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Colonie de vacances du Touvet
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20-23 septembre 2022 : École Émile Malsert

Q1.

Cher Jean-Claude

Une question : l'école Malsert aurait perdu son nom. Que sais-tu ? S'il s'avérait qu'une telle décision aurait été prise, quel scandale ! Il faudrait protester énergiquement.

D'accord pour le samedi vers 20h30.

Amitiés

JG

R1.

Cher Jacques,
 
Nous avions, depuis 1973, le groupe scolaire Malsert 1 (rue La Fontaine) - Malsert 2 (2 chemin de l'Évescat).
 
En 2021, les élus ont décidé que l'école Malsert 2, porterait désormais le nom de Cédric de Pierrepont, nageur de combat « mort en héros de la nation le 10 mai 2019 au Burkina Faso, lors d'une opération de libération d'otages », près de Gorom-Gorom dans la nuit du 9 au 10 mai 2019. Il bénéficia d'un hommage national à l'hôtel des Invalides à Paris, où Emmanuel Macron le nomma premier maître à titre posthume.
 
Il résidait avec sa famille au quartier de l'Evescat.
 
C'est à la demande de son épouse, avec qui il habitait quartier de l'Evescat, de la directrice de l'école Malsert 2 et des enseignants, que son nom est attribué (conseil municipal du 29 juin 2021) à l'établissement scolaire Malsert 2 (Var-Matin, 2 juillet 2021). L'inauguration a eu lieu le 30 août 2021.
 
Il n'y a donc plus désormais de groupe scolaire Malsert 1 - Malsert 2, mais uniquement une « école primaire Émile Malsert ».
Amitiés.

Jean-Claude

Q2.

Cher Jean-Claude,

Le nom de Malsert est maintenu. Ouf !

Mais le rapport entre l'école et  un nageur de combat ne paraît pas évident !

Merci

Amitiés

JG






12 mars - 6 avril 2022 : Photos de l'ancienne école François Durand

Q1.

Bonjour Jean-Claude,

(...) Mes questions maintenant ...

- J'ai eu beau faire des recherches sur l'histoire des écoles de la Seyne durant la 2de guerre mondiale (pourtant bien documentée), je n'ai rien trouvé sur la fermeture de l'école François Durand et le déplacement des élèves vers l'école Curie. Quelqu'un aurait-il des renseignements à ce sujet (date, documents, raisons réelles) ? Si vous connaissez le nom des enseignant(e)s de cette école pour les années 40-43, je suis aussi preneur.

- Quelqu'un aurait-il des renseignements ou des photos sur les commerces de la rue Nicolas Chapuy et des environs dans les années 30-40 ? Le coiffeur Georges Papageorgis (trouvé dans le recensement de 1931), l'épicerie de Mme Tric, le restaurant de Mme Carle au no 4 de la rue, celui de la famille Consanti au no 3 de la place Noël Verlaque (place de la Lune ou Benoît Frachon)...

Je vous joins quelques photographies en ma possession (leur descrition est dans le nom des fichiers) qui pourront enrichir votre site si complet. Merci pour votre travail.

FA

R1.

Cher ami,

(...) Concernant vos autres questions :

- Je ne sais pas grand-chose sur l’école François Durand pendant l’occupation allemande. Mon père n’a rien écrit de précis là-dessus, sauf que l’école a été partiellement détruite lors du bombardement du 29 avril 1944.
- Je ne savais pas que les élèves avaient été dirigés vers Curie, ni que les Allemands avaient installés un quartier général à François Durand. D’autant que les Allemands occupaient déjà en partie l’école Curie (ma mère y enseignait à l’époque et elle avait beaucoup de souvenirs des manœuvres des chars allemands et des préparatifs de leur division qui devait être envoyée au début de l’été 1943 à la bataille de Koursk où elle fut complètement anéantie). Dans ces conditions, si Curie avait dû absorber des élèves de François Durand, la situation devait être évidemment très tendue.
- L’école a porté le nom de François Durand à partir de 1918. Elle s’appelait école Pissin auparavant (du nom des anciens propriétaires du terrain), mais le nom d’école Pissin est resté très longtemps utilisé par les vieux Seynois. Mon père a écrit un petit chapitre sur cette école (http://jcautran.free.fr/oeuvres/martini/enseignement_primaire.html#5), mais il ne cite que les noms des anciens directeurs, pas celui des enseignants.
- Merci pour toutes les photos. Il est possible que j’aie des photos de classes de cette école (parues dans Var-Matin il y a une vingtaine d’années). Si je les retrouve, je vous les enverrai. Mais je ne crois pas en avoir des années 30 ou 40.
 
A bientôt pour la suite des informations que je pourrais encore retrouver.
 
Bien cordialement.
 
Jean-Claude Autran

Q2.

J'ai retrouvé deux photographies de l'école François Durand en 1942.

En haut : Colette (le nom de famille de sa grand-mère était Menut) - ? -? - ? - ? - ?
2e rang : ? - Lucienne ALERINI – Judith - ? - ?
Assises : ? - Simone – Hélène - ? - ?


Lucienne ALERINI dans la cour de l'école. A l'arrière plan, Mme Bauchière, qui nous faisait chanter "Maréchal nous voilà !" le matin.

R2.

Cher ami,
 
Merci pour votre dernier message.

(...) Par ailleurs, je n’ai aucun original de photos de l’école François-Durand. Je n’ai qu’un article de presse de Var-Matin (ci-joint) qui fournit une photo de classe de 1948-1949 (instituteur, M. Sagneau ? ou plutôt Sajhau ?). A vrai dire, j’avais une série d’autres photos de cette école, mais je les avais prêtées il y a fort longtemps  à un voisin, ancien élève de François-Durand, qui ne me les a jamais rendues… Je vais essayer de les lui récupérer, mais c’est sans garantie qu’il les retrouve.


Amicalement.
 
Jean-Claude Autran

Q3.

Bonjour Jean-Claude,

En continuant à fouiller les archives familiales pour raconter l'enfance de ma maman, j'ai retrouvé une photographie qui pourrait enrichir votre site. Il s'agit d'une photo de classe de l'école de l'avenue Fort-Caire (qui deviendra l'école Pissin, puis François-Durand, et enfin groupe scolaire Émile-Malsert) datant de 1916.

FA

R3.

Bonjour Franck,

Merci pour tout. Cette dernière photo a été mise en ligne, ainsi que les précédentes. Peut-être que des petits-enfants ou arrières-petits-enfants y reconnaîtront l'un de leurs ancêtres... Je n'ai malheureusement toujours pas pu récupérer d'autre photo de l'école François Durand.

Amicalement.

Jean-Claude Autran




11-13 octobre 2021 : L'école municipale de Carcès, instituteurs publics : Autran, Pujarniscle

Q1.

Pour info : « 1881, 17 février. L'école communale de Carcès »

Instituteurs publics : Autran, Pujarniscle.

Amicalement.

(Quand la rentrée scolaire se faisait un 1er octobre)

LJ

En 1878, la municipalité de Joseph Jehan décide de construire une école communale. Elle projette l'achat de deux maisons pour 14 000 et 10 000 francs et d'un jardin. Mais l'affaire ne se fera pas et finalement un terrain nu, à la sortie de Carcès, quartier du Paramal, sera acheté en 1879, pour y construire le groupe scolaire.

Dressé par l'architecte Daniel, cet établissement coûtera 66 500 francs plus le prix du terrain de 8 000 francs. C'est grâce à un legs de Joseph Fournery, gros propriétaire donateur, qui permettra de tout régler. Une subvention du Conseil général de 1 240 francs pour constructions scolaires, le 9 avril 1880, vient compléter la somme.

L'adjudication du 20 juin 1880 est octroyée à l'entrepreneur Didier Roux de Brignoles qui offre un rabais de 14%. Il comprend 4 classes et 4 logements pour les instituteurs.

Le jeudi 17 février 1881, à 8h30, le conseil municipal complet (20 membres : Philippe Sauve, maire, Alfred Revertégat 1er adjoint, Philippe Dudon 2nd adjoint, Lieutard, de Fanton, Féraud, Gras, Rimbaud, Simon, Marcel, Constant, Joannès, Louis, Pourrières, Audibert, Florens, Bernard, Galuy, Jaubert, Allègre) élu le 9 janvier, réuni sous la présidence de Sauve envisage l'édification d'un fronton du bâtiment scolaire en projet. Une vive discussion s'engage et après de longs débats, il est procédé au vote, qui rejette par 12 voix contre 8, la proposition de la commission des travaux publics. Nous ignorons la teneur du litige, les archives de cette délibération étant introuvables, (Selon Louis Revertegat maire en 1886 le registre des délibérations offre de grosses lacunes) était-il économique ou philosophique ?

Le fronton adopté est un triangle grec des temples helléniques ; symbolisant le triptyque républicain liberté, égalité, fraternité, sur le tympan, est sculpté par le carçois (1843-1895) François Siméon Berthon, 38 ans, habitant au Paramal à côté de l'école ! C'est une femme étoilée que l'on peut décliner comme étant la Liberté, la République, l'Ecole Laïque, ou encore Marianne tenant dans sa main droite, un enfant libéré de ses chaînes (son poignet droit encore menotté) et couronnant une fille lisant. En deux mots, l'école publique libère et émancipe ; instruit et récompense.

Berthon sculptera aussi le bas-relief de la mairie-école de La Celle avec l'inscription "Liberté, Sciences, Egalité" et "Errorem erupte. Sua radiatio da bit scientiam durabilem" soit "l'instruction chasse l'erreur. Son rayonnement engendrera un savoir durable".

L'école ouvre ses portes à la rentrée d'octobre 1881, située rue du Paramal sous la direction de Joseph Coulomb (succédant à Pescher1), 30 ans, instituteur public (né à Fréjus) habitant avec sa femme et sa fille et aidé de Henri Niel, 18 ans, adjoint (né à Barjols).Chez les filles, c'est Marie Gourrier 2, 25 ans, (née à Cuers) vivant avec sa soeur, qui oeuvre.

1 N.Pescher (1880-1881), Joseph Coulomb (1881-1882), François Senes (1882-1885) Jacques Coste (1885-1886), Joseph Fave (1886-1897),
Puits (1897-1901), Marius Pujarniscle (1901-1904), Stanilas Henry (1904-)
2 Marie-Joséphine Gourrier (1880-1888), N. Menut (1888-1889), Joséphine Pasier (1889-1891), Julie Amar (1891-1902), Emilie Siméon
(1902-1904), Joséphine Pasier (1904-1906), Baptistine Lautier, née Fabre (1906-)

Dimanche 2 octobre 1881, a lieu l'inauguration du groupe scolaire par Alfred Revertégat nouveau maire de Carcès et conseiller général du canton de Cotignac depuis le 24 avril en remplacement de Lambert décédé, en présence du Préfet de Draguignan, Favalelli à peine arrivé sans le Var et du sous-préfet de Brignoles Garripuy, de l'Inspecteur d'Académie Granboulan et du maire de Brignoles Sicaire Amblard.

Revertégat fait l'éloge du généreux donateur Fournery.

Granboulan rappelle les sacrifices que font les communes pour les écoles.

Le préfet martèle que "l'amélioration des masses ne peut être assurée que par l'instruction, que le gouvernement a toujours beaucoup fait pour assurer son développement et met toute sa sollicitude afin de mener à bien son vaste programme".

La musique de l'école communale du Thoronet dirigée par Cisson, son instituteur, prête son concourt à cette manifestation.

Un banquet final réunit les invités et le conseil municipal.

"En résumé, bonne journée pour la République et les républicains. Les habitants de Carcès en garderont longtemps le précieux souvenir", écrit Le Petit Var.

Georges Clemenceau, le député varois viendra la visiter le 25 octobre 1887.

Pendant la guerre de 1914/18, cette école aura 45 de ses élèves Morts pour la France en et un maître d'école : Marius François Chandre, né le 15 décembre 1887 à Roquebrune; réformé pour pleurésie en 1910 ; Il est instituteur à Carcès en 1913/14 ; marié à Séranon (06) 15 avril 1914 avec Gabrielle Berrin ; a un fils Fernand Henri Rosin né le 6 mars 1915 à Carcès. Il est déclaré bon pour le service en décembre 1914 ; affecté au 27e BCA de Menton le 18 février 1915, passe au 6e BCA Nice comme aspirant, part en Algérie en novembre 1915 puis en Orient le 9 janvier 1916. Il rentre le 21 février 1916 à l'hôpital Achilleion de Corfou où il meurt des suites de maladie 15 mars 1916.

Autres hussards noirs marquant ayant "sévi" à cette école, Sénès, Pujarniscle, Ballandras, Beynet, Lonjon, Autran, Bech et chez les institutrices, Amar, Reboul, Bourjac, Brieugne, Ambard...

Elle fermera ses portes en 2013 soit après 132 ans de bons et loyaux services.

Maurice Mistre

Sources : Le Petit Var. Carcès 1870-1920 J. Seillé. Photo R. Chiapello.

R1.

Cher ami,

Merci pour cet historique.

Effectivement, mon père a dirigé l’école primaire de garçons de Carcès de 1935 à 1938, avec comme collègues Ballandras (qui est cité aussi) et Gravier. Voir la photo ci-jointe.

Ma mère enseignait aussi à l’école de filles de Carcès. Je ne sais plus le nom de sa directrice, ni de ses collègues.

Mais ils n’y avaient pas gardé de bons souvenirs car c’est à Carcès qu’ils avaient perdu à l’âge de 3 ans le petit garçon qui aurait dû être mon frère aîné.

Amitiés.

Jean-Claude Autran








13-15 janvier 2021 : Que sont devenus nos anciens maîtres, maîtresses ou professeur(e)s ?
En 2020, combien en reste-t-il qui soient toujours de ce monde ?


Q1.

Chers vieux amis et camarades de Martini-Beaussier.

Permettez-moi tout d’abord de vous souhaiter une très bonne et heureuse année 2021, et surtout une très bonne santé, en espérant que vous continuiez à traverser sainement et tranquillement cet épisode compliqué que nous vivons depuis bientôt un an - et dont nous sommes loin d’être sortis.

J’espère cependant que 2021 verra très progressivement un retour à une vie plus normale et que nous pourrons peut-être de nouveau tous nous retrouver, sains et saufs, autour d’une bonne table, ce que nous n’avons hélas pas pu faire en 2020, à condition que le restaurant où nous avions l’habitude d’aller n’ait pas mis la clé sous la porte entre temps...

En attendant, pour occuper vos loisirs, je vous adresse un petit document que j’ai réalisé grâce au temps libre qui nous a été libéré par ces mois de quasi-confinement. Il s’agit d’une liste des professeurs de Martini et Beaussier, moderne et technique, que nous avons eus ou seulement croisés, dont je me suis souvenu des noms. En essayant de savoir ce qu’ils étaient devenus, en recherchant leurs dates et lieux de naissance et de décès dans des bases de données généalogiques ou d’état-civil.

Suivre le lien : http://jcautran.free.fr/archives_familiales/scolarite/scolarite_jcautran.html#4

Je pense que cela pourra vous intéresser et vous rappeler sans doute de vieux souvenirs...

Mais comme je n’ai pas pu tout retrouver, je vous communique mon document tel qu’il est. Si jamais vous avez des compléments à y apporter, ou des corrections à suggérer, à partir de vos propres souvenirs, merci de me les communiquer.

J’ai le même travail sur les instituteurs de quelques écoles primaires de La Seyne dont je me suis souvenu. Ainsi que (mais très incomplet car je ne l’ai pas fréquenté) pour le collège Curie. Si cela peut intéresser certains d’entre vous, je peux aussi vous les envoyer.

Amicalement.

Jean-Claude Autran

R1.

Cher Jean-Claude,

Merci pour tes vœux....

Je m’empresse de t’adresser les miens et ceux de Mario, mon époux, spécialement en ces temps difficiles, vœux de santé, d’espoir et de paix , avec le désir de nous retrouver à nouveau tous réunis pour une journée de souvenirs,de détente et d’amitié !!!

La liste des profs m’a fait plaisir, beaucoup d’émotions et de souvenirs....

La liste des profs de Curie m’intéresse aussi...

Bien à toi , amicales pensées.
 
Francine et Mario Boz.

Q2.

Bonsoir Francine,
 
Ci-joint la liste des noms et l’état-civil des professeurs du collège Curie dont j’ai pu retrouver les noms. Il y en sans doute bien d’autres dont tu te souviens peut-être. Je suis preneur de tout complément ou précision que tu pourrais apporter à ma liste.
 
Amitiés.
 
Jean-Claude

R2.

Cher Jean-Claude,

Je te remercie de tes bons vœux et à mon tour je t'adresse les miens pour l'ensemble de ta Famille et de ceux qui te sont chers. (...).

Bravo pour ton travail de recherche, retrouver certains noms et les souvenirs de jeunesse qu'ils évoquent est réjouissant .

Bien amicalement à toi

Michel

Compléments :

Marcel Bodrero, prof d'EP, joueur de rugby au RCT et initiateur du Pilou pilou
Jean Guillou prof d'EP seul sélectionné français aux JO de Melbourne en gymnastique

Q3a.

Cher Jean-Claude,

Merci pour tes voeux et la bonne idée de cadeau qui les accompagne : un document remarquable…

Que de noms qui ravivent en notre mémoire des quantités de souvenirs,  précieux à notre âge !

Bonne santé à toi et à bientôt, nous l’espérons.

Nous sommes aussi intéressés par ton travail sur les instituteurs des écoles primaires ainsi que celui qui concerne le collège Curie.

Amicalement.

Robert et Micheline

Q3b.
 
Cher Jean-Claude,

Grâce à ta précieuse documentation, nous avons fait un nouveau bond dans les temps heureux et insouciants de notre prime jeunesse.

Merci !

Amicalement.

Robert et Micheline






19 février 2020 - 12 décembre 2021 : École de Plein Air de la Dominante

Q1.

Quelle était la date de fermeture de l'École de Plein Air de la Dominante ?

MCA

R1.

Bonjour Marie-Claude,
 
Autant on connaît bien les dates d’ouverture (7 janvier 1957) et d’inauguration (19 janvier 1957) de l’école de plein air, autant les municipalités ont été discrètes sur sa fermeture (aucun bulletin municipal ne s’en vante).

Il est dit qu’elle a fonctionné « plus de 40 ans » (source : programme des JEP 2018) et on a d’ailleurs encore célébré le 40e anniversaire (Var-Matin du 5 juin 1997, article ci-joint).

Var-Matin, 5 juin 1997

J’ai finalement trouvé dans un rapport sur « l’action sociale et le service social de la municipalité » récemment publié (février 2020) par des membres d’HPS (pdf ci-joint, voir à la page 27) que « L’école ferme ses portes en juin 1999 suite à la décision de l’Education nationale ». En 2000 , il est en effet question « d’ex-école de plein air ».

Désiré Huiart (22 juillet 1925, Fontaine-au-Pire, Nord - 7 aaoût 2003, Toulon). A dû prendre sa retraite vers 1985. L’école a ensuite été dirigée par Renée Montano.
 
Amitiés.
 
Jean-Claude

Q2.

Bonjour Jean-Claude,

Je te remercie beaucoup pour ces informations. Bien amicalement.

Marie-Claude.

Q3.

Bonjour Jean-Claude.

Tout d’abord, bravo pour votre site et le travail de fourmi qu’il a demandé. Impressionnant le nombre de documents que l’on peut y trouver.
Dans mes recherches sur votre site, je n’ai rien trouvé sur l’école de Plein Air la Dominante et sur le couple d’instituteurs spécialisés qui en avait la charge (Paulette et Désiré Huiart).
Mais peut-être n’ai-je pas cherché au bon endroit ? Pourriez-vous m’aider ?

Cordialement
Alain Etienne (mes parents, instituteurs spécialisés, étaient très proches des Huiart dans les années 1964-1974).

R3.

Bonsoir,
 
Merci pour votre message.
 
Il n'y a effectivement, dans mon site, pas beaucoup de choses sur l'école de Plein Air de la Dominante. Il y a cependant le paragraphe écrit par mon père dans son Histoire de l'enseignement à La Seyne (1982). Voir à : http://jcautran.free.fr/oeuvres/martini/enseignement_primaire.html#11
 
On trouve aussi dans le « forum » de mon site, dans la rubrique Enseignement et Écoles, les quelques informations suivantes :
(http://jcautran.free.fr/forum/enseignement_et_ecoles.html#76)
 
Dates d’ouverture de l’école : 7 janvier 1957 et inauguration le 19 janvier 1957
Elle a fonctionné « plus de 40 ans » (40e anniversaire célébré le 5 juin 1997, article de Var-Matin ci-joint).
L’école ferme ses portes en juin 1999 suite à la décision de l’Éducation nationale
Désiré Huiart avait dû prendre sa retraite au plus tard en 1985. L’école a ensuite été dirigée par Renée Montano.
 
J’ai assez bien connu aussi le couple Huiart :

- Désiré Clovis Huiart, né le 22 juillet 1925 à Fontaine-au-Pire (59) est mort à Toulon le 7 août 2003.
- Son épouse Paulette Roberte Renée Huin, née à Paris le 19 septembre 1926 est morte à La Seyne le 18 juin 2017.

Mon père avait eu leurs enfants Alain et Jean parmi ses élèves au début des années 60.
 
Concernant l’école de Plein Air, en dehors de mon site internet, j’ai aussi dans mes archives divers articles de presse qui en parlent et que vous trouverez aussi ci-joints.
 
Bien cordialement.
 
Jean-Claude Autran

Q4.

Un grand, grand merci Jean-Claude pour votre réponse rapide et les documents joints.

Quelques mots d’explication.

Mes parents, tous deux instituteurs spécialisés, ont rencontré les Huiart après guerre dans les écoles de plein air d’Allemagne (Forêt Noire, Lac de Constance). Ils ont sympathisé et Paulette est devenue la grande copine de ma maman.

Nous passions à la fin des années 50/début des années 60 une partie de nos étés à Fabrégas, dans un ancien camping actuellement terrain militaire. C’est là que j’ai connu Alain et Jean qui était à l’époque mon grand copain et avec qui je passais une grande partie de mes vacances à taper dans un ballon de foot.

En 1963-64, deux postes d’instituteurs spécialisés étant libres à La Dominante, et le mouvement des instits spécialisés étant national à l’époque, mes parents ont obtenu leur exeat du Pas-de-Calais et leur ineat dans le Var. Il semblait donc évident que mes parents auraient un poste à La Dominante à la rentrée 1964, et un appartement avait été loué à La Seyne.

Mais, pour une raison obscure, mes parents ont été nommés dans deux écoles spécialisées d’ Hyères (on peut supposer que l’appartenance de mon père à la tendance U&A du SNI - syndicat national des instituteurs, à majorité UID dans le Var à l’époque - n’est pas étrangère à cette nomination, ce n’est qu’une hypothèse).

Mais nos parents sont restés très proche des Huiart et nous allions souvent à La Dominante à la fin des années 60. C’est par ailleurs Zizi qui m’a appris à skier à Vars, où nous avons rencontré de nombreuses personnes de La Seyne, dont Francisque Luminet.

Par votre mail, j’apprends avec une certaine émotion le décès de Paulette en 2017. Je ne l’avais plus revue depuis décembre 2008, année où je l’avais accompagnée voir ma maman en soins palliatifs à Chateaubriand (Hyères).

(...)

Cordialement

AE

De g à d : mon père Gilbert Etienne, Zizi Huiart et Francisque Luminet (1er janvier 1969 à Vars)

R4.

Cher ami,
 
Merci pour ces nouvelles précisions sur la famille Huiart et leurs relations avec vous et vos parents.

Avec amitiés.

Jean-Claude Autran





24 août - 29 décembre 2019 : Etablissements scolaires communaux, enseignement mutuel et bataillons scolaires

Q1.

Bonjour,

J'alimente un fonds documentaire audio sur le patrimoine de la région. Les établissements scolaires communaux sont incontournables. Collectivement, nous pensons tous connaitre "l'Ecole" mais en fait la lecture d'ouvrages de blogs comme celui que vous tenez à partir des livres de Marius Autran révèlent notre ignorance.

Aussi j'aimerais vous proposer de contribuer à la documentation concernant ce sujet.

Merci par avance.

Cordialement.

LG

R1a.

Cher Monsieur,
 
Merci pour votre message et pour l'action que vous menez.
 
En réponse, je puis vous dire :
 
1) Toutes les sections de mon site internet qui renferment les écrits de mon père sur l'école (histoire, souvenirs, anecdotes,…) sont à votre disposition. Vous pouvez les utiliser avec mon accord en mentionnant simplement leur origine :
 
- L' Histoire de l'École Martini et l'enseignement à La Seyne-sur-Mer de 1789 à 1980, que vous avez déjà dû consulter à l'adresse :
http://jcautran.free.fr/oeuvres/martini/sommaire_martini.html
Les rubriques du « forum » de mon site relatives à l’enseignement et aux souvenirs scolaires de mon père et de moi-même :
Anciens camarades de Marius Autran : http://jcautran.free.fr/forum/anciens_camarades_ma.html
Anciens élèves de Marius Autran : http://jcautran.free.fr/forum/anciens_eleves_ma.html
Anciens camarades de Jean-Claude Autran (école primaire) : http://jcautran.free.fr/forum/anciens_camarades_jca1p.html
Anciens camarades de Jean-Claude Autran (collège et lycée) : http://jcautran.free.fr/forum/anciens_camarades_jca1s.html
Échanges divers sur l’enseignement et les écoles à La Seyne : http://jcautran.free.fr/forum/enseignement_et_ecoles.html
 
La première partie de l’Histoire de l’École Martini a été réactualisée et rééditée par mes soins en 2012. De nouvelles annexes ont été rajoutées qui contiennent : poèmes, chansons humoristique, liste des élèves,… Le fichier pdf de ce nouvel ouvrage est de taille élevée (100 Mo). Je vous l’adresse donc par WeTransfer.
 
2) En matière de fonds documentaire audio, il existe un DVD d’une heure renfermant une interview de mon père (vers l’an 2000) sur « Les écoles de mon enfance ». Je vous envoie, également par WeTransfer le fichier mp4 de cette interview. Si vous devez l’utiliser, il conviendrait de citer, outre Marius Autran, l’Association « Histoire et Patrimoine Seynois ».
 
3) J’ai fait très récemment, en duo avec un ami seynois, une conférence sur « Les Écoles de notre Enfance » devant l’Association des Amis de La Seyne Ancienne et Moderne. Je vous envoie aussi le fichier pdf de cette conférence. Il n’y a pas eu d’enregistrement audio de fait, mais, si vous souhaitez m’interviewer pour que je réponde à vos questions à propos de ces souvenirs d’écoles, je suis à votre disposition, s’il vous est possible de venir chez moi. Un RV peut être pris, mais plutôt après la mi-octobre car je suis un peu surchargé actuellement.
 
Bien cordialement.
 
Jean-Claude Autran

R1b.

Bonjour,

Suite à notre dernier entretien téléphonique, j'ai effectué quelques recherches sur les sources que mon père, Marius Autran, avait dû utiliser pour écrire son texte sur l'école mutuelle. J'ai pu identifier une page de l'ouvrage : L'ECOLE PUBLIQUE FRANÇAISE, en 2 volumes. Ed. Rombaldi, 1952, page 58. Ainsi qu'un bref passage de l’Histoire générale de La Seyne, de Louis Baudoin, 1965, page 409.
 
Par ailleurs, j'ai retrouvé un long texte publié dans le BULLETIN DE L'ACADÉMIE DU VAR, année 1895, pages 1-120. Le chapitre "L'enseignement mutuel à Toulon" se trouve à la page 21 et celui sur "L'enseignement mutuel à La Seyne" se trouve à la page 31.
 
Également LE PATRIMOINE DE L'EDUCATION NATIONALE. Flohic éditions, 1999, pages 348-364.
 
Et aussi L'ÉDUCATION EN VAUCLUSE À TRAVERS LES SIÈCLES, Ed. Européennes de Marseille-Provence, 2003, pages 44-45. Cet ouvrage avait été écrit par le recteur Paul Rollin, qui était à l'époque en contact avec mon père car il préparait son ouvrage suivant L'ÉDUCATION DANS LE VAR À TRAVERS LES SIÈCLES. Hélas, le recteur Rollin est mort au printemps 2003 et ce dernier ouvrage n'a jamais vu le jour.
 
Vous trouverez ci-joint les fichiers pdf des 5 documentscutés ci-dessus (peut-être aviez vous déjà trouvé et consulté certains d’entre eux ?)
 
Bien cordialement.
 
Jean-Claude Autran

R1c.

Bonsoir,

Voici, ci-joints, quelques autres documents, cette fois sur les Bataillons Scolaires dans le Var, sujet qui, je crois, vous intéresse aussi.

- BROUSSAIS Monique. Les bataillons scolaires, Bulletin de l'Acavémie du Var, année 2011, pp. 168-171.
- MEUNIER Régine. L'école de Gonfaron et son bataillon scolaire. Var-Matin (Notre Histoire), 9 octobre 2017.
- RIBOT Henri. Ephémérides du 20 juillet 1882. Les bataillons scolaires à La Seyne.

Bien cordialement.

Jean-Claude Autran

Q2.

Bonjour Jean-Claude,

Merci pour toute la documentation que vous me faites parvenir.

A propos de l'enseignement mutuel, je vous fais parvenir via Wetransfer une émission enregistrée sur France Culture.

Bonne réception et écoute

Cordialement.

LG

Q3. (9 décembre 2019)

Bonjour,

Comme convenu, je reprends contact.
Votre agenda vous laisse-t-il 2 heures pour une contribution sur :
- l'histoire de l'enseignement à La seyne sur Mer au travers du prisme législatif national et sa déclinaison communale.
- la création de l'école publique dont la pédagogie était basée sur l'enseignement mutuel.
- les locaux successifs investis par cette école 'Martini'.
- les premiers directeurs qui s'y sont succédé.
- leurs conditions de travail, logement, traitement, ainsi que ceux du personnel attaché à l'établissement.
- Les autorités de tutelle.
- Le niveau d'enseignement et les débouchés locaux pour les élèves.
- les établissements concurents.
Bref, réponses à ces questions regroupées principalement sous les 2 premiers chapitres de l'école Martini écrite par votre père.

Merci par avance.

Cordialement.

LG

R3.

Bonjour,

Pardon pour le retard avec lequel je réponds à votre message.

Comme convenu, je veux bien contribuer à votre projet sur l'histoire de l'enseignement à La seyne sur Mer.

Je trouverai certainement 2 heures courant janvier.

Comment dois-je m'y prendre ? Vous envoyer d'abord un texte ? M'enregistrer et vous envoyer un fichier audio ? Ou est ce vous qui venez chez moi (ou en un autre lieu) pour m'interviewer et enregistrer un ensemble de questions-réponses ?

Merci de me préciser le format que vous souhaitez pour traiter le sujet.

Bien cordialement.

Jean-Claude Autran





17 juin - 20 juillet 2019 : Nouvelles photos de classe de l'école Martini (1941 et 1947)

Q1a.

Je te transmets la photo avec la meilleure résolution de Monsieur Bertolotto.

MH

Q1b.

Bonsoir jean-Claude

Je n’ai pas pu résister à restaurer immédiatement la photo de Bertolotto. J’ai encore un peu de travail pour parfaire cette restauration.

Amitiés.

MH

R1.

Merci beaucoup, Michel. Elle est magnifique. Et ta restauration est quasiment un travail de professionnel.
 
Jean-Claude

Q2.

Bonsoir

Voici la photo.

Pour mémoire: je suis tout à gauche au deuxième rang du bas. Mon camarade Christian Laproye, rang du haut avant dernier à droite

Nous avions 7 ans......

Bien cordialement.

Claude Arata

R2.

Bonsoir,

Un grand merci pour cette magnifique photo.

Je vais demander à M. Bertolotto (2e en partant de la gauche dans la rangée la plus haute) s’il peut identifier d’autres anciens camarades sur cette photo, ainsi que le nom de l’institutrice de cette année-là.

Il est possible que mon père ait eu comme élèves dans les années 1944-1946 certains de ceux qui figurent sur cette photo. Comme mon père avait conservé la plupart de ses carnets de notes, j’avais pu recopier sur mon site internet tous les noms retrouvés dans les cahiers, année par année et classe par classe. Je vous donne ci-dessous le lien permettant d’accéder à ces listes. Peut-être certains noms vous parleront.

http://jcautran.free.fr/archives_familiales/profession/liste_des_eleves/cahiers_de_notes.html

Merci encore. Bien cordialement.

Jean-Claude Autran

Q3.

Bonjour

Bien reçu. Merci. J'ai retrouvé des noms connus : Bracco - Bressan - Provencal .........

Bien cordialement.

Claude Arata

R3.

Bonsoir Michel,
 
Le  feuilleton de cette photo continue car c’est la même qui a été publiée lundi matin par Var-Matin dans l’annonce de la conférence du lundi soir (voir article ci-joint). Je ne m’en était pas rendu compte, mais c’est un autre ancien élève qui figure sur la photo qui s’est reconnu, qui m’a téléphoné et qui m’a ensuite envoyé copie de son exemplaire (ci-joint également).

Var-Matin, 17 juin 2019
 
Ce Monsieur (que je connaissais depuis quelques mois par l’Académie du Var) n’est autre que… l’amiral Claude Arata. Sur la photo il est au 2e rang assis, le premier en partant de la gauche. Il ne se souvient pas de Bertolotto. Il n’a reconnu qu’un seul de ses anciens camarades, Christian Laproye, aujourd’hui décédé, qui se trouve avant-dernier à droite sur la rangée la plus haute.
 
Comme tu dois ramener sa photo à M. Bertolotto, tu pourras lui demander s’il se souvient de ces deux derniers noms et aussi si, lui, en a reconnu d’autres, et aussi qui était l’institutrice de cette année-là ? D’après Claude Arata, c’était une personne sévère. Je crois que Bertolotto est le 3e en partant de la gauche de la rangée du haut (mais lui demander pour vérifier). Tu pourras aussi vérifier s’il s’agit de Marc ou de Barthélemy (« Mimi »).
 
Amitiés.
 
Jean-Claude


Grâce à Claude Arata et à Marc Bertolotto, 15 noms d'élèves ont pu maintenant être identifiés : 1 - Marc Bertolotto ; 2 - Suzzoni ; 3 - Garcia ; 4 - Christian Laproye ; 5 - Olivi ; 6 - Marcel Parducci ; 7 - "Fanfan" Orsatelli ; 8 - Agop ; 9 - "Mimile" ; 10 - Edmond Rostand ; 11 - Roger di Silvestro ; 12 - Claude Arata ; 13 - Jules Bottero ; 14 - Boccacio ; 15 - Garcin


Q4.

Mon cher Jean-Claude

J’ai remis la photo hier soir à Marc Bertolotto en allant chez lui. Il m’a très bien reçu. J’ai fait la connaissance de son frère Antoine, instituteur à la retraite.

Toute la famille Bertolotto habite dans le même quartier, chemin des 4 moulins (...).

Amitiés

MH

R4.

Une autre photo de classe de l'école Martini, celle-ci de l'année 1947, classe de M. Vacchero, vient également de nous être confiée par Jacques Girault, avec identification des noms de la plupart des élèves :

Année 1947 - Classe de M. Vacchero
Elèves identifiés par M. Jacques Girault : (de gauche à droite)
- Rang du haut : Bonnarié, Di Silvestro, Jardet, Merenda, Selveta (Mocera ?), ?, Castillo, Mirabeau, ?, ?, Romano, Abonna, Castillo (Carignan ?)
- Rang du milieu : Urri, Barbier, Girault, Jauffret, Ciarle, Boeri, Unri, Laure ?, Petit, Stefannini, Mateucci, Garaudy, Trille
- Rang du bas : Jalbot, ?, ?, Le Guen, Allons, Kolesnikoff, Zunino, Davin,  Guieu, ?, Ribet,  Zunino, Bertolotto,  Penon

Jean-Claude Autran

Q5.

Merci pour cette conférence sur l’école Martini ! ! !   Vos évocations ne sont surement pas terminées et j’espère bien par votre intermédiaire, passer à la postérité avec mes copines de classes primaires à La Seyne !

Voici donc deux photos de 1946 et 1948 (?) à l’école Curie.

J’ai d’autres documents qui sont à votre disposition.

Cordialement

MTP

École primaire Curie, année 1946
École primaire Curie, année 1948 (?)

R5.

Bonjour,
 
Merci pour votre message relatif à notre conférence du 17 juin sur les souvenirs des écoles de notre enfance. Évidemment, nous n’avons su parler que des écoles que nous avons connues : Martini et un peu Ernest Renan. Si nous avions été élèves de François Durand, de Berthe, des Maristes,…, nos souvenirs auraient été complètement différents. Une ancienne élève qui aurait fait toute sa scolarité à Curie, primaire et collège, aurait certainement bien des souvenirs tout aussi intéressants à raconter dans une semblable conférence. A réfléchir.
 
Merci également pour vos deux photos de classes primaires. Mais je ne suis pas certain d’avoir pu vous identifier sur les deux photos. Je crois vous reconnaître sur celle de 1946 mais je ne trouve pas sur celle de 1948. Si vous avez noté les noms de (au moins quelques-unes) des élèves sur ces photos, je serais heureux de les connaître. De même, je suis preneur de toutes autres photos de classes, surtout si elles sont datées et avec des noms d’élèves identifiés.
 
Je vous en remercie par avance.
 
Amicalement.
 
Jean-Claude Autran

Q6.

.....je vais compléter les noms que j’ai.

Cordialement.

MTP








26-27 septembre 2017 : Histoire du Collège Curie

Q1.

Bonjour Jean Claude, je vais te donner un devoir à rendre impérativement avant la fin de l'année (lol).
 
Plus sérieux, que penses tu de faire une étude sur l'histoire de notre collège Curie qui est très intéressante à mon avis. Construit avant 1900 pour remplacer le vieil hôpital des rues du centre il a été réquisitionné dés sa finition par l'armée pour y loger des troupes devant s'entrainer en vue d'intervenir dans un pays africain. Le terrain de sport attenant (stade Hubidos) était appelé "champ de manoeuvre" terrain d'entraînement des troupes. Pour la petite histoire c'est sur ce terrain qu'à eu lieu la première rencontre de rugby de la région opposant l'USS de Victor Marquet à l'Olympique de Marseille qui pratiquait au début le ballon ovale. Je pense que ce sujet peut intéresser les "Amis de La Seyne ancienne et moderne.

Amicalement.

HG.

R1.

Bonjour Henri,
 
Mon père avait déjà écrit tout un chapitre de plusieurs dizaines de pages sur l’histoire du collège Curie dans son Tome IV des Images de la vie seynoise d’antan.
 
Voir sur mon site à : http://jcautran.free.fr/oeuvres/tome4/origines_ecole_curie.html
 
Je pourrais, tout au plus, rajouter sur le site internet quelques photos plus récentes de classes ou des bâtiments. Et rappeler aussi que c’est sur le terrain de manœuvres de la caserne de l’Infanterie coloniale qu’avait eu lieu la première rencontre de rugby dont tu parles.
 
Amitiés.
 
Jean-Claude

Q2.

Bonjour Jean Claude,
 
Bien évidement, c'est  sur les livres de ton père que j'ai lu toute l'histoire de ce collège mais je pense que beaucoup de gens et même des enseignants l'ignorent. Je trouve qu'un petit rappel serait utile aux seynois d'aujourd'hui, rappeler l'histoire. HÔPITAL. CASERNE. NOUVEL HÔPITAL et à nouveau COLLEGE. Le petit terrain de sport M. Hubidos (dont j'avais participé à l'inauguration avec les tout les élèves seynois). Le premier match de rugby reste anecdotique.
 
Amitiés
 
Henri







12 septembre 2015 : Décès de Madame Andrée Gilmez, ancienne directrice de l'école maternelle Ernest Renan

Var-Matin, 12 septembre 2015




23-26 août 2015 : Madame Perret, pharmacienne à La Seyne et enseignante au Lycée Beaussier

Q1.

Bonjour,

Ma fille de 18 ans est par hasard arrivée sur votre blog. Elle est la petite-fille, donc ma mère, de Madame PERRET pharmacienne à la Seyne qui a remplacé en sciences naturelles lorsque vous étiez en seconde, d'après vos propres informations.

Cela m'a rappelé qu'elle m'en avait brièvement parlé, sans précision aucune. Né en 1962, je ne connaissais rien de cela. Une toute petite information qui me touche ainsi que mes enfants, d'autant qu'elle est décédée en 1988.

Merci.

Cordialement.

JLP

R1.

Bonjour,

Merci pour votre message. Je suis heureux que mon site internet ait permis d’établir un contact avec des descendants de l’une de mes anciennes professeures de lycée, mais désolé d’apprendre que celle-ci est malheureusement décédée depuis longtemps.

Elle nous avait enseigné les sciences naturelles en classe de seconde, pendant quelques mois de l’année 1958-1959 et nous étions quelquefois allé la rencontrer dans sa pharmacie (je pense qu’elle se situait à l’emplacement exact de l’actuelle Pharmacie du Port, 5 quai Saturnin Fabre) pour des questions d’emploi du temps ou de changement de date de composition...

J’ai le souvenir d’une personne très brune, aux cheveux courts, de taille assez moyenne. Mais ce sont des souvenirs de plus d’un demi-siècle, qui ne sont peut-être plus très fidèles. Elle connaissait parfaitement les sujets qu’elle enseignait, mais, n’ayant pas la formation en pédagogie d’un professeur de lycée, je me souviens qu’elle avait tendance à surestimer la capacité des élèves (et nous étions des adolescents) à écouter et à retenir. Observant que les élèves avaient très souvent oublié une grande partie de ce qu’elle avait enseigné la veille, elle disait sur un ton de reproche : « Mais ça, je l’ai dit, je l’ai déjà dit ! ». Je me souviens avoir rapporté à ma mère ces propos (ma mère enseignait aussi les sciences naturelles dans les petites classes de collège) et ma mère disait : « ah ! si elle croit qu’il suffit de dire les choses une seule fois pour que les élèves les retiennent... ». Car pour mes parents, enseignants formés « à  la vieille école », enseigner, c’était avant tout répéter...

Ce ne sont que quelques détails, quelques souvenirs lointains que vous apprécierez peut-être de lire.

Bien cordialement,

Jean-Claude Autran

PS. L’un de mes camarades de cette classe de seconde, Serge Malcor, devenu lui aussi pharmacien par la suite, avait, je crois, effectué un stage de quelques mois dans cette même pharmacie du Port, vers 1965. Je ne sais pas combien d’années Mme Perret avait gardé cette pharmacie, mais il est possible que Serge Malcor ait côtoyé votre mère beaucoup plus que moi et pourrait en avoir des souvenirs plus précis, comme enseignante et comme pharmacienne. Je lui poserai la question à la prochaine occasion et vous tiendrai informé.




2-30 juin 2015 : L'incroyable « musée caché » de l'établissement des Maristes

Q1.

Ayant vaguement entendu mentionner (par plusieurs de mes amis, anciens élèves ou anciens éducateurs des Maristes) l'existence d'un ancien musée ayant contenu d'immenses collections rassemblées autrefois par les Pères Maristes - mais dont on ne savait plus très bien s'il avait été conservé ou si une grande partie des collections, ayant pu se dégrader au fil du temps, n'avaient pas été finalement détruites - j'ai suggéré à M. Mathieu Dalaine, journaliste à Var-Matin, de chercher à tirer au clair cette question en rencontrant M. Yves Faure, gestionnaire des locaux des Maristes ainsi que différents professeurs de physique et de SVT. A notre grande surprise, il nous a été répondu que de telles salles de musée existaient toujours, bien qu'ayant dû être déplacées et regroupées sur une plus faible surface qu'autrefois. J'ai pu ainsi participer à une visite de ces extraordinaires salles du musée des Maristes le lundi 22 juin 2015. Voici ci-après l'article rédigé sur le sujet par M. Mathieu Dalaine et qui est paru dans le Var-Matin du 30 juin 2015.

JCA.

Var-Matin, 30 juin 2015




 
26-30 juin 2013 : Localisation de l'ancienne colonie de vacances du Touvet


Q1.

Bonsoir
 
En recherchant des informations sur une colonie du Touvet que j’ai moi même fréquentée dans le années 1967/68 je suis tombée sur votre site. Quelle belle découverte!!!

Je suis seynoise de naissance et depuis 2006 je vis à Grenoble. Je n'arrive pas à retrouver cet endroit merveilleux ou j'ai passé les plus belles vacances de mon enfance.

A tout hasard auriez vous l’adresse exacte de cette propriété pour que je puisse m’y recueillir et me souvenir de tout ces bons moments d'innocence de naïveté et de bonheur.
 
En ce qui concerne vos différents livres ou peux t-on se les procurer ?
 
Dans l’ attente de votre réponse ,recevez monsieur mes salutations et mes remerciements.
 
LB

R1.


Bonjour,

Votre message a reçu toute mon attention. J’ai eu quelque peine à retrouver l’emplacement de l’ancienne colonie du Touvet car je n’en avais pas l’adresse exacte. L’examen des photos aériennes du village actuel ne m’a pas permis non plus de repérer les bâtiments vu l’urbanisation qui a complètement changé la physionomie des lieux. Finalement, j’ai retrouvé dans les échanges que j’avais eu précédemment sur la colonie du Touvet, que le domaine avait été racheté par une famille nommée A... Et, en cherchant dans les Pages Jaunes, j’ai effectivement trouvé : « M... A..., 175 rue Beaumont, 38660 Le Touvet. En zoomant de nouveau sur les photos aériennes et en suivant la rue Beaumont, qui se détache de la route de Saint-Hilaire, on peut retrouver l’allée qui mène à la colonie, et en zoomant davantage, je pense, sans me tromper, qu’on reconnaît bien la maison de maître à gauche, et le bâtiment principal au fond.

Ci-joint, les fragments de ces photos aériennes avec une flèche indiquant l’ancienne colonie. Voilà qui, je pense, répond à votre première question.

Concernant les ouvrages de mon père, Marius Autran, les premières éditions de sa collection de sa série de 10 ouvrages sont depuis longtemps épuisées. J’en ai récemment réédité 4 (Images de la vie seynoise d’antan, tomes 1 et 2 ; histoire de la philharmonique La Seynoise ; histoire de l’école Martini), mais seuls ces deux derniers sont encore disponibles. Le tome concernant les colonies de vacances était le n° 3, qui n’a pas été réédité, et qui ne le sera sans doute jamais vu le très faible public qui s’intéresse aujourd’hui à ces époques anciennes de l’histoire de La Seyne.

Mais vous pouvez retrouver la totalité des textes et des images de ces ouvrages dans mon site internet : http://jcautran.free.fr/oeuvres.html

Pour les deux ouvrages encore disponibles, toutes les informations pour les acquérir sont données sur mon site à la page :
http://jcautran.free.fr/reedition_ouvrages/reedition_ouvrages.htm

Bien cordialement,

Jean-Claude Autran



24 avril 2013 - 8 juillet 2016 : Professeur Jean Pinson et club d'astronomie Antarès

Q1.

Bonjour Jean-Claude,
 
J’ai reçu un message de CP, la fille de Jean Pinson qui souhaite faire un travail sur le Club Antarès. Elle recherche des anciens élèves de son père et les premiers participants au club Antarès.

Jean Pinson a été mon professeur de mathématiques en 2e et en 1e (et j’en ai un excellent souvenir, mais ce n’est pas le cas de tout le monde car très exigeant voire élitiste pour certains). J’ai participé très modestement aux premières sorties de Jean Pinson avant que le club ne soit vraiment créé. EB m’a dit que vous l’aviez connu et seriez-vous en mesure de citer des personnes actives dans le club Antarès des premières années.

Je dois rencontrer CP autour du 8-10 mai.

Merci par avance

Amicalement,
 
YLG

R1.

Bonjour Yolande,

J’ai bien connu Jean Pinson, bien que je ne l’aie eu comme professeur que pendant quelques semaines au début de l’année de quatrième. Je pense qu’il venait d’arriver depuis peu à La Seyne. Malheureusement, il n’assurait pour nous qu’un intérim dans l’attente de l’arrivée du prof qui nous était destiné et qui avait été catastrophique, sans autorité et qui avait fait l’objet de moqueries de la part des élèves toute l’année. Alors qu’avec Jean Pinson, j’ai le souvenir d’un professeur solide, clair et rigoureux. Par la suite, j’ai souvent croisé Jean Pinson, à Martini puis à Beaussier, mais il est dommage que ne l’aie jamais plus eu.

Je savais naturellement qu’il avait fondé le club Antarès et, comme il habitait près de chez nous, je me souviens qu’il avait du matériel d’astronomie dans un garage, près de l’actuelle avenue van Gogh, et on le voyait quelquefois s’installer le soir, lorsque le ciel était clair, au milieu de l’allée des garages. Mais, curieusement, alors que je me m’intéressais déjà un peu à l’astronomie, je n’ai jamais participé au club. Sauf une fois, lors de l’éclipse de juin 1961, je crois, où j’avais suivi le groupe qu’il avait constitué à cette occasion, dans le haut Var, du côté de Draguignan, où l’éclipse apparaissait totale.

Ceci dit, les informations que j’ai sur le club Antarès sont très limitées et je n’ai pas retrouvé d’archive qui mentionne les noms des participants.

Ce dont je dispose, c’est le paragraphe que mon père avait écrit dans le chapitre “Culture seynoise” de son Tome 7 (1999) :

« Deux autres réalisations municipales de la plus haute importance apparurent en 1966.

« Sur la hauteur du quartier Tortel fut construit l'observatoire du Club Antarès, spécialisé dans l'astronomie, à l'initiative du professeur Jean Pinson.

« Depuis plusieurs années, un groupe d'élèves du collège Martini avaient décidé de se constituer en association à caractère scientifique dans le but d'étudier et d'approfondir les secrets du ciel et aussi dans le désir de faire partager les joies de leurs découvertes à des adultes par l'observation dans les meilleures conditions possibles. Ils fondèrent un atelier d'optique, construisirent des télescopes, taillèrent des miroirs, organisèrent des cercles d'études, rédigèrent un journal appelé La voix d'Antarès et le volume de leurs activités prit une telle extension, que des locaux plus importants qu'une salle de classe leur fut nécessaire. Sollicitée pour cela la municipalité répondit favorablement à leur attente. Ces jeunes passionnés de l'astronomie se constituèrent en association en 1964 et deux ans plus tard le 3 juillet 1966 fut inauguré l'observatoire Antarès tout à côté du château d'eau au quartier Tortel.

« Il serait bien long de raconter le bilan des réalisations du club Antarès. Rappelons seulement son expédition célèbre en 1973 vers la Mauritanie en vue d'y observer l'éclipse totale du soleil. Véritable exploit que la revue Étraves avait relaté dans tous ses détails. »

Ce paragraphe comporte une photo (ci-jointe) dont la légende est : « Sur la plateforme de l'observatoire Antarès, François de Closets, ingénieur électronicien, journaliste scientifique, visite les installations en compagnie de M. Pinson, professeur, président du Club (3 juillet 1966). »

Ensuite, il y a naturellement les pages de la revue Etraves qui mentionnent le club Antarès. Précisément, MTP, à qui j’ai prêté quelques numéros de la revue qu’elle avait entrepris de numériser, m’a communiqué, en retour, les fichiers numériques qu’elle a réalisés. Bien que vous les ayez probablement aussi, je vous adresse donc ci-joint, transformées en fichiers pdf, les pages en question des numéros 2, 3, 28 et 29 (ces deux derniers relatant la fameuse expédition en Mauritanie de 1973).

On retrouve simplement dans le n° 28 la liste des participants à ce voyage (qui n’est certainement qu’une petite partie des membres du club de l’époque). Il s’agissait de : PC, JC, MDM, AME, LF, WF, JG, PL, CP, JP, MR, PR, MPS, GS, ET.

C’est tout ce que j’ai retrouvé à ce jour. Je vais encore faire quelques recherches dans les archives de mon père, mais je doute de retrouver d’information plus détaillée sur les membres du club. Apparemment, si la fille de Jean Pinson demande de tels renseignements, c’est que son père n’aurait pas conservé d’archive sur le club ? Ce qui est dommage. A moins que l’un ou l‘autre des anciens membres du club n’ai conservé de telles archives ? Mais lequel ?

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Sur la plateforme de l'observatoire Antarès, François de Closets, ingénieur électronicien, journaliste scientifique, visite les installations en compagnie de M. Pinson, professeur, président du Club (3 juillet 1966)
Extrait de la revue Etraves, N° 2, été 1967
Extrait de la revue Etraves, N° 3, automne 1967

Q2.

Bonjour et merci Jean-Claude pour toutes ces info que je transmettrai.

Amicalement,

YLG

Q3. (2 juin 2013)

Bonjour,
 
Je suis la fille de Jean Pinson. Souhaitant réaliser un ouvrage pour retracer l'histoire du club Antarès, j'ai contacté l'association seynoise " Histoire et Patrimoine". YLG, que j'ai rencontrée, m'a transmis des documents que vous lui avez fait passés. Je vous en remercie chaleureusement.
 
J'ai finalement pu contacter l'observatoire et j'ai retrouvé pas mal d'archives.
 
Dans un des documents, j'ai lu qu'il y aurait eu au collège Martini, à la remise des prix de l'année scolaire 56-57, un discours important qui portait sur l'astronomie. Je ne sais pas qui l'aurait prononcé ?? ( en principe ce doit être le chef d'établissement, je ne vois pas pourquoi mon père aurait prononcé ce discours, c'était sa première année dans ce collège...)
 
Pensez vous qu'il soit possible de retrouver ce discours ? Je sais que votre père a écrit sur l'histoire du collège Martini, voilà pourquoi je me permets de vous poser cette question. D'autre part, si vous connaissez des Seynois/ses susceptibles de pouvoir témoigner sur la naissance du club Antarès, pouvez-vous avoir la gentillesse de leur transmettre mon adresse e-mail ? Merci beaucoup.
 
Bien cordialement,
 
CP

R3.

Bonjour,

YLG m’avait en effet contacté à propos de vos recherches sur le club Antarès et sur l’action exemplaire menée par votre père sur la connaissance et la vulgarisation de l’astronomie à La Seyne. Je suis heureux que vous ayez pu commencer à retrouver des archives à l’observatoire.

Personnellement, je ne possède aucun autre renseignement sur le club Antarès, en dehors de ce qu’ai j’ai déjà communiqué à YLG.

Lors de la remise des prix de l’année 1956-1957 (j’étais présent, je terminais alors ma classe de 4e), il y a bien eu un discours qui portait sur l’astronomie et j’ai parfaitement en mémoire que c’était votre père qui l’avait prononcé. A l’époque, lors des distributions des prix (ça se passait alors au cinéma Rex, ensuite, à partir de 1959 ce fut dans la salle des fêtes de l’hôtel de ville), il y avait plusieurs discours. Le chef d’établissement prononçait quelques phrases  protocolaires. Parfois, le député, ou le maire ou son représentant prononçait un discours plus “politique”. Et il y avait en général un discours de vulgarisation sur un thème historique, géographique, littéraire, scientifique,... Cela était souvent confié à un jeune professeur, et surtout à un professeur qui savait bien communiquer (car il fallait que la présentation soit attrayante pour maintenir le calme dans une ambiance parfois survoltée de plusieurs centaines d’adolescents...). Je me souviens d’un thème sur les montagnes et l’alpinisme, par M. Faber ; une autre fois sur Rabelais par M. Faure, un jeune professeur qui n’est resté que 2-3 ans. Et en 1957, c’était donc votre père, qui terminait en effet sa première année d’enseignement au collège Martini, et qui dans ce discours faisait partager sa passion pour l’astronomie, avec déjà l’idée de rassembler des élèves autour de lui pour monter un club.

Comment retrouver le texte de ce discours ?? Personnellement, je me souviens que quelques phrases étaient volontairement amusantes, pour maintenir l’attention des élèves. Il y avait ainsi le rappel d’une coïncidence de dates. Votre père avait dit quelque chose comme : « Ce matin, vous avez pris votre tasse de café,... eh bien, ce que vous ne savez pas c’est que le même jour (ou la même année ?) de l’introduction du café en France, que Galilée découvrait les satellites de Jupiter ! ». Mais je n’ai guère d’idée pour retrouver le texte intégral, en dehors d’archives de votre famille, que vous avez certainement déjà explorées.

Il est possible que la mention du thème de ce discours ait été faite dans la presse locale. Cette remise des prix avait eu lieu le 30 juin 1957. J’ai des photos des élèves dans le cinéma Rex dans deux journaux : Le Petit Varois du 1-7-1957 que j’ai dans mes archives et Le Méridional du 2-7-1957, que j’ai photographié au Amis du Vieux Toulon (ce dernier ci-joint). J’ai quelques fragments du palmarès des collèges Martini et Curie (Le Méridional du 3 juillet), mais je n’ai pas retrouvé (l’ai-je égaré ou ai-je oublié de le photographier ?) le texte d’introduction du palmarès qui, normalement, doit donner les noms des personnalités présentes et c’est là que le titre du discours de votre père devrait être mentionné. Lors de mon prochain passage aux Amis du Vieux Toulon, j’essayerai de retrouver ce fragment de journal et je vous le communiquerai. Mais je ne vois pas comment retrouver le discours complet. En tout cas, mon père, qui a bien écrit une Histoire de l’Ecole Martini, a donné davantage de détails sur les années 1920 à 1950 que sur les années 1955-1965 où il approchait déjà de la fin de sa carrière. Il n’y parle pas du club Antarès. Il y consacre toutefois quelques paragraphes dans son Tome VII des Images de la vie seynoise d’antan, dans le chapitre “Formes anciennes et nouvelles de la culture seynoise” (http://jcautran.free.fr/oeuvres/tome7/culture_seynoise.html).

C’est tout ce que je puis vous dire pour l’instant. Je ne manquerai pas de vous transmettre tout nouveau document que je pourrai retrouver.

Bien cordialement,

Jean-Claude Autran

Le Méridional, 2 juillet 1957

Q4.

Bonjour,
 
Je vous remercie infiniment pour les renseignements que vous me communiquez. Je n'avais pas songé que vous puissiez être présent à cette remise de prix, c'est une chance ! Grâce à vous je sais désormais que c'est mon père qui a prononcé ce discours alors que je n'y croyais pas. Merci vraiment !
 
Quand au discours lui-même j'ai bien peur qu'il soit introuvable, nous avons peu d'archives familiales, mon père est mort il y a presque 30 ans et à l'époque j'étais bien  trop jeune pour réaliser l'importance de tout cela... C'est souvent ainsi.

J'ai, sur un des livres de votre père, la dédicace qu'il avait écrite pour mon père, et je sais qu'ils s'estimaient beaucoup.
 
Encore merci pour votre contribution.
 
Bien cordialement
 
CP

R4.

Bonjour,

Merci pour votre réponse.

J’ai de la peine à réaliser que cotre père est mort il y a déjà presque 30 ans.

Je ne l’ai côtoyé au collège Martini, puis au lycée Beaussier, que 5-6 ans, de ma classe de 4e à la terminale, mais sans jamais l’avoir eu, malheureusement, comme professeur de mathématiques une année complète. Au début de mon année de 4e (octobre 1956 – il venait en effet d’arriver à La Seyne), je l’avais eu 2-3 semaines seulement, mais ce n’était que provisoire, dans l’attente du professeur qui devait nous être affecté (et qui se révéla ensuite désastreux – je ne le nommerai pas – tant du point de vue autorité que pédagogie ou que compétence). Combien avions-nous regretté de ne pas avoir continué toute l’année avec votre père !

Il est vrai aussi que mon père avait longtemps gardé le contact avec le vôtre et qu’ils s’estimaient beaucoup.

Je réalise maintenant que j’avais oublié de répondre à la dernière question de votre message précédent : « connaissez-vous des Seynois/ses susceptibles de pouvoir témoigner sur la naissance du club Antarès ? ». La seule liste des passionnés d’astronomie que je possède est celle des participants à l’expédition en Mauritanie de 1973 (dont j’ai envoyé la liste à YLG) : Il s’agissait de :
PC, JC, MDM, AME, LF, WF, JG, PL, CP, JP, MR, PR, MPS, GS, ET.

Parmi ces noms, il y a le docteur Paul Raybaud, aujourd’hui très âgé (je ne pense pas qu’il faisait partie du club, il était là en tant que médecin de l’expédition) ; il y a aussi MDM (...). Reste un seul nom que je connais, celui de MPS (...).

Si, dans les archives du club Antarès, vous avez retrouvé des listes plus complètes des noms des premiers membres du club ayant vécu sa fondation, vous pouvez me les communiquer. Peut-être y aura-t-il d’autres noms de personnes dont je saurai retrouver la trace aujourd’hui ?

Bien cordialement,

Jean-Claude Autran

Q5.

Bonjour,
 
Merci pour votre proposition d'aide pour peut-être retrouver d'anciens membres du club Antarès. J'avais déjà les noms des participants à l'expédition en Mauritanie.
 
MDM doit me contacter, c'est BP, un ancien membre que j'ai pu rencontrer lors de mon dernier passage à la Seyne qui l'a contactée. Je ne manquerai pas de joindre MPS.
 
Voilà les noms cités parmi les premiers membres :
 
MAD, PL, DL, GK, PFA, GD, EG, LC, CS. Je pense que ce sont les principaux membres actifs des débuts avec BP et JG.
 
J'ai lu également dans les documents dont je dispose que ce sont les élèves de chaudronnerie du collège Martini sous la direction de leurs professeurs M. Ducerf et M. Amaury qui ont construit la rambarde qui entoure la terrasse de l'observatoire, je pense donc dans les années 65/66 puisque l'observatoire a été inauguré en juillet 1966. Connaissez vous ces noms de professeurs ?
 
Encore merci pour votre aide.
 
Bien cordialement
 
CP

R5.

Bonjour,

Dans la liste des premiers membres du club Antarès, il n’y en a que trois dont les noms me parlent (car je n’étais plus à La Seyne à cette époque – de 1962 à 2004 – de sorte que je ne peux pas apporter de témoignage direct sur la naissance du club et la construction de l’observatoire. Je n’en entendais parler que parfois par mon père lorsque je passais, brièvement, à La Seyne. Et ceci est maintenant bien loin !). J’ai bien connu MAD qui a été longtemps impliquée dans la vie associative seynoise, notamment les colonies de vacances (...). Je connais aussi un peu GK (...). Et je connais aussi surtout BP, que je vois régulièrement [mais nous n’avons jamais parlé du club Antarès car j’ignorais qu’il en avait fait partie à ses débuts], mais vous l’avez déjà rencontré.

En ce qui concerne les deux professeurs que vous citez, je n’ai pas fréquenté le collège technique et, en 1966, n’étant déjà plus à La Seyne, ces noms ne me disent malheureusement rien. Désolé de ne pas pouvoir vous apporter davantage d’information. J’espère que vous en apprendrez davantage par MDM et MPS.

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q6.

Bonjour,
 
Merci encore pour ces infos. Peut-être que je demanderai à Marc Vuillemot, que je connais, s'il est possible de lancer un appel dans le magazine "Le Seynois" pour retrouver les membres d'Antarès qui voudraient bien témoigner.
 
Les archives municipales m'ont envoyé une délibération de conseil municipal qui date de 1965 dans laquelle, votre père, alors 1er adjoint, expose la décision de construction de l'observatoire...
 
En espérant vous croiser un jour, je ne manquerai pas de vous faire part de l'aboutissement de mon projet.
 
Bien cordialement,
 
CP

Q7. (23 juin 2016)

Envoi d’archives sur la club Antarès à Monsieur CP, présicent actuel du club. (En vue du 50e anniversaire de l'observatoire, qui sera célébré le 9 juillet 2016).

Articles de presse : Le Petit Varois et Var-Matin, ainsi que Le Filet du Pêcheur. Voir à : http://jcautran.free.fr/archives_familiales/la_seyne_dans_la_presse/observatoire_antares/observatoire_antares.html

Jean-Claude Autran

R7.

Bonjour

Génial, je n'ai qu'un regret ne pas avoir pensé à vous contacter plus tôt.

Merci beaucoup pour vos recherches, et j'espère que vous pourrez passer un moment en notre compagnie le 9 Juillet.

Cordialement

CP

Q8. (8 juillet 2016)

Cher ami,

Vous trouverez ci-joint la copie d’un autre article de presse (3 mai 1985) relatif au Club Antarès, retrouvé dans un lot de vieux journaux qui vient de m’être confié. Ainsi que 3 autres articles (février-mars 1986) rapportant la disparition du professeur Jean Pinson.

Vous aviez peut-être déjà tout cela dans vos archives. Mais sait-on jamais ?

A demain à l’observatoire.

Bien cordialement,

Jean-Claude Autran

R8.

Merci beaucoup,

Nous n'avions pas l'article qui précisait l'inhumation, ni celui de 1985

Bien cordialement

CP

Q9.

Bonjour Jean-Claude,

Comme convenu, les docs sur Antarès que tu m'avais envoyés.

Bien amicalement.

BA

R9.

Merci Bernard,

Ci-joint quatre autres articles que j’ai retrouvés récemment et que j’ai envoyés ce matin à C. Parena.

A demain sans doute.

Amitiés.

Jean-Claude




29-30 novembre 2012 : Livre de sciences naturelles de terminale années 1960

Q1.

Salut Fox,

Je viens de recevoir une demande de Jean-Marie qui recherche le livre de sciences naturelles que nous avions en terminale.

Je ne sais que lui répondre mais peut être te souviens-tu de l'éditeur ou (mais ça ce serait trop beau !) tu pourrais savoir où il peut le trouver.

Merci d'avance.

Pif

Objet : Un Seynois qui a besoin d'aide...

Serge bonjour,
J’espère que tu vas bien ainsi que toute ta petite famille.
(...) Je suis à la recherche du livre de Sciences naturelles que nous avions en terminale.
Peux tu m’aider. D’avance merci.
Encore mes remerciements pour tout les mails que tu m’envoies.
A bientôt de se revoir un jour ou je suis Seynois.
Un copain d’enfance.
Amitiés
JMM

R1

Salut Pif,

Hélas, je n’ai pas conservé de livre de sciences naturelles de terminale de notre époque. J’en ai plusieurs des petites classes (car mes parents y avaient enseigné et recevaient souvent des spécimens gratuits des éditeurs, mais de terminale ??). On avait dû l‘avoir par la Caisse des Ecoles, mais comme on l’a forcément rendu à la fin de l’année, je me souviens absolument plus à quoi il ressemblait, ni l’éditeur. Et en plus, ce ne devait pas être le même en Math élem que celui que vous aviez eu en Sciences Ex.

Mais il reste une chance de le retrouver sur internet. Un ou plusieurs sites donnent une liste des manuels scolaires anciens, avec titres et auteurs, parfois l’éditeur.

Par exemple : http://www.alarecherchedutempsperdu.fr/catalogue_manuels_scolaires.htm

En cliquant sur le lien, on arrive aux images des pages de couverture (du moins de ceux qui sont disponibles à la vente)

Ainsi, pour les sciences naturelles : http://www.alarecherchedutempsperdu.fr/manuels_sciences_naturelles_3.htm

Peut-être, en voyant la photo du livre, cela rappellera-t-il quelque chose à Jean-Marie ou à toi.

Mais il y a bien d’autres sites de vente. Il suffit de taper “livres scolaires + “sciences naturelles” + “classe de sciences expérimentales”

Exemples :
http://www.priceminister.com/s/sciences+naturelles.+philosophie+-+math%E9matiques+-+sciences+exp%E9riementales
http://www.priceminister.com/s/camefort+h
http://www.amazon.fr/s/ref=sr_pg_1?rh=n%3A301061%2Cn%3A%21301130%2Cn%3A301141%2Cn%3A302102%2Ck%3ASciences+Naturelles%5Cc+Manuel+Scolaire+Secondaire&keywords=Sciences+Naturelles%2C+Manuel+Scolaire+Secondaire&ie=UTF8&qid=1354253962

etc.

Bonne pêche.

Claudet Autran

Q2. (à SM et à JCA)

Bonjour à tous les deux
 
Je vous remercie des renseignements que vous m’avez envoyés Grace aux liens de Jean Claude, j’ai pu trouver ce fameux livre.
 
Il y en avait 4 sur Price Minister à 0.90 € mais 4.40 de port. Enfin.
 
Encore merci et à bientôt j’espère
 
Amicalement
 
JMM

PS : On était bons à l’époque pour ingurgiter tout ce continu




23-24 novembre 2012 : Photo de classe (1934) de l'Ecole Sainte-Thérèse (rue d'Alsace)

Q1.

Bonjour,

Je vous adresse en pièces jointes (...) :

Il s'agit d'une photo de classe à l'école Ste Thérèse rue d'Alsace à La Seyne en 1934. On retrouve Jean Andréini 1er à gauche de la 2ème rangée du bas, et M. Laïk, 3ème en partant de la droite à la 1ère rangée du bas, des enfants que l'histoire a separés...

École Sainte-Thérèse, rue d'Alsace à La Seyne, en 1934

Voilà, c'est tout pour le moment, un passé parfois triste... pour alimenter le site...

(...) Sincères salutations

ARL

R1.

Chers amis,

Un grand merci pour ces nouveaux documents. Cela fait suite aux anciens échanges que nous avions eu sur ce terrain près de la Muraillette et aux produits chimiques qui y avaient été entreposés. Cela conforte et précise ce qui avait été avancé à ce sujet. Je serai heureux de le rajouter à la suite des précédents documents que vous m’aviez envoyés, dès la prochaine mise à jour de mon site, début décembre.

De même pour certaines des photos de la restauration de la Marianne de la Mer, que je pourrais utiliser, avec votre texte, puisque vous me le proposez aimablement.

La photo de l’école Sainte-Thérèse me paraît aussi extrêmement précieuse. Je n’en avais jamais vu de cette époque. Si elle est de 1934, l’élève Laïk que vous situez en bas à droite, doit être alors ce malheureux Maurice Laïk (qui était né en 1928), le frère aîné d’Albert, qui lui doit être de 1942.

Encore un grand merci pour cette contribution à la sauvegarde du patrimoine de notre ville.

Cordialement,

Jean-Claude Autran


1-6 juin 2012 : Photos du groupe scolaire Toussaint Merle

Q1.

Message téléphonique

R1.

Bonjour Chantal,

Pardon pour le retard à répondre à votre message. J’étais absent de La Seyne ces derniers jours et n’ai pu en prendre connaissance qu’aujourd’hui.

Dans les archives de mon père, j’ai retrouvé une photo originale du Groupe Scolaire primaire + maternelle sans doute à ses débuts (1971 ?). Je vous l’adresse ci-joint.

L’école Toussaint Merle apparaît aussi plusieurs fois dans des bulletins municipaux :

- Pose de la première pierre dans le bulletin de juin 1970.
- Le Groupe Scolaire T. Merle en construction, dans le bulletin de décembre 1970.
- Couverture du bulletin de décembre 1971, sans doute peu après son inauguration.

Dans mon site internet, il est naturellement question de l’école Toussaint Merle dans la partie “Histoire de l’enseignement à La Seyne” :

- Ecole primaire : 
http://jcautran.free.fr/oeuvres/martini/enseignement_primaire.html#4
- Ecole maternelle : http://jcautran.free.fr/oeuvres/martini/maternelles.html#13

Mais ce ne sont que de brefs historiques et l’unique photo qui y est présentée est celle que je mentionnais ci-dessus et dont je vous envoie l’original.

En outre, j’ai scanné dans une autre rubrique de mon site internet tous les textes que mon père avait écrits dans les bulletins municipaux du temps où il était adjoint au Maire et responsable de la Caisse des Ecoles. Vous retrouverez ces textes à l’adresse suivante : http://jcautran.free.fr/documents_divers/bulletins_municipaux/bulletins_municipaux.html

En cliquant sur “juin 1970”, “décembre 1970”, et “décembre 1971”, vous retrouverez les textes complets de mon père qui mentionnent l’école Toussaint Merle, avec des photos (mais ce sont les mêmes que celles déjà mentionnées ci-dessus).

C’est tout ce que je pense posséder sur la question. J’espère que cela répond à votre souhait. Sinon, rappelez-moi de nouveau. Peut-être qu’en parlant d’autres idées me reviendront.

Bien cordialement,

Jean-Claude Autran

Q2.

Merci beaucoup pour toutes ces infos, c'est très gentil à vous.

Bien cordialement,

CC

Et merci également pour les photos !


9-13 mars 2012 : Camarades de classe d'Henri Tisot en CM2 - Hubert Galaurchi

Q.

Bonsoir monsieur,

Je suis la soeur de Hubert Galaurchi et je suis a la recherche de documents sur mon frere et Henri si vous pouvier maider je serais tres heureuse.

Je ne reside plus a la seyne mais en auvergne. De meme y a t il ecore des ouvrage diponible sur martinni merci de votre attention 

MRG

R.

Bonsoir,

Je suis désolé, je n'ai aucun renseignement sur Hubert Galaurchi. Son nom n'apparaît qu'une seule fois dans mes archives, c'est dans la légende de la photo de la classe de CM2 1947-1948, où se trouve notamment Henri Tisot. L'institutrice de cette classe était Mme Suzanne Arnaud. 

École Martini (La Seyne-sur-Mer) - Année scolaire 1947-1948
Cours moyen 2e Année - Classe de Mme Suzanne Arnaud. Photo de l'Avis de Recherches pour l'émission télévisée du 16 octobre 1981.
De gauche à droite :
En haut : Henri TISOT, Augustin Arnaud, Hubert Galaurchi, Clairin Bonnardel, Marcel Lungari, Georges Fresquin, Sebert, Robert Franchelo, Pierre Rigotti, Antoine Erutti.
Au milieu : Jean-Pierre Christol, Henri Dalen, Jean Grimaud, Philippe Gabrielli ?, Henri Pietri, Robert Terlay, Guy Boillon, Paul Bardiani, Georges Zunino, Gaston Lavato.
Assis : Pierre Julien, Jacques Zampatti, Leguen, Henri Pradier, Marcel Zadigan, Georges Borda, Jean Rinaldi, Jacques Jaubert, Jean Julien

Une partie des élèves se sont ensuite retrouvés en classe de 6e moderne, avec mon père, Marius Autran. Pour tous ceux-là je possède quelques renseignements sur leurs notes, leur classement, etc. dans les cahiers que tenait mon père. Mais Hubert Galaurchi n'a jamais été élève de mon père et je ne sais donc rien sur lui. 

Pour Henri Tisot, j'ai beaucoup d'informations, comme cela apparaît dans le forum de mon site à l'adresse http://jcautran.free.fr/forum/henri_tisot.html. Dans ce chapitre se trouve une photo d'une partie des anciens camarades de classe d'Henri lorsqu'ils avaient participé à l'émission Avis de Recherches en 1981. Je ne sais pas si Hubert Galaurchi y était allé ; je n'ai pas la liste des participants et je ne sais pas le reconnaître sur la photo.

En ce qui concerne l'Histoire de l'Ecole Martini, l'ouvrage est épuisé depuis longtemps et je travaille à sa réédition. Je pensais que la nouvelle version aurait pu paraître en novembre dernier, mais mon éditeur ayant quelques difficultés en ce moment, le projet a été retardé. J'espère qu'il verra le jour cette année.

Bien cordialement. 

Jean-Claude Autran

24 février 2012 : Colonie de vacances de La Motte (2) - Paul Gaujac

Q1.

Bonjour monsieur Autran,

En fouillant sur votre site, je me suis rendue compte que vous connaissez sans doute Paul Gaujac. Je le connais aussi puisque j'étais avec lui quatre ans, au Château de la Motte-les-Bains, de 1963 à 1966 (dont les trois dernières en tant que monitrice-chef).  J'avais même été approchée par la Caisse des écoles pour diriger le Camp d'ados pour l'été 1967 (J'ai encore la lettre!).  Malheureusement, j'avais dû décliner l'offre puisque c'est cette année-là que j'ai quitté la France pour le Canada.

Je garde un souvenir fort agréable de Paul et de Mathilde, sa femme.  Si ma mémoire est fidèle, ils avaient deux fils (dont l'un s'appelait Christian, je crois).  Je ne sais pas si ça se fait, mais, je me permets de joindre à ce message, quelques photos prises au château.  Sur les trois premières, vous y verrez un Paul Gaujac enthousiaste (comme toujours) et en pleine action.  Il mimait la chanson "Juanita la banana". C'était à l'occasion de la soirée que l'équipe de moniteurs et monitrices offrait aux enfants et avait pour thème "Si la Motte m'était contée". Nous n'avions pas ménagé nos efforts pour faire plaisir à nos colons.

Les autres "personnages" sur les photos de la fête sont Marcel, dont j'ai oublié le nom de famille et qui est décédé dans un accident de voiture, et Alain Léon, un Seynois dont j'ai aussi perdu la trace.

Les deux autres photos ont été prises au château, l'une rassemble les membres de la direction (mais Paul n'y est pas) et l'autre une partie de l'équipe de moniteurs et monitrices (sur ces deux photos, je suis la seule qui ne regarde pas l'objectif.  Pourquoi? Aucune idée!).

Si par un heureux hasard, vous rencontrez Paul ou Mathilde dans les rues de La Seyne, puis-je vous demander de les saluer pour moi?  Je ne les ai plus revus depuis que je suis ici et je serais ravie d'avoir de leurs nouvelles.

Merci, si vous le pouvez, de faire une entorse à l'esprit de votre site, puisque ce sont de souvenirs personnels dont je vous parle.

Je vous souhaite une bonne journée

PM

PS: C'est moi qui vous ai écrit, il y a quelques temps, au sujet de "Serre boudère" (que je chante maintenant en entier à ma petite-fille).

R1.

Bonjour,

Hélas, en réponse à votre message, j’ai le grand regret de vous annoncer que les deux personnes dont vous me parlez ne sont plus de ce monde. Ayant quitté la France depuis 1967, vous ne pouviez pas le savoir.

Paul est décédé en 2005 à l’âge de 73 ans. Et Mathilde, bien avant, en 1990 ; elle n’avait pas 60 ans. Ci-joint une photo de leur tombe.

Je suis vraiment désolé d’avoir à vous communiquer ces tristes nouvelles.

J’ai, moi aussi, bien connu Paul Gaujac, qui avait été mon formateur aux cours de moniteurs organisés par la ville de La Seyne en 1961. J’ai un peu moins bien connu Mathilde. A l’époque, mon père était Président de la Caisse des Ecoles, et donc patron des colonies de vacances municipales. Il faisait chaque année une ou deux tournées d’inspection de toutes les colonies, et je l’avais parfois accompagné. J’avais donc rencontré Paul Gaujac et Mathide dans différents sites, dans les années 1958-1963. Vous avez peut-être ainsi vu mon père à ces occasions.

En 2000, Paul avait écrit un livre “C’était au temps des colos”, racontant sa propre expérience comme moniteur, puis comme directeur, et plus largement faisant un historique des colonies de la ville de 1945 à 1972. Le livre contient d’ailleurs une de vos photos, celle où Mathilde et Paul sont assis côte à côte. Il y aussi sur cette photo Antoine Bertolotto (à droite, adossé au mur, tenant une tasse) et, le plus loin sur la droite, Jean-Louis Frencia, qui a fait une très longue carrière dans les colonies de vacances. Mais je ne sais pas ce qu’il est devenu. Par contre, je rencontre très souvent Antoine Bertolotto.

Toutes ces colonies, qui ont laissé tant de souvenirs à des générations de Seynois, ont malheureusement toutes fermé, et le patrimoine foncier vendu, à la fin des années 1980, par la municipalité de l’époque, face aux problèmes financiers ayant résulté de la fermeture des chantiers navals.

Voilà pour ces tristes nouvelles, que j’ai eu beaucoup de peine à vous communiquer.

Bien cordialement.

Jean-Claude Autran

Q2.

Merci, monsieur Autran, d’avoir répondu si vite à ma demande.  

J’ai dû prendre quelques jours pour me faire à l’idée du décès de Paul et de Mathilde que vous avez eu la tristesse de m’annoncer. Bien sûr, même si l’on sait pertinemment que personne n’est éternel et que la mort fait partie de la vie, la peine n’en est pas moins grande lorsqu’on apprend le départ de gens que l’on a côtoyés et appréciés. Vous avez eu la délicatesse de m’avertir dans le titre de votre message, je vous en remercie.  Vous avez aussi pensé à me montrer leur tombe, j’apprécie beaucoup votre geste. Le nom de jeune fille de Mathilde m’a rappelé que j’ai connu Marc Aschéro, son neveu, qui, lui aussi, a fait un séjour à la colonie de La Motte.

Sur une note plus agréable, vous me parlez de « Toine » Bertolotto.  Que de beaux souvenirs! Je souris en pensant à ma dernière colo passée au Château. J’ai, dans mon cahier de chants, les deux dédicaces qu’il m’avait écrites (en 65 et 66). Quand vous le rencontrerez, au marché, dites-lui que « la vie en collectivité crée des problèmes » et que, « dans la vie, il y a des jours oui et des jours non ». Je ne crois pas qu’il ait oublié ces deux phrases. Nous nous sommes tellement amusés à les répéter, qu’elles doivent être encore gravées dans sa mémoire. Je lui fais de gros « poutous » (On disait ça chez nous, en parlant de bisous).

En 1998, je suis allée faire un «pèlerinage » au Château.  À ce moment-là, l’aile droite était désaffectée et l’aile gauche rénovée, alors qu’au temps des colos, la répartition des lieux était inversée. Je joins l’une des photos prises ce jour-là.

Je vous remercie infiniment du temps que vous m’accordez.  Grâce à vous, j’ai renoué avec une partie bien agréable de ma jeunesse. Comme quoi, « serre boudère » peut amener bien plus loin qu’une simple comptine pour enfant!!

Lors d’un de mes prochains voyages en France, j’aurai peut-être l’occasion d’aller faire un tour à La Seyne et, qui sait, de vous saluer en personne et vous serrer la main chaleureusement.

Je vous souhaite une belle journée,

PM


14 janvier 2012 : Recherche de M. Pegulu, ancien enseignant à La Seyne

Q.

Je suis à la recherche d'un ancien enseignant de La Seyne Monsieur PEGULU dont votre père, je crois, avait fait état dans l'un de ses ouvrages avec une photo. Par avance merci.

R1.

Cher ami,

(...) Concernant ce Monsieur Pegulu, je n’ai pas souvenance que mon père en ait parlé dans un de ses ouvrages. Je ne vois pas où ça peut être. J’ai la totalité des ouvrages de mon père, numérisés, et la recherche par informatique de ce nom ne donne rien. Le seul Pegulu que je connaisse avait un atelier de métallurgie à La Seyne. J’ignore s’il y avait un lien avec un Pegulu enseignant.

Là aussi, je vais me renseigner, auprès du prof. Jacques Girault, qui travaille à l’établissement de biographie des enseignants seynois. Peut-être a-t-il entendu parler ce ce Pegulu enseignant. Je vous tiens au courant aussi.

Amitiés,

Jean-Claude Autran

R2.

Cher Jean-Claude,

Je connais aussi Pégulu qui avait l’atelier route de la gare. Sa femme était cliente chez ma mère.

Pour retrouver ce Pégulu enseignant, la meilleure source est les listes électorales ou les archives “enseignement” à partir de l’indemnité de résidence.

Amitiés

JG

 

20 novembre - 28 décembre 2011 : Recherche d'anciens élèves des Maristes, famille Rivière de la Souchère (période 1926-1945)

8Q1.

Monsieur,

J'ai lu avec le plus grand intérêt l'histoire que votre père Marius Autran (1910-2007) avait consacré à l'Institution des Pères Maristes créée poura accueillir les enfants d'indochine.

Quelqu'un dans le Forum ayant connu cette période 1926 - 1945 a-t-il connu les enfants adoptifs de Madame Jeanne de la Souchère qui ont tous été scolarisés à la Seyne sur Mer chez les Pères Maristes ?

Il s'agit de Jean, Charles, Pierre, Henri et Rodolphe et Maurice TRAN (Bertin Rivière de la Souchère).

J'ai pu relever sur votre Forum les échanges sur le Père Mariste Adrien BOUVET (1910-1989) entre vous même JJ, DH et MV

http://jcautran.free.fr/forum/personnalites_locales.html#35

Merci pour votre réponse et vos éclaircissements.

Très cordialement. 

PYC

R1a. (à JJ)

Cher ami,

J'espère que vous allez bien.

Permettez-moi de vous déranger pour une petite question sur l'époque où vous étiez élèves des Maristes de La Seyne. Il me semble peu probable que vous puissiez y répondre, mais vous êtes l'un des rares que je connaisse à qui je puisse poser une question sur cette époque.

La question (qui me vient de l'un de mes correspondants, M. PYC) est la suivante : « Quelqu'un ayant connu cette période 1926 - 1945 a-t-il connu les enfants adoptifs de Madame Jeanne de la Souchère qui ont tous été scolarisés à la Seyne sur Mer chez les Pères Maristes ?Il s'agit de Jean, Charles, Pierre, Henri et Rodolphe et Maurice TRAN (Bertin Rivière de la Souchère). »

Si vous aviez le moindre élément de réponse, merci par avance. Sinon, ce n'est pas grave. Cela aura été simplement l'occasion d'un contact sympathique avec vous.

Bien cordialement,

Jean-Claude Autran

R1b. (à PYC)

Monsieur,

J’ai bien reçu votre message du 20 novembre, mais je n’ai pour l’instant aucune élément de réponse à votre question. J’ai contacté M. JJ qui a fréquenté les Maristes de 1931 à 1941. J’attends sa réponse.

Je devrais également rencontrer la semaine prochaine, à l’occasion d’un repas des « Très Très Anciens des Maristes», MM. DH et PM, qui ont fréquenté l’établissement entre 1938 et 1950 environ et qui sont particulièrement érudits sur les Maristes.

Je vous tiens au courant si j’obtiens le moindre élément de réponse.

Bien cordialement à vous,

Jean- Claude Autran

Q2.

Cher ami,

Cela ne me dérange pas du tout de répondre à vos questions sur l'époque des Maristes que je connais bien (1931-1941) Je me souviens en effet d'un Bertin de la Souchère Rivière (c'est ainsi qu'on le nommait). Il était d'origine indochinoise. Je ne le fréquentais guère, et nous n'étions pas dans la même classe. Je crois avoir été placé non loin de lui en étude, en Deuxième Division en 37/38 ou 38/39.  Je vois son nom dans le livret de la Distribution des Prix du 11 juillet 1937. Il avait eu un 2° accessit en Histoire et Géographie, un accessit de Diligence, un d'Excellence, un de Langue italienne et, par voix de conséquence, un Prix de quatre accessits. Il est mentionné ainsi : Charles de la Souchère, 2 fois couronné, 4 fois nommé (mais je n'ai pas trouvé quel avait pu être son second prix). Dans l'autre livret de Distribution de Prix que je possède, daté de 1934, je ne vois pas trace de lui. Toutefois, il est un ancien qui pourrait peut-être vous en dire davantage, c'est mon vieil ami Joseph Rivère, qui habite Janas et avec qui je reste en liaison. Ils étaient ensemble en Troisième A' B, qui réunissait les élèves faisant du latin (sans grec), c'étaient les A' (A prim', disait-on) et ceux qui ne faisaient pas de latin, mais deux langues vivantes, c'étaient les B (le cas de de la Souchère). Rivère avait eu cette année-là le 1° prix d'Anglais. La plupart de leurs cours  et de leurs profs  étaient communs. Moi j'étais en Quatrième A cette année-là. Les uns et les autres nous devions avoir 14 ou 15 ans. (...). 

Amicalement.

JJ.

PS. J'ai vu pendant pas mal de temps, mais il y a longtemps, la signature d'une Elena de la Souchère dans L'Observateur, ou le Nouvel Observateur ?

R2a. (à JJ)

Cher ami,

Merci infiniment pour votre célérité. J'admire la facilité avec laquelle vous avez pu fournir toutes ces précisions grâce à votre mémoire et au bon ordre dans lequel vous avez maintenu vos archives (livrets de distribution des prix).

Je vais transmettre toutes ces informations à M. PYC.

Peut-être aurai-je quelques précisions complémentaires de la part de PM et de DH, qui sont aussi des érudits sur les Maristes, mais sur une période peut-être un peut trop récente par rapport au passage de ces enfants de la Souchère Rivière. A voir. Les « Très Très Anciens des Maristes » ont en principe un repas en commun le premier mardi de chaque mois, donc normalement le 6 décembre - auquel je suis maintenant invité. Je ne suis pas un ancien des Maristes, mais comme j'ai eu 3 fils qui y sont
passés, dont un qui y est encore actuellement, ils m'ont adopté. Je leur poserai donc la question sur ces de la Souchère Rivière.

Je poserai aussi la question à Joseph Rivère, c'est une très bonne suggestion. Il vient d'ailleurs quelquefois à nos repas. S'il n'est pas là le 6/12, j'irai le contacter à Janas dont je ne suis qu'à deux pas.

Je suis désolé pour votre accident de ski. Mais si vous vous en êtes à peu près bien remis, tout est pour le mieux.

Amicalement et merci encore pour votre réponse.

Jean-Claude Autran

R2b. (à PYC)

Cher Monsieur,

Voici la réponse de M. Jacques Jaubert (87 ans, qui a été élève des Maristes de La Seyne de 1931 à 1941, devenu ensuite journaliste à Paris et écrivain), à propos des enfants adoptifs de Madame Jeanne de la Souchère. Il en a connu au moins un :

« Je me souviens en effet d'un Bertin de la Souchère Rivière (c'est ainsi qu'on le nommait). Il était d'origine indochinoise. Je ne le fréquentais guère, et nous n'étions pas dans la même classe. Je crois avoir été placé non loin de lui en étude, en Deuxième Division en 37/38 ou 38/39.  Je vois son nom dans le livret de la Distribution des Prix du 11 juillet 1937. Il avait eu un 2° accessit en Histoire et Géographie, un accessit de Diligence, un d'Excellence, un de Langue italienne et, par voix de conséquence, un Prix de quatre accessits. Il est mentionné ainsi : Charles de la Souchère, 2 fois couronné, 4 fois nommé (mais je n'ai pas trouvé quel avait pu être son second prix). Dans l'autre livret de Distribution de Prix que je possède, daté de 1934, je ne vois pas trace de lui. Toutefois, il est un ancien qui pourrait peut-être vous en dire davantage, c'est mon vieil ami Joseph Rivère, qui habite Janas et avec qui je reste en liaison. Ils étaient ensemble en Troisième A' B, qui réunissait les élèves faisant du latin (sans grec), c'étaient les A' (A prim', disait-on) et ceux qui ne faisaient pas de latin, mais deux langues vivantes, c'étaient les B (le cas de de la Souchère). Rivère avait eu cette année-là le 1° prix d'Anglais. La plupart de leurs cours  et de leurs profs  étaient communs. Moi j'étais en Quatrième A cette année-là. Les uns et les autres nous devions avoir 14 ou 15 ans. »

PS. « J'ai vu pendant pas mal de temps, mais il y a longtemps, la signature d'une Elena de la Souchère dans L'Observateur, ou le Nouvel Observateur ? »

JJ

Je vais essayer d’obtenir quelques informations complémentaires de la part de MM. Pierre Martin et Daniel Hugonnet, qui ont pu rencontrer l’un ou l’autre des Bertin Rivière de la Souchère, un peu après Jacques Jaubert. Nous nous réunissons en principe pour un repas en commun le premier mardi de chaque mois, donc le 6 décembre. M. Joseph Rivère y participe quelquefois et je pourrai donc lui poser aussi la question s’il est là. Sinon, j’essayerai d’aller le voir chez lui car j’habite assez près.

 Bien cordialement,

Jean-Claude Autran

Q3.

Bonjour,

Merci beaucoup pour toutes ces infos très détaillées sur les compétences de M. Charles dont je recherche le 2e prénom et surtout sur ses études supérieures après la guerre.

Mais je pense être sur la voie, étant en contact  avec son frère Henry qui était aussi à la Seyne sur Mer avant de partir pour Nice auprès de leur mère Madame Jeanne Bertin Rivière de la Souchère. 

Voici l'adresse du site "Belle Indochine" de François Fievez  où vous trouverez une page complète avec photos sur la Plantation d'Hévéas familiale : http://belleindochine.free.fr/MmeSouchere.htm.

Elena de la Souchère est une scientifique très célèbre pour ses découvertes ainsi que Romuald Dor de la Souchère fondateur du Musée Picasso d'Antibes.

Bien à vous

PYC

R3. (à JJ)

Cher ami,

Monsieur PYC a immédiatement répondu à l’envoi de vos informations sur Charles Souchère de la Rivière.

Voici sa réponse (...). Je pense aussi que le site internet MmeSouchere.htm contient quelques éléments qui vous intéresseront. Il y est notamment dit que son fils Jean est mort à La Seyne à l’âge de 13 ans et que Mme Souchère est inhumée à La Seyne.

Bien cordialement,

Jean-Claude Autran

Q4.

Merci pour la très belle carte qui m'a rappelé mes jeunes années à la Seyne (il y avait moins de maisons et moins de monde). Je pense, puisque c'est l'occasion d'en dire un mot, qu'Elena de la Souchère-Ribéra  était, plutôt qu'une scientifique, une journaliste très engagée contre les dictatures de l'Amérique centrale et de l'Amérique du Sud. J'ai reçu un mot de Martin pour un déjeuner d'Anciens en février (...).

Bonne année et bonne santé à vous et aux vôtres.

JJ




13-23 octobre 2011 : Ecole Jean-Baptiste Coste

Q1.

Bonjour

Je vais organiser pour juin 2013 un grand événement qui regroupera tous les anciens éléves ainsi que les instituteurs de l'école Jean Baptiste Coste à La Seyne sur mer. Pouvez vous svp m'aider à réaliser ce projet qui me tiens particulièrement à coeur. J'ai déjà de nombreuses réponses positives d'anciens éléves.
 
J'aimerais contacter des instituteurs mais ne sais pas comment procéder (Madame B, Mme A, Mlle C, Mme G... par avance, merci.

MS

R1.

Bonjour,

Je ne peux malheureusement guère vous aider pour retrouver des instituteurs de l’école J.-B. Coste. J’ai en effet quitté La Seyne au début des années 60 et n’y suis revenu qu’en 2004. Je n’ai donc pas connu les génération d’instituteurs qui ont pu se succéder dans cette école.

Mon père était un érudit en matière d’enseignement à La Seyne, mais il est décédé en 2007.

Je connais certains des noms de personnes que vous citez (B, G) et qui ont été, je crois, enseignantes, mais ce sont des noms courants à La Seyne. Si vous aviez leurs prénoms, ce serait plus sûr pour savoir si nous parlons bien des mêmes personnes (MB ? MMG ?).

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q2.

Bonjour

et merci pour votre réponse.

je vous présente mes condoléances pour votre papa.
 
oui il s'agit bien de Madame MB, en ce qui concerne Madame G, j'ai réussi à prendre contacte avec elle.
 
cordialement,
 
MS

R2.

Bonsoir,

S’il s’agit de MB (à moins qu’il ne s’agisse d’une homonyme), je pense que c’est l’épouse de M. AB, qui était lui directeur de l’école Malsert. Leurs coordonnées sont : (...).

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q3.

Merci
 
A bientôt
 
Marjorie


21-28 septembre 2011 : Départ des Pères Maristes de La Seyne

Qa. (A l’aimable attention de la Presse et du Service Municipal de l’Information)

Le 29 septembre 2011, les Pères Maristes quittent le territoire seynois.

Arrivés en 1843, ils seront restés 168 ans.


Leurs œuvres demeurent.


Retirés dans leur Maison de retraite de Mar Vivo, ils coulaient des jours heureux, mais l’âge arrivant, plusieurs sont partis à Ollioules à Canto Maï, Maison médicalisée, et les deux derniers vont rejoindre leurs Frères à Sainte-Foy-lès-Lyon là même où ils firent leur scolasticat.


Ce sont eux qui ont reçu l’hommage de leurs anciens élèves ce Lundi 26 septembre à la Villa des Fleurs de Mar Vivo.


Le Père Christian Andrau. Supérieur, a concélébré une dernière messe dans la chapelle de la maison avec le Père Jean Sénéclauze et le Père Henri Drevon.


Arrivé en 1944, le Père Sénéclauze aura consacré 67 ans de sa vie à La Seyne dont 63 ans de pédagogie en Physique, Chimie, et Mathématiques.


Arrivé en 1964, le Père Drevon, Directeur Spirituel, Aumônier et Responsable des Scouts, y sera resté 47 ans.


Leurs anciens élèves ont voulu en  toute discrétion leur témoigner leur amitié.


Après la messe, le Supérieur, les a invités à un apéritif.


Monsieur le Maire s’est joint à eux et a tenu à marquer la reconnaissance de la Ville à des Religieux qui l’ont marquée pendant 168 ans en remettant à la Société de Marie la Médaille d’Or de La Seyne.

DH

Photos prises par Pierre A. Martin (absent sur les photos)
Claude Content, Daniel Hugonnet, Père Drevon, Père Sénéclauze
Daniel Hugonnet, Père Supérieur Andrau,  Père Drevon, Claude Content, Père Sénéclauze
Père Drevon, Claude Content, Daniel Hugonnet, Père Sénéclauze, Monsieur le Maire, Père Supérieur Andrau
Monsieur le Maire remet la Médaille au Père Supérieur Andrau
Monsieur le Maire, Père Sénéclauze

Qb. (Projet d'article "les Maristes à La Seyne")

    En 1843 venant de Paris, arrivaient dans le Var un petit groupe de missionnaires de la Société de Marie Ils attendaient de pouvoir embarquer à bord  d'un bateau de la Royale qui les emmènerait en Océanie.

    En attendant l'appareillage, on les logea à la Seyne dans la vielle Capucinière place de la Miséricorde.  La durée de leur passage à la Seyne devait être bref. En fait les Pères Mariste devaient rester sur la commune de La Seyne pendant 168 ans

    Leur départ fut retardé par des impondérables dans la logistique et des embrouillaminis diplomatiques. Ignorant le provençal, ils ne pouvaient aider le clergé séculier, mais ils pouvaient donner de laçons des leçons particulière. Leur réussite dans ce domaine, incitèrent des notables varois à leur proposer de profiter des avantages de la loi Falloux pour ouvrir un établissement d'enseignement

    En c'est ainsi qu'en 1849 s'ouvrait à la Seyne un pensionnat "l'Institution Sainte Marie". A la première rentrée, ils étaient 9 pensionnaires et 1 externe. La réussite fut au rendez-vous A ces précurseurs, et pendant un siècle succédèrent, chaque année, plus de 500 pensionnaires, venus de tout le Sud Ouest, de Marseille à Nice et d'Avignon à Briançon et de Corse. Avec eux, une cinquantaine d'externes. Actuellement, autour d'une centaine de pensionnaires,… demis pensionnaire et... externes assurent la pérennité des "Maristes de la Seyne"

    Mais  ce n'est pas du rôle pédagogique des Pères Maristes que nous voulons parler mais de leur implication dans la vie seynoise au cours de cette longue période.

    Passons vite sur l'anecdote : l'implantation à la Seyne  du domaine de Sainte Marie ne s'est pas faite sans des transformations du quartier. C'est énoncer un truisme que de dire que pendant des siècles l'approvisionnement en eau de la Seyne était catastrophique. Quand les pères maristes, pour assumer leur besoin, ont fait forer un puits, ils en ont profité pour installer une  fontaine en haut du marché dont les plus vieux d'entre nous se rappellent encore.

    Mais c'est à l'occasion de l'épidémie de cholera de septembre 1865 qu'eut lieu la vrai rencontre entre les Pères et la population seynoise. On était en période de vacances et les pères auraient pu abandonner la maison pour une autre de leurs résidences située sous des cieux plus salubres. Ils restèrent à La Seyne se mettant au service de la municipalité, travaillant à l'hôpital, visitant les malades. D'ailleurs, c'est sur la charrette du collège, conduite par le domestique de l'institution qu'étaient ramassées les dépouilles recueillies dans les maisons abandonnées. Après cette épidémie qui avait fait plus de 500 victimes sur une population de 11.000 habitants, il a fallu agrandir le cimetière. A cette occasion fut démolie la chapelle érigée à l'endroit où est la place devant l'entrée du cimetière et la cloche fut donnée aux Mariste en guise de remercîment pour leur dévouement. 

    Quelques années après c'est le désastre de la guerre de 1870. Après la chute de l'Empire, dans le Var se constitue une Légion de Mobiles qui vont rejoindre l'armée  de Bourbaki. Une souscription, faite auprès des éleves permet d'acheter aux Chantiers de La Seyne un canon de campagne qui renforcera l'armement de ces volontaires.

    En 1914, les locaux de l'Institution sont réquisitionnés pour en faire un hôpital auxiliaire où seront soignés des blessés français d'abord, russes en suite. Grace à l'aide de la direction des Chantiers, le collège peut s'installer à Mouïssèque à dans l'ancien couvent de la Visitation.

    La paix revenue, tout reprend comme avant. Les seynois sont habitués à rencontrer le jeudi et le dimanche les élèves des 6 divisions cheminant 3 par 3 sur les petits chemins de la commune, à la traditionnelle sortie en mer sur les ferries; à la participation des Elèves aux moments importants de la vie seynoise comme les lancements des navires, aux rencontres sportives. Les pères sont des bâtisseurs et font travailler les entreprises locales. Assurer la matérielle de plus de 600 personnes n'est pas chose facile: des civils travaillent dans tous les secteurs  et le collège devient un des plus importants employeurs de La Seyne. Dans la Maison, les sœurs de Saint joseph de Gap ont la grande main sur toute l'intendance. A la lingerie, elles créent un centre d'apprentissage de la couture. Et discrètement, par la petite porte de la Rue d'alsaces de la nourriture est distribuée aux nécessiteux. Les contacts des Pères avec les familles seynoises ou des communes environnantes  se multiplient. Hommes de bon conseil et de bonne volonté les pères sont  à l'écoute de familles de tout horizon et de tout milieu. 

    Septembre 1939, c'est de nouveau la guerre. En juin, à l'annonce de l'attaque italienne le collège est évacué. Il ouvrira comme d'habitude début octobre 1940.  Le père François-Julien couvert de gloire dans les Corps francs à été blessé. Il claudique comme  le père Baudin qui lui a été touché  en Norvège. Fin 1942, c'est l'invasion de la zone libre, le sabordage de la flotte, l'occupation italienne. Un bataillon de chemise noire occupe la moitié de Sainte Marie. Une partie des Pères maristes, dont le supérieur le père Bouvet a fait ses études théologiques à Rome. Sa parfaite pratique de la langue, la distinction de son accent lui assure auprès des occupants une supériorité intellectuelle qui sera très utiles pour humaniser l'occupation et faciliter la vie des seynois. Les années se suivent. En octobre, d'ordre ministériel, le pensionnat Sainte Marie n'ouvrira pas mais quelques Pères demeureront dans la maison. Au fil des mois la situation devient de plus en plus difficile et toute la misère de l'époque se reflète dans cette phrases extraite des carnets du père Bouvet :" Nous sommes forcés de fermer la distribution de nourriture. Nous n'avons que de l'eau chaude à donner".

    Le pire est à venir : Si  17 seynois ont perdu la vie au cours du bombardement du 17 novembre 1943 à Toulon, la ville a été épargnée. Les premières bombes tombent sur la  Seyne le 11 mars, faisant 10 victimes. Mais c'est le bombardement du 29 avril qui sera le plus important et le plus  meurtrier. Aucune bombe n'est tombée sur la maison. Les secours arrivent de partout  Les cuisines sont employées pour nourrir les  rescapés et les  130 dépouilles des victimes reçoivent les derniers devoirs  dans le bâtiment des classes où se produisent des scènes déchirantes quand les familles viennent reconnaitre les leurs. 14 ne seront jamais identifiés. Les obsèques simples et dignes se refoulent dans la cour d'honneur. Tout le monde connaît le rôle du Père Bouvet lors de l'attaque du poste de police par les Allemands, on connaît moins la témérité du Père Baudin dans la Resistance.

       C'est avec joie et fierté que les pères maristes avaient accueilli les libérateurs : des Anciens Elèves, jeunes sous lieutenants de l'Armée d'Afrique ou officiers de marines chevronnés. C'est avec joie et fierté qu'en octobre1944, ils pouvaient accueillir la nouvelle rentrée
   
 Une nouvelle page se tournait: pas mal de nouveaux élèves, pas mal de nouveaux pères maristes, un souffle nouveau passait dans la Maison. Il y avait encore à l'époque plusieurs dizaines de pères qui assuraient les missions d'enseignement, d'encadrement et d'administration de l'établissement. Au fils des années, le nombre de Pères Mariste à la Seyne, comme dans les autres établissements d'enseignement mariste diminue et les fonctions qu'ils occupaient sont progressivement exercées par des Laïques. Corrélativement à cette laïcisation, les pères maristes  se consacrant moins  l'enseignement et se tournent vers de nouveaux sacerdoces. ils sont dans les prisons, les associations de quartier. Dans l'agglomération toulonnaise "Franju", le père François julien est  le Père spirituel de la communauté malgache. Le père Baudin (avec sa mobylette) est dans les couloirs de l'hopital. Au fur et à mesure de leur retraite les pères quittent sainte marie mais ils ne quittent pas la Seyne puis qu'ils rejoignent la communauté mariste de  Mar-Vivo.   

    A la fin du mois de septembre  2011, il n'a aura plus de Pères Maristes sur notre commune. La remise de la médaille d'or de la Ville de la Seyne au dernier supérieur de la Communauté de notre cité est un témoignage de la reconnaissance de la Ville  et de l'amitié des seynois envers les pères maristes. C'est un joie de constater que les deux derniers à nous quitter sont le Père Drevon présent à la Seyne depuis 1964, aumônier de la troupe Saint Exupery, troupe scoute de la Seyne, à qui tant de seynois doivent leur gout pour le modélisme et le père Sénéclauze arrivé en 1944 qui fut le dernier mariste à avoir vécu et  travaillé et à plein temps à Sainte Marie

    Mes Pères nous ne vous disons pas Adieu mais "Longo mai¨"

PM


9-10 juillet 2011 : Ecole des beaux-arts de La Seyne

Q1a.

Bonjour

Je vous envoie cette coupure de journel de La Seyne du 2 juillet 1966, M. Passaglia remet aux élèves des beaux-arts les prix de l'année écoulée.

Nous y retrouvons des noms connus, espérons que le nombre de présents soit élevé et qu ils puissent lire ces lignes avec joies.

Sincères salutations.

AA

Q1b.

Bonjour

Encore une petite photo, je pense 1965/1966 à l'école des beaux-arts Martini.

On trouve sur la photo Gérard Weiss, J.-Pierre Auger, Sylvie Comperat, Andréini, d'autres inconnus...

Amicalement

AA

R.

Cher ami,

Merci encore pour cette photo et cette coupure de journal.

Je ne manquerai pas de les insérer dans le “forum” de mon site dès la prochaine mise à jour. Merci de contribuer à la sauvegarde de notre patrimoine historique et culturel !

Amitiés,

Jean-Claude Autran




4 juillet 2011 - 17 décembre 2013 : Recherche de personne : Marie Antoinette Desaix

Q1.

Bonjour Jean Claude,

En consultant votre site comme je le fais régulièrement, j'ai vu que vous nommez Melle Desaix Marie-Antoinette comme ancienne camarade de classe. Marie Antoinette a été ma directrice lors de ma première colonie.

Avez vous des nouvelles ou du moins, savez vous ce qu'elle est devenue ?

Je garde d'elle un excellent souvenir.

J'espère que vous allez bien

Bien à vous.

Amicalement

LG
R1a.
Bonjour Laurent,

Effectivement, avec mes anciens camarades de classe, nous avons retrouvé de vieilles photos où, sur l’une d’elles, Marie-Antoinette Desaix a été identifiée.

Personnellement, je ne sais plus du tout ce qu’elle est devenue. Mais je vais me renseigner auprès de camarades un peu plus âgés que moi, qui l’ont bien connue au lycée et dans des colonies de vacances.

Je vous tiens au courant dès que j’ai pu obtenir des informations.

Bien à vous,

JCA
R1b. (à CP)
Salut Claude,

Un ancien des colonies de vacances de La Seyne (LG) a vu sur internet, sur nos photos de groupes des années 1957-1959, apparaître le nom de Marie-Antoinette Desaix, qu’il a bien connue autrefois comme directrice.

Il se demande, et il me demande, ce qu’elle est devenue.

Il me semble que nous avions quelquefois prononcé son nom lors de nos derniers repas, mais je ne me souviens pas si quelqu’un l’avait revue depuis ou savait où elle était.

Merci par avance si tu as quelque idée sur cette question.

A bientôt.

Jean-Claude
Q2.
Merci Jean Claude.

Bien à vous

LG


R2. (17 décembre 2013)

Aux Anciens des Colonies de Vacances de La Seyne

Bonjour

J’ai la tristesse de vous informer du décès de Marie-Antoinette Desaix, que je viens d’apprendre.

Personne ne l’avait revue récemment car elle était, je crois, gravement malade depuis plusieurs d’années.

Je sais que beaucoup d’entre vous avaient gardé d’elle un excellent souvenir. Aussi ai-je tenu à vous communiquer cette triste nouvelle.

Avec amitiés,

Jean-Claude Autran






11-23 mai 2011 : Souvenirs de Mathilde Ravestein, directrice d'école

Q1.

Bonjour Monsieur,

Je viens de consulter votre site, car je suis à la recherche pour ma généalogie personnelle d'informations sur Mathilde Eugénie Ravestein qui était institutrice à partir de 1954 à l'école Curie de la Seyne sur Mer. Son mari, Ravestein Raymond était l'oncle de maman. Je sais que celle-ci est décédée le 2 avril 2010 à son domicile à la Seyne sur mer à l'âge de 96 ans. Elle était née en 1914 à Fort de france en Martinique. Voilà pourquoi, en vue de la constitution de mon dossier généalogique je souhaite toutes informations la concernant et particulièrement photo (peut-être d'école) où elle pourrait apparaitre.

Je vous remercie vivement pour votre réponse.

Respectueuses salutations.

PS

R1a.

Bonjour Madame,

Pardon pour le retard avec lequel je réponds à votre message.

Mes parents, qui étaient tous deux enseignants, ont très bien connu Mathilde Ravestein, surtout ma mère qui enseigna aussi au collège Curie entre 1938 et 1965. Mais, si je me souviens qu’ils parlaient souvent d’elle dans les années 50, je n’ai malheureusement pas retrouvé beaucoup d’informations précises dans les archives familiales. Je n’ai pas retrouvé de photo de classe où elle apparaît.

Tout ce que j’ai pu retrouver, ce sont des photocopies d’articles de journaux, pas toujours bien datées, où son nom est mentionné, que je vous adresse ci-joint :

- img228.jpg : Mathilde Ravestein est faite Officier des Palmes Académiques (fin des années 80 probablement) : le seul document en ma possession où elle apparaît en photo (2e à partir de la gauche), mais malheureusement une photocopie de journal de qualité médiocre [voir ci-dessous].
- img229.jpg : Article de Var-Matin sur la conférence faite aux Amis de La Seyne Ancienne et Moderne (4e trimestre 1987) par Mathilde Ravestein sur les premières colonies de vacances de La Seyne.
- img230.jpg : Autre conférence (≈septembre 1988) de Mathilde Ravestein, également aux Amis de La Seyne Ancienne et Moderne, sur les Fables de La Fontaine.
- img231.jpg : Autre article de presse sur le même sujet.
Voir les conférences de Mme Ravestein aux Amis de La Seyne Ancienne et Moderne
dans les bulletins de liaison Le Filet du Pêcheur, n° 19, 3e trimestre 1986, page 3 et n° 24, 4e trimestre 1987, page 10.

Cela ne vous est sans doute guère précieux pour votre dossier généalogique, mais ce sont pratiquement les seules informations que j’aie pu retrouver sur Mme Ravestein dans mes archives.

Je crois aussi savoir que Mathilde Ravestein, née Mathilde Duval, avait épousé en première noces, Paul Hubidos (1917-1943), héros seynois, pilote de chasse, décédé le 8 mars 1943 lorsque son avion fut abattu près de Rouen. Dans mon enfance, mes parents parlaient donc de Madame [veuve] Hubidos. Je pense qu’elle a dû ensuite épouser M. Ravestein vers le milieu des années 50.

Si vous êtes intéressée, je possède un certain nombre d’autres informations sur son premier époux Paul Hubidos, dont le nom fut donné au stade attenant au collège Curie (http://jcautran.free.fr/oeuvres/tome4/origines_ecole_curie.html).

C’est à peu près tout ce que je puis vous dire aujourd’hui.

Bien cordialement,

Jean-Claude Autran

R1b.

Bonjour Madame,

Bien que cela ne soit sans doute pas d’un très grand intérêt pour votre dossier généalogique, je vous adresse aussi un texte d’interview de Mathilde Ravestein sur les colonies de vacances seynoises (qu’elle avait contribué à animer entre 1945 et 1951). Ce texte est extrait du livre de Paul Gaujac (2000) “C’était au temps des colos”.

Bien cordialement,

Jean-Claude Autran

Q2.

Monsieur,

Je vous prie de bien vouloir accepter tous mes remerciements pour vos différents messages accompagnés des documents sur Mathilde Eugénie Ravestein. Pour le retard, ce n'est pas grave, il faut être patient lorsque l'on fait de la généalogie.

Tous ces précieux renseignements vont me permettre de continuer la construction de mon dossier en introduisant le maximum de renseignements. Tous renseignements apportés sont précieux, même s'ils sont parfois difficiles à obtenir.

Voilà !! encore un grand merci à vous ; un petit regret cependant en ce qui concerne le manque de photographie.

Cordialement à vous.

PS



11 mai 2011 - 19 janvier 2012 : Ecole d'apprentissage des CNIM en 1968-1969

Q1.

Bonjour Mr Autran

Je recherche toujours dans le passé. Je ne vous propose pas aujourd hui des vieux journaux de la guerre ni la classe de Mme Havard, mais une photo souvenir hélas de pas trop bonne qualité car issue d'un appareil bas de gamme et photo argentique, mais une photo de la section électricité de l'école d'apprentissage CNIM place de la Lune ou nous sommes entrés jeunes de 15 ans. Et oui il y a 45 ans.

Sinceres salutations

Je sais que vous rencontrez Michel Havard, j'ai perdu par changement de téléphone les coordonnées, merci à l'occasion de lui transmettre nos sinceres salutations.

ARL


École d'apprentissage CNIM, place de la Lune, 10 décembre 1968

R1.

Encore une fois, merci beaucoup de m'envoyer des documents retrouvés dans vos archives.

Votre photo va être rajoutée incessament à mon site dans la rubrique "Enseignement et écoles".

Par ailleurs, je ne manquerai pas de transmettre vos salutations à Michel Havard, que je rencontre régulièrement.

Bien cordialement à vous,

Jean-Claude Autran

Q2.

Bonjour

Je range un peu et je trouve... Je vous envoie des photos souvenirs du camp de vacance des apprentis des CNIM en 1968/1969, je ne sais pas s'il y en a, mais celles ci sont gardées depuis près de 50 ans. Que de bons souvenirs.

On retrouve des noms tel que Pansa, Gondran, Fouillon, Garcia, Bosc, Parena, Romrezin, Buchbach, Leroy, je met les  lunettes, Verdier, Mateucci, Fruch, Leautier, Caysaliez, les frères Boisblet,et les vilains canaillous simulant le masacre de l'auto de leur moniteur...

J'ai passé ces éléments également aux 2 moniteurs qui restent Mr Bazzuchi et Mr Benfenati, qui nous ont apporté à peu près tout ce qu il fallait savoir pour demarrer la vie et la mener à bien. Et le tout en 3 ans d apprentissage.

Tout comme moi, les camarades qui restent ne peuvent que remercier ces personnes.

Salutations et amitiés

ARL

Merci pour transmetre le bonjour à Mr Havard


A Tarascon (1968)

A Tarascon (1968) : le groupe des apprentis

A Tarascon (1968) : les apprentis et la voiture de M. Benfenati

A Tarascon (1969) : le camp des apprentis

Q3. (18 janvier 2012)

Bonjour,

Pour completer la série des photos sur l'apprentissage des cnim, voilà une photo des élèves de la classe de Mr Nury Paul, professeur d'électro-mécanique qui a su beaucoup s'investir pour la reussite de ses élèves à l'examen de fin de formation, photo datant du 10 décembre 1968.

On retrouve sur cette photo : à gauche, mr abran ; à droite, mr paul nury.

En bas à gauche : Parena, ?, Roland Garcia, Caisalie Gérard, André Andreini.

Au-dessus : ?, ?, Michel Rivere, Buchbach, Boisblet, Fruchh, Jo Fouillon et Raymond di Pilla.

Derrière : ?, avec les lunettes Boisblet Christian, Leautier, Romezin et Roland Bosc.

J'ai oublie les noms des ?? Au cas où d'autres collègues se reconnaissent.

Voila, comme à l'habitude, je vous passe ces éléments. A vous de juger de leurs utilité et eventuelle diffusion.

Toujours attentif à la beauté du site.

Je vous adresse notre bonjour amical.

ARL

Apprentissage des CNIM : photo des élèves de la classe de M. NURY Paul, professeur d'électro-mécanique
(
10 décembre 1968)

R3.

Merci encore pour cette photo, que j'ai placé à la suite de celles que vous m'aviez envoyées en mai 2011 :

http://jcautran.free.fr/forum/enseignement_et_ecoles.html#55

Recevez aussi mon amical bonjour,

Jean-Claude Autran


31 mars - 15 avril 2011 : Souvenirs sur l'ancienne colonie de vacances de La Seyne au village du Touvet (Isère)

Q1.

Bonjour,

Félicitations pour votre site que je découvre aujourd’hui après un contact aux archives de la Seyne sur mer.

Je vis au village du Touvet en Isère et organise des balades avec commentaires sur le bâti et la vie des anciens.

Je recherche donc souvenirs, photos, anecdotes sur la propriété occupée par la colonie de la Seyne sur Mer entre 1940/45 et 1990 environ dans mon village.

Si vous pouvez m’aider je vous en remercie d’avance.

JT

R1.

Bonjour,

Merci pour votre message et vos félicitations pour mon site.

Mon père, Marius Autran (1910-2007) a été très longtemps le responsable des colonies de vacances de la ville de La Seyne-sur-Mer. Dans le Tome 3 de la série d’ouvrages qu’il a écrits par la suite, il a consacré un chapitre sur les colonies de vacances de la ville de La Seyne (“Jeunesse au plein air”), et un paragraphe sur celle du Touvet :

http://jcautran.free.fr/oeuvres/tome3/jeunesse_au_plein_air.html#19

que vous avez dû trouver sur mon site.

Pour répondre à votre recherche de photos et d’anecdotes, je n’ai que peu d’éléments autres que ce que mon père avait écrit à partir de ses propres souvenirs. Mais, en creusant ma mémoire, et mes archives, voici ce que je peux vous en dire :

1) J’ai quelques souvenirs personnels, ayant moi-même visité cette colonie du Touvet au moins trois fois. Je l’ai d’ailleurs connue dès l’origine, ayant accompagné mon père (ainsi que le secrétaire général de la mairie de La Seyne, M. Georges Bender), lors des premiers contacts avec les propriétaires du domaine, Mme et M. Finas. Cela se passait exactement en juin 1957. J’avais 13 ans et étais au dernier trimestre de ma classe de 4e. Mon père devait se rendre en Isère avec M. Bender (et M. Crouzet, conducteur de la “traction” de la mairie) pour suivre les travaux de rénovation de la colonie du village de Presles, dans le Vercors, et par la même occasion, revoir la propriété du Touvet dont l’acquisition était envisagée. Comme ils n’étaient que 3 dans la voiture, mon père m’avait proposé de les accompagner dans l’Isère, et j’avais dû manquer la classe un vendredi et un samedi matin, ce qui n’était pas trop grave car on était en fin d’année scolaire 1956-1957. D’ailleurs, en relisant le texte de mon père, je pense qu’il a fait une erreur de dates : c’est lors des visites des colonies durant l’été 1956 (et non 1958) qu’ils avaient dû rencontrer ce M. Eugène Peyron (je ne sais plus s’il était conseiller municipal au Touvet ou délégué cantonal ?) qui les avait rencontrés par le plus grand des hasards et leur avait annoncé la mise en vente du domaine et tout l’intérêt qu’il y avait pour la ville de La Seyne à l’acquérir. Je me souviens donc d’avoir suivi mon père et MM. Bender et Crouzet lors de cette visite de la propriété, et d’avoir rencontré M. et Mme Finas, lui effectivement très âgé et ne pouvant plus s’occuper de sa propriété. Ils étaient donc obligés de vendre et d’aller, je crois, aller vivre, auprès de leurs enfants. Je me souviens que Mme Finas s’inquiétait de voir encore son mari, 90 ans, monter à l’échelle pour essayer de cueillir encore quelques cerises dans ses arbres (c’étaient d’ailleurs de minuscules cerises, ou merises, qui faisaient peine à voir à côté des cerises du commerce). Et M. Crouzet qui essayait de rassurer ce vieux M. Finas en lui disant qu’il avait encore de l’avenir devant lui (en lui citant l’histoire – purement imaginaire – d’un conseiller général du Var, qui avait soi-disant 106 ans et qui était toujours présent à la session suivante du Conseil).

Le domaine avait donc dû être acheté par la ville de La Seyne au second semestre 1957, pour 3,750 millions d’anciens francs et, après quelques petits travaux, avait dû être utilisé comme colonie de vacances dès l’été 1958, avec deux séjours, l’un en juillet, l’autre en août.

J’y suis revenu deux autres fois lorsque mon père faisait sa tournée annuelle d’inspection des colonies de vacances, peut-être en 1960 et une dernière fois en 1963. C’était M. Robert Triquet qui en était le directeur, et M. Marc Berretta l’économe. Ce “tandem” dirigea la colonie pendant de nombreux étés, depuis l’origine jusqu’au début des années 70. Ensuite, je ne sais plus.

Mais tout ceci n’est que souvenirs purement personnels et ne vous apporte pas grand chose qui réponde à vos interrogations. Je n’ai d’ailleurs aucune photo personnelle du site, en dehors de celle publiée par mon père dans son chapitre sur Le Touvet, datée de 1974, avec sans doute le directeur (je ne sais pas de qui il s’agit) , son épouse et les monitrices. Cette photo montre une fontaine et un mur surmonté de balustrade qui se trouvait, je crois, à droite en entrant ?

2) Un petit livre intitulé “c’était au temps des colos” a été écrit en l’an 2000 par un Seynois, M. Paul Gaujac, qui fut moniteur, directeur, et aussi formateur du personnel municipal des colonies de vacances. Il est malheureusement décédé assez jeune, en 1995. Mais dans son livre, il a recueilli de nombreux témoignages, dont celui de l’économe du Touvet, M. Marc Berretta. Je vous adresse ci-joint (touvet1.jpg et touvet2.jpg) les 2 pages (pages 99 et 100) de ce témoignage. Mais il n’y a pu y avoir de témoignage du directeur, M. Triquet, ce dernier étant décédé aussi en 1984, à l’âge de 60 ans seulement. Le livre de M. Gaujac ne donne que peu de détails sur la colonie du Touvet car il ne l’avait jamais dirigée personnellement, contrairement à d’autres colonies de l’Isère (La Motte-les-Bains, Bellecombe). Mais il contient cependant 2 photos du Touvet, non datées, page 75 avec le personnel d’encadrement et des personnels de service, que je vous joins également (touvet3.jpg). Mais, si je reconnais certains visages, je ne sais plus leur mettre un nom.

3) Lors des séjours d’été, il était de coutume de faire régulièrement paraître dans la presse locale des nouvelles des différentes colonies de vacances, sous la forme d’articles intitulés, par exemple, “Allo La Seyne... Ici Le Touvet”. Ces textes étaient écrits, soit par mon père, soit par le directeur, soit par l’un ou l’autre des moniteurs de la colonie. J’ai retrouvé quelques-uns de ces articles concernant le Touvet dans les archives de mon père. Un seul est daté (1963), mais les autres sont très probablement aussi du tout début des années 60. On en trouverait certainement d’autres en recherchant dans les journaux des années 60 ou 70. Je vous adresse, ci-joints, les quelques articles que j’ai pu retrouver pour l’instant.

4) Je ne sais plus ce qui s’est passé après les années 1970. Mon père, à la retraite de la municipalité, avait cessé de s’occuper des colonies de vacances. Il est possible que la colonie ait fonctionné jusqu’à la fin des années 80, mais je manque totalement d’information sur cette époque. De grands changements ont alors eu lieu à la municipalité de La Seyne. Dirigée par la gauche (et des maires communistes : MM. Toussaint Merle, Philippe Giovannini et Maurice Blanc) de 1947 à 1984 pour qui l’action sociale, et notamment les colonies de vacances, était une priorité, La Seyne aura un maire de droite (M. Charles Scaglia) en 1984, qui va mener une politique différente. Et notamment en raison de la perte d’activité des chantiers de construction navale qui apportaient à la ville travail et relative richesse depuis 140 ans, et de leur fermeture définitive en 1989, la ville va devoir vendre à cette époque tout son patrimoine de colonies de vacances de l’Isère qui avait été patiemment acquis et entretenu pendant 30 ans. Ce fut la disparition de nos colonies de vacances municipales.

5) Il y a eu aussi, à partir de 1971, une autre propriété acquise, en vie d’y réaliser des séjours de neige, à Saint-Bernard du Touvet (1971). Mon père en parle dans une autre paragraphe de son livre :

http://jcautran.free.fr/oeuvres/tome3/jeunesse_au_plein_air.html#24

Je ne sais pas si l’histoire de cet autre établissement vous intéresse aussi. Personnellement, je n’y suis jamais allé, mais je connais encore et rencontre régulièrement certains des directeurs, moniteurs ou monitrices qui sont cités par mon père (M. Antoine Bertolotto, Mme Nicole Lanata, etc.). Je peux donc essayer de collecter de nouvelles informations, anecdotes ou photos au sujet de cette autre colonie.


Voilà tout ce que je peux vous dire pour l’instant au sujet du Touvet. Ce n’est pas grand chose. Mais je vais poursuivre ma collecte d’informations auprès d’anciens qui ont pu fréquenter la colonie du Touvet et si je peux retrouver quelques autres photos ou documents divers, je ne manquerai pas de vous les faire parvenir.

Bien cordialement à vous,

Jean-Claude Autran

Témoignage de M. Marc Berretta, ancien économe de la colonie du Touvet, dans le livre "C'était au temps des colos" de Paul Gaujac
Extrait du livre "C'était au temps des colos" de Paul Gaujac, avec deux photos de la colonie du Touvet

Ci après, quelques articles de presse (Le Petit Varois - La Marseillaise) du début des années 60 relatifs à la colonie du Touvet

Q2.

OH la la la la la la MERCI BEAUCOUP !!!

Quel bonheur de recevoir tant d’informations et quelle mémoire.

Je suis allée faire quelques vues ces jours-ci pour vous présenter l’évolution des lieux.

Après l’activité colonie vers 1985/90 la propriété est restée à l’abandon et la famille Adamczyk l’a achetée et restaurée en 1999 : 3 appartements dans la maison de maître ; 5/6 appartements dans le grand bâtiment, et peut-être bientôt un projet de lotissement dans les prés !

Le Touvet village rural encore vers 1970/75 a bien changé.

De nombreuses constructions ont envahi les champs, les prés, le coteau et ce n’est parait-il pas fini !!!

Encore merci pour tout,

Je rencontre souvent Josette Peyron, la fille d’Eugène qui était conseiller municipal, qui en sait moins que vous !

De tout cœur MERCI.

JT

Le chemin d'accès
La fontaine
Le bâtiment dortoir-cuisine
La maison de maître
Le verger

R2.

Bonjour,

Merci beaucoup pour votre réponse et pour les photos actuelles de l'ancienne colonie de vacances.

Je reconnais, bien sûr, malgré les changements et malgré que ce soit très lointain pour moi (près d'un demi-siècle), plusieurs endroits de la propriété, sauf le verger où je ne me souviens pas d'être allé. Mais je suis certain que les anciens colons et les anciens personnels reconnaîtront beaucoup mieux que moi les lieux, et avec beaucoup d'émotion.

On regrette parfois un peu tous ces changements (un lotissement dans le verger !), mais chez vous comme chez nous, c'est presque inévitable. C'est ainsi que les choses évoluent aujourd'hui. Si vous voyez l'urbanisation qui s'est développée à La Seyne-sur-Mer depuis le début des années 60 ! La plupart de nos quartiers sont méconnaissables, et cela continue.

Merci encore pour vos photos.

Naturellement, si j'arrive à collecter d'autres informations sur l'ancienne colonie du Touvet, je vous les ferai parvenir.

Cordialement,

Jean-Claude Autran





5-12 mars 2011 : Livres de prix qui étaient distribués aux élèves dans les années 1950/1960/1970

Q1.


Monsieur,

Je suis étudiante en master 1 et dans le cadre de mon cursus, je dois écrire un mémoire de fin d'année.

En recherchant des informations, j'ai vu le site consacré à la scolarité de Jean-Claude Autran.

Je vous contacte car je recherche des informations sur les "livres de prix". Je cherche des titres de livres qui étaient distribués aux élèves, en guise de récompense, dans les années 1950/1960/1970. 

Possédez-vous des informations qui pourraient m'aider ?

En attendant une réponse de votre part, je reste à votre disposition.

Cordialement,

LV

R1.

Bonsoir,

Votre sujet de master est très intéressant. Je peux vous donner quelques éléments de réponses car j’ai vécu au collège et au lycée la période 1954-1964 où les meilleurs élèves recevaient des livres de prix en fin d’année, dans le cadre d’une cérémonie officielle de “distribution des prix”.

Vous avez peut-être déjà trouvé sur mon site internet la rubrique “Palmarès de distribution des prix” pour ce qui concerne la ville de La Seyne-sur-Mer à cette époque.

Voir à : http://jcautran.free.fr/archives_familiales/scolarite/palmares_1954_1962.html

Je vous permets d’emprunter tout ce que vous voudrez à cette rubrique (qui décrit, je crois, assez bien l’esprit de l’époque), si cela peut vous être utile.

Les prix qui étaient attribués étaient le plus souvent des livres (bien que certaines personnes morales offraient aussi parfois des prix en espèces ou de petites sommes sur des livrets de caisse d’épargne).

Pour répondre à votre question (quels étaient les livres de prix ?), je vous adresse ci-joint des photos des couvertures de quelques-uns des livres de prix que j’avais obtenus à cette époque (1954-1964).

Dans les petites classes, j’avais eu ainsi Peter Pan, J’ai fait trois fois le tour du monde, Le vent dans les saules, Rouge Gazon, Les évasions historiques, etc.

Il était aussi très fréquent à l’époque d’avoir des romans de la collection La Bibliothèque Verte (Fille des neiges, L’aventure sans retour, Le fils de Lagardère, et beaucoup de Jules Verne : 20 000 lieues sous les mers, Cinq semaines en ballon, Voyage au centre de la terre, La chasse au météore, etc.) ou La Bibliothèque de la Jeunesse (Les secrets de la mer Rouge, Les chouans, Au pays des cinq rivières, Un exploit de Worrals, etc.).

Egalement, la collection Rouge et Or était très représentée dans les livres de prix (L’Ile au trésor, Le Robinson Suisse, Le grand silence blanc, Les trappeurs de l’Arkansas, Le dernier des Mohicans, etc.), ou la collection Nelson (Le Petit Chose, Croc-Blanc, Le roman de Miraut, Sans Famille, etc.).

Parfois aussi, des livres de vulgarisation de la science (Que trouve-t-on au bord de la mer ?, Parmi les étoiles, Le Ciel, De la fleur à la graine, La Mythologie, La Préhistoire, etc.).

Plus tard, en terminale, ce fut du Tourgueniev (Premier amour) ou du Saint-Exupéry (Courrier Sud).

Encore plus tard, en classes préparatoires aux grandes écoles, j’avais obtenu aussi des ouvrages plus sérieux comme : Dans le ciel de l’Atlantique Nord, L’homme dans les profondeurs de la terre, Les anges de fer, etc.

Mais, à la fin des années 60, cette tradition semble avoir peu à peu disparu. On n’a peut-être plus dégagé les moyens permettant de la perpétuer. Ou alors, cela ne devenait-il pas malsain de distribuer des prix à une « élite culturelle» ? Cela aurait-il pu risquer de traumatiser ou d’humilier tous ceux étaient moins bien classés ??

Voilà ce que je pouvais vous dire. Je ne fais pas d’autre commentaire. Mais je reste à votre disposition pour essayer de vous fournir tout autre renseignement qui vous serait utile.

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q2.

Monsieur,

je vous remercie beaucoup pour votre réponse.

Vos informations et les photos que vous m'avez envoyé me seront très utiles.

Je vous remercie de me permettre d'utiliser la documentation de votre site internet.

J'aurais une dernière demande: auriez-vous une photo d'un ex-praemio (il s'agit d'une feuille manuscrite ou imprimée indiquant le prix reçu, placée en tête de l’ouvrage et mentionnant le nom du collège, le nom et les titres du donateur, la discipline, le nom et la classe de l’élève suivi de la signature du principal ou du responsable des études.)

Cordialement

LV

R2.

Bonjour,

En réponse à votre message, hélas non, je n’ai retrouvé aucun document de type ex-praemio dans mes archives. Je ne me souviens pas d’en avoir eu dans mon collège ou mon lycée – ou alors mes parents n’en ont pas conservé.

Peut-être cela était-il plus courant dans les établissements privés de l’époque. Je vais poser la question à un ancien camarade, qui avait eu de nombreux prix lorsqu’il était élève du collège des Maristes de La Seyne. Peut-être en a-t-il conservé ? Je vous tiendrai au courant.

Cordialement,

Jean-Claude Autran


15 décembre 2010 - 15 mai 2011 : Association des anciens élèves de Martini

Q1.

Bonjour Jean-Claude,

Un renseignement, il y a quelques années l'amicale des anciens de l'école Martini existait, Monsieur Isnard s'en occupait,
peux-tu me dire si cette amicale est toujours d'actualité, malgré mes recherches, je ne la trouve pas...

Merci du renseignement que tu pourrai m'apporter - joyeuses fêtes de Noël.

MV

R1a.

Bonjour Michèle,

Il ne me semble pas que cette amicale soit encore active. Mon père en était Président d’honneur, mais depuis plusieurs années je ne suis plus au courant de la moindre activité.

J’ai trouvé dans les archives de mon père des comptes-rendus d’activités datant des années 1990, 1992, 1995. A l’époque le président était Paul Razzanti, le vice-président Jean Revertégat. Et parmi les membres du Bureau on trouvait : Raymond Manzo, Robert Gil, Augustin Isnard, Robert Andreozzi, André Blanc, Jean Revest, René Mathieu, Maurice Fabre, Jean-Paul Verrilli, Gilbert Marro, Paul Campodonico, Emile Wendling.

Au décès de mon père (2007), il a y encore eu une carte et des fleurs d’envoyées par l’Amicale. La carte était à l’adresse : A.A.E.E.C.M., 19 rue Arthur Rimbaud à La Seyne, mais non signée.

Depuis, plus rien. Sauf erreur de ma part, l’association n’apparaît plus dans les demandes de subventions à la mairie (contrairement à l’association des anciennes de Curie, qui se réunit encore sous la présidence de Mme Wendling).

Voilà tout ce que je sais. Comme je rencontre assez régulièrement André Blanc, Robert Andreozzi ou Gilbert Marro, j’essayerai à la prochaine occasion de leur poser la question. Je te tiendrai au courant.

Amicalement. Joyeuses fêtes aussi.

Jean-Claude Autran

R1b. (15 mai 2011)

Bonjour Michèle

J’ai enfin eu une réponse (plusieurs mois après...) à ta question concernant l’Amicale des Anciens de Martini.

Robert Andreozzi m’a dit récemment, qu’elle était encore parfaitement active (bien qu’ils ne fassent guère de publicité sur eux et qu’on n’en parle pas beaucoup dans les journaux). Il y a toujours des réunions, des rencontres, des voyages. C’est toujours Monsieur Isnard qui s’en occupe.

Je ne me souviens plus très bien de Monsieur Augustin Isnard, mais apparemment, son adresse serait (...).

Amicalement,

Jean-Claude Autran


28 septembre 2010 - 5 septembre 2011 : Recherche de photos de colonie de vacances à Gréoux

Q1.

Bonjour Monsieur,

Je suis née en 1947 et courant 1953 je suis partie en colonie de vacances à Gréoux les bains par les Chantiers de La Seyne. Je ne possède aucune photo de cette colonie ni même l'adresse.

Je ne sais pas si c'est dans vos possibilités de les trouver, mais je viens de voir votre site et je tente ma chance...

Je suis Seynoise, je suis née à la clinique des chantiers place de la Lune.

Je souhaite vivement y retourner cela me ferait tant plaisir.

Je vous remercie par avance, et vous prie de croire, Monsieur, en l'assurance de ma considération distinguée.

NC

R1.

Bonjour,

J'ai bien reçu votre message, mais je ne dispose que de très peu d'informations permettant de répondre à vos questions.

Dans son histoire des colonies de vacances à La Seyne (http://jcautran.free.fr/oeuvres/tome3/jeunesse_au_plein_air.html), mon père a surtout développé les colonies de  vacances municipales, dont il s’est longtemps personnellement occupé ; et il n'a cité qu'une fois la colonie de Gréoux-des-Bains, qui appartenait aux Chantiers et il la situe au Château Laval : « Le Comité d'entreprises des F.C.M. organisa pour les enfants des personnels un centre de vacances au château de Laval à Gréoux-les-Bains ».

Peut-être que cette indication vous permettra de retrouver le site.

Malheureusement, je n’ai aucune photo de cette époque. Il y a bien eu une photo de cette colonie publiée par Var-Matin (20 avril 2005), mais il s’agit d’un groupe d’apprentis des Chantiers, année 1950-1951. Je n’ai retrouvé aucune photo de groupe de jeunes filles.

Le livre « C’était au temps des colos », écrit par Paul Gaujac en 2000, se limite aussi aux colonies municipales et il ne cite pas celle des Chantiers à Gréoux

Il m’arrive d’aller faire des recherches dans les journaux des années 50. A la prochaine occasion, j’essayerai de voir si quelque chose a été publié sur cette colonie au cours de l’été 1953 dans Le Petit Varois, ou Le Méridional. Je ne manquerai pas alors de vous le communiquer.

C’est tout ce que je peux vous dire. Ce message figurera sur le “forum” de mon site. Peut-être, sait-on jamais, qu’il sera lu par des anciennes de Gréoux, qui sauront apporter d’autres précisions ?

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q2.

Je tiens à vous remercier pour votre réponse. J'irai voir à Laval si je reconnais l'endroit. C'est parfait.

Je vous remercie encore fois pour votre diligence.

NC

Q3. (28 août 2011)

Bonjour Monsieur

Je viens de regarder votre site et je voudrais apporter une réponse à une personne.

Moi aussi je suis allée en colonie avec les chantiers je suis née en 1948 et à cette époque nous n'allions pas au Château Laval, nous étions dans Gréoux avenue des Thermes à la Castellane (très belle demeure) malheureusement moi aussi je ne possède pas de photos. Ccette demeure est maintenant un hôtel.

Ensuite je voudrais savoir si nous pouvons consulter le livre d'or du sport de la ville car j'ai fais du basket très longtemps,je sais que la ville faisait des photos.

Merci pour continuer le site de votre père qui d'ailleurs a connu une partie de ma famille .

Cordialement

MT

R2a. (à NC)

Bonjour,

Suite à notre échange de messages de septembre 2010, mis sur le "forum" de mon site, une internaute (MT), ancienne des colonies de vacances des Chantiers à Gréoux, m'a dit que la colonie ne se situait pas au Château Laval, mais dans Gréoux même, dans une très belle demeure, La Castellane, avenue des Thermes. Cette demeure serait devenue aujourd'hui un hôtel.

Peut-être que cette indication vous permettra de mieux reconaître l'endroit. [J'ai vu que sur internet on trouvait des photos actuelles de ce site en allant à : http://www.logishotels.com/fr/hotel-Hotel-La-Castellane-9114.html]. Est-ce bien la demeure que vous avez connue ?

Bien cordialement,

JCA

R3b. (à MT)

Bonjour,

Merci pour votre message.

J'ai informé ma correspondante (NC, ancienne des colonies de vacances des chantiers de vos indications sur la demeure La Castellane, avenue des Thermes à Gréoux.

Sur internet, j'ai noté aussi qu'il existe de nombreuses photos actuelles de la demeure (devenue hôtel) de La Castellane. Par exemple sur le site : http://www.logishotels.com/fr/hotel-Hotel-La-Castellane-9114.html. Cela devrait permettre de confirmer que c'est bien la demeure que vous avez connue autrefois.

Concernant votre seconde question sur le Livre d'Or du Sport à La Seyne, je n'ai pas la réponse. Je n'ai jamais trop été dans le milieu du sport à La Seyne et j'ignorais l'existence d'un tel Livre. Mais j'ai justement rencontré hier M. TC, l'adjoint aux Sports à qui j'ai posé la question. Il n'en avait pas entendu parler non plus. Il m'a dit qu'il allait se renseigner à ce sujet. Je connais aussi deux anciens chefs du Service des Sports de La Seyne à qui je poserai la question dès que je les rencontrerai. Je vous tiendrai au courant si j'obtiens la moindre information sur ce Livre d'Or.

Bien cordialement,

Jean-Claude Autran

Q4a.

Bonjour Monsieur,

Je vous remercie pou votre réponse je viens de regarder la demeure, il s'agit bien de cette maison en rentrant sur la gauche dans une petite maison il y avait les douches, dans la demeure le réfectoire était une grande salle au premier et pour ma part le dortoir était au 2e étage, derrière il y avait des champs ou nous allions en promenade. j'ai de bons et mauvais souvenirs. Je suis née en 1948 et mon frère qui lui est né en 1958 était au chateau Laval.

En ce qui concerne le basket, il me semble que nous avions Madame Gruarin ? comme entraîneur (femme du joueur de Rugby de Toulon).

Ma grd mère était Madame Fino (marchande de fleurs au cimetière). Je reste à votre disposition et de mon côté je vais chercher des photos que je ne manquerai pas de vous les faire parvenir si toutefois j'en trouvent. Cordialement et bon week-end.

MT

Q4b.

Cher Monsieur Autran,

C'est avec une très grande joie que je viens de découvrir votre message. En effet, je reconnais bien cette jolie demeure. Je ne vais pas hésiter à y aller un de ces jours.

Je vous suis entièrement reconnaissante de votre sérieux, et vous félicite pour votre ténacité dans ce que vous entreprenez.

Veuillez accepter mes sentiments distingués.

PS. Un grand merci aussi à Mme MT.

NC


 

30 juin - 5 juillet 2010 : Photos de classes (Tortel, Curie)

Qa.

Bonjour

Merci pour votre information concernant le reedition du livre.

Je vous adresse en retour des photos et oui encore des photos de classe.

La 1ère c'est une photo en classe de Mme Mouche à l'école Tortel, j'ai une partie des noms, mais il faut mettre de l'ordre dans la tête...

La 2ème, c est à l'école Curie. Il y a les noms, comme d habitude, à vous de juger de la mettre sur le net, mais c est tellement interessant !!!

Voilà, je feuillette par cette chaleur votre site, merci encore qu il existe, pour les quelques vrais Seynois qui restent.

Je pense un jour m'arrêter chez Michel Havard, car il fait partie des personnages intéressants que l'on croise dans la vie.

Sincères salutations.

ARL

Ecole Tortel (Jean-Baptiste Coste), année 1965-1966
Collège Curie

Qb.

Bonjour

2 photos de l'école Curie, je ne connais pas les noms, les élèves s'y reconnaitront ???

Ecole Tortel (Jean-Baptiste Coste) ?
Collège Curie, classe de 5e M3, année 1963-1964

Noms des élèves, de droite à gauche :

(...) Bonne réception

A bientôt pour d'autres découvertes...

ARL

R1.

Bonjour,

Un grand merci pour toutes vos photos et tous vos souvenirs qui font un peu revivre notre vieille Seyne.

Je vais essayer d'en mettre le maximum sur les pages du forum de mon site. (...). Peut-être aussi que d'anciens ou anciennes camarades des écoles Curie et Tortel se retrouveront sur vos photos et nous enverront un message ? On peut toujours espérer, comme quand on envoie une bouteille à la mer.

Merci encore. Toutes mes amitiés.

Jean-Claude Autran

PS. Vous pouvez rendre visite à Michel Havard. Il a vraiment réalisé un travail extraordinaire avec la rénovation de la maison de ses parents et la construction de son nouvel atelier qu'il doit baptiser Atelier Louis Burgard, du nom de son arrière grand-père.




27 avril 2010 - 25 novembre 2012 : Notre-Dame de la Présentation : Ancien couvent utilisé par les Maristes pendant la guerre de 1914-1918, puis propriété des F.C.M.

Q1.

J'habitais à la Présentation c'est un ancien couvent qui appartenait au c n i m (savoir si il existe une adresse où je pourrai retrouver des photos d'archives ou des contacts avec les locataires) car nous étions tous amis. merci d'avance.

MS

R1.

Bonjour,

J'ai longuement réfléchi à votre question, mais je n'ai malheureusement que peu d'élément de réponse.

Concernant l'ancien couvent, il existe bien sûr quelques vieilles photographies ou cartes postales (ci-jointes), mais elle sont du début du XXe siècle, notamment lorsque les Maristes y ont été déplacés, pendant la guerre de 14-18.

Le Couvent de La Présentation : Une partie de la façade sud
(Carte postale, éd. A. Bergeret. Collection M. Autran)
Les Forges et Chantiers de la Méditerranée, avec, au second plan, le couvent de La Présentation
(Photo extraite de l'ouvrage L'Institution Sainte-Marie, 1849-1999, de Louis-Jean, Association des Anciens Elèves, 2007)
Les Maristes installés à La Présentation pendant la guerre de 1914-1918
(Photo extraite de l'ouvrage L'Institution Sainte-Marie, 1849-1999, de Louis-Jean, Association des Anciens Elèves, 2007)
Ensuite, je sais que le bâtiment a été acquis par les F.C.M. (mais je ne sais pas en quelle année) pour y loger des personnels. D'après ce que j'ai lu, c'est dans les années 70 que la Municipalité en fit l'acquisition pour le raser et construire sur le même terrain le Foyer Jean Bartolini personnes âgées, qui existe encore actuellement. Un groupe d'H.L.M. "La Présentation" a également été construit sur le même domaine, au Sud du Foyer Jean Bartolini.

Sur l'époque que je vous avez connue, je n'ai retrouvé aucun document. Depuis la fermeture des chantiers de La Seyne, les archives de la Société auraient été dispersées entre les Archives Départementales du Var à Draguignan, les archives de la société NORMED qui se trouvent au Centre des Archives du Monde du Travail (CAMT) à Roubaix, et semble-t-il un 3e site, une société d'archivage privée, qui se trouverait à Sophia-Antipolis. Je ne sais pas du tout où pourraient se trouver des documents sur l'époque qui vous intéresse et sur les locataires de la Présentation.

Il existe aussi l'Association du Maintien des Intérêts des Anciens de la Navale Seynoise (http://perso.orange.fr/amians/) qui doit aussi posséder quelques archives, mais la gestion de ces archives ne doit pas être leur principale préoccupation car leur problème n° 1 est le traitement des dossiers des anciens travailleurs des chantiers, et particulièrement tous ceux victimes de l'amiante.

Vous pouvez cependant leur poser votre question en adressant votre message à : amians@wanadoo.fr.

Je vais aussi mettre votre question sur le "forum" de mon site internet. Peut-être que quelqu'un saura un jour y répondre.

Je ne peux guère vous en dire plus pour l'instant.

Bien cordialement à vous,

Jean-Claude Autran

Q2.

Merci pour votre dévouement, je continue à chercher de mon coté et suivre vos conseils merci encore, à très bientôt j'espère!!!!

MS

Q3. (23 novembre 2012)

Cher Ami,  Je sais que mon père, le Docteur André Jaubert, dont vous aviez bien voulu me communiquer une brochure sur l’hygiène pour la population des Chantiers, a, en 14-18, dirigé un hôpital auxiliaire mentionné comme « hôpital complémentaire n°4 », à La Seyne, créé pour les nombreux blessés de la guerre. Revenant sur sa vie, je me suis demandé où se trouvait cet hôpital. Il me semble avoir vu, en cherchant sur Internet les hôpitaux de guerre, que c’était à l’institution Sainte-Marie, ou sur les terrains de l’Institution.  Auriez-vous quelque élément à me donner là-dessus ? D’autre part, consultant votre forum, à propos des casinos, je crois me souvenir qu’entre Trente et Quarante, il y avait à côté de l’établissement des Pères, une sorte d’hôtel-casino qui n’a jamais été fini, et que j’ai vu en construction pendant de longues années.

Cordialement.

Jacques Jaubert

R3.

Cher ami,

Il est exact que l’Institution Sainte-Marie avait été réquisitionnée comme hôpital militaire pendant la guerre de 1914-1918. Et, pendant ce temps, les élèves restants avaient dû s’installer à l’ancien couvent N.-D. de la Présentation (fermé en 1905), au quartier des Mouissèques. Le fait que cet hôpital complémentaire soit celui qui ait porté le n° 4 est confirmé dans l’ouvrage : Histoire de l’I.S.M. édité par l’Association des Anciens Elèves (1849-1999).

Ainsi, il y est écrit page 144 : « Le collège était donc devenu l’Hôpital complémentaire N° 4. Après avoir reçu des malades et des blessés français, il est très rapidement affecté aux troupes russes ».

Et aussi, en 1917 (page 147) : « La Révolution russe devait avoir au collège des conséquences tragi-comiques, que le père Graly racontait en ces termes en 1921 : “Cet hôpital nous amena des hôtes glorieux, mais pas tous également désirables. Comment s’expliquer que d’une maison catholique par nature, on ait fait un hôpital russe ? Cela nous valut un avant-goût de la République soviétique prônée de nos jours. Un hystérique présidait au Soviet du moment”... ».

Monsieur Baudoin, dans sa plaquette sur les sanctuaires du pays seynois, confirme bien que : « Nombre de demoiselles du pays fréquentèrent, à La Seyne, le couvent du quartier de Mouissèques qui leur donnait une excellente formation.. Après sa suppression, ses locaux reçurent diverses utilisations, pendant la guerre de 1914-18, ils abritèrent des classes de l'Institution des Maristes convertie, elle-même, en hôpital militaire bénévole. Ensuite l'ancien couvent fut acquis par les Chantiers navals pour y loger leur personnel ».

(...) Merci encore pour votre message. Cela est toujours agréable et instructif de vous lire.

Cordialement.

Jean-Claude Autran



 

21 septembre - 15 octobre 2009 : Livret des Maristes de 1925

Q1.

Cher ami,

(...) Je pense à autre chose, notamment à un livret illustré de photos, destiné à faire la publicité des Maristes... vers 1925. C'est assez curieux, mais peut-être l'avez-vous ? Et je ne sais s'il y a, ou s'il y aura, un petit secteur Maristes dans les Archives. A suivre...

Bien cordialement.

JJ

R3.

Cher ami,

Pardon pour le retard à réagir à votre dernier message.

(...) Quant au livret de photos des Maristes des années 1925, il me paraît extrêmement intéressant, mais pas pour les Archives municipales qui ne semblent pas avoir de rubrique sur l'enseignement privé. Par contre, si vous pouviez m'en scanner quelques-unes de pages, je serais intéressé à titre personnel (mes enfants effectuent leur scolarité chez les Maristes). Je pourrais aussi en adresser une copie au directeur actuel (M. LT), qui vu son jeune âge, n'a pas connu les Maristes de votre époque, et qui serait sans doute intéressé de voir d'anciennes photos de son établissement.

Merci par avance,

Bien cordialement,

Jean-Claude Autran

Q4.

Cher ami, merci pour ce que vous avez fait (...). Pour le livret des Maristes, je viens de le rechercher dans mes papiers sur la Collège, je n'ai pas encore mis la main dessus. Si je le retrouve, je vous l'enverrai et vous, ou l'actuel directeur, pourrez reproduire ce que vous voudrez. Je sais, d'ailleurs, que mon ami GL, qui fut instituteur à La Seyne sous la houlette de votre père il y a... bien longtemps, et qui vit actuellement à Tourves, en a retrouvé un exemplaire dans une vente ! Au reste, j'envisage d'aller faire un tour de votre côté, à la Seyne - Toulon, vers la mi-novembre, pour deux ou trois jours ; je serais heureux à cette occasion de vous rencontrer, si cela vous est possible. Nous pourrons en reparler.

(...). Amitiés.

JJ

R4.

Cher ami,

C'est avec plaisir que je vous rencontrerai lors de votre prochain passage, vers la mi-novembre.

En principe, je ne dois pas trop bouger à cette époque. Merci de me faire signe lorsque vous serez arrivé par ici.

Voici mes coordonnées : (...)

Nous pourrons évoquer de nouveau les différentes questions sur lesquelles nous avons eu des échanges, notamment le livet des Maristes, et tout autre sujet de conversation.

Amitiés,

Jean-Claude Autran


 

22-24 août 2009 : Anciennes photos de classes

Q1.

Bonjour à nouveau.

Voilà c'est fait je passe la photo Beaussier.

Au verso pareil les indications qui correspondent à l'image juste derrière.

Bonne réception.

Les noms avaient été écrits au verso de la photo, au dos de l'emplacement de chaque élève. Il convient donc de lire les noms de droite à gauche
Une autre photo avec un décor qui a disparu hélas, elle arrive, c est l'école temporaire de la place de la Lune juste avant de partir en classe chez Mme Mouche a Tortel, c'était une classe à la séparation de Renan, je pense ??
Les noms avaient été écrits au verso de la photo, au dos de l'emplacement de chaque élève. Il convient donc de lire les noms de droite à gauche
Voilà je pense que quelques camarades se reconnaîtront et en seront heureux, la vie a fait que les gens sont partis dans plusieurs directions et seuls les restants peuvent parler de la ville et de sa vie.

Sincères salutations.

AA

PS. Hier, je regardais la classe de Mme Duval, école de couture à La Seyne, j'ai bien connu, car ma femme y a été élève, mais a priori pas trop de trace ancienne.

R1.

Bonjour,

J'ai bien reçu vos messages, toutes les photos et leurs légendes, l'école d'apprentissage des CNIM et cette bien émouvante vidéo sur nos chantiers. Hélas !

Je ne sais comment vous remercier pour tout cela.

A la prochaine mise à jour de mon site, j'essayerai de faire entrer tous ces documents. Je rectifierai aussi la légende de la photo de la classe de Mme Havard, qui était inversée.

Naturellement, je vous rassure, vos coordonnées téléphoniques, ni votre adresse e-mail n'apparaîtront jamais sur mon site.

Merci encore. Très cordialement,

Jean-Claude Autran


 

2-5 août 2009 : Anciennes photos de classe : école Ernest Renan (2)

Q1.

Bonjour

Voilà je promène dans l'histoire de ma ville.

J'ai lu les dernières nouvelles, notament celle de l'émissaire dont j'ai souvent entendu parler mon père, les larmes aux yeux, il était enfant et a survécu limite. Le frère de ma grand-mère hélas non, il avait mon père par la main, il a été piétiné parmi d'autres...........

Enfin!

J'ai des photos de classe de ma classe et n'importe qui ni quoi, de la classe de la maîtresse d'école que je n'ai jamais oubliée et qui m'a donné le gout de l'art et le savoir des premiers mots à installer dans une vie, il s'agit de Mme Havard, école Renan, hélas elle n'est pas sur la photo, mais je sais que cette photo est bien de sa classe, alors que faire?

Je peux vous passer la photo et vous en faites comme d'habitude le meilleur usage pour le site, mais 2 choses :

- soit je vous la passe sans commentaire.

- soit avec des noms, peut-être pas tous, mais je suis inquiet, est ce que cela ne dérange pas ceux que l'on pourrer citer ? Pouvons nous en parler, je vous laisse mon n° de tél (...) ou par retour e-mail.

J'ai bien d'autres photos mais celle de Mme Havard est pour moi la photo clef d'une vie.

Je vous adresse mes sincères salutations.

ARL

R1.

Bonjour,

Merci pour votre message.

Oui, je suis très intéressé par vos photos de classe, notamment celle avec Madame Havard. (Je rencontre assez régulièrement son fils Michel, et je pense qu'il serait également heureux de voir cette photo avec sa mère). Merci par avance si vous pouvez la scanner et me l'envoyer.

Je pense qu'il n'y a pas de problème à mettre tous les noms d'élèves que vous pourrez identifier. Depuis que je les mentionne sur mon site internet, je n'ai encore jamais eu d'ennui. Mais j'ai toujours dit que si quelqu'un souhaitait ne pas voir son nom apparaître, je le retirerai aussitôt du site.

Merci par avance.

Toutes mes amitiés.

Jean-Claude Autran

Q2.

Bonjour

Je lis donc votre message et je vous envoie les photos, il y a au verso de chacune des noms,c eux sont ceux qui correspondent aux élèves, malheuresement la maîtresse d'école n est pas dessus.

C'est bien comme cela tous avec nos informations et nos moyens de faire vivre l'histoire.

A bientôt de vous lire si vous aviez des questions particulières sur ces photos.

Il y a aussi des photos de l'école Curie, de Beaussier, pour d autres recherches, mais je ne suis pas certain des noms.

A un moment nous sommes alles à l'école à la place de la Lune dans des baraques en bois en attendant de partir à Tortel, je dois avoir une photo, il y a des anciens de La Seyne dessus, mais pour les noms c est un peu difficile, je la cherche ...

Sincères salutations.

ARL

Classe de Madame Gabrielle HAVARD - Année 1957-1958
Debout sur le banc, de gauche à droite : COSTA, ?, ?, Roland GARCIA, ?, BOUCHER, PEGRINO, RAFFIN
Debout : ALLONS, GABUTTI, ANDRÉINI, MATEUCCI, GIRAUDO, RIVERE, GOUACHON, LESCHNNER, MARTINENQ
Assis : JAFFAR, MAURIN, ?, ?, BACCHINI, ?, ?, CORBANI
Classe de Madame Gabrielle HAVARD (ou de Madame Marie-Claire SUPERCHI ?) - Année 1958-1959
Debout sur le banc, de gauche à droite : MARTINENQ, ?, ?, ?, ?, ?, GARCIA, ALLONS, ?, Jacques ANDRÉINI
Debout : Edmond RIVERE, ANGELI, CORBANI, ?, ?, ?, GOUACHON (?), ?, ?
Assis sur le banc : COSTA, ?, REFFATO, RAFFIN, ?, ?, ?, LEVOURCH
Assis sur le sol : LEXA, CASTELNAU, André ANDRÉINI, MATEUCCI

R2.

Merci beaucoup pour ces superbes photos de l'école Ernest Renan, des classes de Mmes Havard et/ou Superchi. C'était peu d'années après mon époque (j'y étais entre 1950 et 1953), et pourtant un certain nombre de visages (pour beaucoup, c'étaient des enfants de mon quartier) me sont familiers. (...).

Je ne connaissais pas ces photos. Un certain nombre de photos d'Ernest Renan avaient été publiées par Var-Matin il y a quelques années, mais celles-ci je ne les avais encore jamais vu passer.

J'ai donc déjà mis ces photos sur mon site à la page : http://jcautran.free.fr/forum/enseignement_et_ecoles.html#47

Si vous en avez d'autres, d'aussi bonne qualité, je vous confirme que je suis intéressé. Mais je ne voudrais pas vous donner trop de travail pour scanner

(...) Merci encore pour votre aide au travail de mémoire de notre ville.

Amitiés,

Jean-Claude Autran


 

11-25 mars 2009 : École maternelle de la rue d'Alsace

Q1.

Bonjour,

je suis curieuse de savoir si dans vos archives il y aurai des souvenirs de l'école maternelle de la rue d'alsace 1943-1944 ?a cette époque le souvenir qui me reste c'est que nous faisions que des dessins avec des crayons de couleurs. C'était déjà la guerre (...).

DQ

R.

Je n'ai malheureusement pas retrouvé de souvenir ni de photo de la maternelle de la rue d'Alsace 1943-1944 dans mes archives. Je n'ai aucune photo de classe de cette époque. Les seules informations que j'ai viennent du bref historique qu'en avait fait mon père :
« Son appellation a changé quatre fois au cours de son histoire. Elle a commencé à fonctionner rue d'Alsace au milieu du XIXe siècle - laquelle rue s'appelait alors rue de la Miséricorde - comme salle d'Asile. Une seule maîtresse accueillait jusqu'à CENT CINQUANTE enfants.

Nous avons évoqué, dans le chapitre IV, la maternelle qui fonctionna en 1888 dans la rue d'Alsace avec deux maîtresses et un effectif de 373 élèves, sous la direction de Mme Pons.

Le 31 octobre 1912, Mme Rose Azibert, directrice de la maternelle, qu'on appelle toujours l'asile, demande la création d'une troisième classe. L'effectif est alors ainsi réparti : - l° classe : 73 élèves - 2° classe : 111 élèves.

En 1933, l'école comporte quatre classes, mais la guerre a chassé l'école. En 1944, les locaux de la rue d'Alsace sont occupés par les services de la Mairie, l'Hôtel de Ville sur le port étant endommagé.

L'école est alors installée dans des préfabriqués implantés sur le terrain du patronage Laïque, rue Renan. »

JCA

Q2.

Bonjour,

Merci pour toutes vos  informations reçus ce matin, il me semblait que les photos de ces anciens de la Seyne étaient sur le site. Pourtant j'y suis souvent, il y a tellement de choses a voir. Je suis très contente de savoir les renseignements de l'asile comme nous disions à cette époque. Je me souviens très bien, d'avoir été en classe en bas, et en haut,est-ce que j'ai fait une année et commencé 1944 ? il me semble y être allé très peu, puisqu'après nous sommes parti refugiés dans la Drome ,ou je suis actuellement.

DQ


 

28 février - 2 mars 2009 : Ecole Pissin

Q.

Bonjour Jean Claude

Tout petit je suis allé à l'école maternelle Pissin mais n'en ai gardé aucun souvenir, c'était avant la guerre.

Je me suis toujours demandé où était cette école, je pense que c'était Malsert d'aujourd'hui mais je n'en suis pas sûr.

Pourrais tu m'éclairer ? Merci

Amitiés

HG

R.

Bonjour Henri,

Tu trouveras l'historique de l'école Pissin dans la seconde partie de l'Histoire de l'Ecole Martini :

http://jcautran.free.fr/oeuvres/martini/enseignement_primaire.html#5

Cette école aurait porté officiellement le nom de Pissin (du nom des héritiers qui possédaient le terrain) entre 1914 et 1918. Mais le nom de Pissin est resté chez les vieux Seynois jusqu'à la fin des années 50. Mais Pissin était le nom de l'école primaire. [L'école maternelle du quartier, construite à partir de 1901 s'est appelée "Jean Jaurès" à partir de 1914 et n'a jamais changé de nom].

Ensuite, elle est devenue "François Durand", puis le groupe scolaire nouvellement reconstruit est devenu "Emile Malsert" (I et II) en 1973.

J'ai presque fini la série de photos de "vieilles pierres seynoises" que tu m'avais donnée. Mais j'ai été très pris ces dernières semaines avec la réédition des Tomes I et II des "Images de la vie seynoise d'antan" de mon père. Ce qui m'a obligé aussi à refaire un certain nombre de nouvelles photos. J'amène d'ailleurs le manuscrit du Tome I réactualisé cet après-midi à l'Editeur. J'espère que les Tomes I et II pourront paraître avant l'été.

A bientôt.

Jean-Claude


20 février - 1er mars 2008 : Colonie de vacances d'Apinac (1957)

Qa.

Salut Claudet,

Je suis presque certain que tu pourras me fournir ce renseignement.

Je recherche le nom et le prénom d'un moniteur de la colonie de vacances d'Apinac en 1957. C'était un copain d'Antoine Scaglia avec qui il avait fait le service militaire au bataillon de Joinville.

Cette année là il y avait également Jacques Girault que l'on surnommait "hérisson". Mon moniteur était un certain Lamazou qui venait de Nice.

Le moniteur dont le nom m'intéresse était surnommé "sportif" et il a disparu en mer après un repas bien arrosé, à la suite d'un pari stupide dont il s'était fait le spécialiste.

Comme je sais que ton père inspectait les colonies à cette époque peut-être que tu as un relevé des noms des moniteurs. Je crois d'ailleurs qu'il a fait également la colonie en 58 et qu'il s'était renversé accidentellement une bassine d'eau bouillante sur le corps.

Merci de me faire savoir si tu es en mesure de m'obtenir ce renseignement. Peut être que Jacques Girault s'en rappelle aussi...

En attendant de tes nouvelles pour la sortie à la "maison du pendu" !

Adessias.

Pif

Qb. (à JG)

Bonsoir Jacques,

Mon ami Serge Malcor effectue quelques recherches sur ses années de colonies de vacances.

Je crois t'avoir déjà envoyé une de ses photos d'Apinac 1957 où tu te trouves. Je te la renvoie ci-joint.

Sa question est la suivante (je n'ai pas su y répondre, mais peut-être en as-tu gardé le souvenir) : comment s'appelait le moniteur d'Apinac que tu as dû côtoyer (1957 et/ou 1958) :
- qui était surnommé "le sportif"
- qui était ami d'Antoine Scaglia avec qui il avait fait le bataillon de Joinville
- qui était le spécialiste des paris stupides
- qui s'était renversé une bassine d'eau bouillante sur le corps (Apinac 1958 ?)
- qui, par la suite, est mort en mer à la suite d'un de ces paris stupides (et d'un repas bien arrosé)

Merci de nous renseigner, si tu as gardé le souvenir de ce personnage...

Amitiés,

Jean-Claude

R.

Cher Jean-Claude,

Voici les informations :

Trois moniteurs figurent sur la photo :

Dernier rang, septième en partant de la gauche, un gars de Toulon dont le nom m'échappe, fort sympathique.

Deuxième rang : neuvième en partant de gauche, Grassi (prénom ?), ancien élève de Martini, dont les parents tenaient une boulangerie à l'Escaillon et moi.

Claude Arnaud n'y figure pas. Elève des Maristes, copain d'Antoine Scaglia, une force de la nature qui voulait devenir prof de gym., un peu fantasque (il avait à Apinac réussi à construire une immense cabane avec des arbres et après accord de la mairie, abri qui devait être utilisé par la suite pour entreposer du matériel pour les forestiers). Malcor doit s'en rappeler. Il habitait à côté du domaine de Michel Pacha et m'avait fait visiter le château et le parc. Il avait les clefs et c'était son domaine. Deux ou trois ans après, je le rencontre en plein hiver, toujours en petite chemise et pieds nus dans ses sandales. Il semblait malheureux. Je l'interroge. Il se met à pleurer et ouvre sa chemise. Toute défigurée, boursouflée, affreuse. Il me raconta l'origine. Il s'était renversé une bassine d'huile à frite bouillante deux mois avant et sortait de l'hôpital et il me dit que le reste de son corps était à l'image de sa poitrine. Il me dit songer à se supprimer.

Peu après, j'appris sa noyade. Il avait l'habitude de faire l'aller-retour entre le Jonquet et les deux frères (il me l'avait dit plusieurs fois). Cette fois fut fatale. Je ne crois que c'était à la suite d'un pari stupide après beuverie. J'ai eu voici quelques années l'occasion d'en parler avec Charles Scaglia quand je faisais pour le volume de mélanges à Jacques Thobie sur le décor ottoman à Tamaris. J'indiquais au passage avoir visité le château et en note j'entendais évoquer en deux mots sa mémoire. Scaglia penchait aussi pour un suicide programmé.

Pour les noms des moniteurs, la mairie possède des archives sur le personnel des colonies de vacances. Pour savoir si elle avait cotisé pour la retraite, j'ai eu un relevé très précis de mes états de service. Donc tu pourrais te procurer la liste, et je retrouverai le nom de l'homme en short.

Voici ce que je sais. Salue Malcor de ma part. Amitiés

JG


 

30 janvier - 4 février 2009 : Souvenirs de l'école de la rue Messine (2)

Q1.

Bonsoir mr Autran

Je vous souhaite une bonne année avec un peu de retard à vous et à votre famille.

Je vous envoie une photo de classe de maman qui d'après ma sœur se situerait rue Messine.

Avez vous des renseignements a ce sujet ?

Je vous remercie d'avance.

Sincères amitiés.

Michèle Foray Superchp

Merci pour votre message et vos vœux. A mon tour, avec aussi quelque retard, de vous présenter tous mes souhaits de santé et de bonheur, de réussite pour tout ce que vous entreprendrez, pour vous et toute votre famille.

Merci également pour cette belle photo avec la classe de votre maman.

Je ne la connaissais pas, mais je suis à peu près certain qu'elle a été prise à l'école de la rue Messine. En effet, j'avais conservé une photo de Var-Matin, publiée en 2003, qui montre une classe de « 1946-47 de l'école de la rue Messine ». Je vous l'adresse ci-joint. On reconnaît bien, d'après la disposition des volets et de la porte-fenêtre se trouvant à l'arrière-plan, que la photo a été prise exactement au même endroit que celle où se trouve votre maman.

Je ne sais pas trop pourquoi elle porte la mention RENAN 1946-47. Celle-ci a pu être rajoutée par la suite par un photographe [Il y a à La Seyne une photographe qui revend d'anciennes photos de classe, récupérées un peu partout - avec souvent des légendes erronées - et aussi des photos parfois piratées sur mon site internet...].

Ou bien cette « école de la rue Messine » portait déjà en 1946-47 le nom de Renan sachant qu'elle allait être transférée l'année suivante à la rue Ernest Renan, à l'emplacement du patronage laïque détruit en 1944. Ecole Ernest Renan où votre maman enseignera ensuite pendant de nombreuses années. (Ou alors, l'année scolaire 1946-47 avait été commencée rue Messine et terminée rue Ernest Renan lorsque les préfabriqués ont été prêts : la photo de classe avait aloré été publiée avec la légende Ecole Renan ?). Ensuite, à partir de 1948, les bâtiments de la rue Messine ne seront plus utilisés comme école, mais comme services techniques de la mairie, jusqu'à la construction du nouvel hôtel de ville, en 1959.

Merci encore.

Avec toutes mes amitiés.

Jean-Claude Autran

Q2a.

Merci pour la réponse.

J'espère que certains élèves se reconnaitront.

Amitiés.

Michele Foray Superchi

Q2b.

Bonjour

Je vous envoie une nouvelle photo de classe de la rue Messine avec maman.

J'espère que vous la mettrez sur votre site avec la 1e que je vous ai envoyée.

Sincères amities.

Michèle Foray Superchi

Ecole de la rue Messine, année 1946. A droite : Madame Marie-Claire Superchi

R2.

Bonjour,

Merci beaucoup. J'ai mis immédiatement la photo sur le site, à la suite de la précédente. Vous les trouverez à l'adresse suivante :

http://jcautran.free.fr/forum/enseignement_et_ecoles.html#43

Amitiés

Jean-Claude Autran

Q3.

Merci d'avoir mis les photos sur votre site.

Je vous signale que 3 photos ne sont pas visibles : la cour Martini, l'Institution Sainte-Marie et l'école de la Rouve.

Amitiés.

Michèle Foray Superchi

R3.

Bonsoir,

Merci de m'avoir signalé ces anomalies. Je pense les avoir maintenant corrigées.

Mais il y en a toujours, de-ci, de-là : à chaque fois qu'on fait des modifications, il y a des liens qui sont rompus et on ne s'en aperçoit pas toujours tout de suite...

Bonne soirée. Amitiés.

Jean-Claude Autran

Q4. (1er août 2011).

Je ne me rappele pas si je vous avez deja envoye cette photo qui je pense est de la rue d'Alsace.

Vous pourrez peut etre me renseigner.merci.

MFS

R4.

Bonjour,

Merci pour cette photo. Je pense que vous me l’aviez envoyée en 2009, mais, j’avais alors oublié de la mettre sur mon site, à la suite des autres photo de classe de votre maman. Je vais donc le faire, cette fois-ci.

La légende rajoutée “RENAN 1946 47” est probablement erronée car, d’après le décor et forme et la disposition des fenêtres (que l’on trouve sur d’autres photos), il s’agit presque certainement de l’école de la rue Messine, qui a fonctionné à cet endroit jusqu’en 1947. Ensuite, votre maman a enseigné à l’école Ernest Renan, boulevard du 4 septembre (où je l’ai eue comme institutrice en 1950-51) à partir de 1947 ou de 1948 car on la retrouve sur une photo de 1948-49 (ci-jointe).

École Ernest Renan - Classe de CE1 de Mme Marie-Claire Superchi - Année 1948-1949
En haut, de gauche à droite : GORY, Charles TROJANI, MOYENIN, ?, ?, ROUSTAN, ARDUCCA, Michel FERRERO
Au milieu : GARNIER, ?, SOLER, GENNAÏ, Jean ROY, Gabriel BLANC, MIGNONE, AGNESIO
En bas : BARRETAPIANA, BIJEON, Raymond JOUVHOMME, CECINI, GIRAND, Manuel ALPANEZ, SUZZONI, VAN DEL VIEST

L’école de la rue Messine a été ensuite annexe de la mairie, jusqu’à ce que l’hôtel de ville soit reconstruit en 1959. Aujourd’hui, c’est l’école des beaux-arts qui s’y trouve.

Merci encore. Bien cordialement,

Jean-Claude Autran


 

17-19 décembre 2008 : Album de cartes postales sur l'Ecole Martini

Q.

Bonsoir,

Je viens de retrouver mon scanner.

Je dispose d'un recueil de cartes postales dont vous trouverez la couverture.

Je n'en connais pas la date et si vous n'avez pas ce document, je me propose de vous le faire parvenir.

Cordialement

LJ

R.

Bonsoir,

Merci beaucoup pour votre message.

Mais j'ai aussi le même recueil que mon père avait toujours conservé. D'ailleurs, la plupart des photos du recueil ont été utilisées dans son Histoire de l'Ecole Martini.

Je sais que c'est le directeur M. Mendès, qui avait eu l'initiative de faire imprimer cet album souvenir. M. Mendès était directeur entre 1925 et 1931. La publication de l'album doit dater de 1926 ou 1927. (Mon père avait daté deux des photos - où il se trouve au cours supérieur, avec votre père et avec Toussaint Merle - de 1926.

Mais conservez-le précieusement car il a de la valeur. J'avais vu, chez un marchand de cartes postales de Paris, il y a de ça plusieurs années, un certain nombre de cartes provenant de ce recueil, qui étaient en vente entre 25 et 35 euros l'unité.

Je vous souhaite de très bonnes fêtes de fin d'années.

Amitiés.

Jean-Claude Autran


 

26 octobre - 13 novembre 2008 : Ancienne école des Sablettes (2) et diverses photos de groupes de jeunes seynois

Q1.

Monsieur,

J'ai découvert votre site par hasard et je le trouve fort intéressant !

Issue moi-même d'une vieille famille seynoise, j'ai eu l'heureuse surprise de découvrir une photo d'école où mon grand-père, monsieur GAY Joseph, ainsi que son cousin, monsieur GAY Félix, sont présents.

Il s'agit de la première école des Sablettes, année 1917.

J'aurais souhaité, si cela était possible, avoir un scan de bonne résolution, afin que je puisse offrir cette photo à mon père qui n'a jamais eu d'image de son propre père petit.

C'est un cadeau que je voudrais lui faire pour son anniversaire le 29 octobre.

Dans l'attente, je vous prie d'agréer, Monsieur, mes respectueuses salutations, et vous remercie par avance pour l'intérêt que vous voudrez bien porter à ma demande.

CG

R1.

Bonsoir,

Voici une nouvelle photo de la classe de 1917 de l'école des Sablettes, scannée à 300 dpi, qui doit vous permettre d'obtenir un meilleur tirage sur papier.

Je rappelle les quelques noms des élèves que que mon père, Marius Autran (1910-2007) avait pu retrouver en fouillant dans sa mémoire :
1° rangée (assis sur le sol) : Marius Autran (4° à partir de la gauche), Simon Pisany (5°), Lucien Gaillard (dernier à droite)
3° rangée (debout) : Suzanne Gaillard (avant-dernière à droite), Félix Gay (dernier à droite)
4° rangée (debout sur le banc) : Joseph Gay (2° à partir de la gauche), Mimi Tortel (3° en partant de la droite, Élise Teissore - future Mme Victor Raybaud (avant-dernière à droite), Gisèle Apestéguy - future Mme Camille Fille (dernière à droite)

Je ne sais pas s'il sera un jour possible de compléter les noms manquants car tous ces anciens élèves auraient aujourd'hui près de 100 ans...

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q2.

Monsieur,

Je tiens à vous remercier vivement pour la rapidité de votre réponse.

Je suis certaine que cette photo fera la joie de mon père.

Pour compléter le site de votre papa, je sais que mon père possède des photos d'époque, et peut-être qu'elles pourront vous intéresser…

Dans l'attente, veuillez agréer mes respectueuses salutations.

CG

R2.

Bonsoir,

En réponse à votre message, je vous confirme que je suis intéressé de recevoir des scans de vieilles photos de La Seyne (écoles, cartes postales, articles de journaux, etc.) que votre père pourrait posséder.

Merci par avance.

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q3.

Bonjour,

Comme promis, je vous envoie quelques photos récupérées chez mon père. Si celles-ci vous intéressent, je vous laisse le soin de les insérer dans les chapitres  dont vous pensez qu'elles conviendront.

Juste une petite précision au sujet de la photo de classe de 1917. Ce n'était malheureusement pas le père de mon père mais par contre, c'était le père de Raymond GAY (cousin germain de mon grand-père et de Félix GAY). Mon grand-père portait le même prénom car celui-ci était son parrain.

J'avais un doute sur la date et cela s'est confirmé puisque mon grand-père est né en 1915.

 

1) Photo : Année 51-52

Départ pour la colonie de vacances à Embrun dans les Hautes Alpes, devant la Bourse du Travail de la Seyne sur Mer.
1er rang de gauche à droite : 2ème RISSO ; 5ème SABATIER
2ème rang : 1er SCAJOLA ; 6ème GAY André (mon père) ; 7ème WINCKMANN J.C ; 8ème VERPILLOT
2) Photo : Année 60
Classe 61/2A
Conseil de révision sur le port de la Seyne sur Mer
En partant de la droite au dernier rang : 3ème GAY André (mon père)
Toujours de la droite au premier rang : 3ème François HERISSON (futur Maire de la Seyne)
3) Année 1947
Sur la place de la Lune, à l'angle du Bar-restaurant des Forges et Chantiers, et de la rue Nicolas CHAPUIS, mon père à droite et mon oncle pris par le photographe « PEDRO » GARABEDIAN qui détenait un studio en plein air tout en étant aussi cordonnier.
(...) Voilà, j'espère avoir contribué un petit peu à la démarche de votre père et à la votre.

Cordialement,

CG

PS : L'orthographe des noms de famille n'est peut-être pas la bonne et je m'en excuse auprès de ces personnes.

R3.

Bonsoir,

Merci beaucoup pour ces précisions sur la classe de 1917, ainsi que pour toutes ces belles photos. Votre envoi contribue en effet à l'enrichissement du patrimoine seynois.

Je vais certainement les insérer dans l'une ou l'autre des rubriques du forum de mon site : enseignement, colonies de vacances, camarades de classe, histoire de La Seyne (sujets divers), etc.

Les vues du port aussitôt après guerre ne manquent pas d'intérêt, ainsi que les photos de groupe. Plusieurs visages me semblent familiers sur la photo du conseil de révision, mais je ne me souviens plus des noms. Il est probable qu'une fois sur le site, certains se reconnaissent, ce qui permettra de compléter au moins une partie des noms. J'ai aussi plusieurs amis qui étaient en classe avec François Hérisson et peut-être vont-ils s'y reconnaître.

Merci encore. Très cordialement,

Jean-Claude Autran


 

2-7 juillet 2008 : Anciennes photos de classes à l'école de la rue Messine (1946) et à l'école Ernest Renan (1943)

Q1.

Bonjour.

J'ai bien connu Marius Autran. Je l'ai côtoyé au PCF. J'ai été élu communiste à la Garde.

(...)

Bien cordialement

YR

R1.

Merci beaucoup pour votre message, vos photos de classe (...).

Les photos de classe sont d'une remarquable qualité. Année 1946 : école de la rue Messine. Savez-vous qui était l'institutrice ? Et savez-vous identifier quelques noms des camarades de classe ? Je pourrais publier cette photo sur le "forum" du site jcautran.free.fr. Peut-être certains s'y retrouveront ? Idem pour l'année 1943. Etait-ce aussi l'école de la rue Messine ?

(...) Merci encore pour votre photo et vos commentaires.

Jean-Claude Autran

Q2.

Bonjour.

En 1946 à la rue Messine, je pense que c'était Mme ROBERT qui est sur la photo en l'absence de Madame MERLE. Son mari était le directeur. Je n'ai aucun lien de parenté. Toussaint avait commencé puis il a été Élu. En cours d'année nous sommes allés à l'école devant la cité PLM avec BLANC, le père de Monique JARDET comme directeur.

La photo de 1943 est prise à l'école Ernest RENAN qui était en face de l'école Curie sur le boulevard du 4 Septembre.

Sur le cadastre Napoléonien, c'est un peu illisible mais je crois deviné les N° de parcelles 248 & 249.

J'ai coché l'emplacement de la Chaulanne.

La photo a été prise en 1958. Le chaâteau d'eau que vous voyez sur le toit n'a jamais servi. Il n'y avait ni eau ni WC dans la maison.

Pour les noms, je me souviens de certains. J'ai un programme pour isoler les visages. Mais je suis pas très bon. Si vous voulez passer chez moi. Je vous recevrez volontiers.

Impossible de vous avoir au téléphone au N° (...). Mon téléphone à moi est le : (...).

Bien Amicalement

YR

R2.

Bonjour,

Merci pour ces informations. Effectivement, sur la photo de la rue Messine, je me doutais un peu qu'il s'agissait de Madame Robert, qui fut ma première institutrice quelques années plus tard à l'école Ernest Renan (son mari, M. François Robert, en était alors le Directeur). A noter qu'il existe une autre photo de classe de la rue Messine, avec la jeune Mme Merle, en 1941, photo publiée il y a quelques années dans Var-Matin et qui se trouve sur mon site internet à l'adresse :

http://jcautran.free.fr/archives_familiales/forum/anciens_camarades_jca.html#P14

La photo de 1943 a donc été prise à l'Ecole Ernest Renan, qui était, je crois le "patronage laïque" de 1920 à 1940 et qui fut utilisée comme école à titre provisoire à partir des dernières années d'avant guerre, jusqu'à ce qu'elle soit détruite par une bombe le 29 avril 1944 (http://jcautran.free.fr/oeuvres/martini/enseignement_primaire.html#8). C'est dans les préfabriqués édifiés à la Libération au même emplacement que j'ai effectué ma scolarité du primaire.

Pour les noms des élèves, et le programme pour isoler les visages, je pourrai essayer de passer vous voir. Mais pas dans l'immédiat (je prépare mon départ en vacances, dans quelques jours), sans doute à la rentrée. Je reprendrai contact avec vous.

A noter que ma ligne de téléphone est (...). Sinon, je suis aussi joignable au (...).

Concernant La Chaulane, merci pour vos précisions. L'emplacement paraît maintenant clairement établi grâce à votre témoignage. J'ai rectifié l'erreur sur mon site.

Amitiés,

Jean-Claude Autran


 

19-24 mai 2008 : École technique privée coupe et couture de Madame Duval

Q.

Bonjour,

Vous mentionnez l'École technique privée coupe et couture de mme Duval. Est elle toujours ouverte? Est-il possible de contacter la directrice ? Pouvez vous me donner quelques informations (ma soeur souhaite préparer un cap couture et rien de cela ne se trouve à Toulon) ?

Merci d'avance,

Dans l'attente de votre réponse,

AF

R.

Bonjour,

Dans son ouvrage "L'Enseignement à La Seyne", écrit en 1981, mon père (Marius Autran, 1910-2007), avait effectivement mentionné l'École technique privée coupe et couture de Madame Duval.

Personnellement, je n'ai pas connu cette école et je ne sais rien d'autre que ce que mon père avait écrit - il y a maintenant 27 ans... Il ne semble plus qu'elle existe. Je me suis rendu à cette adresse : 46 rue Denfert-Rochereau. Il n'y a plus d'école. C'est une famille dont je n'ai pas pu savoir le nom qui y habite aujourd'hui (photo ci-jointe).

J'ignore aussi ce qu'est devenue Madame Duval.

Désolé de ne pas pouvoir pour l'instant vous éclairer davantage [Si je trouve un jour quelque information, je ne manquerai pas de vous la communiquer].

Cordialement,

Jean-Claude Autran


 

25-29 avril 2008 : Souvenir du Collège Curie

Q.

Bonjour Monsieur.

J'ai trouvé dans mes papiers de famille un de mes livret scolaire, avec la signature de votre maman,

Est-ce que vous le voulez ? Sinon à supprimer. Je pense que c'est la 5ème et non la 4ème.

Ensuite me permettez-vous de faire un copier collé, de la rue Marius Girand, où il y a les halles, la Poissonnerie, c'est ou je suis née au 31, j'y suis restée jusqu'à l'âge de

13 ans. J'ai vu ces photos sur votre site. Merci.

Cordialement.

DQ

R.

Bonjour,

Merci beaucoup pour votre message et pour cette copie de votre livret scolaire de classe de 5e au collège Curie 1952-1953. Je reconnais bien l'écriture de ma mère, Louise Autran, qui devait, à l'époque, enseigner les sciences.

C'est très aimable à vous. Je conserve ce document précieusement car je n'ai que très peu de document sur le collège Curie et la carrière de ma mère, celle-ci (contrairement à mon père) n'ayant conservé presque aucune archive.

Vous pouvez naturellement couper-coller les photos qui vous intéressent à partir de mon site. Pas de problème.

Cordialement,

Jean-Claude Autran


 

25 mars 2008 - 8 septembre 2011 : Recherche de photos du Château Verlaque

Q1.

Je recherche des photos du Château de Verlaque des années 1957 où mon époux était scolarisé, je serai heureuse de lui faire parvenir ces photos d'antan

PP

R1.

Bonjour,

Malheureusement, je ne possède aucune photo ni aucune carte postale du Château Verlaque.

Mon père avait bien écrit un chapitre sur ce Château Verlaque dans l'un de ses ouvrages :

http://jcautran.free.fr//oeuvres/tome6/chapitre_1.html#5

Mais il n'avait publié aucune photo et n'en avait pas dans ses archives.

Je connais cependant quelques personnes qui ont passé leur enfance dans ce quartier et je vais essayer de voir si elles n'auraient pas de vieilles photos de famille prises devant ou dans ce Château. Si je trouve quelque chose je vous le communiquerai aussitôt.

Si vous habitez La Seyne ou ses environs vous pourriez essayer de voir aussi à la bibliothèque municipale (je pense que c'est à celle du Clos Saint-Louis, avenue Henri Guillaume) qui possède une grande collection de cartes postales de La Seyne qui lui a été léguée récemment. Peut-être en existe-t-il une du Château Verlaque ?

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q2.

Vous remerciant des recherches, je suis allée à la bibliothèque et ils n'ont pas plus d'autre éléments. Merci.

PP

R2. (23 mai 2011)

Je vous informe qu'une photo de la façade ouest de l'ancien Château Verlaque apparaît dans le livre de M. Paul Gaujac "C'était au temps des colos", page 23. Voir ci-dessus, dans ce forum, en suivant le lien : http://jcautran.free.fr/archives_familiales/forum/enseignement_et_ecoles.html#56B

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q3. (6 septembre 2011)

Bonjour,

J'ai lu avec grand intérêt certaines des informations sur votre site et je vous en remercie car c'est vraiment TRES intéressant! J'ai toutefois repéré une petite erreur. Je suis en effet née fin 1963 et quand j'étais en primaire à Léo Lagrange le Château Verlaque existait toujours. J'y prenais même des cours de peinture le jeudi - je devais donc avoir au moins 7 ans. Je pense donc que sa destruction a dû avoir lieu dans le courant des années 70.

Cordialement.

VH

Votre texte : Complètement délabré, il fut détruit au début des années 60.

R3.

Bonjour,

Merci pour votre message.

Vous avez tout à fait raison. Dans ses ouvrages, mon père a mentionné plusieurs fois le Château Verlaque. Mais il est vrai que, selon le chapitre, il a donné des dates différentes en ce qui concerne la destruction du bâtiment. Je n’ai encore jamais retrouvé la date exacte de cette destruction, mais je note que, ans le chapitre La baie du Lazaret de son Tome 3 (publié en 1990, donc écrit vers 1988-1989), mon père écrivait “détruit il y a une dizaine d’années”. Donc, dans l’attente de retrouver un jour une date plus précise, je vais modifier mon texte en retenant votre suggestion “détruit dans le courant des années 70”.

Merci encore pour avoir relevé cette erreur.

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q4.

Bonjour Jean-Claude,
 
Merci pour votre réponse, si je trouve un jour la date exacte, je vous l'enverrai !
 
Merci encore pour ce superbe site fort intéressant - surtout pour une exilée comme moi! - cela me permet de retrouver mes racines. Mariée à un anglais, je vis à Londres depuis plus de 20 ans, ville pleine de beauté aussi mais au charme TRES différent!
 
Cordialement.
 
VH

R4a.

J'ai retrouvé une page du livre de Paul Gaujac (C'était au temps des colos, 1990) qui montre une photo du Château Verlaque avec le témoignage de Mme Ravestein qui dirigeait la colonie de Château Verlaque à l'époque.


Jean-Claude Autran

R4b.

Une autre photo du Château Verlaque, du temps où la colonie de vacances était dirigée par Mme Ravestein.


Et un dessin stylisé de ce même Château Verlaque (voir les conférences de Mme Ravestein dans le cadre des Amis de La Seyne Ancienne et Moderne).


Extrait du bulletin de liaison Le Filet du Pêcheur, n° 19, 3e trimestre 1986, pages 3-4.

Jean-Claude Autran



 

1er février 2008 - 13 mars 2012 : Ecole technique privée "Le Mistral"

Q1.

Bonjour Messieurs,

Je suis un ancien élève de l'école "Le Mistral"

Mlle Pétrucci gérait cet établissement.

Auriez-vous la gentillesse de me faire savoir ce qu'est devenu cet établissement ?

J'ai fait quelques recherches sur le net en vain.

Il semble que cet établissent n'existe plus ?

Et Mlle Pétrucci ?

Merci de m'accorder quelques instants.

NP

R1.

Bonjour Monsieur,

Je n'ai malheureusement que peu d'information pour répondre à votre message.

Mon père (Marius Autran) avait effectivement écrit quelques lignes sur l'école technique privée "Le Mistral" dans son ouvrage sur l'Histoire de l'enseignement à La Seyne, publié en 1982.

Mais cette école n'existe plus aujourd'hui (je me suis rendu aujourd'hui au n° 13 de la rue Blanqui). L'immeuble existe encore mais il semble en mauvais état et tous les volets sont fermés. Il n'y a plus aucune indication sur la porte ou sur la boîte aux lettres.

Mais je ne sais pas depuis quand elle a fermé ses portes. Mon père, qui aurait pu suivre son histoire récente, est maintenant décédé depuis janvier 2007. Personnellement, je connais mal l'histoire récente de La Seyne, ayant vécu loin d'ici pendant plus de 30 ans et y étant seulement revenu en 2004 à mon départ à la retraite.

J'ignore ce qu'a pu devenir Mlle Petrucci. Il ne semble plus y avoir personne de ce nom à La Seyne, ni dans les environs.

Ce que je peux essayer de faire est de me renseigner auprès d'amis seynois qui peuvent avoir des informations plus précises sur cette école, que je ne manquerai pas alors de vous communiquer.

Dans cette attente, recevez mes meilleurs sentiments.

Jean-Claude Autran

Q2.

Bonjour Monsieur Jean-Claude Autran,

Je vous remercie pour avoir répondu.

Oui votre témoignage correspond avec l'idée que je me faisais de la situation de cet établissement.

Mais Mlle Pétrucci est peut-être toujours parmi nous ?

Si vous obtenez de ses nouvelles veuillez avoir l'amabilité de me les communiquer.

Merci encore, Monsieur Jean-Claude Autran pour votre message de réponse.

Cordialement.

NP

Q3. (8 mars 2012)

je m'appele AMG épouse G. En lisant le forum sur le site  de monsieur autran j"ai vu qu'une personne recherchait des personnes qui ont connule cours mistral j'en fais partie j'ai même une photo avec mlle pétrucci je revois souvent la personne qui nous faisait les cours de sténo. au premier rang il y a de droite a gauche claude verhuslt ( je ne suis pas sure de l'orthographe) claude vannucci  ---- hèlène bellatréccia  deuxième rang  moi '   jean   mlle pétrucci  christiane revest à coté bonneau j'ai oublié son prénon   voilà ce dont je me souviensmais c'est vrai, c'était sympa!    en espérant que cela aide la personne qui demandait des renseignements en 2008 ref q1 initiale N.P.  amitiés.

AMG

R3a. (à NP)

Bonjour,

Il y a plusieurs années (message du 20/1/2008 ci-dessous), vous m’aviez demandé des informations sur le devenir de votre ancienne ancienne école “Le Mistral” à La Seyne-sur-Mer. Je n’avais rien trouvé de précis à l’époque.

Mais je viens enfin de recevoir un témoignage d’une ancienne élève (AMG) avec la photo d’un groupe d’élèves autour de Mlle Petrucci.

Je ne connais pas l’année de cette photo, je ne sais pas si elle correspond à l’époque où vous étiez élève, mais je vous l’adresse néanmoins ci-après.

Si j’obtiens d’autres informations, je ne manquerai pas de vous les communiquer.

Cordialement,

Jean-Claude Autran

R3b. (à AMG)

Bonjour,

Merci beaucoup pour votre message et pour la très belle photo.

Je viens de la transmettre à l’ancien élève qui souhaitait avoir des informations sur le “Cours Mistral”. Il s’agissait de NP (...). J’espère que son adresse n’a pas changé, vu que son message datait de 2008.

Puis-je vous demander en quelle année votre photo a été prise ? Et si vous savez ce qu’est devenue Mlle Petrucci ?

Merci par avance. Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q4a.

Bonjour,

Merci de m'avoir répondu. La photo a été prise par le photographe M. Chabert aux années 1955 1956.

Quant à Mlle Petrucci, on m'a dit qu'elle était maintenant en Corse

Je passerai chez M. Chabert pour voir s'il y aurait possibilité de trouver d'autres photos.

Merci encore de votre réponse.

AMG

Q4b.

Bonjour,

Je me suis trompée sur les dates. Ce sont les années 1959 1960

Photo Cours Mistral.

Cordialement,

AMG

Q4c.

Bonjour, Jean-Claude,

Merci et Félicitations pour votre persévérance.

Je reconnais que mademoiselle Petrucci sur la photo.

C'est déjà beaucoup.

Sereine journée

NP


 

18-21 novembre 2007 : Recherche de personne

Q1.

Bonsoir Monsieur,

Je recherche le parcours d'une grand tante Marie Madeleine Lanquetin qui aurait pu travailler dans une des écoles privées de la seyne entre 1945 et 1960. Merci .

Mme JC

R1.

Bonjour Madame,

Je suis désolé, mais je ne possède aucune information sur votre grand tante. Ce nom n'est pas cité dans les textes de mon père qui concernent l'enseignement privé à La Seyne, ni dans ses archives. Mon père, qui connaissait beaucoup de monde à La Seyne, l'a peut-être connue à cette époque, mais il est maintenant décédé.

Si elle a travaillé dans une école privée, il est possible qu'il s'agisse de l'école Sainte-Thérèse. Vous pouvez essayer de poser votre question auprès de cette école. Je crois que leur adresse électronique est : (...)

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q2.

Monsieur Bonjour,

Je vous remercie d'avoir répondu à ma demande. Je vais tenter auprès de l'école que vous m'indiquez. Merci .

Mme JC

 


 

15-21 novembre 2007 : Colonie de vacances de Saint Bernard du Touvet

Q1.

Bonjour,

Je suis tombé sur votre site par hasard alors que je recherchais des informations sur une habitation que nous venons d'acquérir à saint bernard du touvet (isère 38). L'ancien propriétaire nous avait mentionné le fait que ce batiment était une ancienne colonie de la ville de la Seynes sur mer et c'est grâce à cette information que nous avons pu vous lire. Les informations que vous mentionnez sont très interessantes et nous pousses à vous demander quelques renseignements supplémentaires en particulier des photos de la colonie en son temps afin que nous puissions imaginer comment vivait les enfants et leurs moniteurs dans cet endroit encore plein de mémoire.

Vous est il possible de nous faire parvenir par retour de ce mail quelques photos de la colonie? Nous aimerions par là faire partager aux habitants du village les souvenirs que vous disposez. Un énorme merci pour votre retour et encore bravo pour votre site qui est une mine d'informations historiques sur votre ville.

Sincères salutations

OS

R1.

Bonjour,

Merci pour votre message.

Veuillez trouver ci-dessous et ci-joint toutes les quelques informations dont je dispose sur l'ancienne colonie de vacances de La Seyne à Saint-Bernard du Touvet, informations que j'ai extraites des archives de mon père, Marius Autran (1910-2007) qui fut durant les années 1950-1977, adjoint au Maire de La Seyne et principal responsable des colonies de vacances municipales.

Un très bref historique de cette colonie (écrit par mon père dans un chapitre de l'un de ses ouvrages consacré aux colonies de vacances) se trouve dans mon site internet à l'adresse : http://jcautran.free.fr/oeuvres/tome3/jeunesse_au_plein_air.html#24

Mais il n'y a que peu d'informations du fait que la colonie de Saint-Bernard du Touvet est l'un des dernières à avoir été acquise par la ville (1971) et que mon père ne l'a donc connue que peu d'années.

Je vous joins également la copie de 8 pages (SBDT 1 à 4) sur cette colonie extraites de l'ouvrage "C'était au temps des colos" écrite en 2000 par le Seynois Paul Gaujac. Ces pages correspondent au témoignage de M. Antoine Bertolotto, qui fut pendant les premières années le directeur de cette colonie.

Egalement, (SBT5) un article de presse sur l'inauguration de la colonie (27 juillet 1971) où les 4 adultes du premier rang sont, de gauche à droite, Philippe Giovannini, maire de La Seyne, X, Marius Autran, Georges Bender.

Enfin, (SBT6) une photo du camp d'adolescentes de l'été 1974 à Saint-Bernard du Touvet, avec debout à droite, M. Antoine Bertolotto, directeur de la colonie.

"Camp d'ados" à Saint-Bernard du Touvet (1974)
Debout, à droite : M. Antoine Bertolotto
C'est malheureusement tout ce que j'ai pu retrouver comme documents sur cette ancienne colonie de vacances.

Cordialement,

Jean-Claude Autran


 

6 novembre 2007 : Chansons de colonies de vacances

C.

Bonjour,

J'ai 65 ans mono de centres aérés puis de colonies de vacances dans les années 1958-1963 j'ai été très heureuse de retrouver les belles paroles de mes chants de mono et devant mon ordi je chante!!!!!!! merci pour votre merveilleux site.

Une mono

RJ ... ah oui je suis mariée depuis 45 ans et je m'appelle

RG


 

18 octobre 2007 - 1er août 2014 : Maréchal nous voilà, à l'École Martini (1940)

Q1.

Voici la photo de l'école Martini.

Pour plus ample information, vous pouvez contacter Mr et Mme ARGIOLAS (...)

Quand donnez-vous votre conférence?

Amitiés

RA

Cours de l'École Martini, vraisemblablement à l'automne 1940
Toutes les classes sont rassemblées alors que l'on hisse les "couleurs" et que l'on chante Maréchal, nous voilà !

[Photo fournie en 2007 par Mme Marie-Claude Argiolas, qui la tenait elle-même de la famille Ventre, de La Seyne]

R1.

Cher ami,

Grand merci pour cette photo rare. Je verrai pour plus de détails avec M. et Mme Argiolas.

Ma conférence "Marius Autran, une vie" sera donnée demain samedi 20 octobre à 15 heures dans l'espace animation de la Bibliothèque du Clos Saint-Louis.

Amités,

Jean-Claude Autran

Q2.

Bonjour monsieur,

J'ai trouvé cette photo sur votre site, mon mari l'avait, il en parlait toujours, ayant eu sa maison bombardée, il n'a plus rien.une seule photo qui était dans le portefeuille de son papa et une de martini envoyé par mon cousin Gilbert Restagno du temps ou elles étaient sur Var-Matin.

Je vous demande l'autorisation de pouvoir la mettre sur mon blog, en mettant qu'elle vient de votre site. Dommage, il ne sait pas ou il se trouve, ses souvenirs sont lointains, bientôt 82 ans, il a de la mémoire, mais il n'avait pas encore 8 ans, il est de décembre, c' est bizarre que je ne l'aipas vu avant, pourtant c'est très souvent que je suis sur votre site, même mes fils.

Je vous en remercie.

Bonne journée.

Cordialement

DCQ

R2.

Bonjour,

Merci beaucoup pour votre message. Cette photo est certainement rare. Il est dommage qu’elle soit un peu floue, mais je n’en ai pas de meilleur exemplaire. Elle m’avait été fournie en 2007 par Mme Argiolas, qui la tenait elle-même de la famille Ventre, de La Seyne.

Vous pouvez la mettre sur votre blog, mais il conviendrait si possible d’en préciser les origines données ci-dessus.

Sur mon site, la photo se trouve en deux endroits :

1) Dans la section “forum” : Enseignement et écoles : http://jcautran.free.fr/forum/enseignement_et_ecoles.html#32

2) Dans le texte de la conférence que j’avais faite après le décès de mon père : “Marius Autran, une vie” : http://jcautran.free.fr/archives_familiales/autobiographies/marius_autran_une_vie.html#13

Merci encore. Bonne journée.

Cordialement

Jean-Claude Autran

Q2a.

Bonsoir monsieur,

Merci pour votre réponse aussi rapide. En effet je mettrai la photo, avec  les noms des personnes, qui vous l’ont confiée, et l’adresse de votre site comme toujours, ce qui est normal.

Je vous remercie beaucoup, dommage qu’elle est floue, bien content de l’avoir, à cette époque ce n’était pas les appareils d’aujourd’hui, ce sont des souvenirs, mauvais certes mais l’ayant vécu, nous pourrions tout raconter jusqu'à notre évacuation dans la Drôme du 27/12/1943 à début décembre 1944, surtout mon époux, qui lui était sur le port pour le sabordage de la flotte, il avait 10 ans, il se souvient des bateaux qui sautaient, c’est un monsieur qui l’a pris pour le mettre à l’abri.

Ici nous n'étions pas épargnés non plus, la route du Vercors passait devant notre maison. Pendant 48 h nous sommes restés enfermé dans le noir. Les Allemands et les maquisards se sont rencontrés.

Il y avait une famille de la Seyne parmi les refugiés, je ne me souviens que du nom Cupper. Iils ont été fusillés sur Etoile, lui était collaborateur, nous en avions peur, et tant que mon oncle frère de ma mère passait chez nous une nuit, nous avions une sortie derrière au cas où ! pour prendre le maquis. Il a été pris dans le Vercors, et déporté politique (communiste), son copain est au cimetière de Vassieux en Vercors, lui aussi je ne me souviens pas du nom, nous étions allés sur sa tombe avec cet oncle, venu vers les années 1966, il lui a été impossible de visiter le musée de la Résistance, qui est très lugubre avec sa musique en entrant. Il a failli se trouver mal.

Maintenant ,depuis quelques années c’est un mémorial, il est très grand, en entrant il vous vient les frissons ; il y a des lettres, des colis, beaucoup de choses qui ont été conservées, tout ce qui était à la grotte de la Luire, matériel infirmier, etc.

Mon autre oncle André Fernandez, j’ai pu retrouver son épouse mariée en 40 qui a 95 ans, domiciliée aux Routes à Toulon, qui a toute sa tête, et une bonne mémoire, remarié bien sûr, ils sont encore tous les deux. j’ai appris qu’il avait sauté sur une mine. Ma grand-mère nous l’a jamais dit, elle ne le savait peut être pas. J’ai des papiers, ce n’est pas noté dessus. Il est au cimetière de Suippes dans la Marne.

Père Jean-Baptiste Cadiere appelé Charles connaissait la famille Ventre.

Merci encore pour votre generosité. Peut-être je vous ai déjà raconté ;si c’est cela je vous fait mes excuses.

Bonne soirée.

Cordialement

DCQ

Q2b.

Bonjour monsieur,

Voici quelques détails sur le vercors. Nous l’avons visité plusieurs fois, surtout l’été  quand la famille venait nous voir, quel désastre il y a eu ! Maintenant c’est très joli surtout l’été nous sommes au frais. Ce n’est pas très loin de chez nous. Cette grotte de la luire était au milieu dans la forêt, ils ont étaient dénoncé pour la trouver,aujoud’hui  c’est agrandit, il ne reste plus rien, c’est au memorial.nous avions parlé avec monsieur joseph la Picirella ancien maquisard.

Je connais un peu l’histoire, la postière d’ici habitait la chapelle en vercors,elle était à la poste pendant 44,elle a pu sauver sa famille par un coup de téléphone rapide.je ne me souviens plus du reste. Nous avons des livres de cette époque.

Bon dimanche.

cordialement

DCQ

http://memorial-vercors.fr/uploaded/files/SNHRV/PRESSE/Dossier_de_presse.pdf

Q2c.

Ce site là est mieux : http://fr.wikipedia.org/wiki/Maquis_du_Vercors

DCQ



 

24 juillet - 16 août 2007 : Ecole maternelle Jean Jaurès et Ecole primaire François Durand

Q1.

Bonjour,

je découvre avec émotion votre site qui me permet de repartir dans mes années d'école primaire à La Seyne entre 1962 et 66. J'étais élève de l'Ecole primaire François Durand (l'école "des garçons"), devenue le Groupe scolaire Emile-Malsert. Mais j'avais fréquenté auparavant l'école maternelle qui lui faisait face rue La Fontaine, construite sur un seul niveau.

Comment s'appelait-elle? Où puis-je retrouver la monographie qui la concerne?

Merci de votre bienveillance,

JP

R1.

Bonjour,

L'école maternelle de ce quartier était, je pense, l'école maternelle Jean Jaurès, dont un bref historique se trouve à l'adresse :

http://jcautran.free.fr/oeuvres/martini/maternelles.html#4

Mais la localisation de cette école a changé plusieurs fois dans l'histoire. Construite "boulevard des Hommes sans peur" (boulevard Jean Jaurès) en 1901, elle a été détruite par une bombe en 1944. Je pense qu'elle a été reconstruite en préfabriqués en 1945 à côté de l'école primaire François Durand, sans doute rue La Fontaine. Elle a été reconstruite en dur seulement en 1969, rue Boisselin. C'est là qu'elle se trouve encore actuellement, après avoir été une nouvelle fois reconstruite en 2005-2006.

Restant à votre disposition pour essayer de vous fournir davantage de renseignements.

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q2.

Monsieur,

Merci infiniment de votre réponse, qui pour l'école maternelle Jean-Jaurès me rappelle certains points (le nom de l'école évidemment, le type de construction qui en effet s'est révélé du "temporaire durable"), et repartir aussitôt dans le passé.

Oui, je profite de votre offre : l'usage progressif du téléphone portable situe de moins en moins de gens dans l'annuaire. J'aimerais savoir ce que sont devenus mes instituteurs de l'école anciennement 'François Durand' à l'époque où j'y étais élève (entre 61 à 66, contrairement à ce que j'ai écrit initialement) :

- M. François ROBERT, le directeur,
- Mme CLAUDE, qui assurait le cours préparatoire et avait un logement de fonction dans l'école,
- Mme MILESI, cours élémentaire 1 (sa classe était déjetée de l'autre côté de la rue, à l'extrémité de l'école maternelle, dans une petite cour de 2 ou 3 classes au plus),
- M. JOUVENCEAU, cours élémentaire 1 (le "Jouvanceau d'en bas", expression qui le distinguait dans le langage des élèves de son frère qui assurait le c. élémentaire 2 à l'étage),
- M. MOUCHE, cours moyen 1,
- M. FONTAINE, cours moyen 2, d'une personnalité affirmée et célèbre parce qu'il animait dans le hall de l'école les séances de cinéma, et avait créé des supports pédagogiques localement hors-normes : carte de l'Europe à boutons-poussoir lumineux, petite imprimerie pour les meilleurs devoirs, etc.).

Merci de ce que pourront m'apporter votre science et votre mémoire,

Cordialement,

JP

R2.

Bonsoir,

Mes excuses pour le retard à répondre à votre dernier message concernant les instituteurs de l'école François Durand. Je ne vous ai pas oublié, mais pour vous faire une réponse précise, il faut que je consulte l'un de mes voisins qui est un ancien de François Durand. Mais il est absent pour l'instant. Merci de patienter encore quelques jours.

A bientôt. Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q3.

Monsieur,

Bien sûr, je patiente!

Merci de votre sollicitude,

JP

R3.

Bonsoir,

J'ai pu enfin avoir les informations que j'attendais concernant les anciens enseignants de l'école François Durand :

- M. François ROBERT, le directeur, né le 4 novembre 1906 à Draguignan (Var), est décédé le 24 juin 1983 à La Seyne. Son épouse était décédée quelque temps avant lui. L'une de leurs filles, Suzanne, épouse GUINTINI Michel, habite Le Pin Rolland, commune de Saint-Mandrier.

- Mme CLAUDE, qui assurait le cours préparatoire et avait un logement de fonction dans l'école, existe toujours. Elle a été vue il n'y a pas très longtemps par mes amis.

- Mme MILESI, cours élémentaire 1, existe toujours, à la retraite sur La Seyne ou les environs.

- MM. JOUVENCEAU : Joseph, né en 1917, vit toujours, on le voit encore souvent sur le marché. Mais son frère Etienne, né en 1915, est décédé depuis 2001.

- M. MOUCHE, cours moyen 1, vit toujours, habite vers le Fort Napoléon.

- M. FONTAINE, cours moyen 2, va bien. On le voit encore assez souvent.

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q3.

Monsieur,

Merci, merci de vos recherches fructueuses!

JP


3 mai 2007 - 30 avril 2008 : Colonie de vacances de La Motte (1)

Q1.

J'ai été animateur au mois de juillet et Aout 1975 et Aout 1976

J'ai dirigé la colonie de la motte en juillet 1979. Mon nom n'apparaît pas dans la liste des directeurs sur votre site. Cela est il dû a la date??

En tous les cas je garde un excellent souvenir de cette expérience que ce soit dans mon activité de directeur comme dans mes rapports avec la mairie notamment avec Mlle Ferrero.

Je serais trés interresses par tous documents et toutes photos concernant cette période.Je suis pret à financer ces documents et meme à me déplacer si cela était necessaire.

Je suis impatient de plaisir à l'idée de pouvoir me replonger dans cette période inoubliable pour moi d'ailleurs je remonte à la motte st martin 2 ou 3 fois tous les ans

Merci d'avance pour votre réponse que j'ai hate de recevoir

Laurent Galy

R1.

Bonjour,

Merci pour votre message et désolé pour le retard mis à y répondre.

Mon père (Marius Autran) s'est beaucoup investi dans la création et le fonctionnement des colonies de vacances de La Seyne à partir du début des années 50 et pendant une vingtaine d'années. J'ai effectué quelques recherches dans ses archives, mais la plupart des documents qu'il possédait sur les colonies de vacances, et notamment sur celle de La Motte (le château avait été acheté en 1962) ne dépassent guère la fin des années 60.

Ses principaux souvenirs ont été rassemblés dans un chapitre "Jeunesse seynoise au plein air" de son Tome III. Voir à l'adresse :

http://jcautran.free.fr/oeuvres/tome3/jeunesse_au_plein_air.html#20

On y trouve notamment une photo du château et des photos de groupes d'enfants et d'adolescents à la piscine.

La colonie de La Motte est également mentionnée dans l'ouvrage de Paul Gaujac "C'était au temps des colos", paru en 2000, pages 56 à 68, avec un historique du château et quelques anecdotes sur la colonie, que Paul Gaujac a dirigée de 1962 à 1967. Mais il est vrai que votre nom n'y apparaît pas, ni dans ce livre, ni dans les souvenirs de mon père, sans doute en raison de la date. Je ne sais pas pourquoi les archives des années 70 et 80 n'ont pas été exploitées par ceux qui ont écrit sur les colonies de vacances. Et je ne sais pas qui pourrait aujourd'hui détenir les documents et souvenirs de cette époque.

Il y a aussi plusieurs écrits de mon père et de photos concernant les colonies de vacances dans les Bulletins Municipaux. Voir à :

http://jcautran.free.fr/archives_familiales/ecrits_divers_marius_autran/bulletins_municipaux/bulletins_municipaux.html

Mais là aussi, on n'y trouve guère d'informations précises au delà de la fin des années 60.

Quelques autres photos du château de La Motte se trouvent aussi dans la section de mon "forum" consacrée aux écoles et aux colonies de vacances. Voir à :

http://jcautran.free.fr/forum/enseignement_et_ecoles.html#22

C'est tout ce que j'ai retrouvé pour l'instant. Je conserve votre adresse et si je retrouve quelque autre document dans les nombreuses archives de mon père (que je n'ai pas terminé de remettre en ordre), je ne manquerai pas de vous le faire parvenir.

En attendant, je peux faire figurer cet échanges de messages dans le forum de mon site, si vous n'y voyez pas d'inconvénient. Je peux également rajouter votre nom à la liste de ceux qui ont dirigé la colonie, puisque mon père vous avait apparemment oublié (ou du moins n'avait plus d'informations suffisamment à jour lorsqu'il avait écrit son Tome III en 1990).

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q2.

Merci beaucoup pour votre réponse et pour toutes ces informations.

je serais très fier et honoré apparaître sur votre site et sur tous les documents de votre choix.

j'ai quelques photos de 1975/76 et 79.

je reste à votre disposition.

Cordialement

Laurent Galy 

R2.

Bonjour,

Si vous avez des photos de la colonie de La Motte (groupes d'enfants, d'adolescents, de moniteurs, etc.), cela peut être intéressant. Si vous pouvez essayer d'en scanner et me les adresser, je peux les rajouter à la suite des discussions sur cette colonie.

Merci par avance.

Cordialement,

Jean-Claude Autran

 

Q3a.

Jean Claude,

Ci joint photo équipe d'animation avec Melle Desaix juillet 1975.

Je suis le 4ème à gauche en partant de la droite chemise bleue avec épaulettes.

Je vous envoie les autres dés que possible.

Je n'arrive plus à retrouver la liste des anciens directeurs de colonie. Dans quelle rubrique faut il chercher?

Cordialement

Laurent Galy

Q3b.

Jean Claude,

Voici toutes les photos qu'il me reste de la colonie du château de la Motte.

Animateur en 1975 et 1976 et directeur en 1979.

Sur le groupe et animateur 1976 je suis en jaune.

A Laffrey, je suis à droite avec Marc Delanoy Bryére.

Directeur 1979 je suis au centre tee-shirt manche courte.

Les 2 autres photos 1975, c'est plus simple.

Voila des souvenirs lointains qui restent pour moi très agréable.

j'ai maintenant 52 ans et j'ai bien sur beaucoup changé, mais je garde de cette période une émotion intacte.

Cordialement

Laurent Galy

R3.

Bonjour,

Toutes vos photos me sont bien parvenues. Un grand merci.

Dans les prochains jours, si vous n'y voyez pas d'inconvénient, je vais essayer d'en mettre quelques-unes sur le forum de mon site, dans la rubrique où se trouvent les échanges sur les colonies de vacances : http://jcautran.free.fr/forum/enseignement_et_ecoles.html#30

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q4a.

Je ne vois aucun inconvénient à l'utilisation de ces photos comme bon vous semble.

Laurent Galy

Equipe d'animation avec Melle Desaix juillet 1975
Camping lac 1975
Groupe 1975
Repas juillet 1975
Animateur 1976
Groupe 1976
Directeur juillet 1979

Q4b.

Jean Claude,

Merci d'avoir publié les photos sur votre site. J'en suis trés heureux.

Pourriez vous publier mon adresse internet au cas ou il y aurait des amis de la Seyne qui voudraient reprendre contact avec moi.

Mon nom n'apparait toujours pas dans la liste des directeurs .Je serais vraiment trés honoré d'apparaitre sur cette liste.

Encore merci pour votre gentillesse.

Cordialement

Laurent Galy

R4.

Bonjour,

Depuis la dernière mise à jour de mon site (24 mai), votre nom apparaît bien dans la liste des directeurs de La Motte Saint-Martin, à la suite des noms que mon père avait cités. Voir dans le chapitre "Jeunesse au plein air" de son Tome III, à l'adresse : http://jcautran.free.fr/oeuvres/tome3/jeunesse_au_plein_air.html#20

J'ai également rajouté votre adresse internet dans les échanges qui figurent

dans le "forum" du site : http://jcautran.free.fr/forum/enseignement_et_ecoles.html#30

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q5. (1er février 2008)

Je suis enchantée de voir ces photos sur votre site..

Ma grand mère sera ravie de les voir!

J'ai rencontré Mlle Desaix... elle et ma grand-mère ont travaillé avec plaisir ensemble.

Sur la photo de juillet 1975, je reconnais des membres de ma famille..

Ma grand-mère Vincente... ( au centre, robe bleue et col blanc), sa soeur Dora (assise à droite avec foulard) et ma tatie (dans les premiers rangs.; avec le top bleu clair...)

Un joli portrait de famille.. Maman n' est pas sur la photo mais elles ont passé de nombreux été en colo.. d'abord en temps que colons.. puis animatrices. Mon oncle Jean Louis aussi! Ma gd mere est devenue directrice également les années suivantes.

On voit mamie aussi sur la photo des anims en 1976 (tee shirt jaune!)

On m'a beaucoup parlé de cette epoque.. ils en gardent de trés bons souvenirs!

Toutes les années, lors de nos vacances en famille (ou nous sommes 15!) nous chantons des chansons.. " comme en colo"...

C'est peut etre cette ambiance qui a fait que moi aussi, j'ai passé mon BAFA..

J'ai 21 ans et je suis devenue aussi directrice.. Je ne fais pas cela à temps plein ! accessoirement je suis secretaire...

Quand je raconte à mamie comment sont les colos aujourd'hui, elle ne peut s'empecher de me dire " nous ce n'etait pas comme ca!!! ca devient horrible!! nous, on ne se posait pas tant de questions!!"

Quand on pense qu'aujourdhui, les plats arrivent tout preparés par camions dans des conteners en plastiques.. dont on prelève des echantillons dans des eprouvettes tous les jours... Que les enfants sirotent des glaces (youpi!) rose fluos.. avec le chewing gum vert flash au milieu... pour avoir la langue "martiens"... pleines d'aphtes... Quand on pense qu'en tant qu'animatrice, il m'est fortement deconseillé de faire un "bisous" à un petit garcon... même à une petite fille. meme lorque cet enfant à un chagrin...

Certe, il vaut mieux prevenir que guerir... Mais c'est dommage!

Les enfants, sur toutes ces photos ou je vois ma grand mere... semblent ravis, ils se contentaient de peu !

Les temps ont changé !

Pas de Wii... ni de Ipod.. de lecteur MP3.. pas de télephone portable ni de 'survet adidas'..dans leurs priorités, non... mais des sourires... des mains bariolées de peinture... et du chocolat sur la bouche ! Le chocolat... vous savez, les 3 carreaux de VRAI chocolat qu'on enfilaient dans un morceau de pain frais... avec un verre de lait..ça c'était du BIO sans prétention!

ET tout ça... c'était

QUE DU BONHEUR!

Communiquons aux enfants... Parlons de l'époque ou leurs parents, grands parents... oncles, tantes... s'amusaient eux aussi ! Et avec des choses si simples !!

Je suis tellement contente qu'on me l'ait appris !

PC

R5.

Bonjour,

Merci beaucoup pour votre message, pour tous ces bons souvenirs - qui sont encore bien vivaces chez tous ceux qui ont connu cette époque des colos.

A bien des égards, on est passé dans une autre époque, et c'est parfois bien dommage de voir à quel point beaucoup d'enfants sont devenus dépendants de leur écran d'ordinateur et de la destruction, des heures durant, d'ennemis virtuels... Sans connaître le bonheur fait des choses simples que vous rappelez.

Oui, il faut communiquer aux enfants tout ce que nous avons connu. En espérant qu'il soit encore temps pour eux de le comprendre.

Très cordialement,

Jean-Claude Autran

Q6. (29 avril 2008)

Jean Claude,

Je viens de voir un témoignage daté du 1 février 2008 d'une jeune fille [PC] dont sa grand-mère, sa sœur et sa tatie apparaissent sur les photos de la colonie de la motte que j'ai publié avec votre aide sur votre site.

Je me rappelle bien de sa grand-mère qui était en fait l'adjointe de Melle Desaix. Je garde d'ailleurs un très bon souvenir d'elle. J'étais vraiment un tout jeune homme et elle a été avec moi charmante et pleine de bon conseil pour mon « travail » auprès des jeunes. C'est aussi grâce à elle sans doute que j'ai exercé ensuite les fonctions de directeur.

Le témoignage de sa petite fille est plein de tendresse. En tous les cas il m'a donné beaucoup de bonheur et je l'en remercie. Moi aussi je garde de cette époque un souvenir tendre et émouvant et j'en parle aussi très régulièrement à mes 2 enfants.

Pourriez-vous publier ce message ou l'informer de cela pour qu'elle puisse saluer très chaleureusement particulièrement sa grand-mère, mais aussi sa tante et sa sœur avec qui j'ai passé des moments inoubliables même si je garde un souvenir très inégal en fonction des personnes et des périodes.

Merci encore à cette jeune fille dont je ne connais pas le nom et merci encore à Jean Claude de nous permettre de revivre une période extraordinaire.

Laurent Galy

R6a. (à PC)

Bonjour,

Suite à votre message du 1er février, qui a été publié sur le forum de mon site (http://jcautran.free.fr/archives_familiales/forum/enseignement_et_ecoles.html#30), j'ai reçu le commentaire suivant de M. Laurent Galy, qui été animateur (puis directeur) à la colonie de vacances de La Motte, et qui figure la photo de juillet 1975 où apparaît aussi votre grand-mère.

M. Galy vous remercie notamment pour votre témoignage, et vous prie de saluer votre grand-mère de sa part. Voici son message : [voir Q6 ci-dessus]

Cordialement

Jean-Claude Autran

Rb.

Bonjour Jean Claude,

Merci pour la transmission et espère à bientôt.

Laurent Galy


 

4-22 décembre 2006 : Anciennes photos de classes des écoles Ernest Renan et Martini

Q1.

Aurais-tu par hasard les coordonnées des T ? J'ai cherché sur internet en vain ; au cas ou merci de me les faire parvenir ; bisous à tous

CB

R1.

Re bonsoir Christiane,

Je n'ai pas les coordonnées de T, mais, il y a quelques jours, j'ai justement eu un message d'une amie de mon père, MV, qui m'a parlé de lui à la suite du décès de son père MT, 94 ans (...).

Elle avait promis de me mettre en contact avec JMT, mais en laissant naturellement passer un peu de temps après ce décès. Donc, j'attends un appel, mais je ne sais pas quand. Mais si tu connais personnellement MV (...), peut-être peux-tu la contacter directement pour savoir si elle ne pourrait pas te donner toute de suite l'adresse postale ou électronique de JMT.

Bises à tous.

Jean-Claude

Q2.

J'ai contacté MV qui doit me rappeler ; j'aimerais savoir quelle est l'adresse mel pour avoir directement les anciennes photos des écoles ; bisous à tous

CB

R2.

Bonsoir,

L'adresse mel pour avoir directement les anciennes photos des écoles ? Tu veux dire sans doute l'adresse internet des pages de mon site où j'ai mis ces photos ?

Tu trouveras des anciennes photos de classes :

1) Dans les pages qui concernent ma scolarité (Ernest Renan, Martini) :

http://jcautran.free.fr/archives_familiales/scolarite/scolarite_jcautran.html

2) Dans le "forum" du site, où il y a pas mal d'échanges avec d'anciens camarades de classe :

http://jcautran.free.fr/archives_familiales/forum/anciens_camarades_jca1s.html

Je reste à ta disposition pour toute question.

Bises.

Jean-Claude

Q3.

Salut Jean Claude ; je suis vexée après avoir vu le site des anciens des écoles ; mon nom ne paraît pas ; c'est pour rire que je te dis çà mais surtout je t'informe que je mettrais ds les jours à venir des photos avec les commentaires ds ta boîte à lettres ; si tu veux plus d'informations après, tu as mon n° de téléphone et mon me ; bisous à tous et bonnes fêtes ;

Christiane

R3.

Bonjour Christiane,

Désolé de réaliser que ton nom n'apparaissait pas dans le site des anciens camarades d'école. Il est vrai que, à l'exception du tout dernier échange que nous avons eu à propos de T, tous les mels précédents touchaient davantage des sujets de famille, d'invitations, ou des livres de mon père, etc. et n'avaient pas leur place dans le "forum" des anciens camarades de classe. Mais j'aurais dû au moins te faire figurer dans l'avis de recherche, parmi les camarades retrouvés. C'était tellement évident... que je t'avais oubliée. Tout ceci est réparé, tu figures maintenant en quelques endroits du site, y compris dans la légende d'une photo de Maternelle (envoyée par Christiane Berbudeau) et dont tu avais su compléter les noms.

Merci par avance pour les photos que tu m'annonces.

Bonnes fêtes à tous.

Jean-Claude


 

24-29 novembre 2006 : Une éducation chez les Bons Pères (Institution Sainte-Marie)

Q1.

Cher Seynois

Né à La Seyne en 1923, j'ai passé dix ans à l'Institution Sainte-Marie, comme externe surveillé, horaire 8 h -12 h / 13h30-19h15, classes le jeudi, le samedi, liberté le dimanche de 11 h à 16h45 (sous réserve de tableau d'honneur). J'ai fait le récit - très critique - de cette époque dans mon livre "Une Education chez les Bons Pères" (Albin Michel) - épuisé, mais quelques exemplaires disponibles chez l'auteur (...).

Je serais heureux que vous fassiez figurer ce titre dans votre bibliographie de la Seyne. Je peux vous en envoyer un exemplaire, pour la lecture, et pour la couverture à scanner. Cordialement.

PS. Je connais bien la branche Dominique Jaubert. Ce n'est pas la même que la mienne, celle de mon père, le Dr Jaubert, venu de Brignoles à la Seyne (1870-1961), mes ancêtres paternels étant brignolais.

JJ

R1.

Bonsoir,

Merci pour votre message.

J'ignorais totalement l'existence de votre ouvrage. Je serais donc très heureux de le lire et de la faire figurer parmi les ouvrages sur l'histoire de La Seyne-sur-Mer.

Je vous serais très reconnaissant - et je vous en remercie par avance - de me faire parvenir un exemplaire que je puisse lire et dont je puisse scanner la couverture. Je m'engage à vous le retourner dans les meilleurs délais.

J'en suis d'autant plus intéressé que deux de mes enfants sont actuellement à l'Institution Sainte-Marie. L'ambiance a certainement un peu changé depuis votre époque, notamment avec beaucoup plus de professionnalisme parmi les enseignants et avec la mixité des classes ; mais avec toujours un peu plus de rigueur et de discipline, et beaucoup moins d'"éléments perturbateurs" que dans les établissements voisins ; et des horaires de 7 h 45 - 12 h / 13 h 45 - 18 h pour les externes.

Merci par avance.

Très cordialement

Jean-Claude Autran (fils de Marius Autran, 96 ans !)

Q2a.

Cher Seynois, merci de votre réponse si rapide. Je vous enverrai dès demain un exemplaire de mon "Education chez les Bons Pères". Surtout, gardez-le, je me ferais un plaisir de vous le dédicacer. Il n'a pas très bien marché parce qu'il sentait le soufre ! Votre site m'a surpris par son importance et son intérêt. Quel travail, et que de renseignements il contient ! J'ai communiqué par téléphone quelques éléments sur Tranchant de Lunel à un de mes amis, un érudit qui a publié un livre sur Cocteau et va préfacer les lettres de Cocteau à sa mère. Il est curieux de cette période de la vie du poète, car elle est assez obscure. Cocteau a donc rencontré chez Tranchant de Lunel le jeune écrivain Pierre Herbart, selon un de vos correspondants. Et aussi un nommé Marcel Khill, auquel mon ami, Jean Touzot, s'intéresse. Je lui ai indiqué votre site.

J'ajouterai que mon père, le Dr André Jaubert, a exercé la médecine à la Seyne de 1906, à peu près, à 1942, nous habitions Villa Nerto (la "nerto", en provençal, c'est la myrte) avenue Garibaldi, à côté de la Poste, devenue depuis une annexe, je crois. Il m'arrive d'évoquer la Seyne avec un ancien instituteur qui y a enseigné, Guy Lovisolo, actuellement à Tourves, près de Brignoles. Il y avait autrefois au collège un Autran, plus âgé que moi de 2 ou 3 ans, qui raflait tous les prix avec Roger Agnèse, le fils du bijoutier, devenu médecin et décédé depuis peu.

Cordialement.

JJ

Q2b.

Cher Seynois, je vous envoie dès demain mon "Education chez les Bons Pères". Me le retourner ? Vous plaisantez. Cela me fera plaisir de vous le dédicacer en vous souhaitant bonne lecture. Il n'a pas eu beaucoup de retentissement car il sentait le soufre... L'importance de votre site, que j'ai trouvé un peu par hasard, m'a surpris par son étendue et son intérêt. J'y ai trouvé une foule de renseignements. J'ajouterai que mon père, le Dr Jaubert, a exercé la médecine à la Seyne de 1910 à 1942, nous habitions la Villa Nerto, avenue Garibaldi, à côté de l'ancienne poste, devenue depuis une annexe, je crois. (La "nerto", en provençal, c'est la myrte). Deux choses encore : d'une part, il m'arrive d'évoquer la Seyne à Tourves, près de Brignoles, avec Guy Lovisolo, qui fut instituteur à La Seyne ; d'autre part, j'ai parlé de votre site à un érudit de mes amis, auteur d'ouvrages sur Cocteau, qui est intrigué par le passage de Cocteau chez Tranchant de Lunel, cette période de la vie de Cocteau comportant des lacunes. Cocteau y a retrouvé Pierre Herbart, dit un de vos correspondants, et aussi Marcel Khill, qui intrigue beaucoup mon ami, M. Touzot. Peut-être celui-ci vous contactera-t-il. Je lui ai déja donné par téléphone quelques renseignements glanés sur votre site, dont par ailleurs je connaissais une partie, et l'adresse de votre site.

Cordialement.

JJ

R2a.

Cher Monsieur,

Je viens de recevoir votre ouvrage et vous remercie vivement pour cet envoi et pour votre dédicace. Je vais m'empresser de le lire et vous donnerai mon sentiment un peu plus tard. Votre résumé, en dos de couverture, est en effet très critique, mais c'est bien certainement l'expérience que vous avez vécue.

NB. L'ouvrage ci-dessus a été de nouveau mis en vente depuis juillet 2009 à la librairie Charlemagne de La Seyne
Beaucoup de Seynois (dans le contexte d'une municipalité communiste de 1947 à 1984, puis encore de 1995 à 2001) ont probablement entendu raconter et gardé en mémoire l'ambiance que vous décrivez au point de penser qu'il en est encore ainsi aujourd'hui. Lorsque, de retour à La Seyne, j'ai décidé d'inscrire deux de mes enfants à l'Institution Sainte-Marie, je me suis naturellement heurté à la colère de mon père (un ancien de la municipalité communiste et de famille anti-cléricale depuis plusieurs générations), pour qui j'allais "déshonorer sa famille". Mais je n'ai aujourd'hui aucun regret, l'établissement me semblant avoir complètement changé ces 20 dernières années. Il n'y a plus, aujourd'hui, de Pères Maristes, ou plutôt il y en reste un seul, retraité depuis longtemps, qui n'a plus de fonction enseignante. La culture religieuse est très présente mais n'a rien d'obligatoire. L'établissement est privé sous contrat avec l'Etat. Il est vrai qu'avec la demande croissante que connaît l'enseignement privé, ils peuvent opérer une forte sélection au niveau des inscriptions, avec même l'ouverture de classes de "surdoués" (intellectuellement précoces). Il y a de nombreux excellents professeurs, l'encadrement des élèves y est particulièrement soigné et l'établissement garde une échelle humaine qui n'a rien à voir avec les "usines" que sont les autres collèges ou lycées de la ville (33 classes de seconde à Beaussier où, dit-on, à la fin de l'année le Proviseur ne connaît même pas encore tous ses professeurs). Mon fils aîné est dans une terminale scientifique où le niveau est particulièrement élevé (26 succès au bac l'an passé, sur 26 élèves) et où les élèves se craignent pas de se considérer tous comme des "intellos".

Mais je vais sans doute me passionner pour votre livre qui constitue certainement une intéressante page d'histoire locale.

Je vais également en scanner la page de couverture et le faire figurer parmi la liste des ouvrages d'histoire locale déjà mentionnés sur mon site.

Je vous informe également que mon père a longtemps connu votre père, le Docteur Jaubert, et se souvient encore de lui, en effet à côté de la Poste.

A bientôt. Très cordialement.

Jean-Claude Autran

R2b.

Cher Monsieur,

Tout d'abord, tous mes vœux pour la nouvelle année !

Que 2007 vous apporte, avant tout la santé - qui permet de réaliser tout le reste.

Deuxièmement, pardon d'avoir tardé à répondre à propos de votre ouvrage, que j'ai lu entièrement voilà déjà quelques semaines. J'ai beaucoup apprécié ce témoignage très parlant et très direct de votre expérience vécue. Je n'imaginais pas que certaines choses - que j'avais quelquefois entendu conter mais que je croyais exagérées - avaient pu réellement exister.

Je pense cependant que les conditions de vie et d'enseignement se sont ensuite, peut-être après la seconde Guerre Mondiale, sensiblement infléchies et assouplies. Peut-être aussi certaines personnalités d'enfants ou d'adolescents se prêtaient mieux que d'autres à supporter le régime que vous avez subi. Un de mes amis, qui a effectué aussi toute sa scolarité chez les Maristes, garde aujourd'hui encore - avec quelques bémols de-ci de-là, un souvenir ému de son passage chez les Bons Pères. Mais c'était un cas particulier : un orphelin de père (et il a le sentiment que c'est à ces Bons Pères qu'il doit tout ce qu'il sait) (...).

En tout cas votre livre est écrit avec un un humour intéressant et dans un français remarquable. Je ne sais pas si vous devez ce style à vos années chez les Bons Pères ? Et j'ai découvert que vous aviez écrit auparavant plusieurs autres ouvrages.

Merci encore de m'avoir adressé votre ouvrage et encore toutes mes félicitations pour ce très intéressant témoignage.

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q3.

Ami Seynois, je vous remercie de vos remarques sur mon livre, je suis heureux d'avoir eu un bon lecteur...qui a l'esprit de rapporter les quelques qualités d'écriture qu'il me trouve à l'éducation, justement, reçue chez les Maristes. Il est vrai qu'il y avait, surtout à partir de la Troisième, quelques professeurs remarquables. Mais la discipline, l'hypocrisie et l'abus de la religion ont rendu la vie difficile, à moi et à bien d'autres. Cela dit, beaucoup de pensionnaires avec qui j'en ai reparlé, tout en s'étant bien diverti à la description des "pions" et de leurs brimades, m'ont dit qu'eux-mêmes, vivant du matin au soir dans le "moule" des Bons Pères, avaient moins que moi - externe très surveillé - ressenti cette oppression.

Tout cela a bien changé, tant mieux ! Mais jugez de ma stupéfaction le jour où j'ai appris que "les filles" étaient admises au collège ! C'était le diable dans le bénitier !

Encore mes félicitations pour votre site. J'ai communiqué vos coordonnées à l'un de mes amis, auteur de plusieurs ouvrages sur Mauriac et, surtout, sur Cocteau. Il s'intéresse aux séjours faits par Cocteau à La Seyne, en particulier à Notre-Dame des Pins, chez Tranchant de Lunel (au début du vieux chemin des Sablettes), un lieu qui abritait, comme on sait, une fumerie et des amours peu orthodoxes). Tous mes bons voeux de santé et de réussite dans vos travaux.

JJ


 

1er-21 septembre 2006 : Colonies de vacances - Échanges avec l'Ardèche

Q1.

Une petite question:avez-vous entendu parler d'une colonie de la Fédération des Oeuvres laiques de l'Ardèche qui était située au Mas de l'Artaude? Etait-elle sur La Seyne ou ailleurs?

Votre papa parle aussi de colonies de La Seyne qui allaient a Antraigues en Ardeche, qui est mon département natal. C'est un village magnifique ou l'esprit fraternel d'une certaine idée du communisme a longtemps maintenu une atmosphere de fraternité et d'ouverture, avec des personnalités fortes comme Jean Ferrat, mais aussi Helene et Gégé Terrisse et surtout le regretté Jean Saussac.

MP

R1.

Concernant l'Ardèche et les colonies de vacances, il est vrai que mon père s'y est beaucoup investi pendant de nombreuses années. Entre 1950 et 1965, il y a eu des échanges entre La Seyne et l'Ardèche. Les enfants de l'Ardèche venaient passer juillet ou août près de la mer, et étaient logés dans différentes écoles inutilisées pendant les vacances. En échange, les enfants de La Seyne étaient accueillis dans des écoles de plusieurs villages de l'Ardèche, et les noms de ces anciennes colonies sont restés très vivaces pour toute une génération de Seynois : Sainte-Agrève, Desaignes, Le Cheylard, Silhac-Fontbonne, Saint-Julien Bouttières, Antraigues. Je les ai moi-même toutes visitées puisque mon père inspectait chaque année toutes "ses" colonies, souvent pendant ses propres vacances, que la famille passait alors en Ardèche ou dans les environs. Ensuite, ces échanges ont été réduits en raison des contraintes que cela amenait pour réaménager les écoles en quelques jours juste avant la rentrée des classes et la ville s'était orientée vers l'achats de bâtiments pour y installer ses propres colonies, et des classes de neige l'hiver, mais cela fut alors surtout en Isère.

Je n'ai pas connu la colonie située au Mas de l'Artaude parce qu'elle n'était pas à La Seyne. Apparemment (cf. site internet http://www.fol07.org/centresc.php?id_centrec=2), il s'agit d'un centre de vacances de la F.O.L. De l'Ardèche situé au Pradet (Var), de l'autre côté de Toulon, et qui existe encore.

(...)

Jean-Claude Autran

Q2.

Merci pour votre réponse. Un petit détail:il faut écrire : Saint Agrève et Saint Julien Boutières (les Boutières étant une région de l'Ardèche). Demandez a votre papa s'il se souvient d'un certain Maurice Boulle, professeur de CEG qui s'était avec sa femme Elise investi a fond dans la direction de colonies et de camps d'adolescents. Il est hélas décédé il y a quelques années après avoir écrit plusieurs livres sur l'histoire du protestantisme en Ardèche (anciennement Vivarais). C'était mon vénéré professeur de Français, originaire de Villeneuve de Berg(exactement:Saint Remeze).

Merci pour le Mas de l'Artaude. Dites moi a l'occasion quels étaient les noms des écoles de la Seyne qui participaient aux échanges avec l'Ardèche.

MP

R2.

Cher ami,

(...) Concernant l'Ardèche, j'ai bien noté les corrections pour "Saint Agrève" et "Boutières". Je n'ai malheureusement aucun autre souvenir de mon père à vous communiquer. Le nom de Maurice Boulle ne lui dit plus rien, mais son implication dans les colonies de vacances de l'Ardèche remonte maintenant a plus de 50 ans ! Et concernant les échanges entre La Seyne et l'Ardèche, ils étaient faits, non pas école par école, mais au niveau de la ville de La Seyne (mon père présidait la Caisse des Ecoles, qui organisait globalement ces échanges entre notre ville et la Fédération Laïque de l'Ardèche). Tout ce qu'on peut dire c'est que la ville de la Seyne hébergeait les enfants de l'Ardèche dans quelques-unes de ses écoles et cantines, qui étaient encore souvent des préfabriqués de l'après-guerre (notamment les écoles des Sablettes, des Plaines, Ernest Renan, François Durand) et qu'en retour les enfants de La Seyne étaient accueillis dans les écoles des 6 ou 7 villages que je vous ai cités).

A bientôt. Amitiés.

Jean-Claude Autran

Q3.

cher ami,

(...) Mon ami de Largentiere qui a fait des colonies avec m. Boulle dans les annees 50-60 me dit avoir travaillé dans les prefabriques des Plaines et de Berthe. Il se souvient aussi des colonies du mas de l'Artaude et de Verlaque, mais il ne les connait pas. Par contre, il me dit etre revenu sur Les Plaines et Berthe, il y a quelques années et ne rien avoir retrouvé.

Veuillez saluer votre papa et à bientôt de vous lire.

MP

avez-vous jeté un oeil sur le site de R. Le Corff ? il va sûrement s'enrichir très bientôt ;

R3.

Cher ami,

J'ai bien sûr examiné l'excellent site de Roland Le Corff, avec tout ce qui concerne Edouard Jauffret, Au Pays Bleu et Raylambert.

Mais je connaissais déjà ce site depuis sa création puisque j'avais alors eu des échanges avec Roland Le Corff à propos de l'histoire des transports, notamment des autobus "Étoile" de la région de Toulon - La Seyne, qu'il a remarquablement reconstituée.

Concernant les colonies de vacances dont se souvient votre ami, dans les préfabriqués des écoles Les Plaines et Berthe, à La Seyne, il est normal qu'il n'ait plus rien retrouvé. Il s'agissait de préfabriqués montés en 1945 pour permettre aux écoles (Berthe, Ernest Renan, François Durand, Les Sablettes, Les Plaines) de redémarrer rapidement après les destructions de la guerre. Ils n'étaient en théorie prévus que pour 5 ans et devaient être remplacés par des constructions en dur. En réalité, ils vont être utilisés au moins 20 ans, et même 30 ans pour certains. Mais donc, entre 1965 et 1975, ils ont fini par être détruits, et les écoles actuelles les ont remplacés. L'ancien groupe scolaire de Berthe a été dédoublé et s'appelle aujourd'hui André Malraux, d'une part, et Jean Giono, d'autre part. Quant à l'école des Plaines, elle s'appelle Ecole Jean-Jacques Rousseau. Une photo se trouve dans l'Histoire de l'Enseignement que mon père a écrite : http://jcautran.free.fr/oeuvres/martini/enseignement_primaire.html#3

Amitiés,

Jean-Claude Autran

Q4.

Merci pour votre réponse si précise.

Pour en finir (provisoirement peut-être) avec les colos, un ami de Privas me precise qu'il y avait aussi une colonie à Costebelle (Hyères). Quant à la colo du Mas de l'Artaude, elle fut ouverte en 1957 au Pradet, apres l'achat par René Charras (pour ...50 000 F), président de la F.O.L. de l'Ardèche, de la propriété qui avait appartenu a Jean Aycard. Les colons se baignaient sur la plage de la Garonne. Les cuisines et les sanitaires étaient plus que sommaires.

Vous saluerez votre papa de ma part.

MP


 

15-16 juin 2006 : Photo de l'école Ernest Renan

Q1.

Salut Serge,

As-tu pu finalement ouvrir l'une ou l'autres des photos (...) que je t'ai envoyées avant-hier ?

Autre test : je t'envoie ci-joint une photo d'une classe d'Ernest Renan "fin des années 1940", publiée mercredi dernier dans Var Matin. Ce devait être 1 ou 2 ans avant toi. Il me semble avoir croisé plusieurs de ces visages dans la cour, mais je n'arrive plus a y mettre le moindre nom. Et toi ?

Amitiés. A+

Claudet

Q3.

Salut Fox,

J'ai pu ouvrir les photos sans problème mais hélas je ne reconnais personne même si une demi-douzaine de visages me rappellent des copains.

Pourtant je faisais du vélo chez Sénéquier avec Guigon et Marcel Casolari était dans ma troupe d'éclaireurs.

Debout sur le banc, il pourrait s'agir d'un des frères Rosenblat (Le 5° en partant de la droite) mais la coupe de cheveux me fait douter.

(...)

Adessias.

Pif


 

3-5 mai 2006 : Congé hebdomadaire dans les écoles

Q1.

Bonjour Monsieur Autran,

Pourriez-vous me dire durant quelle année scolaire le mercredi libéré a-t-il remplacé le jeudi libéré dans les écoles ?

Il me semble que cela a été institué lors de la rentrée 1973, mais je n'en suis pas sûre.

En vous remerciant pour vos réponses éclairées.

Cordialement.

SA

R.

Bonjour,

D'après la plupart des documents sur l'histoire de l'enseignement en France, il semble bien que le passage du congé hebdomadaire du jeudi au mercredi (changement "institutionnel") ait eu lieu en 1972. Voir par exemple les sites internet :

http://perso.alain-leger.mageos.com/docs/quantitatif.pdf
http://mobile.quid.fr/2006/Enseignement
http://archives.lejsl.com/cgi/jsl_handle?artid=/semaine/2004.0902/setl/20040902.JSA0263.html
http://www.clubdeclic.asso.fr/amicale/vers_l_ecole_actuelle.htm
etc.

Toutefois, j'ai encore quelques petits doutes, car certains sites mentionnent pour ce changement : "1972 - 1973", ou indiquent le jeudi "jusqu'en 1972" :

http://www.hattemer.fr/vie_du_cours/evolution_enseignement.htm
http://ecjs.ac-rouen.fr/demo_ecole_fce.htm
http://www.apfi-pppsi.com/cadence19/pedagog19-5.html

Peut-être (?) ce changement se serait-il étalé sur 2 ans, certaines académies n'ayant changé qu'en 1973 (??).

Je ne sais pas en dire plus pour aujourd'hui. Je vous recontacterai si j'arrive à acquérir davantage de certitudes pour l'année 1972.

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q2.

Bonjour monsieur Autran,

mille mercis pour votre réponse, qui me permet ,en outre, de faire la connaissance de nouveaux sites...

En vous souhaitant une bonne continuation.

Cordialement.

SA


 

28 avril 2006 : Aux anciens du Collège Martini

L'âne et la colophane…
Les notes de musique
Sont fâchées avec moi
Et la portée classique,
Du langage chinois.
Mon dieu ! que je regrette
De n'avoir eu béguin
Des notes indigestes
De madame Robin.
Les anciens du collège
Toujours se souviendront
De ses cours de solfège
Et ses airs de violon.
Un, deux, trois et…quatre
Regardez bien mon doigt
Un, deux, trois et…quatre
Au fond…ça ne suit pas.
J'avais fait…pour la rime
Le choix d'un autre temps
Le choix d'un autre rythme
Je trouvais plus marrant.
Un, deux, trois et…quatre
Merci gentille cloche
Un, deux, trois et… quatre
Bye, Bye ! les doubles croches.
*Colophane. Résidu de térébenthine dont on se sert pour faire les archets sur les cordes des violons et autres instruments à cordes, quant à l'âne… à vous de le trouver.

Henri Giovannetti


 

30 mars - 4 avril 2006 : Recherche d'un Père Mariste

Q1.

Bonjour, je suis animatrice dans un lycée à St Nazaire : Notre Dame d'Espérance.

Je suis à la recherche d'un père MARISTE dont- on, m'a donné le nom :

Le père DOMERGUE, qui paraît-il pourrait venir rencontrer nos élèves

Si vous avez ses coordonnées, pouvez vous me les envoyer, merci .

LS

R.

Bonjour,

J'ai bien deux de mes enfants qui sont élèves chez les Maristes de La Seyne-sur-Mer, mais je n'y connais pas du tout de Père nommé Domergue.

Je pense que vous devriez adresser votre demande aux administrations des principaux établissements sous la responsabilité des pères Maristes. Voir leur site : http://www.maristes-france.org/SPIP/article.php3?id_article=152

EXTERNAT SAINT-JOSEPH LA CORDEILLE à Ollioules (Var)
2229 route de Faveyrolles - 83190 Ollioules
Tél. 04 94 24 43 49
Site internet : www.esj-lacordeille.com
Courriel : direction@esj-lacordeille.com
Directeur : Yves RUELLAN
 
INSTITUTION SAINTE-MARIE à La Seyne-sur-Mer (Var)
1 place Germain Loro - BP 27 - 83501 La-Seyne- sur-Mer Cedex.
Tél. 04 94 11 16 60 - Fax 04 94 06 02 39
Site internet : www.maristes83.com
Directeur : Loïc TANVEZ
Secrétariat de Direction : frenzelm@maristes83.com
 
COURS FENELON à Toulon
251 rue du Pourquoi-Pas - 83000 TOULON
Tél. 04 94 46 96 50 - Fax 04 94 46 96 51
Adresse e-mail : fenelon83adm@wanadoo.fr
Site Internet : www.coursfenelon.fr.st
Directeur-Coordonateur : André JANNET
 
EXTERNAT SAINTE-MARIE à Lyon et La Verpillière
L'ensemble est composé de trois établissements sur trois sites, deux à Lyon, un à la Verpillière (Isère) :
La Solitude : 4 montée Saint-Barthélemy 69321 Lyon Cedex 05
Tél. 04 78 28 50 26
Lyon Saint-Paul : même adresse
Tél. 04 78 28 38 34
La Verpillière : Chemin du Couvent 38293 La Verpillière
Tél. 04 74 94 01 32
Site internet : www.ext-sainte-marie.fr
Directeur : M. Marc BOUCHACOURT

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q2.

Merci pour vos réponses

LS


 

22 février - 13 mars 2006 : Photos du Château de La Motte-Saint-Martin

Q1.

Cher Monsieur,

Je collectionne les documents sur le chateau de la Motte St Martin.

Je suis arrivé sur votre site par un moteur de recherche.

2 photos ont retenu mon attention : celui du chateau avec au premier plan le meule de foin et celle de la réunion des anciens devant l'hôtel qui se trouve dans l'allée qui mène au chateau.

Accepteriez vous de les vendre ou au moins d'en faire des copies ?

Cordialement,

CB

R1.

Bonjour,

Pardon pour le retard à vous répondre.

J'ai essayé de retrouver dans les archives de mon père les photos de La Motte St Martin datant des années 60. Vous trouverez en fichiers ci-joints quatre photos : celle du château avec la meule de foin, celle de l'hôtel Beauséjour, ainsi que deux cartes postales.

Celle de l'hôtel est de moins bonne qualité que les 3 autres car je n'ai pas retrouvé l'original et j'ai seulement récupéré celle se trouvant sur le site internet.

J'espère néanmoins que cela vous conviendra.

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q2.

Bonjour,

A moi de vous remercier en retard, j'étais en vacances ......

Un grand MERCI pour le temps que vous avez passé et pour les photos !!!!!!!

Cordialement,

CB


 

16 février -15 mars 2006 : L'école au XIXe siècle

Q1.

Bonjour Monsieur,

En faisant des recherches sur internet pour une enquête que nous faisons avec mon maître d'école, je suis arrivée sur votre site que j'ai trouvé très intéressant. Mais je n'ai pas trouvé les réponses à mes questions. Sauriez vous par hasard où je pourrais trouver des infos sur quelles matières étaient enseignées et avec quel matériel travaillait-on dans les années 1840 et 1887 ? je vous remercie par avance pour votre réponse et continue à lire le chapitre 4 sur l'histoire de l' école Martini de 1871 à 1905.

Au plaisir de vous lire,

AD, 10 ans, région Bordelaise

R.

Bonjour,

Je suis désolé pour le retard mis à répondre à votre message.

Merci de vous intéresser à l' ouvrage traitant de l'histoire de l'Enseignement à La Seyne sur mer (Var), écrit par mon père (Marius Autran) en 1982, et que j'ai mis par la suite sur internet.

Comme mon père est maintenant âgé de 95 ans (!), je vais essayer de répondre à votre question à sa place, en m'aidant d'ouvrages sur l'histoire de l'enseignement en France, tels que :

Les écoles de la République, Editions Eclectis, 1993.
Le Patrimoine de l'Education Nationale, Flohic Editions, 1999.
L'éducation en Vaucluse à travers les siècles, par Paul Rollin, Editions Européennes de Marseille-Provence, 2003.

En fait, il n'est pas très facile de répondre avec précision à votre question car la situation a beaucoup varié d'une région à une autre et même d'une ville à une autre, selon les moyens disponibles et la politique décidée par la commune.

Par exemple, si la loi Guizot, adoptée en 1833, faisait obligation aux communes d'entretenir au moins une école, son application a été lente à se mettre en place. Par endroits, elle n'a été appliquée que dans les années 1870.

Avec quel matériel travaillait-on dans les années 1850-1870 ? Le mobilier scolaire se composait souvent de pupitres à 7 ou 12 places, posées sur un plancher parfois incliné pour assurer une bonne visibilité du tableau. Le matériel d'enseignement se composait du tableau noir pour le maître et d'ardoises pour les élèves (avec craies ou crayons d'ardoise) et les murs de la classe étaient couverts de tableaux de lecture (alphabet, syllabes), de tableaux des règles d'arithmétique, des tableaux de système métrique, des cartes de géographie, un plan de la commune et un tableau de l'emploi du temps. On travaillait surtout avec ces tableaux muraux, les livres scolaires individuels n'ayant été développés que vers la fin du XIXe siècle.

Les matières enseignées étaient notamment : l'apprentissage de la lecture (alphabet, méthode syllabique), l'orthographe et la grammaire, l'écriture simple et la calligraphie (avec des plumes d'oie, puis des plumes métalliques à partir de 1850), les chiffres et l'arithmétique, les poids et mesures, la géographie et l'histoire (surtout à partir de récits) de la France, les "leçons de choses" (actuelles sciences naturelles et physique), la morale. L'instruction civique n'apparaîtra que vers 1882.

Voilà très brièvement ce que je peux vous dire. Si vous pouvez avoir accès à l'un des ouvrages cités ci-dessus, vous en apprendrez beaucoup plus.

Bon courage. Je suis très heureux que vous continuiez à lire les chapitres du livre de mon père.

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q2.

Monsieur,

Je vous remercie pour ma fille de nous avoir répondu. Nous continuons à lire l'histoire de l'école Martini dont nous avons classé le site dans nos favoris. Je vous remercie aussi pour les références de livres traitant du sujet qui vont certainement nous etre utiles.

Avec toute notre reconnaissance.

Cordialement

A&MM


 

10-13 février 2006 : Ancienne école des Sablettes (1)

Q.

bonjour,

c'est tout à fais par hasard que je parcoure votre site, je n'ai pas d'élement à vous apporter mais plutôt une question :

Où a été prise cette photo école des sablettes 1917, Lucien Gaillard assis à droite est peut être mon grand père.

merci,

salutations

OM

R.

Bonjour,

Je vous confirme que, d'après les souvenirs de mon père, la photo de classe de l'Ecole des Sablettes (1917) avait été prise devant cette école (ou sur un côté de l'école - car la fenêtre que l'on voit ne correspond pas aux dessins que l'on a de la façade de l'école).

Mon père a gardé un bon souvenir de Lucien Gaillard. Il me dit qu'il était décédé assez récemment (2-3 ans ?). Il se souvient que Lucien Gaillard avait deux sœurs : l'une (Suzanne) mariée à M. Arambourg, et dont il avait eu un fils (R. Arambourg) en classe au Collège Martini en 1946 ; une autre sœur, dont il a oublié le prénom tenait un magasin de laiterie vers le boulevard du 4 Septembre.

Ces quelques détails devraient vous confirmer s'il s'agit bien ou non de votre famille.

Cordialement,

Jean-Claude Autran

La première école des Sablettes - Classe de l'année 1917
1° rangée (assis sur le sol) : Marius Autran (4° à partir de la gauche), Simon Pisany (5°), Lucien Gaillard (dernier à droite)
3° rangée (debout) : Suzanne Gaillard (avant-dernière à droite), Félix Gay (dernier à droite)
4° rangée (debout sur le banc) : Joseph Gay (2° à partir de la gauche), Mimi Tortel (3° en partant de la droite, Élise Teissore - future Mme Victor Raybaud (avant-dernière à droite), Gisèle Apestéguy - future Mme Camille Fille (dernière à droite)


 

7-18 février : Ecole Curie et ouvrages de Marius Autran

Q1.

Cher Monsieur, j' ai feuilletée tous vos tomes"9" sur mon internet, vous m'avez procuré beaucoup de joie, merci d' avoir écrit ces livre sur la Seyne.

Étant moi même seynoise d' origine, avant de devenir chartraine, j'ai suivie mon mari et j' ai quitté la Seyne j' avais 33 ans et j' en ai 74 ans. j'ignorais qu' avant d' être école c' était une caserne. Je parle de l' école Curie. Vous ne parlez pas d' un certain Monsieur, que les enfants de l' époque taquinent en l' appelant "pita pita" et lui se mettait à leur courir après,

cela se passait à la sortie des classes, c' est un souvenir parmi tant d'autres qui m' est resté, comme Vinoti au grand chapeau. J' ai bien rie avec vos anecdotes ,de ce maître d' école à Martini, la cédille au mot caleçon et le Jars. A savoir ce que sont devenues Mesdames Todeschini, Gieu, Azan, Ravestein, et tant d' autres que j'ai eu le plaisir de connaître. J'avais comme voisins à l'avenue Donicarde ou j' habitais Messieurs Fabre et Laure, je crois qu 'ils enseignaient à l' école Martini. J' ai appris également par vos livres qui était Donicarde, j'ai tant chercher sans le trouver et voila que je le trouve en vous lisant Carde Dona et qui fait Donicarde, merci

Monsieur Autran. Je possède deux volumes de vos livre mais quand j' ai voulu me procurer les autres, lorsque je viens à la Seyne en vacances, on m' a dit il y en a plus c' est épuisé heureusement internet est là.

Veuillez agréer mes respectueuses salutations

Mme CVP

R1.

Bonjour,

Merci pour votre message, que j'ai transmis à mon père, Marius Autran (l'auteur du chapitre sur l'Histoire de l'Ecole Curie), qui vous en remercie.

Mon père (95 ans !) se souvient très bien de M. Vinotti, mais ne se souvient pas de celui que vous citez et que l'on appelait "pita-pita".

Concernant les anciens professeurs et institutrices, je peux vous dire que Mesdames Todeschini, Guieu et Azan sont malheureusement décédées, il y a déjà plusieurs années (vers 1996 - 2000). Seule de celles que vous citez, Madame Ravestein serait encore probablement vivante, bien que mon père n'en ait plus de nouvelles depuis quelque temps.

Concernant les livres de mon père, 7 sur 10 sont effectivement épuisés en librairie. Il reste cependant quelques exemplaires des 3 tomes suivants, que je peux vous faire parvenir :

- tome VII (paru en 1999) : 18 euros (+ 3 euros de port).
- tome VIII (paru en 2001) : 18 euros (+ 3 euros de port).
- histoire de La Philharmonique "La Seynoise" (paru en 1984) : 15 euros (+ 3 euros de port).

Dites-moi s'ils vous intéressent (voir leur contenu sur le site internet : http://jcautran.free.fr)

Cordialement

Jean-Claude Autran

Q2.

Merci de votre reponse, veuillez m' excuser   pour les fautes, mais ce papier comme par hasard ne prend pas pas certaines lettres et accents. Dont je suis partante, pour que vous m 'envoyez le tome VII le tome VIII et l'histoire de la philarmonique "La seynoise" paru en 1984 (...).

Merci par avance. Celui que l' on appelait "pita pita" devait habiter dans la rue Berny, dans un bar restaurant pres de la librairie Pons, ce bar devait s' appelait Vinard ou Agop et pita pita avait un peu l' allure d' un clochard. Quant a Vinoti

J' etais voisine de jardin avec son frere Vinoti Joseph et toute la famille Bonnaud, legier, Ramonda, Sebastiani et tout debut Cavalo la maman de mesdame Vinoti et Ramonda, cela remonte tres loing, tous ces gens ont berce mon enfance et mon adolescence ensuite la fille legier s'est marie avec un Yves Razzanti et la fille Sebastiani avec un Joseph Guerard et j'ai connu leur fils et leur petit enfants, cela ne me rajeuni pas. Votre papa avec son grand age a du connaitre tous ce monde et d' autre encore, la liste serait longue, j' en ais garde de tres bons souvenirs des mauvais aussi, mais je me souviens que des bons.  Respectueusement.

CVP

R2.

Bonjour,

Merci pour votre dernier message et vos autres souvenirs d'enfance qui, à moi aussi, ravivent certains souvenirs de notre vieille Seyne.

Je peux donc vous fournir les 3 derniers ouvrages disponibles de mon père.

(...) Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q3a.

Re Bonjour Monsieur Autran. (...) Je pense recevoir ces volumes d' ici demain ou lundi ou mardi. En fin de semaine prochaine, je descendrai à la Seyne. Si cela ne vous dérange pas de me faire un email et me dire si je peu encore trouver un livre sur les bateaux les pionniés, se sont des peintures de ces bateaux, peut-etre aux archives de la villa Tamaris ? Merci par avance. Mes salutations.

CVP

Q3b.

Merci, grand merci, ce matin même les trois tomes étaient dans ma boite aux lettres. Je vais me délecter en les lisant, je les ais déjà feuilleté. Mon Dieu ma Seyne ma chère Seyne elle sera toujours dans mon coeur. J'espere que nous y retournerons en vacances quelques jours (...), une vue sur la mer magnifique, coté Sablettes et sur Toulon à l' infinie, voyant passer les gros paquebots pour la Corse et les voyant revenir. (...). Un grand merci pour vos dédicaces elles m' ont profondément touchés. Félicitations pour le grand âge de votre papa et je lui souhaite encore de nombreuses années et un grand merci à lui pour ces très beaux livres qu' il a écrit et a fait revivre la Seyne. Mon père disait il n y a rien de plus beau que la Seyne, C'était un ouvrier des chantiers, sa porte d'entrée était aux turbines les Mouisseques.

Encore mille fois merci. Mes salutations.

CVP


 

14-16 novembre 2005 : Classes de premier cycle au Lycée Beaussier ?

Q.

Salut Fox,

(...) ma femme (...) au sujet du lycée Beaussier. Elle me certifie que ce lycée n'a jamais accueilli les classes de premier cycle (6° à 3°) et le terme de Lycée semblerait attester sa théorie.

Moi, il me semble bien que ces classes étaient bien présentes, au début des années 60.

Ce n'est pas une question de vie ou de mort, il n'y a même pas une bouteille de champagne en jeu, mais je compte sur toi pour obtenir une réponse rapide. Mon "Elsenmeir" en dépend !

(...) Adessias.

Pif.

R.

Salut Pif,

(...) Concernant Beaussier, je suis, comme toi, certain que - bien qu'ayant à ses débuts l'appellation de "Lycée d'Etat" ou de "Lycée Mixte" - il avait accueilli pendant une courte période (à partir de janvier ou février 1960) les classes du "cycle d'observation : 6° et 5°, devenues mixtes à partir de ce jour. Mais je ne suis pas certain qu'on y avait immédiatement amené les 4° et 3° de Curie car la situation avait été très confuse entre le déménagement des garçons de Martini vers Beaussier en cours d'année et la création du "cycle d'observation" : 6° et 5° mixtes, en application du décret de juin 1959.

A ses débuts, Beaussier avait une capacité d'accueil suffisante et le transfert des 6° et 5° de Curie vers Beaussier avait dû permettre de soulager le Collège Curie qui commençait à être à l'étroit puisqu'il accueillait jusque là : primaire + premier cycle + classes de technique.

Quelles preuves ai-je de cela ?

1) Pendant une courte période, ma mère avait enseigné à Beaussier (or, elle n'a jamais enseigné au dessus des 6°, ou parfois 5°, mais en aucun cas à des classes de lycée). Je me souviens que nous avions déménagé de Staline vers Châteaubanne en décembre 61 (pendant ma seconde année de terminale) et que mon père nous descendait souvent le matin, avec la 403, ma mère et moi, à Beaussier. J'ai aussi le souvenir que ma mère s'était inquiétée de mes résultats scolaires auprès de certains de mes profs de math élém (Seiss, par exemple) qu'elle avait rencontrés dans les couloirs de Beaussier). Mon père aussi enseignait aux 6e (qui apparaissent mixtes d'après les noms et prénoms de ses élèves dans les cahiers de notes) à Beaussier. J'en suis certain car, quand mon grand-père est mort en mars 62, j'étais allé à Beaussier prévenir Ch. Garceries que mon père ne pourrait pas assurer ses cours aux 6e.

2) Dans l'histoire de Martini de mon père, on trouve bien, page 390 [ou sur le chapitre internet], le texte suivant : « Après l'ouverture du Lycée, les installations suffisaient pour accueillir les élèves garçons et filles des collèges Martini et Curie. On put y faire fonctionner le cycle d'observation - classes de 6e et 5e - mais elles n'étaient pas conçues pour recevoir les élèves de l'enseignement technique, et surtout pas les ateliers. Il en résulta une situation confuse. Puis, le cycle d'observation fut relogé au Collège Curie, après la dispersion des classes primaires qui en occupaient les locaux, dans les écoles de quartiers (Tortel, Jules-Verne et Ernest-Renan). »

Cette situation avait dû durer jusque vers 1963 (jusque vers la création des C.E.S. par le décret d'août 1963). Et mon père (et ma mère) étaient alors allés enseigner à Curie pendant leurs 2 ou 3 dernières années de carrière. C'est à Curie que mon père a pris sa retraite en 1966.

3) On trouve aussi des textes mentionnant le passage provisoire du "cycle d'observation" à Beaussier, dans le Tome IV de mon père "Les lointaines origines de l'Ecole Curie" : « Depuis 1961, le Lycée classique moderne et technique Beaussier fonctionnait, englobant toutes les divisions depuis le cycle d'observation jusqu'aux classes terminales, ce qui créa la plus grande confusion surtout quand on voulut y ajouter les sections de l'enseignement technique. Toutes les instances locales et départementales de l'enseignement se réunirent pour clarifier cette situation des plus équivoques. Il fut décidé que toutes les classes de 6e et 5e, c'est-à-dire le cycle d'observation, seraient groupées à l'École Curie. La cohabitation de l'enseignement secondaire avec le primaire n'étant guère souhaitable, il fallut disperser les effectifs de ce dernier dans des écoles de quartier que la municipalité avait fait construire hâtivement (Jules Verne et Ernest Renan) et aussi dans la vieille École Martini dont on envisageait la destruction en raison de sa vétusté. L'enseignement primaire disparut donc tout à fait de l'École Curie. Nous étions en 1963. »

C'est dommage que tu n'aies pas parié une (ou plusieurs bouteilles de champagne), car je suis certain que tu aurais gagné le pari.

(...) à très bientôt.

Foxiie


 

6-8 octobre 2005 : Classe des "anormaux" à Martini

Q1.

Salut Fox,

(...) Aurais-tu quelques renseignements sur cette classe que nous appelions élégamment "classe des anormaux" et qui séjournait dans un des locaux de la cour Nord du collège Martini ? Son maître, perpétuellement vêtu d'une blouse blanche, portait des lunettes épaisses. Il était frisé mais une calvitie sournoise avait métamorphosé son crâne en y installant un mouchodrome luisant. Il promenait souvent dans les rues de La Seyne avec sa bande de "djédjés" qui lui obéissaient au doigt et à l'oeil.

J'ai longtemps utilisé le bâtiment situé dans le coin Nord-est de cette cour. C'était le local de ma troupe des éclaireurs de France. La pissotière de la dîme jouxtait encore l'église.

Je n'ai pas trouvé trace de notre école Ernest Renan, sur la liste des écoles de La Seyne reproduite sur ton site. Il n'y a que la nouvelle école édifiée en deux tranches, sur l'avenue de la commune de Paris.

(...) Adessias.

SM

R1.

Salut Serge ! Et bonne fête (puisque ma page wanadoo m'a annoncé que c'était aujourd'hui la Saint Serge),

Je ne sais pas si j'aurai le temps ce soir de répondre à toutes tes questions, mais je vais au moins commencer.

- (...)

- la « classe des anormaux », je m'en souviens bien. Officiellement, c'était une classe de perfectionnement. Mais je ne sais pas grand chose sur la classe elle-même, je ne sais pas sur la base de quels critères objectifs on y affectait les élèves. Je sait seulement qu'elle a été sous la responsabilité d'un instituteur, Florentin Alziary, pendant ses dernières années de carrière (il a pris sa retraite en 1954 - je l'ai aperçu seulement une année puisque je n'ai fait, au primaire de Martini, qu'une année de CM2, chez B. Bottero, en 1953-54). Je pense que c'est bien Alziary à qui tu fais allusion dans ta description (je crois me souvenir qu'il avait lui-même un handicap, d'après sa démarche). D'ailleurs, Alziary, qui fut un important militant syndicaliste, a fait l'objet d'une fiche rédigée par Jacques Girault, que tu peux trouver sur mon site, dans le Dictionnaire du Mouvement Ouvrier, à l'adresse :

http://jcautran.free.fr/fiches_mouvement_ouvrier/A/alziary_florentin.html

- quant à notre école Ernest Renan, je ne vois pas à quelle liste d'écoles tu fais allusion (je finis par me perdre dans mon site). Je sais qu'on en parle dans les annexes de l'Histoire de Martini, ainsi que dans l'Encyclopédie des rues, à la lettre R : http://jcautran.free.fr/rues/lexique_rues_r.html. Dans les deux cas, il est question du Groupe Scolaire actuel, mais en rappelant brièvement les structures précédentes : patronage laïque, puis notre école de la rue Renan. Alors je ne sais pas de quelle liste d'écoles tu parles. Tu me le diras à mon prochain passage. (...).

Claudet

Q2.

Salut Claudet,

Juste un mot pour te signaler où je n'ai pas trouvé "notre école Ernest Renan.

C'est dans le glossaire historique de La Seyne : Enseignement - Chronologie de la naissance des écoles de la Seyne. (...)

Adessias.

Serge


 

13-16 août 2005 : Anciennes de Curie

Q1a.

Bonjour

J'ai vu arlette luquet que je crois avoir connu en cinquieme.je recherche les anciennes de curie.il y avait une association.merci de pouvoir me renseigner.

DC (mariée, DQ)

Q1b.

Bonjour

Je pense me souvenir de Arlette luquet en cinquième année 14 ou 15 ans j'avais redouble, je venais du certificat d'étude chez madame Manzani.

je recherche aussi l'association des anciennes de curie avec Internet

Maintenant je pourrai communiquer.

DC (mariée, DQ)

R1.

Bonjour,

J'ai bien reçu vos messages, mais je crains de ne pas pouvoir beaucoup vous aider.

Il y a bien eu une association des anciennes de Curie, dans les années 80, mais qui n'a pas fonctionné longtemps. C'était alors Madame Wendling qui s'en occupait.

Mais aujourd'hui, à ma connaissance, il ne semble plus rien exister comme structure ou association permettant aux anciennes de Curie de se retrouver (contrairement aux anciens de Martini, dont l'Association fonctionne toujours).

Vous pouvez peut-être encore contacter Madame Wendling. Peut-être a-t-elle conservé quelques archives sur les anciennes élèves, ou quelques idées pour savoir comment s'y prendre pour retrouver d'anciennes camarades de Curie.

Wendling Rose-Marie (...)

Désolé de ne pas pouvoir vous aider davantage.

Je recherche aussi Arlette Luquet dont j'ai perdu la trace. Si vous l'avez vue récemment, merci de m'indiquer où je pourrais la joindre aujourd'hui.

Cordialement,

Jean-Claude Autran (fils de Marius et de Louise Autran)

Q2.

Bonjour monsieur,

C'est très gentil de m'avoir répondu, au sujet de curie ce n'est pas très important, j'ai des photos quand j'étais jeune. j'ai eu une professeur de science naturelle m' autran.

Mais mon marie a fait l'école martini, et lui n'a aucune photo, donc j'ai un cousin qui habite aux sablettes qui nous en a envoye une qui a paru sur Nice matin.nous l'avons scanne ; c'est la seule qu'il a de son enfance, sa maison avait ete bombarde pendant la guerre de 40.

S'il y a une association il doit y avoir des photos, parait-il que d'autre ont etaient sur les journaux, mais ce cousin est gravement malade, je ne peu pas l'ennuyé plus.

Il y a beaucoup de cousins que nous ne connaissons plus, meme pas les nons de familles.nous avions 21 et 26 ans, quand nous avons quitte la seyne.mes parents sont décèdes en 98 et 2002.ils habitaient près de martini.mes beaux parents aussi, le seul beau frère nous l'avons fait venir ici a porte les valence pour le travail en 86.

Donc si vous pouviez me donner les coordonnes de l'association je vous remercie.

mes salutations distinguees.

DC

R2.

Bonjour,

Dans ma réponse du 16 août, je vous ai dit qu'il y avait bien eu une association des anciennes de Curie, dans les années 80, mais qui n'a pas fonctionné longtemps. C'était alors Madame Wendling qui s'en occupait.

Aujourd'hui, il ne semble plus rien exister comme structure ou association permettant aux anciennes de Curie de se retrouver. Mais je vous recommande de contacter Madame Wendling qui a peut-être conservé quelques archives sur les anciennes élèves, ou quelques idées pour savoir comment s'y prendre pour retrouver d'anciennes camarades de Curie (...).

Désolé de ne pas en savoir davantage.

Cordialement,

JCA

Q3.

Bonjour,

J'ai très bien compris pour curie, mais c'est de martini pour mon marie que je vous demandai l'association.je m'excuse de vous importuner ainsi, je pensai que vous aviez l'ai d'etre au courant.encore milles excuses et merci pour votre site.une ancienne seynoise et maintenant d'etoile s/rhone valence sud.

Salutations distinguees.

DC


 

26 juillet - 29 août 2005 : Gymnastique corrective

Q1.

Monsieur,

J'effectue actuellement une recherche en thèse sur l'éducation physique aux enfants débiles. Je recherche des informations sur le centre de gymnastique corrective de la Seyne.

Pouvez-vous me communiquer des informations sur cette structure (photos, directives pédagogiques...)

Dans l'attente de votre réponse, je vous prie de croire, Monsieur, en l'expression de mes sentiments les meilleurs.

PB

R1.

Bonjour,

Désolé pour le retard à vous répondre.

J'imagine que vous avez dû retrouver un texte que mon père (Marius Autran) avait écrit en 1982 sur le Centre Municipal d'Education Physique Spécialisée, texte qui faisait partie d'un livre sur l'Histoire de l'Enseignement à La Seyne-sur-Mer. Ce texte a été mis sur Internet, à l'adresse :

http://jcautran.free.fr/oeuvres/martini/para_et_peri_scolaire.html#5

Mon père a maintenant 95 ans et, depuis qu'il a écrit ce texte, il n'a plus suivi l'évolution du Centre de gymnastique corrective. Et comme il n'a plus d'activités municipales depuis 1977, il ne sait rien de plus sur cette structure ; et je ne peux guère vous communiquer que des documents très anciens que j'ai retrouvés dans ses archives.

Ci-jointes, quelques copies de pages de Bulletins municipaux des années 1954, 1962 et 1963 qui mentionnent la création (1948) et le développement de ce Centre.

A partir des années 1980, avec les multiples changements de municipalités que la ville a connus, je ne sais pas ce que ce Centre est devenu. Pour avoir des informations récentes, il faudrait sans doute s'adresser aux responsables actuels de la mairie de La Seyne :

Hôtel de Ville
Quai Saturnin Fabre
Tél. 04 94 06 95 00

C'est malheureusement tout ce que je peux vous communiquer.

Cordialement,

JCA (fils de Marius Autran)

Q2.

Monsieur,

J'ai bien reçu les documents concernant le CRP de Seyne, toutefois, je ne peux pas ouvrir les pièces jointes 1963 (8,2ko); 1962 (7,83ko) et 1954a (8,35 ko).

Merci pour ces pièces

Cordialement

PB

R2.

Bonjour,

Les 4 pièces jointes sont des images au format .jpg et ont chacune, au départ, entre 416 et 476 Ko.

Je refais un nouvel essai d'envoi de ces 4 images. Je ne comprends pas l'origine du problème de réception.

Cordialement,

JCA


 

21-22 mai 2005 : Souvenir de M. et Mme Cagnon, professeurs d'éducation physique

Q1.

Bonjour Monsieur,

Je viens de découvrir votre site personnel sur lequel se trouvent de nombreux membres de ma famille qui ont partagé votre parcours scolaire.

Mon grand-père, Monsieur Cagnon (professeur de sport sur la photo) est décédé il y a deux ans à l'âge de 98 ans! Sa femme, Madeleine Cagnon (également ancien professeur de sport) a aujourd'hui 96 ans et vit dans une maison de retraite de La seyne. Yvonne Cagnon est ma mère. Pierre Cagnon et André Cagnon sont mes oncles, et Gisèle Jouvenceau ma tante (femme d'André Cagnon). Peut-être les avez vous côtoyés de près? Je ne sais pas si ces noms évoquent des souvenirs précis pour vous.

Je vais très rapidement leur faire part de votre site qu'ils seront probablement ravis de consulter, et qui leur permettra certainement de se remémorer de bons souvenirs. Je vous remercie donc pour le travail que vous avez fait.

AK

R1.

Bonjour,

Merci beaucoup pour votre message.

Tous les noms que vous citez évoquent pour moi des souvenirs précis. J'ai, en effet, bien connus vos grands-parents qui étaient enseignants et de la même génération que mes parents, et je me souviens bien qu'ils avaient 3 enfants. J'ai eu votre grand-père Monsieur Cagnon (j'ai oublié son prénom) comme professeur d'éducation physique pendant plusieurs années à Martini, puis à Beaussier. Mon père, qui enseignait à la même époque, l'avait évidemment très bien connu. Ma mère, qui enseignait les mathématiques au collège Curie pendant une grand partie de sa carrière, avait aussi naturellement bien connu votre grand-mère qui y enseignait l'éducation physique. Et vos grands parents avaient dirigé pendant plusieurs étés (fin des années 50) une colonie de vacances de la ville de La Seyne dans l'Ardèche (je crois que c'était à Antraigues ?), et, mon père, qui avait aussi des fonction municipales, les rencontrait chaque été lorsqu'il "inspectait" toutes les colonies. Votre mère et vos oncles doivent bien s'en souvenir puisqu'il devaient aussi passer plus ou moins leurs étés dans cette même colonie.

J'ai un lointain souvenir de votre mère et de vos oncles, ainsi que de Gisèle Jouvenceau, mais je ne les avais pas côtoyés de près. D'après les cahiers de notes de mon père, André Cagnon avait été parmi ses élèves de 6e en 1952-1953, et Pierre Cagnon, en 1959-1960. [j'étais en 6e en 1954-55, donc entre les deux, et nous n'avons donc jamais été dans les mêmes classes]. Il est possible aussi que ma mère ait eu votre mère comme élève au collège Curie, mais je n'en suis pas certain car ma mère n'avait pas conservé d'archives.

Je savais que votre grand-père était malheureusement décédé il y a deux ans, et que votre grand-mère était dans une maison de retraite. De mon côté, mon père vit toujours, et il aura 95 ans à la fin de l'année. Il se déplace maintenant avec beaucoup de difficulté, mais il a conservé toute sa tête et il est encore fréquemment consulté par de nombreux visiteurs et journalistes comme "mémoire vivante de La Seyne". Mais ma mère est décédée à 84 ans en 1996.

Merci de transmettre mon amitié et ces quelques nouvelles à votre mère et à vos oncles. Je ne sais pas si certains d'entre eux habitent encore à La Seyne. En ce qui me concerne, j'ai été absent du pays pendant environ 40 ans en raison de mes études et de ma vie professionnelle. Mais je suis de retour à La Seyne depuis quelques mois seulement, sitôt que j'ai été à la retraite. Voici mes nouvelles coordonnées : (...)

Sait-on jamais, peut-être aurai-je l'occasion de revoir l'un ou l'autre des membres de votre famille.

Cordialement,

JCA

NB. L'envoi de cette réponse a fait l'objet d'un message d'erreur (Undelivered Mail Returned to Sender), l'auteur de la question (AK) ayant peut-être changé d'adresse e-mail entre temps. Peut-être découvrira-t-elle un jour la réponse qui lui était destinée sur ce « forum ».


 

11 avril 2005 - 6 juin 2010 : Souvenir de M. Seiss, Professeur de mathématiques

Q1.

Bonjour,

En réalisant des recherches sur Internet, qui m'ont dirigé sur le site Internet jcautran.free.fr, je viens de découvrir que vous avez eu mon oncle, Julien Seiss, comme professeur de mathématiques de 1960 à 1962.

Je lui en ai parlé, ce qui lui a rappelé de bons souvenirs.

Il souhaiterait vous appeler.

Pouvez vous me confirmer votre numéro de téléphone (...).

Merci par avance.

JCS

R1.

Bonjour,

Merci pour votre message. J'ai eu effectivement Monsieur Seiss comme professeur de mathématiques entre 1960 et 1962. J'en garde un très bon souvenir, c'était un excellent enseignant - je lui dois beaucoup dans l'affinité que j'avais développée pour les mathématiques, élémentaires, puis supérieures - et en même temps un homme très discret. Je n'ai jamais rien su de sa vie personnelle et j'ignorais jusqu'à son prénom de Julien.

Je serais très heureux, et très ému, de converser avec lui s'il voulait bien m'appeler.

Le numéro que vous aviez est mon ancien numéro professionnel de l'INRA de Montpellier. Car je suis maintenant à la retraite depuis juin 2004, et je suis retourné habiter à mon point de départ, La Seyne-sur-Mer.

Les numéros auxquels je suis joignable sont (...).

Merci encore pour ce message qui me touche beaucoup, et merci de transmettre mon meilleur souvenir à votre oncle.

Cordialement,

JCA

Q2.

Bonjour,

Merci beaucoup pour votre réponse.

J'ai lu ce message par téléphone à mon oncle (car il n'a pas ce merveilleux outil d'Internet) qui réside au Crès dans la banlieue de Montpellier.

Il a été très touché et va vous appeler.

Cordialement,

JCS

R2. (13 avril 2005)

Conversation téléphonique de 25 min avec Monsieur Seiss.

JCA

Q3. (3 juin 2010)

Message que je reçois par erreur : « Bonjour Madame, je reviens vers vous pour connaître l'état d'avancement du dossier de la vente de la maison du 10 rue Ronsard au Crès (...) »

JCS

R3.

Bonjour Monsieur,

J’ai été destinataire d’une copie du message ci-dessous qui semble concerner la maison de mon ancien professeur de mathématiques à La Seyne-sur-Mer, M. Julien Seiss.

Vous aviez eu l’amabilité de me mettre en contact avec lui il y a plusieurs années et j’avais pu avoir une longue conversation téléphonique avec lui. Mais je n’ai plus eu de contact ensuite.

Si cela n’est pas confidentiel, pourriez-vous m’indiquer ce qu’est devenu M. Julein Seiss. La lecture d’un message relatif à la vente de sa maison m’a donné des inquiétudes.

Je vous en remercie par avance.

Cordialement,

Jean-Claude Autran

Q4.

Désolé pour l'erreur du message.

J'ai le regret de vous annoncer très tardivement le décès de mon oncle intervenu le 22 avril 2009 à la clinique de Bédarieux de mort naturelle.

Son état d'épuisement, vu sa maladie, s'était aggravé à partir de janvier 2009. Il avait 87 ans (né le 3 octobre 1921).

JCS

R4.

Bonsoir,

Merci pour votre réponse. Hélas, votre oncle est décédé ; c'est malheureusement l'information que je craignais.

J'avais eu avec lui une longue conversation au téléphone, il y a environ 5 ans. J'avais alors appris qu'il habitait Le Crès depuis qu'il avait quitté La Seyne. Et c'est un quartier où j'étais passé plusieurs fois (au cours des 27 ans que j'avais passés à Montpellier) car l'un de mes plus proches collègues de travail habitait précisément la rue voisine de la sienne. Mais
je l'ignorais !

Votre oncle m'avait alors invité à venir lui dire bonjour à l'occasion d'un de mes passages à Montpellier. Mais, tout en pensant à lui régulièrement, je n'ai jamais pris le temps de venir le saluer. Je le regrette aujourd'hui, maintenant qu'il est trop tard.

Bien cordialement à vous,

Jean-Claude Autran


 

1er mars 2005 : Mémoire sur Le temps récréatif

Q1.

Monsieur,

En licences 3 Sciences de l'Education à Rennes 2, j'effectue un mémoire sur le temps récréatif. En dehors du mot semelles, dont j'ai retrouvé l'origine dans votre lexique, y aurait il d'autres mots se rapportant aux mots : cour, récréation. Merci de votre compréhension.

VLC

R1.

Bonjour,

Vous pouvez peut-être trouver d'autres termes dans certains chapitres de l'Histoire de l'Ecole Martin à La Seyne-sur-Mer, écrit par mon père, et notamment au paragraphe Récréations du chapitre 6 :

http ://perso.wanadoo.fr/marius.autran/oeuvres/martini/chapitre_6.html#4

On y trouve les termes de sèbe, semelles, bordufle, etc.

Mais notre lexique provençal contient aussi quelques autres mots (employés autrefois par ici) relatifs aux cours de récréation :

Bourrine (voir le lexique à la lettre b) http ://perso.wanadoo.fr/marius.autran/provencal/lexique_b.html

Batti lou bateou (idem, lettre b du lexique ; voir aussi une description plus détaillée du jeu dans le forum du site :

http ://perso.wanadoo.fr/marius.autran/forum/lexique_provencal.html [voir en bas de la page : question du 27 mars 2004]

C'est tout ce qui me revient pour l'instant. Si j'en retrouve d'autres, je vous les communiquerai [mais ces termes sont spécifiquement provençaux et sans doute très éloignés de ceux usités à Rennes...]

Cordialement,

JCA

Q2.

Bonjour,

Sincèrement merci pour vos informations.

A bientôt

VLC


 

9 novembre 2004 : Rentrées scolaires des années 1979 et 1980

Q1.

Bonjour,

Je suis à la recherche des dates des rentrées scolaires pour les années 1979 et 1980. Je suis tombé sur votre site en les recherchant sur un moteur de recherche.

Les avez-vous ? Si oui, pouvez-vous me les communiquer ?

Merci,

OM

R.

Bonjour,

Je n'ai pas conservé de document officiel mentionnant ces dates de rentrée, et je ne sais plus s'il y avait à l'époque des dates de rentrée différentes pour les différentes académies.

Toutefois, dans de vieux agendas personnels, j'avais noté pour mes enfants (qui étaient alors à l'école dans l'Académie de Montpellier) les quelques dates suivantes :

Pour la rentrée des classes de 1979 : le jeudi 13 septembre 1979.
Fin des vacances de Noël 1979-1980 : rentrée le jeudi 3 janvier 1980.
Rentrée des classes de 1980 : lundi 29 septembre 1980.
Fin des vacances de Noël 1980-1981 : rentrée le lundi 5 janvier 1981.

C'est tout ce que j'ai pu trouver.

Cordialement,

JCA


 

2 novembre 2004 - 9 mai 2005 : Mémoire d'écoles

Q1.

Bonjour.

Nous sommes chargés, dans le cadre de la création d'une banque de données pour le conseil général du var, de recueillir des informations concernant les écoles sur Toulon et La Seyne.

Le but de cette collecte d'informations est de réaliser un livre et un documentaire. Nous souhaiterions vous rencontrer, afin de vous préciser comment nous allons mettre ce projet en place, et éventuellement profiter de votre grande culture sur le sujet.

Nous avons visité votre site et avons été impressionné par la grande qualité des recherches que nous y avons perçu.

Merci de nous répondre et de nous fixer un rendez-vous par l'intermédiaire de cette adresse (...)

Courtoisement,

FH

R1.

Bonjour,

(...) Mon père connaît très bien l'histoire des écoles de La Seyne où il a enseigné de 1938 à 1966, et dont il s'est occupé au cours de ses différents mandats d'adjoint au maire, notamment comme président de la Caisse des Ecoles de 1950 à 1977.

Après l'avoir contacté, je peux donc vous répondre qu'il est prêt à vous recevoir à la date que vous voudrez. Je vous prie cependant de l'appeler pour lui proposer une date de rendez-vous au 04 94 94 81 37. Son adresse est 279 chemin du Vieux Reynier (quartier Châteaubanne), à La Seyne.

Restant à votre disposition

Cordialement

JCA

Q2.

Merci de votre réponse, et de l'intérêt que vous avez porté à notre message. J'imagine que votre père doit être très sollicité.

Je me permettrai donc de lui téléphoner très rapidement de votre part.

Pensez-vous vous qu'il serait d'accord pour apparaître dans le reportage vidéo que nous devons aussi réaliser ?

Merci encore de votre gentillesse,

Courtoisement,

FH

R2.

Bonjour,

Oui, je pense que mon père acceptera de figurer dans le reportage vidéo. On l'a déjà filmé assez souvent à propos de ses ouvrages sur l'histoire de La Seyne et encore récemment sur l'histoire des chantiers.

Cordialement,

JCA

Q3.

Bonjour,

Nous nous sommes déja parlé au téléphone, il y a queques mois. Nous avons rencontré votre père dans le cadre du projet "mémoires d'écoles".

Suite à l'entrevue que nous avons eu avec lui, et pour illustrer le livre que nous sommes en train de maquetter, nous avons besoin de prendre quelques images, tirées du site que vous maintenez, notamment l'image de la classe où votre père est enfant.

Il est bien évident que ce site sera mentionné, avec l'adresse exacte de l'url.

Merci de bien vouloir nous y autoriser en répondant simplement à ce mail.

Très courtoisement,

à bientôt,

SP, ou FH

R3.

Il n'y a naturellement aucun problème à ce que vous utilisiez quelques images tirées du site, en mentionnant leur origine.

Bravo pour le travail que vous faites,

Cordialement,

JCA


 

5-12 juin 2004 : Souvenirs de l'école de la rue Messine (1)

C.

Salut Claudet,

Je te remercie, et suis très touché, par ton souvenir de ma mère qui était une camarade de classe, dans la rue Messine, de madame Superchi et de madame Merle. Je sais qu'elle connaissait également ta maman, peut être également à cette époque. Elle avait été reçue au Brevet supérieur, ce qui devait correspondre à notre bac à nous plus probablement qu'au BEPC et qui donnait la possibilité d'intégrer l'école normale, si mes souvenirs sont justes.

Mon grand-père, en bon italien, estimait que la place d'une femme était dans la maison et ne l'a pas autorisé à continuer. Par contre il n'a vu aucun inconvénient à ce qu'elle continue ses cours de piano au conservatoire de Toulon avec le professeur Escofier. Elle en est sortie avec un prix d'excellence qui aurait pu lui ouvrir la porte pour un professorat ou pour des leçons à domicile, mais le devoir d'une femme était de s'occuper de la maison et de sa future famille... (...).

Amitiés à toute ta famille.

Serge

R.

Bonjour Serge,

Merci pour ton dernier message. Je ne connaissais pas (ou j'avais complètement oublié) tous ces détails sur le parcours scolaire de ta maman notamment à la rue Messine où se trouvait aussi ma mère vers 1925-1928. Par contre, je me souviens de ses aptitudes au piano (et aussi des leçons de violon, en ce qui te concerne).

Je ne savais pas non plus que madame Superchi et madame Merle avaient aussi fréquenté l'école de la rue Messine. Ainsi tes parents connaissaient bien tous les enseignants d'Ernest Renan puisque je crois qu'ils avaient de bonne relation avec M. et Mme Robert. Mais le monde (de La Seyne) était petit à l'époque et dans notre quartier tout le monde se connaissait.

Amitiés,

Jean-Claude


 

8-10 mars 2004 : Souvenirs de l'école Curie

Q.

Bonjour

Le site Internet que vous avez mis en ligne est fabuleux. Je m'y promène souvent et j'ai plaisir à lire les pages d'histoire, la vie, les quartiers de cette ville qui m'a vu grandir et où j'ai fait toute ma scolarité (surtout Curie et Beaussier) et qui rassemble une bonne partie de mes ancêtres. Je commence la généalogie de ma famille et je remonte jusqu'en 1791 du coté de mon père et de ma mère toujours à La Seyne sur mer. Merci de mettre à notre disposition ces pans entiers de votre mémoire.

Je voulais vous signaler que dans votre Tome IV (les lointaines origines de l'école Curie) il existe une photo datant du 23 avril 1941 et représentant la classe de Mme Hachette qui était professeur de mathématiques. Sur cette photo j'ai retrouvé ma mère, MLB. Elle est au dernier rang en 3ième position en partant de la gauche. Je me suis permise de la lui faire parvenir afin de pouvoir identifier d'autres personnes.

Merci encore.

Sincèrement.

MRP

R.

Bonjour,

Merci pour votre sympathique message relatif au site internet : http://jcautran.free.fr

Je m'appelle Jean-Claude Autran, fils de Marius Autran, et c'est moi qui, en fait, assure la correspondance du site internet de mon père, ce dernier étant maintenant très âgé (plus de 93 ans).

Merci pour l'information que vous nous donnez sur la photo de l'école Curie de 1941 et merci de demander à votre mère d'essayer d'identifier un maximum de noms sur cette photo. Si vous voulez bien ensuite me les communiquer, je pourrai les rajouter dans la légende de la photo (comme je le fais sur chacune des photos de classes lorsque que quelqu'un m'aide à compléter les noms manquants). Cela aide un peu à sauvegarder le patrimoine local.

Je suis tenté de penser que votre mère est Madame Ravezie, ancienne institutrice à l'Ecole Primaire Martini, à l'époque de Mmes Mouche, Clerc, Paul, Stéphan, Giloux, etc., et dont le nom est cité au chapitre 8 de l'Histoire de l'Ecole Martini écrite par mon père (J'étais au CM2 de M. Bottéro à cette époque). Merci de me le confirmer.

Bon courage pour votre généalogie. J'ai aussi beaucoup travaillé à celle de ma famille, notamment aux archives de l'état-civil à la villa Tamaris-Pacha. J'ai mis ensuite mon arbre généalogique sur internet (http://gw.geneanet.org/index.php3?b=jcautran). Je peux vous aider si vous avez l'intention de faire de même.

A bientôt sans doute, je suis heureux d'avoir fait votre connaissance.

JCA


 

24 novembre 2003 : Ecole Jules Vallès

Q1.

bonjour monsieur bravo pour votre site qui est une veritable mine d'or je recherche des photo de l'ecole jule valles de 1960 a 1970 si vous pouvais me rendre se sevice cela me ferait plaisire de revoir mon ecole merci d'avance a bientot peut etre

MP

R.

Bonjour,

(...) Concernant l'école Jules Vallès, j'ai eu quelques difficultés à retrouver des photos car les ouvrages de mon père n'en comportaient pas. Je crois cependant en avoir retrouvé une dans un Bulletin municipal de l'année 1965, qui montre les préfabriqués de cette école qui s'appelait encore école de La Rouve (la dénomination Jules Vallès n'a dû être proposée que vers 1973). Je vous adresse cette photo en fichier attaché ecole_la_rouve_1965.jpg. J'espère que, malgré la qualité médiocre de la photo, cela correspond un peu à ce que vous attendiez.

Ancienne école de La Rouve, vers 1965
A noter que texte de mon père dans lequel cette photo est reproduite se trouve depuis peu dans le répertoire "Bulletins municipaux" que j'ai récemment rajouté à notre site internet, à l'adresse :
http ://perso.wanadoo.fr/marius.autran/documents_divers/bulletins_municipaux/bulletins_municipaux.html#12/65

Si je retrouve un jour dans les archives de mon père d'autres photos de cette école, je ne manquerai de vous les faire parvenir.

JCA

Q2.

bonjour m autran et merci beaucoup j'ai fait un bond de 40 ans en arrière et je n'ai pas put m'empêché de pleurais en regardant c'ette photo encor merci et a bientot

MP


 

27 octobre 2003 : Recherche de Directeur d'Ecole

Q.

Cher Monsieur,

Je suis a la recherche de mon maître d'école, Monsieur Cabantous. Celui ci figure, à juste titre, dans la liste des directeurs de l'école Thorez (années 80).

Auriez vous la gentillesse de m'aider dans mes recherches.

Je sais qu'il devait s'agir de l'une de ses dernières affectations, et que Madame, également institutrice, se prénommait Denise.

D'avance merci.

LZ

R.

Bonjour,

Bien reçu votre message. (...) Mon père avait, en effet, bien écrit, il y a près de 25 ans, l'histoire de L'enseignement à La Seyne, dans laquelle il était mentionné le nom de M. Cabantous, que vous recherchez, comme directeur de l'Ecole Maurice Thorez (devenue aujourd'hui le "groupe scolaire Malraux-Giono").

Mon père, à qui je viens de transmettre votre question, ne se souvient que vaguement de M. Cabantous, vers la fin des années 70 ou du début des années 80, époque où il a dû prendre sa retraite. Mais, depuis cette époque, mon père n'a plus eu de ses nouvelles et ne sait pas du tout ce qu'il a pu devenir. Je ne peux donc malheureusement pas vous aider dans vos recherches.

A noter cependant qu'il existe deux Cabantous dans la région de La Seyne :

Cabantous Pierre, 2 lot Val Soleil chem Pignet 83330 Le Beausset
Cabantous Bernard, 2 r Chaulieu 83000 Toulon

Celui que vous recherchez serait-il l'un de ces deux ? (d'après les prénoms ??). Ou alors il s'agit peut-être de ses enfants ou de parents à lui ? (Vous pourriez essayer de les contacter pour remonter au M. Cabantous que vous recherchez).

Il se pourrait aussi qu'il ne soit pas resté dans la région de La Seyne.

Vous souvenez-vous s'il était d'origine seynoise ?

Cordialement,

JCA


 

27 octobre 2003 : Ecole Amable Mabily

Q.

Bonjour

Je suis à la recherche d'une autre école maternelle située dans la rue qui longe derriere le commissariat et le college Paul Eluard. L'ecole existe toujours. Je recherche le nom et la directrice de l'ecole en 1972 ou une institutrice de grande section de cette même année.

Je recherche aussi des renseignements sur les 'Beaux Arts" de La Seyne sur Mer qui ont été remplacé par l'annexe du collége Curie. J'y allais dans les années 1974/1975. Mr Dubois, professeur de dessin s'en occupait. J'aimerais le contacter.

Cordialement

SF

R.

Bonjour,

Je pense qu'il s'agit de l'école maternelle Amable Mabily, située 27 rue Henri Pétin, qui a été décrite brièvement dans l'ouvrage de mon père "Histoire de l'Enseignement à La Seyne" (1982).

Voici ce qui en était dit à l'époque :

École Maternelle Amable Mabily

Amable Mabily (1897-1959) : Directeur d'école, militant ardent de l'École laïque, Conseiller municipal, Adjoint au Maire de Toulon.

* * *

Comme nous l'avons indiqué pour les écoles Jules-Verne, Jean-Baptiste Coste, ou Ernest-Renan, cette petite école de quartier fut mise en service en 1961, dans le but de parer à la disparition des classes primaires des Écoles Martini et Curie, du fait de la transformation de ces établissements en Collèges d'Enseignement Secondaire.

Sur un terrain de 2 000 m2 environ, situé 27 avenue Henri-Pétin, un bloc de trois classes préfabriquées fut édifié, auquel s'ajoutèrent deux autres classes et un logement de fonction pour le Directeur.

En 1963, ces classes recevaient 175 élèves de l'enseignement primaire. En 1970, on y comptait 112 élèves répartis en cinq classes, ce qui ramenait la moyenne des effectifs par classe à 22.

En 1973, on remonta à 130 élèves, mais dans les années 75, les effectifs de l'école primaire Mabily furent répartis dans les autres écoles primaires du secteur Ouest de la ville - Jules-Verne, Ernest-Renan et Jean-Baptiste Coste - dont les effectifs étaient en baisse.

Alors la Municipalité, en accord avec l'Inspection départementale primaire et maternelle, proposa la transformation de l'école primaire en école maternelle, ce qui fut accepté par l'administration, d'autant que c'étaient alors les écoles maternelles qui manquaient de locaux.

C'est ainsi que la onzième école maternelle est née à La Seyne.

En 1980, elle accueille 98 élèves dans trois classes.

Des adaptations ont été nécessaires et cette école donne satisfaction aux habitants des quartiers environnants.

Les enfants dont les familles le désirent peuvent prendre leur repas de midi dans le restaurant scolaire Renan situé à cent mètres, où ils se rendent accompagnés par des monitrices municipales.

Directions successives :

M. Gravier (école primaire)
Mme Pinguet (école maternelle)

J'ai interrogé mon père au sujet de cette école, mais (...) il ne se souvient malheureusement pas du nom d'autre directeur ou directrice que les deux ci-dessus, ni du nom d'aucune institutrice de votre époque.

Personnellement, je ne réside pas à La Seyne, et je ne connais personne qui ait fréquenté cette école et qui pourrait me donner de renseignement plus précis.

Concernant l'école des Beaux-Arts de La Seyne, dont les locaux se sont retrouvés, selon les époques, quartier Beaussier, quartier Saint-Jean, collège Curie, rue Messine, etc., mon père se souvient très bien du professeur de dessin Monsieur Dubois. Il est maintenant à la retraite, mais il est toujours actif dans d'autres associations. En particulier, il est maintenant trésorier de la Société Nautique de la Petite Mer. Je ne connais pas son adresse personnelle, mais je pense que vous pouvez donc le contacter au siège de cette société :

Cordialement,

JCA


 

16-19 mai 2003 : Lycée Langevin

Q.

le lycée Paul Langevin est depuis 1996 un lycée polyvalent c'est à dire un lycée regroupant les sections générales ( Baccalauréats S, ES et L) techniques et professionnelles.

IP

R.

Bonjour,

Merci pour votre commentaire. Effectivement, les informations "historiques" données dans notre site internet http://jcautran.free.fr sur le lycée Paul Langevin étaient très insuffisantes puisqu'elles ne faisaient, jusqu'ici, que reproduire le texte de l'ouvrage de mon père (Marius Autran) sur "l'Histoire de l'Enseignement à La Seyne de 1879 à 1980", ouvrage publié en 1982 !

J'ai déjà commencé à actualiser les informations concernant les lycées et collèges de La Seyne en m'aidant des informations du Rectorat, et des sites internet que la plupart des établissements ont créés. J'établirai aussi des liens avec ces sites.

D'ici quelques jours j'aurai rectifié et mis à jour sur internet le texte concernant le lycée polyvalent Paul Langevin.

Cordialement,

JCA


 

27 octobre 2002 - 30 mai 2013 : École - jardin d'enfants - Aristide Briand

Q1.

Bonjour Monsieur,

Je suis née en 1967 et j'ai été scolarisée à La Seyne sur Mer.

Je me souviens avec bonheur d'une petite école-jardin d'enfants située sur le port, qui n'existe plus aujourd'hui.

Je recherche des documents, des personnes la concernant.

Pourriez vous m'aider ?

Bien cordialement

SF

R1.

Je pense que vous voulez parler du jardin d'enfants municipal Aristide Briand (qui fut une sorte d'école maternelle) situé dans le jardin public Aristide Briand, à proximité du port et de la place des Esplageolles.

Ce jardin d'enfant a été décrit brièvement dans l'ouvrage de mon père "Histoire de l'Enseignement à La Seyne" (1982).

Voici ce qui en était dit à l'époque :

Sa création fut décidée le 16 septembre 1952 par la Municipalité. Au mois de mai de l'année suivante, il fut délimité, aménagé, pour que les enfants de trois à six ans puissent y trouver de la verdure, des fleurs, des jeux et surtout la sécurité.

Ils sont environ 90 à fréquenter le jardin d'enfants en 1959 et 116 en 1968.

Pour les jours de mauvais temps, on construisit par la suite deux éléments préfabriqués qui permirent le fonctionnement de trois sections équipées de matériel didactique. Les exercices sensoriels pratiqués au jardin d'enfants procèdent des mêmes méthodes que ceux que l'on pratique à l'école maternelle.

De véritable classes sont nées. La Directrice, Mme Dauban, qui assure le fonctionnement depuis bientôt trente ans a peu à peu transformé cette création en école maternelle. Elle est aidée dans sa tâche par trois monitrices.

Après leur séjour au jardin d'enfants, les enfants savent lire et écrire.

Avec le dépeuplement du centre-ville, les effectifs sont en diminution. En 1980, on ne compte plus que cinquante enfants.

Cette structure présente un inconvénient c'est qu'en raison de l'exiguïté du terrain, le jardin ne possède pas de restaurant, ce qui oblige les familles à se déplacer quatre fois par jour.

Néanmoins, ce sont de grands services qui sont ici rendus à la population de la ville basse.

A une époque plus récente (je crois, vers 1986-88) ce jardin d'enfants municipal a été supprimé à la suite d'un changement de municipalité, également aussi à la demande de certaines directrices d'écoles maternelles qui y auraient vu une concurrence (?).

J'ai retrouvé de très vieilles photographies de ce jardin d'enfants dans des anciens bulletins municipaux de 1955 et 1957. Elles ne sont pas de bonne qualité mais je vous les joins en annexe à ce message.

Par contre, je n'ai pas pu retrouver, en interrogeant mon père ou en recherchant dans ses archives, le nom d'autres personnes (mis à part la directrice Madame Dauban - épouse de René Dauban, conseiller municipal entre 1965 et 1971) ayant travaillé dans ce jardin d'enfants.

Voilà toutes les informations que nous avons pu recueillir sur cet ancien établissement. Si j'en retrouve d'autres, je ne manquerai pas de vous les faire parvenir.

JCA

Q2.

Merci beaucoup, beaucoup, surtout pour les 2 photos. Si vous en avez des années 70 ou autour, pensez à moi.

Bien cordialement.

Une Seynoise

Q3. (12 juillet 2006)

Monsieur,

J'ai fréquenté le jardin d'enfants sur le port de La Seyne ( lieu détruit depuis) en 1970- 1971.

J'aimerais que vous me donniez de nouveau le nom de la directrice d'alors car je sais qu'elle vit à La Seyne et j'aimerais la recontacter.

Salutations

SF

R3.

Bonjour,

J'ai retrouvé dans mes archives votre précédent message d'octobre 2003 à propos de l'ancien jardin d'enfants Aristide Briand.

Je crois que le nom de la directrice que vous recherchez est Madame Dauban.

Voici d'ailleurs ci-après la copie de la réponse que je vous avais faite à l'époque à propos de ce jardin d'enfants.

Bonjour,

Désolé pour le retard avec lequel je réponds à votre message :

Bonjour Monsieur,

Je suis née en 1967 et j'ai été scolarisée à LaSeyne sur Mer.

Je me souviens avec bonheur d'une petite école-jardin d'enfants située sur le port, qui n'existe plus aujourd'hui.

Je recherche des documents, des personnes la concernant.

Pourriez vous m'aider?

Bien cordialement

Je pense que vous voulez parler du jardin d'enfants municipal Aristide Briand (qui fut une sorte d'école maternelle) situé dans le jardin public Aristide Briand, à proximité du port et de la place des Esplageolles.

Ce jardin d'enfant a été décrit brièvement dans l'ouvrage de mon père "Histoire de l'Enseignement à La Seyne" (1982).

Voici ce qui en était dit à l'époque :

Sa création fut décidée le 16 septembre 1952 par la Municipalité. Au mois de mai de l'année suivante, il fut délimité, aménagé, pour que les enfants de trois à six ans puissent y trouver de la verdure, des fleurs, des jeux et surtout la sécurité.

Ils sont environ 90 à fréquenter le jardin d'enfants en 1959 et 116 en 1968.

Pour les jours de mauvais temps, on construisit par la suite deux éléments préfabriqués qui permirent le fonctionnement de trois sections équipées de matériel didactique. Les exercices sensoriels pratiqués au jardin d'enfants procèdent des mêmes méthodes que ceux que l'on pratique à l'école maternelle.

De véritable classes sont nées. La Directrice, Mme Dauban, qui assure le fonctionnement depuis bientôt trente ans a peu à peu transformé cette création en école maternelle. Elle est aidée dans sa tâche par trois monitrices.

Après leur séjour au jardin d'enfants, les enfants savent lire et écrire.

Avec le dépeuplement du centre-ville, les effectifs sont en diminution. En 1980, on ne compte plus que cinquante enfants.

Cette structure présente un inconvénient c'est qu'en raison de l'exiguïté du terrain, le jardin ne possède pas de restaurant, ce qui oblige les familles à se déplacer quatre fois par jour.

Néanmoins, ce sont de grands services qui sont ici rendus à la population de la ville basse.

A une époque plus récente (je crois, vers 1986-88) ce jardin d'enfants municipal a été supprimé à la suite d'un changement de municipalité, également aussi à la demande de certaines directrices d'écoles maternelles qui y auraient vu une concurrence (?).

J'ai retrouvé de très vieilles photographies de ce jardin d'enfants dans des anciens bulletins municipaux de 1955 et 1957. Elles ne sont pas de bonne qualité mais je vous les joins en annexe à ce message.

Par contre, je n'ai pas pu retrouver, en interrogeant mon père ou en recherchant dans ses archives, le nom d'autres personnes (mis à part la directrice Madame Dauban - épouse de René Dauban, conseiller municipal entre 1965 et 1971) ayant travaillé dans ce jardin d'enfants.

Voilà toutes les informations que nous avons pu recueillir sur cet ancien établissement. Si j'en retrouve d'autres, je ne manquerai pas de vous les faire parvenir.

Jean-Claude Autran

Q4.

Merci pour les photos. et ce tourniquet je m'en souviens très bien. bravo pour votre site

SF

R4. (30 mai 2013)

A noter que, depuis cet échange, l'ouvrage de Madame Marguerite Dauban « Un jardin extraordinaire - Histoire du premier Jardin d'enfants municipal de France à La Seyne-sur-Mer (1952-1992) », est paru en avril 2013, Éditions du Losange, 152 p.

Jean-Claude Autran




 

12 octobre 2002 : Inauguration de l'école Toussaint Merle

Q.

Bonjour Messieurs AUTRAN,

Lu sur votre site :

"1971 Inauguration de l'école Toussaint Merle au quartier Vignelongue.

1973 Inauguration de la maternelle Toussaint Merle qui jouxte l'école primaire du même nom."

Un petit renseignement de rien du tout : en 1971, j'entrais en maternelle à l'école Toussaint Merle toute neuve ( nous avons inauguré les lieux avec tous les enfants du Bercail...). Et en 1973, j'entrais à l'école primaire du même nom.

Or, il me semble qu'il y a une inversion entre les deux dates d'inauguration, puisque l'école primaire aurait été inaugurée avant l'école maternelle ? une inauguration de l'école maternelle 2 ans après sa mise en service ?

Est-ce une mauvaise interprétation de ma part ?

Cordialement.

SA

R.

Bonjour,

Vous avez probablement raison : il y a une anomalie dans la chronologie concernant les inaugurations des écoles (maternelle et primaire).

D'après les renseignements que j'ai pris, le groupe scolaire Toussaint Merle apparaît entièrement terminé en 1971. Sa photographie en couleur (avec le primaire + la maternelle, en service) constitue d'ailleurs la page de couverture du Bulletin Municipal de décembre 1971. Ce même Bulletin Municipal indique bien, page 9, que "le groupe scolaire T. Merle a été édifié en 1971" et que "la maternelle T. Merle fonctionne avec 4 classes". Ceci concorde bien avec votre rentrée à la maternelle en 1971.

Par ailleurs, le chapitre "Ecoles maternelles" de l'"Histoire de l'Ecole Martini et de l'Enseignement à La Seyne" indique encore : "La pose de la première pierre de l'ensemble remonte à 1970", et aussi : "En 1973, la maternelle fonctionne avec quatre classes et un effectif de 158 élèves)".

Je ne m'explique donc pas pourquoi le chapitre "chronologie de la Seyne" indique 1973 pour l'inauguration de la maternelle. Il est très probable que ce soit une erreur de transcription de date, peut-être parce que la statistique de 158 élèves est accompagnée de la date 1973. Je supprime donc dès aujourd'hui du site internet la mention de l'inauguration de la maternelle T. Merle en 1973.

Mais je vais tout de même essayer de retrouver la source de l'information que mon père a reproduite dans sa chronologie. En effet, il arrive parfois que, pour des raisons purement administratives (date de réception finale des travaux, certificat de conformité, visa préfectoral définitif, etc.), une inauguration "officielle" d'une tranche de projet soit retardée, alors qu'elle est déjà en service. Il arrive aussi que, dans un but de "communication", à l'approche d'élections, on multiplie au maximum le passage des élus pour des "poses de première pierre", des "visites de chantiers", puis des inaugurations d'extensions de bâtiment, etc., et qu'il ait pu ainsi rester dans les archives la trace d'un passage de personnalités à l'école maternelle T. Merle en 1973 (??).

Je vous tiendrai informée du résultat de ma recherche.

Cordialement,

JCA


 

15 mai 2002 - 28 mars 2003 : Histoire de l'éducation dans le Var

Q1.

Cher Monsieur,

Ancien recteur d'académie, je consacre une partie de mes activités de retraité à écrire des livres sur l'histoire de l'éducation. En fait, je n'ai pas la prétention de faire oeuvre d'historien mais d'écrire des chroniques qui couvrent tous les siècles (du Moyen Age à nos jours) et tous les niveaux de l'enseignement dépendant de différents ministres : Instruction publique puis Education nationale, Agriculture, Commerce, Armées.

Dans ce genre de chroniques une place importante est donnée aux souvenirs des anciens élèves et professeurs et aux illustrations originales.

Après " 26 siècles d'éducation à Marseille", édité en 1999, et " L'éducation en Vaucluse à travers les siècles ", à paraître à l'automne prochain, j'aborde un troisième ouvrage touchant le Var.

La première étape d'un tel travail consiste à identifier les centres de ressources documentaires ainsi que les personnes susceptibles de m'aider.

Dans tous les premiers contacts que j'ai eus, votre nom et vos oeuvres étaient systématiquement avancés.

Je vais lire tous vos livres mais si vous avez d'autres pistes à me proposer, je serais heureux que vous m'en fassiez part.

Avec mes sentiments les meilleurs.

PR (Recteur honoraire)

R1.

Monsieur le Recteur,

Mon nom est Jean-Claude Autran, fils de Marius Autran. Mon père étant maintenant très âgé (91 ans), c'est moi qui assure la correspondance de son site internet

http ://jcautran.free.fr

auquel vous vous être adressé.

Nous vous remercions pour votre message et pour l'intérêt que vous avez pris à notre site qui renferme, en effet, un certain nombre d'informations et de témoignages sur les questions de l'enseignement à La Seyne-sur-Mer. Mon père (et aussi ma mère) a en effet effectué toute sa carrière professionnelle dans l'enseignement (instituteur, puis professeur de collège) et dans le Var (à Montmeyan, à Carcès, puis à La Seyne, de 1938 à 1966). Il a joué par ailleurs un certain rôle dans l'administration municipale, pour ce qui est de l'instruction publique (Direction de la Caisse des Ecoles, et de plusieurs activités para- ou péri-scolaires). Il a donc une grande connaissance des problèmes de l'enseignement à l'échelle locale.

Malgré son âge, il garde aujourd'hui une mémoire intacte de tout ce qu'il a vécu et de toutes les questions qu'il a eu à traiter.

Une partie de son expérience et de ses souvenirs d'enseignant a été mise par écrit, notamment dans son premier ouvrage :

L'histoire de l'Ecole Martini - l'Enseignement à La Seyne de 1789 à 1980 (http ://perso.wanadoo.fr/marius.autran/ecolemartini.html), paru en 1982.

Et dans certains chapitres de ses ouvrages suivants (par exemple, les lointaines origines de l'Ecole Curie (http ://perso.wanadoo.fr/marius.autran/oeuvres/tome4/origines_ecole_curie.html)).

A noter que d'autres aspects de l'enseignement à La Seyne (plus particulièrement l'histoire de l'enseignement religieux) ont été traités dans l'Histoire générale de La Seyne-sur-Mer, des origines à la fin du XIXe siècle, de Louis Baudoin (1965).

Mais, si vous souhaitez questionner plus directement Marius Autran, ce serait avec plaisir qu'il vous recevra à son domicile (*) - car il est difficilement question de la faire maintenant se déplacer en dehors de chez lui. Je pense que vous trouverez de l'intérêt à dialoguer avec lui - malgré qu'avec son âge avancé, on note une radicalisation croissante de son point de vue - car il constitue une vraie mémoire vivante de La Seyne ancienne et n'a pas perdu sa capacité à s'insurger contre tout ce qui lui paraît injuste.

(*) Marius Autran
279 chemin du Vieux Reynier
Quartier Chateaubanne
83500 La Seyne sur Mer
Tél. : 04 94 94 81 37

Recevez, Monsieur le Recteur, l'expression de mes sentiments très distingués.

JCA

Q2.

Cher Monsieur,

Je vous remercie vivement pour vos informations dont je viens de prendre connaissance.

C'est avec plaisir que je rencontrerai votre père ; en étant accompagné par ma femme qui collabore à la préparation de mon livre (...).

Nous songeons rencontrer votre père dans la seconde quinzaine de juin mais nous voudrions savoir quels sont les jours et les heures qui conviennent le mieux.

Par ailleurs, je vous adresserai la liste des questions que nous pensons lui poser.

Je vous prie de croire, Cher Monsieur, en mes sentiments les meilleurs.

PR

R2.

Monsieur le Recteur,

Vous pourrez rencontrer mon père sans difficulté pendant la seconde quinzaine de juin. Il suffit que votre épouse lui téléphone quelques jours auparavant pour décider d'un rendez-vous. Comme il sort maintenant très peu, il n'y aura aucun problème pour qu'il vous reçoive le jour et à l'heure qui vous conviendront. (Je l'ai mis au courant de votre souhait de le rencontrer. Ce sera avec plaisir qu'il vous recevra avec votre épouse).

J'ignorais que vous aviez de tels problèmes de santé. Je vous exprime toute mon admiration pour votre courage et pour le travail que vous poursuivez, et j'espère que votre rencontre avec mon père sera fructueuse pour la rédaction de votre prochain ouvrage.

Je vous prie de croire, Monsieur le recteur, en mes sentiments très distingués.

JCA

R3.

Monsieur le Recteur,

Suite au courrier que vous nous avez adressé, à mon père et à moi, je vous informe que mon père regrette que vous n'ayez malheureusement pas pu vous déplacer en raison de vos problèmes de santé.

Il me prie de vous informer qu'il travaille à vous répondre par écrit. Cela lui a pris un peu de temps car il n'écrit pas très vite et sa main commence à trembler, mais il ne vous oublie pas.

Il me prie aussi de vous rappeler que la réponse à certaines de vos questions se trouve dans les chapitres 6 et 9 de son ouvrage : L'histoire de l'Ecole Martini - l'Enseignement à La Seyne de 1789 à 1980, paru en 1982.

Vous n'avez probablement pas cet ouvrage car il est épuisé en librairie depuis longtemps, mais vous pouvez y accéder par l'adresse :

http ://perso.wanadoo.fr/marius.autran/oeuvres/ecolemartini.html

Un résumé de cet ouvrage a fait l'objet d'un autre chapitre intitulé : La glorieuse histoire de l'école Martini, dans le tome III de sa série Images de la vie seynoise d'antan :

http ://perso.wanadoo.fr/marius.autran/oeuvres/tome3/glorieuse_histoire_de_mart.html

Un autre chapitre consacré à l'histoire de l'école Curie (dans lequel mon père a enseigné pendant les dernières années de sa carrière :

http ://perso.wanadoo.fr/marius.autran/oeuvres/tome4/origines_ecole_curie.html

Je pense que mon père aura terminé de rédiger ses réponses vers le 10 août. Je vous les communiquerai alors aussitôt.

Dans cette attente, et en souhaitant qu'une amélioration de votre santé vous permette de mener à bien tous vos projets en cours, recevez, Monsieur le Recteur, l'expression de mes sentiments très distingués.

JCA

Q3.

Cher Monsieur,

Grand merci pour vos informations.

Que votre père ne se presse pas. Si sa réponse me parvient dans le courant du mois de septembre ce sera parfait.

Mon état de santé ne me facilite pas la tâche, mais je ne renonce pas pour autant à mon projet dès lors que je dispose de la collaboration de plusieurs personnes bien localisées sur tout le territoire du Var.

Avec mes sentiments les meilleurs

PR

R4

Monsieur le Recteur,

Mon père a terminé la rédaction d'une dizaine de pages qui résument quelques-uns de ses souvenirs les plus marquants d'enseignant dans diverses localités du Var.

Je vous adresse ce document par courrier de ce jour. [NDJCA : Ce texte se trouve maintenant dans les souvenirs d'Ecole Normale d'Instituteurs de Draguignan de Marius Autran, à l'adresse : Ecole Normale]

Si votre état de santé le permet, vous êtes naturellement le bienvenu pour le rencontrer à La Seyne et compléter les informations qu'ils vous a écrites.

Recevez, Monsieur le Recteur, l'expression de mes sentiments très distingués.

JCA

Q4.

Cher Monsieur,

Je suis confus de répondre avec un tel délai à votre mail et à la lettre de votre père.

Plusieurs raisons ont convergé pour retarder ma réponse. (...) En tout cas, j'ai été très intéressé par les témoignages de votre père et je ne manquerai pas de les livrer à mes futurs lecteurs.

Il manque tout juste une réponse à ma question (5) : j'aurais souhaité que M.Marius AUTRAN me dise comment il a vécu son arrestation par les Allemands dans sa classe. Est-ce un oubli ou un excès de pudeur ?

Avec mes sentiments les meilleurs.

PR

R5.

Monsieur le Recteur,

Suite à l'envoi, de la part de mon père, de quelques-uns de ses souvenirs d'enseignants, je suis désolé de ne pas pouvoir vous apporter davantage de précision quant à votre question 5.

Mon père, que j'ai de nouveau interrogé à ce sujet, m'a dit qu'il ne souhaitait s'exprimer sur cette affaire (pour une raison que j'ignore - excès de pudeur ? ou risque d'avoir à mettre en cause des personnes, peut-être des proches, encore vivantes, ou leurs descendants ??). Moi-même, je ne connais pas les détails de cette arrestation dans sa classe, dont je ne me souviens pas (contrairement à d'innombrables souvenirs de guerre que j'ai entendu raconter durant toute mon enfance) qu'elle ait été évoquée en famille. A noter cependant que cette arrestation (en mars 1942) n'avait pas été effectuée par des Allemands (qui n'ont occupé la zone Sud qu'en novembre 1942) mais par la police française sous le régime de Vichy. Soupçonné de faits de résistance (diffusion de tracts), mon père avait passé 2 mois à la prison maritime, mais avait été libéré faute de preuves (non-lieu) en mai 1942.

Avec l'expression de mes sentiments distingués.

JCA

Q5.

Cher Monsieur,

Mon second livre "L'éducation en Vaucluse à travers les siècles" vient de sortir.

Pensez-vous que votre père serait heureux d'en recevoir un exemplaire ? si oui, à quelle adresse ?

Bien cordialement

PR

R6.

Monsieur le Recteur,

Oui, certainement, mon père serait très heureux de recevoir un exemplaire de votre dernier ouvrage. Je vous remercie sincèrement pour cette proposition.

Son adresse postale est la suivante :

M. Marius AUTRAN
279 Chemin du Vieux Reynier
83500 LA SEYNE SUR MER

Cordialement,

JCA

NB. L'ouvrage Histoire de l'éducation dans le Var n'a pu être achevé, le Recteur Rollin étant malheureusement décédé au printemps 2003.



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