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Elections législatives des 10 et 17 juin 2012

(7e circonscription du Var)

Autres élections législatives : 1945 (C1), 1946, 1946 (C2), 1951, 1956, 1958, 1962, 1967, 1968, 1973, 1978, 1981, 1986, 1988, 1993, 1997, 2002, 2007, 2012, 2017, 2022

Généralités sur ces élections

Les élections législatives de 2012 se tiennent les 10 et 17 juin (les 3 et 17 juin pour les Français de l'Étranger) et visent à renouveler leses 577 sièges de l'Assemblée nationale, chambre basse du Parlement français. Il s'agit de l'élection de la XIVe législature de la Cinquième République française. Tout comme la XIIIe législature qui dura le temps de la présidence de Nicolas Sarkozy (2007-2012), le mandat des députés élus en 2012 vaut pour cinq ans, sauf exercice du droit de dissolution.

Ce scrutin fait partie de la même séquence électorale que l'élection présidentielle qui s'est tenue les 22 avril et 6 mai 2012 et qui vu l'élection de François Hollande. Il se déroule selon un mode de scrutin uninominal majoritaire à deux tours dans chacune des 577 circonscriptions. On rappelle que, dans un premier temps, le mandat présidentiel quinquennal avait été instauré en 2000 par voie référendaire, en lieu et place du septennat en vigueur depuis la loi du 20 novembre 1873. Ensuite, la loi organique du 15 mai 2001 avait fixé au 3e mardi du mois de juin la fin des pouvoirs de l'Assemblée nationale, cinq ans après son élection, soit quelques semaines après l'élection du président de la République, l'objectif affiché de cette concordance étant de réduire le risque de cohabitation et de confirmer le principe de « légitimité subordonnée », la seconde élection servant à confirmer la première. Pour l'année 2012, cinq semaines séparent le second tour de l'élection du président de la République, le 6 mai, du premier tour de celle des députés français, le 10 juin.

Ces élections sont aussi marquées par deux changements importants :
1) Un redécoupage des circonscriptions législatives de 2010 pour tenir compte de l'évolution de la démographie française et faisant suite à une demande du Conseil constitutionnel, demande renouvelée depuis 1999 aux différents gouvernements qui se sont succédé. Le nombre total de députés, 577, désormais inscrit dans la Constitution depuis la réforme de la constitution française de juillet 2008, reste cependant inchangé.
2) L'élection pour la première fois de députés représentant les Français établis hors de France. En effet la réforme de juillet 2008 de la Constitution française établit que « les Français établis hors de France sont représentés à l'Assemblée nationale et au Sénat ». Un projet de loi a donc été présenté en septembre 2008 en Conseil des ministres pour que les Français établis hors de France soient désormais représentés à l'Assemblée nationale avec l'élection de députés au scrutin uninominal majoritaire à deux tours (identique au mode d'élection des autres députés) dans de nouvelles circonscriptions hors du territoire français. [Jusqu'à présent, les Français de l'étranger n'étaient représentés qu'au Sénat avec 12 sénateurs].

La 7e circonscription du Var (La Seyne - Saint-Mandrier - Six-Fours - Bandol - Sanary)

Pour la 7e circonscription du Var, la liste officielle des 14 candidats, s'établit ainsi :

Danièle AZOUT, L'Alliance écologiste indépendante
Marie-Renée BALTY, Lutte ouvrière
Frédéric BOCCALETTI, Front National
Michel CANTINOLNouveaux Écologistes du Trèfle
Michel de MAYNARD, Union des droites
X, La droite de convictions
Françoise GUARDIA, La France aux Français
Damien GUTTIEREZ, MoDem
Arthur PAECHT, Candidat républicain indépendant
Henri PASCAL, Nouveau parti anticapitaliste
Ladislas POLSKI, Majorité présidentielle
Bernard RAYBAUD, Debout la République
Christine SAMPÉRÉ, Front de gauche
Jean-Sébastien VIALATTE, UMP





Tous les candidats, bulletins de vote et professions de foi



Danièle AZOUT, L'Alliance écologiste indépendante




Marie-Renée BALTY, Lutte ouvrière





Frédéric BOCCALETTI, Front national



Michel CANTINOL, Nouveaux Écologistes du Trèfle



Michel de MAYNARD, Union des droites



X, La droite de convictions



Françoise GUARDIA, La France aux Français
NB. Profession de foi invalidée



Damien GUTTIEREZ, MoDem



Arthur PAECHT, Candidat républicain indépendant



Henri PASCAL, Nouveau parti anticapitaliste



Ladislas POLSKI, Majorité présidentielle



Bernard RAYBAUD, Debout la République



Christine SAMPÉRÉ, Front de gauche



Jean-Sébastien VIALATTEUnion pour un mouvement populaire




Résultats du 1er tour à La Seyne-sur-Mer et dans la 7e circonscription du Var (Source : lci.tf1.fr )

1) A La Seyne-sur-Mer


Nombre
% / inscrits
Inscrits
44 385
100,00 %
Abstentions
20 864
  47,01 %
Votants
23 521
  52,99 %

Nombre
% / votants
Blancs et nuls
    282
    1,20 %
Exprimés
23 239
  98,80 %

Ont obtenu :


Nuance
Voix
% / exprimés
  • M. Ladislas POLSKI
  • M. Jean-Sébastien VIALATTE
  • M. Frédéric BOCCALETTI
  • Mme Christine SAMPÉRÉ
  • M. Arthur PAECHT
  • M. Michel CANTINOL
  • M. Damien GUTTIEREZ
  • Mme Danièle AZOUT
  • M. Bernard RAYBAUD
  • M. Henri PASCAL
  • M. Michel de MAYNARD
  • Mme Françoise GUARDIA
  • Mme Marie-Renée BALTY
  • X
MRC-PS
Union pour un Mouvement populaire
Front national
Front de gauche
Divers droite
Ecologiste
Alliance centriste
Ecologiste
Divers droite
Extrême gauche
Extrême droite
Extrême droite
Extrême gauche
Divers droite

7 612
5 731
5 471
1 621
1 438
   252
   226
   176
   170
   141
   139
   126
     71
     65
 32,76 %
 24,66 %
 23,54 %
   6,98 %
   6,19 %
   1,08 %
   0,97 %
   0,76 %
   0,73 %
   0,61 %
   0,60 %
   0,54 %
   0,31 %
   0,28 %

Var-Matin du lundi 11 juin 2012

 

2) Dans la 7e circonscription du Var


Nombre
% / inscrits
Inscrits
101 228
100,00 %
Abstentions
 44 576
  44,04 %
Votants
 56 652
 55,96 %

Nombre
% / votants
Blancs et nuls
    680
  1,20 %
Exprimés
55 972
98,80 %

Ont obtenu :


Nuance
Voix
% / exprimés
  • M. Jean-Sébastien VIALATTE
  • M. Ladislas POLSKI
  • M. Frédéric BOCCALETTI
  • M. Arthur PAECHT
  • Mme Christine SAMPÉRÉ
  • M. Damien GUTTIEREZ
  • M. Michel CANTINOL
  • Mme Danièle AZOUT
  • M. Bernard RAYBAUD
  • M. Michel de MAYNARD
  • Mme Françoise GUARDIA
  • M. Henri PASCAL
  • X
  • Mme Marie-Renée BALTY
Union pour un Mouvement populaire
MRC-PS
Front national
Divers droite
Front de gauche
Alliance centriste
Ecologiste
Ecologiste
Divers droite
Extrême droite
Extrême droite
Extrême gauche
Divers droite
Extrême gauche

19 236
15 266
13 008
  2 695
  2 541
    630
    627
    462
    367
    361
    254
    221
    174
    130
 34,37 %
 27,27 %
 23,24 %
   4,81 %
   4,54 %
   1,13 %
   1,12 %
   0,83 %
   0,66 %
   0,64 %
   0,45 %
   0,39 %
   0,31 %
   0,23 %


Var-Matin du lundi 11 juin 2012



Candidats présents au 2e tour


Jean-Sébastien VIALATTE, Union pour un mouvement populaire

Ladislas POLSKI, Majorité présidentielle

Frédéric BOCCALETTI, Front national


Résultats du 2e tour à La Seyne-sur-Mer et dans la 7e circonscription du Var (Source : lci.tf1.fr )

1) A La Seyne-sur-Mer


Nombre
% / inscrits
Inscrits
44 385
100,00 %
Abstentions
20 156
  45,41 %
Votants
24 229
  54,59 %

Nombre
% / votants
Blancs et nuls
    352
    1,45 %
Exprimés
23 877
  98,55 %

Ont obtenu :


Nuance
Voix
% / exprimés
  • M. Ladislas POLSKI
  • M. Jean-Sébastien VIALATTE
  • M. Frédéric BOCCALETTI
Union pour un mouvement populaire
MRC-PS
Front national
10 377
 7 840
 5 660
 43,46 %
 32,83 %
 23,70 %

Source : Ministère de l'Intérieur
Var-Matin, lundi 18 juin 2012

 

2) Dans la 7e circonscription du Var


Nombre
% / inscrits
Inscrits
101 226
100,00 %
Abstentions
 43 511
  42,98 %
Votants
 57 715
 57,02 %

Nombre
% / votants
Blancs et nuls
    800
  1,39 %
Exprimés
56 915
98,61 %

Ont obtenu :


Nuance
Voix
% / exprimés
  • M. Jean-Sébastien VIALATTE
  • M. Ladislas POLSKI
  • M. Frédéric BOCCALETTI
Union pour un mouvement populaire
MRC-PS
Front national
23 705
19 976
13 234
 41,65 %
 35,10 %
 23,25 %

M. Jean-Sébastien VIALATTE est réélu député de la 7e circonscription du Var

Var-Matin, lundi 18 juin 2012


3) Les députés du Var élus en 2012

Les 7 sortants étaient : Geneviève Levy (UMP) ; Philippe Vitel (UMP) ; Jean-Pierre Giran (UMP) ; Jean-Michel Couve UMP) ; Georges Ginesta (UMP) ; Josette Pons (LR) ; Jean-Sébastien Vialatte (UMP).

Les 8 nouveaux députés du Var : Geneviève Levy (LR) ; Philippe Vitel (LR) ; Jean-Pierre Giran (LR) ; Jean-Michel Couve (LR) ; Georges Ginesta (LR) ; Josette Pons (LR) ; Jean-Sébastien Vialatte (LR) ; Olivier Audibert-Troin (LR).

LEVY Geneviève
VITEL Philippe
GIRAN Jean-Pierre
COUVE Jean-Michel
GINESTA Georges
PONS Josette
VIALATTE Jean-Sébastien
AUDIBERT-TROIN Olivier
Née le 24 février 1948 à Marseille (13)
Expert foncier et commercial
Né le 22 février 1955 à Toulon (83)
Chirurgien plasticien
Né le 9 janvier 1947 à Marseille (13)
Professeur d'Université
Né le 3 janvier 1940 au Muy (83)
Cardiologue
Né le 8 juillet 1942 à Saint-Raphaël (83)
Ingénieur ETP
Née le 12 décembre 1947 à Saint-Cyr-sur-Mer (83)
Né le 30 janvier 1951 à Saint-Étienne (42)
Biologiste
Né le 16 août 1960 à Draguignan (83)
Agent général d'assurances







Résultats des élections législatives de 2012 en France (Source : Wikipedia)



Autres documents sur les élections législatives de 2012 et sur le ministère Jean-Marc Ayrault [Source : archives Jean-Claude AUTRAN]
Verbatim...

- Var-Matin, jeudi 18 septembre 2008, page 6 : « Carte électorale : Un coup de ciseau et un député de plus pour le Var ».
- Var-Matin, dimanche 27 février 2011 : « Arthur Paecht candidat aux législatives en 2012 ? - L'ancien maire de La Seyne n'en est pas à une plaisanterie près. Lui parle plutôt d'une « demi-boutade ». Lors d'une réunion publique, vendredi soir, Arthur Paecht a en effet annoncé son souhait d'être « candidat aux législatives en 2012 ». Joint hier, l'intéressé a quelque peu nuancé son propos. « Ce n'est pas la préoccupation du moment, puisque c'est le temps de la campagne des cantonales. J'ai fait cette annonce vendredi sous une forme un peu humoristique ». Toutefois, ajoute-t-il, « cette demi-boutade pourrait, le cas échéant, devenir une réalité en fonction du contexte l'année prochaine. Pour le moment, disons que c'est une sortie qu'il ne faut pas forcément prendre au pied de la lettre ».
- Var-Matin, lundi 4 juillet 2011 : « Claude Astore déclare sa candidature aux législatives - L'adjoint à l'urbanisme se présentera pour la première fois dans la 7e circonscription. Avec l'ambition d'être le candidat unique de toute la gauche - Compte tenu des mandats qu'il exerce déjà, le maire n'a pas souhaité se présenter. Marc m'a assuré de son soutien total. J'en suis à mon deuxième mandat d'élu local et j'essaie de faire évoluer les choses. J'aime être sur le terrain, j'ai envie de défendre le territoire. Je suis aussi Vice-président de TPM et vice-président du SCOT (Schéma de cohérence territoriale, N.D.L.R.). Cela m'a apporté d'autres connaissances et m'a permis de réfléchir sur un territoire plus étendu que celui de La Seyne. J'ai désormais une carte de visite à faire valoir sur le secteur ».
- Var-Matin, mercredi 29 juin 2011, pages 14-15 : « A un an des législatives, les candidats se dévoilent » - « Les 10 et 17 juin 2012, on élira huit députés varois. Dans les partis politiques, le compte à rebours, pour ce scrutin qui s'annonce chaud, a déjà débuté ».
- Var-Matin, samedi 24 septembre 2011, page 6 : « Législatives : le nouveau visage de la septième » - « La circonscription du député Vialatte perd les voix d'Ollioules et Évenos, qui rejoignent la 2e de Toulon. Dans ce nouveau bassin électoral, près d'un votant sur deux sera Seynois » - Jean-Sébastien Vialatte : « Je déclarerai ma candidature après Nicolas Sarkozy ».
- Var-Matin, mardi 27 septembre 2011, page 10 : « Législatives : la sixième amputée de sept cantons » - « La circonscription la plus peuplée de France va être coupée en deux pour permettre la création d'un huitième bassin électoral dans le Var. Josette Pons sera candidate dans la nouvelle sixième ».
- Var-Matin, lundi 10 octobre 2011, page 8 : « Septième ciconscription : ils sont prêts à y aller ! - Face au député sortant Jean-Sébastien Vialatte (UMP), les candidats commencent à se déclarer... à huit mois des élections législatives, investiture ou pas : Nathalie Bicais, Claude Astore, Damien Guttierez, Christine Sampéré, Denise Reverdito, Frédéric Boccaletti ».
- Var-Matin, mardi 11 octobre 2011, page 8 : « Nathalie Bicais : « J'ai une vraie expérience politique » » - « L'ex-présidente du MoDem dans le Var, et ancienne élue sous la municipalité d'Arthur Paecht, postule pour la première fois aux législatives en tant que candidate titulaire - Quels seront vos thèmes de campagne ? « La rigueur financière, que ce soit au niveau de l'État ou des collectivités locales, sera l'un des thèmes. Aujourd'hui, on découvre qu'il faut mettre une « règle d'or », c'est-à-dire ne pas voter un budget en déséquilibre. Mais cela fait des années que je le dis ! Jusqu'ici, on augmentait les impôts pour masquer les déséquilibres » - Vous avez déjà été deux fois candidate suppléante de Ferdinand Bernhard aux législatives. Être en première ligne, est-ce une façon de vous affranchir ? « J'ai toujours fait mon chemin sans suivre un homme. J'ai été élue en 1995 (dans l'opposition, Ndlr), puis en 2001, et j'ai été tête de liste aux municipales de la Seyne en 2008. J'ai été à !'UDF, puis présidente départementale du Parti radical et du MoDem... J'ai une vraie expérience politique, et j'ai toujours gardé mon indépendance. Je ne me suis jamais positionnée par rapport à des personnes, mais par rapport à des idées. Aujourd'hui, il est normal que je porte les couleurs de mon parti. Je n'ai pas d'état d'âme ».
- Var-Matin, mercredi 12 octobre 2011, page 7 : « Claude Astore, l'homme qui veut hisser la gauche au second tour » - « Ce sera dur, mais jouable » - « Pour sa première candidature aux législatives, il voudrait être celui qui rassemble toute la gauche. Mais toute la gauche ne veut pas forcément de lui... Le PCF, engagé dans le Front de gauche, présentera une « femme communiste », sans nul doute Christine Sampéré (également adjointe au maire). « Europe Écologie-Les Verts » s'apprête à investir Denise Reverdito. Bien sûr, les choses peuvent encore bouger en fonction des scores de chaque parti à l'élection présidentielle ; des accords sont encore possibles. Pour l'heure, en dehors du PRG, Claude Astore ne peut compter que sur le PS qui, au niveau départemental, a réservé la 7e circonscription à un radical de gauche. Si le redécoupage de la 7e « est un peu plus favorable à la gauche », selon Claude Astore, le nombre de candidats des partis « amis » peut en revanche jouer en sa défaveur ».
- Var-Matin, lundi 17 octobre 2011, page 11 : « Europe Écologie-Les Verts : Denise Reverdito « est prête » » - « Après une campagne cantonale auréolée par 8,44 % sur La Seyne, Denise Reverdito se verrait bien candidate de la gauche unie aux prochaines législatives - La politique, elle y prend goût ! Investie depuis de longues années dans le tissu associatif, Denise Reverdito a longtemps hésité à franchir le pas de la politique des partis. Un « Rubicon » traversé avec panache, au printemps dernier à l'occasion de la campagne cantonale. Sous la houlette Europe écologie-Les Verts, cette novice en politique n'a pas démérité, atteignant les 8,44 % à La Seyne, à quelques voix de la candidate UMP « officielle », Sandra Torrès ».
- Var-Matin, mardi 1er décembre 2011, page 5 : « Législatives : à gauche, union et désillusion - Claude Astore (PRG) se croyait soutenu par le PS, mais celui-ci a finalement décidé d'organiser une primaire dans la septième circonscription... entre socialistes. Le vote a lieu ce soir » - « Claude Astore évincé - Claude Escarguel face à Patrick Martinenq » - « Claude Astore croit toujours en ses chances - Patrick Martinenq (PS) se dit légitime dans la septième - Claude Escarguel (PS) repré sente le courant Montebourg ».
- Var-Matin, samedi 3 décembre 2011, page 5 : « Claude Escarguel, candidat socialiste dans la septième - Le vote interne a rendu son verdict : le Six-Fournais - proche d'Arnaud Montebourg - a devancé de quelques voix Patrick Martinenq. Il représentera le PS aux élections législatives en juin 2012 - « Être sérieux, sans se prendre au sérieux ». Claude Escarguel entend appliquer sa devise à la campagne législative qui l'attend » - Patrick Martinenq : « J'avais clairement posé les enjeux du scrutin, et j'ai obtenu les réponses. Je ne suis pas déçu pour moi, mais plutôt pour Marc Vuillemot. Le résultat montre que le maire - qui me soutenait - ne tient pas sa section, où j'ai obtenu 5 voix sur 50 ! Déjà que pour la campagne cantonale, je ne m'étais guère senti soutenu... Je vais désormais me consacrer à la campagne présidentielle pour François Hollande et préparer les futures échéances. 2014 7 Pourquoi pas... ».
- Var-Matin, dimanche 4 décembre 2011, page 8 : « Primaires socialistes : Claude Escarguel (7e) et Bernard Clap (8e) désignés - La 3e fait beaucoup parler - Discours de Toulon (suite) ».
- Var-Matin, mardi 13 décembre 2011, pages 2-3 : « Redécoupage électoral, comment s'y retrouver ? » - « Avec la création d'une huitième, ce sont les sept circonscriptions déjà existantes qui sont plus ou moins remaniées. Le point dans le département à sept mois des législatives ».
- Var-Matin,mardi 13 décembre 2011, page 6 : « Le gel de la circonscription met le feu au Parti socialiste - Patrick Martinenq a déposé un recours après sa défaite à la primaire. Résultat : le scrutin pourrait être remis en cause et la candidature aux législatives de Claude Escarguel annulée - Le 1er décembre, les militants socialistes de la septième circonscription (La.Seyne, Saint-Mandrier, Six-Fours, Sanary et Bandol) étaient appelés à choisir le candidat qui les représentera aux élections législatives en juin 2012 - les « anti-Martinenq » de la section ouest-Var - « On s'était engagés à respecter  le résultat ».
- Var-Matin, vendredi 23 décembre 2011, page 5 : « Législatives : Denise Reverdito « à la disposition » de la gauche - Agacée par les querelles au sein du Parti socia iste au sujet du candidat aux législatives, la militante d'Europe Écologie - Les Verts se verrait bien représenter la gauche dans la septième circonscription - « La comedia dell'arte » au Parti socialiste - " La circonscription est gagnable par la gauche, à condition que le candidat 'de la gauche soit quelqu'un qui rassemble ». Denise Reverdito en est convaincue, elle peut être cette personne-là - « Fan d'Eva Joly » - « L'avis de Marc Vuillemot « Ma position reste invariable. Le risque d'un autre "21-avril" (droite contre extrême droite, Ndlr) est trop important id (pour supporter des divisions, Ndlr). La dernière fois, Vialatte avait été élu au premier tour ; la fois d'avant, c'était UMP/FN au second tour. Je regrette que la désignation d'un candidat unique ne fonctionne pas. C'est suiddaire pour la gauche. Le peuple risque de ne pas nous le pardonner. »
- Var-Matin, 1er janvier 2012 : 7e circonscription : EELV s'insurge : « L'espace entre le Front de Gauche et le PS sur la 7e circonscription ne restera pas inoccupé » (Denise Reverdito pour EELV La Seyne-Saint-Mandrier) - « Le Parti occitan en rajoute une couche : Gérard Tautil : « Nous ne ferons pas alliance avec cette "gauche" qui remet en selle une crispation sécuritaire et centraliste. Nous aviserons ultérieurement du type de notre présence dans cette campagne ».
- Var-Matin, vendredi 13 janvier 2012, page 5 : « Investiture à gauche : une trop longue attente » - « Depuis le recours de Patrick Martinenq après sa défaite à la primaire socialiste, le parti tarde à se décider sur celui ou celle qui sera candidat aux législatives dans la septième circonscription » - « La commission des conflits ne s'étant toujours pas déplacée, les deux candidats socialistes Claude Escarguel et Patrick Martinenq restent dans l'expectative » (CHB).
- Var-Matin, samedi 14 janvier 2012, page 9 : Interview : Dans un contexte économique tendu, Jean-Sébastien Vialatte dresse les contours d'une année « dans la continuité ». En juin, il briguera sans surprise un nouveau mandat de député » - « Une année de prudence et de cohérence » - « Je ne me reconnais pas toujours dans l'aile droite de l'UMP ! » (KM et CB).
- Var-Matin, lundi 30 janvier 2012, page 7 : « Patrick Martinenq, plus « disponible » que jamais » (CG).
- Var-Matin, vendredi 17 février 2012, page 6 : 7e circonscription : « Législatives : à gauche le flou demeure... - Exit Claude Astore (PRG), Patrick Martinenq et Claude Escarguel (PS)... Le lauréat pourrait finalement être le chevènementiste Yves Gavory, conseiller municipal seynois » (CG et CHB).
- Var-Matin, dimanche 25 mars 2012 : « 7e circonscription : la gauche tient enfin son candidat : le chevènementiste Ladislas Polski, en provenance des Alpes-Maritimes ».
- Var-Matin, mercredi 28 mars 2012, page 6 : « L. Polski : « J'en appelle à la responsabilité de la gauche » - « Ladislas Polski est le candidat de la gauche « socialiste ». Ce Niçois sait qu'il devra se faire un nom sur la 7e circonscription et espère rassembler une gauche désunie ».
- Var-Matin, samedi 31 mars 2012, page 8 : « Législatives : à gauche, les limites du rassemblement - Ladislas Polski a été intronisé mercredi par les responsables locaux du PS et du MRC. En coulisse, des voix s'élèvent pour appeler à soutenir le Front de gauche - Ceux qui ne feront pas campagne - Ceux qui pourraient soutenir le Front de gauche - Le moins que l'on puisse dire, c'est que Martial Leroy n'y va pas de main morte. L'adjoint au maire de La Seyne, en charge du centre-ville, pousse un virulent coup de gueule dans un tract au titre évocateur : « Vote bafoué, militants cocufiés, sympathisants insultés ». Dans le viseur de l' élu, la fédération du Var du PS qui portera selon lui « l'échec de la gauche ». « Il y avait un candidat naturel, c'était Marc Vuillemot [... ], il y avait Claude Astore... et là il
y aura finalement un parachuté qui fera l'unanimité contre lui, à l'exception de quelques obéissants des partis qui soutiennent ce candidat. J'appelle les gens de gauche à se rassembler derrière le Front de gauche », écrit notamment Martial Leroy - F. Boccaletti (FN) : « La défense de la maternité, enjeu électoral majeur ».

- Var-Matin, vendredi 20 avril 2012, page 5 : « Denise Reverdito, candidate en vert et contre tous » - « La militante seynoise a annoncé qu'elle se présentait aux législatives sous l'étiquette Europe Ecologie Les Verts. Une investiture qui, selon elle, ne va pas à l'encontre des accords avec le PS ».
- Var-Matin, mercredi 25 avril 2012, page 5 : 7e circonscription : « La gauche sort la carte « Vuillemot » - « Il ne souhaitait pas être candidat... le maire de La Seyne sera finalement suppléant de Ladislas Polski (MRC) aux législatives. Double objectif : donner de la visibilité et pousser au rassemblement ».
- Var-Matin, vendredi 11 mai 2012, pages 6-7 : « Les « meilleurs ennemis » lancent leur campagne - 7e circonscription : Le député sortant UMP Jean-Sébastien Vialatte, a annoncé hier après-midi qu'il briguait un troisième mandat consécutif. Le même jour, Arthur Paecht s'est aussi déclaré candidat : je compte profiter de ma liberté de parole » ; page 20 : « Sondage : la gauche bien partie pour les législatives - Portée par la dynamique de l'élection présidentielle, la gauche est toujours favorite. 56 % des Français pensent que Hollande sera un bon président, 50 % saluent le bon bilan de Sarkozy ».
- Var-Matin, samedi 12 mai 2012, page 7 : Annonçant sa candidature pour les élections législatives, le candidat du Front national « Frédéric Boccaletti prend pour cible le député sortant ».
- Var-Matin, jeudi 17 mai 2012, page 7 : 7e circonscription : « L'écologiste D. Reverdito ne sera pas candidate ».
- Tract UMP A4 recto-verso : « Nos valeurs, Notre député : Jean-Sébastien Vialatte, suppléante : Hélène Rigal ».
- Tract A4 recto-verso de Arthur Paecht : « Santé publique, maternité de La Seyne : « Ouvrez-là » » - Déplacements : Allier rapidité et environnement ».
- Tract de 6 pages A5 : « L'humain d'abord » (Christine Sampéré, candidate PCF Front de Gauche avec le soutien de Jean-Luc Mélenchon).
- Brochure de 4 pages A4 : « Jean-Sébastien Vialatte, député, et Hélène Rigal - Une vraie ambition pour La Seyne » - « Jean-Sébastien Vialatte, nos valeurs, notre député - Ensemble, choisissons la France ».
- Var-Matin, samedi 19 mai 2012. Titre de la Une et pages 2-3 : « Législatives : la bataille peut commencer - Quatre vingt-neuf candidats pour huit sièges dans le Var ».
- Var-Matin, lundi 21 mai 2012, page 6 : 7e circonscription : Interview de Jean-Sébastien Vialatte (UMP) : « Une cohabitation n'est pas souhaitable », mais « La droite doit avoir un maximum de députés » - « La droite doit être « forte » pour peser » - « Je m'attends à une campagne dure, on s'oriente vers une triangulaire » - « Je reproche beaucoup à la droite de ne pas s'être assez investie dans les élections locales ».
- Var-Matin, mardi 22 mai 2012, page 7 : 7e circonscription : Interview de Frédéric Boccaletti (FN) : « J'ai une réelle chance de l'emporter » - « Il faut arrêter de parler des chômeurs comme des profiteurs » - « La mosquée de La Seyne a été lancée par la droite ».
- Plaquette de 8 pages de l'UMP : « Jean-Sébastien Vialatte, député-maire de Six-Fours-les-Plages, suppléante Hélène Rigal - Nos valeurs, notre député ».
- Var-Matin, mercredi 23 mai 2012, page 8 : 7e circonscription : « Je suis un homme libre » - Interview : « L'ex-UDF Arthur Paecht, aujourd'hui conseiller municipal d'opposition à La Seyne, veut faire valoir son expérience dans une circonscription où il a déjà été élu de 1986 à 2002 » - « Républicain indépendant, Arthur Paecht veut proposer un autre choix aux électeurs » - « Quand on est respecté, on est écouté » - « Il faut que les droites s'unissent » (Michel de Laynard).
- Var-Matin, jeudi 24 mai 2012, page 7 : 7e circonscription : « Ladislas Polski : « Je n'ai aucun ennemi à gauche ». Interview : « Avec pour suppléant Marc Vuillemot (PS), le candidat Ladislas Polski (MRC) entend parvenir à un rassemblement de raison à gauche, pour contrer la droite et l'extrême-droite » - « Développer à La Seyne l'excellence industrielle autour de la mer » - « Les questions de santé sont au cœur de mon engagement ».
- Var-Matin, vendredi 25 mai 2012, page 7 : 7e circonscription : « Faire réussir la gauche » - Interview : Christine Sampéré se présente pour la première fois aux législatives, sous l'étiquette Front de gauche. Son ambition : combattre le FN et mener une politique « vraiment à gauche » » - « Une fiscalité locale plus juste » — « Décoloniser la France » (Françoise Guardia).
Tract A4 de la gauche : « Donnons une majorité au changement (PS - MRC - PRG - EELV) » - « Triste bilan du député sortant » - Aujourd'hui, à vous de tourner une page » - « Avec François Hollande, vous pouvez confirmer le changement ».
- Var-Matin, samedi 26 mai 2012, page 7 : 7e circonscription : « Paecht et Vialatte doivent passer la main ». Interview : Damien Guttierez : « Candidat de longue date aux élections législatives, Damien Guttierez a obtenu l'investiture du MoDem. Le jeune homme mise sur la carte du renouvellement pour jouer les trouble-fête » - « Je représente la seule alternative » - « Je suis un centriste de droite. A la présidentielle, j'ai voté François Bayrou au premier tour et blanc au second » — « Danièle Azout, candidate au nom de l'écologisme ».
- Var-Matin, lundi 28 mai 2012, page 16 : 7e circonscription : « Un combat de chefs attendu autour de La Seyne » - « Une triangulaire se profile pour conquérir le siège de député de la deuxième ville du département. La droite, le FN et la gauche envoient des pointures au combat ».
- Var-Matin, mardi 29 mai 2012, page 7 : 7e circonscription : « Démonstration de force(s) pour le candidat pour le candidat UMP : Plus de 800 militants étaient réunis hier au centre Guillemard de Six-Fours pour le pique-nique de campagne du député sortant Jean-Sébastien Vialatte. Hubert Falco était là en supporter ».
- Var-Matin, mercredi 30 mai 2012, page 7 : Le débat de la 7e circonscription - territoire en mutation : « Ladislas Polski, Jean-Sébastien Vialatte, Arthur Paecht et Frédéric Boccaletti briguent le mandat de député dans la 7e circonscription - Relancer la machine de l'emploi - Comemnt loger tout le monde - Comment réduire la dette ».
- Var-Matin, mercredi 30 mai 2012, page 22 : Jean-François Copé : « Votez UMP pour éviter l'irréparable ! ».
- Var-Matin, jeudi 31 mai 2012, page 8 : 7e circonscription : « Michel de Maynard, chapeau de figue et droit dans ses bottes » - « Au nom de l'Alliance écologique indépendante, Danièle Azout prône le « bien-être de l'humanité » ».

- Var-Matin, vendredi 1er juin 2012, page 8 : 7e circonscription : « La course électorale de Christine Sampéré passe par le sport ».
- Var-Matin, samedi 2 juin 2012 : « Bernard. Raybaud, un gaulliste à l'offensive sur les marchés - Ce cadre retraité des assurances, Seynois depuis 23 ans, roule pour Nicolas Dupont-Aignan. Il ne se voit pas au second tour mais travaille à ouvrir la route pour de prochaines échéances - « Polski, un homme charmant, mais... » - Le candidat de Debout la République était hier aux Sablettes. Même si les gens n'étaient « pas très réceptifs », son but est avant tout « de se faire connaître ».
- Var-Matin, dimanche 3 juin 2012, page 15 : « Marion Kaplan candidate... dans la mauvaise circonscription » - « L'histoire des circonscriptions, je ne connaissais pas. Moi, je pensais qu'on se présentait pour le Var » [sic - voir cours d'instruction civique, classe de 3e des collèges...].
- Var-Matin, lundi 4 juin 2012, page 16 : 7e circonscription : L. Polski : « Depuis que je suis candidat on a que des bonnes nouvelles » - « Marie-Renée Balty lutte pour se faire entendre sur le marché ».
- Var-Matin, mardi 5 juin 2012, page 14 : 7e circonscription : « Notre sondage : le FN absent du second tour ? » - J.-S. Vialatte (UMP) : 40 %, L. Polski (MRC-PS) : 22 %, F. Boccaletti (FN) : 15 %.
- Var-Matin, mercredi 6 juin 2012, page 7 : 7e circonscription : « Arthur Paecht en promenade électorale à Bandol - Le docteur s'est rendu hier sur le marché de Bandol où il fut maire de 1983 à 1995 ».
- Var-Matin, jeudi 7 juin 2012, page 7 : 7e circonscription : « Françoise Guardia attaque le FN et appelle au « vrai » patriotisme - Hier sur le marché de Sanary, la candidate du Parti de la France, fondé par Carl Lang, distribuait ses tracts invalidés suite à un recours déposé par Frédéric Boccaletti (FN) ».
- Tract A5 recto-verso de Jean-Sébastien Vialatte et Hélène Rigal : le 8 juin 2012 à 18 h 30, dernière réunion avant le 1er tour, à La Seyne-sur-Mer, parc Braudel, Les Sablettes.
- Var-Matin, vendredi 8 juin 2012, page 6 : 7e circonscription : « Damien Guttierez (MoDem) veut déjà voir plus loin » ;
- Var-Matin, vendredi 8 juin 2012, page 7 : « Pour Henri Pascal (NPA), tout ne s'arrête pas dimanche soir » -  « On était là avant, on sera là après »: si la campagne du candidat s'achèvera dimanche soir, l'action militante restera, elle d'actualité, autour de préoccupations locales » (KM).
- Var-Matin, vendredi 8 juin 2012, page 8 : « Frédéric Boccaletti « dans le dur » au quartier Berthe - Tracts en main, le candidat du Front National a fait le tour des immeubles du Messidor hier matin. L'accueil a été cordial, le dialogue pas toujours facile ».
- Var-Matin, lundi 11 juin 2012. Titre de la Une : 7e circonscription : « Trois hommes pour le second tour. En tête, le député sortant J.-S. Vialatte affrontera L. Polski (MRC) et F. Boccaletti (FN) » - Pages 2-13 : Commentaires et résultats : « L'UMP est en tête, le FN s'installe, la gauche revient » - « 1er tour : la gauche en tête mais pas de vague rose - Les membres du gouvernement - Les leaders de droite et du centre - Hénin-Beaumont : Le Pen en tête, Mélenchon jette l'éponge - François Bayrou mal en point - Duel socialiste pour S. Royal - Var : les députés sortants UMP en tête ».
- Var-Matin, lundi 11 juin 2012, page 7 : « Vialatte (UMP) devant Polski (MRC-PS) et Boccaletti (FN) ».

Var-Matin, lundi 11 juin 2012, page 7

- Var-Matin, mardi 12 juin 2012. Titre de la Une : « Qui sortira vainqueur dimanche prochain ? » - « L'UMP ne lâche rien - La gauche reprend espoir - Le FN en embuscade » ; pages 2-15 : Commentaires et résultats : « Un second tour plus serré que prévu » - « Les candidats dissidents balayés par l'âge et le parti : Max Piselli n'a pas réédité le "coup" de 2001 - Vincent Morisse ou l'itinéraire d'une jeune homme trop pressé - Arthur Paecht, le "Sage" va tourner la page » - « Le FN peut-il encore gagner un député ? » - « Ce qu'il faut retenir du vote dans chaque circonscription » - « Front national : l'UMP opte pour le "ni-ni" » - « Résultats par bureau de la 7e circonscription ».
- Var-Matin, mardi 12 juin 2012, page 8 : « Septième circonscription : Les leçons du premier tour » - Si le député sortant J.-S. Vialatte arrive en tête sur la circonscription, la gauche réalise de bons scores, notamment à La Seyne. Le Front national confirme sa place ».

Var-Matin, mardi 12 juin 2012, page 8

- Invitation de Jean-Sébastien Vialatte à sa réunion de soutien du 14 juin 2012, plage de Bonnegrâce à Six-Fours : « Vous devez vous mobiliser massivement - Chaque abstention est une voix apportée à la gauche ».
- Var-Matin, jeudi 14 juin 2012, page 8 : 7e circonscription : J.-S. Vialatte : « Rien n'est joué mais je ne suis pas inquiet » - « Malgré des résultats en baisse par rapport aux scrutins précédents, le député sortant reste confiant et veut convaincre les électeurs d'Arthur Paecht et du Front national de le rejoindre » (MG). - F. Boccaletti : « J'appelle tous les électeurs FN à venir voter » - « Avec 23,24 %, Frédéric Boccaletti est le troisième homme de la triangulaire. Il explique ce qui, selon lui, pourrait faire pencher les urnes en faveur du Front national, dimanche » (JP).
- Var-Matin, jeudi 14 juin 2012, page 9 : L. Polski : « Une chance historique pour le territoire » - « Arrivé deuxième dimanche soir, le candidat de la gauche croit fermement en ses chances de battre le député sortant et ainsi « permettre à la circonscription de participer au changement » (CG).
- Var-Matin, jeudi 14 juin 2012, page 10 : 2e circonscription : Philippe Vitel (UMP) : « Mobiliser car cette élection est capitale » - « Le déuté sortant n'a que cinq points d'avance sur la candidate du PS et un report de voix défavorable. Mais il compte sur une réserve de voix importante dans le camp des abstentionnistes » (SM) - Jean-Yves Waquet (FN) : « ll y a une fidélisation de notre électorat » - « Arrivé en troisième position dimanche dernier, le candidat du Front national compte sur la mobilisation des abstentionnistes pour effectuer « une remontée significative » » (AFT).
- Sondage IPSOS des 13-14 juin 2012 : « Le PS et ses alliés disposeraient de la  majorité absolue à l'Assemblée nationale avec un nombre de sièges compris entre 324 et 364, selon une projection d'Ipsos-Logica Business Consulting pour France Télévisions, Radio France et Le Monde, diffusée vendredi. A droite, l'UMP et ses alliés obtiendraient entre 210 et 250 sièges. La majorité absolue est de 289 sièges. Le PS et les divers gauche disposeraient de 284 à 313 sièges, Europe  Ecologie-Les Verts de 14 à 20, le Front de gauche de 12 à 13, le Parti radical  de gauche (PRG) 11 à 13 et le Mouvement républicain et citoyen (MRC) de 3 à 5. L'UMP et les divers droite obtiendraient entre 192 et 226 sièges, le  Nouveau Centre de 14 à 18 et le Parti radical valoisien (PRV) de 4 à 6. Enfin, le MoDem obtiendrait de 1 à 3 sièges et le Front National de 0 à 2  sièges ».
- Var-Matin, vendredi 15 juin 2012, page 10 : Jean-Sébastien Vialatte : « Une élection capitale » - « F. Boccaletti fait de la triangulaire un duel ».
- Var-Matin, vendredi 15 juin 2012, page 11« Arithmétique et dynamique : les espoirs de Ladislas Polski ».
- Var-Matin, samedi 16 juin 2012, page 18 ; « Vingt candidats pour huit sièges (quatre duels et quatre triangulaires) »
- Var-Matin, lundi 18 juin 2012. Titre de la Une : « L'UMP réussit le grand chelem » - « L'exception du Sud-Est » - « Les résultats bureau par bureau » - Ce sont les députés du Var » - « Vague rose en France : PS 320 sièges, UMP 221 sièges, EELV 19 sièges, FDG 10 sièges, FN 2 sièges, MoDem 2 sièges » - « Ségolène Royal battue - François Bayrou sorti - Le retour du FN à l'assemblée - Nombreux ténors écartés » ;

Var-Matin, lundi 18 juin 2012

pages 2-15 : Commentaires et résultats : « Huit députés sur huit : l'UMP rafle tout » - « Majorité absolue pour le PS » - « Amère défaite pour Royal » - « Marine Le Pen battue à Hénin-Beaumont » - « Pyrénées-Atlantiques : Bayrou sorti » - Le sans-faute du gouvernement ».
- Var-Matin, lundi 18 juin 2012, page 7 : « La circonscription fidèle à Jean-Sébastien Vialatte ».

Var-Matin, lundi 18 juin 2012, page 7

- Var-Matin, mardi 19 juin 2012, pages 32-35 : « Ces députés qui seront dans l'opposition - Les Varois passent de l'autre côté de l'hémicycle, en terre inconnue pour la plupart d'entre eux. Mais ils comptent bien se faire entendre dans leur nouveau rôle » - « L'UMP impose le grand huit - Le FN vise 2014 - Le PS annonce son retour » - « Ce qu'il faut retenir du vote dans chaque circonscription » - « 7e circonscription : Jean-Sébastien Vialatte sans les Seynois ».

- Var-Matin, mardi 19 juin 2012, page 20 : « UMP : une élection peut en cacher une autre - Les 194 députés choisiront ce matin leur président de groupe à l'Assemblée nationale » - Estrosi : « Nicolas Sarkozy reste notre leader naturel ».
- Résultats du premier et du second tour pour chacun des cantons de La Seyne, par bureau, ainsi que dans les autres villes de la 7e circonscription : 1 feuille A3 manuscrite de M. Francisque Luminet.
- Var-Matin, 19 juin 2012, pages 34-35 : « Ce qu'il faut retenir du vote dans chaque circonscription » - « 7e circonscription : Si Jean-Sébastien Vialatte a pu conserver son siège de député, ce n'est pas grâce aux Seynois ! Alors qu'il remporte l'élection avee,p: lus de 3 700 voix d'écart par rapport à Ladislas Polski (MRC-PS), il est nettement devancé par ce dernier à La Seyne. Le candidat de gauche a remporté 10 377 voix (43 %) dans la deuxième ville du Var, contre 7 840 voix (32 %} pour le député sortant.
Finalement, La Seyne a beau être une grande ville, l'élection législative s'est jouée dans le reste de la circonscription. C'est à Sanary, Bandol, Saint-Mandrier et Six-Fours que Jean-Sébastien Vialatte a marqué des points. À Sanary et Bandol, il dépasse même les 50 %, preuve que le ralliement du maire de Sanary Ferdinand Bernhard - qui d'ordinaire se présentait aux précédentes législatives - a compté. Une défaite du député à La Seyne est-elle de mauvais augure pour la droite aux prochaines municipales ? Jean-Sébastien Vialatte a dit à de multiples reprises que la reconquête de la cité socialiste était une priorité pour l'UMP. Si l'on se réfère à ce dernier scrutin, la tâche semble ardue. « Vialatte paie sa position en faveur de la fermeture de la maternité seynoise », argue Didier Pille, secrétaire de la section PS de Six-Fours. D'autres jugent qu'il y a eu un « effet Marc Vuillemot » et que finalement, les Seynois ont soutenu leur maire... Difficile cependant de lancer des pronostics, d'autant qu'il y a quelques semaines encore, les Seynois plaçaient Nicolas Sarkozy en tête de l'élection présidentielle ! D'ici 2014, de l'eau aura encore coulé sous les ponts » (MV).

- Var-Matin, 19 juin 2012, pages 32-33 : « Ces députés qui seront dans l'opposition » - « Les Varois passent de l'autre côté de l'hémicycle, en terre inconnue pour la plupart d'entre eux. Mais ils comptent bien se faire entendre dans leur nouveau rôle ».
- Var-Matin, 27 juin 2012 : « Bartolone président » - « Sans surprise, le député PS de Seine-Saint-Denis a été élu hier au « perchoir » de l'Assemblée nationale dès le premier tour ».

Le ministère Jean-Marc Ayrault

- Var-Matin, vendredi 22 juin 2012, page 18 : « Quatre nouveaux membres dans le gouvernement Ayrault II : Anne-Marie Escoffier, Thierry Repentin, Hélène Conway, Guillaume Garot » - « Les membres du gouvernement : 20 ministres, 18 ministres délégués » - « Bartolone en route pour le « perchoir » ».
- Var-Matin, mardi 26 juin 2012. Pages 2-3 : « Droit de vote des étrangers : le Var partagé » - Hubert Falco (UMP) : « Lier d'abord son destin à la France » - Robert Alfonsi (PS) : « Avec le centre ou par référendum » - Frédéric Boccaletti : « C'est une erreur de croire au droit au sol » - Pierre-Jacques Depallens (MoDem) : « Il faut tenter l'expérience ».
- Var-Matin, mercredi 27 juin 2012 : « Hausse du Smic : 21,50 € par mois - La hausse du Smic est-elle juste symbolique » - « Bartolone président : sans surprise, le député PS se Seine-Saint-Denis a été élu hier au « perchoir » de l'Assemblée nationale dès le premier tour - Le bouclier fiscal a coûté 800 millions en 2011 - Le « cadeau aux riches » va être abrogé ».
- Var-Matin, mardi 3 juillet 2012 : « Plus de 30 milliards d'euros à trouver pour l'année prochaine - Gel des salaires des fonctionnaires et hausse des impôts parmi les mesures qui pourraient être annoncées au lendemain de l'audit de la Cour des comptes - Pas de hausse de la TVA en 2012 - Grand oral de la rigueur pour Ayrault aujourd'hui au Palais-Bourbon ».
- Var-Matin, mercredi 4 juillet 2012 : « Ayrault appelle « à un effort national mais refuse l'austérité - C'est le message que le Premier minitre a délivré, hier, aux parlementaires dans son discours de politique générale. Trois cent deux députés (sur cinq cent vingt-sept) lui ont accordé leur confiance » - « Discours de schizophrène », pour Gilbert Collard - « Le droit au mariage et à l'adoption ouvert à tous les couples en 2013 »
- Var-Matin, samedi 21 juillet 2012 : « Fillon redoute une récession avec les décisions budgétaires : Les décisions prises par la majorité socialiste pour le budget 2012 risquent de plonger la France dans la récession ».
- Var-Matin, jeudi 27 septembre 2012 : « La barre des trois millions de chômeurs franchie - Le ministre du Travail met en cause un héritage du gouvernement précédent. La sécurisation de l'emploi figurera au cœur des négociations début octobre » - « Le racisme anti-blanc dénoncé par Copé ».
- Var-Matin, vendredi 28 septembre 2012 : Jean-Marc Ayrault : « Il faut se dire qu'on va y arriver ».
- Var-Matin, samedi 29 septembre 2012 : « Un budget sous le signe de l'austérité - Le Premier ministre a présenté hier le projet de budget 2013 qui prévoit 20 milliards d'euros de hausses d'impôts - D'après le gouvernement, seuls les ménages les plus qisés et les grosses entreprises seront touchés ».
- Var-Matin, dimanche 7 octobre 2012 : « Peugeot : Montebourg veut revoir le plan social - Annonce de négociations tripartites mais seulement pour... limiter la casse ».

25 novembre 2012

- Var-Matin, lundi 10 décembre : « Corse : face aux bombes, Valls et Ayrault durcissent le ton [Un nouvel assassinat vendredi, puis une nuit bleue] » - « Depardieu s'installe en Belgique ».

- TF1.News, mercredi 13 décembre 2013 : Après le pavé dans la mare de la Cour des comptes mardi, c'est Laurent Fabius qui ouvre le débat tabou au sein du gouvernement sur les 3% de déficit en 2013. Le ministre des Affaires étrangères a en effet estimé mercredi matin sur Canal + qu'il était "probable" que la France ne tienne pas son objectif de ramener les déficits publics à 3% du PIB en 2013. Interrogé sur les conclusions du rapport de la Cour des comptes qui estime que la France a peu de chances de parvenir à cet objectif en raison de la faiblesse de la croissance, le ministre des Affaires étrangères a répondu : "Je pense que c'est probable."  "Et par rapport à ça, il faut à la fois qu'on ne coupe pas ce qui reste de croissance, sinon ce serait une faute, mais en même temps qu'on soit sérieux et le mot d'économies fait partie du vocabulaire et de la panoplie", a-t-il ajouté.
    Quelques instants plus tard, le ministre de l'Économie et des Finances était interrogé sur ces propos, sur France Info. Visiblement embarassé, Pierre Moscovici a botté en touche en affirmant que pour l'instant, "le calendrier (du gouvernement) était respecté". Il a renvoyé une décision de demander un report des 3% en 2013 aux prochains travaux de la Commission européenne. 



Celle-ci doit rendre ses nouvelles prévisions de croissance le 22 février prochain, et c'est "en fonction de celles-ci" que le gouvernement prendra une décision. Mais le patron de Bercy a préparé les esprits à une renonciation aux 3% : "il ne faut pas ajouter de l'austérité à l'austérité".
    Au même moment, le ministre du Budget Jérome Cahuzac était lui l'invité de France Inter. Interrogé sur les propos de Laurent Fabius, il a reconnu que maintenir l'objectif des 3% en 2013 serait "difficile".  Sans toutefois changer pour l'instant le calendrier du gouvernement. "Ce sera effectivement très difficile (ndlr, de revenir à 3%). La probabilité d'atteindre cet objectif s'est amenuisée au fur et à mesure que la croissance pâlissait, non seulement en France mais plus généralement dans la zone euro et dans le monde", a-t-il déclaré.
    Cambadélis sur les déficits : "il faut prévenir les Français"
En décembre dernier, Jean-Marc Ayrault avait pourtant promis que la France respecterait l'objectif de 3% des déficits cette année.
- Var-Matin, 23 décembre 2012 : « Le FMI estime que la France doit se préparer à plus d'austérité ».
- TF1 News - Approuvez-vous Laurent Fabius qui juge « probable » que la France ne tienne pas son objectif de déficit public en 2013 ?
- Jean-Christophe Cambadélis : Tout à fait, j'avais indiqué il y a quelques mois, avec Claude Bartolone, que nous ne tiendrions pas les 3%.  Les 3% sont une chimère nécessaire, mais c'est une chimère. Vu la situation économique de la zone euro, le peu de croissance et les déficits que la droite nous a laissés, on pouvait réfléchir en tendance mais fixer une date butoir pour les 3%, c'était mettre une barre trop haute par rapport à nos perchistes économiques.
- TF1 News - Mais est-ce le bon moment pour briser ce tabou ?
- Il faut être honnête avec nous-mêmes et prévenir les Français. Il ne sert à rien de faire croire que l'on tiendra ce que l'on sait que l'on ne peut pas tenir. Même s'il faut continuer à se battre sur les déficits publics et tout faire pour que la croissance soit là. 
- J'ajouterai que le budget européen, même s'il est un bon compromis pour le président Hollande, n'est pas tout à fait à la hauteur pour l'Europe. Il n'est pas un moteur de croissance. Ceci ajouté à cela, il faut prévenir aujourd'hui que l'on ne tiendra pas les 3%
- TF1 News - Le gouvernement a-t-il alors trop tardé ?
- Non il était dans son rôle. A partir du moment où nous étions dans une situation économique épouvantable et un moral des Français comparable, le gouvernement avait un volontarisme bienvenu. Mais il fallait quelques voix  pour dire que ceci ne se ferait pas.
- TF1 News - La Cour des comptes outrepasse-t-elle son rôle comme le disent certains ?
- Elle est dans son rôle même si sur toute une série de sujets, elle tend à se substituer au politique, à juger en opportunités politiques. Qu'elle dise que la France ne pourra pas tenir l'objectif de déficit au vu de ses comptes me paraît être dans ses prérogatives. Qu'elle indique la manière pour le pays d'obtenir cet objectif,  alors elle outrepasse son mandat.
- TF1 News -  Les mauvaises nouvelles économiques  se multiplient. Le gouvernement n'a-t-il pas dit la vérité pendant la campagne ?
- Non. Je crois qu'il faut reconnaître que la partie n'a jamais été facile pour le gouvernement de Jean-Marc Ayrault. Tous les licenciements qui ont été reportés à après la présidentielle ont porté un coût à l'espoir qui est toujours nécessaire à la croissance. Il faut continuer cette politique de redressement et d'assainissement, sans tuer le dernier petit moteur de croissance qui tient l'avion France hors du sol. Mais en même temps, il faut savoir que les économies seront toujours nécessaires.
- Var-Matin, 21 février 2013 : « Déficit : Aurault rassure sa majorité avant le verdict de l'UE de demain - Programme de stabilité en avril » - « La réforme constitutionnelle bien compromise : Nous n'avons pas la majorité des trois cinquièmes ».
- Var-Matin, samedi 30 mars 2013 : Moscovici : « Il n'y aura pas d'impôts supplémentaires ».
- Var-Matin, vendredi 1er mars 2013 : « L'UMP accuse Matignon de reniement sur la TVA (...) après que les députés socialistes ont prôné une hausse à 20,5 % du taux normal de la TVA ».
- TF1 News, 1er avril 2013 : « Ayrault tente encore de convaincre de son autorité : Le "choc de simplification", Matignon s'y emploie dès mardi - Retraite : le leader de la CFDT pour l'allongement de la durée de cotisation - Retraites : l'âge de départ à 62 ans ne bougera pas, promet Ayrault » - « Le Premier ministre est bien décidé à asseoir son rôle de chef de gouvernement mais son interview dans le JDD, et notamment ses propos suite à l'affaire Forange, brouillent le message.
Après plus de dix mois à Matignon, Jean-Marc Ayrault, jamais cité par François Hollande durant son interview sur France 2 et injurié par Arnaud Montebourg en décembre dernier, peine toujours à s'imposer. Dimanche soir, Geoffroy Didier, coprésident du collectif UMP "La droite forte", a estimé que le Premier ministre était "un problème", une "erreur de casting", en lui reprochant de n'avoir "aucune autorité". Il a mis l'accent sur la reconnaissance dans le Journal du Dimanche, le matin même par le Premier ministre qu'Arnaud Montebourg l'avait injurié lors de l'épisode du site sidérurgique de Florange. "Toutes les semaines il y a une affaire Montebourg, toute les semaines ! Parce que chacun pense à sa communication, parce qu'il y a les ambitions, les egos, les stratégies de communication de chacun des membres du gouvernement, ce qui fait qu'il n'y a aucune harmonie, aucune autorité au sommet de l'Etat et ça donne l'impression d'un véritable amateurisme", a poursuivi l'élu UMP. .
 
En fin de semaine dernière, Matignon a remanié son pôle de communication pour se relancer. Le nouveau directeur du pôle, Jérôme Batout, ancien dirigeant de Publicis Consultants, a pu mesurer l'ampleur de la tâche qui l'attendait en lisant l'interview du Premier ministre dans le Journal du dimanche, fait savoir l'AFP.  Au moment où François Hollande sonne la mobilisation pour l'emploi et attend de l'exemplarité de ses ministres, Jean-Marc Ayrault y confirmait les propos peu amènes que lui a tenus Arnaud Montebourg au moment de Florange, au risque d'entamer un peu plus son autorité.
Un "oui" inattendu 
 
Dans le livre "Florange, la tragédie de la gauche" (Editions Plon), les journalistes Valérie Astruc et Elsa Freyssenet ont révélé que le ministre du Redressement productif s'en était pris avec virulence au chef du gouvernement en décembre 2012 lorsque les deux hommes s'opposaient au sujet d'une éventuelle nationalisation du site sidérurgique de Florange. Selon les deux journalistes,  M. Montebourg aurait alors dit par téléphone à M. Ayrault: "Tu fais chier la terre entière avec ton aéroport de Notre-Dame-des-Landes, tu gères la  France comme le conseil municipal de Nantes".  "Oui", confirme M. Ayrault dans le JDD, le ministre, qui s'était présenté contre lui en 2007 à la présidence du groupe PS à l'Assemblée, lui a bien lancé ces attaques. Ce qui ne l'a pas empêché de rester au gouvernement, voyant même sa cote de popularité grimper quand celle des deux têtes de l'exécutif ne cesse de baisser depuis mai 2012.
 
Au risque de voir son autorité un peu plus écornée, M. Ayrault préfère vanter le travail d'"équipe" et le jeu "collectif". "Ce qui compte pour moi, c'est l'action de mon gouvernement pour le redressement du pays, sous l'autorité du chef de l'Etat", affirme-t-il dans le JDD.  Un chef de l'Etat qui n'a jamais cité son Premier ministre en 75 minutes d'interview jeudi soir sur France 2, sans que M. Ayrault veuille y voir malice.  "J'ai été associé étroitement à la préparation de cette émission", souligne-t-il. "Je me sens totalement solidaire et totalement associé à ce qu'il fait". Selon lui, "jeudi soir, les Français attendaient le président et il a voulu affirmer de manière très forte qu'il était bien à la barre". "Nous savons où nous allons. Avec le président, on marche main dans la main", assure l'ancien maire de Nantes. Même tonalité dans l'entourage du chef de l'Etat où l'on ne pense pas que cet oubli ait été "délibéré". "Cela traduit simplement le fait que le président était lui très présent, très concerné", explique un proche du Président. Une façon de voir les choses ».
- Var-Matin, vendredi 3 mai 2013 : Benoît Hamon : « Oui, notre politique va porter ses fruits » - « L'opposition ne propose rien ».
- Var-Matin, mercredi 15 mai 2013 : « Jean-Sébastien Vialatte, un tweet et une polémique nationale » - Un message du député-maire de Six-Fours, assimilant les casseurs du PSG à « des descendants d'esclaves [ils ont des excuses et Taubira va leur donner une compensation] », a provoqué un tollé hier, obligeant Jean-François Copé à réagir - L'élu varois s'est exprimé hier, regrettant un « malheureux amalgame », un « tweet maladroit », une « connerie », « le tweet concerne Mme Taubira et sa proposition d'indemniser les descendants d'esclaves. Il y en a assez de la repentance et des lois mémorielles ».
- MYTF1News, 16 mai 2013 : Vers un remaniement : qui sont les ministres les plus (im)populaires ? Alors que François Hollande donne ce jeudi la 2e grande conférence de presse de son mandat, découvrez avec notre visuel quels sont les membres du gouvernement qui recueillent le plus d'opinions positives. Aucun ne dépasse les 50%. Alors que les rumeurs de remaniement se font de plus en plus insistantes, la cote de popularité des ministres et son évolution sur les derniers mois vont être scrutées avec insistance par les observateurs. A ce petit jeu, Manuel Valls est en tête avec 37% d'opinions positives, mais avec une perte de quatre points depuis juin 2012. Christiane Taubira suit loin derrière avec 28%, en hausse modérée (+2 points). Mais une hausse significative : c'est la seule de tout le panel ! Derrière, c'est la chute libre pour Laurent Fabius et Arnaud Montebourg, qui perdent chacun 11 points en un an pour s'établir respectivement à 24 et 23% d'opinions positives, juste devant Najat Vallaud-Belkacem (22%), également en forte baisse (-8). Le palme d'or du plus beau gadin est à mettre à l'actif de Pierre Moscovici. Avec -13 points, le patron de Bercy s'installe à 19%.
- Var-Matin, lundi 27 mai 2013 : Mélenchon : Les Français ont été mystifiés » - « Appeler à voter Hollande ne valait pas la signature d'un chèque en blanc » - « Pourquoi suit-il de manière servile la politique de Mme Merkel ? ».
- Var-Matin, jeudi 7 juin 2013 : « Electricité : nouvelles hausses en perspective - La commission de l'électricité évoque une augmentation de 6,8 à 9,6 % cet été ».
- Var-Matin, mercredi 26 juin 2013 : « Ayrault dément tout dérapage des dépenses publiques »
- MYTF1News, jeudi 27 juin 2013 : « Dérapage du déficit : Ayrault donne raison à la cour des comptes » - « Les prévisions de la Cour des comptes, qui table sur un dérapage du déficit public en 2013, sont "malheureusement" exactes, assure Jean-Marc Ayrault. "Je pense que pour 2013, malheureusement, du fait de l'absence de croissance, ce que dit la Cour des comptes est vrai ».
- MYTF1News, 10 juillet 2013 : « Pierre Moscovici estime que la croissance va se raffermir au cours des prochains mois - Le ministre de l'Économie et des Finances, Pierre Moscovici, a déclaré mercredi s'attendre à une croissance de 0,2% au 2e trimestre ».
- MYTF1News, 10 août 2013 : « Moscovici revoit à la baisse sa prévision de croissance 2013, Woerth ironise - Le ministre de l'Économie a revu à la baisse sa prévision de croissance pour 2013, tout en annonçant un retour de la croissance en 2014. L'ancien ministre UMP Eric Woerth a estimé que Pierre Moscovici devait souffrir d'"une légère insolation" pour faire ces deux annonces en même temps ».
- MYTF1News, 11 août 2013 : « Moscovici assure ne pas avoir revu à la baisse la croissance - Le ministre de l'Économie a donné une interview à Nice-matin dans laquelle il donnait une fourchette comprise entre -0,1% et +0,1% pour la croissance en 2013 tandis que le gouvernement tablait jusqu'alors sur une hausse de 0,1%. Pour Pierre Moscovici, ce n'est en aucun cas une révision ».
- MYTF1News, 13 août 2013 : « "L'économie va mieux", répète Moscovici - Le ministre de l'Économie Pierre Moscovici a assuré mardi à des journalistes à Bayonne que l'économie française "va mieux" et qu'"elle est sortie de la récession", sans mention aucune de prévision de croissance ».
- MYTF1News, 14 août 2013 : « Ayrault sur la croissance : "Ces chiffres nous confortent dans notre stratégie" - Le produit intérieur brut de la France a rebondi de 0,5% au deuxième trimestre, selon l'Insee. C'est la plus importante hausse depuis le premier trimestre 2011. L'emploi salarié est quant à lui en net repli, avec 27.800 postes en moins ».
- MYTF1News, 17 septembre 2013 : « Ayrault : la pause fiscale ne sera "effective" qu'en 2015 - Le Premier ministre admet que la pression fiscale ne connaîtra qu'un "ralentissement" en 2014, dans une interview à Metronews. Jean-Marc Ayrault a également défendu sa réforme des retraites et la politique de l'emploi du gouvernement ».
- MYTF1News, 19 septembre 2013 : « Impôts : la gauche s'inquiète, la droite pilonne - Le couac sur "la pause fiscale" décrétée par François Hollande permet à la droite de battre le terrain sur le thème des impôts. L'UMP sort 1,5 million de tracts et 100 000 affiches sur ce thème ».
- MYTF1News, 1er octobre 2013 : « Croissance : Paris vise 1,7% du PIB en 2015 puis 2% par an en 2016-17 - Le gouvernement prévoit que la croissance du PIB progressera de 1,7% en 2015 puis de 2% par an en 2016 et 2017, selon un rapport adressé mardi à Bruxelles. Le taux de prélèvements obligatoires baissera en 2017, à 45,8% du PIB après 46,1% entre 2014 et 2016 ».
- Var-Matin, vendredi 8 novembre 2013 : Chevènement : « Le PS doit faire la police en son sein - L'ancien ministre de François Mitterrand appelle les socialistes à mettre « une peu de cohérence dans leurs actions » et le gouvernement « à changer d'orientation politique ».
- MYTF1News, 10 novembre 2013 : « Moscovici promet une baisse des impôts après 2015 - Le ministre de l'Économie a promis dimanche une stabilisation des prélèvements obligatoires en 2015, puis une baisse, indiquant que "payer ses impôts, c'est un acte citoyen" ».

- Blog de Marc Vuillemot, 15 novembre 2013 : « Notre peuple est étranglé : il faut un changement de cap - Quand Marie-Noëlle Lienemann, sénatrice socialiste, a souhaité il y a une dizaine de jours un “changement de cap et d’équipe” gouvernementale, appelant François Hollande à proposer “un nouveau pacte” aux forces de gauche “qui ont fait sa victoire”, pour une “deuxième étape du quinquennat”, je me suis questionné, moi qui suis pourtant un « de l’aile gauche » du parti socialiste, me demandant si nous n'étions pas trop pressés et s'il n'y avait pas nécessité d'accepter une phase de gestion un peu rude, en espérant qu’elle ne s’éternise pas, pour mieux pouvoir, ensuite, jouer le rôle social que notre peuple attend des socialistes gouvernants ? Mais quand c’est Anne Hidalgo, qu’on ne peut pourtant pas classer dans les plus « gauchos » du PS, qui dit ce dimanche qu’il « faut donner des signes, et des signes assez rapides » en appelant le Chef de l’État à un remaniement ministériel, c’est que ce que mes concitoyens et la plupart de mes camarades socialistes me disent aujourd’hui semble fondé : notre peuple attend autre chose de nous ! (...) »
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MYTF1News, 12 novembre 2013 : « Mélenchon: "Ayrault a besoin de longues vacances" - Pour le leader du Front de gauche, Jean-Marc Ayrault est "une erreur de casting". Quant à l'impopularité record de François Hollande, "il faut qu'il reste optimiste. Il peut faire pire", a ironisé Jean-Marc Mélenchon ».
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MYTF1News, 14 novembre 2013 : « Une note confidentielle des préfets évoque un climat d'exaspération - Ras le bol fiscal, exaspération sociale, une note mensuelle transmise par les préfets sur le climat et que Le Figaro s'est procurée met en garde les pouvoirs publics. Les préfets s'inquiètent notamment d'un risque d'extension de la fronde fiscal au-delà du dossier de l'écotaxe ».
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MYTF1News, 14 novembre 2013 : « Croissance en baisse au 3e trimestre : Moscovici n'y voit pas un signe de "déclin" - L'Insee a annoncé jeudi que me produit intérieur brut de la France a reculé de 0,1% au troisième trimestre 2013 après son rebond de 0,5% au deuxième. "Ce repli n'est pas un indicateur de déclin", a réagi la ministre de l'Économie ».
- MYTF1News, 15 novembre 2013 : « Six Français sur dix veulent le départ de Jean-Marc Ayrault - Selon un sondage BVA pour Le Parisien et iTélé, 63% des Français souhaitent le départ de Jean-Marc Ayrault et 52% sont favorables à une dissolution de l'Assemblée nationale ».
- MYTF1News, 5 décembre 2013 : « Ayrault plus impopulaire que Hollande - Nouveau record d'impopularité pour François Hollande et Jean-Marc Ayrault qui chutent respectivement à 24% et 22% de confiance dans un sondage CSA pour les Échos dévoilé jeudi ».
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MYTF1News, 5 décembre 2013 : « Ayrault dans le viseur des prétendants à Matignon ? - La presse se fait l'écho ce vendredi de dissensions de plus en plus fortes entre le Premier ministre et les principaux membres du gouvernement. Plusieurs militeraient notamment en coulisses pour son départ. Avec l'idée de s'installer à sa place. Qui veut la peau de Jean-Marc Ayrault ? A en croire la presse, notamment les articles publiés par Le Monde et par L'Opinion jeudi et vendredi, une bonne partie des membres du gouvernement et des poids-lourds de la majorité s'agiteraient en coulisses pour obtenir le départ du Premier ministre ».
- MYTF1News, 16 janvier 2014 : « Le déficit budgétaire 2013 de la France devrait s'élever à 74,9 milliards d'euros, en amélioration de 12 milliards en un an mais plus lourd que prévu dans le collectif budgétaire de l'automne dernier, selon des chiffres dévoilés jeudi soir par Bercy ».
- MYTF1News, 2 mars 2014 : « Jean-Marc Ayrault se dit "favorable", dimanche dans Le Parisien, à un gouvernement resserré, une formule qui existe dans d'autres pays européens et qui selon lui "ne marche pas plus mal".
- MYTF1News, 28 février 2014 : « Royal ministrable, Ayrault reconduit : les pistes d'un remaniement se précisent - Un remaniement ministériel pourrait bien avoir lieu après les élections municipales du mois prochain. Départ des Verts, arrivée de Ségolène Royal... Le point sur les pistes avancées ».
- MYTF1News, 2 mars 2014: « Palmarès des ministres : Fabius et Le Drian en tête - Le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius (61 %) détrône celui de l'Intérieur, Manuel Valls (53 %), à l'indice de satisfaction des Français à l'égard des membres du gouvernement mesuré par l'Ifop pour le Journal du Dimanche du 2 mars ».
- MYTF1News, 17 mars 2014: « Sondage : Taubira dégringole, Juppé chouchou des Français - La cote de popularité de Christiane Taubira a enregistré une baisse de 8 points en mars selon le baromètre Ipsos pour Le Point, publié ce lundi. Le maire de Bordeaux, Alain Juppé, devient par ailleurs la personnalité politique préférée des Français. Les atermoiements de Christiane Taubira (voir la vidéo ci-dessus) dans l'affaire des écoutes de Nicolas Sarkozy n'auront pas été sans conséquence. Selon le baromètre Ipsos pour Le Point, publié ce lundi, la cote de popularité de la Garde des sceaux perd en mars 8 points, désormais à 31% d'opinions favorables. Elle perd notamment 6 points auprès des sympathisants PS. La cote de popularité de François Hollande a en revanche enregistré une hausse d'un point en mars. Selon ce sondage, 22% des Français portent un jugement favorable sur l'action du chef de l'Etat. Il enregistre ainsi une hausse d'un point au mois de mars. 74 % (-2 par rapport à février) des sondés émettent au contraire un jugement défavorable sur son action. Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault voit lui sa cote se stabiliser à 22% d'opinions favorables, contre 68 % (-3) de jugements défavorables ».
- MYTF1News, 25 mars 2014: « Un remaniement après les municipales ? Haro sur Ayrault - Le ministre du Travail a admis mardi qu'"il faudra changer" pour tenir compte de "la colère" exprimée contre le gouvernement au premier tour des municipales, et ce avec le "Premier ministre que le président choisira". Plusieurs voix à gauche ont également pris fait et cause en faveur d'un changement de Premier ministre. Deux jours après la débâcle du premier tour des municipales, l'avenir de Jean-Marc Ayrault est plus que jamais en suspens ».
- MYTF1News, 26 mars 2014 : « Poussée du chômage en février : +31.500 demandeurs d'emploi - Nouvelle hausse et forte hausse : le chômage a augmenté en février de 0,9 %, atteignant le niveau record de 3.347.700 demandeurs d'emploi. Toutes catégories confondues, le chômage touche 4,93 millions de personnes - Dans un communiqué, le ministère du Travail a admis "une progression marquée" et appelé à "amplifier encore" la mobilisation ».

- Var-Matin, mardi 25 mars 2014 : « Près de huit français sur dix réclament un remaniement - Baromètre mensuel BVA-Orange : L'exécutif est stable à un niveau catastrophique. Conséquence : les Français veulent des changements dans le gouvernement et - surtout - un nouveau Premier ministre ».
- Var-Matin, jeudi 27 mars 2014 : « Compte à rebours pour le gouvernement Ayrault - François Hollande a invité, hier, le gouvernement « à travailler au redressement avec plus de rapidité ». Mais le nom de Manuel Valls circule déjà pour Matignon... ».
- MYTF1News, 31 mars 2014 : « Dernier tête-à-tête Hollande/Ayrault, Valls fait ses cartons : revivez le film de la journée de lundi ».

Le gouvernement Valls (avril 2014 - )

- MYTF1News, 31 mars 2014 : « Valls à Matignon, baisse des impôts, pacte de solidarité... Les trois annonces de Hollande - François Hollande s'est exprimé lundi soir à l'issue de la lourde défaite de la majorité aux municipales. Il a officialisé la nomination de Manuel Valls à Matignon et a détaillé sa feuille de route pour les prochain mois - Huit minutes ! C'est la durée de l'intervention de François Hollande lundi soir. Huit minutes au cours desquelles il a à la fois fait le constat de la débâcle de la majorité aux municipales et dressé la feuille de route de son nouveau Premier ministre, Manuel Valls. "Vous avez exprimé votre mécontentement et votre déception. J'ai entendu votre message" a lancé le chef de l'Etat - Pas assez de changement, trop de lenteur, pas assez de justice sociale, trop de chômage... François Hollande a visiblement pris la mesure des reproches que les Français font à son action. Mais il n'a néanmoins pas l'intention de changer de cap. Il a réaffirmé sa volonté de mener à bien le pacte de responsabilité. Il a seulement concédé l'ouverture d'une "nouvelle étape" avec la nomination de Manuel Valls à la tête d'un "gouvernement de combat" et d'une "équipe resserrée, cohérente et soudée " - "La France connaît une crise civique, et même morale" : Trois chantiers ont été confiés à l'ex-locataire de la place Beauvau. Tout d'abord, "redonner force à notre économie". Mais François Hollande est resté très évasif sur la méthode. Deuxième objectif : la justice sociale. "Au pacte de responsabilité, doit correspondre un pacte de solidarité dont le premier pilier est l'éducation et la formation de la jeunesse; le second,  c'est la sécurité sociale avec la priorité donnée à la Santé ; et le troisième, c'est le pouvoir d'achat avec une diminution des impôts des Français d'ici 2017. Le président de la République François Hollande a aussi affirmé que les baisses de cotisations patronales de 30 milliards d'euros dans le cadre du pacte de responsabilité porteraient "en particulier sur les bas salaires" - Enfin, François Hollande est implicitement revenu sur la percée du FN lors des municipales. "La France souffre de ses divisions", a-t-il dit. "Elle connaît une crise civique, et même morale. Elle subit une contestation de ses institutions y compris de sa Justice. Elle perd son énergie dans de vaines querelles. Elle cultive une angoisse que les extrêmes utilisent pour attiser les haines et les rejets", a-t-il ajouté. Mais "la République est notre bien commun. Je ne laisserai aucune de ses valeurs être abîmée ou froissée, où que ce soit sur le territoire national. Aucune forme d'exclusion, de stigmatisation, pas plus que de communautarisme, ne sera tolérée", a affirmé le chef de l'Etat.
- Var-Matin, mardi 1er avril 2014 : « Hollande remplace Ayrault - Le joker Valls - Il est chargé de former un gouvernement de combat : avec qui et pourquoi faire ? ».
- MYTF1News, 2 avril 2014 : « Le secrétaire général de l'Elysée a annoncé à 11h20 un gouvernement de 16 ministres, totalement paritaire - Royal, Montebourg, Peillon... Les partants, les entrants, les promus du gouvernement Valls ».
- MYTF1News, 2 avril 2014 : « Manuel Valls : ce qu'il faut retenir de son intervention sur TF1 - Nommé lundi à Matignon, le nouveau Premier ministre a donné sur TF1 sa première interview. Il a livré les objectifs que lui a fixé François Hollande et détaillé sa feuille de route. Que fait-il retenir de son interview ? - 1) Répondre au message des Français - 2) Mettre en œuvre le projet de Hollande - 3) Poursuivre le travail engagé mais aller plus vite - 4) La lutte contre le chômage reste LA priorité - 5) Réduire les déficits car "il n'y a pas d'autres choix" - 6) Etablir un véritable contrat avec les parlementaires de la majorité ».
- Var-Matin, jeudi 3 avril 2014 : « Seize ministres nommés hier - Au combat ».
- MYTF1News, 9 avril 2014 : « Huit jours après sa nomination à Matignon, Manuel Valls a déjà fait oublier son prédécesseur dans l'opinion. D'après le baromètre Ifop-Match, le nouveau Premier ministre récolte 58% de bonnes opinions contre 28% pour Jean-Marc Ayrault il y a dix jours ! Même François Hollande en profite. La situation économique de la France n'a pas changé en huit jours. Mais pour les François Hollande et Manuel Valls, le changement de casting à la tête de l'Etat a déjà des conséquences positives. François Hollande a ainsi gagné trois points d'approbation en un mois, à 26%, et Manuel Valls commence son séjour à Matignon à 58%, 30 points au-dessus de son prédécesseur au moment de son départ, dans le  baromètre Ifop-Paris Match à paraître jeudi. Pour plus d'un Français sur deux, Valls est capable de sortir le pays de la crise. Selon cette enquête d'opinion, l'action du chef de l'Etat reçoit 26%  d'approbation contre 23% en mars. Le taux de ceux qui désapprouvent reste massif mais perd deux points, à 74%. Son nouveau Premier ministre entame son mandat avec un capital de 58% de confiance, alors que Jean-Marc Ayrault avait achevé le sien à 28%. 68% des personnes interrogées jugent que Manuel Valls "dirige bien son gouvernement", 66% voient en lui "un homme de dialogue" et 63% le jugent "proche des préoccupations" des Français. Un peu plus de un sur deux (51%) le considèrent comme "capable de sortir le pays de la crise". Pour 64% (+1), l'opposition ne ferait pas mieux que le gouvernement actuel  si elle était au pouvoir. 36% (inchangé) sont d'un avis inverse.
- MYTF1News, 9 avril 2014: « France: le gouvernement de Manuel Valls est au complet - Dernier épisode de l'arrivée de Manuel Valls à Matignon, au lendemain de son discours de politique générale devant l'Assemblée nationale, avec l'annonce ce mercredi 9 avril de la liste des 14 secrétaires d'Etat venant compléter l'équipe gouvernementale nommée la semaine dernière - La liste des secrétaires d'Etat du gouvernement de Manuel Valls a été annoncée ce mercredi par le secrétaire général de l'Elysée, Pierre-René Lemas qui, lui-même, va être remplacé le 16 avril par Jean-Pierre Jouyet (...).
- MYTF1News, 9 avril 2014: « Désir, Le Guen, Pellerin, Fourneyron... La liste des 14 nouveaux secrétaires d'Etat ».
- Var-Matin, mercredi 9 avril 2014 : « Grand oral réussi pour Manuel Valls » - « Le Premier ministre a prononcé hier son discours de politique générale avec comme ligne de mire un plan d'économies de cinquante milliards d'euros. 306 députés lui ont accordé leur confiance contre 239 » - « Quelle majorité pour Matignon ? » - « Valls et l'ambitieuse feuille de route ».
- Var-Matin, jeudi 10 avril 2014 : « Hollande et Valls parachèvent la mue de l'exécutif de combat : quatorze secrétaires d'état et la parité respectée. Mais l'exfiltration du n° 1 du PS, Harlem Désir aux Affaires européennes est perçue comme une prime à l'échec par certains... socialistes ! »
- MYTF1News, 13 avril 2014 et Var-Matin, lundi 14 avril 2014 : « 18% vs 58% de popularité : Hollande-Valls à 40 points d'écart dans un sondage » - « La cote de popularité de François Hollande a chuté de cinq points en avril, à 18%, le plus bas niveau jamais atteint depuis deux ans, tandis que celle de Manuel Valls, tout nouveau Premier ministre, s'affiche à 58%, selon le baromètre mensuel Ifop pour le Journal du dimanche. (...) Quant à Manuel Valls, testé pour la première fois en sa qualité de Premier ministre, ses 58% font de lui le chef de gouvernement le plus populaire en début de mandat (en prenant en compte les scores à leurs débuts des "deuxièmes" chefs de gouvernement d'un mandat présidentiel). A titre de comparaison, Dominique de Villepin en juin 2005 enregistrait un indice de popularité de 44%, et Laurent Fabius de 29% en août 1984. Celui-ci venait alors de succéder au premier Premier ministre de François Mitterrand, Pierre Mauroy. Surtout, relève l'Ifop, un tel écart de 40 points entre les cotes de popularité du président de la République et du Premier ministre n'a jamais été vu depuis 1958 (hors cohabitations).
- Var-Matin, lundi 14 avril 2014 : « Grand écart de popularité entre Hollande et Valls - 40 points séparent me président de son Premier ministre, selon le dernier baromètre Ifop [du jamais vu depuis 1958 (hors cohabitations)]. Avec 18 % de satisfaits, le président n'est jamais tombé si bas - Deux pilotes, mais un seul commandant - Une forme de cohabitation... ».
- MYTF1News, 15 avril 2014: « Déficit public : la France ne demandera pas de délai supplémentaire à Bruxelles - La France a finalement renoncé à demander un report de son objectif de ramener son déficit public sous la barre des 3% du PIB en 2015. La semaine dernière, Bruxelles avait exhorté Paris de respecter ses engagements - La France entend respecter son engagement de ramener son déficit public sous la barre des 3% du PIB en 2015. Cet objectif s'annonce toutefois difficile à tenir. Le gouvernement avait un temps envisagé de demander un délai supplémentaire mais Bruxelles a fait comprendre à la France qu'il en était hors de question, révèle ce mardi Le Figaro. "J'ai toujours dit que je n'ai pas cherché de délai", déclare Michel Sapin , joint par l'AFP, réaffirmant l'objectif de fin 2015 auquel il s'était engagé à son arrivée jeudi à Washington pour une série de réunions du G7, du G20, du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale - En effet, jeudi dernier, deux collaborateurs de François Hollande, Emmanuel Macron secrétaire général adjoint à l'Elysée et Philippe Léglise-Costa, secrétaire général aux Affaires européennes, se sont rendus à Bruxelles pour discuter d'un éventuel délai. La réponse de la Commission européenne fut catégorique, la France a des engagements et elle doit les respecter. Un son de cloche analogue que le vice-président de la Commission européenne, Siim Kallas, a martelé à Michel Sapin la semaine dernière à Washington. Aucun délai supplémentaire ne sera accordé à Paris ».
- Var-Matin, mardi 15 avril 2014 : « Plan Hollande : où trouver les 50 milliards d'économie ? » - « Manuel Valls présente aujourd'hui son plan d'assainissement des finances publiques. Suffira-t-il à atteindre l'objectif du retour à 3 % de déficit réclamé pour 2015 réclamé par l'UE ? ».
- MYTF1News, 16 avril 2014 : « Valls : "nous ne pouvons plus vivre au-dessus de nos moyens" » - « Face aux critiques de sa majorité, Manuel Valls a fait lui-même le service après-vente de son plan d'économies mercredi au 20h de France 2. Le Premier ministre a réfuté tout « plan d'austérité, affirmant qu' il ne faisait qu'appliquer la politique décidée le 14 janvier par le président de la République. En début de soirée, François Hollande avait lui-même défini la ligne. Une feuille de route "difficile", a reconnu le chef de l'Etat, tout en ajoutant que "rien n'est pire que l'immobilisme". « Il faut réformer le plus possible notre pays », a-t-il poursuivi ».
- Var-Matin, mardi 22 avril 2014 : « Pacte de stabilité : des économies sans précédent. La trajectoire budgétaire a été présentée hier en Conseil des ministres. Le gouvernement s'engage à réduire son déficit à 3 % d'ici 2015 ».
Manuel Valls prend la mesure du ras-le-bol fiscal - Le Premier ministre a rappelé hier soir sur TF1 qu'il était en train de travailler à une mesure destinée à alléger les impôts sur les ménages les plus modestes ».


- lci.tf1.fr, 20 juillet 2014 : « Popularité : Valls pour la première fois sous la barre des 50% - Le Premier ministre Manuel Valls perd six points au mois de juillet dans le baromètre IFOP/JDD et voit le taux de personnes satisfaites de son action passer sous les 50%. François Hollande reste stable à 18% - Depuis son entrée à Matignon, Manuel Valls était parvenu à conserver un indice de popularité positif. Mais l'état de grâce semble terminé pour le Premier ministre. Selon le baromètre IFOP pour le Journal du Dimanche, 45% des personnes interrogées se déclarent satisfaites de l'action du chef du gouvernement au mois de juillet. Manuel Valls perd six points et surtout recueille plus de mécontents que de satisfaits, une première. Dans la précédente vague, il perdait déjà 5% de personnes satisfaites - L'explication de cette chute dans les sondages est à chercher du côté des sympathisants du Front de Gauche qui accusent Manuel Valls de s'être "allongé devant les patrons", mais aussi du côté de son impopularité grandissante chez les sympathisants UMP ou parmi les commerçants, les artisans et les chefs d'entreprise ».

- Var-Matin, lundi 18 août 2014 : « Valls droit dans ses bottes - Le Premier ministre a averti l'aile gauche du PS qu'il était « hors de question » de changer de politique économique et s'apprête à défendre ce modèle en Europe - Garder le cap, dire la vérité aux Français... et séduire les partenaires de l'UE ».
- Var-Matin, mercredi 20 août 2014 : « Dure, dure, la rentrée pour le conseil des ministres - Alors que l'économie stagne, le gouvernement compte sur la poursuite de sa politique pour sortir la France de la crise. Au risque de rater son année ? ».
- MYTF1News, 23 août 2014 : « On ne change pas le cap : Montebourg n'est pas d'accord avec Hollande - Un frondeur au sein même du gouvernement ? "Les choix politiques ne sont pas figés", affirme le ministre dans une interview au Monde, alors que François Hollande répète à l'envi vouloir maintenir le cap économique. Arnaud Montebourg appelle aussi à "hausser le ton" face à l'Allemagne ».
- Var-Matin, dimanche 24 août 2014 : « Changer de cap économique » : Montebourg défie Hollande - Le Ministre de l'Economie se livre dans Le Monde à une charge contre la politique d'austérité » - Cécile Duflot : « Le Président ne fait pas la politique qu'il s'était engagé à mener ».
- MYTF1News, 25 août 2014 : « Fronde au PS : la presse affligée par le spectacle de la "pétaudière" gouvernementale - "Bateau ivre", "rafiot qui prend l'eau de toute part", "pétaudière"... La presse de lundi est atterrée par la "crise gouvernementale" ouverte ce week-end après les critiques d'Arnaud Montebourg et Benoît Hamon contre la ligne Hollande/Valls - "Crise ouverte" pour Le Parisien, "tir de bazooka" pour le Figaro, "défi à Valls" pour Libération... : les titres sont directs et les critiques vont dans le même sens ce lundi dans la presse au sortir d'un week-end marqué par la fronde des ministres Arnaud Montebourg et Benoît Hamon qui ont ouvertement critiqué la politique économique menée actuellement par le gouvernement. "La chose est inhabituelle : le ministre de l'Economie trouve que la politique économique du gouvernement - la sienne, donc - est mauvaise", écrit dans un euphémisme Laurent Joffrin de Libération ».
- Var-Matin, lundi 25 août 2014 : « Crise au PS : Hamon rejoint Montebourg - Jeu d'équilibristes - Une ligne jaune franchie, selon Manuel Valls » - « La popularité de Valls en forte baisse : une plongée de 9 points, à 36 % »
- MYTF1News, 25 août 2014 : « Démission du gouvernement : "Valls n'a plus que son autorité pour se défendre" - Réagissant à l'annonce de la démission du gouvernement, Arlette Chabot a estimé que le Premier ministre était dans une situation "difficile". "Manuel Valls se bat pour une politique contestée, sa cote de popularité est en chute libre, il ne lui reste que son autorité pour se défendre", a déclaré Arlette Chabot sur LCI. Concernant Arnaud Montebourg, "soit il se soumet, soit il ne fera pas parti du prochain gouvernement" ».
- MYTF1News, 25 août 2014 : « Remaniement : Montebourg, Hamon et Filippetti quittent le gouvernement, les explications de Montebourg sur TF1 - Après la fronde de son ministre de l'Economie ce week-end, Manuel Valls a présenté ce lundi matin la démission de son gouvernement. Il reçoit depuis les différents ministres afin de composer sa nouvelle équipe, qui sera dévoilée demain. Arnaud Montebourg a indiqué qu'il n'en ferait pas partie et affirmé au JT de TF1 : "je vais chercher un travail" ».
- Var-Matin, mardi 26 août 2014 : « Valls vire les frondeurs » - « Un nouveau gouvernement, sans Montebourg, Hamon ni Filipetti doit être annoncé aujourd'hui ».
- Var-Matin, mercredi 27 août 2014 : « Tout ça pour ça » - « Remaniement a minima hier. Macron remplace Montebourg à l'Économie et la météorite Najat Vallaud-Belkacem succède à Hamon à l'Éducation » - « Valls II : la dernière chance pour Hollande » - Cayrol : « Valls 2 est le petit frère de Valls 1 ».
- Var-Matin, jeudi 28 août 2014 : « Standing ovation pour Valls à l'université d'été du Medef » - « J'aime l'entreprise », a lancé, hier, le Premier ministre, très applaudi en retour par les patrons qui apprécient l'arrivée du nouveau ministre de l'Économie à Bercy - Pas de cadeaux aux patrons - Le discours devras se transformer en actes » - « Chômage : hausse record en juillet : 0,8 % (+ 26 100 inscrits) » - « Économie : 75 % des Français ne font confiance ni à Hollande ni à Valls ».
- MYTF1News, 28 août 2014 : « Le nouveau ministre de l'Economie favorable à "déroger" aux 35h - Dans une interview au Point réalisée la veille de sa nomination à Bercy, Emmanuel Macron, le successeur d'Arnaud Montebourg, se dit favorable au fait d'autoriser "les entreprises et les branches à déroger" aux 35 heures en cas d'accords avec les syndicats- Certes, l'entretien a été réalisé lundi. Emmanuel Macron n'était donc pas encore le ministre de l'Economie. Mais les propos tenus au Point par le nouveau patron de Bercy, décrié par une bonne partie de la gauche pour ses liens avec le monde de la finance, ne manqueront pas de faire réagir - Et c'était probablement le but puisque Emmanuel Macron, nommé entre-temps au gouvernement, n'a pas demandé au magazine de suspendre la publication de cette interview -sa toute première à la presse française. Une publication qui intervient en outre au lendemain de l'ovation reçue par Manuel Valls au Medef - "Sortir du piège de l'accumulation des droits" ».
- Var-Matin, dimanche 31 août 2014 : « Valls droit dans ses bottes face aux frondeurs du PS - Dans un discours enflammé, alterné de huées et d'ovations, le Premier ministre s'est efforcé hier à La Rochelle, de redonner un cap à ses socialistes déboussolés - Pour calmer la « gauche du PS », Manuel Valls a affirmé, hier, qu'il ne toucherait pas à la semaine de 35 heures - Nouveaux gestes fiscaux - Soutenir Hollande - La BCE doit faire baisser l'euro - Encadrement des loyers : Valls calme le jeu avec Aubry ».
- Var-Matin, dimanche 31 août 2014 : Marine Le Pen : « L'équipe « Valls II » ne survivra pas à l'hiver - Dissolution inévitable - 65 % des Français pour modifier les 35 heures ».



- MYTF1News, 16 septembre 2014 : « Valls obtient la confiance mais sans la majorité absolue : parole de frondeurs - Malgré la confiance que l'Assemblée nationale a accordée mardi à Manuel Valls, 31 ou 32 parlementaires de la majorité se sont abstenus. Ils étaient 11 lors du dernier vote de confiance en avril. Mais 41 lors du vote du budget. Voici ce qu'en disent les frondeurs - Il n'aura pas réussi à convaincre tous les députés socialistes. Manuel Valls a de nouveau obtenu mardi la confiance de l'Assemblée, comme en avril dernier, mais avec une majorité seulement relative et non plus absolue. Ce qui augure de lendemains difficiles pour le gouvernement au Parlement - Le Premier ministre, qui a revendiqué de "chercher la confiance, surtout quand c'est difficile", a rallié 269 voix (contre 244 et 53 abstentions), soit bien en-dessous du seuil des 289 voix de majorité absolue (voir notre infographie ci-dessous). Parmi les 53 abstentions, 31 socialistes et apparentés et 17 écologistes. Les députés lui avaient accordé 306 voix (contre 239 et 26 abstentions) le 8 avril dernier après sa première déclaration de politique générale. La montée des abstentions socialistes et écologistes a abouti au nombre de voix "pour" lors d'un vote de confiance le plus faible depuis 1986, date à laquelle l'Assemblée nationale compte 577 députés, selon une source parlementaire. Refusant le terme de "sursis" en jugeant la majorité "claire", le chef du gouvernement a fait valoir, sur le plateau de TF1, qu'il n'y avait "pas de majorité alternative" ».
- Var-Matin, mercredi 17 septembre 2014 : « L'assemblée a renouvelé sa confiance à Manuel Valls par 269 voix contre 306 en avril, soit le plus faible nombre de voix favorables depuis 1986 - Le Premier ministre s'est montré réaliste, dramatisant, volontaire - Un succès en demi-teinte - Pas de remise en cause des 35 heures - Sarkozy, le rival... - Un député PS frondeur : « Un petit geste en faveur du minimum vieillesse ne fait pas une grande ambition » - Tenir, tenir et toujours tenir ».
- Var-Matin, jeudi 2 octobre 2014 : « Projet de budget 2015 : priorité à la croissance devant le déficit - Le document présenté hier en Conseil des ministres confirme 21 milliards d'économies et une baisse des prélèvements des entreprises pour doper l'emploi - Discussion compliquée en vue avec Bruxelles - 3 millions de foyer devraient sortir de l'impôt - Une « saignée » des classes moyennes ? ».
- MYTF1News, 10 octobre 2014 : « L'avertissement de l'agence Standard and Poor's à la France - Standard and Poor's a confirmé vendredi la note souveraine de la France à long terme à AA mais a révisé sa perspective de stable à négative. Une analyste de l'agence de notation a détaillé les trois principales raisons de cette décision - L'agence de notation américaine Standard and Poor's a lancé vendredi un avertissement à la France, en révisant la perspective de sa note de solvabilité à long terme "AA" à "négative" contre "stable". Cela signifie que la France a au moins une chance sur trois de voir sa note, la troisième meilleure possible, baisser au cours des 24 prochains mois. Marie-France Raynaud, analyste principale de l'agence de notation pour la France, a détaillé à l'AFP les trois raisons ayant motivé cette décision - Elle a jugé "le déficit budgétaire plus dégradé" que prévu et estimé qu'il pourrait "se dégrader davantage", en raison de "marges de manœuvre réduites sur les recettes". Marie-France Raynaud a par ailleurs souligné que l'objectif de "stabilisation de la dette (était) repoussé" - L'analyste a également jugé qu'il y avait un "risque concernant la mise en œuvre des réformes structurelles annoncées" par le gouvernement, censées relancer la croissance et assainir les finances publiques. "On manque d'antécédents solides en termes de mise en place de réformes en France", a-t-elle souligné, évoquant aussi de possibles résistances sociales - Michel Sapin relativise ».
- V
ar-Matin, 23 octobre 2014 : « Au PS, la fronde vire à la guerre ouverte - Benoît Hamon accuse la politique du gouvernement de « menacer la République », Valls lance une charge contre la « gauche passéiste ».
- MYTF1News, 23 octobre 2014 : « Valls plonge le PS dans une nouvelle crise identitaire - De plus en plus contesté au sein de son parti, Manuel Valls a réaffirmé jeudi qu'il n'entendait pas "dévier" de sa "ligne". Pour calmer les esprits, le Premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, a lancé un appel au cessez-le-feu - Le PS est-il à nouveau au bord de l'implosion ? Le Premier ministre, qui plaide pour une refonte totale de la gauche, défend une politique de rigueur budgétaire critiquée par des parlementaires "frondeurs" qui s'appuient sur une défiance croissante de l'opinion. Selon un sondage Tilder-LCI-OpinionWay réalisé mercredi et jeudi auprès de 1.002 personnes, 67% des Français jugent que sa politique économique n'est pas de gauche - "Le débat, il n'est pas entre socialistes, il est d'abord avec les Français, et moi je ne dévierai pas de ma ligne", a néanmoins répondu Manuel Valls en marge d'un déplacement en Gironde. "Je sais que je dois conduire des réformes. Elles sont nécessaires pour le pays, elles sont nécessaires pour les Français, je ne dévierai pas de cette ligne, rien ne me fera dévier, c'est la bonne ligne", a-t-il ajouté ».
- MYTF1News, 24 octobre 2014 : « Le chômage repart à la hausse en septembre et bat un nouveau record - Le nombre de chômeurs a de nouveau augmenté en septembre, après une légère baisse en août. 19.200 chômeurs supplémentaires ont été recensés le mois dernier (+0,6%), portant à 3.432.500 le nombre total de personnes sans aucune activité - Le chômage repart à la hausse. Après une légère baisse en août, le nombre de demandeurs d'emploi a à nouveau augmenté en septembre, avec 19.200 sans emploi de plus qu'au mois dernier (+0,6%), selon les chiffres de la Dares/Pôle emploi communiqués vendredi. Au total, le nombre de chômeurs de catégorie A (sans aucune activité) s'élève à 3.432.500 - "Au total, le nombre de demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi en catégories A, B, C s'établit à 5.128.200 en France métropolitaine fin septembre 2014 (5.431.500 en France y compris Dom). Ce nombre augmente de 1,0 % (+50.200) au mois de septembre. Sur un an, il augmente de 5,7 %", précise le ministère du Travail dans son communiqué.


- MYTF1News, 4 novembre 2014 : « Budget : Bruxelles ne croit pas aux prévisions de la France - La France ne tiendra pas ses objectifs budgétaires l'an prochain, a estimé mardi la Commission européenne qui table sur un déficit public à 4,5% du PIB en 2015, chiffre qui va encore s'aggraver en 2016 à 4,7%, éloignant le scénario d'un retour sous 3% l'an suivant ».
- MYTF1News, 14 novembre 2014 : « Valls voit dans le chiffre de croissance "un encouragement" à sa politique - Le Premier ministre estime que la croissance de 0,3% enregistrée en France au troisième trimestre est "un encouragement à poursuivre". Le chiffre est meilleur que prévu ».
- MYTF1News, 24 décembre 2014 : « Chômage : 27.400 nouveaux demandeurs d'emploi en novembre - Au mois de novembre, le chômage a continué de progresser. Pôle Emploi a enregistré 27.400 nouveaux demandeurs d'emploi, soit une hausse de 0,8% - Manuel Valls avait annoncé mardi qu'il s'attendait à une nouvelle hausse du chômage en novembre. Et sans surprise, les chiffres communiqués ce mercredi par la Dares sont mauvais. Le nombre de demandeurs d'emploi de catégorie A a augmenté de 27.400 (+0,8%) le mois dernier. A noter que le chômage des seniors a augmenté de manière importante que celui des jeunes, une hausse de 1% chez les plus de 50 ans contre 0,5% chez les moins de 25 ans. Une conséquence selon le ministère du travail de "l'effet positif des emplois d'avenirs" - En revanche, on enregistre une baisse de 0,1% du nombre de demandeurs d'emplois ayant exercé une activité réduite de 78 heures ou moins au cours du mois (catégorie B) et une baisse de 0,5% de ceux qui ont exercé une activité réduite de plus de 78 heures (catégorie C) - Manuel Valls s'est dit mercredi "convaincu" que les dispositifs mis en œuvre par son gouvernement "paieront" et "permettront d'avoir des résultats" pour relancer la croissance et améliorer la situation de l'emploi. "Il y a des perspectives qui sont meilleures, c'est vers ces perspectives qu'il faut se tourner" ».
- MYTF1News, 7 janvier 2015 : «
Faible croissance en France : "L'orgueil national en prend un coup" - Pénalisée par une faible croissance et la baisse de l'euro, la France a perdu en 2014 sa place de cinquième économie mondiale au profit du Royaume-Uni. Vincent Perrault nous explique les raisons »
- MYTF1News, 27 janvier 2015: « Chômage : 2014 année noire, 8100 nouveaux demandeurs d'emploi en décembre - En décembre 2014, le nombre de demandeurs d'emploi inscrits en catégorie A a augmenté de 0,2 %, soit 8 100 personnes supplémentaires, pour s'établir à 3,49 millions - Avec 3,496 millions de chômeurs sans activité en métropole en décembre et 189.100 demandeurs d'emplois supplémentaires en 2014, le président Hollande reste en échec sur le chômage à plus de mi-mandat, les effets du Pacte de responsabilité tardant à se concrétiser. Quelque 8.100 personnes supplémentaires, sans activité, se sont inscrites à Pôle emploi en décembre (+0,2%). Sur l'année, la progression du nombre des chômeurs de cette catégorie (A) a été de 5,7%, comme en 2013. En incluant les chômeurs ayant une activité réduite, 5,21 millions de personnes étaient inscrites à Pôle emploi en métropole, 5,52 millions avec l'Outre-mer ».
- MYTF1News, 25 mars 2015 : « Hausse du chômage en février : +12.800 inscrits soit 3.494.400 chômeurs -
Le taux de chômage repart à la hausse en février, avec une hausse de 0,4%. La France compte 3,49 millions de chômeurs de catégorie A. Mauvaise nouvelle pour le gouvernement. Après une petite baisse en janvier de 0,5%, le taux de chômage en France repart à la hausse en février. Le ministère de l'Emploi annonce 12 800 inscrits en plus. Le nombre de demandeurs d'emploi inscrits en catégorie A s'établit à 3,49 millions de personnes. Le ministre de l'Emploi François Rebsamen a réagi à cette hausse mercredi soir. « Depuis 2008, c'est la première fois que l'on constate une baisse du nombre d'inscrits en catégorie A sur les deux premiers mois de l'année. Le nombre de demandeurs d'emploi de moins de 25 ans en catégorie A poursuit également sa baisse, -0,3 % soit -1 400 personnes par rapport au mois de janvier », affirme-t-il ».
- Var-Matin, 25 mars 2015 : « (Par Denis Jeambar) Le flot continu des sondages fait oublier cette loi fondamentale de la vie publique : les élections transforment toujours profondément le paysage politique, car elles en bousculent les rapports de force. Nous aurons donc un après-29 mars quand sera refermée la séquence choc des départementales. Certes, en prenant la parole dimanche soir dès 20h05, à l’issue du premier tour, Manuel Valls, avec un immense talent, a refermé le couvercle sur le verdict des urnes et imposé sa lecture du scrutin. Le Premier ministre n’a pas crié victoire, mais il a donné le ton : d’abord, en qualifiant d’« honorable » la défaite du Parti socialiste ; ensuite, en s’arrogeant un succès, l’endiguement du Front national, ravalé au rang de deuxième ou troisième parti. De la belle ouvrage, car le chef du gouvernement a imprégné les esprits et fait croire que sa campagne avait été efficace. Depuis dimanche, Manuel Valls enfonce ce clou-là, diabolisant le FN et donnant des leçons de morale à Nicolas Sarkozy, coupable de « ni PS ni FN ». Cette stratégie a le mérite de la cohérence et de l’habileté, mais, à l’heure des résultats définitifs, elle risque de provoquer un rude effet boomerang (...) ». Car, « Depuis 1976, dans ce type d’élection, la gauche n’était jamais descendue en dessous de 40 % ».
- Var-Matin, 26 mars 2015 : « Le chômage repart à la hausse - Coup dur pour la majorité avant le second tour des départementales : l'embellie du début d'année cède le pas. Février enregistre 12 800 demandeurs d'emploi de plus - Des motifs de satisfaction pour le ministre du Travail - Un air de déjà vu - Cambadélis rêve à des lendemains qui chantent ».

Remaniement ministériel du 11 février 2016 :
- Var-Matin, vendredi 12 février 2016 : « 39 ministres « pour agir » et pour faire campagne - Un nouveau gouvernement et des retours. Celui de l'ex-Premier ministre Jean-Marc Ayrault aux Affaires étrangères. Et celui des écologistes... dissidents » - « Le nouveau gouvernement - Un remaniement oui, mais dans quel but ? - Hollande en Président qui veut « bien faire » - Un gouvernement élargi et resserré (par Claude Weill).












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