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La Seine-sur-Mer, La Seyne-sur-Mer,
La Seyne-sur-Mer, La Seyne-sur-Mer, La Seine-sur-Mer
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Les
élections à La Seyne-sur-Mer depuis 1945
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jcautran.free.fr
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Elections
municipales des 15 mars et 28 juin 2020
Autres
élections municipales à La Seyne : 1935, 1941,
1944, 1945, 1947, 1950, 1953, 1959, 1965, 1971, 1977, 1983,
1984, 1985, 1989, 1995, 2001, 2008, 2014,
2020
|
Généralités sur ces
élections municipales et sur le mode de scrutin :
Les élections
municipales françaises de 2020 devaient avoir lieu les 15 et 22 mars
2020 afin de procéder au renouvellement des conseils municipaux des
communes françaises.
Mais,
en raison de l'épidémie de coronavirus et de la période de confinement,
le second tour [pour les communes n'ayant pas élu leur conseil au
premier tout] a dû être reporté de 3 mois et a eu finalement lieu le
28 juin 2020.
Contexte :
Lors des élections
municipales de 2014, la droite parlementaire l'avait emporté dans la
plupart des communes au détriment de la gauche, tandis que l'extrême
droite remportait 14 municipalités, dont Hénin-Beaumont dès le premier
tour de scrutin, une première. Le Parti communiste français résistait
dans quelques-uns de ses bastions, notamment en Seine-Saint-Denis,
tandis que les écologistes remportaient une seule ville de plus de 100
000 habitants, à Grenoble.
Depuis l'élection présidentielle de 2017, l'échiquier politique
français est fortement modifié par l'arrivée au pouvoir d'Emmanuel
Macron. Son parti, La République en marche, a fortement fragilisé les
partis de gouvernements au pouvoir depuis 1958, notamment le Parti
socialiste et Les Républicains.
Pour la première fois depuis 1995, un nombre important de maires
renoncent à se représenter. Parmi les nombreux maires sortants qui ne
se représentent pas figurent Jean-Claude Gaudin, qui a été élu pour la
première fois maire de Marseille en 1995.
Mode de scrutin :
A La Seyne,
comme dans les communes de plus de 1 000 habitants, l'élection des
conseillers municipaux se déroule selon un scrutin de liste à deux
tours avec représentation proportionnelle : les candidats se présentent
en listes complètes avec la possibilité de deux candidats
supplémentaires. Lors du vote, on ne peut faire ni adjonction, ni
suppression, ni modification de l'ordre de présentation des listes.
L'élection peut se limiter à un seul tour en cas de majorité absolue,
ou donner lieu à un second tour, auquel cas :
• les listes qui ont obtenu au moins 10 % des suffrages exprimés
peuvent s'y maintenir ;
• les candidats d'une liste qui a obtenu plus de 5 %, sans pouvoir se
maintenir en tant que tels, peuvent rejoindre une autre liste, ce qui
peut amener à modifier l'ordre de présentation des candidats.
Les élections municipales des communes de plus de 1 000 habitants
constituent un scrutin majoritaire avec une dose proportionnelle : on
attribue d'abord la moitié (arrondie si nécessaire à l'entier
supérieur) des sièges à pourvoir à la liste qui a le plus de voix au
premier tour ou, s'il y a lieu, au second ; les autres sièges sont
répartis entre toutes les listes présentes au dernier tour ayant eu
plus de 5 % des suffrages exprimés (y compris la liste majoritaire) à
la représentation proportionnelle à la plus forte moyenne.
Tous les candidats,
liste par liste, avec leur profession de foi :
- [A la date du 16 janvier 2020] :
9 listes sont en compétition
au scrutin majoritaire, 49 conseillers municipaux étant à pourvoir :
-
-
Liste de M. Ben Mihoub : « Citoyens en Seyne »
01 BEN MIHOUB Samir
02 MORENO Mélanie
03 DAVRIL Quentin
04 HUGUENY Cécile
05 FLORI Michel-Ange
06 PIHAN Coralie
07 OUATTARA Oumar
08 GUIDICELLI Julie
09 BEZTOUT Camel
10 GALLICCHIO Annie
11 EL GROUA El madhi
12 ALOUINI Nawelle
13 GOMIS Alain
14 ZEHANI Yasmina
15 TOURÉ Poullo
16 BENAÏSSA Noria
17 FABER Jimmy
18 FRANCON Marine
19 JAOUANI Aïmane
20 MELLOUKI Wafa
21 BEOLETTO Fabrizio
22 M'HAMED Sahra
23 FENOZANANY Larry
24 MASTROCINQUE Adeline
25 BAGHDAD Mehdi
26 FLOQUET Maelle
27 SCOTTO Alain
28 BEJAOUI Ebtissem
29 BAKKARI Bouchta
30 LEICK Carine
31 MEDIMAGH Taoufik
32 OUVRARD Sylvie
33 SABIS Dominique
34 FRANCHI Roselyne
35 MANE Michel
36 NEZ Béatrice
37 BOUCHIHA Djamal
38 TREHEL Gwenaelle
39 FRANÇOIS Jean-Marie
40 BOUTILLET Déborah
41 CORREA Raphaël
42 HERMANT Adelaïde
43 ARBAOUI Bilal
44 RAMON Hélène
45 ALVAREZ Anthony
46 ROGNONE Albane
47 SALMON Christopher
48 ROSSETTI Chrystelle
49 PALA Cyril
|
|
Liste de M. Bessone : « Nous, La Seyne »
01 BESSONE Patrice
02 ROSE-ANNOT Lucienne
03 LEROY Mickaël
04 FRANÇOIS-HIRSCHFIELD Valérie
05 AUSSERRE Sébastien
06 GAMALERO Christine
07 HOUILLON Philippe
08 BESSONE Laura
09 FRANÇOIS Alain
10 LUCAS-MARLOT Laurence
11 PISANI Rémy
12 ROUGE Marie-France
13 ONETTO Raphaël
14 GORLIER Chloé
15 DEIAS Romain
16 BURGUNDER-GIANGRECO Christine
17 MARTEL Florian
18 LORCA Nadine
19 BEGUE Maurice
20 BEN MANSOUR Huguette
21 ANNOT Lucien
22 BEGUE Mireille
23 BINELLI Pierre
24 AMAMI Sophia
25 BARRETTAPIANA Henri
26 BOUGAULT Véronique
27 CANCEMI Jean-Franck
28 MOTREFF Solenn
29 KIDOUCHE Mourad
30 ROUX-MANNONE Véronique
31 LORCA Jean
32 COSTE-BASSO Lydia
33 ANDREANI Raymond
34 DIAKITE Fanda
35 MANNONE Louis
36 TOPALOGLU Derya
37 MOHIEDDINE Abdeljelil
38 GULIZZI Pressilia
39 JEANROY David
40 GIORDANA Béatrice
41 MEESCHAERT Alain
42 ABATE Eliane
43 GOULEY Francis
44 ROUGE Chantal
45 PERRIN Frédéric Guy
46 VANDEN BROECK Manon
47 BASSO Philippe
48 LORCA-BESSONE Jacqueline
49 DELECROIX Jean-Pierre
|
|
|
|
Liste de Mme Bicais : « La Seyne, j'y crois »
01 BICAIS Nathalie
02 COLIN Jean-Pierre
03 SINQUIN Christine
04 CAPOBIANCO Guillaume
05 CHENET Corinne
06 BECCARIA Gérard
07 LACHAUD Christelle
08 GUTTIEREZ Damien
09 BAGHDAD Malika
10 MANSOUR Cheikh
11 PAGANELLl-ARGIOLAS Marie-Claude
12 MINNITI Joseph
13 LEPORTOIS Véronique
14 PEURIÈRE Christophe
15 VINCENT Kristelle
16 TASSISTO Pascal
17 MONTBARBON Sophie
18 BAVIÉRA Dominique
19 GUES Elisabeth
20 GHARBI Ali
21 ONTONIENTE-DEROIN Lydie
22 DUPLA Christian
23 PENARD Catherine
24 MARTINEZ Daniel
25 PETER Fatiha
26 BOYER Alain
27 MORAND Katia
28 CASTILLO André
29 OUERGHI Narjès
30 DIMEGLIO Yves
31 KADDOURI Valérie
32 LEXA Dominique
33 SORIANO Nathalie
34 RAULOT Didier
35 GUITTIENNE Valérie
36 GIOIA Sébastien
37 CUNIBERTI Christine
38 PONTONE Ludovic
39 BASS Cécile
40 GARCIN Pierre
41 MASURIER Alice
42 JEANNEY Jean-Hervé
43 DASYLVA-MONTEIRO Amélia
44 CARDINALE David
45 VERGES Fabienne
46 CASSES Christophe
47 ALLOUCHE Déborah
48 SANCHEZ Julien
49 LUBRANO Cynthia
|
|
|
|
Liste de M. Daninos
: « La Seyne gagne »
01 DANINOS Serge
02 HUBLER Nathalie
03 MARTINENQ Patrick
04 BROTONS Laurence
05 BOUSBIH Fathi
06 FELICES Martine
07 TOUCAS François
08 DAVID Françoise
09 MOGINOT Philippe
10 BERLATIER Lauxandra
11 HERLEMONT Christian
12 RMILI AYARI Sawsen
13 LUCCISANO Marc
14 FRANCIOSINI Patricia
15 BENET Bernard
16 MENDY Florence
17 MARTINENQ Philippe
18 HERMIER Odile
19 EL JABRI Sarny
20 POLLET Marylise
21 LENNE Laurent
22 IOVINO NOËL Nicole
23 CAMPS Philippe
24 CHIRHK Sarah
25 PIOT Gérald
26 BELLI Éliane
27 ROTH Jonathan
28 PERROT Micheline
29 ERMANN Serge
30 LE GOFF Adeline
31 BLANCH Georges
32 TOUNSI Sabrina
33 ZGAREN Mohamed
34 SCOGNAMIGLIO Christine
35 CHEVALLIER Guillaume
36 SANCHEZ-POYO Julia
37 BOURGON Jean-Pierre
38 CENTA Karine
39 GIRARD Pascal
40 INGARGIOLA Céline
41 GEERTS Rudy
42 BASSE Angélique
43 SAEZ Jean-Luc
44 LUCCISANO Andréa
45 RAYBAUD René
46 ZAMMIT Catherine
47 GASPARD Christian
48 MÉROGNO Isabelle
49 NOËL Hervé
|
|
Liste de M. Munoz : « Le Rassemblement pour La Seyne »
01 MUNOZ Dorian
02 DELYON Isabelle
03 VAUCHER Marc
04 VIDAL Dorothée
05 ESTIVANT Pierre
06 DUMAS Charlotte
07 SARACONI Thibault
08 MALBREC Virginie
09 CORBEIL Jérôme
10 LOMBARD Denise
11 ANDRE Jacques
12 ZANNA Cécilia
13 RIVIECCIO Éric
14 STRUYVE Dominique
15 VICENTE Jean-Luc
16 ISSA Aimée
17 CONCHARD Patrick
18 MARTY Maryse
19 HOULNÉ Jean-Claude
20 MALBREC Sandrine
21 SEVIN Christian
22 LOPEZ Geneviève
23 MERCURI Aurelio
24 TALEB Ginette
25 DHÔ André
26 MARTINENQ Christiane
27 MACARIO Mickaël
28 LALEVÉE Simone
29 DRAPPIER Cilles
30 BRUNIER Valérie
31 FUMAS José
32 BEN Nelly
33 BANTWELL Serge
34 TRIAY Jocelyne
35 CROSSELLE Pascal
36 MONTELET Germaine
37 VERLAQUE Patrick
38 NÔEL Isabelle
39 MACQUET Armand
40 DROUIN Cassandra
41 VIALLA Robert
42 BRUNEL Claire
43 MAINGOT Stephane
44 ROUX-JACHETTA Corinne
45 CHAMARD Richard
46 ZVYERYEVA Yuliya
47 LUCIDO Jacques
48 DUBOIS Micheline
49 LOTTA Joseph
|
|
|
Liste du Dr Patentreger : « La Seyne verte et ouverte »
01 PATENTREGR Luc
02 VERANI-LAÏ Cassandra
03 MRABIT Hicham
04 BIANCONI Christine
05 LANCELLOTTA Stephane
06 BREHIER-SCOLARDI Isabelle
07 BENHAMOU Olivier
08 BARRACO Sylvie
09 BAËZA Bernard
10 BOUCHKARA Basma
11 PERRIN Claude
12 MARTIN Stéphanie
13 BOUAKSA Hakim
14 SANTINI Martine
15 MASSON Christophe
16 PEDRONA Anaïs-Farrah
17 RONE Raphaël
18 VEIGA Sabrina
19 BENET Yves
20 ALGIERI-SERY Marcelle
21 COLLIN Alexis
22 TISSIER Sylvie
23 FERRIER Guy
24 MASSOL Tania
25 BIDEAU Jean-Michel
26 RONAT Céline
27 BONNY François
28 SEIMANDO Nathalie
29 SYLVA Charles
30 CHABOUR Michelle
31 CHICHE Gérard
32 AYOUN Catherine
33 FELDIS Eric
34 MARCHETTI Martine
35 LOUCHE Gabriel
36 TFIRST Raymonde
37 RAPT Christophe
38 LAZREK Sorya
39 PINCELOUP Jean-Michel
40 GUAY Marielle
41 GUILLAUME Loïc
42 TRONCI Véronique
43 STEPHANAZZI Eric
44 GOMEZ Alexandra
45 CHAFROUD Nabil
46 DELAGE Martine
47 JANVIER Sébastien
48 ARTU Elisabeth
49 MATTIO Pierre-François
|
|
Liste de Mme Torrès : « Agir pour les
Seynois »
01 TORRES Sandra
02 PIN Bertrand
03 SANCHEZ Virginie
04 DEUTSCH Stéphane
05 RIGAL Hélène
06 LEROY Martial
07 FABRER REBUFFEL Magali
08 ESTIENNE Jean-Louis
09 ZAHAF Samia
10 CHROSTEK Sébastien
11 MEJRI Nathalie
12 BLANC Alain
13 PIERRE Nathalie
14 ASTRUC Olivier
15 BONARDI Carol
16 DUHAMEL Morgan
17 VANOTTI Lætitia
18 PASCUZZO Thomas
19 BERTRAND Dorothée
20 BONGRAIN Arthur
21 GARCIA Hélène
22 KONE Kabamba
23 JOIGNANT Nadège
24 NAUX Jean-Louis
25 Dl GIORGIO Martine
26 CAZEAUX Didier
27 ANFRAY Vanessa
28 RUBINI Dominique
29 CAUX Linda
30 CASARUBBIA Mike
31 WASSON Anne-Sophie
32 DOUREL Éric
33 NADAN-MIHIC Morgane
34 WILPERT Joël
35 DORGET Fabienne
36 SALVATORE-ARNAUD Kevin
37 VELEMIR Denise
38 BOUYER Jacques
39 JOYAN PIERRE Adeline
40 CANALE Jean-Claude
41. PHILIPPON Mireille
42 SAKOUN Alexandre
43 SVLVA Angélique
44 CUISSET Christian
45 GAVOIS Caroline
46 SAËZ Sylvain
47 FRANÇOIS Catherine
48 SCOTTO-DI-VETTIMO Pierre
49 LANZA Sylvia
|
|
|
|
Liste de M. Vuillemot : « La Seyne 2020 - L'énergie positive
»
01 VUILLEMOT Marc
02 JOURDA Cécile
03 CIVETTINI Anthony
04 REANO Bouchra
05 BOUTEKKA Makki
06 LE GAL Annick
07 ANDRAU Olivier
08 IVALDI Céline
09 ASTORE Claude
10 GUADDACHA Florence
11 TEISSEIRE Robert
12 BENZOHRA Nadjat
13 SACCO Stéphane
14 DALI-BEY ép. MARTIN Hanifa
15 CORREA Louis
16 VIAZZI Marie
17 GERNER Denis
18 FÉRAUD Marie-Christine
19 COSTE Jimmy
20 M'HAMED ép. ABBASSI Samar
21 MOUISSE Guy
22 DIMO Danièle
23 RELIAUD Cyril
24 BERGIA ép. PATIÈS Andrée
25 QUIVIGER Marc
26 RENIER Isabelle
27 BERNARD Tristan
28 POLLET Corine
29 GOMIS Lys
30 SIDI DRIS Zohra
31 MARRO Éric
32 SOLEM Vanessa
33 CODACCIONI Toussaint
34 BENSLAMA Ouifa
35 L’HOSTIS Arnaud
36 LEGUEN Raphaèle
37 NIGOGHOSSIAN Robert
38 AMBARD Martine
39 POIRET Frédéric
40 THUBERT Solange
41 NICODEMI Christian
42 HERNANDEZ Élodie
43 BRUNO Jean-Luc
44 GARABETIAN ép. BENNIS Françoise
45 DODERO Jonathan
46 BRUNA Valérie
47 TOURNAN Michel
48 GILIS ép. CYRULNIK Florence
49 TAURINES Jean-Jacques
|
|
Résultats du 1er tour
:
|
Nombre
|
% / inscrits
|
Inscrits
|
44 188
|
100,00 %
|
Abstentions
|
28 330
|
64,11 %
|
Votants
|
15 858
|
35,89 %
|
|
Nombre
|
% / votants
|
Blancs
|
199
|
1,25 %
|
Nuls
|
272
|
1,72 %
|
Exprimés
|
15 387
|
97,03 %
|
|
Voix
|
% / exprimés
|
Résultat
|
- Liste Vuillemot
- Liste Bicais
- Liste Munoz
- Liste
Patentreger
- Liste Torrès
- Liste Daninos
- Liste Ben Mihoud
- Liste Bessone
|
- 3 542
- 3 358
- 2 402
- 2 130
- 1 722
- 1 359
- 457
- 417
|
-
23,01 %
-
21,82 %
-
15,61 %
-
13,84 %
-
11,19 %
-
8,83 %
-
2,97 %
-
2,71 %
|
-
B
-
B
-
B
-
B
-
B
-
-
-
-
-
-
|
|
LCI, 16 mars 2020
|
|
Var-Matin, 16 mars 2020
|
Résultats par bureau:
|
Var-Matin, 17 mars 2020
|
Listes en présence au 2e
tour :
5
listes étaient éligibles pour le 2e tour. Suite à la fusion des listes
Vuillemot (23,01%) - Patentreger (13,84%), d'une part, et des listes
Torrès (11,19%) - Daninos (8,83 %), d'autre part, 4 listes sont en
présence au second tour :
Liste de Mme Bicais
: « La Seyne, j'y crois »
01 BICAIS Nathalie
02 COLIN Jean-Pierre
03 SINQUIN Christine
04 CAPOBIANCO Guillaume
05 CHENET Corinne
06 BECCARIA Gérard
07 LACHAUD Christelle
08 GUTTIEREZ Damien
09 BAGHDAD Malika
10 MANSOUR Cheikh
11 PAGANELLl-ARGIOLAS Marie-Claude
12 MINNITI Joseph
13 LEPORTOIS Véronique
14 PEURIÈRE Christophe
15 VINCENT Kristelle
16 TASSISTO Pascal
17 MONTBARBON Sophie
18 BAVIÉRA Dominique
19 GUES Elisabeth
20 GHARBI Ali
21 ONTONIENTE-DEROIN Lydie
22 DUPLA Christian
23 PENARD Catherine
24 MARTINEZ Daniel
25 PETER Fatiha
26 BOYER Alain
27 MORAND Katia
28 CASTILLO André
29 OUERGHI Narjès
30 DIMEGLIO Yves
31 KADDOURI Valérie
32 LEXA Dominique
33 SORIANO Nathalie
34 RAULOT Didier
35 GUITTIENNE Valérie
36 GIOIA Sébastien
37 CUNIBERTI Christine
38 PONTONE Ludovic
39 BASS Cécile
40 GARCIN Pierre
41 MASURIER Alice
42 JEANNEY Jean-Hervé
43 DASYLVA-MONTEIRO Amélia
44 CARDINALE David
45 VERGES Fabienne
46 CASSES Christophe
47 ALLOUCHE Déborah
48 SANCHEZ Julien
49 LUBRANO Cynthia |
|
Liste
de M. Munoz : « Unis pour La Seyne »
01 MUNOZ Dorian
02 DELYON Isabelle
03 VAUCHER Marc
04 VIDAL Dorothée
05 ESTIVANT Pierre
06 DUMAS Charlotte
07 SARACONI Thibault
08 MALBREC Virginie
09 CORBEIL Jérôme
10 LOMBARD Denise
11 ANDRE Jacques
12 ZANNA Cécilia
13 RIVIECCIO Éric
14 STRUYVE Dominique
15 VICENTE Jean-Luc
16 ISSA Aimée
17 CONCHARD Patrick
18 MARTY Maryse
19 HOULNÉ Jean-Claude
20 MALBREC Sandrine
21 SEVIN Christian
22 LOPEZ Geneviève
23 MERCURI Aurelio
24 TALEB Ginette
25 DHÔ André
26 MARTINENQ Christiane
27 MACARIO Mickaël
28 LALEVÉE Simone
29 DRAPPIER Cilles
30 BRUNIER Valérie
31 FUMAS José
32 BEN Nelly
33 BANTWELL Serge
34 TRIAY Jocelyne
35 CROSSELLE Pascal
36 MONTELET Germaine
37 VERLAQUE Patrick
38 NÔEL Isabelle
39 MACQUET Armand
40 DROUIN Cassandra
41 VIALLA Robert
42 BRUNEL Claire
43 MAINGOT Stephane
44 ROUX-JACHETTA Corinne
45 CHAMARD Richard
46 ZVYERYEVA Yuliya
47 LUCIDO Jacques
48 DUBOIS Micheline
49 LOTTA Joseph
|
|
|
Liste de Mme Torrès : « L'union pour La Seyne - La Droite Constructive
et le Centre »
01 TORRES Sandra
02 DANINOS Serge
03 SANCHEZ Virginie
04 PlN Bertrand
05 BERLATIER Lauxandra
06 DEUTSCH Stéphane
07 FABRER REBUFFEL Magali
08 TOUCAS François
09 GARCIA Helene
10 ESTIENNE Jean-Louis
11 ZAHAF Samia
12 LUCCISANO Marc
13 PIERRE Nathalie
14 BLANC Alain
15 BONARDI Carol
16 ASTRUC Olivier
17 VANOTTI Laetitia
18 PASCUZZO Thomas
19 MEJRI Nathalie
20 KONE Kabamba
21 HUBLER Nathalie
22 CHROSTEK Sébastien
23 RMILI AYARI Sawsen
24 BONGRAIN Arthur
25 CAUX Linda
26 BENET Bernard
27 JOYAN PIERRE Adeline
28 NAUX Jean-Louis
29 ANFRAY Vanessa
30 CAZEAUX Didier
31 NADAN-MIHIC Morgane
32 DOUREL Eric
33 MENDY Florence
34 RUBINI Dominique
35 HERMIER Odile
36 SALVATORE-ARNAUD Kevin
37 VELEMIR Denise
38 PIOT Gérald
39 CHIRHK Sarah
40 SAËZ Sylvain
41 FRANÇOIS Catherine
42 GIRARD Pascal
43 BELLI Éliane
44 BOUYER Jacques
45 WASSON Anne-Sophie
46 ROTH Jonathan
47 SCOGNAMIGLIO Christine
48 SAKOUN Alexandre
49 BASSE Angélique
NB. Les 16 noms en italique sont ceux des colistiers de Serge Daninos au premier tour.
|
|
|
|
Liste de M. Vuillemot : « La Seyne 2020 - L'énergie positive
- Pour une ville verte et ouverte
»
01 VUILLEMOT Marc
02 JOURDA Cécile
03 CIVETTINI Anthony
04 BOUCHKARA Basma
05 LANCELLOTTA Stéphane
06 REANO Bouchra
07 BOUAKSA Hakim
08 VÉRANI-LAÏ Cassandra
09 ANDRAU Olivier
10 VIAZZI Marie
11 BAËZA Bernard
12 VEIGA Sabrina
13 COSTE Jimmy
14 BENZOHRA Nadjat
15 BENET Yves
16 SANTINI Martine
17 BOUTEKKA Makki
18 IVALDI Céline
19 BONNY François
20 PEDRONA Anaïs-Farrah
21 CORREA Louis
22 DALI-BEY ép. MARTIN Hanifa
23 FERRIER Guy
24 SEIMANDO Nathalie
25 GERNER Denis
26 FÉRAUD Marie-Christine
27 BIDEAU Jean-Michel
28 LAZREK Sorya
29 SACCO Stéphane
30 M'HAMED ép. ABBASSI Samar
31 MASSON Christophe
32 MASSOL Tania
33 GOMIS Lys
34 DIMO Danièle
35 RONE Raphaël
36 GOMEZ Alexandra
37 MOUISSE Guy
38 BERGIA ép. PATIÈS Andrée
39 SYLVA Charles
40 AYOUN Catherine
41 BERNARD Tristan
42 POLLET Corine
43 LOUCHE Gabriel
44 BARRACO Sylvie
45 TOURNAN Michel
46 LEGUEN Raphaèle
47 CHAFROUD Nabil
48 GILIS ép. CYRULNIK Florence
49 MRABIT Hicham
NB. les 24 noms en italique sont ceux des colistiers de Luc Patentreger au premier tour.
|
|
|
|
Résultats du 2e
tour :
|
Nombre
|
% / inscrits
|
Inscrits
|
44 241
|
100,00 %
|
Abstentions
|
27 583
|
62,35 %
|
Votants
|
16 658
|
37,65 %
|
|
Nombre
|
% / votants
|
Blancs
|
247
|
1,48 %
|
Nuls
|
174
|
1,05 %
|
Exprimés
|
16 237
|
97,47 %
|
|
Voix
|
% / exprimés
|
Nombre d'élus
|
- Liste Bicais (DVD)
- Liste Vuillemot (UG)
- Liste Torres (DVD)
- Liste Munoz (RN)
|
-
7 164
-
5 429
-
1 877
-
1 767
|
-
44,12 %
-
33,43 %
-
11,56 %
-
10,88 %
|
-
36 élus
-
8 élus
- 3 élus
- 2 élus
|
Résultats du 2e
tour par bureau :
Résultats pour les principales communes du Var :
|
Le Monde, 30 juin 2020 |
Commentaires pour la région PACA : « La Seyne-sur-Mer, qui représentait la dernière grande ville du Var à gauche, a basculé : la candidate LR Nathalie Bicais a gagné avec plus de 10 points d'avance sur le maire sortant Marc Vuillemot ».
Résultats pour la France : « Couleur politique des maires élus ».
Le Monde, 29 juin 2020, pages 10-21 : Commentaires pour la France :
« Une vague verte déferle sur les grandes villes : En gagnant Lyon,
Bordeaux, Strasbourg, et en participant à la victoire à Paris et
Marseille, les écologistes s’imposent comme une force politique de
premier plan – A droite depuis la Libération, Bordeaux devient
écologiste : Le candidat EELV, Pierre Hurmic a créé la surprise en
emportant le second tour avec 46,48 % des voix face au maire sortant LR
Nicolas Florian – A Lyon, Grégory Doucet met fin à l’empire Collomb :
Les écologistes réalisent un doublé historique dans la capitale des
Gaules en remportant à la fois la mairie et la métropole – Jeanne
Barseghian bouscule l’alliance LMR-LR à Strasbourg : Avec 41,71 % des
voix, l’écologiste remporte haut la main la mairie, loin devant on
concurrent macroniste Alain Fontanel, allié à la droite - A Marseille,
« cela fait vingt-cinq ans qu'on attendait ça » : Porté par Michèle
Rubirola, le Printemps marseillais est arrivé largement en tête
dimanche, au détriment de la candidate LR ·Martine Vassal, mais
n'obtient qu'une majorité relative pour la gauche au conseil municipal
- Olivia Fortin, la novice qui fait tomber Martine Vassal, cette chef
d'entreprise de 43 ans a battu la tête de liste Les Républicains dans
le secteur historique du maire sortant Jean-Claude Gaudin - Dernière
soirée électorale pour Gaudin : Le maire de Marseille va céder le
fauteuil qu'il occupe depuis 199L - Défaite partout, LRM rate son
implantation locale - Malgré la victoire du premier ministre au Havre,
le parti de Macron a connu sa première déroute électorale Incertain sur
son avenir, Philippe savoure sa victoire au Havre : Le premier ministre
l'a emporté, dimanche, en récoltant 58,83 % des voix, contre 41,16 %
pour son adversaire communiste Jean-Paul Lecoq - Perpignan, nouvelle
vitrine de l'extrême droite : Soutenu par un front républicain, le
maire LR sortant, Jean-Marc Pujol, n'a pas réussi à faire barrage à
Louis Aliot, figure du RN - Des municipales mitigées pour le
Rassemblement national : Malgré les victoires à Perpignan,
Bruay-la-Buissière et Moissac, le parti de Marine Le Pen a perdu des
communes comme Mantes-la-Ville - A Lille, Martine Aubry est réélue de
justesse : La maire PS sortante l'emporte avec 227 voix d'avance sur le
candidat EELV, après une soirée mouvementée - Le PCF perd son bastion
de Saint-Denis : Les socialistes ont remporté le scrutin, une première
depuis la Libération – Le PS gagne la « folle » campagne de Montpellier
: Michaël Delafosse, allié à la candidate EELV, l'a emporté contre le
maire sortant - Les victoires en trompe-l'œil de la droite : Malgré sa
résistance dans les villes moyennes, LR a perdu des fiefs importants,
comme Bordeaux - A Toulouse, Jean-Luc-Moudenc reste accroché au
Capitole : Le maire (LR) de la quatrième ville de France a été réélu
avec près de 52 % des voix, après un premier tour ,en demi-teinte -
Paris tenu : En 2018, qui imaginait Anne Hidalgo, alors au plus bas,
capable de décrocher un deuxième mandat ? Dimanche, la maire socialiste
a pourtant été largement réélue dans la capitale. Récit d'une
renaissance - A Paris, la victoire pout Hidalgo, la déroute pour Buzyn
: La maire sortante est largement rrélue, quand la candidate LRM ne
siégera même pas au Conseil de Paris - Un boncru pour ls
socialistes, mais éclipsé par la percée écologiste : Le PS conserve
plusieurs grandes villes et en conquiert de nouvelles, mais EELV
apparaît désormais comme la force dynamique à gauche ».
L'abstention aux élections municipales en France de 1965 à 2020 :
|
Le Monde, 30 juin 2020 |
Le paysage politique des villes de plus de 30 000 habitants :
|
Le Monde, 30 juin 2020
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Composition du Conseil
municipal (2020-2026)
[tel qu'il
était au soir du 28 juin 2020]
Liste Bicais (36) : BICAIS
Nathalie, COLIN Jean-Pierre, SINQUIN Christine, CAPOBIANCO Guillaume,
CHENET Corinne, BECCARIA Gérard, LACHAUD Christelle, GUTTIEREZ Damien,
BAGHDAD Malika, MANSOUR Cheikh, PAGANELLl-ARGIOLAS Marie-Claude,
MINNITI Joseph, LEPORTOIS Véronique, PEURIÈRE Christophe, VINCENT
Kristelle, TASSISTO Pascal, MONTBARBON Sophie, BAVIÉRA Dominique, GUES
Élisabeth, GHARBI Ali, ONTONIENTE-DEROIN Lydie, DUPLA Christian, PENARD
Catherine, MARTINEZ Daniel, PETER Fatiha, BOYER Alain, MORAND Katia,
CASTILLO André, OUERGHI Narjès, DIMEGLIO Yves, KADDOURI Valérie, LEXA
Dominique, SORIANO Nathalie, RAULOT Didier, GUITTIENNE Valérie, GIOIA
Sébastien
Liste Vuillemot (8) : VUILLEMOT
Marc, JOURDA Cécile, CIVETTINI Anthony, BOUCHKARA Basma, LANCELLOTTA
Stéphane, REANO Bouchra, BOUAKSA Hakim, VÉRANI-LAÏ Cassandra
Liste Torres (3) : TORRES Sandra, DANINOS Serge, SANCHEZ Virginie
Liste Munoz (2) : MUNOZ Dorian, DELYON Isabelle
Les 49 nouveaus élus
Nathalie Bicais, Maire
|
|
Les 18 adjoints
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Les 17 conseillers municipaux de la majorité
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L'opposition
|
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« Nathalie Bicais est élue » (Le Seynois.fr, 6 juillet 2020)
« Hier,
dimanche 5 juillet, Nathalie bicais a été élue nouveau maire de la
seyne-sur-mer lors du premier conseil municipal par 36 voix. Un
apéritif convivial et en musique a suivi l’investiture, avenue Hoche.
« Il nous appartient de mettre toute notre énergie à ce qu’aspirent les Seynois.e.s ».
C’est après avoir prononcé ces mots que Joseph Minniti, le doyen des
élu.e.s de la nouvelle majorité, a déposé l’écharpe de maire sur
l’épaule de Nathalie Bicais, selon la règle républicaine. « C’est une élection hors du commun, a déclaré le nouveau maire, avec
le Covid qui a interrompu la campagne, nous avons renforcé notre
équipe, qui est devenue plus forte que jamais. Après ce premier conseil
municipal, je vous invite à une cérémonie conviviale où je mettrai à
l’honneur mes prédécesseurs. »
« Avec 36 voix (la majorité étant de 19) , Nathalie Bicais a souhaité désigner les délégations de ses 18 adjoint.es. « De lourdes tâches les attendent » a-t-elle souligné. Tout en insistant sur le rôle primordial des quatre « super-adjoint.e.s de quartier ». « Ils seront un peu des maires d’arrondissement, afin d’agir au plus près des citoyen.ne.s ».
18 adjoint.e.s, dont 4 « super » adjoint.e.s de quartier
« Ci-dessous, à la suite de cet article, retrouvez les photos de chaque
adjoint.e ainsi que leurs noms et leurs délégations respectives. « Je
suis très fière de mon équipe, mais je veux aussi dire aux élu.e.s de
l’opposition que nous aurons toujours une écoute pour eux. Je veux dire
aussi aux employé.e.s municipaux que l’outil municipal doit s’investir
à nos côtés, il n’y a aucune raison de ne pas rencontrer de
l’enthousiasme. Car le sens du collectif est au coeur de nos actions
pour relancer la ville ».
« Le prochain conseil municipal aura lieu vendredi 10 juillet à 9 h » (SP).
Les délégations des 18 adjoints :
1. Jean-Pierre COLIN* : Adjoint à l'économie, au contentieux, au juridique, au tourisme et à la cause féminine
2. Christine SINQUIN* : Adjointe à l'environnement, au développement durable, aux forêts et aux paysages
3. Guillaume CAPOBIANCO* : Adjoint à la cohérence des territoires, aux mobilités, à l'Europe et à l'administration générale
4. Corinne CHENET* : Adjointe au logement et aux cimetières
5. Gérard BECCARIA : Adjoint à l'interaction avec les citoyens, les associations, les CIL et les commerçants
6. Christelle LACHAUD : Adjointe aux animations, au domaine public et au patrimoine
7. Damien GUTTIEREZ : Adjoint à la gestion du domaine public, à la propreté, aux routes, aux parkings et à l'entretien desespaces verts
8. Sophie MONTBARBON : Adjointe au personnel et aux animaux
9. Cheikh MANSOUR* : Adjoint à la politique de la ville
10. Marie-Claude PAGANELLl-ARGIOLAS* : Adjointe au bien vieillir, au handicap et au jumelage
11. Joseph MINNITI* : Adjoint à la Mer et aux ports
12. Véronique LEPORTOIS : Adjointe aux affaires sociales
13. Pascal TASSISTO : Adjoint à la sécurité, à l'incivilité, au lien Armée/Marine
14. Kristelle VINCENT* : Adjointe à l'école, au périscolaire et aux centres aérés
15. Christophe PEURIÈRE : Adjoint aux travaux et à la modernisation. Adjoint des quartiers sud
16. Malika BAGHDAD : Adjointe des quartiers nord
17. Dominique BAVIÉRA : Adjoint à la culture, aux traditions, au lien social. Adjoint du quartier centre
18. Elisabeth GUES : Adjointe à la rénovation urbaine. Adjointe des quartiers ouest
* Élus qui siègent au sein du
conseil de Toulon-Provence-Méditerranée. Le conseil municipal a proposé
Jean-Pierre Colin comme candidat à la vice-présidence
Changements dans la composition du Conseil
municipal
[28 février 2020]
- - 5 juillet 2020 : Marc VUILLEMOT a annoncé qu'il ne siègerait pas au Conseil
municipal. C'est donc Olivier ANDRAU, 9e que la liste qui le remplace.
- - 8 septembre 2020 : Démission de Katia MORAND
et décès d'André CASTILLO, en charge de la sécurité civile : Deux nouveaux conseillers font leur entrée : Christine
CUNIBERTI et Ludovic PONTONE.
- - 27 novembre 2020 : Basma BOUCHKARA, Cassandra LAÏ, Stéphane
LANCELLOTTA (suite à un désaccord sur le dossier Coste Chaude) quittent
le groupe formé,au conseil municipal, avec les ex-colistiers de Marc Vuillemot.
- - 22 février 2021 : Démission de Serge DANINOS : Remplacé par Bertrand PIN
- - 26 février 2021 : Démission de Cécile JOURDA : Remplacée par Marie VIAZZI
Au 28 février 2021, le nouveau conseil est donc le suivant :
Liste Bicais (36) : BICAIS
Nathalie, COLIN Jean-Pierre, SINQUIN Christine, CAPOBIANCO Guillaume,
CHENET Corinne, BECCARIA Gérard, LACHAUD Christelle, GUTTIEREZ Damien,
BAGHDAD Malika, MANSOUR Cheikh, PAGANELLl-ARGIOLAS Marie-Claude,
MINNITI Joseph, LEPORTOIS Véronique, PEURIÈRE Christophe, VINCENT
Kristelle, TASSISTO Pascal, MONTBARBON Sophie, BAVIÉRA Dominique, GUES
Élisabeth, GHARBI Ali, ONTONIENTE-DEROIN Lydie, DUPLA Christian, PENARD
Catherine, MARTINEZ Daniel, PETER Fatiha, BOYER Alain, OUERGHI Narjès, DIMEGLIO Yves, KADDOURI Valérie, LEXA
Dominique, SORIANO Nathalie, RAULOT Didier, GUITTIENNE Valérie, GIOIA
Sébastien, CUNIBERTI Christine, PONTONE Ludovic
Liste Vuillemot (8) : CIVETTINI Anthony, BOUCHKARA Basma*, LANCELLOTTA
Stéphane*, REANO Bouchra, BOUAKSA Hakim, VÉRANI-LAÏ Cassandra*, ANDRAU Olivier, VIAZZI Marie
(* ont quitté le groupe d'opposition « Énergie positive pour une ville verte et ouverte » le 27 novembre 2020)
Liste Torres (3) : TORRES Sandra, SANCHEZ Virginie, PIN Bertrand
Liste Munoz (2) : MUNOZ Dorian, DELYON Isabelle
|
Vivre à La Seyne, n° 1, septembre-octobre 2020
|
Le 27 novembre 2020, trois des quatre
élus de l'ex-liste de Luc Patentreger (Basma Bouchkara, Cassandra Laï
et Stéphane Lancellotta) annoncent qu'ils quittent le groupe
d'opposition « Énergie positive pour une ville verte et ouverte »
formé, au sein du conseil municipal, avec les quatre conseillers
municipaux de l'ex-liste conduite par Marc Vuillemot. Cette décision
est liée à un désaccord sur le dossier Coste Chaude. Pour l'heure, le 4e élu écologiste (Hakim Bouaksa) ne suit pas le mouvement
de ses trois ex-colistiers, ce qui permet aux conseillers de gauche de
maintenir leur groupe puisqu'il faut au moins cinq élus pour en
constituer un au sein du conseil municipal (Var-Matin, 28 novembre 2020).
Autres documents
sur les
élections municipales de 2020 à La Seyne et en France
[source
: archives Jean-Claude AUTRAN]
Verbatim...
-
Var-Matin, 13 novembre 2016
: « Sandra Torrès en route pour la
mairie de La Seyne ? » - « La conseillère
régionale LR Sandra Torrès briguera-t-elle le mandat de maire dans la
deuxième ville du Var ? Difficile - et trop tôt - de l'assurer pour
l'instant mais en tout cas, le maire du Pradet Hervé Stassinos lui a
ouvert la voie mercredi soir, en lui assurant son soutien pour « l'aider à récupérer cette commune à la
gauche en 2020 ! ». Propos tenus devant le député de la
circonscription, Jean-Sébastien Vialatte. La jeune femme, qui était sur
la liste emmenée
par Philippe Vitel en 2014, se verrait bien en effet, mener la bataille
de la reconquête... ».
-
Var-Matin, 10 mars 2017
: « « Parce que La Seyne » informe
sur les projets et la gestion de la
Ville » - « L'association « Parce que La Seyne » dont la
vocation,
autour de la conseillère départementale et municipale Nathalie Bicais,
est d'ouvrir le débat sur des projets et la gestion de la ville, a tenu
une première réunion publique, mercredi soir au restaurant l'Oustaou.
La terrasse couverte extérieure de l'établissement affichait complet. «
Les gens et notamment nos 1 800 contacts sont demandeurs
d'informations, constate l'élue. Pour répondre à cette demande, nous
organiserons une réunion publique tous les deux mois, dans des lieux
différents. Nous allons aussi programmer des sorties, visites
d'entreprises et des animations » (JMV).
-
Var-Matin, 9
avril 2017 : « Nathalie Bicais
prête pour 2020 à La Seyne ?
» - « L'échéance n'interviendra pas avant 2020 et pourtant, la
conseillère départementale de La Seyne Nathalie Bicais serait déjà en
train d'envisager d'être la tête de liste de la droite républicaine (LR
et ses amis !) aux prochaines municipales de 2020 à La Seyne. Il est
vrai que la jeune femme, actuellement conseillère municipale
d'opposition à La Seyne, s'est un peu faite « voler » le scrutin alors
qu'elle avait rallié l'UMP avec ce dessein inavoué avant de devoir
rallier la liste du « parachuté » et adoubé Philippe Vitel ! Vouloir y
retourner en occupant la première place ne serait pas surprenant. Mais
sur le sujet on a encore le temps de spéculer... ».
-
Var-Matin, 25 mars 2018 : « Municipales à La Seyne : « La guerre est
(déjà ?) déclarée ?
» - « Une nouvelle fois, la ville de La Seyne s'illustre sur fond de
désaccord et mésalliance en vue des prochaines échéances municipales.
Le dernier conseil municipal a donné la mesure de la crise qui anime le
groupe d'opposition LR-UDI, puisque Romain Vincent a démissionné du
groupe. En cause : la co-présidence du groupe, portée par Jean-Pierre
Colin et Nathalie Bicais, là où, il y a encore quelques mois, il
s'agissait d'un binôme Colin-Torrès. Les nouveaux duettistes se
seraient d'ailleurs partagé les responsabilités dans la perspective des
prochaines municipales : à Nathalie Bicais la tête de liste, à
Jean-Pierre Colin une vice-présidence à la métropole... « La tête de
liste aux municipales, c'est pas le sujet », lâche Jean-Pierre Colin,
qui préfère parler d'union et de rassemblement pour battre Marc
Vuillemot. Et puis, « il n'y aura qu'une seule vice-présidence pour la
ville de La Seyne à la métropole... », assure Jean-Pierre Colin.
Vice-présidence jusque-là dévolue au seul maire. Et Sandra Torrès dans
tout ça ? Elle pourrait certainement se présenter seule, face à une
alliance LR-UDI. C'est en tout cas la (les ?) rumeur(s) qui alimente la
vie publique et les brèves de comptoir bien informées... Voilà qui
promet ».
- Var-Matin,
9 juin 2018 : « Nathalie Bicais
recueille les avis et attentes des Seynois
» - « Dans le cadre de son association baptisée « Parce que La Seyne »,
Nathalie Bicais, conseillère municipale et départementale (LR), lance
une consultation pour « savoir ce que les gens vivent dans les
quartiers ». L'idée, explique-t-elle, est de recueillir le sentiment
des Seynois sur leur ville, afin de mieux comprendre leur réalité
quotidienne, savoir comment ils se projettent sur la ville, et
construire avec eux un projet intelligent ». Pour y parvenir, l'élue a
fait imprimer un questionnaire à 25000 exemplaires, lequel est en cours
de diffusion dans les boîtes aux lettres. Trois questions sont soumises
aux Seynois : « Qu'aimez-vous à La
Seyne ? », « Quelles sont vos trois idées pour améliorer votre quartier
? », « Quel est votre sentiment sur votre quotidien ? ». Les
réponses sont anonymes, « mais chacun est libre de laisser ses
coordonnées afin d 'être informé de l'actualité de notre association »
- « Ces données fournies par les
Seynois vont nourrir un futur programme. J'aborde le projet municipal
sous un angle pragmatique. Certes, je suis régulièrement dans les
réunions de quartier, les comités d'intérêt local notamment, mais avec cette démarche, on va
précisément sonder les gens, en privilégiant le contact direct ».
Pour l'heure, Nathalie Bicais n'évoque pas d'étiquette politique : « Mon
parti, c'est La Seyne. Je suis dans l'esprit d'une liste de
rassemblement le plus large possible. Parce que la deuxième ville du
Var a besoin de retrouver sa position et son rayonnement, et parce
qu'il n'y a pas mieux que nous, Seynois, pour s'occuper de nous
», estime-t-elle » (MG).
- Brochure 4 pages
A5 couleur de Nathalie Bicais : Consultation
des Seynois, juin 2018 : « Votre avis m'intéresse ».
-
Var-Matin, 26 août 2018 : «
Comment gravir 1a marche des
municipales pour LREM » - «
Hypermajoritaire au plan natioj, le parti présidentiel prépare
l'échéance de 2020 et lance dans le Var une « grande consultation
locale ». En prônant d'avance « le trans-parti » - Peu
d'étiquettes, mais de l'entrisme ».
-
Var-Matin, 22 octobre 2018 : « Changer la ville avec des Seynois qui
s'engagent
» - « Premier candidat déclaré en vue des prochaines élections
municipales, Damien Guttierez a tenu une première réunion publique ce
week-end. Avec pour slogan « La Seyne change en 2020 » - A 38 ans,
celui qui avait atteint le deuxième tour des municipales en 2014, avant
d'être élu conseiller départemental, s'engage déjà en vue des élections
municipales de 2020 » (MG).
-
Var-Matin, 10 novembre 2018 : «
Le duo Bicais - Colin en piste pour
les municipales
» - « Sous l'intitulé « Le rassemblement pour La Seyne 2020 », ces deux
élus de l'actuelle opposition annoncent leur intention de former une
liste pour partir à la conquête de la mairie - Nathalie Bicais et
Jean-Pierre Colin affirment vouloir « tirer
un enseignement des élections passées et mettre en commun leurs forces
et leurs expériences au service d'un projet d'avenir pour la ville
» - L'avenir économique de TPM se joue à La Seyne - Une femme à la tête
de la deuxième ville du Var, ça aurait de l'allure ! - Un véritable
projet d'avenir pour la ville » (MG).
-
Var-Matin, 15 novembre 2018 : «
Tout le monde veut déjà prendre sa
place !
» - « A 500 jours des élections municipales, plusieurs figures de La
Seyne briguent ouvertement le siège de maire. On fait le point sur ces
candidats déclarés qui ont déjà 2020 dans le viseur - Réélu en 2014
après un premier mandat de maire, Marc Vuillemot n'a ni annoncé ni
renoncé à une éventuelle candidature ».
|
Var-Matin, 15
novembre 2018
|
-
Var-Matin, 20 novembre 2018 : «
Municipales : la « FI » aura un
candidat
» - « Nouvelle réaction à la suite de l'article « Tout le monde veut
(déjà) prendre sa place ! » paru jeudi dernier, sur les candidats
déclarés aux
prochaines municipales à La Seyne. Cette fois, c'est la France
insoumise, le parti de Jean-Luc Mélenchon, qui souhaite clarifier sa
situation en vue de 2020, en attendant que soit désignée sa tête de
liste : « La FI n'a pas d'ambitieux
individuels, mais bien une ambition collective pour la 2e commune du
département, explique Laurent Richard, candidat en 2014. Il
y aura bien évidemment une liste de la France insoumise aux prochaines
élections municipales, mais la question n'est pas de savoir qui, mais
pour défendre quel projet ? » Et d'évoquer notamment « la
mise en régie publique et une gestion citoyenne de l'eau, une véritable
politique de logement social, et un projet industriel pour l'emploi sur
la rade avec la déconstruction navale... ».
- Brochure de Patrice Bessone, 4
pages couleur, n° 1, novembre 2018 : « Nous La Seyne » - « Mon
combat pour La Seyne - Ne cherchez pas à quel parti j'appartiens - Mon
seul parti c'est LA SEYNE ».
|
-
Var-Matin, 21 novembre 2018 : «
Municipales 2020 : Yves Gavory «
clarifie » sa position
» - « Suite à notre article paru la semaine dernière et recensant les
candidats déjà déclarés pour les prochaines élections municipales,
l'élu Yves Gavory revient sur sa position. Et d'expliquer : « Je
pense avoir toujours été fidèle au projet porté depuis 2008 et prolongé
en 2014 avec l'équipe municipale actuelle. A la question posée par
Var-matin : qui sera candidat LREM aux prochaines municipales ? J'ai
répondu que les instances nationales choisiraient de présenter une
liste ou pas en fonction des enjeux et du risque de voir le
Rassemblement National emporter la ville. J'ai également dit que, dans
l'hypothèse d'une liste, je postulerais à cette candidature, sachant
que ce sont les instances du parti qui choisiraient la tête de liste.
Mais nous n'en sommes pas là car, à ce jour, Marc Vuillemot n'a pas
officiellement annoncé sa candidature ni même évoqué une ébauche sur la
composition de sa future équipe ».
-
Var-Matin, 1er décembre 2018 :
« Jean-Pierre Colin a quitté l'UDI...
pas le centre
» - « C'est peu dire que Jean-Pierre Colin, conseiller municipal
d'opposition, a peu goûté les remarques caustiques de Serge Daninos,
tout nouveau responsable UDI de la 7e circonscription du Var, sur le
fait que l'élu n'appartenait plus au mouvement centriste « depuis longtemps » et qu'il
n'habitait « pas à la Seyne »
(voir notre édition du 29 novembre). Il tient aujourd'hui à apporter
quelques précisions: « Je
milite derrière le centriste Hervé Morin (...) qui soutient le
rassemblement de la droite et du centre à la Seyne. J'ai quitté l'UDI
il y a deux ans afin qu'il n'y ait aucune ambiguïté sur mon
positionnement politique puisque l'UDI a décidé de ne plus s'allier
avec la droite ». Et de poursuivre, incisif : « Pour
moi, le rassemblement de la droite et du centre à la Seyne est bien
plus important que les égos surdimensionnés de certains qui n'ont
toujours pas compris qu'ils faisaient le jeu du maire de gauche (...).
Pour ma part, j'ai su mettre mon ego de côté et j'apprécie de plus en
plus mon alliance avec Nathalie Bicais. Enfin, sur le plan personnel, je ne sais pas où
dort M. Daninos, par contre je sais où je travaille et mes 850 clients
seynois le savent aussi... Tout le monde peut-il en dire autant ?
» - « Quand Marc Vuillemot soutient
Yves Gavory
» - « Vilipendé par les élus communistes de la majorité, sommé de
démissionner de son poste de conseiller municipal pour avoir annoncé
ses
sympathies macronistes, Yves Gavory a finalement... quitté son siège de
vice-président de l'office HLM de La Seyne. Une décision que dit «
regretter » le maire Marc Vuillemot, lequel salue le travail accompli
par son co-listier à la tête de Terres du Sud Habitat ».
-
Var-Matin, 14 décembre 2018 : «
Ne cherchez pas : mon seul parti,
c'est La Seyne ! » - « Patrice
Bessone est candidat aux élections municipales de 2020.
Ce chef d'entreprise, à la tête d'une auto-école, a mûri les grandes
lignes de son programme pendant deux ans. Rencontre - Patrice Bessone
assure pouvoir aujourd'hui compter sur une équipe de 45 personnes à ses
côtés - Nous avons créé une association « Nous La Seyne ». L'objectif
était de voir si nous pouvions être utiles et amener des idées neuves
pour contrer le déclassement de la ville, ce sentiment partagé que La
Seyne n'a cessé de se dégrader ces dernières années - Quelles
sont ces idées-forces ? La jeunesse, l'économie et la sécurité. La
jeunesse d'abord, où la lutte contre le décrochage scolaire doit être
une priorité. Il faut, pour ça, s'appuyer sur le tissu associatif ainsi
que sur le sport et la culture. On ne peut pas s'épanouir si, dans une
ville comme La Seyne, on n'a pas la possibilité d'aller au cinéma, au
musée ou au théâtre » (MAD).
-
Journal d'Information de Nathalie Bicais,
n° 1, 8 janvier 2019 : « Un
nouveau souffle pour La Seyne-sur-Mer
» - « Mon histoire - Mon parcours - Mon engagement politique - Déjà au
travail » - « force - écoute - sécurité - compétences - créativité -
travail - efficacité - modernité - égalité - combativité ».
-
Var-Matin, 23 janvier 2019
: « Une réunion publique de Nathalie
Bicais et Jean-Pierre Colin » - «
Les deux élus municipaux d'opposition, qui s'engagent ensemble dans la
bataille des élections municipales de 2020, organisent une réunion
publique, ce mercredi, à partir de 18 h au Grand Hôtel des Sablettes. «
Nous présenterons nos vœux de
pré-campagne et donneront les prindpaux axes que nous nous sommes
tracés dans la perspective des prochaines munidpales, indique
Jean-Pierre Colin. Le programme à proprement parler sera présenté
davantage à la rentrée de septembre ». Et le candidat de
préciser que cette réunion, ouverte à tous, se conclura par une galette
des rois et un apéritif offert ».
-
Var-Matin, 25 janvier 2019
: « Le tandem Bicais-Colin lance sa
pré-campagne » - « Près de 400
personnes sont venues, mercredi soir aux Sablettes, assister à la
réunion publique de Nathalie Bicais et Jean-Pierre Colin, candidats en
binôme pour les municipales de 2020. Après avoir présenté ses vœux,
Jean-Pierre Colin a expliqué avoir proposé à Nathalie Bicais « un
rassemblement et une
union au-delà des partis », en menant une campagne à deux têtes pour «
bouger les lignes » et constituer un « ticket politique » avec une
femme tête de liste pour la 8e ville de la région PACA » (PF).
-
Var-Matin, 26 janvier 2019 : « Virginie Sanchez appelle à « l'union des
droites »
» - « Conseillère départementale et conseillère municipale d'opposition
(élue sous l'étiquette FN), Virginie Sanchez a présenté ses vœux, jeudi
soir en centre-ville, devant plus d'une soixantaine de personnes. Après
avoir évoqué l'action du Département, qui « a un impact direct sur notre vie
quotidienne », elle s'est projetée vers les élections
municipales de 2020, appelant à « l'union
des droites », nécessaire selon elle car « Marc
Vuillemot, en fin politicien, a toutes les chances d'être réélu si les
droites seynoises ne s'entendent pas sur un projet commun ».
-
Var-Matin, 13 mars 2019 : « Européennes : la France insoumise souhaite
« la bienvenue » à Marc Vuillemot... »
- a semaine passée, Marc Vuillemot annonçait son intention de soutenir
la France insoumise lors des élections européennes (23 et 26 mai). Le
maire de La Seyne, qui a récemment rejoint les rangs de la Gauche
républicaine et socialiste (GRS), expliquait, entre autres, voir dans
cette « liste d'unité », menée par Manon Aubry, le seul programme à
même
de proposer un rassemblement de diverses forces de gauche. Mais
d'autres
observateurs de la vie politique seynoise y ont aussi lu une manœuvre
préfigurant un rapprochement dans l'optique des élections
municipales de l'an prochain : pour mémoire, l'édile a en effet posé
comme préalable au fait de briguer un troisième mandat sa capacité à
réussir l'union de toutes les composantes de la gauche derrière son
nom, dans la deuxième ville du Var. Pas sûr, pour autant, qu'il
parvienne à ses fins. À cet égard, la mise au point de Laurent Richard,
animateur local de la France Insoumise, est éloquente. S'il se «
félicite » de cet « appui » pour la campagne en cours et souhaite « la
bienvenue à Marc Vuillemot et aux militants de GRS qui rejoignent cette
dynamique », le Mélenchoniste insinue également qu'il n'entend pas
accueillir le maire de La Seyne à bras ouverts pour le scrutin de 2020.
Pour preuve, les conditions (« engagements incontournables ») posées
par la FI pour une « convergence » vers un programme seynois commun,
tels « l'accueil d'une filière de déconstruction navale (...) face au
tout-tourisme prôné par la majorité des élues de la métropole », « la
création d'une véritable régie publique de l'eau intégrant la cogestion
par les usagers » ou encore « une politique du logement social
ambitieuse (...), ce que ne permet pas aujourd'hui l'office « Terres du
Sud Habitat » présidé par le maire de La Seyne. Autant de critiques à
peine voilées, donc, des actions menées par Marc Vuillemot depuis 2008.
Et sans doute, pour le premier magistrat, une montagne de difficultés à
surmonter dans l'optique d'une candidature « d'unité » (MAD).
- Flyer A5 de Damien
Guttierez : « Mobilisation
générale
» - « Malgré notre opposition totale au projet de la Ville de
construire plus de 100 logements dans des bâtiments de plusieurs étages
sur Coste chaude, il est nécessaire de nous retrouver pour organiser la
résistance citoyenne le mercredi 20 mars 2019 au bar Mar-Vivo ».
-
Var-Matin, 24 mars 2019 : « A un an du scrutin, la bataille des
municipales est lancée
» - « Si l'élection semble encore loin, les grandes manœuvres ont
débuté. Dans le Var, les enjeux politiques sont tels qu'ils dépassent
souvent le cadre du département. Décryptage ». « Toulon - Pas de candidat encore
déclaré mais la campagne a démarré » - « La Seyne
et ses 65 000 habitants constitueront à l'évidence l'enjeu majeur du
scrutin de 2020. Après deux mandats, Marc Vuillemot, archétype de
l'homme de gauche, héritier de Jaurès, de Blum ou d'Hugo aura-t-il
encore l'énergie nécessaire pour insuffler le second souffle que la
ville attend ? La droite, elle, pourrait se présenter divisée et le
Rassemblement national reste en embuscade » - « Six-Fours
: Vialatte et Boccaletti déjà au travail, les autres encore discrets »
- « L'expert Roland Cayrol, politologue : « Il y a toujours une prime
aux sortants » (PC, MAD).
-
Var-Matin, 24 mars 2019
: « La Seyne : des prétendants déjà sur le pont » - « Le maire Marc
Vuillemot ne souhaite pas dévoiler ses intentions avant le printemps -
Nathalie Bicais et Jean-Pierre Colin se sont déclarés candidats dès
novembre 2018 » - « Six-Fours : Vialatte et Boccaletti déjà au travail,
les autres encore discrets - Jean-Sébastien Vialatte ne laisse pas la
place au doute. Frédéric Boccaletti espère que son tour est enfin venu
» (AF).
-
Var-Matin, 22 mai 2019 : « Capobianco : Je suis en colère : tout le
monde avance, sauf nous
» - « Chaque jour sur Facebook, il publie en vidéo une de ses « 100
propositions pour La Seyne ». Pourtant, Guillaume Capobianco dit
encore-hésiter à être candidat aux municipales de 2020 - En 2008, il,
fut celui qui avait « osé » résumer son programme électoral à la seule
construction d'un pont au-dessus de la rade. Guillaume Capobianco, déjà
candidat à la mairie en 2001, est aussi connu pour avoir été, une
saison durant, président du club de rugby de l'USS. Aujourd'hui, à 47
ans, ce chef d'entreprise né dans la deuxième ville du Var refait
parler de lui, notamment sur les réseaux sociaux où il développe ses
idées pour La Seyne sur des thématiques aussi variées que la
circulation, la sécurité ou le centre-ville. En attendant mieux ? »
(MAD).
-
Var-Matin, 18 juin 2019 : « L'investiture de C. Muschotti lance les
municipales à Toulon
» - « La députée de la deuxième circonscription fait partie des
dix-neuf premiers candidats investis par La République en Marche en vue
des élections de mars 2020. Elle appelle au rassemblement » (CG).
-
Var-Matin, 20 juin 2019 : « P. Martinenq au soutien de S. Daninos
» - « Si la campagne des municipales ne bat pas encore son plein dans
la deuxième ville du Var, la quête d'alliances et de soutiens des
futurs candidats, elle,
est déjà lancée. On a ainsi appris que Patrick Martinenq, ancien
conseiller général PS, trois fois prétendant au fauteuil de maire par
le passé sous l'étiquette divers Gauche, et désormais macroniste, se
range derrière Serge Daninos (UDI), ex-adjoint d'Arthur Paecht.
Celui-ci ne cache pas qu'il souhaite obtenir l'investiture En Marche
pour « rassembler sous (son) nom une liste d'union de gauche, du centre
et de droite sous la candidature REM-Modem-UDI ». Pour l'aider à y
parvenir, Patrick Martinenq, que l'on croyait retiré de la vie
politique, s'est donc fendu d'un courrier à la commission nationale
d'investiture LREM. Suffisant pour convaincre
Paris de jouer la « carte Daninos » ? D. Guttierez va venir chez G.
Capobianco On sait depuis quelques semaines que l'ancien président de
l'USS a les municipales en tête. Mardi 18 juin, inspiré par « la force
de rassemblement » du Général De Gaulle, Guillaume Capobianco a proposé
sur Facebook de « faire l'union » en tournant « la page Vuillemot, sans
parti politique revendiqué ni tête de liste désignée ». Et d'inviter
chez lui, le samedi 29 juin à 9h30, tous ceux qui veulent le suivre.
Premier à lui avoir répondu « très favorablement », l'élu municipal et
départemental Damien Guttierez. Celui-ci organise par ailleurs son
propre apéritif « en vue d'un rassemblement général pour battre Marc
Vuillemot en 2020 » ce soir, à 18h30, au bar l'Effet Mere » (MAD).
- Page A4 NB de Damien
Guttierez : « Rassemblement le 20 juin 2019 de tous les Seynois de
tous les partis pour battre Marc Vuillemot en 2019 ».
-
Var-Matin, 21 juin 2019 : « Patrice Bessone présente son projet pour La
Seyne
» - « On le sait candidat aux élections municipales de 2020 depuis six
mois. Mais Patrice Bessone, qui dirige l'auto-école familiale du même
nom, n'avait pas encore dévoilé ni son équipe ni les grands contours de
son programme. Ce sera chose faite demain. Celui qui est aussi
représentant national des écoles de conduite et des métiers de la
sécurité routière pour l'organisation patronale CNPA organise en effet
« une réunion de présentation du projet et de l'équipe » qui
l'accompagnera dans sa campagne demain, à 18 h, au restaurant
!'Arlequin (830 boulevard de Léry).
-
Var-Matin, 26 juin 2019 : « Guillaume Capobianco fait déjà l'union...
du petit-déjeuner
» - « Guillaume Capobianco a intérêt de faire le plein de café et de
croissants pour samedi matin. L'ancien président de l'USS, qui a
souhaité inviter chez lui ce week-end les femmes et hommes politiques
seynois afin d'évoquer « l'union à
droite
» pour les municipales de 2020, s'est vu notifier plusieurs réponses
positives ces derniers jours. C'est ainsi que Damien Guttierez (élu
municipal et départemental d'opposition, ex-FN), Virginie Sanchez (élue
municipale et départementale d'opposition, ex-FN), Alain Chapparo
(ancien élu de l'équipe d'Arthur Paecht, UDI) ou Patrice Bessone (sans
étiquette) l'ont assuré de leur présence. Restés très proches, le trio
Serge Daninos (ancien élu de l'équipe d'Arthur Paecht, LREM), Sylvain
Ponzio (ancien élu de l'équipe Paecht, UDI) et Dominique Baviera
(ancien élu de l'équipe d'Arthur Paecht, ex-Parti radical) aussi.
Jean-Pierre Colin (élu municipal d'opposition, Les Centristes) et Jo
Minniti (élu municipal d'opposition, LR) est également annoncé. Pas
sûr, toutefois, que tout ce beau monde parvienne à s'entendre sur les
commandements édictés par celui qui a déjà été par deux fois candidat
aux municipales : « On n'attend rien
des partis politiques » et « personne
ne revendique la tête de liste, on en parlera plus tard ».
Réponse le 29 juin » - « A gauche, on
attend toujours » - « Marc Vuillemot l'avait promis : si
d'aventure il venait à briguer un troisième mandat de maire, il le
ferait savoir « entre le mois de
mars et le mois de juin
». Il reste donc quatre jours à l'édile pour sortir du bois. Rappelons
que l'une des conditions posées par Marc Vuillemot était de réussir
l'union des gauches, et notamment de trouver des accords avec la France
insoumise qui refusait jusqu'alors toutes les stratégies d'alliance.
Ces dernières semaines, le maire de La Seyne a fait le premier pas en
soutenant la liste de la FI lors des élections européennes. L'histoire
ne dit pas encore si le parti de Jean-Luc Mélenchon, qui ne pourra pas
avancer son score aux Européennes pour justifier sa propre liste (7,9
%), va désormais lui renvoyer l'ascenseur ». (MAD).
-
Var-Matin, 5 juillet 2019 : « Le Parti communiste prépare l'union pour
les municipales
» - « Relativement discret ces dernières semaines, le Parti communiste
français sort de son silence. La déception des résultats aux
Européennes (4 % à La Seyne) a été digérée. Place, désormais, aux
municipales de 2020 pour, dans la deuxième ville du Var, y « faire gagner le progrès social et humain
», lance Denis Gerner, secrétaire de section de la rue Lagane - Avec
plusieurs élus présents dans la majorité municipale depuis 2014, le PCF
entend se battre pour « garder La
Seyne à gauche
». Pas en présentant son propre candidat, comme cela fut le cas pour la
dernière fois en 2008. Mais en tentant, si possible, de ne faire
émerger qu'une seule liste parmi les partis de même sensibilité - Avec
ses deux élus municipaux en tête, Robert Teisseire (à gauche) et
Christian Barlo (à droite), la section du PCF de la rue Lagane a
commencé à rencontrer les partis politiques de gauche en vue d'établir
une seule liste en 2020 - « On ne va
pas "tuer" Vuillemot, mais on a des exigences ! » » (MAD).
-
Var-Matin, 25 juillet 2019 : « Si je suis élu, je serai le maire. de tous
les Seynois
» - « A huit mois des élections municipales (15 et 22 mars 2020), le
Rassemblement national se met en ordre de marche : Dorian Munoz est le
candidat officiel du parti de Marine Le Pen - Du haut de ses 27 ans,
Dorian Munoz n'est pas un novice en politique, lui qui collait ses
premières affiches du Front national avec ses parents dès 2008 et
militait activement en 2014. « Mon
grand-père aussi était sympathisant FN
», glisse le nouvel homme fort du Rassemblement national à La Seyne,
comme pour souligner à quel point l'anime la flamme lepeniste.
Toutefois, malgré ses responsabilités au sein de sa famille politique
(lire ci-dessous) et la tâche qui lui incombe désormais, Dorian Munoz
n'est pas l'homme d'expérience que d'aucuns imaginaient briguer la
mairie en 2020. Sur cela, comme sur son déficit de notoriété ou les
soucis du parti de Marine Le Pen de ce côté-ci de la rade, il livre son
sentiment. Pas encore complètement à l'aise dans son nouveau costume,
mais plus que jamais déterminé » - « Né en octobre 1991 à Fréjus,
Dorian Munoz a grandi au Muy. Il a fait une partie de ses études entre
Toulon et Toulouse, jusqu'à obtenir un Master2 en droit, ainsi qu'un
diplôme universitaire en droit et religion. Il s'est ensuite établi à
La Valette avant de s'installer en 2017 à La Seyne. Dorian Munoz est
responsable de la section RN de La Seyne depuis octobre 2018. Il est
également à la tête de Génération nation Var ex-Front national de la
jeunesse. Par ailleurs, il travaille comme collaborateur des élus RN au
conseil municipal de Toulon et à TPM depuis 2017. Dorian Munoz est
pacsé et sans enfant » (MAD, MG).
-
Var-Matin, 4 septembre 2019 : «
Sandra Torrès candidate aux élections
municipales
» - « La conseillère municipale d'opposition et conseillère régionale,
qui est aussi la référente UMP et LR à La Seyne depuis 2008, se lance
dans là bataille et sollicite l'investiture de son parti - S'agissant
d'une commune de plus de 50 000 habitants, c'est la commission
nationale d'investiture LR qui se prononcera. A cet égard, la candidate
déclarée - qui assure n'avoir pas de doute sur l'issue du processus de
désignation - estime que la réponse officielle ne devrait pas
intervenir avant fin octobre - début novembre. Déjà, Sandra Torrès
affiche le soutien des maires de Six-Fours et de Saint-Mandrier ainsi
que de nombreux élus et militants locaux LR - Si elle n'exclut pas des
alliances pour le premier tour, « à l'exception des extrêmes »,
Sandra Torrès se refuse en revanche à envisager des fusions dè listes
pour le second tour - Le développement durable : « Une condition
absolue » - La sécurité : « Un point fondamental » - « La ville est en
souffrance » - Les soutiens de la candidate - Quid d'Hubert Falco ? - Le face à face avec Nathalie Bicais.
Élues conseillères municipales d'opposition sur la même liste (UMP) en
2014, Sandra Torrès et Nathalie Bicais se retrouvent aujourd'hui en
concurrence puisque toutes les deux ont déclaré leur candidature pour
les prochaines municipales. « Je vais porter l'étiquette de mon parti.
Nathalie a fait le choix de partir avec une équipe et un programme »,
commente sobrement Sandra Torrès. Un rapprochement est-il envisageable
? « On verra ce qu 'il en sera... Mais une chose est sûre : la liste LR
sera une liste de Seynois et de Seynoises ». Une manière de laisser
entendre qu'elle ne veut pas de Jean-Pierre Colin, qui fait équipe avec
Nathalie Bicais ? « Je ne peux pas concevoir qu'on puisse porter un
projet si on ne vit pas à La Seyne», répond Sandra Torrès, qui rappelle
« l 'échec des listes qui n'étaient pas conduites par des Seynois lors
des municipales de 2014 »... » (MG).
-
Journal d'Information de Nathalie Bicais,
n° 2, 5 septembre 2019 : « Un
nouveau souffle pour La Seyne-sur-Mer » - « La consultation
seynoise - Pourquoi
cette consultation ? Architecte de formation, sensible au patrimoine et
à l'urbanisme, je poursuis depuis de très nombreuses années une
réflexion sur le projet urbain à la Seyne. Si la réflexion à l'échelle
de la Rade est une nécessité, j'ai lancé cette consultation Seynoise en
Juin dernier pour savoir ce que les gens vivent réellement dans leur
quartier et comment ils se projettent sur leur ville. Les résultats me
permettent d'adapter une vision plus hiérarchisée, qui intègre les
grands objectifs pour remettre la ville dans une dynamique de modernité
et d'équipement, en préservant une qualité de vie et de paysage,
indispensable à l'identité Seynoise. Concilier l'art de vivre en bord
de mer avec le renouveau urbain digne de la 2e ville du Var - Un
plan Marshall pour les routes - La propreté source de sérénité -
Ranimer le cœur de ville ».
-
Var-Matin, 6 septembre 2019 : «
Quand J-Pierre Colin doute des
soutiens de Sandra Torrès
» - « La bataille des élections municipales à droite et au centre a
commencé. Alors que Sandra Torrès a annoncé mardi sa candidature sous
la bannière Les Républicains, Jean-Pierre Colin, qui fait équipe avec
Nathalie Bicais (elle aussi LR) pour 2020, remet en cause certains
appuis affichés pour l'occasion par son ancienne colistière. « En
période électorale les seuls soutiens politiques qui vaillent sont
écrits noir sur blanc ou déclarés directement par les personnes
concernées, énonce d'abord le centriste. C'est bien ce qu'a reçu Nathalie Bicais de
la part de Marc Giraud, président du Département ». Avant de se
faire mordant : « Contrairement
à ses affirmations, ce n'est absolument pas ce qu'a reçu Sandra Torrès
de la part de Renaud Muselier, président de Région, qui m'a confirmé
(... ) qu'il attendait avec prudence la commission nationale
d'investiture de son parti Les Républicains pour soutenir la candidate
désignée ». De son côté, Sandra Torrès reconnaît à demi-mot être
allée un peu vite en besogne. « Bien
évidemment, la position de Renaud Muselier sera connue officiellement à
l'issue de la tenue de la Commission nationale d'investiture LR
». Un processus de désignation qui ne devrait pas intervenir avant fin
octobre... mais dont Sandra Torrès affirme déjà que l'issue ne fait
aucun doute. Plus gênant encore pour l'élue municipale et régionale, la
récente publication Facebook du maire de Six-Fours Jean-Sébastien
Vialatte, lui aussi sur la liste affichée de ses appuis : « On me demande sans cesse qui soutenez-vous dans telle ou telle ville. Je ne soutiens personne : je m'occupe de Six-Fours, ça suffit à mon bonheur ! » » (MAD).
-
Var-Matin, 7 septembre 2019 : «
Le grand bazar municipal
» - « Pour qui se régale sans fin du spectacle des hommes et de leurs
turpitudes, les mois qui viennent annoncent un grandiose spectacle,
tous azimuts. La bataille des municipales, ça promet d'être quelque
chose ! Cédric Villani a fait retentir la premières salve mercredi.
Théâtral à souhait. Il y a évidemment du Macron chez lui, dans sa
volonté de bousculer les codes. Du Coluche aussi, toutes proportions
gardées. Le génie des mathématiques s'est lancé en vrac. Tour à tour
grandiloquent, maladroit, tonitruant, confus, frais, creux, touchant.
Insaisissable, en fait. C'est bien pour cela que Benjamin Griveaux peut
se faire du mouron. Nous ne sommes plus en 1981. Les trublions ne font
plus un simple tour de piste avant de rentrer gentiment dans le rang.
Ils visent le Graal (...) » (TP).
-
Var-Matin, 7 septembre 2019
: « Luc Patentreger candidat aux
élections municipales » - « Le médecin
généraliste, connu pour ses engagements dans le social et en faveur de
l'écologie, veut apporter du sang neuf. Il se présente à la tête d'une
liste « verte et ouverte » - Au pied du Pont levant, les élections
municipales se suivent et se ressemblent... Les Seynois auront encore
l'embarras du choix, lorsqu'ils se présenteront au bureau de vote, le
15 mars prochain. Après la candidature de Sandra Torrès en début de
semaine, c'est Luc Patentreger qui annonce aujourd'hui son entrée dans
la course. « Pas une liste de plus,
une liste différente
», insiste d'entrée ce jeune sexagénaire (64 ans), connu notamment à La
Seyne pour son engagement associatif. En praticien expérimenté, ce
médecin généraliste - il officie du côté de l'avenue Esprit Armando -
s'est d'abord attelé à dresser un diagnostic de la situation. « Depuis
plusieurs années, je participe avec un groupe de citoyens à des
échanges sur les diverses problématiques de la ville, rappelle Luc
Patentreger. Ces derniers mois, à l 'approche des nouvelles élections,
nous avons décidé d'agir et de nous engager » - Luc Patentreger
veut faire émerger une nouvelle classe politique à La Seyne. Un « sang
neuf » qu'incarne Hicham Mrabit, patron du Café des arts, dans le
centre ancien » (CG).
-
Var-Matin, 9 septembre 2019 : «
Nathalie Bicais et Jean-Pierre Colin
inaugurent leur permanence
» - « Les deux colistiers ont rassemblé, samedi, une large foule venue
les soutenir lors de l'inauguration de leur permanence commune ».
-
Var-Matin, 10 septembre 2019
: « Marc Vuillemot nie avoir annoncé
n'être pas candidat en 2020 » - «
La petite phrase prononcée jeudi par le maire Marc Vuillemot au micro
de RCF a semé le trouble sur ses intentions. « A priori, je confirme ce
que j'ai dit en 2007 et en 2013 : je me suis engagé si j'étais élu à ne
pas faire plus de deux mandats de maires. Je suis toujours sur cette
position-là. » Alors, pas candidat à sa propre succession, le maire
sortant ? Ce qui semble évident à l'oral, le devient pourtant moins à
l'écrit, quand l'édile prend sa plume pour clarifier sa position. Et
d'expliquer « son vœu d'un nécessaire renouvellement » de la classe
politique, tout en restant à t'écoute de ses concitoyens qui le «
sollicitent », « estimant (qu'il) incarne une capacité de
rassemblement utile à (sa) commune ». Mais encore ? « L'heure n'est pas
encore à la décision, mais à la poursuite du travail d'un mandat qui ne
dure pas cinq ans et demi, mais bien six ans. Les Seynois seront bien
évidemment les premiers informés en temps voulu ».
- Flyer A5 de Patrice Bessone
: « Nous La Seyne - Mon combat pour
La Seyne » - « Ouverture de la campagne municipale 2020, samedi
21 septembre 2019, Le Manureva à Tamaris ».
-
Var-Matin, 22 septembre 2019 :
« Le combat de Patrice Bessone pour «
Nous la Seyne »
- « Le chef d'entreprise sans étiquette Patrice Bessone a lancé hier sa
campagne pour les municipales. Pour lui, Il faut arrêter d'incriminer
la Métropole et adopter une attitude positive - « Il
n'y a rien de mieux que les Seynois pour s'occuper de La Seyne et cela
avec des mesures simples. Ces décisions doivent se faire avec de
nouvelles têtes et une nouvelle génération » - Les sujets tels
que la route de Tamaris, l'avenir du marché du cours Louis-Blanc, la
sécurité à Berthe et dans le centre-ville ont été évoqués avec force et
des arguments de responsabilité. Patrice Bessone a obtenu les soutiens
de Valérie Hirschfield, pour le sport et le handicap, Lucienne Annot,
présidente de l'Union nationale des conjoints de professionnels
libéraux, Rémy Pisani, proviseur de lycée pour l'éducation, Salah
Jeddou, de l'institution Sainte-Marie, Guillaume Capobianco, ancien
candidat aux élections municipales, et François Hérisson » (RPM).
-
Var-Matin, 24 septembre 2019 :
« Quand Nathalie Bicais rencontre
Sandra Torrès...
» - « ...c'est forcément pour discuter des prochaines municipales. Ça
s'est passé la semaine dernière mais les deux femmes, qui briguent
chacune l'investiture LR pour les élections de 2020, n'ont pas réussi à
se mettre d'accord sur une liste commune. La candidature unique à
droite attendra... » - « LREM n'a
toujours pas investi de candidat mais...
» - « ...ils sont de plus en plus nombreux à vouloir être adoubé par le
parti présidentiel. En plus d'Yves Gavory, Serge Daninos et Philippe
Maginot, les noms de Martine Pacaud , Samir Ben Mihoub, Meddy Viardot,
Stéphane Lancellotta et Janine Foglino ont d'ores et déjà fuité. Qui
seront les prochains ? » - « S.
Daninos se fait taper sur les doigts...
» - « l'ex-adjoint à Arthur Paecht ne cache pas sa candidature à
l'investiture LREM, affichant ses soutiens, dont celui de Patrick
Martinenq. Problème, pour La République en Marche, Serge Daninos a
aussi utilisé « les éléments de noms du mouvement » sur les réseaux
sociaux, sans accord du parti d'Emmanuel Macron. « Ce type de comportement est un élément de
rejet d'une candidature à l'investiture » tacle Reynald Cadoret,
référent LREM du Var ».
- Var-Matin, 2 octobre 2019
: « Denise Reverdito et les Verts
soutiennent Luc Patenterger » - « La
rumeur bruissait depuis quelques jours du côté de la rue Cyrus-Hugues,
où la liste « La Seyne verte et ouverte » a établi sa permanence de
campagne, mais aussi bien au-delà. C'est désormais officiel :
l'écologiste Denise Reverdito, troisième adjointe au maire, apporte son
soutien à Luc Patentreger, et avec elle le groupe local du parti Europe
Ecologie Les Verts. « Cette liste
portera un projet écologiste co-construit avec l'ensemble des acteurs
et actrices locaux se reconnaissant dans les valeurs de l'écologie,
explique-t-elle. Par un programme qui propose des solutions novatrices,
de proximité et qui prennent en compte l'avenir de la planète, « La
Seyne Verte et Ouverte » apporte des réponses qui seront moteur du
développement économique de notre ville, de la sécurité et du bien
vivre de ses habitants ». Après Yves Gavory, qui brigue
l'investiture LREM, c'est ainsi le deuxième élu de l'équipe de Marc
Vuillemot à prendre publiquement ses distances avec le maire. Lequel
n'a toujours pas annoncé s'il se représentait et qui semble de plus en
plus isolé faute d'accord avec la France insoumise. Et si Denise
Reverdito ne claque pas la porte, reconnaissant « le travail accompli par nos élus dans la
majorité sortante », son message ne se prive pas de
sous-entendus : « Notre
ville a besoin d'un projet écologiste qui prenne en compte les
difficultés que rencontrent les Seynois au quotidien. L'écologie ne
doit pas être un problème, mais la solution à leurs besoins et à leurs
aspirations... ».
- Les
News de PACA, 2 octobre 2019
: « La Seyne-sur-Mer : Candidature à
la LaREM, retour sur les soutiens
de Serge Daninos » - « La dernière semaine de septembre, nous
avons
découvert les premiers soutiens à la volonté d’union pour la ville de
La Seyne, portée par Serge Daninos, candidat à
l’investiture auprès de la CNI La République en Marche. C’est par
l’entremise de Patrick Martinenq,
ancien Conseiller général et fondateur associé du mouvement de l’Union
pour La Seyne, que nous ont été présentés ces soutiens, « qui en
annoncent bien d’autres que vous découvrirez prochainement » selon ses
propres termes… Et en effet, les partisans de cette Union pour La Seyne
sont nombreux et d’horizons différents, mais selon Patrick Martinenq, le premier et
plus fidèle de ses soutiens n’est autre que son épouse, Alexandra Daninos qu’il nous
présente en ces termes : « Aujourd’hui, Alexandra Daninos,
l’épouse de Serge, est son premier et plus fidèle soutien », annonce
Patrick Martinenq - « D’autres soutiens féminins paraîtront dans les
jours à venir. Mais, il m’a semblé essentiel de donner la parole à la
femme qui partage la vie de Serge. Elle, mieux que quiconque, connaît
les valeurs, les engagements de notre candidat pour la Seyne-sur-Mer.
Alexandra est diplômée du Master Spécialisé « Management des structures
et activités innovantes en santé » Kedge Business School (reconnu
RNCP). Elle occupe le poste de Directrice Générale du Groupe SSD La
Coupole. Cette entreprise est spécialisée dans la gestion d’EHPADs
(maisons de retraite médicalisées) - Damien Guttierez est également
l’un des soutiens à la candidature pour la commission nationale
d’investiture de Serge Daninos ».
-
Var-Matin, 7 octobre 2019 : « La coalition anti-Vuillemot s'affiche à la
Navale
» - « Sur le gazon du parc, onze représentants de différentes
sensibilités politiques ont posé pour défendre leur projet du « tout
sauf Vuillemot ». Durable ? » - « Près de 250 sympathisants sont venus
soutenir les onze « têtes d'affiche », rassemblées au parc de la Navale
- Surtout ne pas partir divisés ! - Electoralisme communal » (FD).
-
Var-Matin, 8 octobre 2019 : « Damien Guttierez veut lui aussi l'union de
la droite
» - « Dans notre article paru hier intitulé « La coalition
anti-Vuillemot s'affiche à la Navale », nous avons malencontreusement
omis quelques noms dans la cohorte des personnalités qui prônent
l'union de la droite en vue des prochaines échéances électorales. Le
conseiller départemental et municipal Damien Guttierez est de ceux-là,
impliqué dans la constitution de cette alliance hétéroclite malgré un
passage récent par le Front national. « C'est une démarche de bienveillance et de
construction dans laquelle je me retrouve beaucoup plus (que
dans celle du FN, ndlr) », explique-t-il » - « Sylvain Ponzio, secrétaire de la CEM, est
aussi sur la photo
». Il y a une semaine, une partie de l'opposition municipale de droite
(Nathalie Bicais, Jo Minniti, Jean-Pierre Colin) clamait haut et fort
son scepticisme grandissant à propos du projet de cinéma dans les
Ateliers mécaniques. Un projet porté par Quartus, opérateur choisi par
l'équipe municipale en place. Depuis hier, et l'apparition de Sylvain
Ponzio sur la photo de l'union de la droite, on sait que certains de
ces « anti-Vuillemot » désormais déclarés combattent depuis près de
trois ans le pôle de loisirs tel qu'imaginé par Quartus : Sylvain
Ponzio, proche de Serge Daninos, est en effet le secrétaire de la
Confédération environnement Méditerranée, l'association « apolitique »
qui a attaqué en justice le permis de construire des Ateliers
mécaniques » (MAD).
-
Var-Matin, 9 octobre 2019 : « Les 4 dossiers chauds sur le bureau des
maires du Var
» - « Toulon. Hier, l'assemblée générale des maires du Var a donné
l'occasion à Jean-Pierre Véran, président de l'association, de faire
remonter ses revendications : L'eau - La taxe d'habitation - Le
logement social - Le statut de l'élu » - « La cybersécurité en question
» (PHC).
-
Var-Matin, 9 octobre 2019 : « Le maire au cœur des attentes des citoyens
» - « Les Français préfèrent leur maire aux autres élus. Mais ils ne
lui donnent aucun blanc-seing et ne sont pas forcément décidés à le
réélire. Ce sont deux des conclusions de l'observatoire Odoxa La voix
des territoires » - François Baroin : « Nous sommes les piliers de la République
» (TP, DC).
-
Var-Matin, 22 octobre 2019
: « Le PCF annonce la couleur
» - « Dans la perspective des prochaines élections municipales, le PCF
de La Seyne, sous la plume de son secrétaire de section Denis Gerner,
annonce ses propositions en matière de « progrès social », lesquelles
sonnent comme autant de conditions à la participation à une liste de
rassemblement de la gauche. « Parmi
les enjeux municipaux, déclare le PCF, nous luttons pour développer une
offre de santé de proximité (en implantant un centre de santé municipal
à but non lucratif) ; pour renforcer les actions en faveur du droit au
logement (afin d'assurer sa plus grande et juste accessibilité) ; pour
défendre et étendre tous les services publics de proximité utiles au
quotidien ; pour mettre en place une gratuité des transports pour tous
à l'échelle de la Métropole ; et pour favoriser le développement d'une
économie durable (circuits-courts, industrie propre, économie sociale
et solidaire) ». Dans l'objectif de « défendre des orientations capables
d'améliorer considérablement la vie des Seynois » et de « répondre à leur grand besoin de justice
sociale », le PCF affirme qu'il pose « ces exigences sociales comme base de tout
rassemblement à gauche ».
- Samedi 26 octobre 2019 : « Inauguration de la permanence de Sandra
Torrès ».
-
Var-Matin, 26 octobre 2019
: « Emilie Guérel : « Mon souhait,
c'est qu'il y ait une liste LREM à la Seyne » - « La
députée Émilie Guérel livre son regard sur la campagne qui agite la
plus grande ville de sa circonscription et se confie, à mi-mandat, sur
son travail de parlementaire ».
-
Var-Matin, 27 octobre 2019
: « Sandra Torrès : « Un maire pour
rassembler, décider et agir
» - « Sandra Torrès a inauguré sa permanence électorale rue Hoche, en
présence d'élus de sa famille politique - mais pas seulement - et de
nombreux représentants de la société civile » - « Heureuse et émue,
Sandra Torrès, hier matin, avant de prendre la parole pour inaugurer sa
permanence électorale en vue des Municipales de 2020. Une première
prise de parole qui sera aussi, assure-t-elle, "la" dernière que je
tiendrai en mon nom propre. Car cette aventure d'espérance, pour une
renaissance de La Seyne, n'a de sens que si elle est partagée,
collective, et surtout participative - (...) la candidate n'a pas tardé
à adresser un clin d'œil à ses concurrents de la droite et du centre,
qui tentent de rassembler, de "coaliser" au-delà des partis. Sandra
Torrès, elle, « ne parle pas
d'union, qui sous-entend trop souvent celle, éphémère, d'étiquettes
politiciennes et individuelles ». Elle s'abstient «
encore plus de parler de coalition, qui convoque l'idée de nations en
guerre avec la victoire pour seul objectif, avant de s'en retourner aux
rivalités anciennes ». Elle ne veut parler que « de convergences de Seynois(es) qui ont
décidé de prendre le destin de leur ville en mains » - « Emilie Guérel « vient écouter » Sandra
Torrès.
La députée LREM de la 7e circonscription était présente, hier matin,
lors de l'inauguration de la permanence de Sandra Torrès. Pourquoi
est-elle venue ? « Pour écouter la
candidate aux élections municipales, puisqu'elle a candidaté récemment
pour obtenir le soutien de La République En Marche » ». (MG).
-
Var-Matin, 27 octobre 2019
: « Dorian Munoz et ses soutiens
inaugurent le QG de campagne du RN
» - « Près d'une centaine de personnes était présente, hier matin place
Perrin, pour assister à l'inauguration de la permanence de campagne de
Dorian Munoz, candidat à la mairie de La Seyne pour le Rassemblement
National (RN). Le militant de 28 ans était chaperonné pour l'occasion
par deux piliers varois du parti de Marine Le Pen : Frédéric Boccaletti
(président du groupe RN au conseil régional Paca, élu d'opposition et
futur candidat à la mairie de Six-Fours) et David Rachline (maire de
Fréjus et candidat à sa succession). « L'enthousiasme de Dorian va
trancher avec l'endormissement actuel. Tu verras, lorsque tu seras élu,
tout le monde dira que le soleil ne se lèvera plus à La Seyne, mais
c'est tout le contraire qui va se passer ! », déclarait ce dernier »
(JT).
- Var-Matin,
30 octobre 2019
: « La droite seynoise en désordre de
bataille » -
« A droite, une campagne à couteaux tirés - Ils prônent « l'union » ou
la « coalition » pour reprendre la mairie à la gauche mais, pour
l'instant, les candidats de droite sont plus divisés que jamais - Des
ex-candidats FN tentent de se refaire une place - Qui aura le soutien
de LR et de LREM ? » (MAD).
-
Var-Matin, 31 octobre 2019
: « Dominique Baviéra (UDI) ne
soutient « personne »... pour l'instant
» - « Mécontent d'avoir été cité comme un soutien du candidat centriste
Serge Daninos dans notre article d'hier, Dominique Baviéra tient à
mettre les choses au point : « Serge, c'est un ami de trente ans mais
je ne veux pas qu'on m'associe à lui, ni à personne d'autre d'ailleurs,
explique cet ancien adjoint d'Arthur Paecht. Je suis le chef de file de
l'UDI à La Seyne et, à ce titre, j'attends que les investitures LR et
LREM tombent avant de clarifier la position de notre parti et la
mienne. » Son souhait ? « Qu'il y
ait une seule et unique liste à
droite à La Seyne pour battre Marc Vuillemot mais, surtout, surtout,
pour éviter que la ville ne tombe aux mains du Rassemblement national.
Je crois que tout le monde ne se rend pas bien compte : si jamais la
situation reste telle qu'elle est actuellement, avec quatre candidats à
droite (Serge Daninos, Nathalie Bicais, Sandra Torrès et
Patrice
Bessone, ndlr), autant donner tout
de suite les clés de la mairie au RN. Même deux listes, ce serait du
suicide... » (MAD).
-
Var-Matin, 1er novembre 2019
: « Patrice Bessone refuse d'être
étiqueté à droite
» - « Pour Patrice
Bessone, non, il n'y a pas quatre candidatures de droite à La Seyne !
Et pour cause : si ce chef d'entreprise, qui dirige l'auto-école du
même nom, s'est effectivement lancé dans la course aux municipales, il
ne veut pas être mis dans le même sac que Nathalie Bicais, Sandra
Torrès ou Serge Daninos, quand bien même des discussions auraient bien
eu lieu avec ces personnalités politiques. Patrice Bessone refuse ainsi
« d'être placé dans une case » et
s'en explique. « Notre liste est ouverte à tous, à ceux de gauche,
comme de droite, aux femmes et aux hommes de bonne volonté,
rappelle-t-il. Elle se veut équilibrée politiquement et
sociologiquement, et générationnelle. C'est justement notre ADN que de
se vouloir apolitique ! ». Patrice Bessone précise en outre
qu'il n'a demandé le soutien d'aucun parti » (MAD).
- Var-Matin,
2 novembre 2019 : « La
gauche suspendue à la décision de Marc Vuillemot » - «
L'impatience gagne les soutiens du maire, qui tarde à annoncer son
éventuelle candidature. A gauche, Luc
Patentreger est pour l'instant le seul à s'être déclaré
- La question tourne en boucle en bas du marché : « Alors, il repart ou
pas, Marc ? ». Le maire, celui que beaucoup appellent amicalement par
son prénom, n'a toujours pas pris sa décision. Ou seul son premier
cercle la connaît. Parmi ses soutiens élargis, personne n'ose pourtant
imaginer que Marc Vuillemot, élu en 2008 et en 2014, ne briguera pas un
troisième mandat... quitte à se dédire, d'ailleurs, lui qui déclara
jadis vouloir passer la main en 2020. Ce que résume aussi une autre
devinette en vogue cours Louis-Blanc : « S 'il n'y va pas, alors qui ?
» - Le maire sortant n'a toujours pas décidé s'il allait briguer ou non
un troisième mandat. Dans cet espace vacant laissé à gauche, Luc
Patenterger est pour l'instant le seul candidat ouvertement déclaré -
Luc Patentreger ne veut pas de la FI - Seul Marc Vuillemot, mutique,
feint d'ignorer cette agitation sous les fenêtres de « sa » mairie. Ou
alors, en fin politique , l'observe-t-il avec quelque idée derrière la
tête » (MAD).
- Var-Matin,
2 novembre 2019 : « D.
Guttierez se défend d'être un « opportuniste
» » - « Elu aux conseils départemental et municipal sous l'étiquette
Front national avant de se fâcher avec la direction du parti lepéniste,
Damien Guttierez est régulièrement la cible de ses adversaires
politiques. Outre son ancienne appartenance au FN, ils sont nombreux à
moquer un parcours qui l'a aussi vu passer par le centre et la droite
républicaine, sous couvert, entend-on ici où là, d'une ambition
dévorante. Aujourd'hui engagé aux côtés de la coalition de droite menée
notamment par Nathalie Bicais (LR), Jean-Pierre Colin (Les Centristes)
ou Guillaume Capobianco (s.e), il se défend d'être un arriviste : « Si
j'ai intégré le principe d'une coalition politique responsable, ce
n'est évidemment pas pour trouver une place ni mener un combat
opportuniste, c'est pour éviter à ma ville natale et aux Seynois le
pire que j'ai connu : des alliances malsaines comme j'en vois encore se
profiler à droite et le risque de régression définitive de la commune
par des candidats à son administration, idéologues, démagogiques,
inexpérimentés ou dangereux » (MAD).
- Var-Matin, 5 novembre 2019
: « Les communistes ne sont pas
partisans d'une liste 100 % PCF
» - « Dans notre article paru samedi, intitulé « La gauche suspendue à
la décision de Marc Vuillemot », nous écrivions que certains militants
au sein de la section du PCF seynois avançaient leurs pions « pour
monter une liste 100 % communiste ». Mais ceux-là, lassés d'attendre la
décision de partir ou non en campagne du maire sortant, avec qui les
communistes avaient négocié des sièges en 2014, ne sont visiblement pas
majoritaires rue Lagane. « A l
'initiative d'une démarche de rassemblement de l'ensemble des forces de
gauche depuis août dernier, les communistes seynois continuent d'œuvrer
dans le sens collectif d'une union de la gauche », tranche le
bureau seynois, par la voix de son secrétaire Denis Gerner. Lequel,
avec l'idée de « consolider la
position » de La Seyne, deuxième plus grande ville de gauche en
Paca, « dément donc le principe
d'une liste 100 % communiste ».
Rappelons qu'à presque quatre mois de l'échéance électorale, ce fameux
rassemblement se fait pour l'instant attendre : les écologistes
soutiennent ta candidature de Luc Patentreger qui, en plus de n'avoir
aucun contact avec Marc Vuillemot, ne veut négocier ni avec le PCF, ni
avec la France insoumise, tandis que cette dernière s'oppose toujours à
un troisième mandat du maire sortant...
- Var-Matin, 5 novembre 2019 : « A droite, la « coalition » va annoncer le
nom de son candidat
» - « Guillaume Capobianco et Damien Guttierez ont annoncé candidater
pour être tête de liste de la « coalition » de droite, tout comme l'est
déjà Nathalie Bicais, conseillère municipale et départementale,
favorite des pronostics. Une nouvelle preuve de division, après que
Serge Daninos a claqué la porte du mouvement qui voulait « faire l'union » ? Au contraire,
assure Jean-Pierre Colin, un des fondateurs de cette coalition : « Il
s'agit d'un acte de démocratie interne fort, qui limite les aventures
personnelles et nous protège d'une dispersion de voix. Nous aurions
souhaité que tous les candidats du centre à la droite forte se
soumettent à cet exercice... ». Et de tacler, à mots couverts,
Serge Daninos et Sandra Torrès, qui briguent eux aussi le fauteuil de
maire : « Pour
des raisons diverses liées à leur ego pour certains, ou manipulés par
des forces extérieures non seynoises pour les autres, des personnalités
sans conscience politique ont décidé de prendre le risque d'être les
principaux artisans de la reconduction d'un maire au bilan dramatique
ou bien encore de la victoire du Rassemblement national à La Seyne :
l'histoire les jugera d'ici peu de temps ». Le candidat de la
coalition sera présenté le 15 novembre à 18 h 30, au casino Joa. Faites
vos jeux... » (MAD).
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Var-Matin, 6 novembre 2019 : « La Seyne : conseil municipal au parfum de
campagne électorale
» - « Loin des points inscrits à l'ordre du jour de la séance qui s'est
tenue hier, les échanges entre les élus ont tourné essentiellement
autour de la perspective de l'élection de mars prochain - Marc
Vuillemot s'est retrouvé face aux critiques nourries des élus
d'opposition (Sandra Torrès, Nathalie Bicais et Damien Guttierez
notamment), lesquels sont eux-mêmes déjà lancés dans la bataille des
prochaines municipales (...) - L'échange aura en tout cas agacé Damien
Guttierez : « Présentons des motions
qui ont un lien avec notre ville. M. le maire, soyez plus centré sur
les projets seynois ». « Merci
de ce conseil sur le mode de pilotage de cette assemblée,
rétorque-t-il. Depuis toutes ces années, je m'efforce de permettre aux
uns et aux autres d'exprimer leurs points de vue au-delà de cette
enceinte. On petit tenir comme cela jusqu'en mars prochain ».
Quitte à changer de fonctionnement en cas de réélection ? » (MG).
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Var-Matin, 8 novembre 2019 : « J'ai construit un grand projet pour La Seyne
» - « Ex-adjoint d'Arthur Paecht, Serge Daninos fait son retour en
politique en se présentant aux élections municipales... avec ou sans
l'investiture En Marche - À l'affiche d'une brochure imprimée « à 30 000 exemplaires
», omniprésent sur les réseaux sociaux, ou avec sa newsletter, dans les
boîtes mail, Serge Daninos, candidat aux é1ections municipales, ne nous
avait pas encore accordé d'interview. C'est chose faite. Rencontre avec
un hyperactif absent de la politique seynoise depuis douze ans,
persuadé d'avoir « rendez-vous
» avec la ville et ses citoyens. Vous
briguez l'investiture En Marche. Si vous ne l'avez pas, serez-vous tout
de même candidat aux municipales ?
Au-delà de l'étiquette, j'ai un programme, des choses concrètes à
présenter. Je serai donc candidat avec ou sans l'investiture LREM. En
réalité, ça fait des années que j'y pense en me rasant ! Je suis
Seynois et j'en ai marre de voir quotidiennement qu'il ne se passe rien
dans cette ville, alors que ça bouge à Toulon, à Sanary... Un jour, ma
femme Alexandra m'a dit : « Tu as un projet, vas-y ! ». C'est elle qui
m'a convaincu de me lancer. Ancien
adjoint au commerce d'Arthur Paecht, vous n'êtes pas non plus novice en
politique...
Tout à fait. Et je considère que le mandat d'Arthur Paecht a été un
grand mandat. Les impôts avaient baissé. On avait initié la
thalassothermie. Le casino, c'est Arthur Paecht. La réhabilitation du
quartier Berthe aussi. Chargé du dossier à l'ANRU, c'est moi qui suis
allé chercher les 260 millions d'euros de la rénovation urbaine. Le
maire actuel, vous en pensez quoi ? Il est gentil. Mais ce n'est pas un
homme de dossiers. C'est un fonctionnaire, pas un chef d'entreprise
comme moi. Et son bilan de douze ans n'est pas honorifique. Regardez ce
qu'est devenue La Seyne... » (MAD).
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Var-Matin, 9 novembre 2019 : « Marc Vuillemot sur la liste de Luc
Patentreger : « Inenvisageable »
» - « Lors du conseil municipal qui s'est tenu mardi dernier, l'élu
d'opposition Damien Guttierez a demandé publiquement au maire si son
adjointe Denise Reverdito, « qui est
engagée avec une liste (celle conduite par Luc Patentreger,
Ndlr) qui vous est opposée ;
conserve toute votre confiance ? » (Var-Matin
du 6 novembre). Cette question fait réagir les représentants de la-dite
liste, baptisée La Seyne Citoyenne 2020, qui rappellent que « Denise
Reverdito ne figurera pas sur notre liste pour les élections
municipales. Comme nous l'avons déjà annoncé, la conseillère municipale
et son parti Europe Ecologie Les Verts ont choisi de soutenir notre
démarche sans aucune condition (...). Et de conclure : « Marc
Vuillemot peut nous apporter son soutien s'il le souhaite, mais il est
également inenvisageable qu'il figure sur notre liste comme sa boutade
lors de ce même conseil municipal l'a laissé entendre ».
-
Var-Matin, 13 novembre 2019 : «
Jean-Pierre Colin (Les Centristes)
défend la « coalition » »
- « C'est peu de le dire : les membres de la coalition n'ont guère
goûté les propos de Serge Daninos (notre édition du 8 novembre) qui fut
un temps impliqué, avant de claquer la porte le mois dernier, dans ce
mouvement destiné à faire émerger une tête de liste à droite. Moqués
par l'ex-adjoint d'Arthur Paecht pour ne parler « que distribution de
postes », ils s'en défendent, Jean-Pierre Colin en tête. « Nous mettons
nos egos de côté dans l'unique but de gagner et pouvoir appliquer notre
programme, car nous considérons que le bilan de Marc Vuillemot est
catastrophique » (MAD)
- Vendredi 15 novembre 2019 : « La Coalition présente son leader ».
-
Var-Matin, 16 novembre 2019
: « Samir Ben Mihoub à la tête d'une
liste "citoyenne"
» - « Connu
pour avoir fondé l'association Univers-Cité, il va conduire une liste
baptisée "Citoyens en Seyne". Et inaugure sa première permanence ce
matin - Après avoir fondé l'association Univers-Cité (prix Talents des
Cités 2014), puis bâti le projet de "Cité du numérique", qui verra le
jour l'an prochain à La Seyne, Samir Ben Mihoub compose une équipe «
citoyenne » pour briguer la mairie et "redonner
à la ville la place qu'elle mérite" » (MG).
-
Var-Matin, 16 novembre 2019 : «
Beaucoup de listes à La Seyne ? Pas
plus qu'avant... pour l'instant
» - « Samir Ben Mihoub est le septième candidat à se déclarer
officiellement. Si ce chiffre fait bondir ceux qui craignent que la
dispersion des voix ne profite au Rassemblement Rational, il ne
constitue pas pour autant un record dans l'histoire récente de La
Seyne. En 2001, il y avait ainsi neuf listes en compétition, tandis
qu'en 2008 et en 2014, on en comptabilisait huit » - « Patrice Bessone (sans étiquette) inaugure
sa permanence
» - « Si l'on déplore régulièrement des fermetures de commerces dans le
centre-ville, force est de constater que les politiques, eux, à pile
quatre mois des municipales, n'hésitent pas à y ouvrir leurs «
boutiques ». Ce samedi, c'est Samir Ben Mihoub qui inaugure sa
permanence rue Cyrus-Hugues. Demain, ce sera au tour de Patrice Bessone
» (MAD).
-
Var-Matin, 16 novembre 2019 : «
Nathalie Bicais (LR) leader désignée
de la coalition
» - « Hier soir, au casino Joa, la « coalition » a dévoilé l'identité
de celle qui mènera la liste « La Seyne, j'y crois », à savoir Nathalie
Bicais - Sans véritable surprise, Nathalie Bicais (LR) a été désignée
hier soir tête de liste de la « coalition » pour conduire la bataille
des municipales. C'est au casino Joa, devant une belle assistance de
400 militants, sympathisants ou simples curieux, que l'annonce a été
faite. Pour son premier vrai meeting, cette union hétéroclite des
forces de droite et du centre avait en effet promis de dévoiler
l'identité de son « leader », entretenant un suspense qui n'en avait
que le nom. Si Guillaume Capobianco ou Damien Guttierez avaient aussi
postulé, celle qui est à la fois conseillère départementale et élue
municipale présentait d'évidence un « CV » plus fourni et moins clivant
» (MAD).
-
Var-Matin, 18 novembre 2019 : «
Une permanence sur le cours
Louis-Blanc pour Nous, La Seyne » - « Patrice Bessone a inauguré
sa permanence de campagne hier, en plein cœur du cours Louis-Blanc. Un
marché « moribond » que
n'apprécieraient plus « mes
grands-mères et arrière-grands-mères maternelles habituées à s'y rendre
quotidiennement », déclarait-il » - « Nous avons délibérément décidé de partir
sans étiquette malgré la proposition d'En Marche pour ne citer que
celle-ci ».
-
Var-Matin, 18 novembre 2019 : «
La photo avec une championne : un must
!
» - « On le sait, en période d'élection, il est de bon ton pour un
candidat d'avoir un agenda surchargé, de rencontrer un maximum de
concitoyens, tout en s'affichant, concerné, là où le cœur de la ville
bat. (...) ce week-end, que ce soit à l'assemblée du CIL de Porte
Marine & Co, à la remise de fanion aux stagiaires de la Préparation
militaire marine ou au marché des Sablettes, une partie des candidats
aux municipales ont montré sur Facebook leur participation à ces
événements » - « Dorian Munoz (RN)
sort les dents
» - « Régulièrement fustigé et désigné par les autres candidats comme
l'adversaire N°1, Dorian Munoz, tête de file du Rassemblement national,
a le verbe parcimonieux. Il y a quelques jours, il est toutefois sorti
de sa réserve (...). « Tous
promettent un renouveau pour notre ville, alors que la plupart sont ou
ont été dans le paysage politique seynois depuis 10, 15, 20 ans...
» » (MAD).
-
Var-Matin, 20 novembre 2019 : «
Pour Patrick Martinenq, il est trop
tôt pour ouvrir une permanence » - « Ce week-end, Samir Ben
Mihoub et Patrice Bessone ont inauguré leur permanence dans le
centre-ville. Ils
rejoignent ainsi Nathalie Bicais, Sandra Torrès, Dorian Munoz et Luc
Patentreger. Seul absent du quartier, parmi les candidats déclarés :
Serge Daninos » - « Mon conseil : ouvrir une permanence en janvier
2020. Cela sera amplement suffisant. Avant, c'est une dépense inutile ».
-
Var-Matin, 26 novembre 2019 : «
La Seyne : plainte pour diffamation en
marge de l'enquête sur les formations professionnelles
» - « « De fausses informations ont
circulé sur Internet, notamment sur
Facebook, souligne l'avocat. Nous
avons agi contre une publication
litigieuse par voie d'huissier de justice. Et obtenu son retrait
immédiat ». Sandra Torrès est candidate aux prochaines élections
municipales de La Seyne et brigue l'investiture du parti Les
Républicains. Un contexte qui n'a rien d'étranger aux manœuvres
qui
visent à la déstabiliser, estime-t-elle. « On jette l'anathème sur une
personne, le seul but est de la discréditer, de manipuler les
élections. De manipuler le vote des Seynois. C'est extrêmement grave
» »
(SOB).
-
Var-Matin, 27 novembre 2019 : «
Si, si, la gauche se met en ordre de
marche pour les élections
» - « Alors qu'un point d'interrogation entoure toujours une possible
nouvelle candidature du maire Marc Vuillemot, ceux de son parti, la
Gauche républicaine et socialiste (GRS), tiennent à faire savoir dans
un communiqué qu'ils ne chôment pas. Ils œuvrent pour qu'émerge « une
liste progressiste issue d'un rassemblement des forces de gauche. »
Toussaint Codaccioni , Jimmy Coste, Stéphane Sacco ou Pierre Sias, les
cadres locaux de la GRS, expliquent ainsi que « les échanges avec nos
camarades de la gauche seynoise (...) avancent, et nous permettent
d'avoir confiance en l'avenir » (MAD)
-
Var-Matin, 29 novembre 2019 : «
La campagne change de braquet !
» - « Faire campagne à véto, telle semble être la dernière tendance
pour tes prochaines élections. Sandra Torrès (LR) a donné les premiers
coups de pédales en allant à la rencontre des Seynois à bicyclette ces
deux derniers mercredis, dans les quartiers sud. « Ces
rencontres sont pour moi l'occasion d'échanger avec les Seynoises et
les Seynois sur les problématiques locales et de rappeler mon
attachement à la proximité », explique la candidate. (...)
Désormais, d'autres candidats vont-ils prendre la roue et s'engouffrer,
eux aussi, dans ce nouveau cycle de la campagne ? Attention, diront
certains, les premiers à allumer la mèche vont peut-être donner
l'occasion à Marc Vuillemot de mettre le nez à la fenêtre, lui qui, en
août 2011, avait pris la direction de Paris à vélo pour défendre la
maternité » (MG).
-
Var-Matin, 30 novembre 2019 : «
L'appel de militants LR
» - « Alors qu'ils attendent toujours la réponse du parti à sa demande
de soutien en vue des prochaines élections, des militants LR de La
Seyne lancent un appel en faveur de la candidature de Sandra Torrès. « Ce
qui nous réunit, c'est d'être Seynois, élus du comité de drconscription
et du comité départemental de notre parti ét donc, tout naturellement,
soutiens actifs à la candidature de Sandra Torrès », écrivent
Hélène Rigal conseillère régionale, Virginie Sanchez, conseillère
départementale, Morgan Duhamel, représentant départemental des jeunes
LR, et Arthur Bongrain, conseiller national LR ».
-
Var-Matin, 2 décembre 2019 : « À droite, la Coalition affiche le soutien
de Renaud Muselier » - « En attendant que le parti Les Républicains et LREM distribuent
(ou non) leurs investitures, la bataille fait rage, parmi les candidats
de droite, pour grappiller des soutiens, si possible de poids. Et à ce
petit jeu, il faut reconnaître que la coalition, liste menée par
Nathalie Bicais, épaulée de Jean-Pierre Colin, a pris quelques
longueurs d'avance. Le 5 septembre, ce dernier nous faisait suivre un
courrier de Marc Giraud, président du Département du Var, qui
clarifiait sa position : « Chère Nathalie, je renouvelle tout mon
soutien (...) à ta candidature dans la mesure où ton investissement
local et départemental, comme les valeurs qui président à la conduite
de ton action politique font de toi une réelle chance de victoire pour
notre parti (...) à La Seyne » (MAD).
- Journal d'information,
novembre-décembre 2019 # 1 de Nathalie Bicais : « La Seyne, j'y crois », brochure 4
pages A4 couleur : « Portée par les partis de la Droite démocratique
et du Centre, Nathalie Bicais incarne les espoirs du renouveau, pour
une ville modernisée et équilibrée ! - L'objectif de la Coalition est
de réunir des personnalités issues de la politique, du monde associatif
et de la société civile dans le but de faire de la Seyne sur mer une
ville plus sûre, plus innovante, plus écologique ».
-
Var-Matin, 6 décembre 2019 : « Renaud Muselier (LR) demande « aux
concurrentes de se parler ». Faute d'une investiture pour les
départager, la bataille des soutiens fait rage entre les deux têtes de
listes Les Républicains
officiellement déclarées. Début septembre, c'est Sandra Torrès qui
dégainait la première, se targuant d'un appui à sa candidature venu du
président de la Région Paca, Renaud Muselier. Mais le week-end dernier,
un autre élu régional, Jean-Pierre Colin, colistier de Nathalie Bicais
cette fois, affirmait que Renaud Muselier était« clairement» derrière
leur mouvement, appelé Coalition . « Il me l'a encore confirmé
récemment dans son bureau... », s'empressait-il d'ajouter. Sauf
qu'aujourd'hui, le président de la Région lui-même semble vouloir
siffler la fin de cette guéguerre de parrainage... sans pour autant
trancher : « Je tiens à rappeler que sans l'union, la victoire est plus
qu 'hypothétique. Sandra Torrès, Jean-Pierre Colin et Hélène Rigal
(proche de Sandra Torrès, Ndlr) appartiennent tous les trois à ma
majorité régionale, votent les mêmes délibérations et travaillent
ensemble à la Région Sud. ( ... ) Il n'y a donc aucun obstacle au
rassemblement ! ». Et d'exhorter ses ouailles : « Je demande aux
concurrentes de se parler et d'additionner leurs forces pour obtenir
une victoire en mars prochain ». Jusqu'ici ces discussions, qui ont
bien eu lieu entre Sandra Torrès et Nathalie Bicais, n'ont rien donné.
Le coup de gueule du « patron » va-t-il changer la donne ? » (MAD).
-
Var-Matin, 7 décembre 2019 : « Municipales : Ils sont déjà candidats -
Municipales : le point à 100 jours des résultats » - « Le point
à Six-Fours, Bandol, Sanary, Saint-Mandrier, Ollioules, Le Beausset,
Saint-Cyr, La Cadière, La Ciotat,... » - « A La Seyne : Beaucoup de candidats et une
lutte indécise
» - « Ceux qui connaissent la deuxième ville du Var ne sont pas outre
mesure surpris. Ni par le fait que la campagne ait été lancée il y a
plus d'un an déjà, ni par la nature, à couteaux tirés, de la guerre de
tranchées politique qu'il s 'y dessine. Quant au nombre impressionnant
de candidats déclarés... il est finalement dans la norme de ces
dernières années. Ils sont (pour l'instant) sept, mais ils étaient huit
en 2008 et en 2014. En 2001, neuf listes s'étaient même présentées sur
la ligne de départ ! Outre cette multitude de prétendants au fauteuil
de premier magistrat, cette élection est aujourd'hui marquée par
l'hésitation à se représenter du maire sortant, étiqueté Gauche
républicaine et socialiste. Marc Vuillemot, dont le bilan est fragilisé
par l'absence des réalisations phares promises en 2014 (port de
plaisance, cinéma, réhabilitation du centre... ), avait posé l'union
de la gauche comme préalable au fait de briguer un troisième mandat.
Sauf qu'il n'y parvient pas. Et que les cadres de la France insoumise
se sont rapprochés de la liste de Luc Patentreger, déjà soutenue par
Europe écologie Les Verts. Le
Rassemblement national en épouvantail.
À droite, la situation n'est guère plus limpide, avec Nathalie Bicais
et Sandra Torrès, deux concurrentes des Républicains respectivement
élues départementale et régionale qui n'arrivent pas à s'entendre
malgré les appels de Renaud Muselier, le président de la Région. Serge
Daninos, un ancien adjoint d'Arthur Paecht qui rêve d'obtenir
l'investiture En Marche, est également déterminé à partir seul. Ajoutez
à cela des listes citoyennes portées par des Seynois à la notoriété
certaine (Samir Ben Mihoub, Patrice Bessone...) et vous obtenez une
élection particulièrement indécise. Dans ce terreau propice à une
triangulaire, voire à une quadrangulaire, un jeune loup fait figure
d'épouvantail auprès des autres candidats : Dorian Munoz, 28 ans,
investi par le Rassemblement national dans une ville où le parti
lepéniste arrive désormais régulièrement en tête au soir du premier
tour. Et ce, quelles que soient les élections (présidentielles,
européennes, régionales, départementales... ). Cela n'a encore jamais
été le cas lors du scrutin municipal. Jusqu'à quand ? » (MAD).
-
Var-Matin, 9 décembre 2019 : « Sandra Torrès (LR) fustige « les méthodes »
de la coalition » - « Le torchon brûle entre Nathalie Bicais et
Sandra Torrès. Les deux candidates Les
Républicains
aux municipales ont beau clamer qu'une union de la droite est
indispensable pour conquérir la mairie de La Seyne, elles semblent de
plus en
plus irréconciliables. Dernier épisode en date : le communiqué de
Renaud Muselier, président de la Région, qui refuse finalement de
trancher entre l'une et l'autre des élues, les exhortant au «
rassemblement » alors même que chacune s' était préalablement vantée de
bénéficier de son « prestigieux » soutien. Loin de calmer les troupes,
cette intervention du « patron » vient finalement vient finalement
inspirer un commentaire plutôt cinglant de Sandra Torrès à l'attention
de Nathalie Bicais et Jean-Pierre Colin. L'élue régionale, qui n'a pas
oublié les piques de ces dernières semaines, moque aujourd'hui « les élucubrations diffusées par d'autres,
prétendument en son nom (celui de Renaud Muselier, ndlr) ». Et
de tacler les chefs de file de la coalition, Jean-Pierre Colin en tête
: « Ainsi
donc, les experts en probité et en déontologie auraient menti
publiquement aux Seynoises et aux Seynois ? On connaissait les pompiers
pyromanes, voici maintenant les déontologues faussaires ! Au secours !
». Un dernier mot doux pour la route ? « Leurs
méthodes : la fabrication des rumeurs les plus nauséabondes, les
tentatives de disqualification personnelle des concurrents ou
adversaires politiques, voilà - à leurs yeux - ce qui rend les idées,
un programme et le débat en général, totalement secondaires ! »
Le rassemblement attendra encore un peu, sans doute... » (MAD).
-
Var-Matin, 9 décembre 2019 : « L'UDI finalement au soutien de Nathalie
Bicais (LR)
» - « Si les investitures LR et LREM se font attendre, la position de
l'UDI vient en revanche d'être clarifiée. Dominique Baviera, chef de
file du parti centriste à La Seyne, officialise le soutien de l'UDI à
Nathalie Bicais « et sa
participation active à la constitution d'une liste composée de
représentants du Centre, de la Droite républicaine et de progressistes
(...) ». Et d'expliquer que « l'UDI
considère que Nathalie Bicais est la candidate la plus représentative
et la plus apte à faire barrage aux extrêmes et à toute forme
d'aventurisme. Elle est aujourd'hui la seule à pouvoir rassembler le
plus largement possible à travers un projet ambitieux et réaliste,
synonyme d'avenir probant. Son expérience, son implication locale et sa
lucidité font d'elle la candidate la plus à même d'incarner le
changement tant attendu ». Sans oublier, ses meilleurs vœux
d'union de la droite : « Espérant
toujours que la raison de certaines et certains puisse prévaloir sur
les intérêts personnels, l'UDI en appelle solennellement au
rassemblement autour de Nathalie Bicais, au-delà des différences
partisanes et dans la complémentarité, afin de faire gagner La Seyne et
lui donner enfin sa place au cœur de la Métropole » » (MAD).
-
Var-Matin, 11 décembre 2019 : «
Les membres de la coalition s'imposent
un "contrat d'éthique"
» - « D'aucuns diront qu'il s'agit d'un coup de com'. La démarche a
toutefois le mérite d'innover au niveau local. Les membres de la
coalition, réunis autour de Nathalie Bicais, ont signé ce week-end un
"contrat d'éthique", destiné à afficher leur « probité » et leur « honnêteté ». « Beaucoup de gens ne croient plus à la
politique ; il existe une méfiance, voire une défiance vis-à-vis des
élus, résume Nathalie Bicais. Face
à cela, nous prenons des engagements, car le pouvoir implique des
responsabilités
». Sur une proposition de Guillaume Capobianco, les membres de la
coalition ont donc rédigé ce "contrat", inspiré de la charte de
l'association des maires de France ; « on
y a ajouté des valeurs morales, ainsi que, comme l'a suggéré
Jean-Pierre Colin, le dispositif d'un déontologue (qui sera un juge ou
un magistrat en retraite), comme cela a été mis en place à la Région
», ajoute la chef de file » (MG).
- Mise en Seyne, 13 décembre 2019 (portraits des candidats aux élections municipales de La Seyne-sur-Mer) : Portrait de Nathalie Bicais.
- Var-Matin, 13 décembre
2019 : « Et de trois pour la
liste « Citoyens en Seyne »
» - « Initialement prévue samedi dernier, mais décalée d'une semaine en
raison des animations du Téléthon, l'inauguration de la troisième
permanence de la liste « Citoyens en
Seyne », conduite par Samir Ben Mihoub, va finalement se dérouler ce
samedi. Aux Sablettes cette fois » (MG).
- Var-Matin, 13 décembre
2019 : « Feu vert pour le projet
immobilier à Coste Chaude
» - « La modification du Plan local d'urbanisme, qui permet la
construction de 145 logements à Coste Chaude, a reçu un avis favorable
suite à l'enquête publique et a été validée par les élus de TPM »
- « Droit au but
» - « S'il est un dossier au cœur de la campagne électorale, c'est
bien celui-ci ! Aucun des candidats déclarés ne soutient ce projet
immobilier porté par l'actuelle majorité. Pourtant, certains feraient
montre d'une opposition à géométrie variable. C'est ce que relève
Sandra Torrès, qui monte au créneau sur le thème de « l'honnêteté en politique ». Et va
droit au but : « Alors
qu'il me semblait jusqu'à aujourd'hui ne pas être la seule élue à
m'opposer à ce projet, trois de nos représentants au Conseil
métropolitain [Nathalie
Bicais, Jean-Pierre Colin et Damien Guttierez] ont préféré s'abstenir, en séance plénière
ce mardi, sur le vote concernant directement cette question ». « Pour ma part, sur le dossier Coste Chaude,
je vais être très précise, ajoute Sandra Torrès : Moi élue je m'opposerai, par tous les
moyens à ma disposition, à la mise en œuvre de ce projet ». Sans
manquer, au passage, de glisser un nouveau tacle aux candidats de la
"coalition" : « L'honnêteté
en politique ce n'est pas de faire des coups de com' en signant je ne
sais quelle charte, c'est tout simplement parler clair et s'y tenir
» ».
- Var-Matin, 13
décembre 2019 : « La couleur
préférée de Luc Patentreger reste le vert
» - « Le ralliement, encore officieux, de certains cadres locaux de la
France insoumise y est pour beaucoup. Récemment qualifiée de liste « divers gauche
», la seule parmi les sept déjà en course, l'équipe de Luc Patentreger
ne goûte pourtant guère l'appellation. Trop vague ? Plutôt trop rouge,
ou trop rose, quand leur couleur préférée se rapprocherait plus du
vert. « La Seyne citoyenne 2020 pour une ville verte et ouverte »,
comme elle se nomme d'ailleurs, entend bien ne laisser à personne
d'autre le créneau de l'écologie, il est vrai particulièrement porteur
par les temps qui courent. « Nous
n'avons pas de marquage partisan, exposent-ils. Nous sommes résolument écologistes,
citoyens et soutenus par Europe Ecologie Les Verts ». Les
éventuels futurs soutiens à gauche sont prévenus » (MAD).
- Var-Matin,
13 décembre 2019 : « « Migrants »
à Saint-Elme : le RN critique le projet
» - « Comme on pouvait s'y attendre, l'annonce de l'ouverture, en
janvier prochain, de l'Escale de Saint-Elme (Var-matin de mercredi) n'a
pas tardé à déclencher des réactions hostiles. C'est Dorian Munoz,
candidat RN aux élections municipales, qui a été le premier à dégainer
contre ce centre d'accueil de mineurs étrangers isolés, dans l'enceinte
du fort de Saint-Elme. L'aménagement du site ayant coûté 450 000 euros
au Conseil départemental, Dorian Munoz estime qu'« à
l'heure où de nombreux compatriotes peinent à boucler leurs fins de
mois et se battent pour une retraite digne, des sommes considérables
sont dépensées pour loger, nourrir, soigner et entretenir ces jeunes ;
les Seynoises et les Seynois dans le besoin apprécieront... ».
Et le candidat RN de se déclarer « persuadé
» que le fort de Saint-Elme « aurait
pu connaître une autre utilité, en servant d'abord à notre jeunesse, à
nos anciens, en mettant en avant notre culture et notre histoire et,
par la même occasion, développer notre économie » (MG).
-
Var-Matin, 13 décembre 2019 : «
Agenda de campagne : L'histoire de la
politique seynoise avec la "coalition"
» - « Nathalie Bicais et les membres de la "coalition" organisent, ce
soir, une conférence intitulée « Histoire
de la vie politique à La Seyne au
XXe siècle », présentée par Jean-Claude Autran, conférencier
émérite.
Cette présentation se déroulera donc ce vendredi, à 18h au restaurant
La Frégate (quai Hoche) ».
-
Var-Matin, 14 décembre 2019 : «
L'opposition s'écharpe au sujet de
Coste Chaude
» - « Bien que le projet immobilier n'était pas à l'ordre du jour du
conseil municipal qui s'est tenu hier, son évocation a entraîné une
vive passe d'armes... entre les opposants à ces 145 logements » - « Le duo Colin-Bicais justifie son abstention.
C'est à ce sujet que l'élue LR Sandra Torrès, candidate aux
municipales, s'en est pris à ses anciens colistiers qui eux aussi
visent la mairie. Nathalie Bicais (LR également) et Jean-Pierre Colin
(Les Centristes) auraient été coupables, d'après elle, de manquer « d'honnêteté politique
» en s'abstenant lors de la séance plénière de TPM alors même qu'ils
clament (comme elle) être résolument contre le projet : Justification
de Jean-Pierre Colin : « La
modification du PLU concerne un certain nombre de décisions fortes pour
notre ville. Certaines sont importantes et nous demandent un
positionnement ». En d'autres termes, si le duo n'a pas voté
contre cette délibération, c'est qu'il estimait que, dans le texte, des
choses n'étaient pas recevables, telle l'urbanisation de Coste Chaude,
mais que d'autres, si. Et Nathalie Bicais de citer « la protection des terrains de Gaumin et de
Darietto » ou encore celle de la parcelle « à côté de l'Institut de Biologie Marine
». « J'ai plus de respect pour celles
qui vendent leur corps !
». Fin de
l'histoire ? Pas vraiment, Sandie Marchesini, proche de Sandra Torrès,
jetant un peu plus d'huile sur le feu en attaquant frontalement
Nathalie Bicais : « Des mots, des
mots, des mots... Dans la vie, il y a des femmes qui vendent leur
corps, et d'autres qui vendent leur âme pour avoir une place. J'ai
beaucoup plus de respect pour celles qui vendent leur corps ! ».
Au fond de la salle, Jean-Pierre Colin pouvait s'écrier « Quelle malade ! », le maire Marc
Vuillemot, lui, buvait du petit-lait. Et l'élu régional d'assurer, le
calme revenu : « Une
fois en mairie nous ferons tous les recours possibles et les habitants
peuvent être certains qu'avec nous la promotion immobilière Coste
chaude ne verra pas le jour ! ». Ne cessant tout au long des 5 h
et demi de réunion de revenir à la
charge contre le « maire-bâtisseur », c'est finalement Damien
Guttierez, dans le camp des Bicais-Colin, qui a fini par faire sortir
Marc Vuillemot de ses gonds. « Avec
ce PLU, nous aurons +8 % d'espaces verts, +40 % de terres agricoles,
-65 % de surface à urbaniser, -78 % de sites d'urbanisation future... a
énuméré le maire , excédé. Il
ne suffit pas de répéter à deux mois d'une élection qu'on n'a pensé
qu'à bétonner. Démontrez-le ! Parce que je vous assure que nous, nous
allons expliquer la réalité des choses ». Et le maire de
préciser qu'il ne le ferait pas forcément dans une perspective
électoraliste. « Je me suis donné
jusqu'aux fêtes pour décider » (de se représenter ou non, ndlr),
a-t-il conclu.
-
Var-Matin, 16 décembre 2019 : «
Luc Patentreger et l'épineuse question
de Coste Chaude
» - « Si l'impopulaire projet de construction de 145 logements au
lieu-dit de Coste Chaude n'en finit plus d'empoisonner la vie de la
majorité municipale, mais aussi de l'opposition (lire notre édition de
samedi), il oblige également le candidat écologiste Luc Patentreger à
un positionnement pour le moins délicat. Celui-ci, clairement opposé au
programme immobilier, le clame haut et fort : « Il
est encore possible d'arrêter ce projet qui va à l'encontre de la
demande citoyenne d'un territoire d'équilibre. La municipalité (...)
appuie sur l'accélérateur de la bétonisation de nos derniers espaces
verts ». Une position logique, sincère sans doute, quand on se
veut le chantre de la protection de l'environnement. Sauf qu'on ne
saurait oublier aussi que la modification du Plan local d'urbanisme, et
de fait le projet de Coste Chaude, sont des dossiers portés à bout de
bras par Denise Reverdito, adjointe au maire. Et que cette même élue
EELV est une proche de Luc Patentreger et un soutien de poids pour sa
liste ! « Denise a proposé un projet
le moins constructible possible et la ville est tenue par une
convention qui la taxe de 2 millions d'euros si le projet, signé sous
Paecht, ne se fait pas », la défend le candidat. Qui insiste: « Je m'emploierai avec force à stopper ce
projet néfaste et à présenter une alternative écologique raisonnable
». En concertation avec Denise Reverdito ?
-
Var-Matin, 17 décembre 2019 : « L'élue Sandie Marchesini a démissionné de
son mandat
» - « Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'on se souviendra de sa
dernière sortie en conseil municipal ! Même si les deux événements ne
sont pas liés, l'élue municipale d'opposition Sandie Marchesini (LREM)
a en effet annoncé, vendredi dernier, qu'elle rendait son mandat,
quelques minutes après avoir prononcé des mots à l'attention de
Nathalie Bicais (LR) qui ont beaucoup choqué (« Dans
ta vie, il y a des femmes qui vendent leur corps, et d'autres qui
vendent leur âme pour avoir une place. J'ai beaucoup plus de respect
pour celles qui vendent leur corps ! »). Sandie Marchesini, qui
pourrait, en janvier, prendre une part active dans la campagne d'un
candidat d'une ville voisine, a quitté l'assistance en souhaitant « à vous (Marc Vuillemot, ndlr) comme à Sandra (Torrès, ndlr) une belle campagne : vous avez été, l'un
et l'autre, les seuls respectueux de vos idées mutuelles ». Un
ultime tacle à l'attention de ses anciens colistiers Nathalie Bicais et
Jean-Pierre Colin ! » (MAD).
-
Var-Matin, 18 décembre 2019 : «
La permanence du RN recouverte
d'affiches
» - « L'événement s'est produit dans la nuit de lundi à mardi. Quand il
est arrivé hier matin à sa permanence de la place Perrin, Dorian Munoz,
candidat du Rassemblement national, a découvert que celle-ci avait été
recouverte d'affiches avec ce slogan : « Ici aussi, on est chez nous
». Une référence à peine voilée à la dernière sortie du militant
lepéniste, dénonçant l'ouverture d'un centre d'accueil pour mineurs
étrangers à Saint-Elme » - « D.
Reverdito à propos de Coste Chaude : « Si ce projet ne se fait pas (...) je ne
m'en plaindrai pas
». Depuis quelques semaines, c'est elle qui joue le rôle de pare-feu de
la Ville sur le dossier du programme immobilier contesté de Coste
Chaude. Et pour cause : Denise Reverdito est l'élue qui a été chargée
par le maire de conduire la révision du Plan local d'urbanisme et donc
d'affiner ce projet de 145 logements dans les quartiers sud. Sa
position s'est encore compliquée depuis qu'elle soutient le candidat
écologiste Luc Patentreger... fermement opposé à l'ouverture à la
construction de Coste Chaude ! Denise Reverdito souhaite mettre les
choses au clair. Elle explique notamment que, loin de tenir à tout prix
à la réalisation du projet, elle se retrouve confrontée à la difficulté
financière pour la Ville d'y renoncer. (...) Aujourd'hui, un des
membres de l'opposition nous
dit qu'une négociation avec l'EPFR rendrait envisageable durablement un
maintien en l'état de ce site... Je dis banco ! Si ce projet ne se fait
pas, en tant qu'écologiste je ne m'en plaindrai pas. Par contre,
j'attends de voir l'ensemble des solutions réellement mises en place
pour en sortir définitivement... Lorsqu'on est élu, on est confronté à
la réalité » (MAD).
-
Var-Matin, 20 décembre 2019 : «
La République en marche n'investit pas
de candidat
» - « Si la décision n'est pas figée, en l'état le mouvement
présidentiel a choisi de se mettre en retrait de la campagne. Au grand
désespoir de certains marcheurs - « Pas
de profils compatibles avec LREM » - « Des sanctions pour les dissidents ?
» - « Mais cela ne change guère l'attitude de Serge Daninos. L'homme
d'affaires, absent du débat public depuis plus de dix ans, espérait que
l'investiture puisse lui apporter une dimension supplémentaire. Sauf
qu'il en profite quand même au passage pour gonfler ses troupes : outre
Françoise David et Philippe Maginot, Philippe Camps, un autre militant
LREM, l'a rejoint. Ces noms s'ajoutent à ceux de Fathi Bousbi
(ex-adjoint d'Arthur Paecht), Patrick Martinenq, (ex-conseiller
départemental PS devenu LREM) ou Sylvain Ponzio (UDI). De quoi troubler
la lutte fratricide que se mènent, à droite, les deux élues
départementale et régionale Les
Républicains
que sont Nathalie Bicais et Sandra Torrès ? Peut-être. D'autant que ces
dernières espéraient l'investiture LR à l'automne pour y voir plus
clair... et que celle-ci n'est toujours pas tombée » (MAD).
-
Var-Matin, 21 décembre 2019 : «
Les Républicains aussi choisissent de
ne pas choisir
» - « Après La République en Marche, au tour du parti LR de ne pas
donner d'investiture aux candidates qui la sollicitaient : Nathalie
Bicais et sandra Torrès - (...) Cinq ans plus tard, c'est entre
Nathalie Bicais et Sandra Torrès, toutes deux conseillères municipales
Les Républicains, que la mayonnaise ne prend pas. Pire : alors que
l'une et l'autre espéraient que le parti les départagerait avant les
agapes de fin d'année, les instances, après s'être penchées à plusieurs
reprises sur le cas seynois, ont finalement choisi... de ne pas
choisir. Jean-Louis Masson, président de la fédération départementale
des Républicains, confirme à demi-mot : « La Commission nationale
d'investiture aurait conclu collectivement à l'absence d'investiture
pour le 1er tour à La. Seyne - Le CNI
souhaite l'entente - L'ultimatum
de Jean-Pierre Colin
- Plusieurs réunions ont effectivement déjà eu lieu entre les deux
têtes de liste déclarées. Le président de la Région Renaud Muselier
lui-même est intervenu pour siffler la fin de la récréation, tiraillé
entre ses élus régionaux des deux bords qui, chacun, revendiquait son
prestigieux soutien : Jean-Pierre Colin d'un côté ; Sandra Torrès et
Hélène Rigal de l'autre. La dernière tentative de médiation en date à
la Région, toujours en présence de Renaud Muselier, se serait
d'ailleurs soldée par un deal présenté par le centriste Jean-Pierre
Colin : « J'ai proposé à Sandra
Torrès de lui laisser la place de première adjointe si d'aventure elle
suivait Nathalie Bicais et que celle-ci était élue. Elle avait jusqu'à
vendredi soir minuit pour répondre... ». À notre connaissance,
Sandra Torrès n'a pas relevé le gant. Mais comme le suggère un cador
local des Républicains dans un sourire, « les deux préfèrent sans doute
qu'il n'y ait pas d'investiture plutôt que ce soit l'autre qui
l'obtienne ! » (MAD).
-
Var-Matin, 22 décembre 2019
: « Parés à déposer des recours
contre le projet immobilier à Coste
Chaude » - « A l'appel de Nathalie Bicais, près de 150
personnes,
résidents du quartier pour la plupart, se sont retrouvées hier matin
sur le site de Coste Chaude. Durant de longues minutes, la chef de file
de la "Coalition" engagée dans la course aux Municipales, a redit son
opposition au projet de 145 logements, s'interrogeant également sur «
le coup d 'accélérateur donné par le maire ». « Le permis de construire
a été déposé jeudi. Mais pourquoi se précipiter alors que la convention
avec l'EPFR OJ court jusqu'en 2023, que la mobilisation est énorme, et
que des alternatives méritent d'être étudiées ? ». L'argument mis en
avant par Marc Vuillemot - qui dit vouloir privilégier l'intérêt
général et répondre à la demande de logements - ne convainc pas ces
opposants qui affichent leur détermination. Et fourbissent leurs armes.
« La question des voies d'accès au site est déjà, en soi, un motif de
non-délivrance du permis. Certes la Métropole dit qu'elle va élargir
les chemins (Bonifay et Mauvéou), mais ce doit être un préalable au
projet, assure Nathalie Bicais. Tout comme la mise en conformité des
réseaux, notamment d 'eau (pour l'assainissement et la sécurité
incendie) car rien ici n'est équipé pour recevoir plus de 350
personnes. Sans oublier le problème de l'imperméabilisation des sols
face aux risques d'inondation, de la caserne des pompiers en
particulier » (MAD).
-
Var-Matin, 24 décembre 2019
: « Patrice Bessone se moque de la
course aux investitures...
» - « Ces derniers temps, le candidat de « Nous La Seyne » Patrice
Bessone s'essaye avec plus ou moins de succès aux slogans de campagne
sur les réseaux sociaux. Dernier exemple en date : « Auto-école
Bessone, voilà soixante ans qu'ils apprennent à conduire aux Seynois.
Maintenant il est temps d'avoir un bon conducteur à la tête de la ville
! » Entre deux formules, le candidat « citoyen » n'oublie pas
non plus de jeter un œil sur ses concurrents... et de moquer la
bataille des investitures qui fait rage à droite. « Il semblerait que LREM et LR ont choisi de
ne pas accorder d'investitures à La Seyne, observe Patrice
Bessone, pince-sans-rire. Je
pense que cette annonce n'est pas si négative pour les Seynoises et
Seynois. Certes, les partis politiques ont parfois de bonnes
suggestions mais trop souvent ont tendance à être dans l'idéologie
partisane (...). C'est
pourquoi nous avons décidé, mon équipe et moi-même, de nous écarter des
appareils politiques
». Patrice Bessone en profite aussi pour critiquer les récentes passes
d'armes entre les autres candidats de droite (nos éditions précédentes)
: « Nos valeurs sont inscrites dans
le respect des personnes, du travail, et des différences qui sont pour
nous une force de rassemblement. Alors, comment ne pas accabler les
élus qui, il y a deux semaines, s'insultaient en plein conseil
municipal ? C'est ce spectacle qui disqualifie la politique aux
yeux des citoyens ! Notre ADN ne s'inscrit pas dans ces méthodes d'un
autre temps qui sont responsables de la situation dégradée de La Seyne
». Les intéressés apprécieront... » (MAD).
-
Var-Matin, 24 décembre 2019
: « ...tandis que Serge Daninos
récupère celle d'Agir. Il espérait celle de La République en
marche, il récupère finalement l'investiture d'« Agir, la droite
constructive ». « Une excellente
nouvelle
» pour Serge Daninos, qui rappelle qu'Agir est un mouvement affilié à
la majorité présidentielle, présidé par Franck Riester, ministre de la
Culture. « Si je suis élu, il faudra
aller chercher de l'argent pour désendetter La Seyne. À ce titre, Agir,
qui est un parti de centre-droit pro-européen, allié d'Emmanuel Macron,
nous le permettra plus facilement ». Par ailleurs, l'homme
d'affaires ne désespère pas d'obtenir le soutien de LREM malgré le fait
que la Commission nationale d'investiture ait décidé de ne pas
l'adouber. « Ils seront bien obligés
de suivre : en mai dernier, Agir avait constitué avec LaRem une liste
unique aux élections européennes. Je vais avoir l'UDI aussi,
assure-t-il avec aplomb. D'ailleurs, le sénateur Jean-François Longeot
m'apporte aujourd'hui son appui ». Et de conclure : « Ce n'est
pas une petite investiture. Je deviens d'ailleurs le candidat de la
plus grosse ville à qui ce jeune mouvement donne son investiture. Signe
qu'ils comptent beaucoup sur moi » (MAD).
-
Var-Matin, 25 décembre 2019
: « Une nouvelle permanence va ouvrir
dans le centre-ville
» - « Après Nathalie Bicais, Sandra Torrès, Dorian Munoz, Patrice
Bessone, Samir Ben Mihoub et Luc Patentreger, c'est au tour de Serge
Daninos (divers droite) d'ouvrir une permanence dans le centre-ville,
plus précisément au 7 place Daniel-Perrin. L'inauguration est prévue le
11 janvier 2020 à 11 heures. Jouxtant le bar La Forge, ce local de
campagne fera également face - ou presque - à celui du Rassemblement
national et de Dorian Munoz. Il faut dire qu'historiquement, la place
Perrin, où se situe en outre le bureau de Var-matin, a souvent eu les
faveurs de candidats aux différentes élections. Récemment, Philippe
Vitel (municipales 2014) y a tenu boutique, tout comme Arthur Paecht
(municipales 2001, cantonales 2011, législatives 2012) ou Patrick
Martinenq (municipales 2001) » (MAD).
-
Var-Matin, 30 décembre 2019
: « L'UDI dit non à Serge Daninos
» - « Alors qu'il vient d'obtenir l'investiture d' « Agir », Serge
Daninos assure que celle de l'UDI n'est qu'une question de jours. Le
sénateur centriste Jean-François Longeot lui a d'ailleurs apporté son
soutien. sauf que les représentants de la commission nationale
d'investiture de l'UDI tiennent aujourd'hui à rectifier les choses, et
ce « après échanges avec le président de l'UDI Jean-Christophe Lagarde
et la présidente de l'UDI du Var » Josy Chambon : « Le point de vue du sénateur Longeot a été
exprimé à titre personnel et n'engage pas notre commission
d'investiture (...) ».
-
Var-Matin, 2 janvier 2020
: « Projet de cinéma : un vœu si cher
» - « C'était la bonne nouvelle de la fin d'année 2019 ; elle se
savoure encore en ce début 2020 : la vafidation, par la Cour
administrative d'appel de Marseille, du permis de construire pour
l'aménagement d'un pôle de loisirs dans l'Atelier Mécanique (nos
éditions précédentes), a été saluée par la plupart des candidats en
lice aux élections municipales. Avec des réserves pour certains, qui
attendent de voir le début du chantier avant de se satisfaire
pleinement. C'est aussi l'espoir que forme l'équipe "La Seyne Citoyenne
2020", qui fait savoir qu'elle « se
réjouit de cette décision » du tribunal. « Nous
espérons qu'elle sera l'épilogue définitif d'un feuilleton à
rebondissements dont notre ville est trop souvent victime (port de
plaisance, parking des Esplageolles...), et que tous les acteurs du
dossier vont respecter leurs engagements et agir enfin dans le seul
intérêt des Seynoises et des Seynois » ».
-
Var-Matin, 4 janvier 2020
: « La Coalition en marche sur la
corniche
» - « Alors que La République en Marche a décidé de n'investir
aucun candidat pour les municipales à La Seyne, Nathalie Bicais
et les membres de la Coalition se mettent, eux, en marche. Ils invitent
leurs sympathisants à participer, ce samedi, à « une marche symbolique en famille, de
Balaguier aux Sablettes ». Objectif, explique la candidate : « Profiter
de ce paysage magnifique et évaluer la dimension du projet de
réhabilitation de la Corniche de Tamaris que nous engagerons dès notre
arrivée ». Le rendez-vous est fixé à 14 h à Balaguier, pour une
arrivée vers 15 h aux Sablettes où sera partagé le verre de l'amitié à
l'occasion de la nouvelle année ».
- Journal d'information,
janvier-février 2020 # 2 de Nathalie Bicais : « La Seyne, j'y crois », brochure
4 pages A4 couleur : « Notre premier objectif sera d'améliorer le cadre
et la qualité de vie dans tous les quartiers. La Seyne doit redevenir
une ville belle et dynamique où il fait bon vivre. Nous voulons que
chaque Seynois se sente bien dans son quartier, au Centre, au Nord, au
Sud ou dans les collines, à l'Ouest, et qu'il redevienne acteur de sa
ville. Notre ville est une mosaïque de quartiers avec des identités
fortes où chacun rencontre des problèmes différents. Partout nous
renforcerons la sécurité et la propreté. Nous développerons des
animations et des espaces verts de qualité. Notre volonté est de MIEUX
VIVRE PARTOUT... pour tous - La Coalition : La seule alternative réaliste et
constructive ! ».
-
Var-Matin, 4 janvier 2020
: « Marc Vuillemot entre bilan... et avenir
» - « Le suspense devrait prendre fin dans quelques heures. Selon
certains, le doute est même levé depuis quelques jours... Ce matin à 11
h, Marc Vuillemot adressera ses vœux à la population, au chapiteau de
la mer des Sablettes. En partie dédiée au bilan de l'année écoulée,
cette
intervention sera aussi l'occasion, pour le maire, de dresser le bilan
de son mandat. Ou plutôt de ses mandats, comme il vient d'ailleurs de
le faire sur son site internet. Il y raconte « l'histoire, sûrement incomplète, du
changement d'image et de réalité de La Seyne entre 2008 et aujourd'hui
» ».
- Blog de Marc Vuillemot, 4 janvier
2020 (1) : « La traditionnelle cérémonie des vœux à la
population (1/2) » - «
Ce samedi, sous les toiles des Chapiteaux de la Mer, j'ai présenté
comme tous les ans mes vœux à la population seynoise. On m'a demandé de
communiquer le propos que j'ai tenu. Je le fais bien volontiers... - «
Ce moment est toujours, pour moi, un plaisir simple malgré ce rien de
solennité dû à la tradition et au fait d’être entouré des membres du
Conseil municipal. Solennité vite oubliée, et c'est heureux, par la
convivialité de la situation et la sincère satisfaction de vous
rencontrer.
« Un petit mot d'abord pour évoquer le lieu où nous trouvons. Rappeler.
En janvier 2017 et en 2018, en centre-ville, nous nous sommes retrouvés
dans la salle du casino, établissement qui avait ouvert ses portes en
janvier 2016.
« Puis, l'an dernier, ce fut au nord, au cœur du quartier Berthe, au
Centre culturel Henri-Tisot, entièrement rénové.
« Nous voici revenus dans un autre espace de culture, d'animation et
d'éducation, au sud de la commune.
« Ici est né en 2015 le mouvement "Ocean Nation" pour la défense des
biens communs de l'humanité, en particulier les mers. Un symbole, je
crois, que La Seyne ait été choisie...
« Et le site, ses espaces extérieurs, accueillent divers événements,
notamment le festival "Couleurs urbaines".
« Mais l'âme de ce lieu, c'est le cirque contemporain. Marqué pendant
près de 20 ans par le festival "Janvier dans les étoiles" hélas
disparu, il accueille désormais une programmation portée par le "Pôle
jeune public", soutenu – c'est un signe des temps de fructueuse
coopération intercommunale – à la fois par la Métropole et par la Ville.
« Mais certains d'entre vous se souviennent sans doute que les premiers
chapiteaux de "Janvier dans les étoiles" ont été dressés au seuil des
années 2000, sur le site des anciens chantiers navals qui était alors
un terrain vague, désolé, en bord de rade... Que de changements,
sur un espace où se sont retissés le tissu urbain et des activités
! » (...).
- Blog de Marc Vuillemot, 4 janvier
2020 (2)
: « La traditionnelle cérémonie des vœux à la population (2/2) » -
« La suite de mon propos de ce samedi, à l'occasion de la
traditionnelle cérémonie des vœux à la population... - « Parmi eux, en
2019, nous avons pleuré de beaux acteurs économiques entreprenants,
d'infatigables militants caritatifs et associatifs, des émancipateurs
de la jeunesse aux protecteurs de la nature, en passant par des engagés
du sport, de la culture, de l'aide à ceux qui sont dans la maladie, le
handicap ou la détresse. Aux proches de ces disparus, à leurs compagnes
et compagnons, à leurs familles, je renouvelle notre sympathie et notre
affection.
« Ces hommes et ces femmes généreux peuplent au fil du temps le
Panthéon de nos figures locales... Ils demeurent dans nos cœurs autant
d'amis, pas "idiots", comme disait le pasteur américain. Ils sont
autant de symboles de dévouement et d'amour des autres.
« C'est bien sûr cela, la commune.
« Ce sont aussi les acteurs de notre démocratie de proximité, que je
tiens également à saluer. Parce qu'ils entretiennent la vie des
conseils de quartier et des conseils citoyens, et, sur un registre
associatif, celle des comités d'intérêt local.
« Oui, la commune, c'est bien entendu l'immense force associative. Son
dynamisme est un trait marquant de La Seyne. J'en vois ici de nombreux
représentants.
« Continuez, proliférez, mobilisez les jeunes pour assurer la relève.
Vous êtes essentiels à la vie locale dans les secteurs les plus divers,
environnementaux, solidaires, culturels, patrimoniaux, mémoriels,
sportifs, de loisirs.
« J'ai évoqué les agents municipaux. Ils sont aussi des vecteurs de
cohésion locale. Je veux citer les relais citoyens, un service tel que
"Allô La Seyne", ou ceux qui s'occupent de la mise en place des
démarches en ligne, en l'assortissant d'un travail pédagogique et de
médiation pour aider ceux qui se perdent sur le web, autrement dit pour
lutter contre la fracture numérique qui frappe certains publics. Citons
aussi les agents de proximité de notre office d'HLM Terres du Sud
Habitat, de notre centre communal d'action sociale, et de notre Caisse
des écoles.
« Tout cela participe au tissu de la démocratie locale, comme ceux de
ces fonctionnaires territoriaux qui sont désormais agents de la
Métropole, tout en travaillant toujours sur le territoire seynois. Leur
apport est précieux car ils contribuent au maintien du lien qui
pourrait se distendre avec l'éloignement entre le citoyen et
l'intercommunalité ».
- Page Facebook de La Coalition La Seyne 2020,
5 janvier 2020 : « Les vœux de
Marc Vuillemot
» - « Le moins que l’on puisse dire est que la foule des grands jours
ne s’est pas déplacée pour assister aux Vœux du Maire sous le chapiteau
Circoscène. Même les rangs de la majorité municipale étaient
clairsemés. Faut-il y voir un signe ? En cette année d’élection les
Seynois présents pouvaient attendre l’annonce de sa candidature ou de
son retrait. Il n’en fut rien. Sans doute est-il encore en recherche de
quelques soutiens ou alliances. Si dans toutes les communes
environnantes les Maires font à cette occasion état de leurs grands
projets ou réalisations, il en est tout autrement à La Seyne. Ce sont
des « Vœux idéologiques » auxquels nous avons eu droit. Marc Vuillemot
nous a parlé des « jeunes générations révoltées par l’injustice et
l’indifférence coupable aux périls planétaires », de « démocratie de
proximité ». Il s’interroge aussi en ces termes : « Sans doute faut-il
réformer et moderniser nos services publics »… au terme de douze années
de mandat il ne semble pas avoir trouvé la réponse. Alors qu’il vient
de délivrer des permis de construire sur les sites boisés de Bois Sacré
et Mauvéou où le béton va remplacer les arbres, il annonce sans rougir
: « La ville a avancé vers son avenir de ville verte et durable ».
Est-il encore à un mensonge près ? Probablement conscient qu’il ne
pouvait conclure ses vœux sans effet d’annonce il a conclu en déclamant
sur un ton glorieux « quatre bonnes nouvelles ». La première : Le
tribunal a validé le permis de construire de l’atelier mécanique, mais
il n’annonce pas le début des travaux. La deuxième : L’État va «
prochainement » signer un PRU pour le centre ancien. La troisième : Le
ministère des armées remet le site de Saint-Elme à la Métropole et au
conservatoire du littoral. La quatrième : La SNCF annonce un RER
toulonnais pour 2023. Comme l’écrit très justement le journaliste de
Var-Matin, aucune de ces
annonces ne relève d’une décision municipale.
En conclusion, les Vœux de Marc Vuillemot n’ont été qu’un aveu
d’immobilité et d’incapacité à mener à terme un quelconque projet ».
-
Var-Matin, 5 janvier 2020
: « Le plaidoyer de Marc Vuillemot
pour les « acteurs du local »
» - « Sans dévoiler ses intentions pour mars prochain, le maire a
insisté, hier lors de ses vœux, sur son attachement à la démocratie de
proximité et au rôle de la commune dans le "vivre ensemble" - Après
avoir présenté ses vœux à la population en centre-ville (casino Joa)
en 2017 et en 2018, puis au centre culturel Tisot (Berthe) en 2019, le
maire avait donné rendez-vous hier aux Seynois dans les quartiers sud,
au Chapiteau de la mer - « Réformer pour rendre plus efficace » - «
Avec TPM, un futur en partage » - « Quatre bonnes nouvelles » » (MG).
-
Var-Matin, 5 janvier 2020
: « Municipales 2020 : le petit
mémento du votant varois
» - « Les dates - Les inscriptions - Les conditions - Les maires - Les
conseillers communautaires - Qui sont les « + » et les « - » ? - Ces
maires qui quitteront l'écharpe ».
-
Var-Matin, 8 janvier 2020
: « Les candidats se bousculent à
l'heure des vœux
» - « Si le maire Marc Vuillemot (GRS), que la rumeur annonce briguer
un troisième mandat, n'a pas profité de ses vœux à la population pour
se déclarer, les autres candidats profitent de ce début janvier pour
marquer le coup. Ainsi, Luc Patentreger (dvg) donne rendez-vous autour
d'une galette ce samedi à 9h30 au 12, rue Cyrus Hugues. Le même jour,
Sandra Torrès (LR) souhaitera une bonne année à ses partisans à 11h à
sa permanence, 12 av. Lazare Hoche. Pile au même moment, Serge Daninos
(dvd) inaugurera son local du 7, place Perrin. À midi, toujours samedi,
c'est Patrice Bessone (s.e.) qui se pliera à l'exercice des vœux dans
sa permanence du 32, cours Louis Blanc. Nathalie Bicais (LR), elle,
attend le vendredi 17 janvier, à 18h15, pour convier ses troupes autour
d'une galette à la Bourse du travail. Moins démonstratifs, Samir Ben
Mihoub (s.e.) a envoyé ses vœux via un court message vidéo sur sa page
Facebook, tandis que Dorian Munoz (RN), lui, s'est contenté d'un
simple« bonne année » sur le réseau social.
-
Var-Matin, 9 janvier 2020
: « La leçon des élus de gauche
» - « Si elle a enflammé les réseaux sociaux, "l'affaire" des étais à
l'école St-Exupéry a aussi fait réagir bien des candidats aux
municipales. Sandra Torrès et Nathalie Bicais se sont même rendues sur
place mardi. Et d'aucuns critiquent l'inertie de la municipalité, tout
en s'inquiétant pour « la sécurité
des enfants ».
Ces prises de position font aussi réagir les intéressés : les
représentants de la majorité municipale (PCF, PS, MRC, PRG et SE). Dans
un communiqué, ils demandent à « ces
prétendants à la magistrature de notre ville, de faire preuve d'un minimum de sérieux et de
responsabilité (...). Les services municipaux ont immédiatement réagi,
pris les mesures pour sécuriser les locaux, garantir la sécurité des
enfants et informer les parents ». La riposte est lourde : « On
a affaire à des arrivistes politiques (. .. ) qui utilisent et
manipulent les familles légitiment inquiètes. Ils manquent de respect
aux fonctionnaires, aux experts agréés, aux entreprises qui font leur
travail avec compétence ». « Cette
façon de faire campagne, sans aucune éthique ni sérieux, doit cesser »,
concluent les élus de gauche qui estiment, visiblement, que « l'exploitation » des soucis dans
cette école valait bien une leçon ! » (MG).
-
Var-Matin, 10 janvier 2020
: « La Coalition revendique ses appuis
» - « L'annonce du choix du projet d'aménagement du port de Saint-Elme
(notre édition de mardi) incite Nathalie Bicais à aller rencontrer, ce
matin, les utilisateurs du site pour « faire le point sur les projets portés par
TPM ». Cette annonce amène aussi son colistier, Jean-Pierre
Colin, à saluer le travail de la Métropole : « Merci
à son président H. Falco pour La Seyne : la corniche de Tamaris, dont
les travaux vont démarrer cet été, le port de St-Elme, enfin pris en
main par TPM après dix ans d'échec dramatique du maire ». Un
coup de chapeau est aussi adressé au conseil régional qui, « en juin prochain, finance 2 000 arbres
pour notre territoire » - « Serge
Daninos rappelle son étiquette » - « L'équipe de Serge Daninos
précise que son candidat ne peut être étiqueté "Divers Droite" (comme Var-Matin l'a indiqué mardi) « puisqu'il
a été investi officiellement par un parti politique appartenant à la
majorité présidentielle : ''Agir la Droite constructive''. Ce parti est
légalement enregistré au ministère de l'Intérieur, et participe au
Gouvernement, en particulier avec Franck Riester, ministre de la
Culture » (MG).
-
Var-Matin, 11 janvier 2020
: « « LREM La Seyne » persiste et
signe derrière Serge Daninos
» - « S'il n'a officiellement pas eu l'investiture de La République en
Marche, Serge Daninos (Agir, la droite constructive) a tout de même
rallié derrière sa candidature Françoise David, référente du comité
local LREM, et Philippe Maginot, député suppléant lui aussi
LREM. Mais alors que Reynald Cadoret, référent départemental du
mouvement présidentiel, et la députée Emilie Guéret ont menacé de
sanctions ceux
qui brandiraient leur appartenance à La République en Marche dans cette
campagne où la neutralité est désormais le mot d'ordre, les soutiens de
Serge Daninos ont choisi de passer outre ces sommations » (MAD).
-
Var-Matin, 12 janvier 2020
: « Serge Daninos prend ses quartiers
en centre-ville » - « C'est devant une belle affluence et pas
mal de visages connus
que Serge Daninos a inauguré hier en fin de matinée son QG de campagne.
L'ancien adjoint d'Arthur Paecht s 'installe ainsi au 7, place
Daniel-Perrin, au cœur du centre-ville. Dans son discours, il a
rappelé plusieurs points clés du programme « ambitieux, précis,
réalisable et finançable » qu'il s'apprête à développer : la création
d'un pôle « femmes - mères - enfants » pour permettre d'accoucher à
nouveau à La Seyne, la baisse des impôts fonciers ou encore le fait de
« stopper les aberrations urbanistiques du maire que sont Coste Chaude
ou Bois Sacré » (MAD).
-
Var-Matin, 13 janvier 2020
: « Au vœux de Geneviève Lévy, Hubert
Falco hausse le ton
» - « S'il s'était montré mesuré lors de ses vœux à TPM et aux
municipaux, le maire Hubert Falco est passé à l'offensive envers ses
opposants, samedi. Tout en pratiquant l'art de l'esquive - « Arrêtez de parler de Falco, parlez plutôt
de "Toulon !" » » (OB).
- Invitation aux vœux de Sandra Torrès
: « Samedi 11 janvier 2020 à la permanence du centre-ville, 12 avenue
Lazare Hoche ».
-
Var-Matin, 15 janvier 2020
: « Gilles Vincent brigue un
cinquième mandat
» - « Après plusieurs semaines sans grand mystère, mais dont l'attente
est toujours sujette à interprétation, le suspense est levé sur les
intentions de Gilles Vincent. Le maire LR de Saint-Mandrier sera bien
candidat à sa propre succession. Samedi, il convie la population à
venir assister sur la grande place à sa déclaration officielle de
candidature aux municipales 2020. Maire depuis 1995, Gilles Vincent est
âgé de 69 ans. Ingénieur à la retraite, il est le 7e vice-président de
la Métropole Toulon Provence Méditerranée » (LYF).
-
Var-Matin, 15 janvier 2020
: « Les rats des villes s'invitent
dans la campagne
» - « À deux mois de la fin de son mandat, et alors qu'il va de nouveau
s'engager dans la bataille des municipales, le maire a dû répondre,
hier en séance publique, aux questions sur... les rongeurs - Promptes à
monter au créneau sur chacun des textes abordés, Nathalie Bicais et
Sandra Torrès ont multiplié les critiques sur la gestion des rats comme
sur celles des animations de Noël. Marc Vuillemot et ses adjoints
Raphaële Leguen et Anthony Civettini ont apporté les réponses » (MG).
-
Var-Matin, 15 janvier 2020
: « Vuillemot annonce sa candidature
» - « « Marc Vuillemot et Cécile
Jourda, candidats pour La Seyne
». Tel est le titre du communiqué adressé hier aux rédactions pour
annoncer une conférence de presse qui se tiendra, ce matin, à 11 h. Le
maire sortant et son actuelle directrice de cabinet (élue sur sa liste
en 2014) vont présenter le tandem qu'ils formeront, à la tête d'une
liste de gauche. « Les organisations
politiques qui composent la
majorité municipale
ont décidé de se présenter unies aux prochaines élections municipales
», indique le communiqué ».
-
Var-Matin, 16 janvier 2020
: « Marc Vuillemot candidat à un
troisième mandat
» - « Le maire sortant a présenté hier le binôme qu'il formera avec
Cécile Jourda, pensé pour lui permettre de se consacrer davantage à la
vice-présidence de TPM - Vous
affichez un binôme avec Cécile Jourda, votre directrice de cabinet. Que cela
signifie-t-il ?
Aujourd'hui, le nombre de compétences transférées de la Ville à TPM est
considérable. Une des conditions à ma candidature était donc que je
puisse exercer à plein mon mandat de vice-président de la Métropole. La
future 1ère adjointe, Cécile Jourda, aura à assumer une vision plus
globale de l'activité communale, même si c'est en lien constant avec
moi. C'est original... «
Notre binôme est une innovation. Je n'ai pas connaissance que cela ait
été expérimenté ailleurs. Je ne suis pas en train d'expliquer que je ne
m'occuperai plus de La Seyne. Je dis que pour pouvoir m'occuper de la
Métropole dans l'intérêt de La Seyne et de TPM, j'ai besoin de m'y
consacrer davantage. Et donc il faut qu'il y ait un premier adjoint
avec un statut nouveau. Notamment sur la fonction animation du projet,
ce que fait le maire aujourd'hui, avec une délégation de compétences
plus large. C'est une absolue nécessité dans l'intérêt de la Ville et
de la Métropole » (MAD).
-
Var-Matin, 16 janvier 2020
: « Luc Patentreger et le mystérieux
sondage
» - « Lors de la présentation de ses vœux, le candidat soutenu par
Europe Écologie Les Verts Luc Patentreger a prononcé une petite phrase
qui fait causer sur les réseaux sociaux. « Les
dernières nouvelles des sondages placent le RN très haut, a-t-il ainsi
annoncé. Le même sondage place notre Liste citoyenne pour une ville
verte et ouverte en tête de toutes les autres listes présentes
». Et même, d'après les chiffres que l'on a bien voulu nous montrer,
juste devant l'autre liste de gauche, celle du maire sortant Marc
Vuillemot ! Mais quel est donc ce mystérieux sondage et qui en est à
l'initiative? Impossible d'en savoir plus » (MAD).
-
Var-Matin, 16 janvier 2020
: « Petite histoire de la vie
municipale [à Six-Fours] depuis 1945
» - « Entre 1945 et aujourd'hui, cinq personnes ont dirigé la ville. A
l'approche des municipales de mars prochain, la rédaction vous propose
de revenir sur ces hommes forts - Eugène Montagne, de 1935 à 1941 et de
1947 à 1965 - Robert Parent, de 1945 à 1947 - Antoine Baptiste,
de 1965 à 1982 - Philippe Estève, de 1982 à 1995 - Jean-Sébastien
Vialatte depuis 1995 » (LB).
-
Invitation
aux vœux de Nathalie Bicais : « Vendredi 17 janvier 2020 à 18 h 30
à la bourse du travail ».
-
Var-Matin, 17 janvier 2020
: « Les vœux de Nathalie Bicais
» - « Nathalie Bicais et la Coalition La Seyne 2020 invitent les
Seynois à une cérémonie des vœux prévue ce vendredi 17 janvier, à
18h30, à la Bourse du travail. « Ce
sera l'occasion de parler de l'avenir de La Seyne, de présenter des
axes du programme et de déguster ensemble la traditionnelle galette des
rois », indique la candidate ».
-
Var-Matin, 17 janvier 2020
: « Et de neuf ! Philippe Le Sausse
confirme sa candidature
» - « Alors qu'on pensait que la candidature du maire sortant Marc
Vuillemot allait boucler la boucle, un nouveau venu fait son apparition
sur la ligne de départ des élections municipales. Il s'agit de
Philippe Le Sausse, à la tête de la société de formation maritime AAA
French Yachting. L'homme de 51 ans, également connu pour ses fonctions
de conseil auprès de chantiers navals ou au Rotary de La Seyne Cap
Sicié, n'est pas un novice en politique » - « Les Verts derrière Vuillemot ? Denise
Reverdito conteste
» - « C'est un logo qui n'est pas passé inaperçu. En affichant les
couleurs d'Europe Écologie Les Verts sur des illustrations informant de
sa candidature, Marc Vuillemot a déclenché l'ire de certains cadres
écologistes locaux. A commencer par Denise Reverdito, animatrice de la
section seynoise d'EELV, rangée derrière la candidature de Luc
Patentreger » - « Dorian Munoz (RN)
moque la candidature du maire sortant
» - « C'est le premier à avoir réagi à l'annonce de la candidature de
Marc Vuillemot. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que Dorian
Munoz, tête de liste du Rassemblement national, n'y est pas allé de
main morte. Fustigeant un Marc Vuillemot qui « ne rassemble plus personne autour de lui,
y compris dans sa propre famille politique déjà agonisante »,
ainsi qu'« une idéologie sectaire
loin des préoccupations des Seynoises et des Seynois », il
dénonce « l'incompétence »
de l'édile. Et de moquer le binôme composé avec Cécile Jourda : « Ce duo pourrait faire penser à Laurel et
Hardy mais sans le talent. Avec un tel bilan, ils ne seront en effet
pas trop de deux pour le défendre... » » (MAD).
- Info83, 17 janvier 2020
: « Interview de Nathalie Bicais ».
|
-
Var-Matin, 18 janvier 2020
: « Jordan Bardella (RN) attendu au
casino le 31 janvier
» - « C'est la première « tête d'affiche » annoncée sur nos rivages.
Jordan Bardella, député européen du Rassemblement national, sera le 31
janvier prochain (à 18h30) au casino Joa pour une réunion publique de
soutien à la candidature de Dorian Munoz. Outre leur jeune âge (24 ans
pour le parlementaire, 28 ans pour le candidat seynois), les deux
hommes ont en commun d'avoir fait leurs armes au Front national de la
jeunesse (devenu Génération nation) » - « Sandra Torrès (LR) et le « tour de
passe-passe » de Marc Vuillemot »
- « Sandra Torrès n'est pas tendre avec Marc Vuillemot quand il s'agit
de commenter la déclaration de candidature de ce dernier. C'est un «
tour de passe-passe », balaye l'élue, elle-même candidate. Si le maire
sortant prétend opérer le plus large rassemblement en alignant les
soutiens de ses amis sympathisants de différentes chapelles, où sont
les communiqués d'investiture ou de soutien du PS, du PC, de LFI et
autres ? Où est le soutien des Verts dont la responsable seynoise
(Denise Reverdito, ndlr) figure sur une liste concurrente ? Tout cela
n'est que poudre aux yeux, Marc Vuillemot se présente bien
exclusivement en son propre nom » (MAD).
- Brochure de 8
pages A4 couleur, 20 janvier 2020 : « Journal de campagne de Dorian Munoz,
Rassemblement national»
- « Nous travaillerons chaque jour pour le bien-être des Seynois -
Notre début de campagne, une équipe motivée - rouvons une ville apaisée
- Améliorons notre quotidien - Des finances saines, une ville
rayonnante - « Je considère incarner le renouveau nécessaire à notre
ville » - Dorian Munoz , le candidat de Marine Le Pen ».
-
Var-Matin, 21 janvier 2020
: « La coalition s'attaque à Cécile
Jourda
» - « Dernier en date à montrer les dents, Guillaume Capobianco, membre
de la coalition de droite menée par, Nathalie Bicais. Celui-ci dénonce
la situation de Cécile Jourda, directrice de cabinet de Marc Vuillemot
et « binôme » choisie par l'élu de gauche pour l'épauler à la tête de
la municipalité s'il venait à remporter l'élection (...). Et si le
maire précise que cette démission sera formalisée « dans les prochaines
heures », il ajoute que Cécile Jourda est « actuellement en congés et
n'est plus présente à la mairie » - « Marc
Vuillemot dénonce une agression lors de la campagne » - « Serge Daninos s'affiche avec Patrick Sébastien
(...) « Nous sommes amis de trente ans » nous éclaire le candidat Agir,
qui a connu le Briviste lors de sa période show-biz » (MAD).
-
Var-Matin, 21 janvier 2020
: « Samir Ben Mihoub vient de signer
la « charte Anticor
» », l'association de lutte contre la corruption en politique y «
invite les candidats à intégrer dans leur programme tout ou partie de
ses trente propositions pour des communes plus éthiques » (MAD).
-
Var-Matin, 21 janvier 2020
: « Luc Patentreger signe la charte
proposée par Marc Vuillemot
» - « Les deux candidats de gauche ont enfin trouvé un terrain
d'entente ! S'il ne s'agit pas de faire liste commune, Luc Patentreger
annonce vouloir toutefois signer la « charte des bonnes manières »
lancée par Marc Vuillemot. Un texte, déjà proposé par le maire sortant
en 2014, qui propose à ceux qui briguent la municipalité plusieurs
engagements de bonne conduite à tenir pendant toute la durée de la
campagne » - « Serge Daninos
s'affiche avec le ministre de la Culture. Un soutien moins
show-biz mais un soutien de poids ! » (MAD).-
Var-Matin, 23 janvier 2020
: « Samir Ben Mihoub observe les «
négociations nébuleuses »
» - « A soixante jours des élections, les « négociations occultes »
entre têtes de liste vont bon train, estime Samir Ben Mihoub, candidat
sans étiquette. « Alors qu'ils se prétendent portés par les citoyens,
certains sacrifient leurs valeurs pour une place à table » - « Nathalie Bicais dévoile « la vérité sur les
finances »
». Si la parution de classements sur la gestion des villes de France
amène Marc Vuillemot à défendre son bilan (...), elle donne du grain à
moudre aux opposants. Nathalie Bicais aura d'ailleurs senti le coup
venir puisqu'elle organisera, jeudi prochain, une réunion publique
intitulée : « La vérité sur les finances de la ville » (MAD).
-
Var-Matin, 25 janvier 2020
: « Marc
Vuillemot conteste le classement du Point » - « Campagne ou
pas campagne, c'est un classement qui ne pouvait guère ravir le maire
Marc Vuillemot. Jeudi, le magazine Le
Point
a en effet publié son palmarès des villes de France les mieux gérées,
s'appuyant sur une demi-douzaine de critères financiers recensés par
l'Ifrap. Et le résultat n'est pas flatteur : dans la tranche des
communes de 65 000 à 80 000 habitants , La Seyne apparaît ainsi tout en
bas de la liste, 20e ville sur 20, derrière Saint-Maur-des-Fossés ! »
[Avec
une taxe d'habitation à 25,90%, un impôt sur le bâti foncier à 34,11%
et le foncier non bâti à 76,70%, cette commune varoise pilotée par le
socialiste Marc Vuillemot depuis 2008 n'épargne pas ses habitants. Ce
qui ne l'empêche pas de figurer au palmarès des villes les plus
endettées. Une bonne raison pour diminuer ses frais de personnel? Pas
du tout, ceux-ci ont même augmenté de 24% entre 2014 et 2018] -
« La réaction de l'élu de gauche pour défendre sa gestion n'a pas
tardé. « Les nombres, on leur fait raconter l'histoire qu'on veut,
attaque-t-il sur son blog, dans un post intitulé « Les faits en
attestent : les finances de La Seyne se portent de mieux en mieux ». Et
d'argumenter : « Ainsi, les impôts de La Seyne apparaissent en hausse,
alors que les taux des taxes locales, seule variable résultant d'une
décision municipale, sont stables par rapport à 2014, et ont même un
peu baissé pour l'habitation (- 0,5%) : si les impôts ont crû, c'est
parce que l'État a augmenté les bases » - « Le
maire cite la chambre régionale des comptes ».
-
Var-Matin, 25 janvier 2020
: « Municipales : tous gagnants ?
» - « Cachez cette étiquette que je ne saurais voir... Sur l'air de «
mon parti, c'est ma ville », de nombreux maires sortants trouvent
toutes les bonnes raisons de ne pas mettre en avant leur appartenance
politique au cours de la campagne. Pendant ce temps, leurs partis, qui
les ont bel et bien investis, se perdent en conjectures pour dessiner
le scénario des municipales au soir du 22 mars (...) » (DC).
- Invitation à la
présentation de la liste de Sandra Torrès « Agir pour les Seynois », jeudi
30 janvier 2020 à 18 h 30 au casino Joa ».
- Dépliant de 4 pages A4 couleur, 27 janvier
2020 : « Avec Serge
Daninos, La Seyne gagne
» - « AGIR, la droite constructive - La Seyne sur Mer, concrètement -
Serge Daninos, la constance dans l'engagement d'un Seynois - Notre
parti c'est la ville de La Seyne sur Mer - Nous sommes avec Serge
Daninos : Françoise David, Philippe Moginot, Fathi Bousbhi, Patrick
Martinenq ».
-
Var-Matin, 27 janvier 2020
: « Pourquoi
Philippe Le Sausse est lui aussi candidat
» - « On ne l'attendait pas. Pourtant, le centriste Philippe Le Sausse
entend bien porter une neuvième liste lors des prochaines élections.
Rencontre - Votre candidature a surpris. Certains n'hésitent d'ailleurs
pas à dire que vous n'irez pas au bout. Que leur répondez-vous ? Je
suis candidat pour aller au deuxième tour, pour gagner. Il n'y a pas de
stratégies d'alliance. Après, on ne sait jamais ce qui peut arriver.
Mi-février, on verra où on en est réellement. Il faudra se demander si
on a la puissance nécessaire, le nombre de personnes pour aller
au-delà. Si on sent qu'il y a des équipes beaucoup plus puissantes en
face, il faudra peut-être s'allier » - « Loin d'être un inconnu
- A la tête de la société de formation maritime AAA French Yachting,
Philippe Le Sausse a fait passer le permis bateau à plus de 2000
Seynois depuis 2012. Également connu pour être membre du Rotary club de
La Seyne Cap Sicié ou pour ses fonctions de conseil auprès de chantiers
navals, ce chef d'entreprise, ancienne oreille d'or dans les forces
sous-marines, n'est pas non plus un novice en politique. C'est lui, par
exemple, qui avait fondé le cercle de réflexion politique Force 7
autour d'Arthur Paecht et d'Yvette Bouvet, entre 2011 à 2013. Il était
aussi sur la liste de Philippe Vitel en 2014 et remplaçant de Gilles
Vincent lors des cantonales de 2015. Philippe Le Sausse a 51 ans, est
marié et a deux enfants » (MAD).
-
Var-Matin, 29 janvier 2020
: Journal de campagne : « Cette fois
c'est sûr : la « FI » n'y va pas.
La France insoumise a finalement choisi... de ne pas choisir. S'il
était dans l'air depuis quelques semaines que le parti de Jean-Luc
Mélenchon ne présenterait aucun candidat dans la deuxième ville du Var,
la LFI a aussi décidé de n'apporter son soutien à aucune des deux
listes de gauche » - « Quel est le
coût carbone de la campagne de P. Bessone
? Plutôt discret jusque-là, Patrice Bessone, candidat sans étiquette,
entend désormais passer la seconde. Et notamment sur le thème de
l'écologie. « L'environnement est
quelque chose de trop sérieux pour être l'objet d'incantations
», martèle la tête de la liste « Nous, La Seyne » ».
-
Var-Matin, 29 janvier 2020:
Agenda de campagne : « Luc
Patentreger en réunion publique » - « Sandra Torrès dévoile sa liste » - «
La
Coalition planche sur les finances » -
« Jordan Bardella sur scène avec
Dorian Munoz ».
-
Var-Matin, 31 janvier 2020
: « Sandra Torrès dévoile ses
colistiers »
- « La tête de liste "Agir pour les Seynois" a présenté, hier soir,
ceux qui l'accompagnent dans cette campagne, dont son 1er adjoint en
cas de victoire, l'avocat Bertrand Pin - « Nous
sommes l'exact contraire d'une addition éphémère d'égos, montée pour la
circonstance et qui éclatera à la première largade, en laissant les
Seynois sur le carreau », assure Sandra Torrès en présentant
son « équipage » - Beaucoup d'actifs novices en politique » (MG).
-
Var-Matin, 31 janvier 2020
: « Constituer une liste, tout un
programme
» - « Se déclarer candidat à la mairie c'est facile. Réunir des
colistiers pour mener campagne s'avère nettement plus compliqué... avec
différentes variantes - Ceux qui doivent refuser des candidatures -
Ceux qui ont plus de mal à boucler leur liste ».
-
Var-Matin, 1er février 2020
: « Jordan Bardella (RN) veut «
essayer » Dorian Munoz » - « Si
certains en doutaient, le Rassemblement national compte son lot de
supporters sur nos rivages. C'est ainsi devant environ 300 personnes,
au casino Joa, que Jordan Bardella, député européen et nouvelle tête de
gondole de la famille lepéniste, est venu, hier soir, peser de tout son
poids dans la campagne de Dorian Munoz - Celui-ci a fait un passage à
la tribune relativement bref, où il a rappelé que la lutte contre
l'insécurité serait « la priorité de
(son) début de mandat
». Avant de laisser la place au « clou
du spectacle
». Un Jordan Bardella qui s'est surtout lancé dans une diatribe contre
la politique d'Emmanuel Macron, n'oubliant pas les thématiques
favorites du Rassemblement national : « l'explosion de l'immigration » et «
la montée de l'islamisme ».
Et la deuxième ville du Var dans tout ça ? « Nous ne voulons pas que La Seyne-sur-Mer
devienne La Seyne-Saint-Denis » (MAD).
-
Var-Matin, 1er février 2020
: Journal de campagne : « Cécile
Jourda suspendue des Verts, Marc Vuillemot obligé de retirer le logo
écolo !
» - « Tancé par Denise Reverdito pour avoir affiché le logo d'Europe
Ecologie Les Verts, le candidat Marc Vuillemot a visiblement capitulé
en retirant la feuille de tournesol de ses documents de campagne. Un
différend qui, selon nos informations, ne s'est pas vraiment réglé à
l'amiable. Pour rappel, l'élue de l'actuelle majorité, animatrice du
groupe local d'EELV, avait moyennement apprécié - doux euphémisme - que
le maire affiche les couleurs du parti écolo alors même que les
instances s'étaient prononcées, comme elle, pour un soutien à la
candidature de Luc Patentreger » - « Quand
G. Capobianco s'en prenait à J.P. Colin et N. Bicais en 2018 dans une
vidéo
» - Ah, les archives du web... Avant d'être un fervent supporter de
Nathalie Bicais et de Jean-Pierre Colin, Guillaume Capobianco n'a pas
toujours été tendre avec le duo de centre-droit. Et notamment lorsqu'en
novembre 2018, ceux-ci se lancent dans la course aux municipales.
Guillaume Capobianco commente alors régulièrement la vie politique
seynoise via des vidéos postées sur le web. Sur l'une d'entre elles,
passée relativement inaperçue à l'époque mais que les internautes du
groupe Facebook les Sans voix de Berthe ont exhumée, il tient ainsi des
propos peu amènes à l'encontre des actuelles têtes de liste de la
Coalition (...). Mais loin de se défiler,il y a quatre jours,
l'ex-président de l'USS a posté une nouvelle vidéo dans laquelle il se
justifie. « À
l'époque, j'avais été dur car je pensais que la démarche politique qui
était la leur était trop restrictive. (...) Il fallait s'ouvrir à
d'autres leaders de la droite et du centre (...) Mais c'était en 2018.
Aujourd'hui, on est en 2020. Et depuis il y a eu la Coalition, avec des
acteurs politiques qui ont choisi de mettre leurs ego de côtés (...)
». Faute avouée... ? » (MAD).
-
Var-Matin, 2 février 2020
: « Philippe Le Sausse inaugure sa
permanence sur l'avenue Fraysse
» - « La campagne est lancée - Philippe Le Sausse a tenu un petit
discours devant sa permanence avant d'inviter tout le monde à partager
un apéritif » (RG).
-
Var-Matin, 4 février 2020
: « Marc Vuillemot présente sa
nouvelle équipe » - « Le maire sortant a
dévoilé, hier soir à la Bourse du travail, une liste d'union de la
gauche remaniée, avec Cécile Jourda en figure de proue - « Nous n'avons pas achevé cette tâche
» - « Il fallait renouveler notre
équipe : sur 49 candidats, nous comptons 26 nouveaux, plus de la moitié
», s'est félicité hier soir le maire sortant, dans une Bourse du
travail pleine à craquer - Les s49 noms de la liste « La Seyne 2020,
l'énergie positive » » (MAD).
- Var-Matin, 7 février 2020
: « Samir Ben Mihoub dévoile les grands axes de son projet » - « Le candidat qui
conduit la liste « Citoyens en Seyne » a présenté, hier soir, à
la Bourse du travail, les points forts du programme qu'il porte pour la
ville - De l'amélioration du service public à la dynamisation
économique - La première décision - La gestion communale - La place de
la ville dans la métropole - L'économie - La sécurité - L'écologie - La
culture - L'habitat social - La jeunesse - Les séniors » (MG).
- Var-Matin, 8 février 2020
: «
Serge Daninos porte plainte » -
« Pour la deuxième fois au moins, la
campagne électorale conduit... au commissariat de police. Après
l'agression d'un citoyen par des militants qui distribuaient de la
propagande le mois dernier (Var-matin du 21 janvier), c'est l'épouse du
candidat Serge Daninos qui a été prise à partie hier matin, et
devanttémoins, sur le marché des Sablettes » (MG).
- Brochure de 8 pages A4 couleur, 8
février 2020 : « Avec Serge daninos, La Seyne gagne ».
- Flyer B5 couleur
recto-verso, 8 février 2020
: « Invitation à la présentation de la liste de
Nathalie Bicais ».
- Var-Matin, 8 février 2020
: « Venez assister au grand débat des
municipales
» - « Ils seront tous là ! Réunis par Var-matin,
les neuf prétendants
au fauteuil de maire viendront défendre leur candidature lundi soir, à
la Bourse du travail - A un peu plus de trente jours du premier tour
des élections municipales, nous vous proposons d'assister à un débat
réunissant les neuf candidats déclarés à ce jour, y compris Marc
Vuillemot, le maire sortant. Ce rendez-vous politique toujours très
attendu, animé par le rédacteur en chef de Var-matin Philippe Courtois,
sera organisé lundi soir à 18 h, à la Bourse du travail. Pendant près
d'une heure et demie, ceux qui briguent le fauteuil de maire seront
ainsi invités à s'exprimer sur différentes thématiques de la vie
seynoise et de l'actualité locale : des finances de la ville aux grands
projets (réfection de la corniche, redynamisation du centre-ville... ),
des dossiers brûlants (Coste Chaude, Ateliers mécaniques... ) en
passant par les sujets incontournables du moment (sécurité, transports,
logement, environnement... ). Au cœur de cette bataille des municipales
particulièrement farouche et
indécise, ce débat fera aussi la part belle aux questions venues de la
salle. Alors, à vos pense-bêtes ! » (MAD).
- Var-Matin, 10 février 2020
: « Agenda de campagne : présentation de
la liste de Nathalie Bicais le 10 février à 18 h au casino Joa ».
- Var-Matin, 11 février 2020
: « Six-Fours : Frédéric Boccaletti présente sa
liste d'ouverture
» - « L'élu d'opposition historiquement lepéniste a présentés esc
olistiersP. our cette nouvelle campë;lgneto, us ne sont pas encartésa u
Rassemblemen_t national - Après avoir présenté les personnes présentes
sur sa liste, Frédéric Boccaletti a dévoilé quelques axes de sa
campagnebasée sur la sécurité, la lutte contre le bétonnage et la
défense des t traditions provençales » (JP)
- Var-Matin, 11 février 2020
: « Hier à La Seyne : le grand débat des
municipales
» - Neuf candidats, neuf versions de l'avenir » - « Plus de 400
personnes ont assisté, hier à la Bourse du travail, au grand débat des
municipales organisé par Var-matin.
Les neuf candidats en lice ont pu débattre sereinement d'insécurité,
d'économie, de revitalisation du centre-ville, d'environnement... » - «
La foule des grands soirs était réunie hier, à la Bourse du travail,
pour assister au débat Var-matin
entre les têtes de liste qui briguent le fauteuil de maire. Voici ce
qu'il s'y est dit : La sécurité et les incivilités - Le centre ancien
et l'économie - Les finances et la gestion communale - Le logement et
le cadre de vie - Quelle stratégie pour le second tour ? » (PC, MAD,
SG, MG).
- Document A4 couleur
recto-verso de Marc Vuillemot et Cécile Jourda, 14 février 2020
: « La Seyne 2020 - L'énergie positive » - « Ma
candidature est l'association de l'expérience et de la la jeunesse.
Elle fédère des courants et des personnes très divers. L'équipe que
nous conduirons, avec Cécile Jourda, citoyenne engagée dans le milieu
associatif et l'écologie, sera renouvelée mais forte d'une gestion
honnête et dynamique ».
- Var-Matin, 14 février 2020 : « Nathalie Bicais présente la liste de sa «
coalition
» » - « A la tête du projet « La Seyne, j'y crois », l'élue Les
Républicains a dévoilé, hier soir au casino Joa, l'équipe de droite
élargie qui l'accompagne - Nathalie Bicais a présenté son équipe réunie
sous la bannière de la « coalition », avec ce slogan : « La Seyne, j'y
crois ». Jean-Pierre Colin (à sa droite) est le deuxième d'une liste,
où l'on retrouve quatre anciens candidats aux municipales - Bien sûr,
une partie des colistiers de Nathalie Bicais présentés hier soir par la
candidate adhérente aux Républicains étaient déjà connus. De
Jean-Pierre Colin (Les Centristes), à Damien Guttierez (ex-FN), en
passant par Jo Minniti (LR), Guillaume Capobianco (s.e.), Corinne
Chenet (UDI), Dominique Baviera (UDI) ou Pascal Tassisto (DLF),
l'identité de certains de ses soutiens ne faisaient guère de doute
depuis la mi-octobre. Depuis, en fait, la mise en place
d'une « coalition » des sensibilités de droite, symbolisée par ces sept
représentants politiques ayant choisi d'épauler l'élue départementale
et municipale dans sa campagne électorale - Les 49 noms de la liste «
La Seyne, j'y crois » (MAD).
- Var-Matin, 14 février 2020 :
Vu, lu, entendu : « La règle
républicaine proposée par Jean-Pierre Colin balayée par Sandra Torrès
et Serge Daninos ».
- Var-Matin, 15 février 2020
: Journal de campagne : « Gilbert
Péréa fait son cinéma » - « Quiviger
sur la liste de Vuillemot : ça ne plaît pas à tout le monde »
(MAD).
- Var-Matin, 17 février 2020
: Agenda de campagne : « Retrouvez
demain les résultats de notre sondage ».
- Var-Matin, 18 février 2020
: « Un sondage et des surprises
» - « À moins d'un mois du premier tour des élections municipales,
notre sondage Ifop - Var-Matin
- Fiducial Sud Radio révèle des
surprises pour le premier tour de scrutin dans la deuxième ville du Var
et laisse augurer un deuxième round très ouvert... » - « Qui sera
le prochain maire de La Seyne ? Bien malin celui qui pourrait répondre
à cette question ! Le sondage Ifop-Fiducial-Sud Radio réalisé pour Var-Matin
n'est certes qu'un instantané du rapport de forces entre les candidats,
mais il vient assurément bousculer quelques idées reçues. Non, le
Rassemblement national ne serait pas forcément en tête au soir du
premier tour ; non, le maire sortant n'est pas disqualifié après douze
ans de mandat et un bilan décrié ; non, les deux candidates issues de
l'UMP ne font pas jeu égal. Et, oui, les écologistes ont bien une carte
à jouer - L'enquête Ifop-Fiducial-Sud Radio réalisée pour Var-Matin
révèle bien des surprises pour le premier tour, et un scénario très
incertain en vue du deuxième. Rien n'est joué ! - Ils seraient
qualifiés au soir du premier tour - La typologie des électeurs selon
les candidats - Très peu de visibilité pour le deuxième tour ».
|
- Var-Matin, 18 février 2020:
Agenda de campagne : « Débat sur le commerce : un mélange des genres ?
Marc Vuillemot et son équipe ne répondront pas à l'invitation de
Bernard Benet à participer à un débat sur le commerce » - « Le
Rassemblement national face à l'hypothétique rassemblement républicain
».
- Var-Matin, 18 février 2020
: « La « solidarité métropolitaine »
brandie comme un étendard
» - « Les candidats LR de Toulon- Provence- Méditerranée se serrent les
coudes autour de la « majorité métropolitaine », gage, selon eux, d'une
politique réussie ».
- 18 février 2020
: Contrat d'éthique signé par La
Coalition.
- Var-Matin, 19 février 2020 :
Agenda de campagne : «
L'appel de l'équipe Vuillemot à la liste de Luc Patentreger - Luc
Patentreger : « Convaincre les déçus du maire sortant » - La Coalition
appelle au « vote utile » - Dorian Munoz croit en ses chances de
victoire ».
- Var-Matin, 19
février 2020 : « Les derniers
échanges d'amabilités de la mandature
» - L'ultime conseil municipal avant les élections a été marqué, hier,
par des passes d'armes entre élus, certains remettant même en cause «
l'éthique» de la majorité sur l'attribution d'un marché... - Si
Nathalie Bicais et ses colistiers Jean-Pierre Colin et Damien Guttierez
ont multiplié les critiques à l'encontre du maire, ils ont aussi, à
plusieurs reprises, essuyé celles de Sandra Torrès - « Ce n'est pas ce
marché qui la fait vivre » - « C'est recevable mais lamentable » - « Ne
donnez pas de leçons » - Des colleurs d'affiches dans le collimateur -
« Ce n'est pas aux contribuables de payer la campagne » - Emotion et
remerciements » (MG).
- Var-Matin, 20 février 2020 :
Agenda de campagne : «
Serge Daninos : « Mmes Bicais et Torrès siphonnent les voix du
Rassemblement national » - Bernard Bénet renonce au débat avec les
candidats »
- Var-Matin, 20 février 2020 : « Invitation au débat des municipales de
Six-Fours - Var-matin
a invité les cinq candidats aux élections du 15 mars [Frédéric
Boccaletti, Didier Garcia, Dominique Nemeth, Erik Tamburi,
Jean-Sébastian Vialatte] à exposer et défendre leurs projets pour
Six-Fours lors d'un débat public, demain à partir de 18 h à l'Espace
Malraux».
- 20 février 2020
: « Changer La Seyne pour
une ville verte et ouverte » - « Invitation à la
présentation de la liste du Dr Luc Patentreger ».
- 20
février 2020 : « Massacre à la
bétonneuse
» - « La seule alternative à la gestion dramatique du Maire et de son
équipe, c'est : Nathalie Bicais et la Coalition des Droites et du
Centre - « Le béton n'est pas une fatalité, je m'engage pour un
développement harmonieux de notre ville ! » », document A5 couleur,
recto-verso.
- Var-Matin, 21 février 2020 : « Sandra Torrès : « Pas de promesses, des
engagements »
- « Avec des priorités affirmées autour de l'écologie, la sécurité et
la culture, la chef de file de la liste "Agir pour les Seynois" propose
« un contrat » aux administrés - Sandra Torrès avec Bertrand Pin, son
futur 1er adjoint en cas de victoire - Tous deux présenteront aux
Seynois le programme de leur liste lundiprochain, à 18 h au restaurant
l'Hacienda (Janas) - « Des solutions novatrices et volontaires pour
changer la ville »
- Var-Matin, 22 février 2020 : « Luc Patentreger : « L'écologie c'est la vie
! »
- Le chef de file de la liste "Pour une ville verte et ouverte",
soutenue par Europe Ecologie Les Verts, a présenté jeudi soir ceux qui
l'accompagnent dans cette aventure - Avec enthousiasme et énergie, Luc
Patentreger a présenté l'ensemble de ses colistiers, lançant notamment
à l'assistance : « L'écologie, c'est
l'avenir de nos enfants, c'est le respect de nos anciens, c'est la vie !
» - Les 49 noms de la liste "La Seyne verte et ouverte" - Dorian Munoz
reçoit le soutien de Gilbert Péréa - Et l'on reparle de l'affichage »
(MG).
- Var-Matin, 22 février 2020
(dossier de 3 pages) : « Six-Fours : Cinq visions différentes
» - « Les candidats aux élections municipales ont débattu pendant une
heure et demie, hier soir à l'Espace Malraux, en présence de cinq cents
Six-Fournais. L'essentiel de leurs propositions ».
- 24 février 2020
: « Avec Serge Daninos, La Seyne Gagne »
- « Invitation au
meeting de Serge Daninos,
mardi 3 mars 2020, plaquette de 4 pages
21x21 couleur.
- 24 février 2020
: « Agir pour les Seynois
» - « Invitation à la
présentation du programme de Sandra Torrès et de son équipe ».
- 25 février 2020 :
« « Nous La Seyne »
- « Invitation à la
présentation de la liste de
Patrice Bessone ».
- Var-Matin, 26 février 2020 : « Patrice
Bessone présente sa liste citoyenne » - « Hier soir à la
Bourse
du travail, Patrice Bessone, candidat sans étiquette, a dévoilé
l'identité de ceux qui composent l'équipe de « Nous La Seyne » - Un programme «
éruptif » - Les 49 noms de la liste « Nous, La Seyne : notre seul parti
c'est La Seyne » » (MAD).
- Var-Matin, 27 février 2020 : « Dorian
Munoz présente 80 idées pour La Seyne
». « Le candidat du Rassemblement national a dévoilé hier les grands
axes de son projet, avec une priorité revendiquée pour la sécurité
- Pour l'identité des personnes qui composeront sa liste, rendez-vous
le 7 mars prochain - « Pas de projets faramineux » mais des « réponses
efficaces » - Un office municipal du commerce » (MAD).
- 27 février 2020 : «
Dorian Munoz - Le programme du
rassemblement pour La Seyne-sur-Mer - Rassemblement national - Droite
populaire », brochure de 12 pages A5 couleur.
- Var-Matin, 28 février 2020 : « Philippe Le Sausse se retire de la course !
» - « Dernier candidat à s'être déclaré, Philippe Le Sausse est aussi
le premier à se retirer. Alors que la date limite de dépôt des listes
était fixée à 18h hier soir, le chef d'entreprise nous a fait savoir
qu'il avait pris la décision de jeter l'éponge peu de temps auparavant
» - « La liste de Samir Ben Mihoub
présentée par... Rose Ameziane
» - « Rose Ameziane, présidente d'Etic (Émancipation des territoires et
inclusion collective), mais plus connue pour être chroniqueuse à la
radio et à la télé, sera ce soir « l'invitée
exclusive » de Samir Ben Mihoub ».
- Var-Matin, 28 février 2020 : « Les 1000 voix du Nord veulent se faire
entendre
» - « On connaissait les « Sans voix de Berthe », groupe
particulièrement actif sur Facebook pendant ces municipales ; on a
découvert les « 1000 voix du Nord », portées par une dizaine de
colistiers de Nathalie Bicais : Gérard Beccaria, Malika Baghdag, Cheikh
Mansour, Ali Gharbi, Katia Morand, Didier Raulot ou Cécile Bass, pour
ne citer qu'eux. Ces derniers, également originaires de Berthe ou des
secteurs environnants, ont rédigé une sorte de manifeste dans lequel
ils revendiquent leur fierté d'être avant tout Seynois, à l'inverse de
ceux qui « s'enferment
volontairement dans une identité de quartier » (MAD).
- 28 février 2020 : « La Seyne 2020 - Le Journal de l'énergie
positive
» - « Marc Vuillemot et Cécile Jourda - On vous dit tout ! - La Seyne
dans la métropole - Le service public, c'est l'ADN de La Seyne », plaquette de 16
pages A4 couleur.
- Var-Matin, 29 février 2020
: « Samir Ben Mihoub présente ses
Citoyens en Seyne » - « Le jeune
candidat sans étiquette a dévoilé, hier soir au casino Joa, l'identité
des personnes qui composent sa liste citoyenne - Samir Ben Mihoub
entouré d'une partie de son équipe, à la moyenne d'âge de 38 ans - Une
actrice d'Hollywood sur scène ! » (MAD).
- 29 février 2020 :
« Docteur Luc Patentreger : Notre
défi, changer La Seyne pour une ville verte et ouverte », plaquette de 16
pages A4 couleur.
- 29 février 2020
: « Sandra Torrès : Mes 40
engagements - Agir pour les Seynois », brochure de 20 pages B4
couleur.
- 29 février 2020
: « Nathalie Bicais et la coalition
des Droites et du Centre - La Seyne, j'y crois - Le contrat avec les
Seynois 2020-2026 », brochure de 32 pages B4 couleur.
- Var-Matin, 2 mars 2020 : « Gilles Vincent et son équipe, passionnés
pour leur village
» - « Le maire sortant qui brigue un cinquième mandat a présenté une «
nouvelle équipe, basée sur l'union entre élus expérimentés et nouveaux
candidats » (CP).
- Var-Matin, 3 mars 2020 : « Nathalie Bicais affiche son « ambitieux »
projet»
- « Hier soir à La Frégate, devant ses partisans et colistiers,
Nathalie Bicais s'est posée en « seule alternative crédible » au maire
sortant Marc Vuillemot - La candidate de la coalition a présenté hier
les axes de son
programme « ambitieux, cohérent et réaliste ». En voici les grandes
lignes - La première décision : « On
entre en mairie, on engage la révision du Plan local d'urbanisme
». Pour Nathalie Bicais, qui a fait sien le slogan « Stop au béton », il n'y a pas
d'hésitation à avoir - Une « passerelle » sur la rade : « Construire une passerelle pour créer une
scène aquatique
». Sous ce vocable imagé se dessine l'un des projets les plus
conséquents de Nathalie Bicais et son équipe : un pont multimodal, une
« corniche panoramique » qui
enjamberait l'entrée du port » (MAD).
- Var-Matin, 4 mars 2020 : « Serge Daninos présente ses atouts pour que La Seyne gagne»
- « Le candidat investi par Agir La Droite constructive (majorité
présidentielle) a réuni hier soir plusieurs centaines de personnes au
casino Joa pour présenter sa liste et son programme - Une équipe qui
marie « l'expérience, la jeunesse et les compétences», assure le
chef de file Serge Daninos - Retrouver la fierté d'être Seynois -
Les 49 noms de la liste "La Seyne gagne" » - « Luc Patentreger et Marc
Vuillemot ne serrent plus de mains » (MG).
- 4 mars 2020 : « Mon programme pour La Seyne - Serge Daninos
», brochure de 32 pages A4 couleur.
- Var-Matin, 5 mars 2020 : « Patrice Bessone dévoile son projet de « bon
sens »
» - « Le candidat sans étiquette de « Nous, La Seyne » a présenté les
axes de son programme pour « reconstruire la ville ». En voici les
grandes ligne - Patrice Bessone a rappelé la semaine passée à la Bourse
du travail avoir décidé d'être candidat sans le soutien d'aucun parti
pour « rompre avec la logique partisane qui déchire (la) ville » - Une lettre ouverte
aux Seynois : « Réveillez-vous » - « Notre centre-ville se meurt,
réagissons ! » - « La
première décision que nous prendrons sera de mettre en place une
assemblée citoyenne qui se réunira une fois par mois pour rendre des
comptes aux Seynois » » (MAD).
- 5 mars 2020 : « Patrice Bessone
- Nous La Seyne : « Notre seul parti, c'est La Seyne », dépliant A5, 4
pages couleur ».
- 6 mars
2020
: « Invitation à la réunion publique, vendredi 6 mars à 18 h 30 à la
Bourse du Travail - La coalition des Droites et du Centre autour de
Nathalie Bicais ».
- Var-Matin, 6 mars 2020 : « La Confédération environnement Méditerranée
fait son élection
» - « Aperçus dans nombre de meetings, Michèle et Robert Durand, de la
Confédération environnement Méditerranée, semblent eux-mêmes vouloir
procéder à l'élection de leur candidat favori. Du moins en ce qui
concerne le sujet du PLU et l'urbanisation du site de Bois Sacré, sur
lequel l'association environnementale nourrit le projet conjugué d'un
parc arboré, d'un amphithéâtre de verdure et d'un skate parc (...) »
(MAD).
- Var-Matin, 7 mars 2020 : « Ville par ville, qui sont les candidats
déclarés
» - « Dans huit jours, dimanche 15 mars, aura lieu le premier tour des
élections municipales. Voici les quarante-sept candidats qui conduisent
une liste dans l'ouest-Var - La Seyne : Un scrutin particulièrement
indécis - Six-Fours - Ollioules - Saint-Mandrier - Sanary - Bandol -
Saint-Cyr - Le Beausset » (MAD, JP, LB, AF).
- Var-Matin, 7 mars 2020 : Carnet
de campagne : « Ça
y est, Renaud Muselier a choisi sa candidate - Un nouveau soutien
national pour Luc Patentreger - Le coup de gueule de Samir Ben Mihoub
».
- Var-Matin, 7 mars 2020 : « Marc Vuillemot présente son programme
» - « Le maire sortant, qui brigue un troisième mandat consécutif, a
dévoilé hier soir les axes de son projet à « énergie positive ». En
voici les grandes lignes - Pour Marc Vuillemot, maire depuis 2008,
cette campagne n'est pas seulement un programme à présenter, mais aussi
un bilan à défendre. Chose à laquelle le candidat de « l'union de la
gauche » [Exception faite de la France insoumise et d'Europe Ecologie
Les Verts qui ne le soutiennent pas] s'est attelé dès le début d'année
en publiant un document de 250 pages pour démontrer l'efficacité de sa
rénovation de la « maison-Seyne » - Marc Vuillemot a présenté, hier
soir à La Frégate, les grandes lignes de son projet pour un troisième
mandat - Le partenariat avec la Métropole - « Il y a une culture
seynoise de la démocratie participative - « La première décision que je vais prendre,
une fois élu, c'est la mise en place d'un Conseil du développement
humain et durable » annonce Marc Vuillemot » (MAD)
- Var-Matin, 8 mars 2020
: « Six-Fours : J.-S. Vialatte répond
aux attaques et présente sa liste
» - « Le maire sortant a présenté vendredi soir les personnes
avec
lesquelles il espère réaliser son 5e mandat, mais a aussi profité de
cette réunion publique pour défendre « la douceur de vivre » ici » (JP).
- Var-Matin, 8 mars 2020 : Carnet
de campagne : « Soutien de Renaud
Muselier : Sandra Torrès aussi !
» - « Le communiqué adressé vendredi soir à notre rédaction par
Jean-Pierre Colin laissait penser au soutien exclusif du président LR
de la Région à la liste conduite par Nathalie Bicais (Var-matin
de samedi). Mais les choses ne sont pas si simples... Joint hier, le
cabinet de Renaud Muselier nuance cette affirmation : « Il n'y a pas eu
de mensonge. Mais de la même manière, le soutien du président de la
Région est adressé à la totalité des élus de sa majorité. Sa seule
priorité est le rassemblement des membres de sa famille politique. A La
Seyne, l'accord entre les deux listes n'a pas été possible avant le
premier tour, mais il souhaite toujours qu'il ait lieu » - « Samir Ben Mihoub pas seul pour son coup de
gueule » - « Choqué de ne pas avoir été invité à participer au
débat organisé par France 3 mercredi prochain (Var matin
d'hier), Samir Ben Mihoub reçoit de nouveaux soutiens. Après Patrice
Bessone et Serge Daninos, vendredi soir, Marc Vuillemot, Dorian Munoz,
Sandra Torrès et la liste de Nathalie Bicais ont approuvé, hier, le
propos du jeune candidat seynois » (MG).
- Var-Matin, 9 mars 2020 : « Serge Daninos : « Une ambition écologique et emblématique
» - « Améliorer le quotidien, mais surtout marier réussite économique
et transition écologique, tels sont les objectifs fixés par le chef de
file de la liste "La Seyne gagne" - Une "œuvre d'art" sur la mer - «
Lancer les fondations d'une nouvelle Seyne» - « La première délégation que je donnerai à
ma première adjointe, c'est l'écologie et l'urbanisme »,
assure Serge Daninos, qui entend confier cette responsabilité à
Nathalie Hubler, docteur en urbanisme - La maison de naissance « (...) je me battrais pour que les femmes
puissent de nouveau accoucher à La Seyne » » (MG).
- Var-Matin, 10 mars 2020 : « Dorian Munoz : « Renouveler le saladier
politique local » - « Arguant que « depuis vingt ans, on prend les mêmes et on
recommence », le candidat du Rassemblement national affirme
conduire une liste « de renouveau » - « Dans cette élection, il faut une liste
sans macronistes ni Macron compatibles. C'est la nôtre ! »,
s'amuse Dorian Munoz - Les 49 noms de la liste "Le Rassemblement pour
La Seyne" » (MG).
- 11 mars 2020 : « La Seyne 2020 - L'énergie positive - Le Journal »,
flyer A5 de la liste de Marc Vuillemot et Cécile Jourda.
- Var-Matin, 11 mars 2020
: « Luc Patentreger présente son
programme « citoyen »
- « Le candidat a dévoilé, hier soir à la Bourse du travail, les axes
de son projet écologiste, décliné en six défis. En voici les grandes
lignes - « Devenir la première ville de la transition écologique du
bassin - « Ensemble pour une ville durable » - « Ensemble pour une
ville citoyenne » - « Ensemble pour une
ville dynamique » - « Ensemble pour une
ville innovante » - « Ensemble pour une
ville intergénérationnelle » - « Ensemble pour une
ville culturelle » (MAD).
- Var-Matin, 11 mars 2020
: « La drôle de campagne
» - « Ainsi s'approche l'épilogue de cette étrange campagne électorale
qui semble n'avoir jamais débuté. D'abord reléguée à l'arrière-plan par
la bataille des retraites, puis éclipsée par le coronavirus, la
campagne des municipales 2020 restera dans les mémoires (si jamais
quelqu'un s'en souvient) comme la campagne invisible. La drôle de
campagne, dira-t-on, par analogie à la « drôle de guerre » - (...) «
Comme en témoigne la prolifération des listes diverses, « apolitiques
», « citoyennes » et autres. La propension des candidats des partis
traditionnels à camoufler leur étiquette nationale - la carte locale
étant supposée plus payante en ces temps de désamour des partis. Et
surtout l'infinie diversité des configurations politiques, en fonction
de stratégies et de jeux d'alliance dont le byzantinisme aura souvent
échappé aux électeurs, qui ont d'autres soucis en tête. Tout cela nous
promet un drôle d'entre deux tours... » (Claude Weill).
- Var-Matin, 11 mars 2020
: Agenda de campagne : «
France 3 annule le débat avec les candidats -
Marc Vuillemot et le « cinémavirus » - Sandra Torrès annule sa réunion
publique ».
- Var-Matin, 12 mars 2020
: Agenda de campagne : « Luc
Patentreger valide l'action écologique...
de son fils ! » - « Pourquoi cet adjoint au maire [Jean-Luc Bigeard]
ne veut pas des élections » (MAD).
- 12
mars 2020 : Invitations aux
derniers meetings de la campagne du premier tour : jeudi 12 mars 2020.
NB. Les meetings
de Sandra Torrès au
casino Joa et de Marc Vuillemot à la Bourse du Travail ont été annulés
en raison des risques croissants de l'épidémie de Covid-19.
- Var-Matin, 13 mars 2020
: « Logements sociaux : le « grand
oubli » des candidats
» - « Estimant que la question n'a pas été suffisamment évoquée durant
la campagne, des associations veulent prendre contact avec les futurs
élus - Réunis à la bourse du travail, les responsables d'lndecosa et du
collectif Droit au logement veulent rappeler aux futurs élus leurs
obligations en termes de logements sociaux - Pour respecter la loi, les
associations calculent qu'il faut 22 000 logements sociaux
supplémentaires sur TPM » (PHC).
- Var-Matin, 13 mars 2020
: « Comment les candidats ont-ils
vécu cette campagne ?
» - « Ils
tentent de convaincre les Seynois de voter pour eux depuis de longs
mois. A 48 h du scrutin, les prétendants à la mairie nous font partager
leur ressenti - À moins que l'entre-deux-tours n'entraîne une bataille
de chiffonniers, la campagne pour conquérir la mairie se sera déroulée
dans un climat plus calme qu'à l'accoutumée » (MAD et MG).
- Var-Matin, 15 mars 2020 : A la
Une : « Coronavirus - Des municipales
dans une France à l'arrêt
» - « Le premier tour des municipales aura bien lieu aujourd'hui, à
partir de 8 h, dans les 914 bureaux des 153 communes du département Un
scrutin pour les 794 314 électeurs varois placé sous le signe des
précautions sanitaires face à l'épidémie qui évolue très rapidement. Le
Premier ministre a annoncé hier la fermeture des commerces « non
essentiels » jusqu'à nouvel ordre ».
- Var-Matin, 16 mars 2020 : A la
Une : « Un premier tour si particulier
» - « La Seyne : Vuillemot résiste - Six-Fours : Vialatte se rassure -
Bandol : le duel - Sanary : du premier coup (68 %) - Le Beausset : la
surprise El Friedler ».
- Var-Matin, 16 mars 2020 : Page
7 : « La Seyne : cinq qualifiés pour
le second tour
» « Quand la bourse sonne creux... - Marc Vuillemot a proclamé les
résultats vers 22 h, devant quelques dizaines de personnes qui ont
patienté durant près de quatre heures pour obtenir les scores
définitifs - Un système pas très au point - Les réactions de Marc
Vuillemot, Nathalie Bicais, Dorian Munoz, Luc Patentreger, Sandra
Torrès » (MAD).
- Var-Matin, 16 mars 2020 : « Une élection hors norme à tous points de vue
» - « L'abstention record et la montée en puissance du coronavirus font
planer un gros doute sur la tenue du second tour. LR, les écologistes
et le RN sont les principaux bénéficiaires du premier tour » (TP).
- Var-Matin, 16 mars 2020 : Pages
2-3 : « Les leçons du premier tour
dans le Var
» - « La prime au sortant n'aura jamais été aussi «élevée» que lors de
ce scrutin. De nombreux maires, dans de grandes villes du Var, ont en
effet été réélus dès ce premier tour - 1. Le Rassemblement national en
recul - 2. Prime aux sortants et candidats uniques - 3. Falco recordman
à Toulon - 4. La République en marche au point mort - 5. Pas de percée
verte - Vers de nouvelles élections après la fin de la crise du
coronavirus ? - La « coronabstention » vide les bureaux de vote - En
dépit des mesures sanitaires mises en place, les électeurs varois ont
été une minorité à se déplacer dans les bureaux de vote hier - Pas plus
risqué que d'aller faire ses courses » - « L'édito de Michèle Cotta :
Une union nécessaire » (SM).
- Var-Matin, 16 mars 2020 : « Toulon : Hubert Falco écrase la concurrence
(61,39 %) » - « Avec son score, Hubert Falco qualifie avec lui 49 de
ses colistiers. Autant qu'au cours du mandat précédent - Les réactions
de Amaury Navaranne (RN), Guy Rebec (DG), Cécile Muschotti (LREM) »
(VR).
- Var-Matin, 16 mars 2020 : « Les résultats du
premier tour : A Six-Fours
: « J.-S. Vialatte loin devant (44,15 %) » - A Sanary
: « F. Bernhard : dans un fauteuil (68,71 %) - A
Saint-Mandrier : « Grand Chelem de Vincent (64,04 %) » - A
Ollioules : « Bénéventi comme d'habitude (84,66 %) ».
- Var-Matin, 17 mars 2020 : « Les chiffres
du premier tour : A
Toulon - A
Sanary - A
Ollioules - A Saint-Mandrier
».
- Var-Matin, 17 mars 2020 : « Quand la politique s'éclipse derrière la
pandémie
» - « Voici les réactions des principaux candidats à propos du report
du second tour - Hier soir, lors du dépouillement à la Bourse du
travail, tout le monde espérait encore que l'élection puisse se
dérouler normalement » (MAD et MG).
- Var-Matin, 18 mars 2020 : « A gauche, le second tour reste dans le
viseur
» - « Le candidat [Luc Patentreger], jusqu 'ici soutenu par Europe
Ecologie Les Verts, a répété qu'il avait donné sa « parole aux
électeurs » de ne pas fusionner, ni de se retirer au profit de Marc
Vuillemot si d'aventure celui-ci dominait le premier tour. II a aussi
dénoncé des « jeux politiciens d'un
autre temps » - EELV pour une union » (MAD).
- Var-Matin, 19 mars 2020 : « Installation des nouveaux maires
: 47 nouveaux maires installés d'ici dimanche » - Malgré le report du
second tour de scrutin, les maires élus dès dimanche dernier le
resteront. Des conseils municipaux d'installation vont être organisés
dans des conditions inédites ».
- Var-Matin, 19 mars 2020 : « 2d tour des municipales : la date fait débat
» - « Le projet de loi sera examiné par le Parlement dès aujourd'hui ».
- Var-Matin, 20 mars 2020 : « L'installation des nouveaux maires
finalement reportée
» - « Dans de nombreuses petites communes, mais aussi des grandes comme
Toulon, les conseils municipaux d'installation devaient se tenir entre
demain et dimanche - Le Premier
ministre a annoncé hier soir, le report des conseils municipaux censés
désigner maires et adjoints. Les équipes sortantes assurent l'intérim »
(CG).
- Var-Matin, 20 mars 2020 : «
Carnet de campagne : « Les Verts ont
décidé... mais pas encore tranché
» - « La pandémie mondiale a beau occuper les esprits, il reste
visiblement encore de la place pour la préparation du second tour des
municipales. A gauche, depuis dimanche soir, on a ainsi entendu un
appel des « animateurs départementaux
» d'Europe Écologie Les Verts à faire l'« union des listes »
de Luc Patentreger (14 %) et de Marc Vuillemot (23 %). Puis, après une
tentative d'approche du maire sortant, la réaffirmation par Luc
Patentreger de son credo : ni fusion, ni tractation » - « Serge Daninos appelle au rassemblement
» - « Crédité d'un petit 9 % dimanche soir, Serge Daninos n'est pas en
position de se maintenir pour le second tour. Mais le candidat d'Agir,
la droite constructive, a encore son mot à dire. Il peut envisager une
éventuelle fusion de liste ou négocier son soutien, voire appeler ses
électeurs à voter pour un autre postulant à la mairie. Une chose est
sûre, Serge Daninos a semble-t-il déjà ravalé sa déception et regarde
devant lui, au 21 juin. Pour preuve, ce texto envoyé à ses partisans
appelant à « se rassembler, le plus
largement possible, afin que le changement devienne une réalité et soit
irréversible
». Parmi les destinataires de ce message : Nathalie Bicais et Luc
Patenterger ! Un appel du pied... voire des deux pieds ? » (MAD).
- Var-Matin, 21 mars 2020 : « Romain Vincent démissionnaire à La Seyne
» - « Elu dimanche soir au 1er tour sur La liste de son père à
Saint-Mandrier, Romain Vincent se trouvait dans une situation
originale. De fait, il était élu dans deux communes puisque
le conseil municipal de La Seyne - où il siégeait dans l'opposition
depuis 2014 - a vu son mandat prolongé jusqu'en juin prochain du fait
du report du 2e tour. Pour autant, l'intéressé n'a pas tardé à
régulariser sa situation ».
- Var-Matin, 23 mars 2020 : « Le PCF tire à noulets rouges sur la liste
verte
» - « Une semaine après le premier tour des Municipales, les
responsables de la section PCF La Seyne-Saint-Mandrier prennent la
plume pour livrer leur point de vue. Et c'est au vitriol qu'ils
dénoncent la décision de Luc Patentreger de se maintenir dans la
perspective du 2e tour : Assurant avoir œuvré dès l'été 2019 « pour
rassembler les forces de gauche, écologistes, syndicalistes et
citoyennes », les militants communistes rappellent qu'ils se sont
engagés sur la liste "Énergie positive" conduite par Marc Vuillemot «
afin de porter un programme ambitieux construit sur la base des fortes
aspirations sociales actuelles ». Cette liste, qui compte neuf membres
du PCF, est donc sortie en tête au 1er tour mais, écrivent les
communistes, « sa qualification est conditionnée par le retrait de la
liste de Luc Patentreger, qui persévère à se maintenir au risque de
provoquer la défaite de la gauche à La Seyne ». Et d'enfoncer le clou :
« Cet entêtement irresponsable manque de cohérence et de clairvoyance :
si l'on prétend être de gauche, l'union des projets porteurs de ces
valeurs au 2e tour est inévitable. L'attitude clivante de Luc
Patentreger programme l'échec de la gauche seynoise : c'est
inqualifiable de vouloir reproduire le désastreux scénario de 2001 ».
Et de conclure : « Les communistes seynois vont amplifier leur
interpellation auprès des forces écologistes locales et nationales pour
parvenir à décrocher la victoire au 2e tour ».
- Var-Matin, 27 mars 2020
: « Le premier tour des élections
municipales peut-il être annulé par
les tribunaux ? » - « Référé Liberté - Le tribunal administratif
du Var
est lui aussi à l'arrêt - Une « atteinte à la sincérité du scrutin ? »
» (SOB).
- Var-Matin, 30 mars 2020
: « Municipales : des candidats se
retournent contre le gouvernement
» - « D'après le JDD, la plupart des plaignants ont été testés positifs
au Covid-19, comme nombre d'assesseurs convoqués. Deux maires présents
sont par ailleurs décédés du coronavirus ».
- Var-Matin, 3 mai 2020
: « Il faut boucler les élections
municipales au plus vite
» - « Autre préoccupation importante des élus locaux, l'issue des
élections municipales dont le premier tour a eu lieu à la veille du
confinement. « Le Premier ministre n'a pas abordé le sujet lors de son
allocution à l'Assemblée. Pourtant, l'enjeu est immense, estime
Jean-Pierre Véran. De très nombreuses communes se retrouvent dans des
situations farfelues : des élus qui souhaitaient s'arrêter ou qui ont
été vaincus, mais qui restent en fonction malgré eux, de nouveaux élus
qui ne peuvent pas exercer leurs mandats, des communes qui attendent le
deuxième tour... Et c'est encore pire dans les intercommunalités !
Selon lui, « ces imbroglios ne sont pas sans conséquence sur
l'administration des communes, qui plus est durant cette période
exceptionnelle. Il faut y mettre un terme au plus vite - L'enjeu de la relance économique ».
- Var-Matin, 4 mai 2020
: « Municipales reportées : 1 ou 2
tours ? » - « Un scrutin à 2 tours à l'automne plutôt qu'un
second en juin, possible ».
- Var-Matin, 4 mai 2020
: « Second tour des municipales : le
grand flou » - « Une information parue hier dans Le Journal du dimanche relance les
débats sur le scrutin municipal qui pourrait se tenir... les 27
septembre et 4 octobre. « Une
hypothèse
», selon le gouvernement - Avis du conseil scientifique - Des communes
dans l'expectative - Et les élus au premier tour ? - Les Maires de
France espèrent toujours des élections fin juin - Jean-Pierre Véran,
qui représente l'AMF dans le Var : « Ceux qui pensent que l'on peut
attendre octobre ne comprennent pas la vie municipale - « Fin juin,
début juillet, c'est encore jouable » (SM).
- Var-Matin, 18 mai 2020
: « Maires à demi » - « « Avec les précautions nécessaires, pourquoi
interdire aux électeurs ce qu'on demande aux écoliers » (Michèle Cotta).
- Var-Matin, 20 mai 2020:
« Municipales : le « oui mais » du Conseil scientifique » - « Le
collectif de spécialistes présidé par le pr Delfraissy ne s'est pas
mouillé. Il a rendu un rapport sans avis tranché, tout en prudence » -
« La tension monte », avertit Marc Vuillemot - La reprise du trafic de
drogue pointée du doigt » (Thierry Prudhon).
- Var-Matin, 22 mai 2020
: « L'élection impossible
» - « Ce sera donc le 28 juin. C'est ce que devraient annoncer
aujourd'hui, Édouard Philippe et son ministre de l'Intérieur Christophe
Castaner. Lâché en rase campagne par le Conseil scientifique qui a
renvoyé l'exécutif à ses responsabilités en refusant de se prononcer
sur une date de second tour, le gouvernement a fini par trancher.
Aucune solution n'étant réellement satisfaisante, il a opté pour celle
qu'il considère comme la moins pire pour organiser le deuxième round
des municipales dans les 4 922 communes qui n'ont pas élu leur maire »
(Denis Carreaux).
- Var-Matin, 23 mai 2020
: « Municipales : ce devrait bien
être le 28 juin » - « L'exécutif a
annoncé hier la date du 2nd tour. Mais il faudra quand même un feu vert
du Conseil scientifique deux semaines avant - Sous réserve de
l'évolution de la situation sanitaire - Dépôt des candidatures d'ici le
2 juin - Dans le Var, encore 41 communes et des enjeux politiques
majeurs - Un paysage politique bouleversé ? - Les réactions nationales
- Les gagna,ts du premier tour » (LAB et PHC).
- Var-Matin, 23 mai 2020
: « A La Seyne, les tradations se
multiplient en coulisses
» - « Dans la deuxième ville du Var, le second tour s'annonce presque
aussi indécis que le premier, avec encore cinq candidats qualifiés. Des
alliances peuvent-elles voir le jour ? - La campagne s'est-elle
seulement un jour mise sur pause à La Seyne ? Si les affiches ont
arrêté de fleurir pendant le confinement,la perspective d'un second
tour au couteau, à une date longtemps indéterminée, a poussé les
candidats à occuper le terrain. Qu'il soit virtuel ou « sanitaire »,
pendant deux mois. Preuve que chacun voit l'affaire encore jouable,
seul... ou bien accompagné » (MAD).
- Var-Matin, 24 mai 2020
: « Robert Bénéventi : nouvelle
équipe pour un 5e mandat
» - « Maire depuis 22 ans, Robert Bénéventi, 76 ans, a été réélu hier
pour un nouveau mandat dont il a détaillé les projets en présence de sa
nouvelle équipe élue dans la foulée » (VP).
- Var-Matin, 24 mai 2020
: « Bernhard : Merci de nous accorder
encore du temps
» - « Elu pour la sixième fois maire de Sanary - pour la première fois
dès le premier tour - Ferdinand Bernhard dispose, avec son équipe
renouvelée, de vingt-neuf sièges sur trente-trois au conseil - La «
recette » d'une réélection - La liste conduite par Ferdinand Bernhardt
avait obtenu 68,71% des suffrages exprimés le 15 mars dernier. Aux
côtés
du maire, réélu hier matin par le conseil municipal, ses fidèles
adjoints Patricia Aubert et Jean Brondi » (AF).
- Var-Matin, 26 mai 2020
: « Et Robert Bénéventi fit son
apparition dans la campagne » - « Robert Bénéventi, maire
d'Ollioules, qui a surpris son monde en sortant de sa réserve sur les
réseaux sociaux. « Un seul mot :
BRAVO !
» : c'est ainsi qu'il a commenté une publication Facebook de Sandra
Torres annonçant son alliance avec Serge Daninos (8,8 %) et leur appel
du pied à Nathalie Bicais » - « Nathalie
Bicais bientôt investie par Les Républicains ?
» - « Le bruit a couru hier dans le camp de Nathalie Bicais (21,8 %)
que cette dernière avait été investie par Les Républicains pour le
second tour. Un satisfecit
prématuré, comme l'explique Jean-Louis Masson, à la tête de la
fédération varoise LR : « Je viens
d'avoir Eric Ciotti (président de la commission nationale
d'investiture LR, Ndlr), Christian
Jacob (président de LR) et
Hubert Falco au téléphone à ce sujet, explique le député. La décision n'est pas encore prise
». Jean-Louis Masson laisse néanmoins entendre qu'il ne s'agit sans
doute que d'une question d'heures avant que l'élue départementale ne
reçoive le sésame déjà convoité au premier tour. « Le
suffrage universel a parlé et, entre elle et Sandra Torres, une sorte
de primaire de la droite a eu lieu, poursuit-il. Nathalie Bicais est la
candidate LR la mieux placée et la CNI en prend acte... » » - « À gauche, Luc Patentreger va faire voter
ses militants
» - « Alors que Luc Patentreger (13,4 %) a officiellement entrouvert la
porte à des « négociations » avec le maire sortant Marc Vuillemot (23
%) en vue du second tour, l'alliance entre les deux candidats de gauche
est loin d'être actée. Les deux hommes se sont enfin parlé mais il
subsisterait des pierres d'achoppement, tant au niveau du programme que
du choix d'éventuels colistiers » - « Dorian
Munoz (RN) claque la porte... de sa permanence
» - « Dorian Munoz plie bagage. Hier matin, le candidat du
Rassemblement national (15,6 %) a été aperçu place Perrin avec son
équipe, décrochant les enseignes RN de sa permanence. Explication de
l'intéressé : « Je suis dans
l'obligation de rendre les clés de mon local de campagne. Avec la crise
sanitaire, ça devenait très difficile de recevoir des sympathisants et
ça nous coûtait de l'argent. Je ne sais pas comment font les autres
candidats, mais je dénoncerai tous ceux qui crèveront le plafond légal
des dépenses de campagne en déboursant sans compter... » » (MAD)
- Var-Matin, 26 mai 2020
: « Gilles Vincent rempile pour un 5e
mandat
» - « Réuni hier soir dans l'ancien restaurant scolaire, le conseil
municipal a, sans suspense, réélu son maire sortant. Lequel a,
notamment, appelé l'opposition à respecter la sérénité dans les
échanges - Entre autres consignes aux nouveaux élus, Gilles Vincent a
rappelé « l'interdiction de toute discussion politicienne, afin de
conserver toute notre énergie à la défense des intérêts de
Saint-Mandrier » - « Les adjoints : Annie Esposito (1ère), Michel Marin
(2e), Catherine Defaux (3e), Christian Toulouse (4e), Véronique Vienot
(5e), Romain Blanc (6e), Colette Demierre (7e), Romain Vincent (8e) »
(MG).
- Var-Matin, 26 mai 2020
: « La Seyne : Va-t-on vraiment vers
une quinquangulaire ?
» - « Alors que cinq candidats ont dépassé les 10 % des suffrages lors
du premier tour, pas sûr que les prétendants au siège de maire soient
aussi nombreux le 28 juin - Rassemblement
à droite ?
Hier en fin d'après-midi, on a également appris que Sandra Torres
n'entendait pas se retirer de la bataille électorale. Désormais main
dans la main avec Serge Daninos, la conseillère régionale LR calcule
peut-être que l'addition de son score (11,2 %) et de celui de l'ancien
adjoint d'Arthur Paecht (8,9 %) pourrait lui permettre de conserver
tout ou partie de ses ambitions. Ce, alors qu'une aventure individuelle
ne l'aurait pas autorisée à jouer les premiers rôles. Pour elle,
toutefois, le pari politique à plus ou moins long terme est risqué. Si
le nouveau duo dit vouloir se tourner vers Nathalie Bicais pour un «
rapprochement », rappelons que celui-ci n'est pas parvenu à se faire
malgré plusieurs mois de tractations et l'intervention de Renaud
Muselier lui-même. Autant dire que l'initiative de Sandra Torres, si
elle échouait, pourrait faire grincer des dents chez les caciques des
Républicains n'appréciant guère l'idée d'une droite divisée, se tirant
une balle dans le pied. Prise de court par cette annonce, son ancienne
colistière, Nathalie Bicais, veut toutefois croire que pour l'électeur
seynois, le second tour se résumera à un duel entre Marc Vuillemot et
elle. « La primaire de la droite a eu lieu... », balaye-t-elle quand on
évoque son adversaire» - « L.
Patentreger ouvre la porte à une union
» - Avec quatre prétendants possibles sur la ligne de départ, reste à
connaître la décision de Luc Patentreger, candidat divers gauche
soutenu par Europe Écologie - Les Verts, pour savoir si quinquangulaire
il pourrait y avoir. Longtemps inflexible sur son souhait d'aller
jusqu'au bout « défendre les valeurs de l'écologie», le médecin a
semble-t-il fui aussi pris conscience qu'avec un score de 13,8 % au
premier tour, il n'avait aucune chance de l'emporter, sauf à unir ses
forces avec un autre candidat » - « Sandra
Torres s'allie avec Serge Daninos !
». Le communiqué est tombé en début de soirée. Sandra Torres (LR) et
Serge Daninos (Agir, la droite constructive) y officialisent leur
nouveau « combat commun ». Et
d'expliquer : « Notre
responsabilité est de tout faire pour rassembler nos familles de pensée
afin de proposer un choix démocratique clair aux Seynois pour le
deuxième tour des municipales ». Avant un appel du pied à
l'autre candidate de la droite : « Nous
nous tournons aujourd'hui vers Nathalie Bicais pour que notre propre
rapprochement soit l'amorce
d'un mouvement bien plus large...
» (MAD).
- Var-Matin, 27 mai 2020
: « Philippe Moginot, député
suppléant, soutient Nathalie Bicais
» - « Député suppléant d'Emilie Guéret dans la 7e circonscription du
Var, Philippe Moginot était passé outre la « neutralité » prônée par La
République en Marche lors du premier tour des municipales en intégrant
l'équipe de Serge Daninos (8,8 %). Mais depuis l'alliance de ce dernier
avec Sandra Torres (notre édition d'hier), et son appel du pied à
Nathalie Bicais, Philippe Moginot entend prendre ses distances avec le
candidat d'Agir, la droite constructive. Il explique ainsi qu'il aurait
préféré voir Serge Daninos se désister par « fair-play » plutôt que de tenter
une « peu probable » fusion
des trois listes de droite. « Depuis
quelques jours, je lis, j'entends et vois des appels à un
rassemblement, voire des arrangements complotistes, s'énerve-t-il. Mais
si l'union des listes de droite ne se fait pas, cela va encore faire le
jeu de Marc Vuillemot ». Et d'expliquer son « choix de la raison », à savoir un
soutien désormais plein et entier à la candidature de Nathalie Bicais ».
- Var-Matin, 28 mai 2020 :
« Second tour des municipales : la
campagne lancée le 15 juin
» - « Le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner l'a annoncé hier.
Le dépôt des candidatures se déroulera du 29 mai au 2 juin - Le second
tour est fixé au 28 juin - « (...) la décision d'organiser le second
tour le 28 juin pouvait être remise en question « si d'ici à quinze jours, le Conseil
scientifique » estimait que les conditions sanitaires n'étaient
plus satisfaisantes. Dans ce cas, «
le scrutin serait annulé et les élections reportées ». Pour « préparer cette éventualité », il a
expliqué que le Conseil des ministres avait examiné « deux projets de loi permettant cet
éventuel report ».
- Var-Matin, 28 mai 2020 :
« Toulon - Conseil municipal :
nouvelles têtes et vieilles habitudes
» - « Hubert Falco a été élu hier matin pour un quatrième mandat à la
tête d'une majorité renouvelée de 50 %. La séance a aussi marqué le
retour des échanges tendus avec Amaury Navarranne (RN) - Devant
l'assemblée, c'est Geneviève Levy, à ses côtés depuis son élection en
2001, qui a remis à Hubert Falco sa quatrième écharpe de maire de
Toulon - Qui sont les vingt-deux adjoints ? - Premier adjoint ou premier dauphin ?
Après Philippe Sans, Geneviève Levy et Robert Cavanna, Yannick
Chenevard est le quatrième élu à occuper le poste de premier adjoint
depuis 2001. Une désignation sans surprise pour ce très proche d'Hubert
Falco, qui a en main de nombreux dossiers stratégiques. Cette
nomination n'aura pas échappé aux Toulonnais qui s'interrogent sur
l'identité de « l'héritier »d'Hubert Falco, le jour où celui-ci
décidera de mettre un terme à sa carrière politique ».
- Var-Matin, 29 mai 2020 :
« Nathalie Bicais a le soutien des
Républicains » - « « Nous
tenions à
vous féliciter pour votre résultat obtenu au premier tour et à vous
apporter tout notre soutien pour la campagne que vous menez sur la
commune de La Seyne
» y est-il notamment écrit. En bref, après avoir longtemps tergiversé
devant l'épineuse question seynoise et ses deux candidates élues LR
briguant le fauteuil de maire, les instances des Républicains ont
finalement tranché. Ils apportent leur soutien plein et entier à
Nathalie Bicais, lui formulant des « voeux
chaleureux de succès ». Et de conclure : « La Seyne-sur-Mer a besoin de votre
énergie, de votre enthousiasme et de votre engagement
» (...) Cela signifie qu'elle est la seule à pouvoir revendiquer le
soutien de notre famille politique et à utiliser le logo LR » - « Patrice Bessone se range derrière Sandra
Torres
» - « Avec un score de 2,7 % au premier tour des élections municipales,
Patrice Bessone n'a le droit ni de se maintenir, ni de fusionner. Mais
rien n'empêche le patron d'auto-école d'appeler ses 417 électeurs à
suivre son positionnement pour le second tour. En l'occurrence, Patrice
Bessone annonce son soutien à « l'initiative de rassemblement de Sandra
Torres (11,2 %) et Serge Daninos (8,8 %) » en vue du 28 juin » - « Mais pour qui roule Philippe Camps ?
» - « « Philippe
Camps, ancien dirigeant de l'Union Sportive Seynoise, avocat au barreau
de Toulon et ancien colistier de Serge Daninos au 1er tour des
municipales, apporte son soutien indéfectible à Nathalie Bicais
». Ce message, posté hier matin sur le Facebook de la Coalition
accompagné d'une photo, ne devait guère laisser de doute sur la
nouvelle « prise de guerre » de Nathalie Bicais et son bras droit
Jean-Pierre Colin. Mais
un courriel qui nous a été adressé plus tard dans la journée est venu
apporter un autre éclairage à la situation : (...) Ce soutien n'a de
réalité et d'effectivité que pour autant Nathalie Bicais adhère à notre
Union (celle de Sandra Torres et de Serge Daninos, ndlr). (...) Ne pas
adhérer serait une faute politique grave de conséquences (...). Mon
soutien à Serge est indéfectible. Il en est de même avec Sandra. Et
demain avec Nathalie... ». Et à celui qui a posté la photo sur Facebook
? ».
- Var-Matin, 30 mai 2020 :
« Nathalie Bicais dit incarner « la
seule alternative crédible » au maire sortant
» - « Sa communication était attendue. Satisfera-t-elle ceux qui la
pressaient de s'exprimer ? Nathalie Bicais a pris la plume, hier, pour
réagir à la demande de Sandra Torres et Serge Daninos qui lui proposent
de fusionner leurs listes en vue du 2e tour des municipales. La chef de
file de la Coalition fait d'abord savoir qu'elle se « réjouit
d'apprendre par Var-matin que Sandra Torres et Serge Daninos réalisent
que seule l'union de la droite et du centre peut permettre aux Seynois
l'espoir d'un renouveau ». Pour autant, rappelle-t-elle, « la
Coalition des droites et du centre que j'ai construite depuis près de
deux ans, en rencontrant tous les prétendants à des responsabilités,
est basée sur ce constat que seul on va plus vite, ensemble on va plus
loin - au-delà des égos et des intérêts personnels ». Sans surprise,
Nathalie Bicais assure que « cet
élan de rassemblement ne s'arrête pas au 1er tour », lors duquel
sa liste a pointé en 2e position (à 184 voix du maire sortant), « nous donnant une réelle chance de
l'emporter le 28 juin »,
estime la candidate. Et ce, dans un contexte qu'elle juge « largement favorable
» puisque « l'ensemble des votes des droites démocratiques et du centre
représente plus de 40 % des suffrages exprimés » le 15 mars. Ce qui
fait dire à la candidate que « la
liste qu'(elle) conduit apparaît comme la seule alternative crédible à
ta gestion calamiteuse de Marc Vuillemot ». Pouvant se targuer du
soutien de LR, des Centristes, de l'UDI et de DLF, Nathalie Bicais
indique poursuivre sa « démarche de rassemblement » et se dit « ouverte à toutes les bonnes volontés
». Raison pour laquelle elle précise qu'elle va « consulter » ses troupes durant le
week-end « sur la stratégie en vue
du 2e tour ».
Mais à trois jours du dépôt des listes, aucune réponse allant dans le
sens d'une fusion n'est encore adressée à Sandra Torres et Serge
Daninos ».
- Var-Matin, 30 mai 2020 :
« Des colistiers et proches de Sandra
Torres quittent LR » - « Le soutien officiel apporté par Les
Républicains à Nathalie Bicais en vue du 2e tour des municipales (Var-Matin
d'hier) ne sera pas resté longtemps sans conséquence : neuf adhérents
seynois du parti annoncent qu'ils claquent la porte. Membres du comité
LR de la 7e circonscription, conseillers nationaux et colistiers de
Sandra Torres, ils dénoncent « la
faute politique
» que représente, selon eux, le soutien apporté par le parti à la tête
de liste de la Coalition, plutôt qu'à leur favorite. Pour motiver leur
position, ils rappellent que « Sandra
Torres, après avoir fusionné (sa liste) avec Serge Daninos, a tendu la
main à Nathalie Bicais afin de créer une vaste union de la Droite et du
Centre, se plaçant ainsi en réelle capacité de gagner à La Seyne
». Mais à ce jour, l'absence de réponse favorable de Nathalie Bicais
semble éclairer les démissionnaires du parti : « Nous comprenons maintenant pourquoi : il
s'agissait simplement de gagner du temps pour permettre cette manœuvre
pathétique ». Se déclarant « déçus,
dépités et en colère après des années d'engagement, de fidélité et de
loyauté envers notre parti », les membres seynois du comité LR
de la 7e circonscription affirment donc qu'il leur « est impossible d'accepter cette décision »
du parti. Et de conclure, sans épargner Nathalie Bicais : « Après
avoir fait échouer toute tentative d'union et de rassemblement pour
reconquérir La Seyne, elle sera même parvenue à faire exploser son
propre camp » (MG).
- Var-Matin, 1er juin 2020
: « Pas d'accord entre Nathalie
Bicais et Sandra Torres
» - « Les conditions posées par l'une en vue d'une alliance sont jugées
inacceptables par l'autre. Sandra Torres annonce poursuivre son chemin
avec Serge Daninos - « Nous lui
proposons de nous rejoindre en étant 3e sur notre liste ».
Mais l'argument n'a pas convaincu Sandra Torres qui, de son côté,
souhaitait obtenir 50 % des places sur la liste, le poste de 1ère
adjointe pour elle-même, et la 2e position pour Serge Daninos (à la
place deJ.-P. Colin) - Sourde à
l'appel de Renaud Muselier
(...) Se maintenant face à une candidate officiellement soutenue par
son parti, Sandra Torres risque en effet l'exclusion de LR et la mise à
l'écart de la majorité régionale » (MG).
- Var-Matin, 1er juin 2020
: « Municipales : LR croit en sa
dynamique » - « Avec les déboires des
candidats LREM, le parti Les Républicains entend bien tirer son épingle
du jeu lors de ce second tour en vue de... 2022 - Ce second tour des
municipales est un véritable test pour Les Républicains reconnaît
François Jacob ».
- Var-Matin, 2 juin 2020
: « Toujours pas de terrain d'entente
à gauche
» - « S'il est désormais quasiment acté que la droite présentera deux
candidats au second tour des élections municipales, la gauche, elle non
plus, n'est pas parvenue à
faire cause commune pour le scrutin du 28 juin prochain. Du moins «
officiellement », à l'heure où nous écrivions ces lignes. Hier, après
un week-end de la Pentecôte en partie passé à négocier, le maire
sortant Marc Vuillemot (23 %) et Luc Patentreger (13,8 %) en étaient
encore à rechercher un accord en vue de ne constituer qu'une seule
liste d'union. Mais le temps presse : c'est aujourd'hui à 18 h que la
préfecture du Var doit clôturer le dépôt des candidatures. Luc
Patentreger et Marc Vuillemot parviendront-ils in extremis à se mettre d'accord ?
Réponse aujourd'hui, date limite de dépôt des listes en vue du second
tour des élections municipales - Vers
un retrait de Luc Patentreger ?
- Ses sources bien informées évoquaient hier en soirée une autre
possibilité : que, faute d'accords sur des points jugés essentiels, Luc
Patentreger finisse tout bonnement par se retirer de la course,
laissant Marc Vuillemot en position de force pour le second tour
! » (MAD).
- Var-Matin, 3 juin 2020
: « Une quadrangulaire à suspense
» - « Ni cinq, comme le nombre de qualifiés au soir du premier tour, ni
trois , comme la pure logique partisane l'aurait voulu. Sauf mauvaise
surprise administrative, ce sont finalement quatre candidats qui vont
se présenter aux électeurs le 28 juin prochain : Marc Vuillemot (Union
de la gauche), Nathalie Bicais (Les Républicains), Dorian Munoz
(Rassemblement national) et Sandra Torres (Divers droite).
Exit donc Luc Patentreger. Le médecin, jusqu'alors soutenu par Europe
Ecologie Les Verts, a préféré « la
fusion à la confusion
», au bout d'interminables négociations avec le maire sortant. Si son
équipe est donc intégrée à 50 % à celle de Marc Vuillemot, si tout le
monde est tombé d'accord sur un « pacte
écologique », Luc Patentreger aurait toutefois choisi de ne pas
figurer sur la liste déposée hier en préfecture.
La droite en ordre dispersé.
Alliance toujours, mais dans le camp d'en face : Sandra Torres
s'associe, elle, avec Serge Daninos, qui n'est pas parvenu à se
qualifier le 15 mars dernier. Ayant échoué à trouver un terrain
d'entente avec Nathalie Bicais, le duo fait le pari arithmétique que
leurs deux scores cumulés du premier tour peuvent leur permettre de
rester dans la course à la victoire finale. Audacieux.
Si une addition vaut effectivement mieux que des divisions, il est rare
qu'1+1 = 2 dans une élection. Dans ce cas précis, le socialiste Marc
Vuillemot serait aujourd'hui le favori à sa réélection. Une chose est
sûre : pour lui, le scénario d'une quadrangulaire avec une seule liste
à gauche, deux listes à droite et un Rassemblement national sous les 20
% est inespéré. « Les planètes se
sont alignées » soufflait-on hier dans les étages de l'hôtel de
ville.
Pour Nathalie Bicais, en revanche, la situation s'est corsée ces
derniers jours. Alors qu'un boulevard paraissait s'ouvrir devant la
conseillère départementale après le premier tour - « on a gagné la primaire à droite
» - l'union avec Sandra Torres ne s'est pas réalisée. Et le fait que
l'élue régionale LR choisisse, de surcroît, de se maintenir « en femme libre et déterminée
» ressemble davantage à un couteau dans le dos qu'à une épine dans le
pied. Mais forte du soutien des Républicains , Nathalie Bicais veut
afficher un visage optimiste et se dit prête à mener une campagne
hyperactive avec son équipe constituée il y a près de six mois.
Première à se lancer dans l'entre-deux-tours, elle invite d'ailleurs
déjà les Seynois à (re) découvrir son projet économique sur Facebook
demain à 19 h » (MAD).
- Var-Matin, 4 juin 2020
: « Les cartes électorales rebattues
dans le Var » - « Les candidats au deuxième tour des municipales
avaient jusqu'à avant-hier pour déposer leur liste en préfecture. Et
certaines « nouvelles versions » réservent bien des surprises. Tour
d'horizon ».
- Var-Matin, 4 juin 2020
: « La Seyne : quatre candidats pour
un trône » - « Marc Vuillemot (Divers gauche) - Nathalie Bicais
(Les Républicains) - Dorian Munoz (Rassemblement national) - Sandra
Torrès (Divers droite) - Division contre mariage de raison » (MAD).
- Var-Matin, 4 juin 2020 : « La morale de la fable « La carpe et le
lapin » » - « Les listes déposées mardi en préfecture
ressemblent plus à des plans de salle de théâtre qu'à des équipes
municipales soudées » (PM).
- Var-Matin, 5 juin 2020 : « Le pacte de Marc Vuillemot et de Luc
Patentreger » - « Les deux hommes de gauche, qui ont décidé de
fusionner leurs listes autour du thème de l'écologie, ont matérialisé
cette union politique hier - 49 noms et des surprises - Luc Patentreger
n'est pas sur la liste - Seulement 11 élus de la mandature précédente
restent en course au sein de « La Seyne 2020, l'énergie positive » où
seuls, désormais 30 %, des membres sont encartés dans des partis - Bois
sacré et Coste Chaude dans le deal » (MAD).
- Var-Matin, 6 juin 2020 : « Vu, lu, entendu » - « La publication qui fait polémique :
Dans un souci de « transparence », dit-il, Guillaume Capobianco,
colistier de Nathalie Bicais, a publié, mercredi sur les réseaux
sociaux, les listes déposées en préfecture par les candidats en vue du
2e tour des municipales. Parmi les images mises en ligne, la liste
manuscrite de Sandra Torres, qui n'a d'ailleurs pas tardé à réagir, se
disant « choquée de voir sa liste ainsi diffusée avant même sa
validation par la préfecture - La
rencontre qui fait jaser. C'est Jean-Pierre Colin, colistier
de Nathalie Bicais, qui a allumé ta mèche. Mercredi, il a publié un
communiqué affirmant que Sandra Torres a rencontré, lundi à Janas, le
représentant seynois du RN, Dorian Munoz. Et le n°2 de la Coalition
d'affirmer que, « dans une
discussion pleine de sous-entendus, Sandra Torres a proposé à M. Munoz
de l'aider à conquérir le canton nord de La Seyne en 2021, en échange
de sa mise en retrait pour le 2e tour des municipales » -
Dorian Munoz confirme que cette rencontre a bien eu lieu « chez Serge Daninos, où j'ai accepté
d'aller car, étant républicain, j'accepte de rencontrer les personnes
qui me sollicitent ». Sandra Torres a également réagi : « Nous confirmons avoir eu une rencontre
informelle avec le candidat du RN. Informelle parce qu'il ne s'agissait
évidemment pas d'une réunion entre représentants de listes, et surtout,
qu'il n'a jamais été question d'y négocier quoi que ce soit »
(MG).
- Var-Matin, 6 juin 2020 : « Les
députés examinent un hypothétique report des élections municipales
» -
« Tensions entre PS et EELV, malgré de nombreux accords ».
- Var-Matin, 6 juin 2020 : «
Divers Municipales 2020 : « Sa Cité
de la mer sous le bras, Philippe le Sausse
revient - Mickaël Leroy au comité de soutien de Sandra Torres - Dorian
Munoz reçoit la visite d'une députée européenne » (MAD).
- Var-Matin, 7 juin 2020 : Le
Monde de demain : « Et si les
vieilles habitudes politiques changeaient ? - Au-delà des
contraintes sanitaires auxquelles les élus ont bien dû se soumettre,
l'épidémie risque de modifier en profondeur la façon de faire de la
politique » - « On ne serre plus la
main... Il y a incontestablement un éloignement physique, mais on
s'adapte, explique Jean-Pierre Colin, colistier de la tête de liste LR
à La Seyne. Jeudi soir, par exemple, Nathalie Bicais avait donné
rendez-vou sur sa page Facebook pour un live. Au lieu de tracter sur
les marchés, on fait du "boîtage". On a également mis en place un
maillege de quinze points de contacts en ville pour aller à la
rencontre de la population tout en respectant la distanciation sociale
». L'homme politique reste néanmoins persuadé que « c'est temporaire », qu'on ne fait «
pas de politique localement en étant
sur les réseaux sociaux » (PLP).
- Var-Matin, 9 juin 2020 :
Polémiques municipales : « Les
partisans de Sandra Torres répondent aux Républicains » - « La
présence de deux listes de droite au second tour et le soutien officiel
des Républicains à Nathalie Bicais n'en finissent plus de faire du
bruit. Suspendue hier de « toutes ses fonctions et représentations
régionales » par le président de la Région Renaud Muselier, sous le
coup aussi d'une procédure d'exclusion des LR, la « dissidente » Sandra
Torres contre-attaque par la voix de ses partisans. Et notamment Hélène
Rigal et Arthur Bongrain, conseillers nationaux démissionnaires du
parti de Christian Jacob. Ces derniers adressent une lettre aux
instances départementales élans laquelle ils ne mâchent pas leurs mots
sur l'équipe Bicais. Pour eux, « la
droite et le centre ne peuvent espérer être représentées par une liste
soutenue par Les Républicains, alors que sa tête de liste est quasiment
la seule à y être adhérente ». Plus étonnant, l'argument qui
vise, sans le citer, Damien Guttierez, comme quoi ils ne pourraient « s'allier avec des "sans étiquette" qui
sont en fait des élus FN en rupture de ban récente ».
Auraient-ils
oublié que Virginie Sanchez, elle-même élue municipale et
départementale sous l'étiquette Front national, figure en troisième
position sur la liste de Sandra Torres ? Après un tacle à Jean-Pierre
Colin au passage - un homme qui « n'a
eu de cesse, depuis dix ans, de faire battre les candidats de LR
» aux élections - les dix militants s'en prennent violemment à Philippe
Vitel, secrétaire départemental des Républicains et ancien député : « il est très symptomatique de l'état de LR,
qui ne tient plus que par ses structures peu à peu peuplées de
fantômes, que notre confirmation de sortie nous soit adressée par
Philippe Vitel, auréolé de ses deux dernières tôles aux municipales de
La Seyne (2014), puis aux législatives (2017) ».
L'intéressé appréciera... Nathalie
Bicais revendique le soutien de quatre partis. Ce week-end,
Nathalie Bicais (Les Républicains) a fait réunir sur le port ses trois
autres colistiers investis officiellement par leur parti politique
respectif de la droite et du centre : Jean-Pierre Colin (Les
Centristes), Dominique Baviera (UDI) et Pascal Tassisto (Debout la
France). Avec l'annonce de la sanction de Sandra Torres, il y avait
visiblement de quoi se réjouir du côté de la Coalition... » (MAD).
- Var-Matin, 10 juin 2020 :
Divers Municipales 2020 : « Pour
Philippe Vitel , Sandra Torres manque de « brio et de fair-play
». Moqué notamment par Hélène Rigal et Arthur Bongrain, conseillers
nationaux démissionnaires des Républicains dans une lettre ouverte au
parti de droite (notre édition d'hier), l'ancien député Philippe Vite!,
secrétaire départemental des LR, se dit « indifférent aux petites attaques
personnelles
» venues du clan de Sandra Torres. Mais il en profite pour rappeler que
l'élue régionale a été suspendue des LR et qu'une procédure d'exclusion
du parti est en cours. « Elle connaissait les règles du jeu du premier
tour. Ce devait être une primaire de la droite. Elle a largement perdu,
elle aurait donc dû se retirer au profit de Nathalie Bicais »,
explique-t -il. Et de poursuivre, offensif : « Elle a mis en péril son
camp alors que la victoire était probable pour la droite à La Seyne. En
politique, il y a des règles à respecter. Et dans la vie, il faut avoir
du fair-play, du panache, du brio... Aujourd'hui, Sandra Torres manque
de tout ça » (MAD).
- Var-Matin, 10 juin 2020 : Dorian Munoz : « Le monde d'après, c'est
nous ! »
- « Malgré un score décevant au premier tour (15 %), le candidat du
Rassemblement national dit toujours croire en ses chances d'être le
prochain maire de La Seyne - Dorian Munoz veut axer son programme sur «
la sécurité des biens et des personnes, mais aussi la sécurité
économique et sociale » - Les 49 noms de la liste « Le Rassemblement
pour La Seyne » » (MAD).
- Var-Matin, 11 juin 2020 : « Les élus de Toulon à la Métropole ».
- Var-Matin, 11 juin 2020 :
Divers Municipales 2020 : « Marc
Quiviger tacle Luc Patentreger
» - « Présent sur la liste de Marc Vuillemot au 1er tour, Marc Quiviger
ne figure plus sur celle déposée la semaine passée en préfecture. Il
fait partie des "évincés" qui ont dû laisser leur place à des membres
de l'équipe de Luc Patentreger. Ce dernier n'avait pas caché,
d'ailleurs, que le remplacement de Marc Quiviger avait « facilité les négociations » qui ont
conduit à la fusion des deux listes de gauche.
L'ancien
adjoint de Charles Scaglia, un nom toujours très clivant de ce côté-ci
de la rade, paye donc là ses engagements passés à droite. Ce qu'il ne
goûte guère, et entend le faire savoir à ceux qui ont eu sa tête : « Il
semblerait que la fusion des listes La Seyne 2020 et celle du docteur
Luc Patentreger fut pour ce dernier un combat d'arrière-garde de la
lutte des classes façon Staline. Quelle tristesse en 2020 de ne pouvoir
évoluer... » Désormais à la tête de l'Office seynois de la
culture et de l'archéologie, l'ancien élu à la culture devait être
l'une des cautions "patrimoine" de Marc Vuillemot. Ce ne sera pas le
cas, et la déception est grande chez l'intéressé.
« La culture en général est un
formidable et puissant facteur de cohésion sociale. Encore faut- il
s'adresser à ceux qui la pratiquent sans sectarisme et ostracisme »,
répond-t-il encore. En revanche, jure-t-il, il n'en veut pas à Marc
Vuillemot à qui il « renouvelle tout
(son) entier soutien et (sa) vive sympathie », évoquant même une
liste « garante des libertés
culturelles dans son intégralité ». Un dernier tacle à Luc
Patentreger pour la route ? « Il ne
suffit pas de se repeindre en vert pour un être un authentique
démocrate... » (MAD).
- Var-Matin, 12 juin 2020 : « S. Torres et S. Daninos : « Un projet
cohérent et crédible »
» - « Ils ont fait "l'union pour La Seyne", nom donné à leur liste
engagée pour le 2e tour. Leur alliance a défrayé la chronique. Sandra
Torres et Serge Daninos s'expliquent - Sandra Torres et Serge Daninos
veulent incarner « le changement ». Ils portent un projet présenté
comme « rassembleur et ambitieux » (MAD).
- Var-Matin, 14 juin 2020 :
Divers Municipales 2020 : « Eurodéputée,
la sœur de Jean-Pierre Colin au soutien de Nathalie Bicais » - «
Guillaume Capobianco veut attaquer
Sandra Torres en Justice.
Il reproche en effet à cette dernière, alliée à Serge Daninos, d'avoir
usurpé le slogan « l'Union pour La Seyne » en s'en servant pour sa
liste
» - « EELV, le PCF ou la GRS derrière
Marc Vuillemot, pas le NPA ».
- A J-12 : Dépliant de Nathalie Bicais : « La vérité sur le 2e tour des élections municipales ».
- A J-12 : Dépliant de Marc Vuillemot : « L'énergie positive pour une ville verte et ouverte
» - « L'intelligence collective et le sens du bien commun ont présidé
au rassemblement des listes de gauche et de l'écologie afin de
permettre de sortir de la crise sanitaire, de répondre aux enjeux de
proximité et de solidarité ».
- A J-12 : Feuille A4 recto-verso de Dorian Munoz : « Unis pour La Seyne avec Dorian MUNOZ. Votre futur Maire ! ».
- Var-Matin, 18 juin 2020 : « Nathalie Bicais : « Nous sommes prêts ! »
» - « Avec 21,82 % au premier tour, la candidate soutenue par Les
Républicains estime le « contexte favorable » pour remporter l'élection
du 28 juin - Nathalie Bicais se veut « la seule alternative crédible »
à la candidature du maire sortant Marc Vuillemot - Les 49 noms de la
liste « La Seyne, j'y crois » » (MAD).
- Var-Matin, 19 juin 2020 :
Divers Municipales 2020 : « Sandra
Torres répond à Nathalie Bicais... » - « ...et Dorian Munoz porte plainte ! »
(MAD).
- Var-Matin, 19 juin 2020 : « M. Vuillemot : « L'union apporte fraicheur
et dynamisme
» - « Le maire sortant, arrivé en tête au 1er tour, a fusionné sa liste
avec celle de Luc Patentreger, qui s'est retiré. Explications sur ce
pacte et les projets qui en découlent - En cas de victoire, Marc
Vuillemot devra faire travailler ensemble deux équipes qui ne se
connaissent pas. « Je suis rodé à
l'exercice ; je ne suis pas inquiet pour cela », assure-t-il -
Les 49 noms de la liste "La Seyne 2020, l'énergie positive" » (MG).
- Var-Matin, 20 juin 2020 : Divers
Municipales 2020 : « Marc Vuillemot «
sonne la fin de la récréation » » - « Agir va exclure Serge Daninos »
(MAD).
- Var-Matin, 21 juin 2020 : Divers
Municipales 2020 : « Non, Agir ne va pas exclure Serge Daninos »
- « Serge Daninos victime d'une fake-news aux couleurs
falsifiées du mouvement Agir ».
- Var-Matin, 23 juin 2020 : Divers
Municipales 2020 : «
Nicolas Dupont-Aignan est venu soutenir Nathalie Bicais » - « Valérie
Hirschfield derrière Marc Vuillemot » - « Vol avec effraction à la
permanence de Sandra Torres » (MAD).
- A J-5 : Brochure de Marc Vuillemot, 4 pages A5 : « L'énergie positive pour une ville verte et ouverte ».
- A J-5 : Brochure de Nathalie Bicais, 4 pages A5 : « Un électrochoc économique dans une ville plus verte ».
- Var-Matin, 25 juin 2020 : Divers
Municipales 2020 : «
Hervé Morin apporte son soutien à Nathalie Bicais » - « ... la
Confédération Environnement Méditerranée aussi » - « Jean-Luc Bigeard change de camp ».
- Var-Matin, 25 juin 2020 : « La Seyne : Le bastion de la gauche peut-il basculer ?
» - « Insultes, intox, calomnies, usurpation d'identité, effraction de
permanence, dépôts de plaintes... Ces dernières semaines, la campagne
des municipales a sans doute montré le pire de ce que la passion autour
des joutes politiques à La Seyne est capable d'engendrer. À l'origine
de ces tensions, une quadrangulaire indécise où la fébrilité des
candidats n'a d'égale que leurs furieux espoirs placés en ce scrutin.
Avec, sur la photo : Marc Vuillemot (23 %), Nathalie Bicais (21,8 %),
Dorian Munoz (15,6 %) et Sandra Torres (11,2 %) - Une soirée électorale
sous haute tension - Au pied du célèbre pont levant, la vie politique
n'est pas un long fleuve tranquille (...) (MA D).
- Var-Matin, 25 juin 2020 : « Ouest du Var : encore des enjeux au second tour
» - « Si la moitié des douze communes de la métropole toulonnaise ont
déjà choisi leur maire au premier tour, il reste dans cette partie du
département des situations complexes et tendues » - « Quel nouveau
maire pour Carqueiranne ? - À La Garde, le député veut redevenir maire
- Au Pradet, deux candidats face au sortant - Trois candidats à
Hyères... mais un duel Jean-Pierre Giran-Jacques Politi - À Six-Fours,
Vialatte a creusé l'écart avec le RN - La Seyne : Le bastion de la gauche peut-il basculer ? - La certitude de nouveaux maires à Sud
Sainte Baume, mais combien ? - Bandol : surprises au 1er tour, suspense
au second - Solliès-Toucas : Deux visions du rassemblement (CG,
PP, AF, MA D).
- Var-Matin, 25 juin 2020 : « Les communes du Var où on votera dimanche ».
- Var-Matin, 25 juin 2020 : « Le programme des candidats en un coup d'œil
» - « Piochées dans leurs documents de campagne, voici, en quelques
lignes, les principales propositions des quatre prétendants au fauteuil
de maire : Sécurité et incivilités - Centre ancien et économie -
Finances et gestion communale - Logement et cadre de vie ».
- FR3, 25 juin 2020 : « Le débat sur FR3 entre les quatre candidats ».
- Var-Matin, 26 juin 2020
: « A 48 h du scrutin, les confidences de vos quatre candidats » - «
Au-delà de leurs programmes, les prétendants au fauteuil de maire se
dévoilent dans notre questionnaire librement inspiré de celui de
Proust ».
- Var-Matin, 26 juin 2020 : « Une écologie raisonnable»
- « Ces municipales 2020 auront été à l'image du pays depuis bientôt
deux ans : un joyeux... cirque, pour rester décent. De « griveauseries
» en crise sanitaire, tout est quasiment parti en quenouille du début à
la fin. En guise d'épilogue, nous avons maintenant droit, dans
plusieurs grandes villes, à quelques alliances surréalistes entre
farouches ennemis d'hier. Il faut bien sauver les meubles ! De la
politicaillerie dans toute sa splendeur qui voit, dans des combinaisons
variées, la droite, la gauche et En marche nouer des accords pour
barrer la route à des écolos qui pédalent vent de dos. Ces bricolages
sans vergogne appellent un double constat. Les vieux partis, et le
supposé nouveau qui leur ressemble tant, ont du mal à accepter la
perspective d'abandonner leur hégémonie et de partager davantage le
pouvoir.
Cet agacement ne nécessite aucun commentaire superflu... La
justification de certaines alliances contre-nature mérite, en revanche,
qu'on s'y attarde un brin. Il s'agit, font valoir les intéressés, de
faire obstacle à des écologistes assimilés à des fous furieux. Tel
n'est pas forcément le cas, mais c'est une inquiétude qu'il faut
entendre. Elle nous dit que l'écologie n'a pas gagné, en France, tous
ses galons de respectabilité.
Ses zélateurs apparaissent encore comme des empêcheurs de vivre. Et ce
ne sont pas quelques-unes des conclusions de la Convention citoyenne
pour le climat qui vont rassurer. Pitié ! Pourvu que Macron n'ait pas
l'idée saugrenue, pour se requinquer à bon compte, de convoquer un
référendum pour valider ces foutaises que sont l'introduction de la
lutte contre le changement climatique dans la Constitution et la
création d'un crime d'écocide. Il y a tellement d'autres choses
concrètes à mettre en œuvre pour faire progresser la cause. L'écologie
s'apparente encore trop à une punition. Chaque Français est désormais
convaincu de l'urgence climatique, et tout disposé à consentir des
efforts, à son échelle, pour protéger la planète. Mais le Gaulois, on
ne le refera pas, apprécie peu qu'on le brusque. Il se braque vite
quand on lui intime comment manger, quelle voiture acheter, où partir
en vacances, quelles pubs tolérer, etc. Mieux vaut donc le faire
évoluer en douceur. L'écologie politique doit pour cela peaufiner un
modèle raisonné. Et trouver celui ou celle qui l'incarnera, sans
ostraciser ni infantiliser personne » (TH P).
- Var-Matin, 26 juin 2020 : « Marc Vuillemot reçoit le soutien d'un eurodéputé Vert... » - « Le maire et candidat à sa succession a reçu hier l'eurodéputé Vert Damien Carême, venu lui apporter son soutien » - « ...et approuve la Cité de la Mer de P. Le Sausse » (MG et MA D).
- Blog de Marc Vuillemot, 26 juin 2020 : « Une certaine droite seynoise s'enlise dans l'extrémisme populiste, le MoDem et d'autres appellent au vote républicain
» - « C'était inévitable : à force de flirter avec l'extrême-droite et
d'utiliser ses méthodes indicibles, les acteurs de la coterie,
soi-disante rassembleuse, qui s'est constituée autour de Madame Bicais,
s'est livrée sans vergogne à de la surenchère populiste qui, au bout du
compte, risque de profiter à ceux qui haïssent les valeurs
républicaines.
Les gauches et l'écologie seynoises sont fières d'être vécues comme ce
rempart face aux alliances délétères de circonstance et aux idées
nauséabondes auxquelles la droite pseudo-républicaine seynoise semble
de fait adhérer en ayant accepté l'investiture d'un parti
d'extrême-droite.
Les soutiens qui nous parviennent, depuis la droite et le centre républicains, sont éloquents....
Après Valérie Hirschfield, colistière de Patrice Bessone, c'est
Philippe Le Sausse qui constate que nos projets, même s'ils n'en
portent pas le nom, autour du concept de « cité de la mer » auquel il
est tant attaché, sont les plus compatibles avec les siens (...) ».
- France3-Provence-Alpes-Côte-d'Azur, 28 juin 2020, 23 h 42 : « Municipales à la Seyne-sur-Mer : le maire sortant Marc Vuillemot battu par la candidate de droite Nathalie Bicais ».
|
« Au coude-à-coude lors du premier tour des élections municipales, le
maire sortant de la Seyne-sur-Mer dans le Var, Marc Vuillemot (union de
la gauche) a finalement été battu ce dimanche 28 juin par la candidate
Nathalie Bicais (divers droite) - C'est une surprise pour la commune de
la Seyne-sur-Mer. Le maire sortant Marc Vuillemot (union de la gauche),
qui briguait un troisième mandat, a finalement été battu par la
candidate divers droite Nathalie Bicais. Il a recueilli 33,44 % des
voix contre 44,12 % pour son opposante principale - L'alliance de
l'ancien maire avec Luc Patentreger (divers gauche) après le premier
tour n'a pas suffi à faire la différence. Nathalie Bicais a finalement
réussi à tirer son épingle du jeu, malgré une désunion à droite. La
candidate divers droite Sandra Torres a finalement obtenu 11,56 % et le
Rassemblement National, représenté par Dorian Munoz, 10,88 % - Le taux
de participation est de 37,6 % pour ce second tour.
|
Dans
le Var, la participation de ce second tour était de 40,44 % à 17
heures. C'est moins qu'en 2014, où elle atteignait 57,76 % à cette
heure et légèrement plus qu'au premier tour du 15 mars (38,48 %). Au
niveau national, la participation au second tour des élections
municipales baisse à 17 heures à 34,67 %, contre 38,8 % au premier tour
et 52,36 % en 2014 à la même heure ».
- LCI/en-direct-municipales, 29 juin 2020 : « Une
vague verte à Bordeaux, Lyon, ou Marseille, Anne Hidalgo largement
réélue à Paris, Martine Aubry sur le fil à Lille, Aliot remporte
Perpignan… découvrez les grands enseignements du 2nd tour des élections municipales et tous les résultats ville par ville ».
- Var-Matin, 29 juin 2020
: « Les leçons de ce scrutin si particulier dans le Var »
- « L'abstention - Rassemblement national : la chute - Les alliance pas
à la noce - Larmes à gauche - Le jackpot de la prime au sortant [La
Seyne, l'exception qui confirme la règle ?] » - « Le Var plus que
jamais terre des Républicains - La réaction d'Hubert Falco - Les douze
candidats soutenus par LR
ont été élus avec, en outre, une victoire de prestige à La Seyne. Une
satisfaction pour le président de TPM - Liste et cartes des maires
varois élus » (SM et PHC).
- Var-Matin, 29 juin 2020
: Une : « La Seyne vire à droite
» - « Nathalie Bicais (LR) a été élue avec 44,12 % des voix. Elle
détrône le maire sortant de gauche Marc Vuillemot - Un 5e mandat pour
Vialatte à Six-Fours - Bandol garde Joseph - Friedler plébiscité au
Beausset ».
- Var-Matin, 29 juin 2020
: « Nathalie Bicais a balayé la gauche
» - « Malgré la présence d'une deuxième liste à droite, l'élue Les
Républicains est parvenue à renverser Marc Vuillemot, maire socialiste
de la deuxième ville du Var depuis 2008 - C'est dans un établissement
de plage aux Sablettes, au milieu de ses partisans, que Nathalie Bicais
a fêté sa large victoire au second tour des municipales - La première
femme maire de l'histoire seynoise » (MAD) - On a combien de temps pour
faire nos cartons ? - Malgré sa lourde défaite, c'est un Marc Vuillemot
fair-play qui a intronisé Nathalie Bicais hier soir à la Bourse du
travail - « Je te souhaite le meilleur » (MG).
- Var-Matin, 29 juin 2020
: « Passation de pouvoir Vuillemot - Bicais »
- Blog de Marc Vuillemot, 29 juin 2020 : « Que La Seyne et le territoire métropolitain continuent d'avancer ! ».
- Var-Matin, 29 juin 2020
: « Les écologistes comme un coup de tonnerre
» - « Plusieurs villes majeures, dont Lyon et Bordeaux, ont basculé
hier soir dans le giron des Verts. LREM a raté ce scrutin, qui conforte
globalement la mainmise de LR sur les communes françaises - La
République en Marche dans les choux - Poussée verte dans les grandes
villes - Une France des communes qui reste à droire - Perpignan,
nouveau vaisseau amiral du RN - Large victoire d'Anne Hidalgo à Paris »
(TP).
- Var-Matin, 29 juin 2020
: « Le nouveau dégagisme
» - « La cote d'alerte a été franchie : 60 % des Français ne se sont
pas déplacés pour apporter leurs voix aux maires sortants, pas plus
qu'à leurs
concurrents. On a vu tout au long de la Ve République l'abstention
monter, inexorablement, d'une élection à l'autre. Mais, cette fois,
c'est le record depuis 1958. Il faut craindre que ce soit
significatif (...) - Dans ce désastre démocratique, car c'en est un,
les Verts ont réussi une percée indéniable. Lyon, Bordeaux, Marseille,
trois des plus grandes villes de France ont été arrachées par les
écologistes aux maires sortants (Michèle Cotta).
- Var-Matin, 29 juin 2020
: « Six-Fours : J.-S. Vialatte facilement
» - « Les réactions de F. Boccaletti, D. Nemeth, D. Garcia, E. Tamburi
» - « Avec près de 24 % des voix obtenues, Frédéric Boccaletti, arrivé
second, estime représenter la première force d'opposition à Six-Fours » - Les nouveaux élus à Six-Fours » (JP).
- Le Monde, 30 juin 2020 : Une : « Une poussée écologiste
» - « Macron propose des référendums » « Le président set dit prêt à
consulter les Français sur l'urgence climatique - Il envisage des
référendums sur ces sujets en 2020 et 2021 - L'écologie est devenue une
force de premier plan dans les grandes villes - Le second tour des
municipales a connu une abstention record - Paris : reconnaissance
d'Anne Hidalgo ».
- Var-Matin, 30 juin 2020
: « Pas de vague verte dans le Var ? Pas aussi sûr...
» - « Stop au béton » - « Mais le cas le plus symbolique reste celui de
La Seyne. Si Les Seynois avaient eu envie de porter un écologiste à la
tête de la mairie, il suffisait de voter pour Luc Patentreger dont les
convictions sont connues de tous et depuis longtemps. Mais avec 14% des
voix seulement, il a fait le choix de se retirer in extremis en faveur
du candidat de gauche, Marc Vuillemot. Car dans l'imagerie populaire, l'écologie est forcément
de gauche. Ou pas ! La victoire de Nathalie Bicais éclaire le débat
d'un autre jour. Très à droite, la liste de la candidate Les Républicains - qui comptait
dans ses rangs d'anciens membres du Rassemblement national - semblait
bien loin des préoccupations et de la mouvance d'EELV. Mais depuis
toujours Nathalie Bicais se bat en faveur du cadre de vie des Seynois
et contre « l'urbanisation à outrance de la ville ». Les électeurs le
savaient. L'un des slogans de campagne de cette urbaniste était « Stop
au béton ». Alors les Seynois n'ont -ils pas finalement amplifié la
vague verte nationale en votant pour une « écolo »... de droite ? »
(PHC).
- Var-Matin, 30 juin 2020
: « Dix points à retenir du verdict de ces élections
» - « Elue assez largement devant Marc Vuillemot, Nathalie Bicais
devient la première femme maire de La Seyne. Entre autres
enseignements... -
Nathalie Bicais, « enfin » - Pas vraiment une surprise - Marc Vuillemot
réalise son plus mauvais score - Le grand écart - Une claque pour le
Rassemblement national - En politique, 3+9+11 =... 12 - Une abstention
record - Marc Vuillemot dans l'opposition - On a trouvé le bureau type
! - Le conseil municipal d'installation est prévu dimanche matin » - «
D'un rare fair-play, Marc Vuillemot a vite reconnu sa défaite et
souhaité le meilleur à Nathalie Bicais, qu'il côtoie depuis longtemps
dans l'assemblée municipale (MAD).
- Var-Matin, 2 juillet 2020 : Après les municipales de 2020 : «
Renaud Muselier, premier à féliciter Nathalie Bicais » - « EELV attend
la deuxième vague... « verte » - « La France insoumise charge encore
Marc Vuillemot » (MAD).
- Var-Matin, 3 juillet 2020
: « Marc Vuillemot et le conseil municipal, c'est fini !
» - « Sans véritable surprise, Marc Vuillemot a annoncé qu'il renonçait
à siéger sur les bancs de l'opposition municipale. Juste après sa
défaite cinglante au second tour des élections, le maire sortant avait
d'abord éludé la question, se donnant le temps de réflexion, avant de
laisser entendre vouloir « accompagner
ces jeunes qui représentent toutes les sensibilités de gauche afin
qu'ils s'aguerrissent et se préparent pour l'avenir de La Seyne
». Hier, celui qui vient de passer douze ans aux manettes de la Ville a
finalement déclaré qu'il se retirait du conseil municipal pour« créer
les conditions d'un renouvellement et d'un rajeunissement pour préparer
de futures échéances » (MAD).
- Var-Matin, 4 juillet 2020
: « L'irrésistible ascension de Nathalie Bicais » - « Portée par une
indéfectible ambition et sa passion pour La Seyne, l'architecte de
formation devient maire à 55 ans, dont la moitié passée à gravir les
échelons de la politique locale. Récit » - « L'entrée en politique -
La désillusion - L'émancipation - La consécration » (MAD).
- Var-Matin, 4 juillet 2020
: « Investiture du maire et « apéritif festif »
» - « Sortie vainqueur des élections municipales, Nathalie Bicais sera
investie maire de La Seyne demain, lors du conseil municipal
d'installation. Dans un message adressé à ses partisans, la chef de
file de la coalition de la droite et du centre indique qu'elle « aurait
aimé que vous puissiez participer à cet événement qui couronne nos
efforts, mais en raison des mesures sanitaires il ne pourra pas y avoir
de public ». La séance se déroulera en effet à huis clos à
partir de 10 heures à l'hôtel de ville. Pour autant, Nathalie Bicais
annonce qu'elle convie l'ensemble de la population à un « apéritif festif et musical
» prévu à l'issue du conseil municipal d'investiture. Il sera organisé
à partir de 11 h 15 sur l'avenue Hoche, située à côté de la mairie. « Je vous y attends pour le premier jour de la nouvelle vie seynoise », déclare Nathalie Bicais ».
- Var-Matin, 4 juillet 2020
: « Six-Fours : Le vœu d'un mandat constructif a fait l'unanimité
» - « Le premier conseil municipal du 5e mandat de Jean-Sébastien
Vialatte a vu s'exprimer de belles intentions de part et d'autre de
l'échiquier politique local - Constructifs, mais pas complaisants - Les
39 élus du conseil » (JP).
- Var-Matin, 6 juillet 2020
: A la Une : « Nathalie Bicais installée dans son fauteuil de maire ».
- Var-Matin, 6 juillet 2020
: « Nathalie Bicais : « Je suis très fière d'être votre maire »
» - « Nathalie Bicais, succédant à Marc Vuillemot - absent hier de
l'hôtel de ville -, a été installée dans ses nouvelles fonctions de
maire par le doyen de l'assemblée. Son slogan ? « La Seyne vous sourit
» - Nathalie Bicais a reçu son écharpe de maire de La Seyne des mains
de Joseph Minniti, doyen du conseil municipal - Quartiers : quatre «
super adjoints » - Premières paroles dans l'opposition » (CP).
- Var-Matin, 6 juillet 2020
: « Les 49 nouveaux élus ».
NB. Marc Vuillemot a annoncé qu'il ne siègerait pas au Conseil
municipal. C'est donc Olivier Audrau, 9e que la liste qui le remplace.
- Imag'in la scène, 5 juillet 2020 : « 1er discours de Nathalie Bicais, Maire de la Seyne sur Mer ».
- Le Seynois.fr, 6 juillet 2020
: « Nathalie Bicais est élue » - « Hier, dimanche 5 juillet, Nathalie Bicais a été élue nouveau maire de La Seyne-sur-mer lors du premier
conseil municipal par 36 voix. Un apéritif convivial et en musique a
suivi l’investiture, avenue Hoche.
« Il nous appartient de mettre toute notre énergie à ce qu’aspirent les Seynois.e.s
». C’est après avoir prononcé ces mots que Joseph Minniti, le doyen des
élu.e.s de la nouvelle majorité, a déposé l’écharpe de maire sur
l’épaule de Nathalie Bicais, selon la règle républicaine. « C’est
une élection hors du commun, a déclaré le nouveau maire, avec le Covid
qui a interrompu la campagne, nous avons renforcé notre équipe, qui est
devenue plus forte que jamais. Après ce premier conseil municipal, je
vous invite à une cérémonie conviviale où je mettrai à l’honneur mes
prédécesseurs ». Avec 36 voix (la majorité étant de 19) , Nathalie Bicais a souhaité
désigner les délégations de ses 18 adjoint.es. « De lourdes tâches les
attendent » a-t-elle souligné. Tout en insistant sur le rôle primordial
des quatre « super-adjoint.e.s de quartier ». « Ils seront un peu des
maires d’arrondissement, afin d’agir au plus près des citoyen.ne.s »
(SP).
- Var-Matin, 11 juillet 2020
: « Jean-Pierre Colin sera vice-président de TPM délégué aux ports
» - « Alors que le conseil métropolitain ne sera installé que le 15
juillet, Jean-Pierre Colin, récemment élu premier adjoint de Nathalie
Bicais, sait déjà à quoi s'en tenir sur son rôle futur au sein de la
Métropole. « Je me suis entretenu
avec le président de TPM Hubert Falco et il m'a annoncé qu'il me
confiait la vice-présidence exécutive du conseil d'exploitation des
ports de la Métropole, assure Jean-Pierre Colin. Ainsi les ports de
Saint-Elme, Brégaillon, le Lazaret, le port du centre -ville, comme le
futur port de plaisance vont devenir des chantiers prioritaires
». A noter par ailleurs que La Seyne dispose désormais à la Métropole
de deux vice-présidents, tout comme la ville d'Hyères, puisque Nathalie
Bicais siège évidemment aussi auprès d'Hubert Falco » (MAD).
- Var-Matin, 13 juillet 2020
: « Philippe Le Sausse félicite Nathalie Bicais
» - « Éphémère candidat aux élections municipales, soutien déclaré de
Marc Vuillemot juste avant le second tour, Philippe Le Sausse entend
toutefois féliciter Nathalie Bicais pour sa victoire au scrutin
municipal. « Nathalie Bicais et l'ensemble de sa liste n'ont pas ménagé
leurs efforts pendant la campagne : le résultat est mérité,
reconnait-il. Il va falloir désormais rassurer les milliers
d'abstentionnistes déçus par les guerres internes ou les soutiens
étranges ». Et d'évoquer son projet de cité de la mer : « Il a reçu le
soutien in extremis de Madame Bicais avant le second tour, ce qui
augure de belles perspectives pour La Seyne. Nous savons que le courage
ne lui manque pas » (MAD).
- Var-Matin, 18 juillet 2020
: « Celui qui paie décide, celui qui décide assume
» - « En tant que président de Régions de France, Renaud Muselier, le
boss de la région Sud, s'est entretenu avec le Premier ministre au
sujet de l'impulsion de décentralisation en France - Marseille passée aux écolos et à la gauche, c'est un échec pour vous ?
Je veux d'abord avoir une vision globale. Et là, c'est un succès. Au
premier tour, c'était le « pacte régional » et j'ai 17 maires sortants
réélus et 10 conseillers régionaux élus. Au second tour, c'était le
pacte de raison : celui qui
est premier reste en tête, le second fusionne ou se retire. Et j'ai
gagné presque partout où cela a été respecté. Nous avons même eu des
conquêtes emblématiques : la Seyne et Le Luc, par exemple. Mais vous avez perdu... Marseille ! Oui et je suis triste pour ma ville, pour Marseille » (SG).
- Var-Matin, 21 juillet 2020
: « La France Insoumise, l'opposition extérieure
» - « Si La France Insoumise n'a finalement pas investi de candidat
lors des élections municipales, la formation de Jean-Luc Mélenchon n'a
pas l'intention de rester muette durant les six prochaines années. « Nous serons des opposants frontaux à la nouvelle municipalité
», écrit Laurent Richard, porte-parole local de LFI - (...) Évoquant
les échanges lors du premier conseil municipal, Laurent Richard
s'étonne ainsi que l'élu socialiste Olivier Andrau « se
félicite de la réduction des dépenses de fonctionnement... se
soumettant aux orientations gouvernementales macronistes du Pacte de
Cahors » ».
- Var-Matin, 23 juillet 2020
: « Christian Barlo défend la majorité sortante
» - « Elu communiste dans la majorité sortante de Marc Vuillemot,
Christian Barlo n'a guère apprécié les commentaires des représentants
locaux de La France insoumise (notre édition de mardi). « Cette
organisation n'a participé aucunement aux élections municipales se
réfugiant dans le rôle de spectateurs. Le PCF La Seyne les a reçus deux
fois pour des constats d'échec de rassemblement à gauche. Leur seule
volonté était d'abattre Marc Vuillemot », estime l'ex-adjoint ».
- Octobre 2020 : Audit de début de mandat [Grant Thornton - L'instinct de la croissance™] : « 4. Synthèse :
Une situation financière alarmante issue ...
• Niveau d'épargne ne couvrant pas le remboursement des emprunts et contribuant pas aux financements des investissements
• Des règles d'équilibre budgétaire péniblement assurées en fin de mandat, fragilisées par la « clause de revoyure MTPM » qui reste à cristalliser
• Inertie totale face à la baisse programmée de la DGF
• Un niveau d'endettement et de fiscalité des ménages préoccupant obérant les marges de manœuvre éventuelles
• Des ratios usuels complètement dégradés
... D'un lourd héritage portant les stigmates du passé
• Une forte pression fiscale des « contribuables seynois »
• Des dépenses obligatoires très élevées avec notamment un poste frais de personnel représentant 70% des dépenses de fonctionnement
• Un niveau d'endettement de 113 M€ générant 14,5 M€ d'annuité, et obérant la capacité d'emprunt et de financement de la Commune
• Des outils de pilotage, d'évaluation et de contrôle interne non efficients : absence de culture de la performance au sein de l'administration communale
... et qui imposent des mesures structurelles et urgentes.
• Il s'agira, avant tout, d'initier une mutation des modes de fonctionnement en association étroite entre les élus, l'administration générale et l'ensemble des services de la ville »
- Var-Matin, 28 novembre 2020
: « Coste Chaude fait flamber le groupe d'opposition
» - « Cassandra Lai, Stéphane Lancellotta et Basma Bouchkara quittent
le groupe formé, au conseil municipal, avec les ex-colistiers de Marc Vuillemot » (MV).
- Var-Matin, 30 décembre 2020
: « En 2020, un nouveau paysage politique local
» - « Pas de séisme, mais tout de même quelques bouleversements. Les
élections municipales de 2020, inédites dans leur forme pour cause de
pandémie, avec un second tour qui s'est joué trois mois et demi après
le premier et une participation exceptionnellement basse, ont modifié
le paysage politique local. Dans l'ouest-Var, des maires sortants ont
été battus, d'autres réélus confortablement, dès le premier tour pour
certains ; et de nouveaux venus ont fait leur entrée dans l'arène. Tour
d'horizon - Ils ont été élus maires pour la première fois : L'élection
de Nathalie Bicais marque le retour de la droite à La Seyne - Ils ont
décroché leur deuxième mandat - Ils ont déjà effectué de trois à six
mandats : R. Beneventi, F. Bernardt, R. Jourdan, J.-S. Vialatte - Ils
ont été battus - Ils ont choisi de jeter l'éponge » (AF).
- Var-Matin, 22 février 2021
: « Serge Daninos démissionne du conseil municipal » - « Malgré mes attaches sincères pour la ville de La Seyne, explique-t-il, mes
missions en tant que président d'un groupe d'Ehpad dans les
Bouches-du-Rhône, dans le contexte de la crise sanitaire que nous
subissons, m'obligent à être en veille sanitaire 24 h / 24 h, la
priorité étant la prise en charge de nos résidents, la survie de nos
aînés ».
- Var-Matin, 23 février 2021:
« Démissionnaire, Serge Daninos ne se « ferme aucune porte » - Après
avoir annoncé sa démission, dimanche sur les réseaux sociaux, Serge
Daninos s'explique. L'ancien élu reste ouvert à un retour en politique
- Avec 8,83 %, Serge Daninos était arrivé en sixième position au soir
du premier tour. Il avait ensuite fusionné sa liste avec celle de
Sandra Torres - « Un geste responsable », pour Sandra Torres. L'élue
divers droite confirme que le nouvel entrant sera bien l'avocat
Bertrand Pin » (RG).
- Var-Matin, 27 février 2021
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