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Histoire de La Seyne-sur-Mer


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« La Seyne dans la presse locale »
La Seyne dans la presse locale
Création du casino de la Rade et histoire des anciens casinos de La Seyne


Référence et résumé du contenu des principaux articles que nous avons pu retrouver dans la presse locale et dans les revues d'information municipale

NB. Tous les articles qui ont pu être retrouvés ont été numérisés aux formats jpeg et pdf avec recherche de texte. Mais, pour ne pas surcharger la page, nous n'avons fait figurer ci-dessous que quelques articles sous forme de fichier image, choisis parmi les plus représentatifs, tous les autres étant listés par ordre chronologique, avec un lien (bleu souligné) pour accéder au document intégral au format pdf.
Lien vers le site internet : http://jcautran.free.fr/archives_familiales/la_seyne_dans_la_presse/casinos/histoire_des_casinos.html


1920
Le Petit Var, 17 septembre 1920 : « Conseil municipal - Séance du 17 septembre : « Une demande de jeux à tenir aux Sablettes par M. Labrosse reçoit un avis favorable et le même cahier des charges que celui imposé au Casino de Tamaris le sera au Casino des Sablettes ».


1928
Le Petit Var, 6 juillet 1928 : « Casino de Tamaris : Les Schipoff. Danseurs fantaisistes. Bateaux à 21 h et 21 h 30. Retour à minuit ».
Le Petit Var, 6 juillet 1928

Le Petit Var, 21 juillet 1928 : « Casino des Sablettes : Son restaurant sur la plage - Sa spécialité des plats anciens ».

Le Petit Var, 21 juillet 1928

1935
Le Petit Var, 25 décembre 1935 : « Casino de Tamaris – Matinée dansante – Boule - Baccara ».
Le Petit Var, 25 décembre 1935


1948-49
Publicité dans les Bulletins municipaux de La Seyne de 1948 et 1949 :
1958
Le Petit Varois - La Marseillaise, 23 juin 1958 : « La nuitée du rugby au Casino des Sablettes ».
Le Petit Varois - La Marseillaise, 12 juillet 1958
1959
Le Petit Varois - La Marseillaise, 22 juillet 1959 : « Les Fêtes de la Mer : Elles débuteront vendredi avec l'élection de la Reine de la Mer - Grande nuitée attractive dimanche au Casino des Sablettes ».
Le Petit Varois - La Marseillaise, 24 août 1959 : « Succès vitaminé des croûlants » (JR).
Le Petit Varois - La Marseillaise, 15 septembre 1959 : « Nuitée particulièrement brillante d'« Etoiles » » (JR).

1960
Le Petit Varois - La Marseillaise, 24 mai 1960 : « La nuit des petits pains ».
Le Petit Varois - La Marseillaise, 18 juin 1960 : « Les nuitées dansantes : Au Casino des Sablettes, samedi soir, c'était au tour de l'Association des Médaillés Militaires d'inviter leurs amis dans la belle salle du Casino des Sablettes à l'occasion de leur bal annuel ; ambiance toute cordiale à laquelle René POWEL et son quintette apporta son dynamisme et sa musicalité appréciées (...) avec également les chanteurs Christian PEREZ et Francis YOUNG » - « Monsieur SAGLIER, directeur du Casino des Sablettes, nous a confirmé qu'à partir du lundi 4 juillet, le Casino et le cabaret fonctionneraient tous les soirs » (JR).
Le Petit Varois - La Marseillaise, 9 août 1960 : « Le feu d'artifice et la soirée au Casino des Sablettes ont mis un point final aux Fêtes de la Mer » (JR).
Le Petit Varois - La Marseillaise, 23 août 1960 : « François DEGUELT au Casino des Sablettes ».
Le Petit Varois - La Marseillaise, 30 août 1960 : « Jacqueline BOYER et Jean-Paul MAURIC ont mis un brillant point final aux soirées de gala du Casino des Sablettes ».

1961
Le Petit Varois - La Marseillaise, 15 mai 1961 : « Au Casino des Sablettes : Art et élégance à la Nuitée de la Coiffure ».

Le Petit Varois - La Marseillaise, 15 mai 1961

Le Petit Varois - La Marseillaise, 2 juillet 1961 : « Inauguration du cinéma du Casino des Sablettes » [La Seyne aura ainsi, du moins pendant l'été, son 4e cinéma !].
Le Petit Varois - La Marseillaise, 18 septembre 1961
Le Petit Varois - La Marseillaise, 19 juillet 1961 : « Ce soir : Marino Marini - Unique récital - On danse au cabaret ».


Le Petit Varois - La Marseillaise, 3 août 1961 : « Lucien LUPI au Casino des Sablettes ce soir - Lucien Lupi, beau garçon extrémement sympathique, au regard vert transparent posséde un physique de jeune premier auquel il joint une voix veloutée extrêmement caressante et chaude alliée à de solides connaissances musicales. Ce chanteur qui se destinait au lyrique sera particulièrement bien accueilli au Casino des Sablettes par la foule de ses admirateurs ».
Le Petit Varois - La Marseillaise, 5 août 1961 : « Jeudi soir au Casino des Sablettes : Lucien LUPI, un triomphe ; Dany LAURE, un grand espoir ».
Le Petit Varois - La Marseillaise, 17 août 1961 : « Le chansonnier Edmond MEUNIER ce soir au Casino des Sablettes ».
Le Petit Varois - La Marseillaise, 19 août 1961 : « Edmond MEUNIER, Mathé ALTERY, revenez vite sur la côte » (JG).
Le Petit Varois - La Marseillaise, 26 août 1961: « Au cabaret du casino des Sablettes - Les soirées au casino des Sablettes connaissent toujours une vive animation comme en témoigne cette photo ».
Le Petit Varois - La Marseillaise, 26 août 1961

Le Petit Varois - La Marseillaise, 30 août 1961 : «

1962
Le Petit Varois - La Marseillaise, 8 avril 1962 : « Du Nouveau au Casino des Sablettes pour la saison 1962 avec un théâtre de la verdure de 1500 places et le "tapis volant" - Ce motif décoratif ornera un des murs du nouveau cabaret du Casino des Sablettes. « Le Tapis Volant » ».
Le Petit Varois - La Marseillaise, 17 mai 1962 : « Ouverture du Théâtre de Verdure, au Casino des Sablettes, le 8 juillet, avec Johnny HALLIDAY et les Machucambos, Pierre BRUN et son orchestre » (JR).
Le Petit Varois - La Marseillaise, 17 mai 1962

1963
Le Petit Varois - La Marseillaise, 15 avril 1963: « Au Casino des Sablettes avec le quintette René POWEL - En intermède, plus de vingt vedettes avec un seul interprète : A. REYNARD ».
Le Petit Varois - La Marseillaise, 30 décembre 1963: Flashes sur l'année seynoise 1963 : « Henri TISOT au Théâtre de Verdure du Casino des Sablettes - Pour la première fois [le 22 juillet 1962], notre concitoyen Henri TISOT, imitateur de « Qui vous savez » se produit sur scène dans sa ville natale et présente, en plus de son imitation, un tour de chant ».

Le Petit Varois - La Marseillaise, 30 décembre 1963


1964
Le Petit Varois - La Marseillaise, 7 juillet 1964 : « Mercredi, au casino des Sablettes : « Aladin » et le roi Dagobert pour le gala des enfants ».
Le Petit Varois - La Marseillaise, 17 juillet 1964 : « Ouverture du Théâtre de Verdure samedi aux Sablettes : "Show... au soleil" un bouquet de Provence avec Maria CANDIDO et Franck FERNANDEL ».
Le Petit Varois - La Marseillaise, 22 juillet 1964 : « Demain jeudi, à 21 h 15, théâtre de verdure des Sablettes : Alain BARRIÈRE, Patricia CARLI, Robert CASTEL et Lucette SAHUQUET et le roi des présentateurs Jean DONDA ».
Le Petit Varois - La Marseillaise, 30 juillet 1964 : « Petula CLARK et Hugues AUFRAY ont enthousiasmé le public du "Théâtre de Verdure" ».
— Programme des fêtes de la ville, juillet-août 1964 : « Johnny Halliday et Henri Tisot au Théâtre de Verdure »
Le Petit Varois - La Marseillaise, 1er août 1964: « Au théâtre de verdure des Sablettes : Émouvante et brûlante Espagne avec Rafael FARINA » (JR).
Le Petit Varois - La Marseillaise, 11 août 1964: « Au théâtre de verdure des Sablettes, Gilbert BÉCAUD a prouvé, à nouveau, qu'il était un grand "bonhomme de la chanson ».


1965
Le Petit Varois - La Marseillaise, 26 mars 1965 : « Casino des Sablettes - Réouverture cabaret-dancing, avec Jacky MORGAND et son ensemble ».


1967
— Publicité dans la revue Étraves, de 1967 à 1975 :
Publicité dans la revue Étraves, de 1967 à 1975

1972
République, 3 juin 1972 :
République, 3 juin 1972


1974
— Publicité dans le programme des fêtes de La Seyne, juin 1974 :

Publicité dans le programmes des fêtes de La Seyne, juin 1974



1982
— Publicité dans la revue d'informations municipales Vivre à La Seyne-sur-Mer, février 1982 :
Publicité dans la revue d'informations municipales Vivre à La Seyne-sur-Mer, février 1982
Vivre à La Seyne-sur-Mer, avril 1982 : « Nos anciens en fête - C'est dans le cadre très agréable de la discothèque du Casino des Sablettes que s'est déroulé le 3 Mars dernier Le BAL COSTUMÉ organisé par la Municipalité pour les retraités du quartier. Très tôt, la salle était pleine et l'ambiance très chaleureuse des couples costumés animait cette joyeuse matinée. A l'entrée, des fillettes habillées en provençales ont offert des fleurs aux invités. Le personnel du Casino et le personnel municipal ont uni leurs efforts pour la bonne réussite de cette fête : efforts largement récompensés par la gaieté, l'entrain et l'extraordinaire vitalité des retraités. La visite de M. le Maire et de M. Sprecher, 1er adjoint a été appréciée. Monsieur le Maire devait dans une courte allocution se réjouir de la bonne ambiance qui régnait cet après-midi-là et remercier chaleureusement Monsieur POULET, nouveau directeur du Casino, qui rappelons-le, avait gracieusement prêté ses locaux. Les remerciements allaient aussi au personnel qui non seulement avait spontanément prêté son concours mais aussi remis en cadeau pour les handicapés l'argent que les retraités avaient collecté pour lui ».
— Publicité dans le programmes des fêtes de La Seyne, juin 1982 :

Publicité dans le programmes des fêtes de La Seyne, juin 1982



1990
La Seyne Magazine, juillet-août 1990, page 23 : « La renaissance du Golf-Hôtel - Les Sablettes vont enfin voir renaître le prestigieux Golf-Hôtel qui, associé au Casino, constituera un pôle touristique digne de ce magnifique quartier. En effet, les propriétaires du lieu ont décidé de réaménager totalement ce site remarquable afin de contribuer à l'essor des Sablettes aux Sablettes. Ce ne seront pas moins d'un hôtel de 120 chambres de catégorie 4 étoiles, accompagné de salles d'animation et de réception, d'un centre de remise en forme, d'un somptueux casino qui viendront reconquérir l'image de la superbe station balnéaire d'antan. Ce complexe touristique correspondant aux normes européennes complètera efficacement les réalisations ambitieuses de l'isthme des Sablettes et du Port du Lazaret ».

1994
Var-Matin, 31 décembre 1994 : (Rétrospective de l'année écoulée) « La Seyne : casino et argent sale » - « Dans le cadre de l'interpellation de Bertoncini. les enquêteurs de la Brigade des stupéfiants du SRPJ de Marseille apprennent que "Jo de Bandol" plaçait son argent "sale" au casino des Sablettes. Elizabeth Pricam, gérante du casino ainsi que Henri Fabiani, directeur de l'établissement de jeux - qui venait de se voir accorder le droit à l'exploitation d'une trentaine de pokers et jackpots à rouleaux - sont mis en examen l'une pour infraction à la législation sur les stupéfiants et l'autre pour trafic de drogue. La salle de jeux, quant à elle, reste encoreaujourd'hui sous le coup d'une fermeture administrative ».

Var-Matin, 31 décembre 1994


1996
Var-Matin, 15 septembre 1996 : « Le conseil municipal, en mars dernier, a donné un avis favorable à la pratique des jeux sur le territoire de la commune. Il décidait la délégation de l'exploitation des jeux dans le casino sous forme de concession, et approuvait le cahier des charges ainsi que le règlement de consultation. Un cahier des charges qui, jeudi, a été modifié. Il est désormais précisé que le repreneur éventuel du casino pourra utiliser d'autres locaux que ceux existants. Bernard Perrin profite de l'occasion pour rappeler qu'il s'agit là d'un dossier important, vu l'apport que constituerait, pour la commune, la remise en fonction d'un casino, générateur d'emplois et de recettes pour les finances locales. Nathalie Bicais profite, avec vivacité, de cette opportunité pour demander au premier magistrat où en sont les classements des réalisations Pouillon aux Sablettes, de La Seyne en station balnéaire et du plan Objectif 2000 pour le bord de mer (isthme et baie du Lazaret). En réponse, Maurice Paul a indiqué qu'à propos du classement des réalisations "Pouillon", une ou plusieurs conférences-débats seront organisées afin de présenter à la population seynoise, et plus particulièrement aux propriétaires directement concernés dans cette affaire, qu'elles sont véritablement les conséquences d'un classement par les Bâtiments de France, ses contraintes et ses avantages. Tout comme il sera pris en compte l'avis des Seynois au cours d'une réunion, prévue en octobre, en ce qui concerne le programme "Objectif 2000". Maurice Paul, dans la foulée, a annoncé que pourraient être également demandées, auprès des administrations compétentes, des mesures conservatoires envers la corniche de Tamaris et le jardin botanique Michel Pacha, actuellement laissé à l'abandon ».
 
« Le casino des Sablettes est toujours d'actualité »
Var-Matin
, 15 septembre 1996


1997
La Seyne Magazine, août 1997, page 15 : « Le Casino : un Jackpot... pour la ville » - « Atout incontestable pour le classement de la ville en cité balnéaire, l'accord du Conseil Municipal pour la réouverture du Casino des Sablettes, a été également motivé par les perspectives de retombées financières pour la ville résultant de cette activité. La convention passée avec la S.A. Casino des Sablettes, qui exploitera l'établissement, prévoit ainsi le versement de 15 % du produit brut des jeux (après abattement) dans les caisses de la commune. A cela s'ajoutera une subvention annuelle à la ville de 250.000 Francs dès l'ouverture des jeux. D'autre part, le Directeur du Casino s'est engagé, dans le cadre de la convention passée avec la ville, à contribuer au développement touristique de la commune, notamment par l'octroi d'une subvention annuelle de 50.000 Francs au Comité des Fêtes et du Tourisme et à organiser, en liaison avec la ville, divers spectacles et attractions (musique, théâtre, expositions). L'établissement va également créer une quarantaine d'emplois dont le recrutement s'effectuera en priorité sur la commune. Enfin, si dans un premier temps le Casino rouvrira ses portes dans les locaux existants réhabilités, la S.A. Casino des Sablettes accepte dans le futur de construire un nouvel établissement sur un site proposé par la ville ».


2000
Le Journal de La Seyne, N° 17, page 6 (mai 2000) : « Tourisme – (...) A cet ensemble d'aménagements, il faut ajouter les démarches entreprises pour la réouverture du casino des Sablettes, atout incontestable pour la fréquencation d'une ville classée en scation balnéaire et touristique et source importante de revenus pour la commune ».


2001
Fenêtre-sur-Seyne, N° 5, page 5 (2001) : « Votre programme d'aménagement est cohérent et réaliste » - « Le préfet du Var, Daniel CANÉPA, a découvert sur site les différents projets de la municipalité. « Cohérence, réalisme et faisabilité», c'est en ces termes qu'il a qualifié le programme des réalisations à venir. Le problème de la réouverture du casino a également été soulevé ».
Telex, 5 novembre 2001 : Interview d'Arthur Paecht, maire de La Seyne-sur-Mer  (...)
G.N. : « Le tourisme c'est aussi les loisirs, que comptez-vous faire du casino qui est fermé aujourd'hui (...) ?
A.P. :
« La réouverture du casino ne pourrait s'envisager que dans le cadre d'un complexe hôtelier adapté. Alors j'irai défendre l'ouverture du casino.


2003
Fenêtre-sur-Seyne, N° 20, page 14 (décembre 2003) : « La superbe exposition d'Azur et d'Orient au Fort de Balaguier retrace l'histoire de La Seyne-Tamaris-sur-Mer, cette station hivernale qui, jadis, attirait l'aristocratie et la haute bourgeoisie. Découverte et imaginée par Michel Pacha, cette station a connu une période faste à la fin du siècle dernier. Retour sur l'histoire des premiers touristes dans notre région, bien avant les congés payés et le tourisme de masse » - « Des années de prospérité qui ont permis la construction de somptueuses demeures. La majeure partie d'entre elles sont inspirées du style italien (imposantes et massives) et anglais (cottages). Mais on y construit aussi des chalets tout en bois d'inspiration suisse ou basque et des villas de style oriental. C'est aussi l'époque du grand-hôtel et du casino de Tamaris ».


2004
Var-Matin, 14 décembre 2004 : « Projet de casino : la ville relance » - « La ville ne manque pas d'arguments pour obtenir l'autorisation de rouvrir un établissement de jeux bien qu'elle ne soit toujours pas classée station balnéaire. Celui-ci serait implanté sur le site des anciens chantiers, près de l'hôtel, du parc et du port de plaisance » - « La continuité comme argument » - « Sur le site des anciens chantiers - La ville souhaite la réouverture d'un casino, mais pas aux Sablettes. Le rapport fourni aux élus précise que « la présence, autour du port de plaisance, à proximité du centre ville, voisin du futur emplacement de l'hôtel et à la lisière du parc paysager, d'un établissement de nature à attirer un public permanent tout au long de l'année, contribuera à l'animation commerciale du cœur de ville » » - « Un siècle de jeux » (CM).
Var-Matin, 14 décembre 2004

2006
Var-Matin, 18 janvier 2006 : « Un casino de jeux oui, mais où ? » - « Une longue histoire - L'histoire du casino des Sablettes, fermé en 1994, est longue de plus d'un siècle » - « Conseil : le centre de conférences en pôle » - « Pas sur le site des anciens chantiers » - Pour Jo Minitti : « Si c'est pour l'implanter aux Sablettes, je suis d'accord. Mais sur le site des anciens chantiers comme in en a été question un temps, non » - Francisque Luminet fait cette analyse : « Statistiquement, le profil de la clientèle d'un établissement de jeux est une femme de 60 ans qui joue 15 euros à chaque visite. On peut ne pas être joueur, ne pas être favorable aux jeux de hasard et être citoyen conseiller municipal favorable à ce genre de délibération... pour diverses raisons » - Côté socialiste, Patrick Martinenq est formel : « Falco a eu l'heureuse initiative d'initier un pôle d'excellence tourné vers les métiers de la mer, ce site doit garder sa vocation (...) et qu'un ensemble restaurant-hôtel-casino situé aux Sablettes, dans un cadre d'exception, serait tout à fait cohérent » (PH C).

Var-Matin, 18 janvier 2006

Fenêtre-sur-Seyne, N° 53, page 18 (avril 2006) : Expression minorité : « Le turbine informative s'affole : Et voilà qu'Arthur Paecht utilise les deniers communaux pour imprimer et diffuser à tous les foyers de la ville une lettre du Maire dans laquelle il répond à l'un des élus de notre groupe qui interviewé par France 3 sur la question d'un établissement de jeux de hasard à la Seyne, a commis le crime de lèse-majesté de confirmer à la presse qu'aucune voix ne s'était opposée, au Conseil Municipal, au principe de l'implantation d'un casino. Questionné par le journaliste, il a indiqué, ce qui semble être le bon sens, que le quartier des Sablettes, site touristique depuis 150 ans, est tout indiqué pour cette activité. Qu'est ce donc alors qui peut justifier le trouble du Maire dans cette affaire ? Et pourquoi utilise-t-il dans son propos un style curieux, nommant notre collègue par son prénom, sur un ton qui n'est certes pas inamical, mais frisant l'ironie ? ».



2007
Var-Matin, 18 juillet 2007 : « Aux Sablettes, les Salons du casino précèdent l'hôtel - A défaut de jeux, de luxueuses salles de réception ont ouvert le 15 juin » - « Cinq salons sur 1700 m2 » - « La construction de l'hôtel 4 étoiles se poursuit. Dans trois ans, les travaux pourraient être achevés », estime Roger Madern, propriétaire des lieux depuis 1983] (CH P).

Var-Matin, 18 juillet 2007

Var-Matin, 18 août 2007 : « Tamaris : passion balnéaire » - BELLE ÉPOQUE - « A La Seyne-sur-Mer, nombre d'édifices témoignent de l'éclectisme architectural de la fin du XIXe siècle et de la passion orientale d'un étonnant bâtisseur » - « Entre Orient et Occident » - « Trois casinos en 1905 » - « Un palais des 1001 nuits » - « L'hôtel indispensable à la villégiature » - « Des chalets en bord de mer » - « L'influence italienne » - « Passion pour l'Orient » - « Plus d'un siècle d'activité à l'Institut de biologie marine » - « Après Pacha, l'Art Déco » (AFT).
Var-Matin, 1er octobre 2007 : « Pari gagné hier aux Salons du casino des Sablettes»  - ÉVÉNEMENT - « Affluence au 1er Salon du mariage, qui marque la renaissance d'un site » -  La moitié des exposants venait de La Seyne, l'autre de Toulon et Six-Fours, plus un de Saint-Cyr » - « La société seynoise « LM Prestige » avait exposé à l'entrée du salon ses quatre plus beaux véhicules de luxe à louer pour de grandes occasions : Hummer, Lamborghini, Excalibur et limousine » (AT).

2008
Var-Matin, 16 janvier 2008 : « Le classement en cité balnéaire relançe le projet de casino » - ÉCONOMIE : « C'est l'aboutissement d'une démarche entamée il y a près de quinze ans » - « Il est arrivé avec l'an nouveau. Le classement de la commune en cité balnéaire, touristique et climatique vient d'être accordé à La Seyne. La première requête datait de 1993, année de la fermeture du casino des Sablettes. Maurice Paul l'a demandé, en vain, rappelle Arthur Paecht. Moi-même j'ai relancé le dossier dès 2001. Il m'a été refusé deux ou trois fois. Mais maintenant, c'est fait » (PH C).

Var-Matin, 16 janvier 2008

Var-Matin, 1er novembre 2008 : « Un casino pour renflouer les caisses de la ville ? » - BUDGET : la municipalité veut un établissement de jeu sur le site des anciens chantiers. L'appel d'offres de la DSP sera présenté lors du prochain conseil municipal » - « C'est un pavé jeté dans le bassin des anciens chantiers navals. Dans son combat pour redresser les finances de la commune, le maire a décidé de se lancer dans la bataille des casinos. La commune souhaite faire construire un établissement de jeu en plein centre-ville. À la place du pôle théâtral dont rêvait l'ancien maire, Arthur Paecht. Entre le parc de la Navale et les anciennes formes » - « Du pragmatisme économique : Le maire a tranché. Il veut un casino sur le site des anciens chantiers. Le projet doit encore être soumis au vote des élus, mais il serait d'ores et déjà ficelé. L'emplacement paraît en effet stratégique - la proximité d'un futur port de plaisance, les yachts en hivernage et Toulon « à portée de rames » - mais le choix peut philosophiquement surprendre. Cette équipe de gauche a fait et remporté sa campagne notamment contre la politique de bétonnage de l'ancien maire et pour la mise en place d'un lieu dédié à la mémoire sur le site des hangars CPM. Mais aujourd'hui, pour combler la dette « historique » de la ville (presque 140 millions d'euros en 2007), Marc Vuillemot est prêt à construire un casino devant même la porte des chantiers. Avait-il d'autres choix ? Il n'empêche qu'en ces temps de crise généralisée, ce pragmatisme économique n'est pas sans rappeler, toutes proportions gardées, les revirements affichés au plus haut sommet de l'État » (OM).

Var-Matin, 1er novembre 2008

Var-Matin, 18 novembre 2008 : « Le projet de casino va-t-il se heurter à la crise du secteur ? » - ÉCONOMIE: « La ville lance ses démarches dans un contexte actuel difficile pour les casinotiers qui miseraient malgré tout sur le développement futur de la rade » - « À en croire le maire, la donne pourrait être différente à La Seyne : « Ce sont les casinotiers qui tapent à la porte ! », lâche Marc Vuillemot. « Je n'avais même pas eu l'idée, reconnaît le premier magistrat. Il faudra être prudent et vigilant sur le projet mais s'ils viennent, c'est qu'ils ont des raisons. Il y a, ici, des perspectives d 'avenir et j'imagine qu'ils misent sur le développement du grand projet de Rade. Les groupes déjà intéressés devraient rapidement dévoiler leurs cartes » (OM).
Var-Matin, 7 décembre 2008 : « Casino : Les élus mélangent la droite et la gauche » - « L'opposant UMP Christian Battle : « « Vous venez de faire un choix révolutionnaire ! Le choix de l'ultracapitalisme. Je suis pour le casino, mais laissez-moi pinailler sur l'aspect économique. Le marché est en baisse, les gens jouent maintenant sur internet. En plus, l'emplacement (sur le site des anciens chantiers, N.D.L.R.) n'est pas du tout judicieux. Les croisiéristes ne viendront pas jouer, ils ont déjà des machines à sous dans leur paquebot. Quant aux yachts en hivernage, leurs riches propriétaires partiront à Saint-Tropez. Pourquoi ne pas l'installer aux Sablettes, qui sont un lieu traditionnel de jeux ». (...) « Avec Marseille 2013, le pôle théâtral aurait eu un impact considérable. Là, vous allez faire du divertissement, pas de la création artistique. Ce projet était un facteur de cohésion sociale » - C'est au tour de Marcel Barbero de se déchaîner : « Je suis surpris, choqué et déçu par ce choix pris à la hâte. Cela n'apporte rien à la ville. Je vous croyais attaché à l'action socio-éducative et là vous décidez de faire un casino sur un site qui a connu la sueur des hommes ». Éthique, immoralité : tous les arguments y passent. Les rôles sont inversés. La droite joue à gauche quand Philippe Mignoni franchit, lui aussi le Rubicon. « Je vais être le communiste le plus libéral de ce pays », lance l'adjoint au commerce. « Ce n'est pas une vision seulement idéologique. Quelle est l'ambition de notre ville, demande l'élu. Je pense que nous sommes capables de faire un casino mais aussi de la culture », argumente-t-il. Plus fort encore, Joseph Pentagrossa propose, à sa façon, de blanchir l'argent du casino. « Pourquoi ne pas se servir de cet argent immoral pour faite quelque chose de moral ? », lance l'adjoint communiste aux finances. Claude Astore s'étonne, pour sa part, des remontrances de la minorité à l'égard du casino : « C'est vous qui avez demandé le classement en station balnéaire. Cela veut donc bien dire que vous aviez l'idée de faire un casino », questionne l'adjoint à l'urbanisme. Le débat continue mais le consensus est trouvé. Ou presque : Oui, l'opposition est pour un casino. Mais pas sur le site des anciens chantiers. Le Maire essaie d'emporter l'adhésion par une pirouette humoristique. « Moi, je me suis mis à aimer le jeu lorsque j'étais donné perdant à 4 000 contre 1 pendant les élections. A la fin, on a gagné », plaisante Marc Vuillemot.

Var-Matin, 7 décembre 2008



2009
Le Seynois, N° 1, (janvier 2009) - Page 10 : « DSP casino - Adoption en conseil municipal du 4 décembre de la délibération portant création d’un casino de jeux incluant une salle de spectacle. Il se situera sur le site du parc de la Navale » - Page 11 : « Lors de la réunion publique du 21 novembre - Un projet de casino pour alimenter les recettes de la Ville » - Page 12 : « Aujourd'hui, si nous devions rembourser nos emprunts et couvrir les garanties, il nous faudrait 55 ans. Or, les services de l'État nous indiquent qu'une commune ne doit pas dépasser une capacité de remboursement de 12 années pour conserver une santé financière saine ». Aux grands maux les grands remèdes. « Nous mettons un sérieux coup de frein aux investissements. Le centre de conférences sur le site de la Navale ne se fera pas. D'autres projets seront lissés dans le temps. Par contre, le projet prioritaire de cuisine centrale se fera en temps et en heure. Il en est de même pour le PRU de Berthe. Car il est fondamental de poursuivre nos efforts en matière de rénovation urbaine. Au fur et à mesure, nous ne renouvellerons pas certains marchés d'achat de services et nous ferons, à chaque fois que cela est possible, les choses nous-mêmes ». Des projets pour augmenter les recettes. Accueil des yachts en hivernage, croisières... La Ville doit exploiter son potentiel portuaire et maritime, source de recettes directes et indirectes. Le projet de casino fait lui aussi partie des ressources directes avec un apport minimum de 15 % de son chiffre d’affaires. Et ce, sans compter le surplus de clientèle pour le commerce local. « Ce n’est pas moral, mais nous ne pouvons décemment pas faire autrement. (...) Car je m'engage aujourd'hui devant vous à ne pas augmenter en 2009 les impôts locaux » » - Page 33 : EXPRESSION DE L’OPPOSITION : « Les finances, parlons-en ! C’est trop facile de refuser d’un côté le débat contradictoire devant la population et de faire des proclamations en caricaturant la situation financière et en accusant l’ancienne municipalité. Le budget Paecht 2007 a dégagé un excédent de plus de 7,5 millions d’euros. Le Maire actuel a pourtant augmenté les impôts de 11,26 %. Rien ne le justifiait. Sans doute veut-il camoufler son incapacité à drainer, comme son prédécesseur, d’importantes subventions. A cours d’argumentation il centre sur l’augmentation de la dette qui a servi à transformer la ville : écoles, site des chantiers, réseaux défaillants. Ces investissements ont permis d’impliquer l’État et l’Europe. M. Vuillemot, Adjoint sous la municipalité Paul, fait l’impasse sur la dette énorme qu’il a laissée pour des investissements qu’il faut chercher à la loupe. On verra bien l’an prochain, si les subventions seront aussi importantes que sous A. Paecht. Le pari est pris. Attendons ! Avez-vous conscience que La Seyne va dans le bon sens ! Plus rien ne bouge, les spéculateurs têtes de turcs ont fait les choux gras de la municipalité actuelle. M. Vuillemot voulait faire fuir les constructeurs, la crise du logement, hélas, risque de s’aggraver. Tout cela est dramatique pour l’emploi. Dans ce tableau où la municipalité s’endort douillettement, un signal s’allume : celui d’un casino sur l’ancien site des chantiers navals. Là où la ville attendait un pôle théâtral, elle va trouver un pôle de jeu. Quel beau challenge ! Mobilisons les énergies de La Seyne pour d’autres projets alternatifs ».
Var-Matin, 24 janvier 2009 : « De Tamaris aux Sablettes, la belle époque des casinos » - « Bâtis entre 1887 et 1905, les trois paris de Michel Pacha » - « La fièvre du jeu à l'heure mondaine » - « Lieux de distraction pour les touristes curistes - Petits chevaux, baccara et vie mondaine trépidante » - « A compter du 13 mars 1946, plusieurs exploitants s'y sont succédé jusqu'en 1994, date de sa fermeture définitive. La fin des années 1980 marque un tournant. En 1988, le dernier exploitant, originaire de Paris, en reprenant le flambeau, obtient une autorisation pour l'exploitation de trente machines à sous. Celles-ci distraient les joueurs, déjà habitués à la boule (un autre jeu de hasard) au-delà de toutes les espérances. Banco ! « Très vite, grâce à ces machines, l'établissement qui accueille aussi un bar et une discothèque réalise là plus grosse recette de France, se souvient Roger Madem. C'est une preuve du potentiel exceptionnel du site ! ». L'euphorie sera de courte durée. Convaincus de blanchiment d'argent sale par un juge d'instruction, le directeur et la gérante du casino sont arrêtés et écroués. Un arrêté ministériel prononce la fermeture administrative le 4 octobre 1994. Dès lors, on ne flambera plus jamais sur les tapis verts du casino des Sablettes. Pourtant, certains barons du jeu misent sur sa renaissance. En 1996, le propriétaire du casino d'Hyères et de Bandol reprend l'affaire qu'il n'exploite pas faute d'autorisation, et finit par la céder au groupe Partouche » - « Partouche locataire non exploitant jusqu'en 2006 » - « Depuis 1994, l'espoir de la réouverture » - « Josette et Roger Madern, propriétaire du dernier casino exploité jusqu'en 1994. L'établissement est aujourd'hui un exceptionnel espace de réception qu'ils aimeraient voir renouer avec sa fonction première » (JMV).
Le Seynois, N° 4, (avril 2009) - Page 31 : Le Seynois : « En ce qui concerne les grands projets sur le site des anciens chantiers, après le renoncement au centre de conférence, on parle de Casino et de salle de spectacle, où en est-on du port de plaisance et de l’aménagement des « ateliers mécaniques » ? » - Marc Vuillemot : « Notre politique n’est pas le renoncement, bien au contraire. J’ai dit ce que je pensais du fait que l’on recoure à l’installation d’un Casino pour, d’une part, en tirer des recettes pour la commune et, d’autre part, nous doter d’une salle de spectacles. Nous ne pouvons pas faire autrement. Les générations futures jugeront de notre volonté de ne pas ruiner la ville mais au contraire de la faire se développer de façon diverse et harmonieuse. C’est d’ailleurs pourquoi, non seulement le port de plaisance, qui est un bon projet, mais aussi l’aménagement de l’ancien atelier mécanique, restent pour nous des objectifs primordiaux. Nous avons discuté, renégocié ; les partenaires privés, concernant les ateliers mécaniques, nous ont écoutés et ont répondu de façon intelligente à nos demandes ou remarques sur le projet. Il est clair que nous avons été compris lorsque nous avons expliqué que ce nouveau pôle urbain et commercial, non seulement ne doit pas concurrencer le centre ancien mais au contraire permettre au centre ville de décoller ».
Var-Matin, 12 novembre 2009 : « Trois candidats en lice pour le futur établissement de jeux » - CASINO - « Trois groupes ont répondu à l'appel à candidatures lancé par la Ville. Les enveloppes seront officiellement ouvertes demain » - « Le casino de La Seyne sera construit sur un espace de 5000 m2 sur le site des anciens chantiers navals juste entre le parc de la Navale et l'esplanade marine - Une salle de spectacles de 500 à 700 places » - « Joagroupe, candidat à La Seyne et en conflit avec Sanary - Le plus « gros » des trois candidats est, sans doute, Joagroupe, troisième opérateur français de casino, avec vingt établissements de jeu dont celui de La Siesta à Antibes (06). Le groupe s'est vu attribuer en 2006 le projet de construction et d'exploitation du casino à Sanary, estimé à près de 23 millions d'euros, avant de renoncer cette année. Depuis, la commune est en conflit avec le casinotier. Le deuxième groupe en lice est Vikings-Casinos. Créée en 1998, la société basée en Normandie exploite aujourd'hui sept casinos trois casinos, dont cinq créations. Pour l'anecdote, Vikings serait également candidat au troisième appel d'offres reconfiguré lancé par Sanary ! Enfin, le troisième groupe à s'être installé à la table de jeu serait la Financière Royal Resort, qui possède trois casinos, celui de Mandelieu, du Cap d'Agde et de Megève » (OM).

2010
Var-Matin, vendredi 6 août 2010 : « Le « casino de la rade » espère ouvrir en 2013 - PARC DE LA NAVALE - La délégation de service public a été confiée au groupe Joa. Salle de spectacle et restaurants au bord de l'eau, le projet est estimé à 20 M€ » - « Les élus PCF divisés sur la question ? » - « « Joagroupe est très motivé pour construire le casino à La Seyne, ils veulent prendre de vitesse le projet de Sanary. Ils souhaitent même monter, pendant le chantier, un casino de 1000 m2 sur un bateau qui sera accoste à la grande forme », affirme une source anonyme proche du dossier » - « Si le casino n'existe pour l'heure seulement qu'en maquette, il a déjà hérité d'un surnom : le deuxième porte-avions de la rade, avec sa forme rectangulaire, son long « ponton » blanc et son « îlot » couleur métallique, dressé comme une tour de contrôle. Pour la commune, très endettée, le casino doit représenter une bouée de secours avec une rentrée financière annuelle estimée entre 2,5 et 2,8 millions d'euros » (MV).

Var-Matin, vendredi 6 août 2010

Var-Matin, samedi 7 août 2010 : « Casino : la commune mise gros » - ÉCONOMIE - « Le conseil municipal a voté hier la délégation de service public pour le groupe Joa. L'opposition la plus virulente est venue... de l'intérieur de la majorité » - « Déplorable et irresponsable » - « Marc Vuillemot a présenté les grandes lignes du projet. Si les délais sont tenus, l'établissement ouvrira ses portes fin 2013. Un casino provisoire pourrait s'installer dans la grande forme, dès la fin de l'été 2011 » - « Le projet global n'est pas visible » - « Le soutien d'Arthur Paecht. Avant Falco ? » (PZ).
Var-Matin, mardi 7 septembre 2010 : « Casino : c'est le monde à l'envers. Jean-Pierre Meyer, secrétaire de la section ouest-Var du PCF, ne digère toujours pas que la municipalité de gauche de La Seyne puisse être à l'initiative de la construction d'un casino. « Comment se fait-il qu'à Sanary, l'UMP et le PS sont contre le casino et qu'à La Seyne, l'UMP et le PS sont pour ? ». Sans parler de certains élus PCF qui ont voté pour des deux mains » ».
Le Seynois, N° 18 (septembre 2010), pages 26-28 : « Développement : Des chantiers d'avenir » - « Le 6 août, le Conseil municipal prenait deux décisions de poids concernant le site des anciens chantiers navals : le choix d'un opérateur pour construire et exploiter un casino, et un investissement de 2,8 millions d'euros pour rénover les quais devant accueillir en hivernage des yachts de grande plaisance... En page 28, un entretien avec Marc Vuillemot, Maire de La Seyne-sur-Mer, commentant ces investissements, privés et publics » - « A l’horizon 2013, le casino devrait voir le jour entre le Parc de la Navale et l’Esplanade Marine » - « JOA Groupe, troisième opérateur de casinos en France, exploite 20 casinos. Outre les jeux, le groupe propose des restaurants, des bars, des discothèques, des hôtels, des salles de cinémas, des bowlings... Il est également spécialiste de la prévention des addictions. Une mise en œuvre en deux phases :
- un casino provisoire (ouverture prévue fin de l'été 2011) pendant la construction du casino définitif
- le casino définitif à l'issue des travaux (vers fin 2013)
Deux ministères règlementent et contrôlent les casinos : Intérieur et Budget. Les casinos sont désormais reconnus au rang des délégations de service public » - « Classée station balnéaire et touristique depuis février 2008, la Ville pouvait prétendre à l'ouverture d'un casino. Une bonne façon d'apporter des recettes au budget de la commune et de concourir à la création d'emplois. Le tout via une délégation de service public (DSP) comprenant deux contrats conclus pour une durée de 20 ans l’un pour la conception, le financement, la construction et l'installation des équipements, l’autre pour l'exploitation du casino, des restaurants et de la salle de spectacle. Au terme de cette DSP, tous les ouvrages réalisés et financés par le délégataire appartiendront à la commune. Le projet de casino prévoit une ou plusieurs salles de jeux, deux restaurants, un café-bar, un espace de loisirs pour les joueurs ou non joueurs et une salle de spectacle de plus de 700 places dont plus de 300 assises. Sans compter une centaine de places de stationnement. Le projet estimé à 20 M d’euros, s'intègre dans le programme d'aménagement du site des anciens chantiers navals : « Ce site, au cœur de l'agglomération, doit connaître un développement équilibré et divers, explique le Maire, Marc Vuillemot. Le projet de casino, tout comme l'accueil de yachts en hivernage, entre dans ce cadre, et constituerait une vraie ressource financière supplémentaire pour notre ville ». De fait, le montant total des contributions financières du casino à la municipalité est estimé à plus de 60 millions d'euros sur les 20 ans de la DSP. La construction du casino se fera en deux phases. Un casino provisoire devrait voir le jour fin d'été 2011, avec la création de 45 emplois, et le casino définitif, construit en parallèle, sera livré fin 2013, avec 100 emplois créés. Après la signature de la convention de DSP et du bail (le terrain appartient à la commune),il faut compter deux mois pour le contrôle de légalité. Passé ce délai, le délégataire et la Ville iront alors défendre le dossier devant la Commission supérieure des jeux, dont l'avis est un préalable à la décision du ministère de l'Intérieur. Sitôt l'autorisation ministérielle acquise, le délégataire pourra aménager un casino provisoire et préparer le permis de construire pour le casino définitif. Une fois le permis obtenu, JOA Groupe devra solliciter auprès du ministère de l'Intérieur, une autorisation de transfert dans les locaux définitifs. Pour Laurent Lassiaz, président de JOA Groupe, le projet est viable : « Nous ne répondons pas à tous les appels d'offres. Nous avons choisi celui de La Seyne pour la qualité du site proposé et le potentiel de la zone de chalandise. Nous n'investirions pas autant sur un projet si nous n'étions pas convaincus de sa réussite. Nous voulons créer un espace de loisirs et de détente pour tous, joueurs ou non joueurs, en respectant l'environnement. Contrairement à certaines idées reçues, le casino n'est pas un lieu de perdition. Chez JOA Groupe en 2010, la dépense moyenne aux jeux par visite est estimée entre 40 et 50 euros ».
Publicité, 6-7 novembre 2010 : « 4e Salon du Mariage - Casino des Sablettes ».


2011
Var-Matin, mardi 11 janvier 2011 : « Casino : La Ville attend encore la mise initiale - ÉCONOMIE - Malgré un retard de signature, le projet est toujours défendu par le groupe Joa qui se dit « très motivé ». L'autorisation du ministère de l'intérieur n'est pas encore donnée » - « Joa Group : « En attente de réponses bancaires » - « Le futur casino doit être implanté à cet endroit, dans le parc de la Navale, face à la mer. En médaillon, ta maquette du futur établissement. » - « Qu'y aura-t-il dedans ? : Le projet prévoit une ou plusieurs salles de jeux, deux restaurants (dont un gastronomique), au moins un bar, une salle de spectacle modulable d'une capacité de cinq à sept cents places, dont au moins trois cents places assises, des locaux administratifs et techniques, des espaces extérieurs et des places de parking » - « Paecht : « Un casino oui, mais pas en centre-ville ». D'après l'ancien maire seynois, Arthur Paecht, il y aurait une, voire plusieurs ombres au tableau. Il l'assurait déjà lors du dernier conseil municipal, en décembre : « Il n'y aura jamais de casino à cet endroit. Il y a mille raisons. Vous faites des plans sur la comète ». Selon lui, « la réglementation prévoit qu'un casino doit se situer à une certaine distance d'établissements scolaires ». Or, il rappelle que, « dans le périmètre se trouvent deux centres de formation (le CFA des métiers de la mer et l' IPFM - Institut de promotion et de formation aux métiers de la mer - Ndlr). Ensuite, il y a le parc public qui accueille des enfants ». Autant de « problèmes » qui se poseront « au moment de l'examen technique du dossier par la commission supérieure des jeux ». Après vérification auprès de la préfecture au sujet de ces « problèmes », la réponse est la suivante : « Les règles d'implantation des casinos n'imposent pas de distances minimales vis-à-vis des écoles ». Casinos de France, premier syndicat national des casinotiers, confirme, par la voix de son délégué général, Jean-François Cot : « Il n'y a pas, à notre connaissance, de réglementations interdisant la proximité d'un casino avec des établissements scolaires ». Dont acte (JP et MG).
Le Seynois, n° 22 (mars 2011), page 22: « Le Comité d'intérêt local La Seyne Ouest et Sud (CILLSOS) tiendra son assemblée générale le samedi 26 mars à 14 h dans les salons du Casino des Sablettes ».
Publicité, du jeudi 16 au lundi 20 avril 2011 : « Salon de la Voyance au Casino des Sablettes ».


Var-Matin, mardi 19 avril 2011 : « Casino les jeux sont faits - ÉCONOMIE - La Ville et le casinotier Joa groupe ont enfin signé. D'ici 2014, sur le site des chantiers, 5 800 m2 seront consacrés au jeu et aux loisirs. Une manne » - « Le » casino de la rade - « Cent emplois à la clé » - Le casino, installé au bout du parc de la Navale, proposera deux salles de jeu vitrées, avec vue plongeante sur la rade ; une salle de spectacle modulable de 700 places, des cafés avec un espace bibliothèque ainsi qu'un parc de stationnement couvert. L'ensemble sera surmonté par une « vigie » dédiée à la restauration » - « C'est sur un tapis vert de circonstance que le maire de La Seyne et le président du groupe Joa Laurent Lassiaz ont signé la délégation de service public » - « 2012 : un casino provisoire et flottant. En attendant la livraison de son casino, Joa souhaite installer un établissement provisoire... sur l'eau » - « Nous réfléchissons aux modalités techniques, mais le principe est déjà acté : soit une barge arrimée au bord du quai, soit un yacht ou un bateau de croisière déjà équipé de salles de jeux » (CG).

Var-Matin, 19 avril 2011

Le Seynois N° 24 (juin 2011), page 17 : « DSP Casino : c’est signé ! » - « A l’horizon 2014 le casino définitif devrait voir le jour entre le parc de la Navale et l’esplanade Marine » - « 60 millions pour la ville »
Var-Matin, mardi 16 août 2011 : « Le projet de casino flottant rebondit aux Sablettes - ÉCONOMIE - Le groupe Joa étudierait l'option consistant à installer des machines à sous dans les salons du « Grand hôtel » » - « Récemment rénové, l'établissement des Sablettes dispose de grandes salles de standing qui semblent séduire le groupe Joa. D'autant que le bâtiment présente toutes les garanties : déjà aux normes de sécurité, avec accès pour les personnes à mobilité réduite, il dispose aussi d'une salle des coffres » - « Des agréments compliqués » - « L'accord tacite de la Ville » (MG).
Le Seynois, N° 28 (décembre 2011), page 12 : « Casino - Première étape - Le projet du futur casino est en marche ! En attendant sa livraison parc de la Navale, JOA ouvre en 2012, un casino provisoire aux Sablettes - Pour l’heure, la décision du ministère de l’Intérieur n’est pas encore connue, puisque l’instruction est toujours en cours. Une fois l’autorisation obtenue, JOA Groupe pourra véritablement aménager le casino provisoire et lancer le chantier du casino définitif dont le permis de construire a été déposé. Ensuite, l’heure sera venue de solliciter une autorisation de transfert dans les locaux définitifs.
Var-Matin, vendredi 18 novembre 2011 : « Casino provisoire : Joa mise sur les Sablettes - Oubliée la barge flottante qui devait héberger l'activité le temps de la construction de l'établissement de jeux en centre-ville. Le casinotier a jeté son dévolu sur les salons de la station balnéaire » - « Roger Madern et son épouse, les propriétaires du Grand-hôtel casino des Sablettes, vont louer leur bien à la société Joa, qui exploitera ici son casino provisoire » - « Plus simple, plus rapide » - « Lancement de l'enquête publique » (MG).
Var-Matin, mercredi 23 novembre 2011 : « Accueil nuancé pour le retour d'un casino aux Sablettes - L'annonce de l'installation d'un établissement de jeux, pour une durée de deux ans, fait beaucoup parler dans le quartier. Si certains avis divergent, la majorité y voit plutôt une bonne nouvelle » - « B.B. pense que l'ouverture du casino représente une cc embellie » pour la ville. Il est persuadé que les employés et les clients de l'établissement de jeu consommeront forcément dans le quartier » - « Dynamiser le quartier toute l'année » - « Faire découvrir Les Sablettes » (MV).
Var-Matin, mardi 29 novembre 2011 : « Futur casino : l'enquête publique est ouverte - Les nombreux documents sur l'historique et les orientations du projet sont consultables jusqu'au 8 décembre, dans les locaux des services techniques de la mairie » - « Des projections architecturales incluses dans le dossier d'enquête publique permettent de se faire une idée sur le standing de ce casino » - « Restaurants, brasserie,« stade », bibliothèque » - « Une salle de spectacle modulable » (JP).
Var-Matin, vendredi 9 décembre 2011 : « Casino : l'enquête publique entachée d'avis négatifs - Ouverte le 28 novembre dernier, la procédure a été clôturée hier. Faute de consensus, le dossier devra sans doute repasser en conseil municipal » - « Les Seynois auront eu neuf jours ouvrés pour prendre connaissance du dossier du groupe Joa, présenté au service de l'urbanisme » - « Inquiétude et opposition frontale : (...) peu avant 16 h - heure de clôture de l'enquête, M. Galibert a reçu deux avis défavorables. « le premier estime que le casino définitif devrait être installé aux Sablettes, lieu traditionnel d'activité des casinos à La Seyne. C'est un avis auquel on peut répondre qu'un équipement structurant comme celui-ci ne doit pas être excentré mais bien au cœur de la ville » - Le second avis, qui émane de représentants du PCF seynois, se présente en revanche comme une opposition frontale au projet. « En substance, précise le commissaire enquêteur, ils estiment que la vocation de ce site exceptionnel - celui des anciens chantiers navals - est d'accueillir des emplois industriels qualifiés (dans la construction navale, les navires de grande plaisance ou la recherche océanographique), et non des emplois touristiques prétendument sous-qualifiés et pas forcément pérennes » (MG).
Var-Matin, samedi 17 décembre 2011 : « PCF : « Le casino n'est pas un projet de gauche progressiste » » - « la section locale du Parti communiste est fermement opposée au projet de casino sur l'ancien site des chantiers navals » - « Réindustrialiser le site de La Seyne » (AV B)
Var-Matin, mercredi 21 décembre 2011 : « Le conseil donne son feu vert pour le casino - Après l'enquête publique, le conseil municipal s'est réuni hier pour donner un avis favorable au projet de Joa Groupe sur le site des anciens chantiers » « Le maire a proposé de donner un avis favorable au projet » - « Joseph Pentagrossa a plaidé en faveur du casino » - « Marcel Barbero a donné ses arguments contre le projet » - « Christine Sampéré s'est abstenue lors du vote : Selon l'élue PCF, le casino est « un projet de tout tourisme de luxe », qui contribue à faire de La Seyne un « bronze-cul ». Elle a regretté que la municipalité n'ait pas procédé à un référendum sur la question, alors que le PCF a organisé un « vote citoyen ». « Sur deux cents Seynois consultés, seulement trois souhaitent un casino », a-t-elle précisé (MV).


2012
Var-Matin, vendredi 20 janvier 2012 : « Joa veut « changer le regard des gens sur les casinos » - Dans l'attente du feu vert de la commission des jeux, le président du directoire du groupe Joa nous a accordé une interview dans laquelle il fait le point sur l'avancement du projet de casino » - « Vue extérieure du futur. casino en centre-ville, dont les travaux dureront entre 20 et 24 mois. Ouverture prévue dans le courant de l'année 2014 » - « Aux Sablettes, tout sera mis en œuvre pour satisfaire la clientèle »,indique Laurent Lassiaz » - « Devant la commission des jeux fin Janvier ? » (MG).
Le Seynois, n° 29 (janvier 2012), page 13 : « Futur casino : Projet adopté ! Après la clôture de l’enquête publique, le 8 décembre dernier, le conseil municipal s’est réuni le 20, pour répondre à de nouvelles interrogations et se prononcer

Le Seynois, n° 29 (janvier 2012), page 17

Le Seynois, n° 29 (janvier 2012), page 17 : Opposition : « Le conseil municipal vient d'être saisi d'un grand projet porteur pour l'emploi selon le Maire : un casino. On croit rêver. On fait comme si par un coup de baguette magique, les jeux allaient sauver La Seyne d'une économie totalement déprimée. Et puis, il y a là tout un symbole : un casino sur l'espace des chantiers navals où se sont succédé des générations d'ouvriers, employés, techniciens et cadres. Sur ce territoire se sont déployées à chaque époque les technologies de la mer qui ont permis de faire connaître La Seyne dans les grands ports du monde. Là, sur un espace où devait être implantée une salle de conférences (projet que l'actuelle municipalité a tué dans l'œuf), pour diffuser le savoir, on retrouve un espace de jeux. N'était-il pas préférable de renforcer le casino des Sablettes dans un quartier très fréquenté en été. Pourquoi ne pas avoir cherché à rattacher l'espace du projet de casino et celui de l'atelier mécanique pour mutualiser ce territoire avec le pôle mer de Brégaillon prévu à l'accueil d'entreprises de technologies marines. L'imagination au départ, puis la volonté n'ont pas été au service de solutions innovantes. Là était pourtant la voie pour faire émerger un vivier d'emplois durables.
Aux deux tiers du mandat quel est le bilan :
- l'abandon du théâtre de TPM qui ne coûtait rien à la ville ;
- l'abandon de la salle de conférences ;
- un port que l'on a fait basculer dans la rade parce qu'il était dédié aux trop riches, mais on tolère un casino ;
- un parking qui, avec ses tiges de béton rouillées, attend toujours sa construction ;
La municipalité trouvait le projet de Marépolis pharaonique. Il ne pouvait pas être supporté financièrement, mais il avait au moins le mérite de faire rêver. Un casino peut donner l'espoir de devenir riche, mais avec combien d'illusions et surtout combien de perdants ! ».
Le Seynois, n° 30 (février 2012), page 3 : Marc Vuillemot : « Et notre ville en sort grandie. La Seyne est bien vivante et active malgré les difficultés. En janvier, parmi les nombreux rendez-vous qui jalonnent mes journées et mes semaines, j'ai reçu les responsables régionaux de la Caisse des dépôts et consignations (page 9) et je me suis rendu à Paris pour un "grand oral" devant la "Commission supérieure des jeux"... J'ai bon espoir que notre démarche aboutisse et le casino sera un atout supplémentaire pour notre ville... Encore un combat
Le Seynois, n° 30 (février 2012), page 22 : Expression de l’opposition : « OUVRIR D’AUTRES PERSPECTIVES QUE LE JEU ! Le groupe municipal d’opposition a fait valoir de fortes réticences pour installer un casino sur le site des anciens chantiers. En effet, il est préférable de redonner vie au casino des Sablettes et diversifier ses activités plutôt que de choisir la première solution. L’opposition considère en effet que les emplois les plus productifs ne peuvent naître qu’en liaison avec le pôle d’excellence mer piloté par TPM.
Var-Matin, vendredi 23 mars 2012 : « Les casinos de la côte... toujours pas autorisés - Après le passage en commission supérieure des jeux, fin janvier, les municipalités de La Seyne et Sanary guettent avec impatience la décision du ministre de l'intérieur. Mais le doute grandit » - « Questions à Laurent Lassiaz, président du directoire du groupe Joa : « Une certaine inquiétude » - « La loi prévoit que toute ouverture d'un casino doit obtenir une autorisation du ministère de l'Intérieur, après consultation de la commission supérieure des jeux. Laquelle a rendu un avis favorable pour La Seyne et Sanary » - « Le silence interpelle » - « Les municipalités embarrassées » - « J'espère que la raison l'emportera » (MG).
Var-Matin, mardi 17 avril 2012 : « Jeux : trois nouveaux casinos dans le Var. Ces établissements verront le jour à Sanary, La Seyne et Fréjus » - « Les casinos varois - À l'Ouest, deux nouveaux concurrents pour Partouche - À l'Est, Barrière menacé » - « Le casino de La Seyne sera créé par le groupe Joa, 3e opérateur français, sur le site des ex-chantiers navals » - Questions à François Trucy, sénateur, membre de la commission supérieure des jeux : « Les établissements de jeux sont devenus très cleans » - « Luc Le Borgne, directeur général des casinos Vikings, va exploiter deux nouveaux établissements dans le Var : Fréjus et Sanary » - « Le palmarès : Sur 195 casinos, les cinq établissements varois se classent ainsi, par rapport au produit brut des jeux (pour la saison 2010-2011) : - 28e : Hyères ; 33e : Saint-Raphaël ; 37e : Bandol ; 69e : Sainte-Maxime ; - 78e : Cavalaire » (CG, MG et CA).
Le Seynois, n° 32 (avril 2012), page 17 : « Enfin, concernant le Casino, Claude Astore a assuré que la Commission nationale des jeux a émis un avis favorable pour l’implantation de JOA Groupe, - l’équivalent de la Française de jeux au Québec - relève encore l’adjoint. Reste à obtenir le sésame pour le démarrage des travaux : l’autorisation du ministre de l’Intérieur ».
Var-Matin, mercredi 23 mai 2012 : « Casino aux Sablettes : la machine est lancée - Le groupe Joa annonce l'ouverture de son établissement provisoire pour la saison estivale. Le directeur du casino est nommé, les travaux et les recrutements sont en cours [Quarante postes à pourvoir] » - « Dylan Peyras, nommé directeur du casino de La Seyne, et Laurent Lassiaz, président du directoire du groupe Joa, préparent l'ouverture de l'établissement de jeux aux Sablettes » - « Questions à Dylan Peyras, directeur du casino : « Attirer des clients rétifs au jeu » - « Joa mise beaucoup sur la restauration pour séduire. Qu'en sera-t-il ? La restauration est un aspect important pour faire découvrir nos établissements à des clients rétifs au jeu. D'où l'idée de proposer des bonnes tables accessibles à tous budgets. Nos chefs sont donc formés à l'institut Paul-Bocuse, et nous proposerons des repas avec un ticket moyen de 15 à 18 euros. Aux Sablettes, le restaurant (de 40 places) sera dans la rotonde, et un bar (d'une cinquantaine de places) servira des snacks sur la terrasse, face à la mer » (MG).
Le Seynois, n° 33 (mai 2012), page 3 : « La Seyne avance - Le Casino va démarrer. Les dernières inquiétudes sont levées quant aux retards ministériels. C'est un projet d'envergure qui se réalise, et dont on ne mesure peut-être pas toutes les conséquences pour le bénéfice et la dynamisation future de la ville. (Marc Vuillemot) ».
Le Seynois, n° 33 (mai 2012), pages 4-5 : « Casino : La Seyne joue ses atouts » - « La Seyne-sur-Mer aura bien son casino. Le ministère de l'Intérieur a donné le feu vert pour la création et l'exploitation d'un établissement de jeux. Comme prévu, en attendant sa construction sur le site des anciens chantiers navals, c'est aux Sablettes que le casino provisoire ouvrira ses portes, dès cet été. Entre créations d'emplois et retombées économiques, un projet important pour la ville se réalise... » - « Le groupe JOA investit 20 millions d'euros dans la réalisation du casino définitif ».
Le Seynois, n° 34 (juin 2012), page 16 : « Dylan Peyras. Directeur du futur casino - Pas encore Seynois, mais presque. Arrivé de la Côte-d'Or pour le projet global du casino de La Seyne, Dylan Peyras s'apprête à prendre ses fonctions » - « Dylan Peyras, 37 ans, va diriger le casino provisoire installé dans l'ancien casino des Sablettes, fermé depuis 1992 » - « De la Bourgogne à la Provence, il n'y avait qu'un pas... et quelques vignobles. Venu de Santenay (Côte-d'Or), où il dirigeait jusqu'à aujourd'hui l'un des casinos du groupe JOA, Dylan Peyras se dit ravi d'étoffer ses connaissances œnologiques dans la région des vins rosés. Originaire de Lourdes, issu d'une famille de restaurateurs, il a lui aussi, embrassé la carrière de cuisinier, après une formation à l'École hôtelière de Toulouse. Ensuite, diplôme en poche, le jeune cuistot est parti travailler au Club Méditerranée, un peu partout dans le monde, pendant six ans. En 2002, il intègre le casino : « Cet univers féérique m'attirait, me faisait rêver, et chez JOA, on est attaché à cet esprit. Au départ, j'étais davantage attiré par le domaine de la restauration, que celui des jeux ». Pourtant, quelques années plus tard, il se forme aux différents métiers d'un établissement de jeux, jusqu'à accéder au poste de directeur général, d'abord à Saint-Jean-de-Monts, en Vendée, puis à Santenay. Depuis 10 ans dans les casinos de JOA Groupe, Dylan Peyras apprécie « l'ambition et la dynamique du groupe avec un côté "développement" très intéressant ». Quand il a eu vent de la création d'un casino à La Seyne-sur-Mer, il a tout naturellement posé sa candidature : « Un projet exceptionnel, car il n'y a pas d'ouverture de casino tous les ans, et des investissements de cette sorte, ce n'est pas donné à tous les groupes non plus ».
Var-Matin, vendredi 15 juin 2012 : « Partouche attaque les projets de casinos à La Seyne et Sanary - Motif de la procédure : Une "saturation du littoral varois", qui compterait, selon Partouche, déjà suffisamment de casinos » - « Tous ces éléments étaient déjà pris en compte par la commission supérieure des jeux et le ministère de l'intérieur, qui ont pris leur décision en connaissance de cause », défend Luc Le Borgne, directeur général de Vikings Casino, qui doit construire et exploiter un établissement de jeu à Sanary » (CG).
Var-Matin, mardi 26 juin 2012 : « La Seyne aura bien son casino de jeux - Le tribunal administratif de Toulon a confirmé la validité des deux projets de l'Ouest-Var ».
Var-Matin, mardi 26 juin 2012 : « Les casinos de La Seyne et Sanary bien « autorisés » - Le groupe Partouche demandait de « suspendre l'exécution de l'arrêté ministériel autorisant l'ouverture » des deux établissements. Il a été débouté par le tribunal administratif de Toulon » - « Le groupe Joa ouvrira un casino provisoire le jeudi 5 juillet sur le site de l'ancien casino des Sablettes » - « Pas d'erreur manifeste du ministère » (SO B et PH B).
Var-Matin, mercredi 4 juillet 2012 : « J-1 avant de faire vos jeux aux Sablettes ! - Trois mois après avoir obtenu l'autorisation d'exploitation des jeux, le groupe Joa ouvre, demain matin au public, son établissement installé dans l'ancien casino des Sablettes » - « Dylan Peyras, le directeur du casino, montre aux élus seynois les machines à sous dernier cri acquises spécialement pour cet établissement. Elles fonctionnent à partir d'une mise d'un centime d'euro » - « Laurent Lassiaz, patron du groupe Joa : « Nous voulons changer le regard des gens sur les jeux » » - « L'attente est forte » (MG).

Var-Matin, 4 juillet 2012

Var-Matin, mercredi 12 septembre 2012 : « Au casino des Sablettes, « entre 500 et 600 visiteurs par jour » - « Avec une fréquentation présentée comme conforme aux établissements de dimension comparable, la direction du groupe Joa dresse un bilan positif de la première saison estivale » - « Dylan Peyras, directeur du casino, accueille dans son établissement une clientèle essentiellement seynoise et toulonnaise » - Quels sont les jeux les plus prisés ? : « Les machines à rouleaux qui rappellent les anciennes machines mécaniques. Également prisées, les machines dernier-cri avec écran 3D et la possibilité de programmer quatre jeux différents. Pour les jeux traditionnels (le black-jack et la roulette anglaise), nous avons enregistré environ 2500 visiteurs sur les deux mois d'été. Chaque soir, nous avons aux tables entre 50 et 70 joueurs, avec des pics à 120 le week-end. Et ce, alors que nous sommes limités à deux tables. Mais clairement, il y a dans le Sud une culture pour ce type de jeux » (MG).
Le Seynois, n° 36 (septembre-octobre 2012), pages 36-37 : « Casino des Sablettes : Première saison estivale - Ouverture réussie pour le casino : 15 000 visiteurs en juillet et 18 630 en août ont apporté la preuve qu’un casino à La Seyne était attendu. Encore deux saisons aux Sablettes et le casino définitif ouvrira ses portes, parc  de la Navale - Le casino dispose de 63 machines à sous, 7 postes de roulette électronique, 12 machines de poker et deux tables de jeux » - « Ceux qui le connaissaient avant, le retrouvent avec plaisir, agréablement surpris de cette belle remise à neuf. D’autres découvrent les lieux, admiratifs ».
Le Seynois, n° 37 (novembre 2012), page 17 : « Forages pour le casino : Le casino de La Seyne verra le jour en 2014. Sur le terrain, situé entre le parc de la Navale et l’esplanade Marine, on s’active déjà pour préparer au mieux la construction. Lundi 24 septembre, la société Seynoise ERG, un bureau d’étude spécialisé en géotechnique et environnement, a commencé les travaux d’étude des sols. Cette première phase voit une foreuse creuser des trous de plusieurs mètres, vérifiant que la qualité des sols soient propices à la construction du futur casino. La qualité des sous-sols ou encore l’impact environnemental sur la zone de construction sont étudiés. Une étape primordiale, qui lancera le début d’un chantier très attendu (SB).


2013
Le Seynois, n° 39 (janvier 2013), page 34: « Rétrospective 2012 - Juillet : ouverture du casino provisoire des Sablettes - Septembre : début des travaux sur le site du futur casino de l'esplanade Marine ».
Var-Matin, 5 juillet 2013 : « Casino Joa : un feu vert pour le premier anniversaire - Ouvert le 5 juillet 2012 aux Sablettes, le casino provisoire fête sa première année d'activité. Avec une bonne nouvelle: le ministère de !'Intérieur vient de valider le transfert vers le casino définitif » - « Pour fêter son ler anniversaire, le casino a mis en lumière sa façade et propose des animations spécifiques avec de multiples cadeaux à la clé » - Quelles ont été les sommes reversées aux joueurs et à la Ville ? « Nous avons reversé aux joueurs environ 23 millions d'euros de gains sur douze mois. Ce qui est conforme aux objectifs prévus, Et nous avons reversé, à ce jour, environ 400 000 euros à la Ville, sachant que, sur une année complète, l'estimation de redevance est de 750 000 euros » (MG).
Le Seynois, n° 46 (septembre 2013), page 19: « Casino - Préparation de chantier - En prévision de la construction du Casino sur le parc de la Navale en octobre, des tuyaux du réseau d'échange thermodynamique sur eau de mer, ont dû être déplacés » - « Rappelons que le futur Casino sera, à l'instar d'une partie des immeubles de Porte-Marine, connecté à cette pompe à chaleur très innovante : un système ingénieux d'échange d'eau de mer permettant la production de fraîcheur en été et de chaleur en hiver. Les travaux auraient dû démarrer juste après, mais l'organisation de la Tall Ships Regatta a quelque peu retardé le début des travaux. 22 mois seront nécessaires à la réalisation complète de ce bâtiment ».
Var-Matin, 4 octobre 2013 : « Le casino de La Seyne en marche : La première pierre de l'établissement de jeux et loisirs a été posée ce mercredi ».
Var-Matin, 4 octobre 2013

Var-Matin, 4 octobre 2013 : « Le futur casino doit « redynamiser le centre » - « La première pierre de cet espace de « jeux et de loisirs » a été posée mercredi soir du côté de l'esplanade Marine. Élus et casinotiers attendent beaucoup de cet établissement » - « Deux ans que Joa et la Ville ont signé la délégation de service public du casino. Entre-temps, il a fallu obtenir l'autorisation d'exploiter les jeux. Et « plaider devant une quarantaine de représentants de l'État », dit Marc Vuillemot, le maire, dans un sourire » - Questions à Laurent Lassiaz, président du directoire de Joa, vice-président du syndicat Casinos de France : « la Seyne, un casino pour bousculer les codes du métier » - « Le casino mesurera 5000 m2 et sera lumineux, histoire de « casser les codes du milieu », selon Laurent Lassiaz » (NH).
Le Seynois, n° 50 (octobre 2013), page 5 : « Avec la pose de la première pierre du casino, le 2 octobre, le site des anciens chantiers navals est entré dans sa phase de réalisation. Étapes suivantes, la construction du port de plaisance Michel-Pacha et la réhabilitation du bâtiment des ateliers mécaniques. Trois beaux projets créateurs d'emplois, de développement et de recettes pour la commune » - « Il aura donc fallu une génération pour que le site des anciens chantiers navals revive et connaisse une nouvelle activité. Hormis le Pont Levant et le parc de la Navale, les divers projets qui se sont succédé depuis 20 ans n'ont jamais pu voir le jour. Aujourd'hui, La Seyne est en passe de réussir sa mutation. Un casino, un cinéma multiplexe, un port de plaisance... Avec ces nouveaux équipements, la Ville a de quoi développer tout son potentiel économique, culturel, industriel et maritime. Au sein du premier département touristique de France, elle s'assure une nouvelle visibilité. Les investisseurs ne s'y sont pas trompés. Cent millions d'euros engagés pour les trois réalisations : 20 millions d'euros par Joa groupe pour la construction du casino, 42 millions d'euros par le groupement d'entreprises chargé de la réhabilitation des ateliers mécaniques (CGR Cinémas/Immochan/AOA/Burgeap) et 41 millions d'euros par la société Sifa Ports pour la construction du nouveau port de plaisance Michel Pacha ».
Le Seynois, n° 50 (octobre 2013), pages 7-8 : « Première pierre - Casino, l'acte II » - « Un bâtiment lumineux, tout en transparence, qui s'accorde avec l'environnement » - « Ouvert l'été dernier aux Sablettes en attendant son installation parc de la Navale, le casino est en construction » - « Laurent Lassiaz est un PDG heureux. Cette première année d'exploitation, aux Sablettes, est satisfaisante et laisse augurer de bonnes choses pour la suite : « Cet été, nous avons soufflé notre 1ère bougie, et le 2 octobre, nous avons posé la première pierre. Le programme se déroule comme prévu ». Le bilan est bon, « nous avons maintenant 55 salariés, donc, nous avons embauché plus que prévu ». La construction du casino devrait durer un an et demi : « Sur La Seyne, notre effectif sera de 110 à 120 personnes. Nous commençons déjà à travailler sur un gros projet, pour dimensionner le programme ». L'équipe sera formée deux mois avant l'ouverture et, six mois avant, le recrutement pourra commencer. Pour Laurent Lassiaz, l'activité à La Seyne devrait marcher : « Il y a un fort potentiel de développement. On va aussi renforcer les navettes dans le cadre de notre partenariat entre Toulon et La Seyne. Le bateau s'arrêtera devant le casino » - « La Seyne sera donc le 21ème casino du groupe Joa à sortir de terre ».
Var-Matin, 8 novembre 2013 : « Casino Joa : le chantier monte en puissance - Un mois après la pose de la première pierre du futur établissement, les travaux vont bon train sur le site des anciens chantiers navals. De quoi tordre le coup à certaines rumeurs ... » - « Sur le site des anciens chantiers, entre le parc de la Navale et l'Esplanade marine, l'heure est à la pose des soixante pieux qui soutiendront le bâtiment casino, à vingt mètres de profondeur » - « Tout avance correctement. Désormais, chacun peut se rendre compte que le projet est bel et bien lancé », se félicite Dylan Peyras, le directeur du casino » « Mise hors d'eau à l'été 2014 » - « Des rumeurs infondées : Pour l'heure, le directeur affiche sa satisfaction : « Tout cela avance correctement. Désormais, chacun peut se rendre compte que le projet est bel et bien lancé ... Un propos en forme de démenti aux rumeurs (de campagne électorale ?) qui laissent entendre que le chantier n'irait pas à son terme. « Pourquoi n'irions-nous pas au bout du projet ?, s'interroge Dylan Peyras. Ce sont les actionnaires du groupe Joa, et non la Ville, qui investissent plus de 20 millions d'euros. Et tous nos voyants sont au vert; donc il n'y a aucune raison de douter » ... Tout comme il n'y a pas lieu de penser que Joa restera aux Sablettes, comme certains l'affirment pourtant ? « On est locataires aux Sablettes jusqu'à l'ouverture du casino définitif. On rendra les lieux au propriétaire dans les règles de l'art ; il n'est pas dans nos projets de continuer à y exploiter une activité - même de restauration » » (MG).
Var-Matin, 21 décembre 2013 : « Les salariés du casino [de Bandol] maintiennent la pression » - « Claude François, représentant des salariés, réclame la tenue d'une table ronde sur l'avenir du casino, réunissant le maire, la direction et le personnel de l'établissement de jeu » - Tout le secteur du jeu est impacté par la crise... : « Certes, et l'ouverture d'un établissement à La Seyne a fait du mal à Bandol qui est un établissement vieillissant » (CG).
Var-Matin, 21 décembre 2013: « Chantier du casino : les riverains n'ont pas les jetons - Invités à s'exprimer sur d'éventuelles nuisances générées par les travaux en cours, les représentants des habitants du quartier affirment ne pas subir de gêne. Et ne pas appréhender la suite » - « A l'invitation de là municipalité, une vingtaine de représentants des riverains du quartier sont venus rencontrer les responsables du chantier du casino, sur l'Esplanade marine » - « Les grandes étapes des travaux : les représentants de Vinci ont présenté l'évolution du chantier aux riverains, en toute transparence » - « Un potentiel d'emplois pour la ville » (MG).


2014
Le Seynois, n° 50 (janvier 2014), page 26: « Esplanade Marine - Réunion de chantier - Une rencontre sur le chantier du casino a permis aux riverains d'être rassurés. Le terrassement, période la plus bruyante, avec l'enterrement des piliers souterrains, est terminé » - « Organisée par Allô La Seyne, une rencontre entre riverains, les membres du Comité d'intérêt local des Mouissèques, le maire, ses élus et les responsables du chantier du futur casino a permis de faire le point sur ces travaux qui viennent de démarrer sur l'esplanade Marine. Remplacée par une grue, la grosse foreuse a disparu. Cette dernière découpait des carottes pour y glisser les piliers d'enterrement qui soutiendront les fondations du Casino. « Ces rencontres permettent une compréhension mutuelle dans des quartiers, qui comme ici, paient un lourd tribut à l'urbanisation », explique le maire, Marc Vuillemot en préambule de la rencontre » - « Le chantier du casino doit être achevé au premier semestre 2015 » (SP).
Var-Matin, vendredi 10 janvier 2014 : « La Seyne et Sanary : rien ne va plus pour les casinos ? - Justice - Le recours déposé par le casino de Bandol a été examiné hier. Le rapporteur public préconise l'annulation de l'arrêté ministériel qui autorise les deux nouveaux établissements » - « Quel « impact cumulé » sur le casino de Bandol ? » - « Offre de Jeu inférieure à la moyenne » - « Me Lapisardi a pris la parole pour le casino seynois, "la partie qui va le plus souffrir, puisque les travaux ont déjà débuté". L'avocate a prédit "un désastre financier pour la société Casino de La Seyne, la commune et l'État "si le tribunal venait à suivre les conclusions du rapporteur. Elle a en outre demandé, que si une décision d'annulation devait être prise, celle-ci soit "modulée dans le temps". En clair : qu'elle ne soit pas rétroactive jusqu'au 5 juillet 2012, date depuis laquelle la société JOA exploite un casino provisoire aux Sablettes, ce qui poserait la question du reversement des sommes touchées depuis par la Ville et l'État » - « La première pierre du casino de La Seyne a été posée début octobre 2013. La livraison est envisagée pour l'été 2015 » (CG).
Var-Matin, samedi 11 janvier 2014 : « La menace sur les casinos de La Seyne et Sanary suscite l'incompréhension - Les promoteurs des deux projets ne comprennent pas la demande d'annulation de l'autorisation d'exploiter des jeux. Une contre-attaque est même annoncée à La Seyne » - Dylan Peyras (Joa) « stupéfait » - « Ferdinand Bernhard déconcerté » - « Luc Leborgne (Vikings) incrédule » - « François Trucy surpris » (MG).
Var-Matin, 7 février 2014 : « Casinos de la Seyne et Sanary : les autorisations annulées - Le tribunal administratif de Toulon retoque l'arrêté du ministère de l'Intérieur, mais les acteurs gardent espoir. Le casino des Sablettes peut continuer à fonctionner jusqu'au ler novembre » - « Le chantier est arrêté » - « Une nouvelle demande sera très vite déposée » - « Situation paradoxale à La Seyne : si le chantier du casino en centre-ville est arrêté, le groupe Joa se dit « soulagé » car son casino provisoire aux Sablettes peut continuer à fonctionner jusqu'au ler novembre, le temps de redemander une autorisation au ministère... » (MG).
Var-Matin, 21 février 2014 : « Le casino (encore) à l'ordre du jour du dernier conseil municipal lundi » - « (...) les élus auront à émettre à nouveau un avis (que l'on espère) définitif et favorable à la conception, la réalisation d'un casino ainsi qu'à la pratique des jeux sur la commune en vue d'un dossier de demande d'autorisation de jeux. Sur ce point, la municipalité n'a donc pas perdu de temps pour donner suite à la demande formulée par le délégataire (le groupe Joa Ndlr). Ces mesures font suite à la décision du Tribunal administratif de Toulon qui, le 6 février dernier, a décidé d'annuler l'arrêté du 26 mars 2012 (autorisant l'ouverture d'un casino de jeux) à effet du 1er novembreprochain » (KM).
Var-Matin, 25 février 2014 : « Nouvel avis favorable pour le casino - A l'unanimité (38 votants), les conseillers municipaux ont voté un « avis définitif favorable » dans le dossier du casino. En préambule, le maire a rappelé les péripéties juridiques qui amènent aujourd'hui le groupe Joa à effectuer auprès de l'État une nouvelle demande d'autorisation d'exploiter des jeux sur la commune » (KM).
Le Seynois, n° 52 (février-mars 2014), page 12: « Esplanade Marine - Le casino refait sa demande » - « Pour pouvoir exploiter son établissement de jeux, parc de la Navale, Joa Groupe a jusqu'au ler novembre 2014 pour obtenir une nouvelle autorisation » - « Le casino des Sablettes continue. L'annulation d'autorisation des jeux ne prendra effet qu'à partir du ler novembre 2014, ce qui laisse le temps au casinotier, de reformuler sa demande et d'espérer l'avoir avant le délai imparti. « Ce laps de temps est suffisant pour que Joa obtienne une nouvelle autorisation, et j'ai bon espoir que ce soit avant le ler novembre, afin de ne pas stopper l'activité du casino des Sablettes, qui continue jusque là » explique le maire » (CC).
Var-Matin, 17 mars 2014 : « Joa relance la procédure pour exploiter le casino - Une deuxième enquête publique relative à la demande d'exploiter des jeux par le groupe Joa va ouvrir mercredi. L'ultime étape avant d'espérer obtenir un nouveau feu vert du ministère » - « Lancé en octobre dernier sur le site de la Navale, le chantier du grand casino a été interrompu début février. Il reprendra dès lors que le groupe Joa aura obtenu une nouvelle autorisation du ministère » - « Objectif : aller vite » - « Le conseil municipal au diapason » (MG).
Var-Matin, 25 mai 2014 : « Le Grand hôtel des Sablettes, une histoire de famille - Depuis douze ans, Roger Madern et son épouse Josette réhabilitent ce très beau bien familial, aux normes d'un cinq étoiles. Une histoire de cœur et de goût » - « Le couple Madern devant le bâtiment majestueux qui regarde les Deux Frères depuis 1888, date de sa construction sous la glorieuse ère de Michel Pacha » - « 4000 m2 sur trois étages » - « A l'intérieur du bâtiment, il reste encore beaucoup à faire. Toutefois, le hall d'accueil et 17 chambres pourraient être prêts pour cet été » (MV).
Var-Matin, 26 mai 2014 : « Casino : un contretemps qui coûte cher - Un nouveau retard qui n'entame en rien le moral du casinotier, dont le directeur de la structure seynoise, présent, s'est même déclaré « 100 % confiant ». Mais qui a un coût. Le maintien de la grue, qui n'a plus bougé depuis la suspension du chantier, coûte 25000 euros par semaine à Joa Groupe. Autant dire que l'erreur initiale - « qui n'est ni du fait de la Ville ni de Joa «, comme l'ont largement asséné les uns et les autres n'est pas sans incidence. Et le seul fait de démonter la grue reviendrait à quelque 60000 euros ... Tous veulent croire, confiants, que les travaux, prévus pour durer entre 12 et 13 mois, reprendront juste après le passage devant la commission, en juillet ».
Le Seynois, n° 52 (juin 2014), page 10 : « De nouvelles recettes - L'exploitation du crématorium a déjà permis à la commune de compter sur 100 000 euros de recettes supplémentaires. Elle pourra tabler sur 200 000 millions d'euros chaque année. La grande plaisance, avec l'accueil de yachts de luxe à Porte-Marine a rapporté 430 000 millions d'euros en 2013. Le Casino installé provisoirement aux Sablettes est déjà pourvoyeur de recettes substantielles avec la taxe communale de 10 % sur le produit brut des jeux. Dès qu'il sera installé sur l'Esplanade Marine, la Ville pourra compter sur 5 % de plus. Autant dire un vrai trésor et une bouffée d'oxygène bienvenue dans les comptes communaux (SP).
Le Seynois, n° 52 (juin 2014), page 13 : « Esplanade marine : Casino et cinéma attendent le feu vert - Le sort des deux grands projets structurants de la Ville devrait être scellé cet été. Le chantier du casino parc de la Navale pourrait alors reprendre et celui du cinéma, commencer - Le groupe Joa, qui gère le casino de La Seyne, a en effet déposé une nouvelle demande d'autorisation d'exploitation des jeux, en préfecture, le 11 février dernier, après que celle-ci ait été annulée par le tribunal administratif de Toulon. Toutefois, la décision ne devant prendre effet qu'à compter du ler novembre 2014, l'établissement de jeux a pu redéposer une demande. Une enquête publique a eu lieu du 19 au 28 mars, avec un avis favorable. La préfecture a ensuite envoyé le dossier au ministère, le 4 avril, pour un prochain passage en commission. La suite est simple : avec une réponse positive, il faudra compter un mois pour recevoir l'arrêté du ministère, puis 15 jours pour redémarrer les travaux. En attendant, les activités du casino se poursuivent aux Sablettes » (CC).
Var-Matin, 2 juillet 2014 : « Casino : Joa et la Ville espèrent un nouveau feu vert » - Une décision « sous trois semaines » (MG).
Var-Matin, 5 juillet 2014 : « Joa espère relancer le chantier du casino début septembre - Après la réunion de la commission supérieure des jeux, qui doit rendre son avis sur l'autorisation d'exploitation du casino, Laurent Lassiaz, patron du groupe Joa, fait le point sur le dossier » - « Laurent Lassiaz veut rester prudent quant à la décision que prendra le ministère de l'intérieur avant la fin de l'été » - M. Vuillemot « confiant » (MG).
Var-Matin, 24 juillet 2014 : « Nouvelle autorisation pour le casino Joa de La Seyne - Le ministère de l'Intérieur a donné hier, pour la troisième fois, au groupe Joa, une autorisation d'exploitation des jeux à la Ville. Le chantier, arrêté depuis février, va pouvoir redémarrer » - « Lancé en octobre dernier sur le site de la navale, le chantier du grand casino a été interrompu début février. « « Les travaux vont reprendre en septembre » a déclaré le directeur Dylan Peyras » - « Une bonne nouvelle pour la ville aussi » - « Un chantier de douze mois » (CH).
Var-Matin, 18 août 2014 : « Le casino Joa lance la machine à spectacles - Joa veut se démarquer des autres casinos en devenant une destination de loisirs et en créant notamment, des événements musicaux comme le Tremplin des talents, ouvert aux inscriptions » - « Le directeur du casino Joa La Seyne, Dylan Peyras, et la directrice du service marketing, Alida Dye-Pellisson, ont déjà reçu quelques dossiers de candidature pour le tremplin des talents. Vous avez jusqu'au ler septembre à midi pour vous inscrire » « Marquer l'ADN du casino » - « Enregistrement au studio I-Records » (CH).
Var-Matin, 22 septembre 2014 : « Le casino et Bois-sacré au menu des élus - Les élus se réunissent en séance publique du conseil municipal demain, à partir de 8 h, à l'hôtel de ville. Trente-cinq points sont inscrits à l'ordre du jour. Il faut en retenir, notamment, la demande faite aux élus de donner un nouvel avis favorable à la demande de transfert du casino Joa, du site des Sablettes vers le site des anciens chantiers navals. Un avis que les élus ont déjà donné, mais qui doit être renouvelé depuis que le casinotier a obtenu, le 22 juillet dernier, une nouvelle autorisation d'exploiter des jeux après l'annulation de la précédente prononcée par le tribunal administratif en début d'année ».
Le Seynois, n° 54 (septembre-octobre 2014), page 13 : « Tremplin des talents JOA - 2ème édition - Avec toujours autant de brio, pour la deuxième année consécutive, le casino Joa organisait un tremplin musical, sur la terrasse du casino des Sablettes, les 10, 11 et 12 septembre derniers. Objectif, permettre à de nombreux artistes de se faire connaître et de remporter le prix des jeunes talents Joa 2014. Neuf artistes ou groupes, retenus par le comité de direction du casino, se sont produits sur scène, à l'image des télés-crochets. Trois candidats ont été sélectionnés, Andrea Caparros, Bertrand Borgognone et Max pour la grande finale du 19 septembre. Le lauréat a gagné l'enregistrement en studio d'un album six titres, avec mastering et pressage, à hauteur de 1000 exemplaires, ainsi qu'une promotion radio. A l'heure où nous mettons sous presse, nous ne connaissons pas encore son identité » (CC).
Var-Matin, 23 octobre 2014 : « Le casino mise sur une ouverture début 2016 - Interrompus le temps d'obtenir une nouvelle autorisation, les travaux ont repris. En attendant, Joa continue d'animer son établissement provisoire aux Sablettes » - « Où en sont les travaux, Esplanade Marine ? Nous avons obtenu la nouvelle autorisation le 23 juillet. le temps de vérifier que rien n'avait bougé sur le chantier (90 pieux soutiennent le futur casino), les travaux ont repris début septembre. Nous sommes toujours occupés sur le gros œuvre : dallage de la salle de spectacle, du parking... À partir du mois de novembre, les voiles béton commenceront à être positionnées. Le chantier prendra alors de la hauteur, et le public pourra se rendre compte plus facilement que les choses avancent » - « Joa investit 20 millions d'euros pour réaliser ce nouveau casino d'une superficie de 5000 m2 » - « Nous allons lancer la campagne de recrutement à la rentrée 2015 » (CG).

Var-Matin, 23 octobre 2014

Var-Matin, 22 septembre 2014 : «

Var-Matin, 28 novembre 2014 : « Joa change de mains - Le chantier du casino continue - Le groupe Joa a signé un accord avec de nouveaux investisseurs pour réduire sa dette et retrouver une capacité d'investissement. Non impacté, le projet à La Seyne ira à son terme » - « Donc pas de crainte à avoir sur le fait que le projet sera mené à son terme ? Aucune. Bridgepoint et Loto Québec connaissent le secteur d'activité des casinos, ils investissent leur argent en direct, sur fonds propres, et n'ont pas recours à la dette. Grâce à eux, l'enseigne Joa est la seule à avoir deux casinos en construction dans l'Hexagone. La preuve qu'il n'y a pas de crainte à avoir ? Malgré l'interruption du chantier suite au recours du groupe Partouche, les actionnaires ont choisi de garder le projet à La Seyne, ils se sont battus pour obtenir une nouvelle autorisation de jeux et pour relancer les travaux au plus vite. Aujourd'hui, le rythme d'investissement à La Seyne est proche d'un million par mois et les engagements sont contractuels » (MG).
Le Seynois, n° 55 (novembre-décembre 2014), page 13: « Grands projets - Le casino prend de la hauteur - Arrêtés en février dernier en attendant une nouvelle autorisation d'exploitation des jeux, les travaux sur le site des anciens chantiers navals ont repris le ler septembre. Ouverture prévue : début 2016 » - « La grande grue rouge et blanche a repris du service ! Après les sept mois d'interruption du chantier et les désagréments causés, le directeur du casino, Dylan Peyras, est soulagé : « La remise en route a été progressive, pour des raisons de sécurité et de vérifications techniques, mais nous avons enfin repris notre vitesse de croisière. Maintenant, il faudra compter sur une bonne année de travaux, pour prévoir une ouverture début 2016 » - « 5 000 m2 de superficie, 20 M d'euros investis par le groupe Joa, 800 000 euros déjà reversés à la Ville, en 2013 » (CC).
Var-Matin, 19 décembre 2014 : « Le casino sur de bons rails - Les travaux avancent à grande vitesse depuis deux mois sur le site des anciens chantiers » - « Laurent Lassiaz, président du directoire du groupe Joa est venu à La Seyne, cette semaine, en compagnie des actionnaires anglais et québécois du casinotier, afin de mesurer l'avancement du chantier en centre-ville » - « Une activité correcte en 2014 - En attendant l'ouverture du grand casino en centre-ville, l'activité se poursuit dans l'établissement provisoire ouvert aux Sablettes il y a deux ans. A l'approche de la fin d'année, Laurent Lassiaz assure sur l'activité a été « correcte » en 2014. « le chiffre d'affaires est stable par rapport à 2013, dans un marché qui aura régressé de 4 % au niveau national, et de 3,9 % sur la région [Les casinos de Cassis. La Ciotat, Bandol, la Seyne. Hyères] ». Le chiffre d'affaires (incluant les jeux et la restauration) approche les 8,5 millions d'euros. Ce qui représente environ 800 000 euros versés à la Ville au titre de la redevance prévue par la délégation de service publique » - « Les Anglais en force - Au passage, le patron du groupe Joa se dit « surpris par le potentiel du segment des jeux traditionnels - ce que l'on appelle les billes et les cartes - qui fonctionnent mieux que ce que nous avions imaginé ». Une explication ? « Le travail a été bien fait... par les concurrents, dont le groupe Barrière, à la Ciotat qui, avec son offre, a visiblement éduqué un marché. À cela s'ajoute le fait que nous sommes, ici, dans une zone touristique, avec un afflux de clientèle habituée à ce type de jeux, en particulier les Anglais. Nous n'avions d'ailleurs pas appréhendé à ce point l'importance de cette clientèle ; c'est une heureuse surprise. Enfin, les jeux traditionnels sont un segment d'offre où il y a beaucoup d'innovations, à commencer par les roulettes anglaises électroniques. J'ajoute que ces jeux permettent aussi un niveau de mise inférieure aux autres, ce qui contribue à leur succès ».


2015
Var-Matin, 9 avril 2015: « Vrai-faux retard pour le casino - « Au cas où vous ne l'auriez pas remarqué, les travaux du casino battent leur plein ! » Lassé de devoir répondre aux critiques, le maire Marc Vuillemot a fini par taper du poing sur la table. Et si une délibération a bien été votée pour prolonger le délai d'achèvement de l'établissement de jeux, elle ne fait, finalement, qu'acter ce que tout le monde savait déjà : l'ouverture est prévue pour début 2016. Pourquoi une délibération alors ? « la DSP prévoyait un calendrier initial mais le délégataire a été confronté à des difficultés juridiques l'année dernière, donc nous avons décidé de revoir avec lui les délais par cet avenant. Dont acte.
Le Seynois, N° 60, page 4 (juin 2015) : « Dylan Peyras, directeur du casino Joa de La Seyne, présente le plan du futur casino en construction » - « Le casino prend de la hauteur » - « Sur le site des anciens chantiers, la construction du futur casino de Joa Groupe bat son plein. Actuellement, une quarantaine de personnes s'activent sur le gros œuvre » - « Un chantier colossal » - « En septembre, le recrutement ».
Var-Matin, jeudi 20 août 2015 : « Joa lance sa campagne de recrutement pour le casino - Alors que le chantier de l'établissement de jeux avance à grand pas sur le site de la Navale, le casinotier annonce le lancement imminent d'une quarantaine de recrutements » - « Des offres diffusées par Pôle emploi - Ce sont ainsi près d'une quarantaine de personnes qui devront rejoindre, dans les prochaines semaines, la cinquantaine de salariés déjà en activité sur le casino provisoire installé aux Sablettes. « Les deux tiers des postes à pourvoir concernent les métiers de la restauration (cuisiniers, barmen, serveurs .. .), mais des postes de croupiers et d'agents de sécurité seront aussi proposés. Les annonces seront diffusées par Pôle emploi ces jours prochains » précise le directeur du casino. En outre, Joa va organiser, le 2 septembre au sein de Pôle emploi La Seyne, une réunion de présentation des différents postes à pourvoir. « Pour les postes de croupiers, Pôle emploi va mettre en place un module afin d'évaluer, notamment, la capacité gestuelle et de calcul mental des candidats. Puis les profils retenus suivront une formation à l'école de jeu de Joa, qui débutera en novembre sur le site des Sablettes - Quelques semaines plus tard, l'effectif prendra ses quartiers dans le nouveau casino, histoire d'être prêt pour l'ouverture désormais annoncée, sauf fausse note, pour la fin de cette année » - « Dylan Peyras, directeur du casino Joa La Seyne fait le tour du propriétaire. À droite, comme suspendue au dessus la rade, la salle des machines à sous accueillera, pour l'ouverture, 150 appareils et cinq tables de jeu. Outre un magnifique point de vue panoramique, elle comprendra un patio extérieur avec verrière où les fumeurs pourront griller une cigarette sans sortir de l'établissement » - « A gauche, les façades vitrées du bâtiment qui lui confèrent un design moderne et élégant. Au centre, l'intérieur de l'un des deux restaurants panoramiques : on se retourne pour observer les toits des immeubles du quartier et, face a nous (photo de droite), la vue côte mer, grand angle sur la rade » - « La salle de spectacles, d'une hauteur de 8 mètres, affiche une capacité de 700 places. Elle pourra accueillir tout type d'évènement (spectacles sur scène, mais aussi thés dansants, séminaires, arbres de Noël, mariages, etc.). La programmation est d'ailleurs en cours de lancement pour début 2016. " On travaille avec des productions locales pour avoir deux événements culturels par mois, un type concert, l'autre type humour », indique le directeur » - « Depuis le rez-de-chaussée, des escalators mèneront les clients vers les étages où sont situés la salle de jeux et les restaurants. « Sur les 5000 m2 du site, 4500 seront accessibles sans contrôle », précise le directeur » (MG).
Joa : Casinos - Jeux en ligne - Loisirs (septembre 1015) : « Et si on changeait les règles du jeu  ? » - « 21 casinos, 1 site de jeux en ligne joa-online.fr », brochure couleur, 20 x 20 cm, 26 pages.
Var-Matin, 19 septembre 2015 : « Les casinos seynois d'hier, d'aujourd'hui... et de demain - Patrimoine parfois disparu, les casinos du terroir seynois méritent que l'on s'y attarde un peu avant que n'apparaisse le nouvel établissement actuellement en construction en centre-ville. Des grands bâtiments de jeux et de loisirs qui ont fait florès au siècle dernier, ne reste debout que celui du Manteau qui a perdu ses activités premières. Il faisait partie des trois fleurons touristiques de La Seyne-sur-Mer, avec le grand casino des Sablettes, presque les pieds sur la plage, et celui de Tamaris faisant face à la rade, sinon à la baie du Lazaret. Pour évoquer leur histoire et leur destin, la Société des Amis de La Seyne ancienne et moderne a confié à Dylan Peyras, directeur du casino Joa de La Seyne, et l'historien local Jean-Claude Autran, le soin de vous présenter leur conférence didactique qui aura lieu, lundi 21 septembre, à17 h dans l'auditorium du collège Paul-Eluard, rue Marcel-Pagnol. (Entrée libre) (JD) ».

Var-Matin, 19 septembre 2015

— Conférence : « Casinos d'hier et d'aujourd'ui : patrimoines passés et à venir... », organisée dans le cadre des Amis de La Seyne Ancienne et Moderne et des Journées du Patimoine, lundi 21 septembre, avec les interventions de MM. Jean-Claude Autran et Dylan Peyras :

Var-Matin, 23 septembre 2015 : « Les casinos ont fait salle comble - Pour sa première conférence de la saison 2015/2016, la société des Amis de La Seyne Ancienne et Moderne avait choisi, dans le cadre des Journées du patrimoine, de lier le passé à l'avenir en évoquant les casinos seynois. Les casinos au pluriel parce que La Seyne et Tamaris peuvent s'enorgueillir, seules en France, d'avoir eu trois casinos sur leur territoire, au début du siècle dernier. Initiés par Michel Pacha, ces établissements de jeux et de loisir ont été évoqués, avec des documents visuels recueillis par Jean-Claude Autran, depuis 1881 jusqu'en 1980, depuis Le Manteau jusqu'aux Sablettes, en passant par Tamaris. Présenté par le président, Bernard Argiolas, c'est Dylan Peyras, directeur du casino JOA, installé provisoirement aux Sablettes, qui est entré pleinement dans le thème des Journées du patrimoine, en faisant l'historique des difficiles années de préparations administratives qui vont enfin aboutir à l'ouverture, prévue le 17 décembre prochain, du casino en centre-ville, entrant de plein pied dans le patrimoine local du XXIe siècle. Honorée par la présence des élus Florence Cyrulnik, Eric Marro et Nathalie Bicais, cette première conférence de la saison a fait salle comble » (JD).

Var-Matin, 23 septembre 2015

Var-Matin, 30 septembre 2015 : « Le casino Joa hors d'eau hors d'air - Hier, la direction du futur établissement de jeux seynois organisait une visite du chantier, parc de la Navale. Retour en images, avant l'ouverture du bâtiment toujours prévue mi-décembre » - « De haut en bas, de gauche à droite : le casino vu depuis l'extérieur du parc de la Navale - la future salle de restauration - un technicien de l'entreprise Campenon Bernard - le directeur technique de Joa, Philippe Osmont, et le directeur général du casino, Dylan Peyras, dominant la future salle de spectacle de 100 places - Laurent Lassiaz, président du groupe Joa, et Dylan Peyras - depuis deux ans, le chantier bat son plein dans le parc de la Navale » (MAD)
Le Seynois.fr (édition en ligne), 29 septembre 2015 : « Casino : dernière visite de chantier avant ouverture » - « Pari tenu, le casino est bien hors d’eau hors d’air depuis le 29 septembre. Il reste encore deux mois et demi pour finir le second œuvre. L’ouverture est prévue le 17 décembre » - « Les ouvrages de couverture, d’étanchéité et de pose des baies extérieures, pleines ou vitrées, sont achevés. Le casino est hors d’eau hors d’air, stade à partir duquel on peut commencer la mise en place des équipements intérieurs et extérieurs, ainsi que les finitions. Moins de deux ans après le lancement des travaux, le gros œuvre est terminé. Certes, il reste encore beaucoup à faire et ce n’est pas Philippe Osmont, le directeur technique, qui dira le contraire. Mais il en est à sa troisième ouverture de casino et il a l’habitude : « Nous essayons de tenir les délais, même si nous savons que ce qu’il nous reste à faire est énorme ». Il faut donc espérer que les intempéries ne s’en mêlent pas. Pour l’heure, le chantier bat son plein et les techniciens sont à pied d’œuvre : « Au fil des mois, le nombre d’ouvriers a augmenté. Dans quelques semaines, ils seront 150 sur le site », précise Dylan Peyras, le directeur général du casino.
Un projet colossal
Un chantier immense, impressionnant… Le casino, lumineux, moderne et doté d’immenses vitres, fait partie de la ”nouvelle génération”, ouvert sur l’extérieur : «C’est le troisième casino JOA à incarner l’ambition de l’enseigne : changer le regard des gens sur l’univers des casinos, en proposant de véritables plateformes de loisirs, accessibles à tous » explique Laurent Lassiaz, président du Directoire du groupe JOA. Dans l’établissement de jeux, 50 % de l’activité sont d’ailleurs consacrés aux loisirs. Véritable projet phare du groupe, qui a investi plus de 20 millions d'euros et qui possède déjà 21 casinos partout en France, le casino de La Seyne-sur-Mer est imprégné de l’identité de la ville : «Pour créer un casino, il faut s’inspirer de l’histoire locale. Les charpentes métalliques rappellent les anciens chantiers. Il y a un fil conducteur dans la décoration, on mettra de vieilles photos des casinos et des chantiers», ajoute Dylan Peyras.
Un casino entre ciel et mer
L’entrée se fait côté parc de la Navale. Au rez-de-chaussée, l’espace d’exposition est destiné à des événements sur mesure : expositions, cocktails, café-théatre, pouvant accueillir jusqu’à 200 personnes. C’est un espace public, une ”zone non contrôlée”. Sur les 5000 m² du site, 4500 sont d’ailleurs accessibles sans carte d’identité. De là, on peut prendre à droite un escalator et accéder directement aux restaurants situés au dernier niveau, ou emprunter sur la gauche, l’escalier qui mène à la salle de jeux de 1000 m² au premier niveau. Située dans la structure en porte-à-faux de 16 mètres de long, à près de quatre mètres de hauteur au-dessus du sol, on a vraiment l’impression d’être suspendu au dessus de la rade : « On a utilisé des techniques de génie civil, les mêmes que pour la construction de ponts. Il fallait supporter 500 tonnes d’arrachage à la jonction du porte-à-faux sur la façade », rappelle Dylan Peyras. La salle accueille 150 machines à sous, des espaces de jeux électroniques innovants et 5 tables de jeux traditionnels. Au centre, le patio extérieur attend les fumeurs.
Véritable plateforme de loisirs
Au cœur du bâtiment, la salle de spectacle de 500 m² au sol, est modulable en fonction des événements (concerts, thés dansants, manifestations diverses). Elle dispose d’une rétroprojection d’image, de 6 m de large sur 4 m de haut. Sa capacité est de 500 places assises (300 places rétractables dans les gradins + 200 chaises)  et 1250 places debout. Humour, musique, théâtre, danse, la scène est ouverte aux artistes locaux ou nationaux, en lien avec l’actualité. Au quatrième étage, deux restaurants dont un semi-gastronomique de 40 places, un bar lounge et une cuisine ouverte, culminent à 19 mètres, avec une vue panoramique sur la rade. Ici aussi, on retrouve un patio extérieur de 50 m². A deux mois et demi de l’ouverture, les croupiers ont déjà été recrutés et sont actuellement en école de formation. Il reste encore des postes à pourvoir dans l’accueil, la sécurité et la restauration. Si tout va bien, le 17 décembre, anciens et nouveaux salariés de JOA, au total 110 personnes, seront sur place pour recevoir les visiteurs. On sera alors bien loin de la pose de la première pierre, en octobre 2013 » (CC).
Var-Matin, lundi 26 octobre 2015 : « Les futurs croupiers jouent cartes sur table » - « Reportage au coeur de l'apprentissage d'un métier qui exige dextérité manuelle, aptitude au calcul mental, empathie avec la clientèle, et auquel six demandeurs d'emplois sont formés par Joa » - « Dans l'univers des casinos, les piles de jetons sont composées de vingt unités. C'est un standard et une base pour toutes les manipulationsqui demandent de la dextérité » - « Tables de multiplication de 5, 8, 11, 17 et 35 » - « Ramasser les jetons de la main gauche et droite » - C'est une formation valorisante » - « Le soir, on apprend nos tables de multiplication ».
Le Seynois.fr (4 novembre 2015): « La Seyne, au temps des casinos… » – « La Seyne a longtemps été une station balnéaire et touristique. Pendant un siècle, de 1895 à 1994, les casinos de Tamaris, du Manteau et des Sablettes, ont animé la ville et participé à sa renommée. Avec l’ouverture prochaine du casino Joa, la ville renoue avec cette tradition. Retour dans le passé des tapis verts – D’origine italienne, le mot  « casino » provient de « casa » (maison). A Venise, le premier ouvre ses portes, en 1626. « Les jeux d’argent, de hasard et les paris, sont aussi vieux que la civilisation humaine. Selon les époques, ils ont été autorisés, tolérés, ou carrément interdits. Ce n’est qu’au début du XVIIe siècle qu’un établissement dédié aux jeux a vu le jour », raconte le spécialiste de l’histoire de La Seyne, Jean-Claude Autran*. En 1680, la fureur du jeu se répand en France. Un peu trop d’ailleurs, au goût de Louis XIV qui s’inquiète des risques que cela provoque dans la société, ainsi que des ruines dans les familles. En 1717, soit deux ans après sa mort, sous la Régence, une ordonnance d’interdiction des jeux de casinos est prononcée – Napoléon donne son accord – L’influence de Michel Pacha – Le bâtisseur de Tamaris – « Sablettes-les-Bains » – Face à la mer, trois casinos – Guerres et déclin – Deux autres projets… tombent à l’eau ! – Fermeture sans réouverture – Quatrième casino pour La Seyne » (Dossier réalisé par Chantal Campana) : *« Merci à Jean-Claude Autran pour son aide. En septembre dernier, invité par la société  « Les amis de La Seyne ancienne et moderne » (ASAM), ce passionné d’histoire seynoise a donné une conférence « Casinos d’hier et d’aujourd’hui à La Seyne », dont cet article s’est inspiré. Dylan Peyras, directeur du casino Joa de La Seyne, était lui aussi, invité ».
Le Seynois, N° 63, page 6 (novembre 2015) : « Chantier Casino : la dernière ligne droite - Le second œuvre est lancé. Actuellement, 150 techniciens travaillent sur le chantier du casino - Les ouvrages de couverture, d'étanchéité et de pose des baies extérieures, pleines ou vitrées, sont achevés. Le casino est hors d'eau hors d'air, stade à partir duquel on peut commencer la mise en place des équipements intérieurs et extérieurs, ainsi que les finitions. Moins de deux ans après le lancement des travaux, le gros oeuvre est terminé. Certes, il reste encore beaucoup à faire et ce n'est pas Philippe Osmont, le directeur technique, qui dira le contraire : « Nous essayons de tenir les défais, même si nous savons que ce qu'il nous reste à Faire est énorme ». Il faut donc espérer queles intempéries ne s'en mêlent pas (...) » (CC).
Var-Matin, 16 novembre 2015 : « Casinos : le groupe Joa a le vent en poupe ! - Voici à quoi ressemblera, dans quelques semaines, le casino de La Seyne, en construction sur le parc de la Navale. Sauf contrordre, son ouverture est attendue avant Noël - Alors que la construction du casino de La Seyne avance à grands pas sur le parc de la Navale - en vue d'une ouverture avant Noël -, le groupe Joa affiche une belle santé (...) » (MG).
Var-Matin, jeudi 3 décembre 2015 : « Casino Joa : le pari d'ouvrir avant Noël ne pourra être tenu - En raison de contraintes techniques, le casinotier doit décaler l'ouverture de son établissement au 7 janvier. La visite de la commission de sécurité est prévue le 15 décembre - Des éléments complexes - Machines à sous dernier cri - 110 salariés - Dylan Peyras, directeur du casino Joa de La Seyne, indique que la date du 17 décembre, annoncée ces dernières semaines, s'avère finalement trop justepour pouvoir être respectée ».


2016
Var-Matin, jeudi 7 janvier 2016: « Casino Joa : le jour J ! – Ce jeudi devrait marquer une date clé dans l'histoire seynoise: Joa annonce l'ouverturede son établissement en centre-ville, à 14 h cet après-midi. Faites vos jeux ! »

Var-Matin, jeudi 7 janvier 2016

Var-Matin, vendredi 8 janvier 2016 : « La Seyne : Le nouveau casino est ouvert – Le grand jeu ! – Avec l'ambition d'être « le casino de la rade », l'établissement n'est pas dédié qu'au jeu. Restaurants, bar lounge, spectacle ou expo se partagent la vedette – L'établissement qui déploie ses 5000 m2 sur le parc de la Navale, devant la porte des anciens Chantiers dont il vise à perpétuer l'esprit, a accueilli ses premiers visiteurs et clients hier après-midi – Photos d'époque, rivets et bois sombre – Après le coupé du ruban inaugural (photo du haut), les premiers clients et visiteurs, nombreux, ont passé les portes du hall de l'établissement (photo du bas) ont emprunté l'escalator conduisant au bar lounge et à la gigantesque salle de jeux. Ils ont été applaudis par le personnel (104 salariés) qui leur a réservé un accueil chaleureux – 150 machines à sous, blackjack, roulettes: faites vos jeux ! – Spécificité importante des machines à sous : « A La Seyne, le pourcentage de redistribution des gains est en moyenne de 92 %. Plus que le pourcentage légal qui est de 85 % », relève Dylan Peyras. Il faut savoir qu'à « La Française des jeux » ce pourcentage est de 58 % » -« Les jeux sont ouverts au nouveau casino Joa – Spctacles matches de boxe, thés dansants – « Un espace de vie supplétif de la reconquête du site » (Marc Vuillemot, maire de La Seyne) – « « Un travail sur l'horizontalité » (Léonard Lassagne et Colin Reynier, cabinet Data Architectes) – Laurent Lassiaz, président du directoire de Joa : « Les 5 critères d'un établissement "nouvelle génération" » – « Un lieu exceptionnel à La Seyne » (Katcha) – « Le plus beau casino de la région » (Marc Panizo) » (JMV).


Var-Matin, vendredi 8 janvier 2016, page 1

Var-Matin, vendredi 8 janvier 2016, pages 4-5


Le Seynois.fr, 8 janvier 2016 : « La Seyne, terre de casinos - Au début du XXe siècle, les casinos de Tamaris, du Manteau et des Sablettes participent à l’essor de la cité. Naissance d’une station climatique… - Trois casinos en 100 ans » (CC).
YouTube, 9 janvier 2016 : « Ouverture du casino de La Seyne au public, jeudi 7 janvier 2016 – C'était le 7 janvier 2016 à 14 h. Le ruban de l'ouverture officielle du casino JOA, sur le Parc de la Navale était coupé par Laurent Lassiaz, le directeur du groupe JOA, Dylan Peyras, le directeur du Casino et le maire de La Seyne, Marc Vuillemot. Vivez les premiers pas d'un public conquis dans les murs de ce lieu de vie nouveau au coeur de La Seyne, sur le site des anciens chantiers navals. Salle de spectacle, de jeux, espaces de détente et de restauration... Après vous, je vous en prie... ».
Var-Matin, mardi 29 mars 2016 : « Le projet de La Ciotat vient troubler le jeu des casinos – A 40 km de Toulon, concurrent des établissements de Hyères, La Seyne et Bandol le futur Partouche déploiera en 2017 machines à sous et tables de jeu à l'air libre – Frédéric Blardone, directeur du casino Partouche « Les flots bleus », devant les plans du futur établissement de jeu qui doit ouvrir pour mars 2017 à l'entrée de La Ciotat – Pas d'hôtel ni de salle de spectacles – À l'extérieur également les joueurs trouveront, 10 postes de roulette électronique, des tables de blackjack, de roulette anglaise et de poker. Leur nombre n'est pas encore défini, mais le casino "Les Flots Bleus" dégaine une force de frappe ludique de 75 machines à sous, 8 postes de roulettes électroniques, deux tables de poker, une table de blackjack et une table deroulette anglaise » (JMV).
Var-Matin, mardi 29 mars 2016


Var-Matin, mercredi 4 mai 2016: « Y a-t-il trop, ou pas assez, de casinos sur le littoral ? - Le Grand Casino de Bandol sollicite l'annulation par le Conseil d'Etat des autorisations accordées à La Seyne et Sanary. Hier, le rapporteur public a proposé aux juges de ne pas admettre son pourvoi - A La Seyne, un nouvel établissement exploité par le groupe Joa a été ouvert début janvier sur te site des anciens chantiers navals, tandis que le projet de Sanary n'est pas encore sorti de terre. La décision du Conseil d'Etat est attendue dans les semaines à venir - L'offre de jeux dans le secteur est bien inférieureà la moyenne nationale » (Laurence Marion, rapporteur public) » (ALP).
Var-Matin, jeudi 8 septembre 2016, page 1, 2 et 3 : « Casino Joa à La Seyne : Mise gagnante - La fréquentation estivale du nouveau casino de jeux, ouvert depuis janvier en centre-ville a grimpé de 40 % comparé à l'an dernier aux Sablettes » - « Joa : Le pari gagné du centre-ville » - Le nouveau casino de jeux s'est imposé comme un nouvel espace de loisirs prisé. Quelles sont les clés de ce succès ? 70 % des clients habitent à moins de 15 km du casino - Des ruches sur le toit du casino ! - Des cours de théâtre aussi ».

Var-Matin, jeudi 8 septembre 2016

Var-Matin, mercredi 9 novembre 2016: « Le casino Joa innove encore à La Seyne » - « Bientôt une « exclusivité européenne » - Depuis quelques jours, seize machines ont été installées dans un nouveau patio à ciel ouvert... accessible aux fumeurs » (AF).
Var-Matin, mardi 10 janvier 2017 : « Le permis de construire du casino de jeux de Sanary est « définitivement acquis ».
Var-Matin, vendredi 27 janvier 2017 : « 300 000 visiteurs au casino Joa de La Seyne en un an » - « L'établissement de jeux ouvert il y a un an sur le Parc de la Navale a réalisé un chiffre d'affaires de 14,5 millions d'euros (1,35 million d'euros a été reversé à la commune) et mise sur l'attractivité de l'offre loisirs - La salle de jeux du casino Joa, très lumineuse, offre une vue splendide sur la rade - Une fréquentation et des résultats au top - Dans la dynamique... - Ambitions et projets pour 2017 - Les abeilles font le buzzzz... - La plus grande machi,e à sous du monde » (JMV).
Var-Matin, mercredi 28 juin 2017 : « À Sanary, la promesse d'un casino fin 2018 » - « Les opposants au projet ayant épuisé les recours possibles, l'établissement de jeux va finalement voir le jour dans le bois du Colombet, a annoncé hier le maire Ferdinand Bernhard. Explications - Le casino de la société Vikingst tel qu'il devrait voir le jour sur l'Ancien chemin de Toulon, avec son restaurant, ses salles de jeux et de spectacle - Pourquoi cette fois, « c'est sûr et certain » - Pourquoi le Maire est-il aussi heureux ? - Quelles retombées pour la Ville ? - [Sanary a disposé d'un casino entre 1936 et1952 (à la Villa Micheline)] » (MAD).







 



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