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- Seyne-sur-Mer,
La Seyne-sur-Mer, La Seyne-sur-Mer
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Les
élections à La Seyne-sur-Mer depuis 1945
-
jcautran.free.fr
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Elections législatives des 10 et 17 juin 2012
(7e circonscription du Var)
Autres
élections législatives : 1945 (C1), 1946, 1946 (C2), 1951,
1956,
1958, 1962, 1967, 1968, 1973,
1978, 1981,
1986,
1988, 1993,
1997, 2002,
2007,
2012, 2017, 2022
|
- Généralités sur ces élections
Les
élections législatives de 2012 se tiennent les 10 et 17
juin (les 3 et 17 juin pour les Français de
l'Étranger) et visent à renouveler leses 577
sièges de l'Assemblée nationale, chambre basse du
Parlement français. Il
s'agit de l'élection de la XIVe législature de la Cinquième
République française.
Tout comme la XIIIe législature qui dura le temps de la
présidence de Nicolas Sarkozy (2007-2012), le mandat des
députés élus en 2012 vaut pour cinq ans, sauf
exercice du droit de dissolution.
Ce scrutin fait partie de la même séquence électorale que
l'élection présidentielle qui s'est tenue les 22 avril et 6 mai 2012 et qui vu l'élection de François Hollande. Il
se déroule selon un mode de scrutin uninominal majoritaire à deux tours
dans chacune des 577 circonscriptions.
On rappelle que, dans un premier temps, le mandat présidentiel
quinquennal avait été instauré en 2000 par voie
référendaire, en lieu et place du septennat en vigueur
depuis la loi du 20 novembre 1873. Ensuite, la loi organique du 15 mai
2001 avait fixé au 3e mardi du mois de juin la fin des pouvoirs
de l'Assemblée nationale, cinq ans après son
élection, soit quelques semaines après l'élection
du président de la République, l'objectif affiché
de cette concordance étant de réduire le risque de
cohabitation et de confirmer le principe de «
légitimité subordonnée », la seconde
élection servant à confirmer la première. Pour
l'année 2012, cinq semaines séparent le second tour de
l'élection du président de la République, le 6
mai, du premier tour de celle des députés
français, le 10 juin.
Ces élections sont aussi marquées par deux changements importants :
1)
Un redécoupage des circonscriptions législatives de 2010
pour tenir compte de l'évolution de la démographie
française et faisant suite à une demande du Conseil
constitutionnel, demande renouvelée depuis 1999 aux
différents gouvernements qui se sont succédé. Le
nombre total de députés, 577, désormais inscrit
dans la Constitution depuis la réforme de la constitution
française de juillet 2008, reste cependant inchangé.
2)
L'élection pour la première fois de députés
représentant les Français établis hors de France.
En effet la réforme de juillet 2008 de la Constitution
française établit que « les Français
établis hors de France sont représentés à
l'Assemblée nationale et au Sénat ». Un projet de
loi a donc été présenté en septembre 2008
en Conseil des ministres pour que les Français établis
hors de France soient désormais représentés
à l'Assemblée nationale avec l'élection de
députés au scrutin uninominal majoritaire à deux
tours (identique au mode d'élection des autres
députés) dans de nouvelles circonscriptions hors du
territoire français. [Jusqu'à présent, les
Français de l'étranger n'étaient
représentés qu'au Sénat avec 12 sénateurs].
La 7e circonscription du Var (La Seyne - Saint-Mandrier - Six-Fours - Bandol - Sanary)
Pour la 7e circonscription du Var, la liste officielle des 14 candidats, s'établit
ainsi
:
- Danièle AZOUT, L'Alliance écologiste indépendante
- Marie-Renée BALTY, Lutte ouvrière
- Frédéric BOCCALETTI, Front National
- Michel CANTINOL, Nouveaux Écologistes du Trèfle
- Michel de MAYNARD, Union des droites
- X, La droite de convictions
- Françoise GUARDIA, La France aux Français
- Damien GUTTIEREZ, MoDem
- Arthur PAECHT, Candidat républicain indépendant
- Henri PASCAL, Nouveau parti anticapitaliste
- Ladislas POLSKI, Majorité présidentielle
- Bernard RAYBAUD, Debout la République
- Christine SAMPÉRÉ, Front de gauche
- Jean-Sébastien VIALATTE, UMP
Tous les candidats, bulletins de vote et professions de foi
- Danièle AZOUT, L'Alliance écologiste indépendante
- Marie-Renée BALTY, Lutte ouvrière
- Frédéric BOCCALETTI, Front national
- Michel CANTINOL, Nouveaux Écologistes du Trèfle
- Michel de MAYNARD, Union des droites
- X, La droite de convictions
- Françoise GUARDIA, La France aux Français
 |
NB. Profession de foi invalidée
|
- Damien GUTTIEREZ, MoDem
- Arthur PAECHT, Candidat républicain indépendant
- Henri PASCAL, Nouveau parti anticapitaliste
- Ladislas POLSKI, Majorité présidentielle
- Bernard RAYBAUD, Debout la République
- Christine SAMPÉRÉ, Front de gauche
- Jean-Sébastien VIALATTE, Union pour un mouvement populaire
Résultats
du 1er tour à La Seyne-sur-Mer et dans la 7e circonscription du Var (Source : lci.tf1.fr )
1) A La Seyne-sur-Mer-
|
Nombre
|
% /
inscrits
|
Inscrits
|
44 385
|
100,00
%
|
Abstentions
|
20 864
|
47,01 %
|
Votants
|
23 521
|
52,99 %
|
|
Nombre
|
% /
votants
|
Blancs et
nuls
|
282
|
1,20 %
|
Exprimés
|
23 239
|
98,80 %
|
Ont obtenu :
|
Nuance
|
Voix
|
% /
exprimés
|
- M. Ladislas POLSKI
- M. Jean-Sébastien VIALATTE
- M. Frédéric BOCCALETTI
- Mme Christine SAMPÉRÉ
- M. Arthur PAECHT
- M. Michel CANTINOL
- M. Damien GUTTIEREZ
- Mme Danièle AZOUT
- M. Bernard RAYBAUD
- M. Henri PASCAL
- M. Michel de MAYNARD
- Mme Françoise GUARDIA
- Mme Marie-Renée BALTY
- X
|
- MRC-PS
- Union pour un Mouvement populaire
- Front national
- Front de gauche
- Divers droite
- Ecologiste
- Alliance centriste
- Ecologiste
- Divers droite
- Extrême gauche
- Extrême droite
- Extrême droite
- Extrême gauche
- Divers droite
|
- 7 612
- 5 731
- 5 471
- 1 621
- 1 438
- 252
- 226
- 176
- 170
- 141
- 139
- 126
- 71
- 65
|
32,76 % 24,66 % 23,54 % 6,98 % 6,19 % 1,08 % 0,97 % 0,76 % 0,73 % 0,61 % 0,60 % 0,54 % 0,31 % 0,28 %
|
 |
 |
Var-Matin du lundi 11 juin 2012 |
2) Dans la 7e circonscription du Var
-
|
Nombre
|
% /
inscrits
|
Inscrits
|
101 228
|
100,00
%
|
Abstentions
|
44 576
|
44,04 %
|
Votants
|
56 652
|
55,96 %
|
|
Nombre
|
% /
votants
|
Blancs et
nuls
|
680
|
1,20 %
|
Exprimés
|
55 972
|
98,80 %
|
Ont obtenu :
|
Nuance
|
Voix
|
% /
exprimés
|
- M. Jean-Sébastien VIALATTE
- M. Ladislas POLSKI
- M. Frédéric BOCCALETTI
- M. Arthur PAECHT
- Mme Christine SAMPÉRÉ
- M. Damien GUTTIEREZ
- M. Michel CANTINOL
- Mme Danièle AZOUT
- M. Bernard RAYBAUD
- M. Michel de MAYNARD
- Mme Françoise GUARDIA
- M. Henri PASCAL
- X
- Mme Marie-Renée BALTY
|
- Union pour un Mouvement populaire
- MRC-PS
- Front national
- Divers droite
- Front de gauche
- Alliance centriste
- Ecologiste
- Ecologiste
- Divers droite
- Extrême droite
- Extrême droite
- Extrême gauche
- Divers droite
- Extrême gauche
|
- 19 236
- 15 266
- 13 008
- 2 695
- 2 541
- 630
- 627
- 462
- 367
- 361
- 254
- 221
- 174
- 130
|
34,37 % 27,27 % 23,24 % 4,81 % 4,54 % 1,13 % 1,12 % 0,83 % 0,66 % 0,64 % 0,45 % 0,39 % 0,31 % 0,23 %
|
Candidats
présents au 2e tour
- Jean-Sébastien VIALATTE, Union pour un mouvement populaire
- Ladislas POLSKI, Majorité présidentielle
- Frédéric BOCCALETTI, Front national
- Résultats
du 2e tour à La Seyne-sur-Mer et dans la 7e circonscription du Var (Source : lci.tf1.fr )
1) A La Seyne-sur-Mer -
|
Nombre
|
% /
inscrits
|
Inscrits
|
44 385
|
100,00
%
|
Abstentions
|
20 156
|
45,41 %
|
Votants
|
24 229
|
54,59 %
|
|
Nombre
|
% /
votants
|
Blancs et
nuls
|
352
|
1,45 %
|
Exprimés
|
23 877
|
98,55 %
|
Ont obtenu :
|
Nuance
|
Voix
|
% /
exprimés
|
- M. Ladislas POLSKI
- M. Jean-Sébastien VIALATTE
- M. Frédéric BOCCALETTI
|
- Union pour un mouvement populaire
- MRC-PS
- Front national
|
- 10 377
- 7 840
- 5 660
|
43,46 % 32,83 % 23,70 % |
 |
Source : Ministère de l'Intérieur |
 |
Var-Matin, lundi 18 juin 2012 |
2) Dans la 7e circonscription du Var
-
|
Nombre
|
% /
inscrits
|
Inscrits
|
101 226
|
100,00
%
|
Abstentions
|
43 511
|
42,98 %
|
Votants
|
57 715
|
57,02 %
|
|
Nombre
|
% /
votants
|
Blancs et
nuls
|
800
|
1,39 %
|
Exprimés
|
56 915
|
98,61 %
|
Ont obtenu :
|
Nuance
|
Voix
|
% /
exprimés
|
- M. Jean-Sébastien VIALATTE
- M. Ladislas POLSKI
- M. Frédéric BOCCALETTI
|
- Union pour un mouvement populaire
- MRC-PS
- Front national
|
- 23 705
- 19 976
- 13 234
|
41,65 % 35,10 % 23,25 % |
M. Jean-Sébastien VIALATTE est réélu député de la 7e circonscription du Var
 |
Var-Matin, lundi 18 juin 2012 |
3) Les députés du Var élus en 2012
Les 7 sortants étaient : Geneviève Levy (UMP) ; Philippe Vitel (UMP) ; Jean-Pierre Giran (UMP) ;
Jean-Michel Couve UMP) ; Georges Ginesta (UMP) ; Josette Pons (LR) ;
Jean-Sébastien Vialatte (UMP).
Les 8 nouveaux députés du Var
: Geneviève Levy (LR) ; Philippe Vitel (LR) ; Jean-Pierre Giran (LR) ;
Jean-Michel Couve (LR) ; Georges Ginesta (LR) ; Josette Pons (LR) ;
Jean-Sébastien Vialatte (LR) ; Olivier Audibert-Troin (LR).
 |
|
 |
 |
 |
 |
 |
|
LEVY Geneviève
|
VITEL Philippe
|
GIRAN Jean-Pierre
|
COUVE Jean-Michel
|
GINESTA Georges
|
PONS Josette
|
VIALATTE Jean-Sébastien
|
AUDIBERT-TROIN Olivier
|
Née le 24 février 1948 à Marseille (13)
Expert foncier et commercial
|
Né le 22 février 1955 à Toulon (83)
Chirurgien plasticien
|
Né le 9 janvier 1947 à Marseille (13)
Professeur d'Université
|
Né le 3 janvier 1940 au Muy (83)
Cardiologue
|
Né le 8 juillet 1942 à Saint-Raphaël (83)
Ingénieur ETP
|
Née le 12 décembre 1947 à Saint-Cyr-sur-Mer (83)
|
Né le 30 janvier 1951 à Saint-Étienne (42)
Biologiste
|
Né le 16 août 1960 à Draguignan (83)
Agent général d'assurances
|
Résultats des élections législatives de 2012 en France (Source : Wikipedia)
Autres documents
sur les
élections législatives de 2012 et sur le ministère Jean-Marc Ayrault
[Source
: archives Jean-Claude AUTRAN]
Verbatim...
- Var-Matin,
jeudi 18 septembre 2008, page 6 : « Carte électorale : Un
coup de ciseau et un député de plus pour le Var ».
- Var-Matin, dimanche 27 février 2011
: « Arthur Paecht candidat aux législatives en 2012 ? -
L'ancien maire de La Seyne n'en est pas à une plaisanterie
près. Lui parle plutôt d'une « demi-boutade
». Lors d'une réunion publique, vendredi soir, Arthur
Paecht a en effet annoncé son souhait d'être « candidat aux législatives en 2012 ». Joint hier, l'intéressé a quelque peu nuancé son propos. « Ce
n'est pas la préoccupation du moment, puisque c'est le temps de
la campagne des cantonales. J'ai fait cette annonce vendredi sous une
forme un peu humoristique ». Toutefois, ajoute-t-il, « cette
demi-boutade pourrait, le cas échéant, devenir une
réalité en fonction du contexte l'année prochaine.
Pour le moment, disons que c'est une sortie qu'il ne faut pas
forcément prendre au pied de la lettre ».
- Var-Matin, lundi 4 juillet 2011
: « Claude Astore déclare sa candidature aux
législatives - L'adjoint à l'urbanisme se
présentera pour la première fois dans la 7e
circonscription. Avec l'ambition d'être le candidat unique de
toute la gauche - Compte tenu des mandats qu'il exerce
déjà, le maire n'a pas souhaité se
présenter. Marc m'a assuré de son soutien total. J'en
suis à mon deuxième mandat d'élu local et j'essaie
de faire évoluer les choses. J'aime être sur le terrain,
j'ai envie de défendre le territoire. Je suis aussi
Vice-président de TPM et vice-président du SCOT
(Schéma de cohérence territoriale, N.D.L.R.). Cela m'a
apporté d'autres connaissances et m'a permis de
réfléchir sur un territoire plus étendu que celui
de La Seyne. J'ai désormais une carte de visite à faire
valoir sur le secteur ».
- Var-Matin,
mercredi 29 juin 2011, pages 14-15 : « A un an des
législatives, les candidats se dévoilent » -
« Les 10 et 17 juin 2012, on élira huit
députés varois. Dans les partis politiques, le compte
à rebours, pour ce scrutin qui s'annonce chaud, a
déjà débuté ».
- Var-Matin,
samedi 24 septembre 2011, page 6 : « Législatives : le
nouveau visage de la septième » - « La
circonscription du député Vialatte perd les voix
d'Ollioules et Évenos, qui rejoignent la 2e de Toulon. Dans ce
nouveau bassin électoral, près d'un votant sur deux sera
Seynois » - Jean-Sébastien Vialatte : « Je
déclarerai ma candidature après Nicolas Sarkozy ».
- Var-Matin,
mardi 27 septembre 2011, page 10 : « Législatives : la
sixième amputée de sept cantons » - « La
circonscription la plus peuplée de France va être
coupée en deux pour permettre la création d'un
huitième bassin électoral dans le Var. Josette Pons sera
candidate dans la nouvelle sixième ».
- Var-Matin, lundi 10 octobre 2011, page 8
: « Septième ciconscription : ils sont prêts
à y aller ! - Face au député sortant
Jean-Sébastien Vialatte (UMP), les candidats commencent à
se déclarer... à huit mois des élections
législatives, investiture ou pas : Nathalie Bicais, Claude
Astore, Damien Guttierez, Christine Sampéré, Denise
Reverdito, Frédéric Boccaletti ».
- Var-Matin, mardi 11 octobre 2011, page 8 : « Nathalie Bicais : « J'ai une vraie expérience politique
» » - « L'ex-présidente du MoDem dans le Var, et
ancienne élue sous la municipalité d'Arthur Paecht,
postule pour la première fois aux législatives en tant
que candidate titulaire - Quels seront vos thèmes de campagne ?
« La rigueur
financière, que ce soit au niveau de l'État ou des
collectivités locales, sera l'un des thèmes. Aujourd'hui,
on découvre qu'il faut mettre une « règle d'or
», c'est-à-dire ne pas voter un budget en
déséquilibre. Mais cela fait des années que je le dis ! Jusqu'ici, on augmentait les impôts pour masquer les déséquilibres
» - Vous avez déjà été deux fois
candidate suppléante de Ferdinand Bernhard aux
législatives. Être en première ligne, est-ce une
façon de vous affranchir ? « J'ai
toujours fait mon chemin sans suivre un homme. J'ai été
élue en 1995 (dans l'opposition, Ndlr), puis en 2001, et j'ai
été tête de liste aux municipales de la Seyne en
2008. J'ai été à !'UDF, puis présidente
départementale du Parti radical et du MoDem... J'ai une vraie
expérience politique, et j'ai toujours gardé mon
indépendance. Je ne me suis jamais positionnée par
rapport à des personnes, mais par rapport à des
idées. Aujourd'hui, il est normal que je porte les couleurs de
mon parti. Je n'ai pas d'état d'âme ».
- Var-Matin, mercredi 12 octobre 2011, page 7 : « Claude Astore, l'homme qui veut hisser la gauche au second tour » - « Ce sera dur, mais jouable » - « Pour
sa première candidature aux législatives, il voudrait
être celui qui rassemble toute la gauche. Mais toute la gauche ne
veut pas forcément de lui... Le PCF, engagé dans le Front de
gauche, présentera une « femme communiste », sans
nul doute Christine Sampéré (également adjointe au
maire). « Europe Écologie-Les Verts »
s'apprête à investir Denise Reverdito. Bien sûr, les
choses peuvent encore bouger en fonction des scores de chaque parti
à l'élection présidentielle ; des accords sont
encore possibles. Pour l'heure, en dehors du PRG, Claude Astore ne peut
compter que sur le PS qui, au niveau départemental, a
réservé la 7e circonscription à un radical de
gauche. Si le redécoupage de la 7e « est un peu plus favorable à la gauche
», selon Claude Astore, le nombre de candidats des partis «
amis » peut en revanche jouer en sa défaveur ».
- Var-Matin, lundi 17 octobre 2011, page 11
: « Europe Écologie-Les Verts : Denise Reverdito «
est prête » » - « Après une campagne cantonale
auréolée par 8,44 % sur La Seyne, Denise Reverdito se
verrait bien candidate de la gauche unie aux prochaines
législatives - La politique, elle y prend goût ! Investie
depuis de longues années dans le tissu associatif, Denise
Reverdito a longtemps hésité à franchir le pas de
la politique des partis. Un « Rubicon » traversé
avec panache, au printemps dernier à l'occasion de la campagne
cantonale. Sous la houlette Europe écologie-Les Verts, cette novice en politique n'a pas démérité,
atteignant les 8,44 % à La Seyne, à quelques voix de la
candidate UMP « officielle », Sandra Torrès ».
- Var-Matin,
mardi 1er décembre 2011, page 5
: « Législatives : à gauche, union et
désillusion - Claude Astore (PRG) se croyait soutenu par le PS,
mais celui-ci a finalement décidé d'organiser une
primaire dans la septième circonscription... entre socialistes.
Le vote a lieu ce soir » - « Claude Astore
évincé - Claude Escarguel face à Patrick Martinenq
» - « Claude Astore croit toujours en ses chances - Patrick
Martinenq (PS) se dit légitime dans la septième - Claude Escarguel (PS) repré sente le courant Montebourg ».
- Var-Matin, samedi 3 décembre 2011, page 5
: « Claude Escarguel, candidat socialiste dans la septième
- Le vote interne a rendu son verdict : le Six-Fournais - proche
d'Arnaud Montebourg - a devancé de quelques voix Patrick
Martinenq. Il représentera le PS aux élections
législatives en juin 2012 - « Être sérieux,
sans se prendre au sérieux ». Claude Escarguel entend
appliquer sa devise à la campagne législative qui
l'attend » - Patrick Martinenq : « J'avais clairement
posé les enjeux du scrutin, et j'ai obtenu les réponses.
Je ne suis pas déçu pour moi, mais plutôt pour Marc
Vuillemot. Le résultat montre que le maire - qui me soutenait -
ne tient pas sa section, où j'ai obtenu 5 voix sur 50 !
Déjà que pour la campagne cantonale, je ne m'étais
guère senti soutenu... Je vais désormais me consacrer
à la campagne présidentielle pour François
Hollande et préparer les futures échéances. 2014 7
Pourquoi pas... ».
- Var-Matin, dimanche 4 décembre 2011, page 8
: « Primaires socialistes : Claude Escarguel (7e) et Bernard Clap
(8e) désignés - La 3e fait beaucoup parler - Discours de
Toulon (suite) ».
- Var-Matin,
mardi 13 décembre 2011, pages 2-3 : « Redécoupage
électoral, comment s'y retrouver ? » - « Avec la
création d'une huitième, ce sont les sept
circonscriptions déjà existantes qui sont plus ou moins
remaniées. Le point dans le département à sept
mois des législatives ».
- Var-Matin,mardi
13 décembre 2011, page 6 : « Le gel de la circonscription
met le feu au Parti socialiste - Patrick Martinenq a
déposé un recours après sa défaite à
la primaire. Résultat : le scrutin pourrait être remis en
cause et la candidature aux législatives de Claude Escarguel
annulée - Le 1er décembre, les militants socialistes de
la septième circonscription (La.Seyne, Saint-Mandrier,
Six-Fours, Sanary et Bandol) étaient appelés à
choisir le candidat qui les représentera aux élections
législatives en juin 2012 - les « anti-Martinenq »
de la section ouest-Var - « On s'était engagés
à respecter le résultat ».
- Var-Matin, vendredi 23 décembre 2011, page 5
: « Législatives : Denise Reverdito « à la
disposition » de la gauche - Agacée par les querelles au
sein du Parti socia iste au sujet du candidat aux législatives,
la militante d'Europe Écologie - Les Verts se verrait bien
représenter la gauche dans la septième circonscription -
« La comedia dell'arte » au Parti socialiste - " La
circonscription est gagnable par la gauche, à condition que le
candidat 'de la gauche soit quelqu'un qui rassemble ». Denise Reverdito en est convaincue,
elle peut être cette personne-là - « Fan d'Eva Joly
» - « L'avis de Marc Vuillemot « Ma position reste
invariable. Le risque d'un autre "21-avril" (droite contre
extrême droite, Ndlr) est trop important id (pour supporter des
divisions, Ndlr). La dernière fois, Vialatte avait
été élu au premier tour ; la fois d'avant, c'était UMP/FN au second tour. Je
regrette que la désignation d'un candidat unique ne fonctionne
pas. C'est suiddaire pour la gauche. Le peuple risque de ne pas nous le
pardonner. »
- Var-Matin,
1er janvier 2012 : 7e circonscription : EELV s'insurge : «
L'espace entre le Front de Gauche et le PS sur la 7e circonscription ne
restera pas inoccupé » (Denise Reverdito pour EELV La
Seyne-Saint-Mandrier) - « Le Parti occitan en rajoute une couche
: Gérard Tautil : « Nous ne ferons pas alliance avec cette
"gauche" qui remet en selle une crispation sécuritaire et
centraliste. Nous aviserons ultérieurement du type de notre
présence dans cette campagne ».
- Var-Matin,
vendredi 13 janvier 2012, page 5 : « Investiture à gauche
: une trop longue attente » - « Depuis le recours de
Patrick Martinenq après sa défaite à la primaire
socialiste, le parti tarde à se décider sur celui ou
celle qui sera candidat aux législatives dans la septième
circonscription » - « La commission des conflits ne
s'étant toujours pas déplacée, les deux candidats
socialistes Claude Escarguel et Patrick Martinenq restent dans
l'expectative » (CHB).
- Var-Matin,
samedi 14 janvier 2012, page 9 : Interview : Dans un contexte
économique tendu, Jean-Sébastien Vialatte dresse les contours d'une
année « dans la continuité ». En juin, il briguera sans surprise un
nouveau mandat de député » - « Une année de prudence et de cohérence »
- « Je ne me reconnais pas toujours dans l'aile droite de l'UMP ! » (KM et CB).
- Var-Matin,
lundi 30 janvier 2012, page 7 : « Patrick Martinenq, plus « disponible » que jamais » (CG).
- Var-Matin, vendredi 17
février 2012, page 6 : 7e circonscription : «
Législatives : à gauche le flou demeure... - Exit
Claude Astore (PRG), Patrick Martinenq et Claude Escarguel (PS)... Le
lauréat pourrait finalement être le
chevènementiste Yves Gavory, conseiller municipal seynois
» (CG et CHB).
- Var-Matin,
dimanche 25 mars 2012 : « 7e circonscription : la gauche
tient enfin son candidat : le chevènementiste Ladislas
Polski, en provenance des Alpes-Maritimes ».
- Var-Matin,
mercredi 28 mars 2012, page 6 : « L. Polski : « J'en
appelle à la responsabilité de la gauche » -
« Ladislas Polski est le candidat de la gauche « socialiste
». Ce Niçois sait qu'il devra se faire un nom sur la 7e
circonscription et espère rassembler une gauche désunie
».
- Var-Matin,
samedi 31 mars 2012, page 8 : « Législatives : à
gauche, les limites du rassemblement - Ladislas Polski a
été intronisé mercredi par les responsables locaux
du PS et du MRC. En coulisse, des voix s'élèvent pour
appeler à soutenir le Front de gauche - Ceux qui ne feront pas
campagne - Ceux qui pourraient soutenir le Front de gauche - Le moins que l'on puisse dire, c'est que
Martial Leroy n'y va pas de main morte. L'adjoint au maire de La Seyne,
en charge du centre-ville, pousse un virulent coup de gueule dans un
tract au titre évocateur : « Vote bafoué, militants
cocufiés, sympathisants insultés ». Dans le viseur
de l' élu, la fédération du Var du PS qui portera
selon lui « l'échec de la gauche ». « Il y
avait un candidat naturel, c'était Marc Vuillemot [... ], il y
avait Claude Astore... et là il
y aura finalement un parachuté qui fera l'unanimité
contre lui, à l'exception de quelques obéissants des
partis qui soutiennent ce candidat. J'appelle les gens de gauche
à se rassembler derrière le Front de gauche »,
écrit notamment Martial Leroy - F. Boccaletti (FN) : « La
défense de la maternité, enjeu électoral majeur
».
- Var-Matin,
vendredi 20 avril 2012, page 5 : « Denise Reverdito, candidate en
vert et contre tous » - « La militante seynoise a
annoncé qu'elle se présentait aux législatives
sous l'étiquette Europe Ecologie Les Verts. Une investiture qui,
selon elle, ne va pas à l'encontre des accords avec le PS
».
- Var-Matin,
mercredi 25 avril 2012, page 5 : 7e circonscription : « La gauche sort la
carte « Vuillemot » - « Il ne souhaitait pas
être candidat... le maire de La Seyne sera finalement
suppléant de Ladislas Polski (MRC) aux législatives.
Double objectif : donner de la visibilité et pousser au
rassemblement ».
- Var-Matin,
vendredi 11 mai 2012, pages 6-7 : « Les « meilleurs ennemis
» lancent leur campagne - 7e circonscription : Le
député sortant UMP Jean-Sébastien Vialatte, a
annoncé hier après-midi qu'il briguait un
troisième mandat consécutif. Le même jour, Arthur
Paecht s'est aussi déclaré candidat : je compte profiter
de ma liberté de parole » ; page 20 : « Sondage : la
gauche bien partie pour les législatives - Portée par la
dynamique de l'élection présidentielle, la gauche est
toujours favorite. 56 % des Français pensent que Hollande sera
un bon président, 50 % saluent le bon bilan de Sarkozy ».
- Var-Matin,
samedi 12 mai 2012, page 7 : Annonçant sa candidature pour les
élections législatives, le candidat du Front national
« Frédéric Boccaletti prend pour cible le
député sortant ».
- Var-Matin,
jeudi 17 mai 2012, page 7 : 7e circonscription : «
L'écologiste D. Reverdito ne sera pas candidate ».
- Tract UMP A4 recto-verso : « Nos valeurs, Notre
député : Jean-Sébastien Vialatte,
suppléante : Hélène Rigal ».
-
Tract A4 recto-verso de Arthur Paecht : « Santé publique,
maternité de La Seyne : « Ouvrez-là » »
- Déplacements : Allier rapidité et environnement
».
- Tract de 6 pages A5 : « L'humain d'abord »
(Christine Sampéré, candidate PCF Front de Gauche avec le
soutien de Jean-Luc Mélenchon).
- Brochure de 4 pages A4 :
« Jean-Sébastien Vialatte, député, et
Hélène Rigal - Une vraie ambition pour La Seyne » -
« Jean-Sébastien Vialatte, nos valeurs, notre
député - Ensemble, choisissons la France ».
- Var-Matin,
samedi 19 mai 2012. Titre de la Une et pages 2-3 : «
Législatives : la bataille peut commencer - Quatre vingt-neuf
candidats pour huit sièges dans le Var ».
- Var-Matin,
lundi 21 mai 2012, page 6 : 7e circonscription : Interview de
Jean-Sébastien Vialatte (UMP) : « Une cohabitation n'est
pas souhaitable », mais « La droite doit avoir un maximum
de députés » - « La droite doit être
« forte » pour peser » - « Je m'attends
à une campagne dure, on s'oriente vers une triangulaire »
- « Je reproche beaucoup à la droite de ne pas
s'être assez investie dans les élections locales ».
- Var-Matin,
mardi 22 mai 2012, page 7 : 7e circonscription : Interview de
Frédéric Boccaletti (FN) : « J'ai une réelle
chance de l'emporter » - « Il faut arrêter de parler
des chômeurs comme des profiteurs » - « La
mosquée de La Seyne a été lancée par la
droite ».
-
Plaquette de 8 pages de l'UMP : « Jean-Sébastien Vialatte,
député-maire de Six-Fours-les-Plages, suppléante
Hélène Rigal - Nos valeurs, notre député
».
- Var-Matin,
mercredi 23 mai 2012, page 8 : 7e circonscription : « Je suis un
homme libre » - Interview : « L'ex-UDF Arthur Paecht,
aujourd'hui conseiller municipal d'opposition à La Seyne, veut
faire valoir son expérience dans une circonscription où
il a déjà été élu de 1986 à
2002 » - « Républicain indépendant, Arthur
Paecht veut proposer un autre choix aux électeurs » -
« Quand on est respecté, on est écouté
» - « Il faut que les droites s'unissent »
(Michel de Laynard).
- Var-Matin,
jeudi 24 mai 2012, page 7 : 7e circonscription : « Ladislas
Polski : « Je n'ai aucun ennemi à gauche ».
Interview : « Avec pour suppléant Marc Vuillemot (PS), le
candidat Ladislas Polski (MRC) entend parvenir à un
rassemblement de raison à gauche, pour contrer la droite et
l'extrême-droite » - « Développer à La
Seyne l'excellence industrielle autour de la mer » - « Les
questions de santé sont au cœur de mon engagement ».
- Var-Matin,
vendredi 25 mai 2012, page 7 : 7e circonscription : « Faire
réussir la gauche » - Interview : Christine
Sampéré se présente pour la première fois
aux législatives, sous l'étiquette Front de gauche. Son
ambition : combattre le FN et mener une politique « vraiment
à gauche » » - « Une fiscalité locale
plus juste » — « Décoloniser la France »
(Françoise Guardia).
- Tract A4 de la gauche : «
Donnons une majorité au changement (PS - MRC - PRG - EELV)
» - « Triste bilan du député sortant »
- Aujourd'hui, à vous de tourner une page » - « Avec
François Hollande, vous pouvez confirmer le changement ».
- Var-Matin,
samedi 26 mai 2012, page 7 : 7e circonscription : « Paecht et
Vialatte doivent passer la main ». Interview : Damien Guttierez :
« Candidat de longue date aux élections
législatives, Damien Guttierez a obtenu l'investiture du MoDem.
Le jeune homme mise sur la carte du renouvellement pour jouer les
trouble-fête » - « Je représente la seule
alternative » - « Je suis un centriste de droite. A la
présidentielle, j'ai voté François Bayrou au
premier tour et blanc au second » — « Danièle
Azout, candidate au nom de l'écologisme ».
- Var-Matin,
lundi 28 mai 2012, page 16 : 7e circonscription : « Un combat de
chefs attendu autour de La Seyne » - « Une triangulaire se
profile pour conquérir le siège de député
de la deuxième ville du département. La droite, le FN et
la gauche envoient des pointures au combat ».
- Var-Matin,
mardi 29 mai 2012, page 7 : 7e circonscription : «
Démonstration de force(s) pour le candidat pour le candidat UMP
: Plus de 800 militants étaient réunis hier au centre
Guillemard de Six-Fours pour le pique-nique de campagne du
député sortant Jean-Sébastien Vialatte. Hubert
Falco était là en supporter ».
- Var-Matin,
mercredi 30 mai 2012, page 7 : Le débat de la 7e circonscription
- territoire en mutation : « Ladislas Polski,
Jean-Sébastien Vialatte, Arthur Paecht et Frédéric
Boccaletti briguent le mandat de député dans la 7e
circonscription -
Relancer la machine de l'emploi - Comemnt loger tout le monde - Comment
réduire la dette ».
- Var-Matin,
mercredi 30 mai 2012, page 22 : Jean-François Copé :
« Votez UMP pour éviter l'irréparable ! ».
- Var-Matin,
jeudi 31 mai 2012, page 8 : 7e circonscription : « Michel de
Maynard, chapeau de figue et droit dans ses bottes » - « Au
nom de l'Alliance écologique indépendante, Danièle
Azout prône le « bien-être de l'humanité
» ».
- Var-Matin,
vendredi 1er juin 2012, page 8 : 7e circonscription : « La course
électorale de Christine Sampéré passe par le sport
».
- Var-Matin, samedi 2 juin 2012
: « Bernard. Raybaud, un gaulliste à l'offensive sur les
marchés - Ce cadre retraité des assurances, Seynois
depuis 23 ans, roule pour Nicolas Dupont-Aignan. Il ne se voit pas au
second tour mais travaille à ouvrir la route pour de prochaines
échéances - « Polski, un homme charmant, mais...
» - Le candidat de Debout la République était hier
aux Sablettes. Même si les gens n'étaient « pas très réceptifs », son but est avant tout « de se faire connaître ».
- Var-Matin, dimanche 3 juin 2012, page 15 : « Marion Kaplan candidate... dans la mauvaise circonscription » - « L'histoire des circonscriptions, je ne connaissais pas. Moi, je pensais qu'on se présentait pour le Var » [sic - voir cours d'instruction civique, classe de 3e des collèges...].
- Var-Matin,
lundi 4 juin 2012, page 16 : 7e circonscription : L. Polski : «
Depuis que je suis candidat on a que des bonnes nouvelles » -
« Marie-Renée Balty lutte pour se faire entendre sur le
marché ».
- Var-Matin,
mardi 5 juin 2012, page 14 : 7e circonscription : « Notre sondage
: le FN absent du second tour ? » - J.-S. Vialatte (UMP) : 40 %,
L. Polski (MRC-PS) : 22 %, F. Boccaletti (FN) : 15 %.
- Var-Matin,
mercredi 6 juin 2012, page 7 : 7e circonscription : « Arthur
Paecht en promenade électorale à Bandol - Le docteur
s'est rendu hier sur le marché de Bandol où il fut maire
de 1983 à 1995 ».
- Var-Matin,
jeudi 7 juin 2012, page 7 : 7e circonscription : «
Françoise Guardia attaque le FN et appelle au « vrai
» patriotisme - Hier sur le marché de Sanary, la candidate
du Parti de la France, fondé par Carl Lang, distribuait ses
tracts invalidés suite à un recours déposé
par Frédéric Boccaletti (FN) ».
-
Tract A5 recto-verso de Jean-Sébastien Vialatte et
Hélène Rigal : le 8 juin 2012 à 18 h 30,
dernière réunion avant le 1er tour, à La
Seyne-sur-Mer, parc Braudel, Les Sablettes.
- Var-Matin,
vendredi 8 juin 2012, page 6 : 7e circonscription : « Damien
Guttierez (MoDem) veut déjà voir plus loin » ;
- Var-Matin,
vendredi 8 juin 2012, page
7 : « Pour Henri Pascal (NPA), tout ne s'arrête pas
dimanche soir » - « On était là avant, on sera là après
»: si la campagne du candidat s'achèvera dimanche soir, l'action
militante restera, elle d'actualité, autour de préoccupations locales »
(KM).
- Var-Matin,
vendredi 8 juin 2012, page 8 : « Frédéric
Boccaletti « dans le dur » au quartier Berthe - Tracts en
main, le candidat du Front National a fait le tour des immeubles du
Messidor hier matin. L'accueil a été cordial, le dialogue
pas toujours facile ».
- Var-Matin,
lundi 11 juin 2012. Titre de la Une : 7e circonscription : «
Trois hommes pour le second tour. En tête, le
député sortant J.-S. Vialatte affrontera L. Polski (MRC)
et F. Boccaletti (FN) » - Pages
2-13 : Commentaires et résultats : « L'UMP est en
tête, le FN s'installe, la gauche revient » - « 1er
tour : la gauche en tête mais pas de vague rose - Les membres du
gouvernement - Les leaders de droite et du centre -
Hénin-Beaumont : Le Pen en tête, Mélenchon jette
l'éponge - François Bayrou mal en point - Duel socialiste
pour S. Royal - Var : les députés sortants UMP en
tête ».
- Var-Matin,
lundi 11 juin 2012, page 7 : « Vialatte (UMP) devant Polski (MRC-PS) et Boccaletti (FN) ».
- Var-Matin,
mardi 12 juin 2012. Titre de la Une : « Qui sortira vainqueur
dimanche prochain ? » - « L'UMP ne lâche rien - La
gauche reprend espoir - Le FN en embuscade » ; pages 2-15 :
Commentaires et résultats : « Un second tour plus
serré que prévu » - « Les candidats
dissidents balayés par l'âge et le parti : Max Piselli n'a
pas réédité le "coup" de 2001 - Vincent Morisse ou
l'itinéraire d'une jeune homme trop pressé - Arthur
Paecht, le "Sage" va tourner la page » - « Le FN peut-il
encore gagner un député ? » - « Ce qu'il faut
retenir du vote dans chaque circonscription » - « Front
national : l'UMP opte pour le "ni-ni" » - «
Résultats par bureau de la 7e circonscription ».
- Var-Matin,
mardi 12 juin 2012, page 8 : « Septième
circonscription : Les leçons du premier tour
» - Si le député sortant J.-S. Vialatte arrive en tête sur la
circonscription, la gauche réalise de bons scores, notamment à La
Seyne. Le Front national confirme sa place ».
-
Invitation de Jean-Sébastien Vialatte à sa réunion
de soutien du 14 juin 2012, plage de Bonnegrâce à
Six-Fours : « Vous devez vous mobiliser massivement - Chaque
abstention est une voix apportée à la gauche ».
- Var-Matin,
jeudi 14 juin 2012, page 8 : 7e circonscription : J.-S. Vialatte :
« Rien n'est joué mais je ne suis pas inquiet
» - « Malgré des résultats en baisse par rapport aux scrutins
précédents, le député sortant reste confiant et veut convaincre les
électeurs d'Arthur Paecht et du Front national de le rejoindre » (MG).
- F.
Boccaletti : « J'appelle tous les électeurs FN à
venir voter »
- « Avec 23,24 %, Frédéric Boccaletti est le troisième homme de la
triangulaire. Il explique ce qui, selon lui, pourrait faire pencher les
urnes en faveur du Front national, dimanche » (JP).
- Var-Matin,
jeudi 14 juin 2012, page 9 : L. Polski : « Une chance historique pour le
territoire
» - « Arrivé deuxième dimanche soir, le candidat de la gauche croit
fermement en ses chances de battre le député sortant et ainsi «
permettre à la circonscription de participer au changement » (CG).
- Var-Matin,
jeudi 14 juin 2012, page 10 : 2e circonscription : Philippe Vitel (UMP) : « Mobiliser car cette élection est capitale
» - « Le déuté sortant n'a que cinq points d'avance sur la candidate du
PS et un report de voix défavorable. Mais il compte sur une réserve de
voix importante dans le camp des abstentionnistes » (SM) - Jean-Yves Waquet (FN) : « ll y a une fidélisation de notre électorat
» - « Arrivé en troisième position dimanche dernier, le candidat du
Front national compte sur la mobilisation des abstentionnistes pour
effectuer « une remontée significative » » (AFT).
-
Sondage IPSOS des 13-14 juin 2012 : « Le PS et ses alliés
disposeraient de la majorité absolue à
l'Assemblée nationale avec un nombre de sièges compris
entre 324 et 364, selon une projection d'Ipsos-Logica Business
Consulting pour France Télévisions, Radio France et Le
Monde, diffusée vendredi. A droite, l'UMP et ses alliés
obtiendraient entre 210 et 250 sièges. La majorité
absolue est de 289 sièges. Le PS et les divers gauche
disposeraient de 284 à 313 sièges, Europe
Ecologie-Les Verts de 14 à 20, le Front de gauche de 12 à
13, le Parti radical de gauche (PRG) 11 à 13 et le
Mouvement républicain et citoyen (MRC) de 3 à 5. L'UMP et
les divers droite obtiendraient entre 192 et 226 sièges,
le Nouveau Centre de 14 à 18 et le Parti radical valoisien
(PRV) de 4 à 6. Enfin, le MoDem obtiendrait de 1 à 3
sièges et le Front National de 0 à 2 sièges
».
- Var-Matin,
vendredi 15 juin 2012, page 10 : Jean-Sébastien Vialatte :
« Une élection capitale » - « F. Boccaletti
fait de la triangulaire un duel ».
- Var-Matin,
vendredi 15 juin 2012, page 11 : « Arithmétique et
dynamique : les espoirs de Ladislas Polski ».
- Var-Matin, samedi 16 juin 2012, page 18 ; « Vingt candidats pour huit sièges (quatre duels et quatre triangulaires) »
- Var-Matin,
lundi 18 juin 2012. Titre de la Une : « L'UMP réussit le
grand chelem » - « L'exception du Sud-Est » - «
Les résultats bureau par bureau » - Ce sont les
députés du Var » - « Vague rose en France :
PS 320 sièges, UMP 221 sièges, EELV 19 sièges, FDG
10 sièges, FN 2 sièges, MoDem 2 sièges » -
« Ségolène Royal battue - François Bayrou
sorti - Le retour du FN à l'assemblée - Nombreux
ténors écartés » ;
pages 2-15 : Commentaires
et résultats : « Huit députés sur huit :
l'UMP rafle tout » - « Majorité absolue pour le PS
» - « Amère défaite pour Royal » -
« Marine Le Pen battue à Hénin-Beaumont » -
« Pyrénées-Atlantiques : Bayrou sorti » - Le
sans-faute du gouvernement ».
- Var-Matin,
lundi 18 juin 2012, page 7 : « La circonscription fidèle à Jean-Sébastien Vialatte ».
- Var-Matin,
mardi 19 juin 2012, pages 32-35 : « Ces députés qui
seront dans l'opposition - Les Varois passent de l'autre
côté de l'hémicycle, en terre inconnue pour la
plupart d'entre eux. Mais ils comptent bien se faire entendre dans leur
nouveau rôle » - « L'UMP impose le grand huit - Le FN
vise 2014 - Le PS annonce son retour » - « Ce qu'il faut
retenir du vote dans chaque circonscription » - « 7e
circonscription : Jean-Sébastien Vialatte sans les Seynois
».
- Var-Matin,
mardi 19 juin 2012, page 20 : « UMP : une élection peut en
cacher une autre - Les 194 députés choisiront ce matin
leur président de groupe à l'Assemblée nationale
» - Estrosi : « Nicolas Sarkozy reste notre leader naturel
».
-
Résultats du premier et du second tour pour chacun des cantons
de La Seyne, par bureau, ainsi que dans les autres villes de la 7e
circonscription : 1 feuille A3 manuscrite de M.
Francisque Luminet.
- Var-Matin, 19 juin 2012, pages 34-35 : « Ce qu'il faut retenir du vote dans chaque circonscription
» - « 7e circonscription : Si Jean-Sébastien Vialatte a pu conserver
son siège de député, ce n'est pas grâce aux Seynois ! Alors qu'il
remporte l'élection avee,p: lus de 3 700 voix d'écart par rapport à
Ladislas Polski (MRC-PS), il est nettement devancé par ce dernier à La
Seyne. Le candidat de gauche a remporté 10 377 voix (43 %) dans la
deuxième ville du Var, contre 7 840 voix (32 %} pour le député sortant.
Finalement, La Seyne a beau être une grande ville, l'élection
législative s'est jouée dans le reste de la circonscription. C'est à
Sanary, Bandol, Saint-Mandrier et Six-Fours que Jean-Sébastien Vialatte
a marqué des points. À Sanary et Bandol, il dépasse même les 50 %,
preuve que le ralliement du maire de Sanary Ferdinand Bernhard - qui
d'ordinaire se présentait aux précédentes législatives - a compté. Une
défaite du député à La Seyne est-elle de mauvais augure pour la droite
aux prochaines municipales ? Jean-Sébastien Vialatte a dit à de
multiples reprises que la reconquête de la cité socialiste était une
priorité pour l'UMP. Si l'on se réfère à ce dernier scrutin, la tâche
semble ardue. « Vialatte paie sa position en faveur de la fermeture de
la maternité seynoise », argue Didier Pille, secrétaire de la section
PS de Six-Fours. D'autres jugent qu'il y a eu un « effet Marc Vuillemot
» et que finalement, les Seynois ont soutenu leur maire... Difficile
cependant de lancer des pronostics, d'autant qu'il y a quelques
semaines encore, les Seynois plaçaient Nicolas Sarkozy en tête de
l'élection présidentielle ! D'ici 2014, de l'eau aura encore coulé sous
les ponts » (MV).
- Var-Matin, 19 juin 2012, pages 32-33 : « Ces députés qui seront dans l'opposition
» - « Les Varois passent de l'autre côté de l'hémicycle, en terre
inconnue pour la plupart d'entre eux. Mais ils comptent bien se faire
entendre dans leur nouveau rôle ».
- Var-Matin, 27 juin 2012 : « Bartolone président
» - « Sans surprise, le député PS de Seine-Saint-Denis a été élu hier
au « perchoir » de l'Assemblée nationale dès le premier tour ».
Le ministère Jean-Marc Ayrault
- Var-Matin,
vendredi 22 juin 2012, page 18 : « Quatre nouveaux membres dans
le gouvernement Ayrault II : Anne-Marie Escoffier, Thierry Repentin,
Hélène Conway, Guillaume Garot » - « Les
membres du gouvernement : 20 ministres, 18 ministres
délégués » - « Bartolone en route pour
le « perchoir » ».
- Var-Matin,
mardi 26 juin 2012. Pages 2-3 : « Droit de vote des
étrangers : le Var partagé » - Hubert Falco (UMP) :
« Lier d'abord son destin à la France » - Robert
Alfonsi (PS) : « Avec le centre ou par référendum
» - Frédéric Boccaletti : « C'est une erreur
de croire au droit au sol » - Pierre-Jacques Depallens (MoDem) :
« Il faut tenter l'expérience ».
-
Var-Matin, mercredi 27 juin 2012 : « Hausse du Smic :
21,50 € par mois - La hausse du Smic est-elle juste symbolique
» - « Bartolone président : sans surprise, le
député PS se Seine-Saint-Denis a été
élu hier au « perchoir » de l'Assemblée
nationale dès le premier tour - Le bouclier fiscal a
coûté 800 millions en 2011 - Le « cadeau aux riches
» va être abrogé ».
-
Var-Matin, mardi 3 juillet 2012 : « Plus de 30 milliards
d'euros à trouver pour l'année prochaine - Gel des salaires des
fonctionnaires et hausse des impôts parmi les mesures qui pourraient
être annoncées au lendemain de l'audit de la Cour des comptes - Pas de
hausse de la TVA en 2012 - Grand oral de la rigueur pour Ayrault
aujourd'hui au Palais-Bourbon ».
-
Var-Matin, mercredi 4 juillet 2012 : « Ayrault appelle
« à un effort national mais refuse
l'austérité - C'est le message que le Premier minitre a
délivré, hier, aux parlementaires dans son discours de
politique générale. Trois cent deux députés
(sur cinq cent vingt-sept) lui ont accordé leur confiance
» - « Discours de schizophrène », pour Gilbert
Collard - « Le droit au mariage et à l'adoption ouvert
à tous les couples en 2013 »
- Var-Matin, samedi 21 juillet 2012 : « Fillon redoute une récession avec les
décisions budgétaires : Les décisions prises par la majorité socialiste
pour le budget 2012 risquent de plonger la France dans la récession ».
-
Var-Matin, jeudi 27 septembre 2012 : « La barre des
trois millions de chômeurs franchie - Le ministre du Travail met
en cause un héritage du gouvernement précédent. La
sécurisation de l'emploi figurera au cœur des
négociations début octobre » - « Le racisme
anti-blanc dénoncé par Copé ».
-
Var-Matin, vendredi 28 septembre 2012 : Jean-Marc Ayrault : « Il faut se dire qu'on va y arriver ».
-
Var-Matin, samedi 29 septembre 2012 : « Un budget sous
le signe de l'austérité - Le Premier ministre a
présenté hier le projet de budget 2013 qui prévoit
20 milliards d'euros de hausses d'impôts - D'après le
gouvernement, seuls les ménages les plus qisés et les
grosses entreprises seront touchés ».
-
Var-Matin, dimanche 7 octobre 2012 : « Peugeot :
Montebourg veut revoir le plan social - Annonce de négociations
tripartites mais seulement pour... limiter la casse ».
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25 novembre 2012
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-
Var-Matin, lundi 10 décembre : « Corse : face aux
bombes, Valls et Ayrault durcissent le ton [Un nouvel assassinat
vendredi, puis une nuit bleue] » - « Depardieu s'installe en
Belgique ».
- TF1.News, mercredi 13 décembre 2013 : Après le
pavé dans la mare de la Cour des comptes mardi, c'est Laurent
Fabius qui ouvre le débat tabou au sein du gouvernement sur les
3% de déficit en 2013. Le ministre des Affaires
étrangères a en effet estimé mercredi matin sur
Canal + qu'il était "probable" que la France ne tienne pas son
objectif de ramener les déficits publics à 3% du PIB en
2013. Interrogé sur les conclusions du rapport de la Cour des
comptes qui estime que la France a peu de chances de parvenir à
cet objectif en raison de la faiblesse de la croissance, le ministre
des Affaires étrangères a répondu : "Je pense que
c'est probable." "Et par rapport à ça, il faut
à la fois qu'on ne coupe pas ce qui reste de croissance, sinon
ce serait une faute, mais en même temps qu'on soit sérieux
et le mot d'économies fait partie du vocabulaire et de la
panoplie", a-t-il ajouté.
Quelques instants plus tard, le ministre de
l'Économie et des Finances était interrogé sur ces
propos, sur France Info. Visiblement embarassé, Pierre Moscovici
a botté en touche en affirmant que pour l'instant, "le
calendrier (du gouvernement) était respecté". Il a
renvoyé une décision de demander un report des 3% en 2013
aux prochains travaux de la Commission européenne.
Celle-ci
doit rendre ses nouvelles prévisions de croissance le 22
février prochain, et c'est "en fonction de celles-ci" que le
gouvernement prendra une décision. Mais le patron de Bercy a
préparé les esprits à une renonciation aux 3% :
"il ne faut pas ajouter de l'austérité à
l'austérité".
Au même moment, le ministre du Budget
Jérome Cahuzac était lui l'invité de France Inter.
Interrogé sur les propos de Laurent Fabius, il a reconnu que
maintenir l'objectif des 3% en 2013 serait "difficile". Sans
toutefois changer pour l'instant le calendrier du gouvernement. "Ce
sera effectivement très difficile (ndlr, de revenir à
3%). La probabilité d'atteindre cet objectif s'est
amenuisée au fur et à mesure que la croissance
pâlissait, non seulement en France mais plus
généralement dans la zone euro et dans le monde", a-t-il
déclaré.
Cambadélis sur les déficits : "il faut prévenir les Français"
En décembre dernier,
Jean-Marc Ayrault avait pourtant promis que la France respecterait
l'objectif de 3% des déficits cette année.
- Var-Matin, 23 décembre 2012 : « Le FMI estime que la France doit
se préparer à plus d'austérité ».
- TF1 News - Approuvez-vous Laurent Fabius qui juge « probable
» que la France ne tienne pas son objectif de déficit
public en 2013 ?
- Jean-Christophe Cambadélis : Tout à fait, j'avais
indiqué il y a quelques mois, avec Claude Bartolone, que nous ne
tiendrions pas les 3%. Les 3% sont une chimère
nécessaire, mais c'est une chimère. Vu la situation
économique de la zone euro, le peu de croissance et les
déficits que la droite nous a laissés, on pouvait
réfléchir en tendance mais fixer une date butoir pour les
3%, c'était mettre une barre trop haute par rapport à nos
perchistes économiques.
- TF1 News - Mais est-ce le bon moment pour briser ce tabou ?
- Il faut être honnête avec nous-mêmes et
prévenir les Français. Il ne sert à rien de faire
croire que l'on tiendra ce que l'on sait que l'on ne peut pas tenir.
Même s'il faut continuer à se battre sur les
déficits publics et tout faire pour que la croissance soit
là.
- J'ajouterai que le budget européen, même s'il est un bon
compromis pour le président Hollande, n'est pas tout à
fait à la hauteur pour l'Europe. Il n'est pas un moteur de
croissance. Ceci ajouté à cela, il faut prévenir
aujourd'hui que l'on ne tiendra pas les 3%
- TF1 News - Le gouvernement a-t-il alors trop tardé ?
- Non il était dans son rôle. A partir du moment où
nous étions dans une situation économique
épouvantable et un moral des Français comparable, le
gouvernement avait un volontarisme bienvenu. Mais il fallait quelques
voix pour dire que ceci ne se ferait pas.
- TF1 News - La Cour des comptes outrepasse-t-elle son rôle comme le disent certains ?
- Elle est dans son rôle même si sur toute une série
de sujets, elle tend à se substituer au politique, à
juger en opportunités politiques. Qu'elle dise que la France ne
pourra pas tenir l'objectif de déficit au vu de ses comptes me
paraît être dans ses prérogatives. Qu'elle indique
la manière pour le pays d'obtenir cet objectif, alors elle
outrepasse son mandat.
- TF1 News - Les mauvaises nouvelles économiques se
multiplient. Le gouvernement n'a-t-il pas dit la vérité
pendant la campagne ?
- Non. Je crois qu'il faut reconnaître que la partie n'a jamais
été facile pour le gouvernement de Jean-Marc Ayrault.
Tous les licenciements qui ont été reportés
à après la présidentielle ont porté un
coût à l'espoir qui est toujours nécessaire
à la croissance. Il faut continuer cette politique de
redressement et d'assainissement, sans tuer le dernier petit moteur de
croissance qui tient l'avion France hors du sol. Mais en même
temps, il faut savoir que les économies seront toujours
nécessaires.
- Var-Matin, 21 février 2013 : « Déficit :
Aurault rassure sa majorité avant le verdict de l'UE de demain -
Programme de stabilité en avril » - « La
réforme constitutionnelle bien compromise : Nous n'avons pas la
majorité des trois cinquièmes ».
- Var-Matin, samedi 30 mars 2013 : Moscovici : « Il n'y aura pas d'impôts supplémentaires ».
- Var-Matin, vendredi 1er mars 2013 : « L'UMP accuse Matignon
de reniement sur la TVA (...) après que les
députés socialistes ont prôné une hausse
à 20,5 % du taux normal de la TVA ».
- TF1 News, 1er avril 2013 : « Ayrault tente encore de
convaincre de son autorité : Le "choc de simplification",
Matignon s'y emploie dès mardi - Retraite : le leader de la CFDT
pour l'allongement de la durée de cotisation - Retraites :
l'âge de départ à 62 ans ne bougera pas, promet
Ayrault » - « Le Premier ministre est bien
décidé à asseoir son rôle de chef de
gouvernement mais son interview dans le JDD, et notamment ses propos
suite à l'affaire Forange, brouillent le message.
Après plus de dix mois à Matignon, Jean-Marc Ayrault,
jamais cité par François Hollande durant son interview
sur France 2 et injurié par Arnaud Montebourg en décembre
dernier, peine toujours à s'imposer. Dimanche soir, Geoffroy
Didier, coprésident du collectif UMP "La droite forte", a
estimé que le Premier ministre était "un
problème", une "erreur de casting", en lui reprochant de n'avoir
"aucune autorité". Il a mis l'accent sur la reconnaissance dans
le Journal du Dimanche, le matin même par le Premier ministre
qu'Arnaud Montebourg l'avait injurié lors de l'épisode du
site sidérurgique de Florange. "Toutes les semaines il y a une
affaire Montebourg, toute les semaines ! Parce que chacun pense
à sa communication, parce qu'il y a les ambitions, les egos, les
stratégies de communication de chacun des membres du
gouvernement, ce qui fait qu'il n'y a aucune harmonie, aucune
autorité au sommet de l'Etat et ça donne l'impression
d'un véritable amateurisme", a poursuivi l'élu UMP. .
En fin de semaine dernière, Matignon a remanié son
pôle de communication pour se relancer. Le nouveau directeur du
pôle, Jérôme Batout, ancien dirigeant de Publicis
Consultants, a pu mesurer l'ampleur de la tâche qui l'attendait
en lisant l'interview du Premier ministre dans le Journal du dimanche,
fait savoir l'AFP. Au moment où François Hollande
sonne la mobilisation pour l'emploi et attend de l'exemplarité
de ses ministres, Jean-Marc Ayrault y confirmait les propos peu
amènes que lui a tenus Arnaud Montebourg au moment de Florange,
au risque d'entamer un peu plus son autorité.
Un "oui" inattendu
Dans le livre "Florange, la tragédie de la
gauche" (Editions Plon), les journalistes Valérie Astruc et Elsa
Freyssenet ont révélé que le ministre du
Redressement productif s'en était pris avec virulence au chef du
gouvernement en décembre 2012 lorsque les deux hommes
s'opposaient au sujet d'une éventuelle nationalisation du site
sidérurgique de Florange. Selon les deux journalistes, M.
Montebourg aurait alors dit par téléphone à M.
Ayrault: "Tu fais chier la terre entière avec ton
aéroport de Notre-Dame-des-Landes, tu gères la
France comme le conseil municipal de Nantes". "Oui", confirme M.
Ayrault dans le JDD, le ministre, qui s'était
présenté contre lui en 2007 à la présidence
du groupe PS à l'Assemblée, lui a bien lancé ces
attaques. Ce qui ne l'a pas empêché de rester au
gouvernement, voyant même sa cote de popularité grimper
quand celle des deux têtes de l'exécutif ne cesse de
baisser depuis mai 2012.
Au risque de voir son autorité un peu
plus écornée, M. Ayrault préfère vanter le
travail d'"équipe" et le jeu "collectif". "Ce qui compte pour
moi, c'est l'action de mon gouvernement pour le redressement du pays,
sous l'autorité du chef de l'Etat", affirme-t-il dans le
JDD. Un chef de l'Etat qui n'a jamais cité son Premier
ministre en 75 minutes d'interview jeudi soir sur France 2, sans que M.
Ayrault veuille y voir malice. "J'ai été
associé étroitement à la préparation de
cette émission", souligne-t-il. "Je me sens totalement solidaire
et totalement associé à ce qu'il fait". Selon lui, "jeudi
soir, les Français attendaient le président et il a voulu
affirmer de manière très forte qu'il était bien
à la barre". "Nous savons où nous allons. Avec le
président, on marche main dans la main", assure l'ancien maire
de Nantes. Même tonalité dans l'entourage du chef de
l'Etat où l'on ne pense pas que cet oubli ait été
"délibéré". "Cela traduit simplement le fait que
le président était lui très présent,
très concerné", explique un proche du Président.
Une façon de voir les choses ».
- Var-Matin,
vendredi 3 mai 2013 : Benoît Hamon : « Oui, notre politique
va porter ses fruits » - « L'opposition ne propose rien
».
- Var-Matin, mercredi 15 mai 2013 : « Jean-Sébastien Vialatte, un tweet et une
polémique nationale » - Un message du député-maire de Six-Fours,
assimilant les casseurs du PSG à « des descendants d'esclaves [ils ont
des excuses et Taubira va leur donner une compensation] », a provoqué
un tollé hier, obligeant Jean-François Copé à réagir - L'élu varois
s'est exprimé hier, regrettant un « malheureux amalgame », un « tweet
maladroit », une « connerie », « le tweet concerne Mme Taubira et sa
proposition d'indemniser les descendants d'esclaves. Il y en a assez de
la repentance et des lois mémorielles ».
- MYTF1News, 16 mai 2013
: Vers un remaniement : qui sont les ministres les plus (im)populaires
? Alors que François Hollande donne ce jeudi la 2e grande
conférence de presse de son mandat, découvrez avec notre
visuel quels sont les membres du gouvernement qui recueillent le plus
d'opinions positives. Aucun ne dépasse les 50%. Alors que les
rumeurs de remaniement se font de plus en plus insistantes, la cote de
popularité des ministres et son évolution sur les
derniers mois vont être scrutées avec insistance par les
observateurs. A ce petit jeu, Manuel Valls est en tête avec 37%
d'opinions positives, mais avec une perte de quatre points depuis juin
2012. Christiane Taubira suit loin derrière avec 28%, en hausse
modérée (+2 points). Mais une hausse significative :
c'est la seule de tout le panel ! Derrière, c'est la chute libre
pour Laurent Fabius et Arnaud Montebourg, qui perdent chacun 11 points
en un an pour s'établir respectivement à 24 et 23%
d'opinions positives, juste devant Najat Vallaud-Belkacem (22%),
également en forte baisse (-8). Le palme d'or du plus beau gadin
est à mettre à l'actif de Pierre Moscovici. Avec -13
points, le patron de Bercy s'installe à 19%.
- Var-Matin,
lundi 27 mai 2013 : Mélenchon : Les Français ont
été mystifiés » - « Appeler à
voter Hollande ne valait pas la signature d'un chèque en blanc
» - « Pourquoi suit-il de manière servile la
politique de Mme Merkel ? ».
- Var-Matin,
jeudi 7 juin 2013 : « Electricité : nouvelles hausses en
perspective - La commission de l'électricité
évoque une augmentation de 6,8 à 9,6 % cet
été ».
- Var-Matin, mercredi 26 juin 2013 : « Ayrault dément tout dérapage des dépenses publiques »
- MYTF1News, jeudi 27 juin 2013 : « Dérapage du déficit : Ayrault donne raison à la cour des comptes » - « Les
prévisions de la Cour des comptes, qui table sur un
dérapage du déficit public en 2013, sont
"malheureusement" exactes, assure Jean-Marc Ayrault. "Je pense
que pour 2013, malheureusement, du fait de l'absence de croissance, ce
que dit la Cour des comptes est vrai ».
- MYTF1News, 10 juillet 2013
: « Pierre Moscovici estime que la croissance va se raffermir au cours des prochains mois
- Le ministre de l'Économie et des Finances, Pierre Moscovici, a
déclaré mercredi s'attendre à une croissance de
0,2% au 2e trimestre ».
- MYTF1News, 10 août 2013
: « Moscovici revoit à la baisse sa prévision de croissance 2013,
Woerth ironise - Le ministre de l'Économie a revu à la
baisse sa prévision de croissance pour 2013, tout en
annonçant un retour de la croissance en 2014. L'ancien ministre
UMP Eric Woerth a estimé que Pierre Moscovici devait souffrir
d'"une légère insolation" pour faire ces deux annonces en
même temps ».
- MYTF1News, 11 août 2013
: « Moscovici assure ne pas avoir revu à la baisse la croissance
- Le ministre de l'Économie a donné une interview
à Nice-matin dans laquelle il donnait une fourchette comprise
entre -0,1% et +0,1% pour la croissance en 2013 tandis que le
gouvernement tablait jusqu'alors sur une hausse de 0,1%. Pour Pierre
Moscovici, ce n'est en aucun cas une révision ».
- MYTF1News, 13 août 2013 :
« "L'économie va mieux", répète Moscovici -
Le ministre de l'Économie Pierre Moscovici a assuré mardi
à des journalistes à Bayonne que l'économie
française "va mieux" et qu'"elle est sortie de la
récession", sans mention aucune de prévision de
croissance ».
- MYTF1News, 14 août 2013
: « Ayrault sur la croissance : "Ces chiffres nous confortent dans
notre stratégie" - Le produit intérieur brut de la France
a rebondi de 0,5% au deuxième trimestre, selon l'Insee. C'est la
plus importante hausse depuis le premier trimestre 2011. L'emploi
salarié est quant à lui en net repli, avec 27.800 postes
en moins ».
- MYTF1News, 17 septembre 2013
: « Ayrault : la pause fiscale ne sera "effective" qu'en 2015 - Le
Premier ministre admet que la pression fiscale ne connaîtra qu'un
"ralentissement" en 2014, dans une interview à Metronews.
Jean-Marc Ayrault a également défendu sa réforme
des retraites et la politique de l'emploi du gouvernement ».
- MYTF1News, 19 septembre 2013 :
« Impôts : la gauche s'inquiète, la droite pilonne -
Le couac sur "la pause fiscale" décrétée par
François Hollande permet à la droite de battre le terrain
sur le thème des impôts. L'UMP sort 1,5 million de tracts
et 100 000 affiches sur ce thème ».
- MYTF1News, 1er octobre 2013
: « Croissance : Paris vise 1,7% du PIB en 2015 puis 2% par an en
2016-17 - Le gouvernement prévoit que la croissance du PIB
progressera de 1,7% en 2015 puis de 2% par an en 2016 et 2017, selon un
rapport adressé mardi à Bruxelles. Le taux de
prélèvements obligatoires baissera en 2017, à
45,8% du PIB après 46,1% entre 2014 et 2016 ».
- Var-Matin,
vendredi 8 novembre 2013 : Chevènement : « Le PS doit
faire la police en son sein - L'ancien ministre de François
Mitterrand appelle les socialistes à mettre « une peu de
cohérence dans leurs actions » et le gouvernement «
à changer d'orientation politique ».
- MYTF1News, 10 novembre 2013
:
« Moscovici promet une baisse des impôts après 2015
- Le ministre de l'Économie a promis dimanche une stabilisation
des prélèvements obligatoires en 2015, puis une baisse,
indiquant que "payer ses impôts, c'est un acte citoyen" ».
- Blog de Marc Vuillemot, 15 novembre 2013
: « Notre peuple est étranglé : il faut un
changement de cap - Quand Marie-Noëlle Lienemann, sénatrice
socialiste, a souhaité il y a une dizaine de jours un
“changement de cap et d’équipe”
gouvernementale, appelant François Hollande à proposer
“un nouveau pacte” aux forces de gauche “qui ont fait
sa victoire”, pour une “deuxième étape du
quinquennat”, je me suis questionné, moi qui suis pourtant
un « de l’aile gauche » du parti socialiste, me
demandant si nous n'étions pas trop pressés et s'il n'y
avait pas nécessité d'accepter une phase de gestion un
peu rude, en espérant qu’elle ne s’éternise
pas, pour mieux pouvoir, ensuite, jouer le rôle social que notre
peuple attend des socialistes gouvernants ? Mais quand c’est Anne
Hidalgo, qu’on ne peut pourtant pas classer dans les plus «
gauchos » du PS, qui dit ce dimanche qu’il « faut
donner des signes, et des signes assez rapides » en appelant le
Chef de l’État à un remaniement ministériel,
c’est que ce que mes concitoyens et la plupart de mes camarades
socialistes me disent aujourd’hui semble fondé : notre
peuple attend autre chose de nous ! (...) »
- MYTF1News, 12 novembre 2013 : « Mélenchon:
"Ayrault a besoin de longues vacances" - Pour le leader du Front de
gauche, Jean-Marc Ayrault est "une erreur de casting". Quant à
l'impopularité record de François Hollande, "il faut
qu'il reste optimiste. Il peut faire pire", a ironisé Jean-Marc
Mélenchon ».
- MYTF1News, 14 novembre 2013 :
« Une note confidentielle des préfets évoque un
climat d'exaspération - Ras le bol fiscal, exaspération
sociale, une note mensuelle transmise par les préfets sur le
climat et que Le Figaro s'est procurée met en garde les pouvoirs
publics. Les préfets s'inquiètent notamment d'un risque
d'extension de la fronde fiscal au-delà du dossier de
l'écotaxe ».
- MYTF1News, 14 novembre 2013 : «
Croissance en baisse au 3e trimestre : Moscovici n'y voit pas un signe
de "déclin" - L'Insee a annoncé jeudi que me produit
intérieur brut de la France a reculé de 0,1% au
troisième trimestre 2013 après son rebond de 0,5% au
deuxième. "Ce repli n'est pas un indicateur de déclin", a
réagi la ministre de l'Économie ».
- MYTF1News, 15 novembre 2013 : «
Six Français sur dix veulent le départ de Jean-Marc
Ayrault - Selon un sondage BVA pour Le Parisien et iTélé,
63% des Français souhaitent le départ de Jean-Marc
Ayrault et 52% sont favorables à une dissolution de
l'Assemblée nationale ».
- MYTF1News, 5 décembre 2013
: « Ayrault plus impopulaire que Hollande - Nouveau record
d'impopularité pour François Hollande et Jean-Marc
Ayrault qui chutent respectivement à 24% et 22% de confiance
dans un sondage CSA pour les Échos dévoilé jeudi
».
- MYTF1News, 5 décembre 2013
: « Ayrault dans le viseur des prétendants à
Matignon ? - La presse se fait l'écho ce vendredi de dissensions
de plus en plus fortes entre le Premier ministre et les principaux
membres du gouvernement. Plusieurs militeraient notamment en coulisses
pour son départ. Avec l'idée de s'installer à sa
place. Qui veut la peau de Jean-Marc Ayrault ? A en croire la presse, notamment les articles publiés par Le Monde et par L'Opinion
jeudi et vendredi, une bonne partie des membres du gouvernement et des
poids-lourds de la majorité s'agiteraient en coulisses pour
obtenir le départ du Premier ministre ».
- MYTF1News, 16 janvier 2014
: « Le déficit budgétaire 2013 de la France devrait
s'élever à 74,9 milliards d'euros, en amélioration
de 12 milliards en un an mais plus lourd que prévu dans le
collectif budgétaire de l'automne dernier, selon des chiffres
dévoilés jeudi soir par Bercy ».
- MYTF1News, 2 mars 2014
: « Jean-Marc
Ayrault se dit "favorable", dimanche dans Le Parisien, à un
gouvernement resserré, une formule qui existe dans d'autres pays
européens et qui selon lui "ne marche pas plus mal".
- MYTF1News, 28 février 2014
: « Royal
ministrable, Ayrault reconduit : les pistes d'un remaniement se
précisent - Un remaniement ministériel pourrait bien
avoir lieu après les élections municipales du mois
prochain. Départ des Verts, arrivée de
Ségolène Royal... Le point sur les pistes avancées
».
- MYTF1News, 2 mars 2014:
« Palmarès des ministres : Fabius et Le Drian en
tête - Le ministre des Affaires étrangères Laurent
Fabius (61 %) détrône celui de l'Intérieur, Manuel
Valls (53 %), à l'indice de satisfaction des Français
à l'égard des membres du gouvernement mesuré par
l'Ifop pour le Journal du Dimanche du 2 mars ».
- MYTF1News, 17 mars 2014:
« Sondage : Taubira dégringole, Juppé chouchou des
Français - La cote de popularité de Christiane Taubira a
enregistré une baisse de 8 points en mars selon le
baromètre Ipsos pour Le Point, publié ce lundi. Le maire
de Bordeaux, Alain Juppé, devient par ailleurs la
personnalité politique préférée des
Français. Les atermoiements de Christiane Taubira (voir la
vidéo ci-dessus) dans l'affaire des écoutes de Nicolas
Sarkozy n'auront pas été sans conséquence. Selon
le baromètre Ipsos pour Le Point, publié ce lundi, la
cote de popularité de la Garde des sceaux perd en mars 8 points,
désormais à 31% d'opinions favorables. Elle perd
notamment 6 points auprès des sympathisants PS. La cote de
popularité de François Hollande a en revanche
enregistré une hausse d'un point en mars. Selon ce sondage, 22%
des Français portent un jugement favorable sur l'action du chef
de l'Etat. Il enregistre ainsi une hausse d'un point au mois de mars.
74 % (-2 par rapport à février) des sondés
émettent au contraire un jugement défavorable sur son
action. Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault voit lui sa cote se
stabiliser à 22% d'opinions favorables, contre 68 % (-3) de
jugements défavorables ».
- MYTF1News, 25 mars 2014:
« Un remaniement après les municipales ? Haro sur Ayrault
- Le ministre du Travail a admis mardi qu'"il faudra changer" pour
tenir compte de "la colère" exprimée contre le
gouvernement au premier tour des municipales, et ce avec le "Premier
ministre que le président choisira". Plusieurs voix à
gauche ont également pris fait et cause en faveur d'un
changement de Premier ministre. Deux jours après la
débâcle du premier tour des municipales, l'avenir de
Jean-Marc Ayrault est plus que jamais en suspens ».
- MYTF1News, 26 mars 2014
: « Poussée du chômage en février : +31.500 demandeurs d'emploi -
Nouvelle hausse et forte hausse : le chômage a augmenté en février de
0,9 %, atteignant le niveau record de 3.347.700 demandeurs d'emploi.
Toutes catégories confondues, le chômage touche 4,93 millions de
personnes - Dans un communiqué, le ministère du Travail a admis "une
progression marquée" et appelé à "amplifier encore" la mobilisation ».
- Var-Matin,
mardi 25 mars 2014 : « Près de huit français sur
dix réclament un remaniement - Baromètre mensuel
BVA-Orange : L'exécutif est stable à un niveau
catastrophique. Conséquence : les Français veulent des
changements dans le gouvernement et - surtout - un nouveau Premier
ministre ».
- Var-Matin,
jeudi 27 mars 2014 : « Compte à rebours pour le
gouvernement Ayrault - François Hollande a invité, hier,
le gouvernement « à travailler au redressement avec plus
de rapidité ». Mais le nom de Manuel Valls circule
déjà pour Matignon... ».
- MYTF1News, 31 mars 2014 :
« Dernier
tête-à-tête Hollande/Ayrault, Valls fait ses cartons
: revivez le film de la journée de lundi ».
Le gouvernement Valls (avril 2014 - )
- MYTF1News, 31 mars 2014 :
« Valls à Matignon, baisse des impôts, pacte de solidarité... Les
trois annonces de Hollande - François Hollande s'est
exprimé lundi soir à l'issue de la lourde défaite
de la majorité aux municipales. Il a officialisé la
nomination de Manuel Valls à Matignon et a
détaillé sa feuille de route pour les prochain mois -
Huit minutes ! C'est la durée de l'intervention de
François Hollande lundi soir. Huit minutes au cours desquelles
il a à la fois fait le constat de la débâcle de la
majorité aux municipales et dressé la feuille de route de
son nouveau Premier ministre, Manuel Valls. "Vous avez exprimé
votre mécontentement et votre déception. J'ai entendu
votre message" a lancé le chef de l'Etat - Pas assez de
changement, trop de lenteur, pas assez de justice sociale, trop de
chômage... François Hollande a visiblement pris la mesure
des reproches que les Français font à son action. Mais il
n'a néanmoins pas l'intention de changer de cap. Il a
réaffirmé sa volonté de mener à bien le
pacte de responsabilité. Il a seulement concédé
l'ouverture d'une "nouvelle étape" avec la nomination de Manuel
Valls à la tête d'un "gouvernement de combat" et d'une
"équipe resserrée, cohérente et soudée " -
"La France connaît une crise civique, et même morale" :
Trois chantiers ont été confiés à
l'ex-locataire de la place Beauvau. Tout d'abord, "redonner force
à notre économie". Mais François Hollande est
resté très évasif sur la méthode.
Deuxième objectif : la justice sociale. "Au pacte de
responsabilité, doit correspondre un pacte de solidarité
dont le premier pilier est l'éducation et la formation de la
jeunesse; le second, c'est la sécurité sociale avec
la priorité donnée à la Santé ; et le
troisième, c'est le pouvoir d'achat avec une diminution des
impôts des Français d'ici 2017. Le président de la
République François Hollande a aussi affirmé que
les baisses de cotisations patronales de 30 milliards d'euros dans le
cadre du pacte de responsabilité porteraient "en particulier sur
les bas salaires" - Enfin, François Hollande est implicitement
revenu sur la percée du FN lors des municipales. "La France
souffre de ses divisions", a-t-il dit. "Elle connaît une crise
civique, et même morale. Elle subit une contestation de ses
institutions y compris de sa Justice. Elle perd son énergie dans
de vaines querelles. Elle cultive une angoisse que les extrêmes
utilisent pour attiser les haines et les rejets", a-t-il ajouté.
Mais "la République est notre bien commun. Je ne laisserai
aucune de ses valeurs être abîmée ou
froissée, où que ce soit sur le territoire national.
Aucune forme d'exclusion, de stigmatisation, pas plus que de
communautarisme, ne sera tolérée", a affirmé
le chef de l'Etat.
- Var-Matin,
mardi 1er avril 2014 : « Hollande remplace Ayrault - Le joker
Valls - Il est chargé de former un gouvernement de combat : avec
qui et pourquoi faire ? ».
- MYTF1News, 2 avril 2014
:
« Le secrétaire général de l'Elysée a
annoncé à 11h20 un gouvernement de 16 ministres,
totalement paritaire - Royal, Montebourg, Peillon... Les partants, les
entrants, les promus du gouvernement Valls ».
- MYTF1News, 2 avril 2014
:
« Manuel Valls : ce qu'il faut retenir de son intervention sur
TF1 - Nommé lundi à Matignon, le nouveau Premier ministre
a donné sur TF1 sa première interview. Il a livré
les objectifs que lui a fixé François Hollande et
détaillé sa feuille de route. Que fait-il retenir de son
interview ? -
1) Répondre au message des Français - 2) Mettre en œuvre
le projet de Hollande - 3) Poursuivre le travail engagé mais
aller plus vite - 4) La lutte contre le chômage reste LA
priorité - 5) Réduire les déficits car "il n'y a
pas d'autres choix" - 6) Etablir un véritable contrat avec les
parlementaires de la majorité ».
- Var-Matin,
jeudi 3 avril 2014 : « Seize ministres nommés hier - Au combat ».
- MYTF1News, 9 avril 2014 :
« Huit jours après sa nomination à Matignon, Manuel
Valls a déjà fait oublier son prédécesseur
dans l'opinion. D'après le baromètre Ifop-Match, le
nouveau Premier ministre récolte 58% de bonnes opinions contre
28% pour Jean-Marc Ayrault il y a dix jours ! Même
François Hollande en profite.
La situation économique de la France n'a pas changé en
huit jours. Mais pour les François Hollande et Manuel Valls, le
changement de casting à la tête de l'Etat a
déjà des conséquences positives. François
Hollande a ainsi gagné trois points d'approbation en un mois,
à 26%, et Manuel Valls commence son séjour à
Matignon à 58%, 30 points au-dessus de son
prédécesseur au moment de son départ, dans
le baromètre Ifop-Paris Match à paraître
jeudi. Pour plus d'un Français sur deux, Valls est capable de
sortir le pays de la crise. Selon cette enquête d'opinion,
l'action du chef de l'Etat reçoit 26% d'approbation contre
23% en mars. Le taux de ceux qui désapprouvent reste massif mais perd deux points, à 74%. Son nouveau Premier
ministre entame son mandat avec un capital de 58% de confiance, alors
que Jean-Marc Ayrault avait achevé le sien à 28%. 68% des
personnes interrogées jugent que Manuel Valls "dirige bien son
gouvernement", 66% voient en lui "un homme de dialogue" et 63% le
jugent "proche des préoccupations" des Français. Un peu
plus de un sur deux (51%) le considèrent comme "capable de
sortir le pays de la crise". Pour 64% (+1), l'opposition ne ferait pas
mieux que le gouvernement actuel si elle était au pouvoir.
36% (inchangé) sont d'un avis inverse.
- MYTF1News, 9 avril 2014:
« France: le gouvernement de Manuel Valls est au complet -
Dernier épisode de l'arrivée de Manuel Valls à
Matignon, au lendemain de son discours de politique
générale devant l'Assemblée nationale, avec
l'annonce ce mercredi 9 avril de la liste des 14 secrétaires
d'Etat venant compléter l'équipe gouvernementale
nommée la semaine dernière -
La liste des secrétaires d'Etat du gouvernement de Manuel Valls
a été annoncée ce mercredi par le
secrétaire général de l'Elysée,
Pierre-René Lemas qui, lui-même, va être
remplacé le 16 avril par Jean-Pierre Jouyet (...).
- MYTF1News, 9 avril 2014:
« Désir, Le Guen, Pellerin, Fourneyron... La liste des 14 nouveaux secrétaires d'Etat ».
-
Var-Matin, mercredi 9 avril
2014 : « Grand oral réussi pour Manuel Valls » -
« Le Premier ministre a prononcé hier son discours de
politique générale avec comme ligne de mire un plan
d'économies de cinquante milliards d'euros. 306
députés lui ont accordé leur confiance contre 239
» - « Quelle majorité pour Matignon ? » -
« Valls et l'ambitieuse feuille de route ».
-
Var-Matin, jeudi 10 avril
2014 : « Hollande et Valls parachèvent la mue de
l'exécutif de combat : quatorze secrétaires d'état
et la parité respectée. Mais l'exfiltration du n° 1
du PS, Harlem Désir aux Affaires européennes est
perçue comme une prime à l'échec par certains...
socialistes ! »
- MYTF1News, 13 avril 2014 et Var-Matin, lundi 14 avril 2014 : « 18% vs 58% de popularité : Hollande-Valls à 40 points d'écart dans un sondage » - « La
cote de popularité de François Hollande a chuté de cinq points en
avril, à 18%, le plus bas niveau jamais atteint depuis deux ans,
tandis que celle de Manuel Valls, tout nouveau Premier ministre,
s'affiche à 58%, selon le baromètre mensuel Ifop pour le Journal du
dimanche. (...) Quant à Manuel Valls, testé
pour la première fois en sa qualité de Premier ministre, ses 58% font
de lui le chef de gouvernement le plus populaire en début de mandat (en
prenant en compte les scores à leurs débuts des "deuxièmes" chefs de
gouvernement d'un mandat présidentiel). A titre de comparaison,
Dominique de Villepin en juin 2005 enregistrait un indice de popularité
de 44%, et Laurent Fabius de 29% en août 1984. Celui-ci venait alors de
succéder au premier Premier ministre de François Mitterrand, Pierre
Mauroy. Surtout,
relève l'Ifop, un tel écart de 40 points entre les cotes de popularité
du président de la République et du Premier ministre n'a jamais été vu
depuis 1958 (hors cohabitations).
-
Var-Matin, lundi 14 avril 2014 : «
Grand écart de popularité entre Hollande et Valls - 40
points séparent me président de son Premier ministre,
selon le dernier baromètre Ifop [du jamais vu depuis 1958 (hors
cohabitations)]. Avec 18 % de satisfaits, le président n'est
jamais tombé si bas - Deux pilotes, mais un seul commandant -
Une forme de cohabitation... ».
- MYTF1News, 15 avril 2014:
« Déficit public : la France ne demandera pas de
délai supplémentaire à Bruxelles - La France a
finalement renoncé à demander un report de son objectif
de ramener son déficit public sous la barre des 3% du PIB en
2015. La semaine dernière, Bruxelles avait exhorté Paris
de respecter ses engagements - La France entend respecter son engagement de ramener son déficit public sous la barre des 3% du PIB en 2015.
Cet objectif s'annonce toutefois difficile à tenir. Le
gouvernement avait un temps envisagé de demander un délai
supplémentaire mais Bruxelles a fait comprendre à la
France qu'il en était hors de question, révèle ce
mardi Le Figaro. "J'ai toujours dit que je n'ai pas cherché de
délai", déclare Michel Sapin , joint par l'AFP,
réaffirmant l'objectif de fin 2015 auquel il s'était
engagé à son arrivée jeudi à Washington
pour une série de réunions du G7, du G20, du Fonds
monétaire international et de la Banque mondiale - En effet,
jeudi dernier, deux collaborateurs de François Hollande,
Emmanuel Macron secrétaire général adjoint
à l'Elysée et Philippe Léglise-Costa,
secrétaire général aux Affaires
européennes, se sont rendus à Bruxelles pour discuter
d'un éventuel délai. La réponse de la Commission
européenne fut catégorique, la France a des engagements
et elle doit les respecter. Un son de cloche analogue que le
vice-président de la Commission européenne, Siim Kallas,
a martelé à Michel Sapin la semaine dernière
à Washington. Aucun délai supplémentaire ne sera
accordé à Paris ».
-
Var-Matin, mardi 15 avril 2014 : «
Plan Hollande : où trouver les 50 milliards d'économie ?
» - « Manuel Valls présente aujourd'hui son plan
d'assainissement des finances publiques. Suffira-t-il à
atteindre l'objectif du retour à 3 % de déficit
réclamé pour 2015 réclamé par l'UE ?
».
- MYTF1News, 16 avril 2014
: « Valls : "nous ne pouvons plus vivre au-dessus de nos moyens"
» - « Face aux critiques de sa majorité, Manuel
Valls a fait lui-même le service après-vente de son plan
d'économies mercredi au 20h de France 2. Le Premier ministre a
réfuté tout « plan d'austérité,
affirmant qu' il ne faisait qu'appliquer la politique
décidée le 14 janvier par le président de la
République. En début de soirée, François
Hollande avait lui-même défini la ligne. Une feuille de
route "difficile", a reconnu le chef de l'Etat, tout en ajoutant que
"rien n'est pire que l'immobilisme". « Il faut réformer le
plus possible notre pays », a-t-il poursuivi ».
-
Var-Matin, mardi 22 avril 2014 : «
Pacte de stabilité : des économies sans
précédent. La trajectoire budgétaire a
été présentée hier en Conseil des
ministres. Le gouvernement s'engage à réduire son
déficit à 3 % d'ici 2015 ».
Manuel Valls prend la mesure du ras-le-bol fiscal - Le Premier ministre
a rappelé hier soir sur TF1 qu'il était en train de
travailler à une mesure destinée à alléger
les impôts sur les ménages les plus modestes ».
 |
- lci.tf1.fr, 20 juillet 2014
: « Popularité : Valls pour la première fois sous la barre des 50% - Le
Premier ministre Manuel Valls perd six points au mois de juillet dans
le baromètre IFOP/JDD et voit le taux de personnes satisfaites de son
action passer sous les 50%. François Hollande reste stable à 18% -
Depuis son entrée à Matignon, Manuel Valls était parvenu à conserver un
indice de popularité positif. Mais l'état de grâce semble terminé pour
le Premier ministre. Selon le baromètre IFOP pour le Journal du
Dimanche, 45% des personnes interrogées se déclarent satisfaites de
l'action du chef du gouvernement au mois de juillet. Manuel Valls perd
six points et surtout recueille plus de mécontents que de satisfaits,
une première. Dans la précédente vague, il perdait déjà 5% de personnes
satisfaites - L'explication de cette chute dans les sondages est à
chercher du côté des sympathisants du Front de Gauche qui accusent
Manuel Valls de s'être "allongé devant les patrons", mais aussi du côté
de son impopularité grandissante chez les sympathisants UMP ou parmi
les commerçants, les artisans et les chefs d'entreprise ».
-
Var-Matin, lundi 18 août 2014 : «
Valls droit dans ses bottes - Le Premier ministre a averti l'aile
gauche du PS qu'il était « hors de question » de
changer de politique économique et s'apprête à
défendre ce modèle en Europe - Garder le cap, dire la
vérité aux Français... et séduire les
partenaires de l'UE ».
-
Var-Matin, mercredi 20 août 2014 : «
Dure, dure, la rentrée pour le conseil des ministres - Alors que
l'économie stagne, le gouvernement compte sur la poursuite de sa
politique pour sortir la France de la crise. Au risque de rater son
année ? ».
- MYTF1News, 23 août 2014
: « On ne change pas le cap : Montebourg n'est pas d'accord avec
Hollande - Un frondeur au sein même du gouvernement ? "Les choix
politiques ne sont pas figés", affirme le ministre dans une
interview au Monde, alors que François Hollande
répète à l'envi vouloir maintenir le cap
économique. Arnaud Montebourg appelle aussi à "hausser le
ton" face à l'Allemagne ».
-
Var-Matin,
dimanche 24 août 2014 : « Changer de cap économique
» : Montebourg défie Hollande - Le Ministre de l'Economie
se livre dans Le Monde à une charge contre la politique
d'austérité » - Cécile Duflot : « Le
Président ne fait pas la politique qu'il s'était
engagé à mener ».
- MYTF1News, 25 août 2014 :
« Fronde au PS : la presse affligée par le spectacle de la
"pétaudière" gouvernementale - "Bateau ivre", "rafiot
qui prend l'eau de toute part", "pétaudière"... La presse
de lundi est atterrée par la "crise gouvernementale" ouverte ce
week-end après les critiques d'Arnaud Montebourg et Benoît
Hamon contre la ligne Hollande/Valls - "Crise ouverte" pour Le Parisien,
"tir de bazooka" pour le Figaro, "défi à Valls" pour
Libération... : les titres sont directs et les critiques vont
dans le même sens ce lundi dans la presse au sortir d'un week-end
marqué par la fronde des ministres Arnaud Montebourg et
Benoît Hamon qui ont ouvertement critiqué la politique
économique menée actuellement par le gouvernement. "La
chose est inhabituelle : le ministre de l'Economie trouve que la
politique économique du gouvernement - la sienne, donc - est
mauvaise", écrit dans un euphémisme Laurent Joffrin de
Libération ».
-
Var-Matin,
lundi 25 août 2014 : « Crise au PS : Hamon rejoint
Montebourg - Jeu d'équilibristes - Une ligne jaune franchie,
selon Manuel Valls » - « La popularité de Valls en
forte baisse : une plongée de 9 points, à 36 % »
- MYTF1News, 25 août 2014 :
« Démission du gouvernement : "Valls n'a plus que son
autorité pour se défendre" - Réagissant à
l'annonce de la démission du gouvernement, Arlette Chabot a
estimé que le Premier ministre était dans une situation
"difficile". "Manuel Valls se bat pour une politique contestée,
sa cote de popularité est en chute libre, il ne lui reste que
son autorité pour se défendre", a déclaré
Arlette Chabot sur LCI. Concernant Arnaud Montebourg, "soit il se
soumet, soit il ne fera pas parti du prochain gouvernement" ».
- MYTF1News, 25 août 2014 :
« Remaniement : Montebourg, Hamon et Filippetti quittent le
gouvernement, les explications de Montebourg sur TF1 - Après la
fronde de son ministre de l'Economie ce week-end, Manuel Valls a
présenté ce lundi matin la démission de son
gouvernement. Il reçoit depuis les différents ministres
afin de composer sa nouvelle équipe, qui sera
dévoilée demain. Arnaud Montebourg a indiqué qu'il
n'en ferait pas partie et affirmé au JT de TF1 : "je vais
chercher un travail" ».
-
Var-Matin, mardi 26 août 2014 : «
Valls vire les frondeurs » - « Un nouveau gouvernement,
sans Montebourg, Hamon ni Filipetti doit être annoncé
aujourd'hui ».
-
Var-Matin, mercredi 27 août 2014 : «
Tout ça pour ça » - « Remaniement a minima
hier. Macron remplace Montebourg à l'Économie et la
météorite Najat Vallaud-Belkacem succède à
Hamon à l'Éducation » - « Valls II : la
dernière chance pour Hollande » - Cayrol : « Valls 2
est le petit frère de Valls 1 ».
-
Var-Matin, jeudi 28 août 2014 : «
Standing ovation pour Valls
à l'université d'été du Medef » -
« J'aime l'entreprise », a lancé, hier, le Premier
ministre, très applaudi en retour par les patrons qui
apprécient l'arrivée du nouveau ministre de
l'Économie à Bercy - Pas de cadeaux aux patrons - Le
discours devras se transformer en actes » - « Chômage
: hausse record en juillet : 0,8 % (+ 26 100 inscrits) » - «
Économie : 75 % des Français ne font confiance ni
à Hollande ni à Valls ».
- MYTF1News, 28 août 2014 :
« Le nouveau ministre de l'Economie favorable à
"déroger" aux 35h - Dans une interview au Point
réalisée la veille de sa nomination à Bercy,
Emmanuel Macron, le successeur d'Arnaud Montebourg, se dit favorable au
fait d'autoriser "les entreprises et les branches à
déroger" aux 35 heures en cas d'accords avec les syndicats-
Certes, l'entretien a été réalisé lundi.
Emmanuel Macron n'était donc pas encore le ministre de
l'Economie. Mais les propos tenus au Point par le nouveau patron de
Bercy, décrié par une bonne partie de la gauche pour ses
liens avec le monde de la finance, ne manqueront pas de faire
réagir - Et c'était probablement le but puisque Emmanuel
Macron, nommé entre-temps au gouvernement, n'a pas
demandé au magazine de suspendre la publication de cette
interview -sa toute première à la presse
française. Une publication qui intervient en outre au lendemain
de l'ovation reçue par Manuel Valls au Medef - "Sortir du
piège de l'accumulation des droits" ».
-
Var-Matin, dimanche 31 août 2014
: « Valls droit dans ses bottes face aux frondeurs du PS - Dans
un discours enflammé, alterné de huées et
d'ovations, le Premier ministre s'est efforcé hier à La
Rochelle, de redonner un cap à ses socialistes
déboussolés - Pour calmer la « gauche du PS
», Manuel Valls a affirmé, hier, qu'il ne toucherait pas
à la semaine de 35 heures - Nouveaux gestes fiscaux - Soutenir
Hollande - La BCE doit faire baisser l'euro - Encadrement des loyers :
Valls calme le jeu avec Aubry ».
-
Var-Matin, dimanche 31 août 2014 : Marine Le Pen : «
L'équipe « Valls II » ne survivra pas à
l'hiver - Dissolution inévitable - 65 % des Français pour
modifier les 35 heures ».
 |
- MYTF1News, 16 septembre 2014
:
« Valls obtient la confiance mais sans la majorité absolue
: parole de frondeurs - Malgré la confiance que
l'Assemblée nationale a accordée mardi à Manuel
Valls, 31 ou 32 parlementaires de la majorité se sont abstenus.
Ils étaient 11 lors du dernier vote de confiance en avril. Mais
41 lors du vote du budget. Voici ce qu'en disent les frondeurs - Il
n'aura pas réussi à convaincre tous les
députés socialistes. Manuel Valls a de nouveau obtenu
mardi la confiance de l'Assemblée, comme en avril dernier, mais
avec une majorité seulement relative et non plus absolue. Ce qui
augure de lendemains difficiles pour le gouvernement au Parlement - Le
Premier ministre, qui a revendiqué de "chercher la confiance,
surtout quand c'est difficile", a rallié 269 voix (contre 244 et
53 abstentions), soit bien en-dessous du seuil des 289 voix de
majorité absolue (voir notre infographie ci-dessous). Parmi les
53 abstentions, 31 socialistes et apparentés et 17
écologistes. Les députés lui avaient
accordé 306 voix (contre 239 et 26 abstentions) le 8 avril
dernier après sa première déclaration de politique
générale. La montée des abstentions socialistes et
écologistes a abouti au nombre de voix "pour" lors d'un vote de
confiance le plus faible depuis 1986, date à laquelle
l'Assemblée nationale compte 577 députés, selon
une source parlementaire. Refusant le terme de "sursis" en jugeant la
majorité "claire", le chef du gouvernement a fait valoir, sur le
plateau de TF1, qu'il n'y avait "pas de majorité alternative"
».
-
Var-Matin,
mercredi 17 septembre 2014 : « L'assemblée a
renouvelé sa confiance à Manuel Valls par 269 voix contre
306 en avril, soit le plus faible nombre de voix favorables depuis 1986
- Le Premier ministre s'est montré réaliste, dramatisant,
volontaire - Un succès en demi-teinte - Pas de remise en cause
des 35 heures - Sarkozy, le rival... - Un député PS
frondeur : « Un petit geste en faveur du minimum vieillesse ne
fait pas une grande ambition » - Tenir, tenir et toujours tenir
».
-
Var-Matin,
jeudi 2 octobre 2014 : « Projet de budget 2015 : priorité
à la croissance devant le déficit - Le document
présenté hier en Conseil des ministres confirme 21
milliards d'économies et une baisse des
prélèvements des entreprises pour doper l'emploi -
Discussion compliquée en vue avec Bruxelles - 3 millions de
foyer devraient sortir de l'impôt - Une « saignée
» des classes moyennes ? ».
- MYTF1News, 10 octobre 2014
:
« L'avertissement
de l'agence Standard and Poor's à la France - Standard and
Poor's a confirmé vendredi la note souveraine de la France
à long terme à AA mais a révisé sa
perspective de stable à négative. Une analyste de
l'agence de notation a détaillé les trois principales
raisons de cette décision - L'agence de notation
américaine Standard and Poor's a lancé vendredi un
avertissement à la France, en révisant la perspective de
sa note de solvabilité à long terme "AA" à
"négative" contre "stable". Cela signifie que la France a au
moins une chance sur trois de voir sa note, la troisième
meilleure possible, baisser au cours des 24 prochains mois.
Marie-France Raynaud, analyste principale de l'agence de notation pour
la France, a détaillé à l'AFP les trois raisons
ayant motivé cette décision - Elle a jugé "le
déficit budgétaire plus dégradé" que
prévu et estimé qu'il pourrait "se dégrader
davantage", en raison de "marges de manœuvre réduites sur les
recettes". Marie-France Raynaud a par ailleurs souligné que
l'objectif de "stabilisation de la dette (était)
repoussé" - L'analyste a également jugé qu'il y
avait un "risque concernant la mise en œuvre des réformes
structurelles annoncées" par le gouvernement, censées
relancer la croissance et assainir les finances publiques. "On manque
d'antécédents solides en termes de mise en place de
réformes en France", a-t-elle souligné, évoquant
aussi de possibles résistances sociales - Michel Sapin
relativise ».
-
Var-Matin,
23 octobre 2014 : « Au PS, la fronde vire à la guerre
ouverte - Benoît Hamon accuse la politique du gouvernement de
« menacer la République », Valls lance une charge
contre la « gauche passéiste ».
- MYTF1News, 23 octobre 2014
:
« Valls plonge le PS dans une nouvelle crise identitaire
- De plus en plus contesté au sein de son parti, Manuel Valls a
réaffirmé jeudi qu'il n'entendait pas "dévier" de
sa "ligne". Pour calmer les esprits, le Premier secrétaire du
PS, Jean-Christophe Cambadélis, a lancé un appel au
cessez-le-feu - Le PS est-il à nouveau au bord de l'implosion ?
Le Premier ministre, qui plaide pour une refonte totale de la gauche,
défend une politique de rigueur budgétaire
critiquée par des parlementaires "frondeurs" qui s'appuient sur
une défiance croissante de l'opinion. Selon un sondage
Tilder-LCI-OpinionWay réalisé mercredi et jeudi
auprès de 1.002 personnes, 67% des Français jugent que sa
politique économique n'est pas de gauche - "Le débat, il
n'est pas entre socialistes, il est d'abord avec les Français,
et moi je ne dévierai pas de ma ligne", a néanmoins
répondu Manuel Valls en marge d'un déplacement en
Gironde. "Je sais que je dois conduire des réformes. Elles sont
nécessaires pour le pays, elles sont nécessaires pour les
Français, je ne dévierai pas de cette ligne, rien ne me
fera dévier, c'est la bonne ligne", a-t-il ajouté ».
- MYTF1News, 24 octobre 2014
:
« Le chômage repart à la hausse en septembre et bat un nouveau record
- Le nombre de chômeurs a de nouveau augmenté en
septembre, après une légère baisse en août.
19.200 chômeurs supplémentaires ont été
recensés le mois dernier (+0,6%), portant à 3.432.500 le
nombre total de personnes sans aucune activité - Le
chômage repart à la hausse. Après une
légère baisse en août, le nombre de demandeurs
d'emploi a à nouveau augmenté en septembre, avec 19.200
sans emploi de plus qu'au mois dernier (+0,6%), selon les chiffres de
la Dares/Pôle emploi communiqués vendredi. Au total, le
nombre de chômeurs de catégorie A (sans aucune
activité) s'élève à 3.432.500 - "Au
total, le nombre de demandeurs d'emploi inscrits à Pôle
emploi en catégories A, B, C s'établit à 5.128.200
en France métropolitaine fin septembre 2014 (5.431.500 en France
y compris Dom). Ce nombre augmente de 1,0 % (+50.200) au mois de
septembre. Sur un an, il augmente de 5,7 %", précise le
ministère du Travail dans son communiqué.
 |
- MYTF1News, 4 novembre 2014
:
« Budget : Bruxelles ne croit pas aux prévisions de la France
- La France ne tiendra pas ses objectifs budgétaires l'an
prochain, a estimé mardi la Commission européenne qui
table sur un déficit public à 4,5% du PIB en 2015,
chiffre qui va encore s'aggraver en 2016 à 4,7%,
éloignant le scénario d'un retour sous 3% l'an suivant
».
- MYTF1News, 14 novembre 2014
: « Valls voit dans le chiffre de croissance "un encouragement"
à sa politique - Le Premier ministre estime que la croissance de
0,3% enregistrée en France au troisième trimestre est "un
encouragement à poursuivre". Le chiffre est meilleur que
prévu ».
- MYTF1News, 24 décembre 2014
: « Chômage : 27.400 nouveaux demandeurs d'emploi en
novembre - Au mois de novembre, le chômage a continué de
progresser. Pôle Emploi a enregistré 27.400 nouveaux
demandeurs d'emploi, soit une hausse de 0,8% - Manuel Valls avait
annoncé mardi qu'il s'attendait à une nouvelle hausse du
chômage en novembre. Et sans surprise, les chiffres
communiqués ce mercredi par la Dares sont mauvais. Le nombre de
demandeurs d'emploi de catégorie A a augmenté de 27.400
(+0,8%) le mois dernier. A noter que le chômage des seniors a
augmenté de manière importante que celui des jeunes, une
hausse de 1% chez les plus de 50 ans contre 0,5% chez les moins de 25
ans. Une conséquence selon le ministère du travail de
"l'effet positif des emplois d'avenirs" - En revanche, on enregistre
une baisse de 0,1% du nombre de demandeurs d'emplois ayant
exercé une activité réduite de 78 heures ou moins
au cours du mois (catégorie B) et une baisse de 0,5% de ceux qui
ont exercé une activité réduite de plus de 78
heures (catégorie C) - Manuel Valls s'est dit mercredi
"convaincu" que les dispositifs mis en œuvre par son gouvernement
"paieront" et "permettront d'avoir des résultats" pour relancer
la croissance et améliorer la situation de l'emploi. "Il y a des
perspectives qui sont meilleures, c'est vers ces perspectives qu'il
faut se tourner" ».
- MYTF1News, 7 janvier 2015
:
« Faible
croissance en France : "L'orgueil national en prend un coup" -
Pénalisée par une faible croissance et la baisse de
l'euro, la France a perdu en 2014 sa place de cinquième
économie mondiale au profit du Royaume-Uni. Vincent Perrault
nous explique les raisons »
- MYTF1News, 27 janvier 2015:
« Chômage : 2014 année noire, 8100 nouveaux
demandeurs d'emploi en décembre - En décembre 2014, le
nombre de demandeurs d'emploi inscrits en catégorie A a
augmenté de 0,2 %, soit 8 100 personnes supplémentaires,
pour s'établir à 3,49 millions - Avec 3,496 millions de
chômeurs sans activité en métropole en
décembre et 189.100 demandeurs d'emplois supplémentaires
en 2014, le président Hollande reste en échec sur le
chômage à plus de mi-mandat, les effets du Pacte de
responsabilité tardant à se concrétiser. Quelque
8.100 personnes supplémentaires, sans activité, se sont
inscrites à Pôle emploi en décembre (+0,2%). Sur
l'année, la progression du nombre des chômeurs de cette
catégorie (A) a été de 5,7%, comme en 2013. En
incluant les chômeurs ayant une activité réduite,
5,21 millions de personnes étaient inscrites à Pôle
emploi en métropole, 5,52 millions avec l'Outre-mer ».
- MYTF1News, 25 mars 2015
:
« Hausse du chômage en février : +12.800 inscrits soit 3.494.400 chômeurs - Le
taux de chômage repart à la hausse en février, avec
une hausse de 0,4%. La France compte 3,49 millions de chômeurs de
catégorie A. Mauvaise nouvelle pour le gouvernement.
Après une petite baisse en janvier de 0,5%, le taux de
chômage en France repart à la hausse en février. Le
ministère de l'Emploi annonce 12 800 inscrits en plus. Le nombre
de demandeurs d'emploi inscrits en catégorie A s'établit
à 3,49 millions de personnes. Le ministre de l'Emploi
François Rebsamen a réagi à cette hausse mercredi
soir. « Depuis 2008, c'est la première fois que l'on
constate une baisse du nombre d'inscrits en catégorie A sur les
deux premiers mois de l'année. Le nombre de demandeurs d'emploi
de moins de 25 ans en catégorie A poursuit également sa
baisse, -0,3 % soit -1 400 personnes par rapport au mois de janvier
», affirme-t-il ».
-
Var-Matin,
25 mars 2015 : « (Par
Denis Jeambar) Le flot continu des sondages fait oublier cette loi
fondamentale de la vie publique : les élections transforment
toujours profondément le paysage politique, car elles en
bousculent les rapports de force. Nous aurons donc un après-29
mars quand sera refermée la séquence choc des
départementales. Certes, en prenant la parole dimanche soir
dès 20h05, à l’issue du premier tour, Manuel Valls,
avec un immense talent, a refermé le couvercle sur le verdict
des urnes et imposé sa lecture du scrutin. Le Premier ministre
n’a pas crié victoire, mais il a donné le ton :
d’abord, en qualifiant d’« honorable » la
défaite du Parti socialiste ; ensuite, en s’arrogeant un
succès, l’endiguement du Front national, ravalé au
rang de deuxième ou troisième parti. De la belle ouvrage,
car le chef du gouvernement a imprégné les esprits et
fait croire que sa campagne avait été efficace. Depuis
dimanche, Manuel Valls enfonce ce clou-là, diabolisant le FN et
donnant des leçons de morale à Nicolas Sarkozy, coupable
de « ni PS ni FN ». Cette stratégie a le
mérite de la cohérence et de l’habileté,
mais, à l’heure des résultats définitifs,
elle risque de provoquer un rude effet boomerang (...) ». Car, « Depuis 1976, dans ce type d’élection, la gauche n’était jamais descendue en dessous de 40 % ».
-
Var-Matin,
26 mars 2015 : « Le chômage repart à la hausse -
Coup dur pour la majorité avant le second tour des
départementales : l'embellie du début d'année
cède le pas. Février enregistre 12 800 demandeurs
d'emploi de plus - Des motifs de satisfaction pour le ministre du
Travail - Un air de déjà vu - Cambadélis
rêve à des lendemains qui chantent ».
Remaniement ministériel du 11 février 2016 :
- Var-Matin,
vendredi 12 février 2016 : « 39 ministres « pour
agir » et pour faire campagne - Un nouveau gouvernement et des
retours. Celui de l'ex-Premier ministre Jean-Marc Ayrault aux Affaires
étrangères. Et celui des écologistes... dissidents
» - « Le nouveau gouvernement - Un remaniement oui, mais
dans quel but ? - Hollande en Président qui veut « bien
faire » - Un gouvernement élargi et resserré (par
Claude Weill).
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