, plus âgée que lui de 2-3 ans environ (...). Elle mourut peu d'années après, avant l'âge de 15 ans je crois. J'ai quelque part une photo de son portrait, prise sur la tombe de sa famille, que j'avais découverte par hasard au cimetière de La Seyne. D'autres membres de sa famille y sont inhumés. Si vous voulez, je peux essayer de retrouver cette tombe et de vous communiquer tous les noms et les dates qui y sont gravés.

En 1950, ma famille avait déménagé très près de l'école Ernest Renan et j'y ai donc été scolarisé au CP. GB était sans doute au CE1 à ce moment-là. Par la suite, il avait dû redoubler une classe et j'ai donc été avec lui l'année du CM1 (1952-53). D'où la photo de classe que vous avez retrouvée. Mais le nom de GB est mentionné plusieurs fois dans le forum de mon site, dans la section de ma "Scolarité à La Seyne". Il figure notamment sur d'autres photos que m'a transmises l'un de mes camarades de cette école, Serge Malcor, qui a aussi très bien connu GB. Voir à : http://jcautran.free.fr/forum/anciens_camarades_jca.html#P12 et à http://jcautran.free.fr/forum/anciens_camarades_jca.html#P11.

Après 1953, j'ai changé d'école et je ne me souviens plus très bien d'avoir revu GB. Mon ami Serge Malcor a dû garder plus longtemps le contact et il m'avait dit, il y a quelques années que Gérard n'était plus en France métropolitaine, mais peut-être à la Réunion (?).

Donc, en 1949-50, j'ai bien connu toute la famille Blacas. Les parents et les grands parents. Effectivement, il avait une grand-mère qui était veuve et qui habitait avec eux. Il me semble que le nom de Pourquier était prononcé mais je ne sais plus les parentés exactes. Il venait aussi à la maison le grand-père Clément Blacas, que mon père connaissait depuis la Résistance et la politique. Le nom de Clément Blacas se trouve d'ailleurs sur une liste de candidats au conseil municipal de 1945. Voir à : http://jcautran.free.fr/histoire_locale/elections/municipales/1945/municipales_1945.html#1. Voilà l'essentiel de ce dont je me souviens.

Concernant l'autre tombe, Prat-Gaudin, je ne la connais pas. Il y a eu beaucoup de Prat à La Seyne. Un grand-oncle de mon père, Victor Hermitte, avait épousé une Joséphine Prat, mais je ne pense pas qu'il y ait de lien avec le patronyme Gaudin.

Enfin, pour ce qui est de l'hôpital de La Seyne (Hôpital Régional), il porte actuellement le nom d'Hôpital George Sand. Je ne le connais que trop bien, ma mère et plusieurs autres membres de ma famille y étant décédés.

Son adresse exacte est : (...).

Voilà pour mes commentaires sur votre message.

Si vous souhaitez que je fasse des recherches plus détaillées sur d'utres tombes du cimetière de La Seyne, n'hésitez pas à me le demander.

Cordialement. Encore mes excuses pour le retard.

Jean-Claude Autran

Q10.

Bonjour Monsieur Autran

Je vous remercie pour votre message qui m' est parvenu à mon retour de stage. Je suis moi-même tout à fait débordée, et je comprends que vous le soyiez aussi.

Je vous remercie aussi de tout ce que vous m'apprenez sur les Blacas.

Je vais écrire à l' hôpital pour avoir communication des dossiers de mes arrières grands parents. La partie n'est pas gagnée, mais je connais le droit et je suis persévérante.

Mes arrières grand parents, je crois vous l'avoir dit sont décédés dans cet hôpital et leurs dépouilles ont disparu dans le bombardement du cimetière.

En revanche, ce qui est surprenant, c'est que Joséphine Prat soit toujours là....

Je me permets de vous envoyer deux notes que j' ai faites sur les deux tombes retrouvées à La Seyne par mon petit cousin ainsi qu' une note sur mes liens généalogiques avec Gérard Blacas.

Tout le mérite de la découverte revient à mon cousin. Il a même réussi à obtenir la photocopie des certificats de propriété.

Il a aussi contacté GB qui ne connaissait pas ses liens avec notre famille et qui lui a expliqué que son grand père (Marius Pourquier - le frère de mon arrière grand père Emile Pourquier) était mort dans de grandes souffrances après avoir été écrasé par son cheval). La veuve que vous citez serait donc Louise Giriou épouse Pourquier.

De notre côté, nous avons des informations sur le tombeau des Blacas.

je sais maintenant grâce à vous qui est AB dont le corps repose aussi dans le tombeau. En revanche je ne sais pas qui sont les autres (j'ai souligné en Jaune ceux que j'ai réussi à relier). Accepteriez vous de m'envoyer un scan de la photographie que vous possédez ?

Clément serait donc le père de Victor Blacas.

Je vous remercie beaucoup pour l' offre que vous me faites de m'aider à retrouver des tombes de ma famille.

Si vous avez un jour l'occasion d'aller à Lagoubran (mais je crois que ce n' est pas à La Seyne mais à Toulon), il semble que le petit frère de ma grand mère (César Jean Robert Pourquier) mort dans le bombardement de Toulon y soit inhumé et que son nom figure sur le monument aux morts.

En revanche, je ne puis donner l'emplacement de la tombe... peut-être y a t'il une photographie.

Pour votre information GB habite à Six Fours et mon cousin l'a appelé au téléphone récemment. (...).

Vous voyez, il n'est pas parti très loin... le monde est bien petit et Internet fait des miracles.

Si vous pensez contacter GB, vous pouvez lui parler de moi. Je pense qu'AC mon cousin a dû lui expliquer nos liens.

Voilà tout ce que je peux vous dire de mon côté.

Je vais retourner sur le site Internet de votre père pour y lire toutes les informations que vous me donnez.

Je lis des passages de temps en temps.... ma tante qui habite Toulon (elle s'appelle LA, c'est la fille de Marie-Louise Pourquier) m'a dit que de son côté, elle essaierait de se procurer son livre car elle n'a pas Internet.

Bien cordialement

AM

R10.

Bonjour,

Pardon d'avoir une fois de plus tardé à vous répondre.

Un grand merci pour toutes les informations que vous m'avez adressées sur la famille Blacas. Au fur et à mesure, un certain nombre de mes souvenirs d'enfant reviennent. Je me souviens bien maintenant que la grand-mère s'appelait Madame Pourquier. Je l'ai bien connue pendant 2 ans environ. Mais il est vrai qu'elle était décédée très peu après que nous ayons déménagé au printemps 1950. Et 3 ans plus tard, AB disparaissait à l'âge de 13 ans. Je me souviens que mon père était allé aux obsèques (j'avais 9 ans) et avait parlé de cercueil. Et il avait dit aussi : cette famille a été durement touchée, ils étaient cinq et, 3 ans après, il ne sont plus que trois ! Il me revient aussi que la marraine de ma grand-mère paternelle (Victorine Aubert, épouse Autran, née en 1890) appartenait à cette famille Pourquier-Blacas. Il me semble que mon père m'avait plutôt parlé de Louise Pourquier ? Elle avait seulement 10 ans à la naissance de ma grand-mère, mais cela n'est pas impossible. Malheureusement, mon père n'est plus là pour le confirmer.

Ci-joint, vous trouverez la photo que j'avais prise d'AB sur sa tombe. Je sais que ce n'est pas très légal de photographier des tombes quand on n'est pas de la famille, mais c'était tellement inattendu pour moi de revoir ce visage que j'avais si bien connu avant 1950, que j'ai tenu à en garder le souvenir.

Je vous suis très reconnaissant de m'avoir communiqué les coordonnées de GB. J'ignorais totalement qu'il était si près de chez moi. Ces derniers jours, j'ai essayé plusieurs fois de téléphoner mais il n'y avait personne. Peut-être est-il absent ces temps-ci. Je finirai bien par pouvoir lui parler et j'espère pouvoir lui dire un petit bonjour, peut-être avec d'autres camarades qui étions dans la même classe et qui ignorent aussi que GB habite Six-Fours.

Concernant les autres patronymes qui figurent sur les concessions du cimetière, je suis frappé par trois choses :

- Il a eu aussi des Prat dans ma famille. Un frère de mon arrière grand-mère (Victor Hermitte, boucher à La Seyne) avait épousé une Joséphine Prat, qui appartenait à une famille Prat, une famille riche, qui possédait la plus grande entreprise seynoise de transports à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle (transports employant des chevaux, avant que n'apparaissent les premiers camions). Or, cette Joséphine Prat (1859-1947) avait pour prénoms Joséphine Andrette Désirée. Curieusement, ce second prénom peu commun d'Andrette se retrouve chez votre Françoise Prat (1849-1916) : Françoise Andrette Henriette. Peut-être une proche parenté existait-elle entre les deux familles. Recherche à poursuivre.

- Le patronyme Marquand m'est bien connu. MM (1870-1958) était le directeur de la compagnie des bateaux à vapeur La Seyne - Toulon. Il habitait le quartier Mar-Vivo près de chez mon grand-père Simon Autran. Au milieu des années 50, nous l'apercevions souvent au volant de sa vieille voiture (il conduisait encore à 85 ans, et cela n'était pas commun).

- La fille de MM, Marie-Rose, avait épousé AB. Ils avaient deux fils, R et M. Ce dernier était, dans les années 45-55 un ami intime d'Henri Tisot, natif de La Seyne, ancien élève de mon père, et devenu le comédien et l'acteur de théâtre que vous devez connaître, et avec qui je suis souvent en relation. Henri Tisot a évoqué en détail toute cette famille dans son premier ouvrage "Le copain et la cabanon", paru en 1967. (http://jcautran.free.fr/img/histoire_locale/copain_cabanon.jpg). Henri Tisot passait tous ses étés au cabanon de son grand-père au quartier La Maurelle à La Seyne et il était voisin de la famille B. Le "copain", c'était MB. Malheureusement, ce dernier fut blessé en 1963 (et il mourut peu après) dans un banal accident de mobylette dans ce dangereux virage de La Maurelle. Henri (qui était alors devenu comédien à Paris) en fut beaucoup affecté et écrivit ce premier livre en souvenir de Maurice. [Il se trouve que ma grand-mère Victorine Aubert, dont j'ai parlé ci-dessus, fut aussi grièvement blessée en octobre 1942 (elle mourut 2 jours plus tard) exactement au même endroit de ce virage de La Maurelle, devant le cabanon des Tisot].

Voilà pour ces quelques commentaires. Si d'autres points me reviennent, je ne manquerai pas de vous les communiquer. Je vous tiendrai également au courant de mes contacts avec GB. J'essayerai aussi d'aller voir au cimetière de Lagoubran si je peux retrouver la tombe de César Jean Robert Pourquier.

Bien cordialement,

Jean-Claude Autran

Q11.

Bonsoir

Je vous remercie pour ces souvenirs que vous me faites partager.

Merci aussi pour la photo de cette jeune fille. GB et elle sont les cousins de ma mère et de ma tante.

La grand mère Pourquier que vous connaissiez était sans aucun doute Louise Pourquier, décédée en 1950 d'après mes renseignements.

Louise Pourquier était l'épouse de Marius Pourquier, celui-là même qui était mort écrasé par sa charrette (après six mois d'agonie). Marius était le frère de mon arrière grand-père Emile Pourquier.

Louise Pourquier est née en 1880... son âge et son prénom semblent correspondre à ceux de la marraine de votre grand mère. pensez vous que cela puisse être la même personne ? En ce cas, il devait exister des liens étroits entre les deux familles.

Il y a un lien entre entre les personnes qui sont dans le caveau des Blacas et la famille de ma grand mère.

Je vais essayer de retrouver les fils de l'histoire. Mais pour l'instant, mon petit cousin m'a informée que les archives étaient en travaux.

Il me manque des liens, mais après tout ce que nous avons réussi à reconstruire mon cousin et moi (A est l'arrière petit fils du frère aîné de ma grand mère, Victor Pourquier), chacun de notre côté (nous ignorions nos existences respectives il y a encore deux ans !) puis ensemble, je pense que nous allons arriver à quelque chose.

Tout ce que vous m'avez appris de votre côté et tout ce que j'ai trouvé sur le site de votre père  nous ont également aidé à retrouver des traces de notre passé commun.

J'essaierai de retrouver la trace des Prat du côté des collatéraux. Le dernier qui figure sur l'arbre familial est Blaise Prat et il est né en 1694 ! j'ai retrouvé huit enfants de son fils Pierre....c'est par les Prat que nous sommes liés aux Gaudin et aux Daniel.

J'ai retrouvé la trace de ces familles grâce aux travaux de JLC auquel je suis lointainement apparentée. Vous devez sans doute le connaître. Il se trouve d'ailleurs que la fille de l'amie de ma tante a épousé VC.

Toutefois, la naissance de Joséphine Prat dont vous me parlez est trop récente pour figurer sur les bases de JLC. Il me faut attendre la mise en ligne des archives numérisées de La Seyne.

Je connais bien sûr Henri Tisot. Je crois me souvenir que ses parents tenaient une pâtisserie à La Seyne. Quand j'étais petite, ma grand-mère m'avait emmenée acheter des gâteaux chez eux et je crois me souvenir de son père à qui il ressemblait beaucoup... mais j'étais si jeune que ma mémoire peut me tromper.

Ma grand mère les connaissait sans aucun doute, mais ne m'a rien raconté de plus... Ma grand mère avait une grande admiration pour Henri Tisot, cela, je m'en souviens bien.

Je connais quelques quartiers de la Seyne (Fabrégas (la bouillabaise de "chez Daniel"), Mar Vivo, la corniche de Tamaris - je revenais à pied des Sablettes à Toulon par là quand j'étais adolescente - La villa Michel Pacha), mais je ne sais pas où est le quartier de la Maurelle. Mon cousin habite  avenue Salvador Allende et je crois que cela se situe dans ce quartier.

J'ai lu le récit de la mort accidentelle de votre grand mère. C'est une bien triste histoire.

Mon grand père paternel est décédé de la même façon, ce qui a plongé la famille de mon père en pleine tragédie, d'autant plus que le jeune frère de mon père est mort en même temps, victime du Stalinon (médicament qui fait une centaine de victimes en 1954). Chaque famille a sa part de malheurs.

En revanche, j'ai essayé le lien que vous m'avez donné  avec le récit d'Henri Tisot, mais la page est introuvable.

J'espère que de votre côté, vous avez réussi à reprendre contact avec GB et à échanger des souvenirs de votre passé. Je pense qu'il sera surpris de savoir  que c'est une très lointaine cousine Rouennaise dont il ignore tout qui vous aura permis de vous retrouver.

Bien cordialement

AM

R11.

Bonsoir,

J'ai pu enfin parler avec GB. Il se souvenait très bien de moi. Nous avons commencé à évoquer un certain nombre de souvenirs d'enfance (1950 !). Nous nous sommes résumé nos parcours respectifs, les familles que nous avons créées, nos retours au pays d'origine... Nous nous reverrons dès que possible, avant l'été sans doute. (Car GB habite une grande partie de l'année dans l'Ardèche et ne vient que pour quelques courts séjours à La Seyne). Nous avons été très heureux de nous retrouver - grâce à vous - et à internet qui a permis tous ces échanges.

En réponse à votre précédent message, voici ce que je peux ajouter :

La grand mère Pourquier que vous connaissiez était sans aucun doute Louise Pourquier, décédée en 1950 d'après mes renseignements.

Louise Pourquier était l'épouse de Marius Pourquier, celui-là même qui était mort écrasé par sa charrette (après six mois d'agonie). Marius était le frère de mon arrière grand-père Emile Pourquier.

Louise Pourquier est née en 1880... son âge et son prénom semblent correspondre à ceux de la marraine de votre grand mère. pensez vous que cela puisse être la même personne ? En ce cas, il devait exister des liens étroits entre les deux familles.

La marraine de ma grand-mère Victorine appartenait bien à cette famille Pourquier. Il me semble que mon père parlait de Louise Pourquier ? Ou alors il s'agissait de la mère de cette dernière ? Mais il s'agissait bien de cette famille Pourquier-Blacas, avec qui nous avions été voisins entre 1948 et 1950. Des liens devaient certainement exister entre les deux familles, mais je n'en connais pas l'origine. J'ai noté aussi, d'après ce que GB m'a raconté, qu'ils étaient parents avec la famille Sénès, qui habitait route de Janas. Or, précisément, mon père était un ami d'enfance, une amitié qui ne s'est jamais défaite, d'Eugène Sénès (1910-1998) et de son épouse Marie-Thérèse (1911-2006). Peut-être est-ce par les Sénès que le lien entre les familles Aubert et Pourquier existait-il ??

J'essaierai de retrouver la trace des Prat du côté des collatéraux. Le dernier qui figure sur l'arbre familial est Blaise Prat et il est né en 1694 ! j'ai retrouvé huit enfants de son fils Pierre....c'est par les Prat que nous sommes liés aux Gaudin et aux Daniel.

J'ai retrouvé la trace de ces familles grâce aux travaux de JLC auquel je suis lointainement apparentée. Vous devez sans doute le connaître. Il se trouve d'ailleurs que la fille de l'amie de ma tante a épousé VC.

Toutefois, la naissance de Joséphine Prat dont vous me parlez est trop récente pour figurer sur les bases de J.L Curet. Il me faut attendre la mise en ligne des archives numérisées de La Seyne.

Il y a eu beaucoup de Prat à La Seyne. Ce sera assez compliqué de reconstituer les liens entre leurs différentes branches. Je connais les travaux de JLC (on s'est quelquefois parlé au téléphone) et il m'envoie régulièrement les mises à jour de son arbre généalogique. Et nous sommes un peu de la même famille par mon arrière grand-mère Victoire Mabily, dont deux des cousines avaient épousé deux frères Curet (voir mes parents Curet sur Geneanet) :

http://gw.geneanet.org/index.php3?b=jcautran&lang=fr;pz=jean+claude+lucien;nz=autran;ocz=0;m=N;v=CURET;t=A

Et le monde est petit puisque j'avais habité avec mes parents au quartier Tortel entre 1944 et 1948 (avant d'être voisins des Blacas) chez Alexis Curet (un oncle de JLC et aussi de VC). J'ai un lointain souvenir de VC (de deux ans plus âgé que moi) quand il venait avec son père Jules chez l'oncle Alexis... Mais je ne l'ai jamais revu.

Je connais bien sûr Henri Tisot. Je crois me souvenir que ses parents tenaient une pâtisserie à La Seyne. Quand j'étais petite, ma grand-mère m'avait emmenée acheter des gâteaux chez eux et je crois me souvenir de son père à qui il ressemblait beaucoup.... mais j'étais si jeune que ma mémoire peut me tromper.

Ma grand mère les connaissait sans aucun doute, mais ne m'a rien raconté de plus .... Ma grand mère avait une grande admiration pour Henri Tisot, cela, je m'en souviens bien.

Les parents d'Henri Tisot ont tenu une pâtisserie pendant plusieurs dizaines d'années au bas du marché de La Seyne (à la suite d'une épicerie que tenait Marguerite Marro, la grand-mère d'Henri). Ils l'ont vendue vers 1975 pour rejoindre Henri à Paris. Le père d'Henri (Félix) s'est alors surtout consacré à la peinture et il a peint et vendu beaucoup de toiles à Paris. Mais il est mort peu après, en 1979, à seulement 65 ans. La mère d'Henri a vécu beaucoup plus longtemps, jusqu'en juillet 2006.

En revanche, j'ai essayé le lien que vous m'avez donné avec le récit d'Henri Tisot, mais la page est introuvable.

Le lien (http://jcautran.free.fr/img/histoire_locale/copain_cabanon.jpg) ne mène qu'à l'image de la page de couverture du livre d'Henri Tisot : Le copain et le cabanon (je ne pouvais pas mettre le texte de son livre sur mon site internet).

Je connais quelques quartiers de la Seyne (Fabrégas (la bouillabaise de "chez Daniel"), Mar Vivo, la corniche de Tamaris - je revenais à pied des Sablettes à Toulon par là quand j'étais adolescente - La villa Michel Pacha ), mais je ne sais pas où est le quartier de la Maurelle. Mon cousin habite avenue Salvador Allende et je crois que cela se situe dans ce quartier.

Le quartier de La Maurelle se situe bien sur la route qui mène de La Seyne à Mar-Vivo (avenue Salvador Allende). Mais par rapport à il y a une vingtaine d'années, on ne reconnaît plus rien : une colline couverte de lotissements, trois nouvelles écoles, un Intermarché, une maison de retraite, tout cela à côté de l'emplacement de l'ancien cabanon du grand-père d'Henri Tisot...

Bien cordialement

Jean-Claude Autran

Q12.

Bonjour Monsieur Autran

Je réponds avec beaucoup de retard comme d'habitude à votre dernier message. J' espère que depuis vous avez réussi à voir Gérard Blacas pour de bon !

En ce qui concerne VC, je peux vous dire qu'il a épousé PC, qui était la fille de l'amie de ma tante Lucienne Amiel, Yvette.

Je sais que ma tante déjeune souvent avec les Curet. Si vous voulez, je peux demander à ma tante où ils habitent en lui expliquant que vous étiez voisins.

En ce qui me concerne (...) découvrir que les archives de la Seyne sont enfin en ligne. J'ai donc réussi à retrouver les traces des occupants des deux tombes qui se trouvent dans le cimetière de la Seyne.

Je vous remercie beaucoup de m'avoir confié vos souvenirs qui m'ont permis par recoupements de trouver des liens entre eux.

Je n'arrive pour l'instant pas à affirmer avec certitude que RM née Prat est bien l'épouse de MM (qui ne semble pas né à la Seyne) et la mère de MRB.

C'est fort probable, mais tant que je n'en ai pas la certitude, je ne fais pas de conclusion.

J'ai demandé à la mairie de m'envoyer l'acte de décès de MM, j'y trouverai sans doute une mention du mariage en marge, ou du moins je l'espère car c'est le chaînon manquant.

Pour le reste, vous m'avez dit que MRB avait épousé AB.

Les Robert et les Roubert sont encore des mystères. Il faut que je cherche encore.

 

J'ai trouvé l'acte de naissance de Joséphine Prat, épouse de Victor Hermitte... Hélas, pour l'instant, il n'y a pas de lien avec ma famille Prat.

En revanche, j'ai retrouvé les Prat qui occupent le tombeau sur les registres.

Rose Marquand est la fille d'Honoré Prat, ancien propriétaire de la concession et chevalier de la légion d'honneur (ça je ne sais pas pourquoi...)

Bien cordialement

AM



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