Lettre E
Eissàrri |
Ânée, charge d'un âne, plus exactement besace formée de deux grands cabas qu'on plaçait sur le bât des bêtes de somme et qui servait au transport des petites denrées (prov. ensàrri). |
Eisserò |
Vent de mer qui souffle du sud-est, sorte de sirocco (cf. largade, pounent, labé, miéjour, etc.) |
Emballer |
(Du prov. embala) Emporter, enlever, emmener, entraîner, voler. « Lou pòu d'èr qué l'a, lou mistraou l'embalo ! » (Le peu de brise qu'il y a, le mistral l'emporte !). |
Embanné |
Qui a des cornes, encorné (du prov. embana, embanado). Un bouc embanné comme un prince. Au fig., méchant, bourru, grincheux. |
Embarquer (s') |
Partir dans des explications confuses, des raisonnements hésitants témoignant de lacunes sur le sujet. « Le docteur, il a voulu nous expliquer la théorie de l'accouchement sans douleur, mais il s'est embarqué et il a fini par dire qu'il ne se souvenait plus très bien... ». |
Embarnisser |
Empoisser, couvrir d'une substance visqueuse, salir (prov. envernissa, embernissa). « Regarde un peu ta chemise, que tu t'es tout embarnissé de sauce tomate ! ». |
Embastarder |
Abâtardir, hybrider accidentellement (une plante). « Je crois que ces nouvelles semences de pois chiche m'ont embastardé les petits pois ». |
Embouligue |
Nombril (du prov. embouligo, embourigo). « Li vien l'embouligo ! », s'exclama ma grand-mère en voyant pour la première fois une femme en bikini sur la plage. |
Embrailler (s') |
Passer ou rajuster son pantalon, se culotter, mettre ses chausses (prov. s'embraia). « Aquèu que voudra ma fille, s'embraira haut ! ». |
Embroncher (s') |
S'accrocher les pieds à un obstacle, trébucher. Verbe prov. s'embrounca d'origine incertaine. A peut-être été amené en Provence par les compagnons couvreurs pour qui embroncher les tuiles signifie : disposer les tuiles sur un toit de façon qu'elles se chevauchent. |
Embrouille |
Mettre d'embrouille : semer le trouble; le désordre, la pagaille ; mettre le pàti. |
Emé |
Avec. S'es marridade emé un goi (Elle s'est mariée avec un boiteux). |
Emmasquer |
S'emmasquer : se déguiser. Etre emmasqué : être ensorcelé (cf. masque, du prov. masco, sorcière, magicienne ; et enmasca : ensorceler, jeter un sort, charmer, enchanter. |
Empega |
Poisser, coller. Aquelo empego ! Expression signifiant : Ça alors ! Elle est drôle, celle-là !. Voir aussi : « Ah ! par exemple, celle-là elle empoisse ! » (Maurin des Maures, de Jean Aicard) |
Empégué |
Ivre, saoul (du prov. pègo, poix, et empega, poisser, coller) : l'homme saoul marche un peu comme s'il avait les jambes collées. Être empégué a également le sens de se débattre dans des difficultés, dans une sale affaire. Se faire empéguer est aussi se voir infliger une amende, une contravention. « Ce soir, s'empegan ! », dit-on, dans un moment d'euphorie, ou après avoir reçu une heureuse nouvelle, pour annoncer qu'on va boire sans retenue. |
Encafourner |
Cacher dans un recoin (du prov. encafourna ; de cafourno, caverne, ou cafournoun, cafournoli, recoin, débarras). |
Encuei |
Aujourd'hui. « Mistrau de nuei, Durara pas encuei » (Le mistral qui se lève la nuit ne durera pas aujourd'hui (Marcel Pagnol, Manon des sources). [L'expression populaire : « Mistrau de nuei, Dura com' un pan cuei » (Le mistral qui se lève la nuit ne dure que comme un pain cuit) serait donc un faux sens]. |
Enfanguer (s') |
S'embourber, se crotter, s'empêtrer dans une mauvaise affaire (prov. enfanga, embourber ; de fango, fange, boue, crotte, vase). |
Empouillouna |
Empoisonner (du prov. pouilloun, poison). |
Enca, encaro |
Encore. Enca' pau (encore un peu). « Sant-Silvèstre, enca'n pau pouvié pas l'estre... ». « Se piquas enca'n pau, sera lèu demoulido ! ». cf. panca, pancaro. |
Encaper |
En terme de marine, c'est prendre et tenir un cap grâce à un amer visuel (on encape sur Saint-Elme). Autres sens possibles : On encape quand on se recouvre le dos avec une cape pour se protéger du vent ou de la pluie ; mais on encape aussi lorsqu'on construit une chape en ciment. On peut aussi encaper quand on atteint son but, quand on conçoit un projet ou quand on encaisse son dû. Ne pas confondre avec encapeler qui signifie : se couvrir d'un chapeau et qui a donné capelan ou capelage (nœud de tête de mâture). [définitions suggérées par Serge Malcor]. |
En-cas |
Sorte d'ombrelle susceptible d'abriter de la pluie. Comme ! Tu as perdu l'encas de Bléneau ! |
Enfant |
Garçon. Un père peut dire ainsi : « J'ai eu deux enfants et une fille ». |
Enquiller (s') |
Se payer qqch de pénible, se colleter avec. S’entremettre, s’intégrer dans qqch, s’introduire (du provençal enquiha, empiler. Exprime une notion de superposition doublée d'un équilibre stable. On enquille un bouchon sur une bouteille : il faudra forcer pour le "débesquiller" ! [définitions suggérées par Serge Malcor] |
Enrabia |
Enrager, bisquer ; faire enrager, tourmenter. Es enrabia ! (Il est enragé !). |
Enraguer (s') |
Peut-être du prov. raga, terme de marine : frotter durement en grippant. Par extension, coincer son hameçon ou son bas de ligne dans des pierres ou des rochers. |
Ensuquer |
Assommer, frapper sur la tête, accabler (prov. ensuca, de su, suc, tête). Au fig., être ensuqué, c'est être fou, dérangé, idiot. Sias ensucat de monta sus aquéu batéu (Vous êtes fous de monter sur ce bateau). |
Entention |
Déformation de attention (« Fais bien entention ! »), peut-être par corruption de : intention, intentionné, dont le provençal est entencioun, entenciouna. |
Enterre-mort |
Fossoyeur (prov. enterro-mort, aclapo-mort). |
Envisquer (s') |
S'engluer, se salir avec une substance gluante (prov. s'envisca). |
Eouvé, éuve, éuse |
Chêne vert, yeuse, arbre de la famille des fagacées (cf. blacas, suve). |
Épine |
Arête de poisson. Ce poisson est plein d'épines. |
Épine (être) |
Être épine, ou être une épine (prov. estre uno espino) signifie être une peste, ou être quelqu'un de procédurier, retors, dur en affaires. |
Èr |
Air, souffle de vent léger et agréable, brise. « Lou pòu d'èr qué l'a, lou mistraou l'embalo ! » (Le peu de brise qu'il y a, le mistral l'emporte !). |
Esbigner (s') |
S'enfuir, s'échapper. « Ils n'ont pas pu l'aganter, il a réussi à s'esbigner ! ». |
Escaboua |
Troupeau de brebis ou de chèvre, troupeau d'un particulier. Les grands troupeaux transhumants se composent avec les escaboua des particuliers (prov. escabouet). |
Escafougner (s') |
S'effondrer, se démolir, s'affaisser. S'applique par exemple à un château de cartes, à un empilement d'objets, à une pièce montée qui n'a pas résisté à la chaleur, etc. A peut-être un lien avec escafigna, écraser, ou escafouia, presser quelque chose de mou. |
Escagasser |
Détruit, démoli, affaissé, qui a cagué (du prov. escagassa, affaisser, écraser, aplatir ; cf. espóuti). Etre escagassé, c'est être éreinté, exténué, fatigué de façon excessive. Se faire escagasser, c'est prendre un mauvais coup. S'escagasser, c'est aussi se décarcasser, se démener. |
Escaner |
Au sens propre : étrangler, étouffer. S'emploie chez nous davantage au sens figuré : duper, voler (en faisant surpayer), ou chaparder (sans doute du prov. escana). |
Escaper (s') |
S'échapper, s'évader, fuir, sortir du danger. « Quante le pauvre André soufflait dans son baryton, là, avec son incisive manquante, l'air, au lieu de passer par l'instrument, il s'escapait par la brèche ». « Serai countènt coume un roucau - Que vèn d'escapa dóu musclau » (P. Bellot, poète marseillais). |
Escaragòu |
Petit escargot, colimaçon (cf. limaçoun). |
Escaufèstre |
Accident, catastrophe, mauvais coup du sort. |
Escavène |
Esche, arénicole des pêcheurs, ver annélide utilisé comme appât par les pêcheurs (cf. esque, mouredu, mouron, bibi) (prov. escaveno, escareno, de escava, creuser des galeries). Le terme escavène désigne aussi vulgairement les boulettes de crasse noire qui s'accumulent dans les replis de la peau, entre les orteils, chez les personnes qui font rarement leur toilette. « Sabès pa ! A pres mau a l'abat Moutoun ! An vougu lou desabilha per lou coucha : avié dei escavènes dins lei pé, coumo aco ! ». |
Escavenier |
Ancien gagne-petit de la mer, l'escavenier se livrait à la capture des vers marins qu'il vendait aux pêcheurs. Sur les bords vaseux de la baie du Lazaret, ils creusaient profondément au moyen d'une pelle-pioche à large ferrure, renversaient les mottes de lise croulantes et les fouillaient de leurs dix doigts à la recherche des escavènes fugitives. D'autres escaveniers mieux nantis disposaient d'un bateau qu'ils mouillaient au-dessus des mates avec des amarrages serrés à des partègues. |
Esclariat, esglariat, aglariat |
Salsepareille d'Europe, salsepareille rude (Smilax aspera) : liane-arbrisseau épineuse à fleurs odorantes et à fruits rouges en grappes, qui bloque souvent toute progression dans les sous-bois. Infusions de racines sudorifiques et diurétiques. La fleur était autrefois utilisée pour parfumer des liqueurs (cf. rin vierge, saliège, tiragasso). |
Escolo |
École. Nostré pichoun fiù séra mèstre d'escolo (Notre petit-fils sera instituteur). |
Escoube (n.f.) |
Balai (prov. escoubo, du verbe escouba, balayer, emporter, faire rafle). Par dérision et jeu de mot, s'utilise aussi pour ballet : « Tu va voir Faust au théâtre ? Eh bè, là tu en verras des escoubes ! ». |
Escoubette |
Petit balai terminé par un hérisson de chiendent, autrefois utilisé pour ramasser le crottin ou pour le lavage des toupines. |
Escoubier, escoubilhé, escoubihaire |
Balayeur de rue, éboueur, personne qui faisait la collecte des détritus de toutes sortes dans les villes et qu'ils revendaient aux paysans. |
Escoulanter (s') |
Se tremper, se mouiller extrêmement, se rendre ruisselant (prov. coulanta, escoulanta). |
Escoundre (s') |
Se cacher. Jouga à l'escoundre : jouer à cache-cache. Escoundu : caché. Mountè sies escoundu ? ». « Allez, ah ! vaï t'escoundre ! » (Vas te cacher !) [sous-entendu : tu n'as pas honte ! ». |
Escraso-merdo |
Désigne familièrement une grosse chaussure, un croquenot. « Mi sièu croupa un pareu d'escraso-merdo... ». |
Escupiègno |
Salive, crachat composé de salive. « A qua manja d'escupiegno ! ». |
Escura (s') |
Se racler de la gorge, s'éclaircir la voix, tousser, expectorer, se débarrasser les bronches. |
Esgourde (n.f.) |
Oreille. « Ouvre bien tes esgourdes ! ». On dit de quelqu'un qui est sourd, ou qui ne veut pas entendre, qu'il a les esgourdes oblitérées (ce qui correspond à l'argot français : avoir les portugaises ensablées). |
Espaloufi |
Pâle, blême, défait par la maladie (du prov. espeloufi, mais dont le sens mistralien est plutôt de : dépeigné, hirsute ; de péu, poil, cheveu). |
Espargo-fèro |
Asperge sauvage, asperge à feuilles aiguës (Asparagus acutifolius) (cf. roumaniéu couniéu). |
Espilla |
Dépecé, écorché, dépouillé (prov. espéia, espelha). « Il est maigre comme un ga espilla ». |
Espigueto |
Briza grande, herbe de la famille des graminées dont les épis ont la forme de clochettes (Briza maxima). |
Espincha |
Lorgner, épier, observer, guetter. L'espinchaire est celui qui épie. L'espinchou est l'action de guetter, de lorgner, de regarder du coin de l'œil. D'où le surnom de Spinchou donné autrefois à un professeur bien connu de l'école Martini... |
Espous, Espouss |
Éclaboussement, aspersion, retombée de gouttelettes (prov. espousc). « Comme il a plu à Toulon, je croyais qu'à La Seyne vous auriez au moins reçu quelques espous ». |
Espóutir |
Écraser, broyer, ruiner, mettre en bouillie, mettre en pâte (prov. espóuti). |
Esque |
Esche, annélidé, ver de vase (genre Hesione) utilisé comme appât par les pêcheurs provençaux (prov. esco). (cf. escavène, néréis ; mouredu, arénicole des pêcheurs, mouron, bibi ; cf. esquer, se faire désesquer). L'expression : « Va te faire une soupe d'esques ! » est employée pour se débarrasser d'un gêneur, pour l'envoyer se promener. (Ce serait le plat de résistance d'un pêcheur rentré bredouille : il ne lui reste plus qu'à confectionner son repas avec le reste de ses appâts...). Un chapeau « pour aller faire les esques » est un vieux chapeau déformé et à fond arrondi, semblable au récipient souple utilisé par les pêcheurs d'esques. |
Esquer |
Enfiler une esque, un ver de vase, ou un autre type d'appât (moule, limaçon, etc.) sur l'hameçon. Le verbe opposé est désesquer. |
Esquicher |
Presser, serrer, comprimer (prov. esquicha). |
Esquicher (s') |
Se presser, se serrer, serrer les rangs (prov. s'esquicha) ; se forcer, faire des efforts (pour aller à la selle) ; s'épuiser, donner au delà de ses moyens. |
Esquichon |
Individu de petite taille, mal venu, nabot ; enfant minuscule. « Elle a juste pris huit kilos de toute sa grossesse : elle va sûrement nous faire un esquichon ». |
Esquigne (n.f.) |
Dos, échine (prov. esquino). |
Esquille |
Écharde, éclat de bois (prov. esquilho). |
Esquinade |
Araignée de mer (Maia squinado) (prov. esquinado) (cf. chèvre de mer). |
Esquinchole |
Désigne d'une manière imagée un être à la fois malingre, osseux et chétif, maigrichon. Le terme provient certainement d'esquicher (presser, comprimer). On employait couramment ce terme aussi bien au cours des jeux (pour expliquer qu'untel ne "ferait pas le poids") que dans la vie de tous les jours : « Il y a un poussin plus esquinchole que les autres ». |
Estama, estamaïre |
Étameur, ou rétameur (prov. estamaire) (l'un des santons de la crèche provençale). |
Estampeù |
Vacarme, bruit, tapage. Faire un estampeù : tenir tête à quelqu'un, faire scandale. |
Estancaïre |
Celui qui estanque, terme parfois utilisé par les joueurs de boules qui s'écrient, après un tir réussi, un palet en place : « Je l'ai estanqué ! ». (Du prov. estanca, arrêter, bloquer, mettre obstacle ?). |
Estéou, estèu |
Récif, écueil, roche voisine des côtes, étoc. Le récif de l'Estéou est une pointe située à l'extrémité de la plage de Mar-Vivo, qui se découvre à marée basse. |
Estira |
Repasser du linge ; étirer, allonger, étendre. |
Estomagade |
Grande frayeur, grande émotion, choc nerveux (prov. estoumagado, de estouma, estomac, poitrine. |
Estocofi, stocofish,
stocofi, estoquefich, stoquefiche |
Estocofi, stocofish, stocofi, estoquefich, stoquefiche : Filet de poisson (cabillaud, églefin, lieu jaune, lieu noir, lingue, etc.) séché à l'air libre, à odeur forte. (« Ça sent le stocofi pourri ! »), dont nos grands-mères s'accommodaient mal de la prononciation anglaise stockfish, ou allemande Stockfisch (de Stock, bâton et Fisch, poisson). Le poisson ainsi préparé étant très aplati, cela a donné lieu à l’expression être maigre comme une stoquefiche (Marius, Marcel Pagnol). |
Estordi |
Étourdi, qui agit sans réflexion, sans attention (prov. estourdi). (cf. caffalo, darnagas, djèdjè, fada, fadòli, tòti, etc.). |
Estornèu |
Étourneau, sansonnet (oiseau) (prov. estournèu). |
Estraio-braso |
Fanfaron, hâbleur, personne tapageuse et importune (du prov. estraia la braso : éparpiller la braise, faire plus de bruit que de besogne) (cf. babouate, arleli, faiseur). |
Estrambord |
Transport d'enthousiasme où l'on déborde de soi, excès, extravagance, mouvement passionné, exaltation, délire. |
Estransi, estransiné |
Dans les transes, dans les affres de la peur, sous l'effet d'un violent choc émotif (de estransi ou estranci, angoisse, chagrin) (cf. estomagade). |
Estraper |
Gratter avec les pieds, piétiner (s'applique plutôt au chien qui gratte la terre, qui creuse avec ses pattes) (prov. estrapa). |
Estrasse |
Chiffon, vieux linge, hardes, loques (prov. estrasso, d'estrassa, déchirer, mettre en lambeaux). |
Estrasser (s') |
Se déchirer. Au figuré, s'estrasser de rire : éclater de rire, se tenir les côtes de rire (à s'en déchirer comme une estrasse). |
Estron |
Matière fécale moulée, étron (prov. estroun). « Je viens de trouver trois estrons fumants devant ma porte ! » (dixit le curé d'Apinac, à l'occasion d'un épisode de querelles avec les colonies de vacances laïques de la ville de La Seyne...). (cf. également nifle, sentinelle). |
Estrop |
Cordelette ou lanière de cuir servant à attacher l'aviron à son tolet. |
Estubade |
Prendre une estubade : être essoufflé, avoir du mal à reprendre son rythme respiratoire ; être en nage, fondre en sueur. « En poussant le charreton par n'importe quel temps, l'hiver on se gelait le pessegon et l'été on prenait de belles estubades ». Du prov. estuba, étuver, prendre un bain chaud. |
Éteindre |
Éteindre le feu, c'est boire un grand verre d'eau à la fin d'un repas bien arrosé. |
Eusses |
Eux. « Eusses, en bas, à Marseille, ils ont de longue le mistral ! ». |
Évescat |
Évêché, siège ou demeure épiscopale. Nom d'un quartier de La Seyne où fut autrefois édifié un prieuré (chapelle Saint-Louis) qui accueillit les évêques de Toulon. |
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Jean-Claude Autran 2021