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Dernière mise à jour : 23 novembre 2022
Détail des échanges de correspondances à propos des personnalités suivantes (citées dans le Dictionnaire du mouvement ouvrier seynois) :
19 juillet 2022 : Famille Camiolo
Q1.
Bonjour Monsieur
Je suis descendant apparenté à la famille Camiolo originaire de Leonforte en Sicile et ayant vécu à Toulon. J'ai vu qu ils étaient cités dans vos travaux. Auriez vous d'autres information à leurs sujets. Merci d'avance.
Cordialement
JG
R1.
Cher Monsieur,
Les courtes biographies des trois personnes portant le patronyme Camiolo, que vous avez trouvées sur mon site internet (http://jcautran.free.fr/fiches_mouvement_ouvrier/C/camiolo.html) ont été rédigées par mon ami, le Prof. Jacques Girault, historien du Var. Je n'ai fait qu'héberger ses biographies sur mon site et je n'ai aucune autre archive personnelle sur la famille Camiolo.
Toutefois, il est possible que ces biographies ne soient qu'un résumé de notes plus complètes que possèderait peut-être Jacques Girault. Ce dernier réside dans la région parisienne et ne repasse à La Seyne qu'en septembre. Je pourrai alors lui demander de regarder dans ses notes s'il possède d'autres informations. Je vous tiendrai au courant.
A noter que ces biographies apparaissent aussi, au plan national, sur le site du Dictionnaire Biographique du Mouvement Ouvrier et Social à l'adresse :
https://maitron.fr/spip.php?article103473
Bien cordialement.
Jean-Claude Autran
Q2.
Mr Autran,
Merci beaucoup pour votre réponse. Merci pour les indications et oui si vous pouvez échanger à ce sujet avec votre ami ce serait très gentil. Bel été à vous et à vos proches.
Cordialement
JG
15-17
mars 2016 : Biographies des enseignants seynois
Q1.
Bonjour Jean-Claude,
Jacques
me conseille de m’adresser à toi afin de savoir si tu as une liste des
enseignants dont il a rédigé la fiche biographique, que l’on peut lire
sur le site Marius Autran.
Aurais-tu
établi cette liste…pour éviter d’ouvrir toutes les fiches !!!
Merci
par avance.
Amicalement,
YLG
R1.
Q2.
19 juillet 2015 - 19 décembre 2016 - : Laurent Fascio
Q1a.
Bonjour
Monsieur,
Une recherche de longue date relative à l'histoire de ma famille
me fait croiser votre site consacré à Marius AUTRAN, cela
en cherchant une autre personne: Laurent FASCIO.
Cet homme était instituteur, sorti de l'Ecole Normale en 1920, ayant
exercé entre autre à Hyères.
J'essaie d'en savoir un peu plus, notamment je cherche une photo de lui.
Le site:
http://jcautran.free.fr/fiches_mouvement_ouvrier/F/fascio_laurent.html,
mentionne comme source documentaire à propos de Laurent FASCIO
un monsieur ALZIARY.
Je vous remercie de votre aide et me tiens à votre disposition pour
toute explication complémentaire.
Bien cordialement,
TSP, Miribel (Ain)
Q1b.
Cher Jacques,
Tu a écrit une biographie sur l’instituteur Laurent FASCIO :
« Originaire de la Seyne (Var) où son père
travaillait dans les bureaux de chantiers de constructions navales,
Laurent Fascio sortit de l'École normale d'instituteurs de
Draguignan (Var) en 1920. Instituteur à Hyères,
désigné comme membre du conseil syndical de la section
départementale du syndicat des instituteurs en octobre 1930, il
fut remplacé en janvier 1931.
Franc-maçon, Laurent Fascio était le secrétaire de
la Loge Le Réveil des Iles d'or (Grand-Orient) à
Hyères en 1930, 1935 et 1937. Retiré à la Seyne,
il y mourut vers 1980.
SOURCES : Presse syndicale. -
Journal officiel pendant la
guerre. - Renseignements fournis par Monsieur Alziary.
L’un de ses descendants, M. TSP, a été heureux de
trouver cette bio sur mon site internet, mais cherche à
rassembler un maximum de renseignements sur cet ancêtre.
Aurais-tu dans tes notes, d’autres détails concernant ce
Laurent FASCIO, outre les 5 lignes que tu as retenues dans sa bio ?
Merci par avance.
Amitiés.
Jean-Claude
R1a.
Cher
Jean-Claude,
(...) Pour
Fascio, je ne sais rien de plus. Je me souviens seulement des moqueries
d’Alziary. Sans doute son passage très rapide au CS du SNI a-t-il un
sens !
Tu pourrais
demander à Dominique Marcellesi qui a travaillé sur les
FM de LS. Il fait peut-être partie de la loge après 45.
Amitiés à toi
et aux tiens
JG
R1b
Bonjour Monsieur,
Les biographies qui figurent sur mon site internet dans la rubrique
“Mouvement Ouvrier et Social Seynois” ont été rédigées pour la plupart
par Jacques GIRAULT, professeur et docteur en Histoire (e.r.) à
l’Université Paris 13.
Suite à votre message, j’ai donc interrogé Jacques GIRAULT (qui se
trouve en ce moment à La Seyne) pour savoir, outre les quelques lignes
qu’il avait retenues pour la biographie de Laurent FASCIO), s’il
n’aurait pas conservé d’autres de précisions en mémoire ou dans ses
notes. Il n’a malheureusement rien retrouvé de plus détaillé et ne
possède aucune photo de Laurent PASCIO. Jacques GIRAULT n’a pas connu
lui-même Laurent FASCIO et se souvient seulement d’avoir entendu dire
que c’était un personnage de très forte corpulence. Il se souvient
d’avoir effectivement interviewé, à l’époque, Florentin
ALZIARY qui
avait apparemment bien connu Laurent FASCIO dans le cadre du Syndicat
des Instituteurs du Var, mais l’interview date maintenant de plus de 30
ans car ALZIARY est mort en 1989. Il apparaît aussi que Laurent FASCIO
n’est resté que quelques mois au Conseil Syndical, mais on ne sait plus
pourquoi son passage y a été si bref.
Par ailleurs, avec Jacques GIRAULT, nous avons pu préciser l’état-civil
de Laurent FASCIO (qui était très incomplet dans la biographie de
Jacques GIRAULT) à partir du site internet des Archives Départementales
du Var (voir documents ci-joints). Nous avons ainsi trouvé que «
Laurent Clément FASCIO » était bien né à La Seyne, le 8 janvier 1901.
Il apparaît dans le recensement de La Seyne de 1906, page 318 du
registre, habitant « rue de l’Avenir » avec ses parents et son frère
aîné « Jean Baptiste Jacques FASCIO », né en 1895 également à La Seyne.
Son père François Georges FASCIO était employé de bureau (1895), puis
chef de bureau (1905) aux FCM. « Laurent Clément FASCIO » se marie à
Toulon le 25 mai 1926 avec Dorothée Jeanne Marie Le FABIE (ou De FABIE
?). Il est décédé le 6 avril 1979 à Hyères. Mais ce sont des
informations que vous aviez peut-être déjà.
C’est tout ce que nous savons pour l’instant. Il sera peut-être
possible par la suite d’avoir des informations sur l’activité de
Laurent FASCIO au sein de la franc-maçonnerie. Je connais un historien
qui a travaillé sur ce sujet à La Seyne et à qui je poserai la question
à la prochaine occasion où je le rencontrerai. Je vous tiendrai au
courant si j’obtiens la moindre information nouvelle.
Bien cordialement.
Jean-Claude AUTRAN
Q2.
Cher Jacques,
Pour information, Laurent Clément Fascio était bien
né à La Seyne, le 8 janvier 1901. Je l’ai
retrouvé dans le recensement de 1906 (*), habitant rue de
l’Avenir avec ses parents et son frère Jean Baptiste
Jacques, né en 1895 à La Seyne. Dans la table
décennale 1893-1902, je n’avais retrouvé que le
frère aîné car Laurent Fascio a son nom mal
orthographié (Facio) et figure donc plus haut dans la liste.
Son père François Georges Fascio est bien employé de bureau (1895),
puis chef de bureau (1905) aux FCM.
Laurent Clément Fascio se marie à Toulon le 25 mai 1926
avec Dorothée Jeanne Marie Le Fabie (ou De Fabie ?). Il est
décédé le 6 avril 1979 à Hyères.
Voilà tout ce que l’état-civil sur internet nous
apprend. Je verrai à l’occasion avec Dominique Marcellesi
s’il a des détails sur son appartenance à la FM.
Amitiés.
Jean-Claude
(*) J’avais recopié, il y a quelques années (en vue
d’une conférence au colloque HPS de 2010), dans un fichier
Excel tous les patronymes du recensement de 1906 de La Seyne, avec le
numéro de la page du registre et le nom de la rue ou du
quartier. Cela me permet de trouver instantanément si un
patronyme existe ou non à La Seyne cette année-là
et d’aller directement à la page du recensement sur le
site des AD, sans avoir à parcourir à chaque fois les 630
écrans du registre... Je voulais faire de même avec les
autres recensements, mais c’est un travail de fou.
R2.
Cher
Jean-Claude
Merci je
réécris la notice et après avoir
téléphoné à la mairie de Toulon, je te
transmets la nouvelle rédaction pour le site.
Les
témoins à la naissance, Ravel était le
dirigeant du syndicat à la fin du XIXeme siècle. Sans
doute Françoise Ravoux a peut-être des traces de lui parmi
les premiers mutualistes, rien ne figure dans sa thèse. Quant
à Agnèse, c’est une figure de premier plan. Je
crois que tous deux étaient FM. Tu pourrais poser la question
à DM.
Amitiés
JG
Q3.
Bonjour
Monsieur,
Je vous remercie du soin que vous avez pris à me répondre, et de la
consistance de cette réponse.
J'essaie d'établir si Laurent FASCIO aurait pu, dans les
années 20, résider, ou être de passage, dans la
région parisienne. Peut-être pour des raisons militaires
par exemple.
Je me suis par ailleurs adressé il y a quelques mois, par
courrier, au Grand Orient de France à Paris, mais n'ai eu
aucun écho.
A nouveau merci,
Bien cordialement,
TSP
Q4. (4 décembre 2016)
Bonjour monsieur,
En juillet 2015 j'avais eu avec vous un échange autour de Laurent Fascio, dans le cadre d'une recherche généalogique.
Vous m’évoquiez une possible source
d'information auprès d'un historien ayant travaillé sur la
franc-maçonnerie à La Seyne. Avez-vous pu obtenir une information
nouvelle ?
En vous remerciant encore,
très cordialement,
TSP
R4.
Cher Monsieur,
Effectivement, j’avais transmis votre question l’année dernière à deux
amis historiens que je croyais susceptibles de posséder des archives
sur la franc-maçonnerie seynoise et qui auraient pu vous apporter
quelque information nouvelle. Malheureusement, les deux m’ont dit ne
rien savoir de plus sur Laurent Fascio.
Désolé de ne rien vous apporter de plus et avec mes excuses de vous
avoir un peu oublié et de ne pas vous avoir informé en temps utile.
Je garde cependant votre question en mémoire et, bien que je n’aie pas
de lien avec la franc-maçonnerie, il n’est pas impossible qu’à la
faveur de l’une ou l’autre des conférences historiques auxquelles
j’assiste régulièrement, je rencontre enfin quelqu’un qui possède des
éléments sur le sujet.
Bien cordialement.
Jean-Claude Autran
9-10
avril 2015 : André Gérard
17 juillet - 2 août 2014 : Mise à jour des notices biographiques de :
29 janvier - 4 juin 2014 : Mise à jour des notices biographiques de :
10 - 27 octobre 2013 : Biographie de Jean Lambert
Q1.
Cher Jacques,
La bio actualisée de Paul Pratali est en ligne.
Je profite de cet échange pour t’informer que j’ai
eu de nouveau le contact (plus de 50 ans après !) avec la fille
de Jean Lambert. Tu te souviens probablement de ce militant communiste,
Jean Lambert, qui habitait le boulevard Staline, presque en face de
chez nous à la fin des années 50. Ancien Administrateur
des Colonies, personnage de haute stature et d’une immense
culture, il était très lié avec mon père et
lui avait d’ailleurs légué par testament sa
collection de livres.
Personnage hors du commun, Jean Lambert avait eu une vie
professionnelle très compliquée en raison de ses opinions
politiques. Curieusement, il parlait très peu de sa vie
familiale antérieure. Atteint d’un grave diabète,
perdant progressivement la vue, il avait annoncé [la lecture
étant sa passion] qu’il ne supporterait pas de vivre
aveugle et qu’il préfèrerait se donner la mort [en
cessant de se piquer à l'insuline, il entrerait dans un coma
diabétique mortel] si son état s’aggravait.
C’est ce qui se produisit lors de son séjour annuel
à Saint-Pardoux-la-Croisille en Corrèze, le 1er septembre
1961. (C’était peu avant que nous ne
déménagions du boulevard Staline à
Châteaubanne). Ce n’est qu’après sa mort que
nous apprîmes, par sa sœur, professeur à Nice, que
Jean Lambert était marié, séparé de sa
femme, et qu’il avait eu une fille - qu’il n’avait
pratiquement jamais vue. Peu de jours après, la veuve de Jean
Lambert et sa fille (28 ans environ) étaient venues de Paris et
nous les avions eues à déjeuner. Nous avions alors
commencé à comprendre un peu mieux ce qu’avait
été la vie antérieure de Jean Lambert. Mme Lambert
était ensuite venue plusieurs fois en vacances à La Seyne
dans l’appartement de son mari, mais le contact
s’était perdu assez rapidement. Avec mon père, nous
étions cependant allé une fois, en 1964, sur la tombe de
Jean Lambert en Corrèze.
Mais la personnalité de Lambert avait beaucoup marqué
notre vie, et son souvenir était toujours resté
présent, notamment du fait que plus de la moitié des
livres de mon père venaient de lui, souvent annotés de sa
main, avec un certain nombre d’autres souvenirs. Et j’ai
naturellement hérité de tout cela, que je conserve avec
soin.
C’est pourquoi, il y a 3 ans environ, j’avais
décidé de rassembler dans quelques pages de mon site
internet, les principaux souvenirs que j’avais encore en
mémoire sur Lambert. Voir à l’adresse suivante :
C’était
aussi une sorte de “bouteille à la mer”. Car je
trouvais regrettable d’être peut-être le seul
dépositaire de ces nombreux souvenirs sur Jean Lambert, sachant
que sa fille n’avait pratiquement pas connu son père, et
que d’éventuels petits-enfants devaient vivre dans
l’ignorance de ce que fut et accomplit leur illustre
grand-père.
Il y a quelques mois, c’est un petit neveu de Jean
Lambert, GL,
vivant au Canada, qui, ayant effectué des recherches
généalogiques et ayant constaté qu’un grand
flou existait sur l’une des branches de leur famille, celle de
Jean Lambert, fut ravi de tomber sur mon site où il
découvrit qui était ce Jean Lambert. Depuis, nous avons
correspondu, il est venu en France sur la tombe de Jean Lambert en
Corrèze et, de fil en aiguille, ayant découvert que la
tombe était toujours parfaitement entretenue, il a chercher
à savoir par qui, et il a finalement eu l’adresse de la
fille de Jean Lambert, Paule, âgée maintenant de 80 ans,
sans enfant, et vivant aux Etats-Unis (mais qui n’a pas internet
chez elle). C’est ainsi qu’il a transmis à Paule
Lambert par courrier la copie de mon texte d’internet,
qu’il lui a donné mes coordonnées et que celle-ci
m’a téléphoné il y a un mois et, en 45
minutes de conversation, m’a résumé tout ce
qu’elle savait de son père et de sa famille. Elle en avait
pas mal appris par mon texte, mais elle en savait quand même
beaucoup plus que moi sur la carrière et la vie familiale de son
père. Un personnage encore plus complexe et difficile à
décrypter que je ne le pensais. Elle m’a ensuite
envoyé par courrier les copies de plusieurs photos (que Jean
Lambert avait montrées autrefois à mon père,
où il apparaît notamment aux côtés de de
Gaulle et de Pleven à Abidjan en 1945). Ainsi que de nombreux
documents officiels sur les affectations de son père en Afrique,
son passage à la France Libre en février 1942, sa
condamnation à mort avec saisie de tous ses biens par un
tribunal militaire vichyste en septembre 1942, sa réhabilitation
par de Gaulle en 1944, puis son limogeage par le même de Gaulle 2
ans plus tard pour avoir désobéi à ses ordres [de
Gaulle lui avait attribué un crédit d’un million
pour faire construire une église – et Lambert, qui avait
toujours soutenu les pauvres et les peuples opprimés, avait fait
construire une mosquée à la place...].
Ces derniers documents et photos restent à intégrer
à mon site dont plusieurs points concernant des dates et de
lieux sont à rectifier, vu que ma rédaction se fondait
souvent sur des souvenirs personnels lointains, incomplets et parfois
déformés. Je t’envoie cependant 3 photos,
l’une de Jean Lambert vers la fin de sa vie, à La Seyne,
une autre avec de Gaulle et Pleven (Lambert est le personnage en blanc
presque chauve à droite de Pleven), et une 3e photo qui
était dans les archives de Jean Lambert mais que sa fille
n’a pas pu identifier. Je te l’envoie d’ailleurs pour
que tu me dises si tu peux reconnaître le lieu et les élus
portant l’écharpe qui s’y trouvent. Paule Lambert
pensait que c’était à La Seyne, mais je ne
reconnais ni le bâtiment, ni les visages. Peut-être est-ce
à Toulon, soit dans les années 30, soit dans les
années 40. Mais ce n’est pas certain non plus. Merci de
regarder et de me faire savoir au cas où tu aurais le moindre
indice sur cette 3e photo.
Amitiés.
Bon retour dans la région parisienne. Je m’en vais
demain
jusqu’à mardi et ne serai donc pas présent aux
obsèques de Paul Pratali
Jean-Claude
![]() |
Jean
Lambert vers la fin des années 50 |
![]() |
Avec
de Gaulle et Pleven (Lambert est le personnage en blanc à droite
de la photo) Abidjan, 1944 |
![]() |
Photo
à identifier |
R1.
Cher Jean Claude,
Je me
souviens parfaitement de lui. Maximum 15 à 20 lignes,
signature JCA.
JG
Je ne sais rien sur la photo à identifier.
Q2.
Cher Jacques,
Les bios mises à jour de Pratali, Darves, Peiret sont
en ligne.
Comme tu me l’as proposé, je t’adresse ci joint un
projet de bio pour Jean Lambert. Je ne sais pas s’il entre tout
à fait dans les normes des fiches du Maitron (ton pas
suffisamment neutre ?). Merci de corriger tout ce qui te semblera
nécessaire.
On pourrait y ajouter une photo (j’en ai plusieurs),
comme on
l’avait fait pour Lamarque, Passaglia, Meunier et d’autres.
J’ai d’ailleurs des photos de bien d’autres
personnalités du dictionnaire en ligne (Merle, Bartolini,
Zunino, Autran, Pratali, Jouvenceau, Jauffret, Mabily...). Veux-tu
qu’on les rajoute sur les fiches du site internet ?
Amitiés,
Jean-Claude
R2.
Cher Jean-Claude,
Pour les photos, envoie-les moi pour le Maitron et mets les dans le site avec la présentation “Iconographie : T.Merle dans les années 1950”. Inutile de me soumettre les photos, mais j’aimerais les transmettre pour le Maitron.
Merci
Amitiés
JG
(*) LAMBERT Jean, Maurice, Jules Né le 22 novembre 1898 à Dijon (Côte d’Or), mort le 31 août 1961 à Saint-Pardoux-la-Croisille (Corrèze) ; élève-ingénieur ; militant du Parti communiste. Engagé volontaire pendant la Première Guerre mondiale, Jean Lambert poursuivit, au début des années vingt, ses études à Grenoble (Isère) à l’Institut électrotechnique. D’abord militant à l’ARAC, secrétaire départemental à la propagande en mars 1922, il adhéra bientôt au Parti communiste (au plus tard, en 1922) et s’y distingua par la violence de ses attaques contre le « centre » du Parti représenté dans l’Isère par le docteur Ricard. Quand ce dernier démissionna, il proposa, en décembre 1922, une motion prononçant son exclusion. Il était, à cette époque, secrétaire fédéral adjoint du PC, aux côtés de Guibbert, l’ancien secrétaire départemental de l’ARAC. En mars 1923, Lambert renonça à cette responsabilité pour « raison de force majeure », mais demeura membre du comité directeur de la Fédération. En mai 1923, il fut inculpé de « provocation de militaires à la désobéissance » pour deux articles publiés dans Le Travailleur des Savoie et de l’Isère des 10 mars et 21 avril, sous le pseudonyme de Louis Savoy. Il aurait alors déclaré à la police, au cours de son interrogatoire, le 13 mai 1923, qu’il approuvait les actes des Vaillant, Bonnot, Caserio. En 1924, il défendit, dans la section de Grenoble, une motion qui fut adoptée et qu’il présenta ensuite au congrès fédéral de l’Isère, demandant que le Parti communiste considérant le « mauvais rendement » de la « participation aux élections bourgeoises », décide de ne présenter aux élections législatives que des « candidats d’amnistie » là où ils auraient « de grandes chances ». La motion ayant été adoptée au congrès fédéral, il fut délégué au congrès du Parti à Lyon, avec Pierreton, pour la défendre, mais elle n’obtint que leurs deux voix. Au même congrès fédéral, il se prononça contre l’adoption du rapport politique de la direction du parti, critiquant vivement la politique du « front unique » et ce qu’il considérait comme « l’étouffement de l’opposition ». Jean Lambert disparut ensuite totalement du mouvement ouvrier dans la région. M. Bouchet suppose que ce militant, d’inspiration visiblement anarchiste selon lui, quitta le Parti communiste dès que la situation y fut clarifiée. Mais il est également possible que ce militant aux tendances nettement « gauchistes » comme bien des hommes de sa génération, ait tout simplement quitté Grenoble au terme de ses études afin de chercher un emploi que son rôle politique ne lui laissait guère d’espoir d’obtenir sur place. SOURCES : Arch. Dép. Isère, 77 M 1. — Le Travailleur des Savoie et de l’Isère, 10 mars, 21 avril 1923, 9 février 1924, et passim. — G. Bouchet, Le PC dans l’Isère 1923-1925, TER, Grenoble, 1972. — Éliane Juquel, Biographies de Militants, TER Grenoble, 1970. Pierre Broué |
Q3.
Cher Jacques,
Merci pour la fusion des notices Lambert. Je n’avais
pas
pensé qu’une notice existait sur lui pour le début
des années 1920. Vu le passé de ce personnage,
après tout, ce n’est pas surprenant. Mais je suis à
peu près certain que sa famille actuelle doit
complètement ignorer les détails rapportés dans
cette notice.
Deux petites remarques dans le texte : (...).
Pour le Maitron, je te joins les 2 photos de Lambert
“lambert_et_de_gaulle.jpg et lambert_annees_50.jpg, qui vont
apparaître aussi dans le site
Je t’envoie dès que possible les photos dont je dispose
pour accompagner une vingtaine d’autres notices.
J’ai relu aussi la notice Aubert Ferdinand Elie et je
pense
qu’on va pouvoir la compléter car ce même Aubert
Ferdinand Elie, né le 10 décembre 1897 à La Seyne,
et dont la notice s’arrête à 1931, a
été par la suite président de la philharmonique La
Seynoise entre 1945 et 1951. Il est mort le 4 février 1951
à La Seyne avec la mention “Mort pour la France”
(car ayant été gazé en 1918, il est mort des
suites de ses blessures, dont il a souffert toute sa vie).
A noter également le décès récent (20
octobre 2013) de Roger Miraglio.
Amitiés,
Jean-Claude
R3.
Cher
Jean-Claude,
Pennetier
accepte cette nouvelle version à la place de l'ancienne de
Broué.
Merci
Amitiés
JG
Q4.
Voici la version définitive de la biographie de Jean Lambert. Elle apparaît (avec les deux photos "Jean Lambert dans les années 50" et "Avec de Gaulle en 1944" dans ce site dans la section Mouvement Ouvrier et Social Seynois :
http://jcautran.free.fr/fiches_mouvement_ouvrier/L/lambert_jean.html
LAMBERT
Jean, Maurice, Jules Né le 22 novembre 1898 à Dijon (Côte d’Or), mort le 31 août 1961 à Saint-Pardoux-la-Croisille (Corrèze) ; élève-ingénieur ; administrateur des Colonies (1927-1945) ; militant communiste. Jean Lambert naquit dans une famille d’intellectuels. Son père, Charles Lambert (Mouzon, Ardennes, 1866 - Nice, 1960) exerça comme professeur successivement au Puy-en-Velay (Haute-Loire), à Annecy (Haute-Savoie), puis à la Faculté des lettres de Dijon (Côte d’Or), où il devint Doyen, tout en étant par ailleurs très engagé dans la diffusion de l’espéranto. Son frère aîné, Paul, élève de l’École normale supérieure de la rue d’Ulm, mobilisé en 1914, fut tué au combat le 13 mars 1915. Sa sœur, Odette, était professeur d’histoire à Nice. Très tôt, Lambert développa des idées révolutionnaires que la mort de son frère renforça encore. Après son baccalauréat latin-sciences-philosophie, il entra à la Faculté de médecine, mais ses études furent interrompues par son engagement volontaire en 1918, comme médecin auxiliaire au Moyen Congo. Après sa démobilisation, il décida ne pas poursuivre en médecine, ressentant une « aversion pour la mentalité du corps médical… ». Admis à l’Institut électrotechnique de Grenoble, il en sortit avec un diplôme d’ingénieur électricien et électro-métallurgiste. D’abord militant à l’Association républicaine des anciens combattants, secrétaire départemental à la propagande en mars 1922, il adhéra bientôt au Parti communiste (au plus tard, en 1922) et s’y distingua par la violence de ses attaques contre le « centre » du Parti représenté dans l’Isère par le docteur Ricard. Quand ce dernier démissionna, il proposa, en décembre 1922, une motion prononçant son exclusion. Il était, à cette époque, secrétaire fédéral adjoint du Parti communiste, aux côtés de Guibbert, l’ancien secrétaire départemental de l’ARAC. En mars 1923, Lambert renonça à cette responsabilité pour « raison de force majeure », mais demeura membre du comité directeur de la Fédération. En mai 1923, il fut inculpé de « provocation de militaires à la désobéissance » pour deux articles publiés dans Le Travailleur des Savoie et de l’Isère des 10 mars et 21 avril, sous le pseudonyme de Louis Savoy. Il aurait alors déclaré à la police, au cours de son interrogatoire, le 13 mai 1923, qu’il approuvait les actes des Vaillant, Bonnot, Caserio. En 1924, il défendit, dans la section de Grenoble, une motion qui fut adoptée et qu’il présenta ensuite au congrès fédéral de l’Isère, demandant que le Parti communiste considérant le « mauvais rendement » de la « participation aux élections bourgeoises », décida de ne présenter aux élections législatives que des « candidats d’amnistie » là où ils auraient « de grandes chances ». La motion ayant été adoptée au congrès fédéral, il fut délégué au congrès du Parti à Lyon, avec Pierreton, pour la défendre, mais elle n’obtint que leurs deux voix. Au même congrès fédéral, il se prononça contre l’adoption du rapport politique de la direction du parti, critiquant vivement la politique du « front unique » et ce qu’il considérait comme « l’étouffement de l’opposition ». Dans les années 1922-1925, il fut licencié de plusieurs entreprises en raison de ses opinions politiques. Malgré ses diplômes, il lui devint alors impossible de trouver du travail. Il présenta alors le concours de l’École coloniale où il fut admis major. A partir de janvier 1927, il quitta la métropole pour l’Afrique noire où il remplit des fonctions d’administrateur des colonies (Tchad, Sénégal, Côte d’Ivoire). Son habileté et sa popularité parmi les populations noires furent reconnues par sa hiérarchie : « M. Lambert a obtenu à Massakory [Tchad] des résultats très remarquables […]. Il a ramené la paix et rétabli l’ordre dans une région mise en coupe réglée par les pillards et les brigands […]. Cette transformation n’a nécessité aucune rigueur inutile, elle a été réalisée grâce […] à une compréhension merveilleusement exacte des moyens à employer. L’intelligence de M. Lambert, sa vaste culture, ses talents administratifs, son admirable conscience professionnelle […] sont dignes de la plus haute considération » (Fort-Lamy, 16 janvier 1931). Le 10 décembre 1941, alors qu’il était chef de la Subdivision de Touba (Côte d’Ivoire), il entra en dissidence vis-à-vis du régime de Vichy. A la faveur d’une mission d’inspection à la frontière du Liberia, il quitta clandestinement la Côte d’Ivoire et rejoignit les responsables du mouvement démocratique en A.O.F. à Monrovia. Il se rallia à la France Libre, effectua diverses missions secrètes, notamment à Accra et à Lagos, et publia des articles extrêmement virulents anti-allemands et anti-vichychistes dans la presse clandestine. Lambert étant, par ses fonctions, « détenteur de secrets intéressant la Défense nationale et sur la situation militaire, politique et économique de la Colonie », le tribunal militaire de Dakar, le 5 septembre 1942, le condamna « à mort par contumace, avec confiscation de tous ses biens », pour « trahison ». Réhabilité en 1944 par le général de Gaulle, Lambert reprit ses fonctions en Côte d’Ivoire et reçut la médaille de la Résistance. Désobéissant en août 1945 à un ordre du général de Gaulle, il fit construire une mosquée à Abidjan avec les crédits attribués par le gouvernement français pour la construction d’une église. Il fut expulsé vers la métropole. Il fit valoir ses droits à la retraite, le 30 juin 1948, après avoir gagné un procès en Conseil d’État contre le gouvernement. Établi successivement à Menton (Alpes-Maritimes), à Marseille (Bouches-du-Rhône), au Beausset (Var), il se retira à La Seyne-sur-mer en 1956. Il poursuivit ses activités militantes, en suivant toujours avec attention la situation de l’Afrique noire. Il fit aussi bénéficier ses camarades ainsi que les élus communistes de La Seyne de son expérience et de son érudition. Présent à toutes les réunions et à toutes le manifestations (contre le réarmement de l’Allemagne, pour la paix en Algérie, pour la résolution pacifique du problème de Berlin, pour la défense de l’école laïque, pour la défense des ouvriers de la construction navale,…), il accomplit tout seul un voyage en Union soviétique après s’être lancé dans l’apprentissage de la langue russe. Lambert était marié et père d’une fille. Au cimetière de Saint-Pardoux-la-Croisille, sur sa tombe, fut inscrit : « Jean Lambert, ami du peuple ». Iconographie : Lambert à gauche du général De Gaulle en 1944 Lambert dans les années 1950. SOURCES : Arch. Dép. Côte-d’Or, 2 E 239/402 — Arch. Dép. Isère, 77 M 1. — Arch. Dép. Haute-Loire, 6 E 178/236 — Arch. Dép. Haute Savoie, 4 E 3172 — DBMOF, notice par P. Broué. — Presse locale. — Sources orales. — Renseignements fournis par l’intéressé et documents officiels des gouvernements français, tchadien et ivoirien (1936 à 1948) fournis par sa famille à J-C Autran. Pierre Broué et Jean-Claude Autran |
7 mars - 19 octobre 2013 : Mise à jour des notices biographiques de :
18-20 février 2013 : Nouvelles
notices, notamment de militants FO, rédigées par Louis
Botella
Q1.
Cher Jean-Claude,
Une nouvelle
notice : Aimée Puntis.
Connais-tu
ce flic Gueit. Il m'apparaissait très sévère.
Amitiés
JG
Q1b.
Cher
Jean-Claude
Après
la fille, le père : Puntis Armand.
Amitiés
JG
Q1c.
Cher
Jean-Claude,
Voici un
autre militant pour le site : Georges Légé.
Amitiés
JG
Q1d. (LB à JG).
Cher ami,
Voici un petit lot concernant La Seyne. As-tu des informations
complémentaires les concernant ?
[Paul
Bifugaglia, Augustin Lecreux, Henri Mazzoni, Joseph Perès]
Si c'est
non, lesquels mériteraient de figurer au MEL ? A toi de voir.
Amitiés.
LB
R1.
Cher Jacques, toutes ces notices sont maintenant "en ligne".
Je ne me souviens pas du policier Gueit. Je me souviens, à l'époque, de Manzani, de Gerbe (qui avait eu maille à partir avec Ph. Giovannini), de Rochesani (qui avait son fils dans la classe de mon père). C'est aussi ce dernier qui était venu prévenir son ami corse François Pentagrossa de son imminente arrestation par la police de Vichy, de sorte que ce dernier avait pu "prendre le maquis" juste à temps.
Amitiés,
JC
25 novembre - 6
décembre 2012 : Etienne Victor et son épouse Amélie
Q1.
Cher Jacques,
Une auditrice, vieille Seynoise, m'a posé une question à la fin [de ma conférence sur Saturnin Fabre], qui n'avait
rien à voir avec la conférence. Je te la pose à mon tour : Aurais-tu la moindre information sur une institutrice nommée Mme Etienne, qui aurait été affiliée au PCF en 1940, qui aurait enseigné à Curie, en CM1, et qui aurait été révoquée en 1942 par le pouvoir de Vichy ? Cela te dit-il quelque chose ?
Amitiés,
JC
R1.
Cher Jean-Claude,
(...) Madame Etienne était l'épouse de Victor Etienne qui figure sur le site Marius Autran. Elle avait répondu à mon enquête. Je n'ai pas écrit de notice sur elle car elle n'eut pas vraiment de responsabilité. Je peux éventuellement composer une petite notice. Qu'en penses-tu ?
Amitiés
JG
Q2.
Cher Jacques,
Merci. Je n'avais pas fait le lien avec Victor Etienne.
Je vais commencer par communiquer la bio de Victor Etienne à la personne intéressée. Je ne pense pas qu'il soit utile de publier une notice sur son épouse si elle n'avait pas vraiment de responsabilité. Mais si tu as cependant 2-3 lignes de renseignements sur elle, écrites de manière très informelle, cela pourra certainement intéresser ma correspondante.
Amitiés,
Jean-Claude
R2a.
Cher Jean-Claude
Je le ferai
Amitiés
JG
R2b.
Cher Jean-Claude,
Voici ce qui me paraît utile sur un dossier de huit pages?
Etienne Amélie Adrienne, née Germain
Née à Toulon le 1/11/1894
Père : quartier maître canonnier
Baptisée
Mariée uniquement civilement avec Victor Etienne à St Mandrier le 16/8/1923, 3 enfants
Ecle Primaire Supérieure à Tessé
Ecole Normale en 1912
Institutrice au Beausset puis à La Seyne
Secrétaire du Syndicat CGTU de 1932 à 1934, puis membre du SNI
Sympathisante communiste
Membre du Comité antifasciste de La Seyne et du Comité de Front populaire
Candidate du Syndicat unitaire aux élections au Conseil départemental de l'enseignement primaire (11/4/1932) : 28 voix
Révoquée en 1940, réintégrée à la Libération
Si tu veux, je peux amener le dossier écrit de sa main.
Amitiés
JG
Q3.
Cher Jacques,
Merci beaucoup pour ces informations. Je les communiquerai à la personne intéressée à l'occasion de la prochaine conférence de l'association (lundi prochain), ainsi que la bio de Victor Etienne. Je pense que cela suffira largement pour répondre à sa demande.
Amitiés.
Jean-Claude
25-30 novembre
2012 : Midon Henri et Miraglio Roger
Q1.
Cher Jean-Claude,
Voici deux rectifications concernant Midon et Miraglio.
Je t'espère aisni que les tiens en forme. Saturnin Fabre sera bientôt exposé.
Amitiés
JG
R1.
Cher Jacques,
Les bios de Midon et Miraglio sont en ligne (je ne pense pas les avoir eues auparavant - Midon figure dans mon édition écrite du Maitron mais je ne l'ai pas retrouvé dans les fichiers numériques précédents).
La conférence sur Saturnin Fabre n'est très bien déroulée. La salle était relativement bien remplie. J'ai dû un peu élaguer certains passages car chaque moitié aurait pu faire l'objet d'une conférence en soi. Les gens ont aussi bien aimé les extraits de vidéo de l'acteur Saturnin Fabre que j'avais, après bien des bricolages, réussi à intégrer à mon diaporama.
(...)
Amitiés,
JC
Q2.
Cher Jean-Claude,
Il me semblait t'avoir envoyé les deux notices. Celle de Midon figurait dans le Dictionnaire précédent, mais je l'ai refaite.
(...) Amitiés
JG
28 mars 2012 - 5 juillet 2014 : Ernest Sabbatini, ancien secrétaire de la Bourse du Travail
Q1.
De la part d'un ancien élève de ton
père, LS.
Dans l'histoire de la bourse il apparaît une petite erreur.
Le secrétaire général était Ernest et non
un F? (il était mon grand père).
Amitié Louis,à bientôt de te lire.
Pour le Conseil d'Administration de la Bourse du Travail :
E. S........, Secrétaire Général,
Adopté par le Conseil municipal suivant sa
délibération ci-annexée du 7 juin 1929.
LS
R1.
Bonjour,
Merci pour ton message et pour avoir relevé cette erreur.
La correction (Ernest au lieu de F.) a été
immédiatement apportée sur mon site.
Est ce toi qui était élève de mon père en
classe de 6e 1951-1952 ?
La
liste que j’ai de cette classe (telle que je l’ai
copiée dans les cahiers de mon père) comporte
peut-être aussi quelques erreurs et la plupart des prénoms
manquent. Si tu as des corrections à y apporter, je t’en
remercie par avance.
6e Moderne A : ARNÉODO, BERTIN,
BREHIER, CHIABRERO, COENCA, CORNELOUP Pierre, DASSAS, DRAVET,
ÉBOSSIAN, FAGES, FRANÇOIS, GIGLI, GOLIN, GRIMAUD,
GUEIRARD,
INIZAN, JEUNET, JOUVENCEAU, LAURE, LEXA, MANENTI, MANIVET, MEISSONNIER,
MERLE Michel, MIRABEAU, MOULAS, PÉPINO, QUEYREX, ROCARD, ROULI,
SABATINI, SANTORO, SCAJOLA, SCAVARDA, TACCOLA, VIAL.
Amitiés,
Jean-Claude Autran
Q2.
Bonjour de la part de Louis S. Oui c'est bien moi et mon nom est avec deux B.
A bientôt amitié. L.
Tes ouvrages sont très intéressants !
LS
Q3. (29 juin 2014)
De Louis Sabbatini à JC Autran.
Bjr je suis tes ouvrages qui sont très intéressant,
depuis que je suis revenu dans la région je n'ai jamais
essayé de faire connaissance physiquement avec toi.
Ton père a été mon prof à Martini.
Mon grand père" Ernest Sabattini"en réalité son
nom à été erroné il s'appelle en comme moi
avec deux B et un seul T, cette précision est pour des recherche
sur la politique de la Seyne et des Chantiers
Afin de te demander si tu pourrais m'indiquer des ouvrages, où
je peux avoir plus de renseignements sur mon grand père,avec un
seul B et deux T!
Merci d'avance à bientôt,LS
R3.
Cher ami,
Je crois que nous avions
déjà eu, il y a 4 ans, un échange de messages
à propos de ton grand-père Ernest SABBATINI,
secrétaire général de la Bourse du Travail. Et je
savais aussi que tu avais été élève de mon
père en 1951-52 à Martini.
J’ai maintenant bien
corrigé sur mon site internet les erreurs d’orthographe
(deux B et un T), à la fois dans la liste des
élèves de mon père et dans la fiche de ton
grand-père (rédigée par Jacques Girault) dans le
dictionnaire du Mouvement Ouvrier et Social Seynois. Voir à :
Mais
il y a aussi dans ces fiches un autre SABATINI (Pascal) dont le nom
semble s’écrire avec un B et un T (à moins
qu’il n’y ait aussi erreur sur son nom), et, dans les
candidat(e)s aux élections municipales de La Seyne une
Marie-Madeleine SABATINI.
L’essentiel
de ce que j’ai comme information sur ton grand-père se
trouve dans la fiche de Jacques Girault. A part ça, je
n’ai pu retrouver son nom que dans un seul ouvrage
intitulé “J’écris ton nom, Liberté
– 80 ans de luttes du P.C.F. dans le Var” paru en 2005
(voir copie ci-jointe de la page 23 où il est écrit, dans
le § “Les premiers communistes varois” : «
SABATINI s’adresse en italien et veut constituer un soviet
à La Seyne, licencié », ce qui correspond bien
à la fiche de Jacques Girault (11 août 1919). Je
n’ai pas d’autre idée d’ouvrage où son
nom serait mentionné. Il est probable que l’Union
Départementale de la C.G.T. du Var ait, dans ses archives,
davantage d’informations sur lui, mais à ma connaissance,
il n’y a pas eu d’ouvrage de publié. Je demanderai
cependant à Jacques Girault quand je le verrai s’il
n’a pas de renseignements plus complets sur ton grand-père.
![]() |
J’ai
vu que la famille Sabbatini habitait le quartier Touffany. Voir la
copie du recensement de La Seyne de 1906 du quartier Touffany où
la famille Sabbatini est mentionnée.
![]() |
Ce
qui manque à la fiche de Jacques de Girault, c’est la date
et le lieu de décès de ton grand-père. Pourrais-tu
me les communiquer pour que la fiche puisse être
complétée.
Je te tiens au courant si je peux
avoir des informations nouvelles.
Amitiés.
Jean-Claude Autran
Q3.
JC bjr de la
part de Louis Sabbatini,merci à bientôt.
20-27 juillet 2011 : Lonjon Gaston et Lonjon Maria
Q1.
Cher Jean-Claude,
Y a-t-il dans le dict une notice sur le couple Lonjon ? Si oui, ne rien changer. S'il n'y en a pas, voici les notices disjointes. Ton père en parlait souvent.
Amitiés
JG
R1.
Cher Jacques,
Il n'y a encore jamais eu de notice sur le couple Lonjon. Je vais donc les rajouter au site dès la prochaine mise à jour.
Il me semble que mes parents citaient quelquefois le noms de ce couple car c'est à eux qu'ils avaient dû succéder en 1935 lorsqu'ils obtinrent leur mutation Montmeyan --> Carcès.
Amitiés,
Jean-Claude
Q2.
Cher Jean-Claude,
Tes parents parlaient souvent des L. Mais jamais en disant qu'ils avaient enseigné à La Seyne
Amitiés
JG
R2.
Cher Jacques,
Tout ceci est bien loin et je ne me souviens plus de ce que mes parents disaient exactement. Le seul élément objectif est la mention faite par mon père, dans l'Histoire de l'École Martini, d'un Monsieur Longeon (sic) qui était directeur de l'Ecole primaire, du temps ou M. Malsert dirigeait la partie Collège. Je pense qu'il doit s'agir du même M. Lonjon, dont mon père avait mal orthographié le nom.
Amitiés,
Jean-Claude
Q3.
C'est exact. Précision à ajouter.
Amitiés
JG
2-5 juillet 2011 : Albert Lamarque
Q1.
Cher Jean-Claude,
Voici le texte qui se substitue à la bio Lamarque du Dictionnaire. Merci.
Attention à Iconographie. Peux-tu recopier les photos et les coller ?
Amitiés
JG
R1.
Cher Jacques,
La nouvelle bio d'Albert Lamarque est en ligne, avec les deux seules photos que j'avais en ma possession, et que je t'adresse aussi ci-joint :
![]() | ![]() |
- Celle du site du Sénat
- Celle qui a été agrandie à partir de la photo du Conseil municipal de La Seyne sous le mandat du Dr Mazen
Je reste à ta disposition si tu as des rectifications à suggérer sur la mise en forme de cette page aves ses photos.
http://jcautran.free.fr/fiches_mouvement_ouvrier/L/lamarque_albert.html
Amitiés,
Jean-Claude
Q2.
Merci
Amitiés
JG
Bonsoir Jacques,R.
Pour information : Avis de décès de Simonne Gautray, née Miget, veuve de René Gautray :
Madame Vve René GAUTRAY née Simonne MIGET le 08-08-2009Trouvé sur le site internet : http://avisdedeces.net/index.php
de DAIX (21121) N CONSULTABLE
publié le 08-08-2009.
En cherchant “Gautray”, dans le département 21.
Amitiés,
Jean-Claude
Cher Jean-Claude,
Merci. Voici la nouvelle notice [de Simonne Gautray].
(...) Amitiés à tous
JG
Q.
Bonjour
Un petit mot pour vous signaler, si vous ne le saviez déjà, le décès de ma grand-mère, Germaine Hénaff, qui est citée dans votre rubrique "Dictionnaire du Mouvement Ouvrier Seynois"
Cordialement
PH
R.
Cher Monsieur,
Merci pour votre message. Je vous présente toutes mes condoléances pour le décès de votre illustre grand-mère décédée peu avant son 99e anniversaire.
J’ai modifié en conséquence la fiche de votre Germaine Hénaff en rajoutant ces derniers mots - que l’on espère toujours devoir rajouter le plus tard possible : “décédée le 15 février 2011”.
http://jcautran.free.fr/fiches_mouvement_ouvrier/H/henaff_germaine.html
J’ai également ajouté au début de la fiche : “Née le 30 avril 1912 à Malakoff (Hauts-de-Seine)”, information qui manquait et que j’ai retrouvée sur le site Web de l’Humanité.
Cordialement,
Jean-Claude Autran
22 septembre - 7 octobre 2010 : Jean Passaglia
Q1.
Cher Jean-Claude,
Voici le massage actuel concernant les délégations. Merci de corriger ou de confirmer.
"Passaglia fut réélu par la suite en 1953 (liste « d’union ouvrière et démocratique de défense des intérêts communaux dans l’indépendance nationaleet la paix »), en 1959 (quatrième position sur la liste « d’union républicaine de défense des intérêts communaux et de défense des réalisations sociales »), en 1965 (troisième position sur la liste « d’union républicaine de défense des intérêts communaux, des réalisations sociales pour l’élimination du pouvoir personnel, pour la démocratie »), en 1971 (troisième position), en 1977, en 1983. La délégation de 1950 à 1984 concerna le sport. S’ajoutèrent la culture (1965-1977) et l’éducation (1971-1983). En outre, il fut désigné comme vice-président de l’office d’HLM en 1970. Un arrêté préfectoral le nomma, en 1995, comme adjoint honoraire."
Amitiés
JG
R1.
Dis-moi ce que tu souhaites.
Amitiés,
Jean-Claude
Q2.
Cher Jean-Claude,
Merci pour ces précisions. Toutefois, il demeure une imprécision : la délégation à la culture selon JP de 65 à 71 lui reviendrait. Et cela correspond aussi à mes souvenirs avec la création de l'OMCA. Qui pourrait avoir cette délégation entre 65 et 71 ? Merci pour l'enquête que tu proposes.
Je t'envoie la notice. Elle n'est pas encore définitive, donc ne la publie dans le site que vers le 15 octobre.
Amitiés
JG
R2. (à ARDF)
http://jcautran.free.fr/fiches_mouvement_ouvrier/mouvement_ouvrier.htmlNous en sommes à Jean Passaglia, pour lequel il nous manque une information (dont l’intéressé lui-même ne se souvient plus) :
Q3.
Je m'en occupe la semaine prochaine, c'est ok
Amicalement
Annick
R3.
En fait, elles n'ont pas trouvé de mention claire de "Délégation à la Culture" dans les délibérations du Conseil municipal pour les années 1959-1971 car il semble qu'à l'époque la Culture ne faisait pas encore l'objet d'une Délégation spécifique à La Seyne, comme cela sera par la suite. Mais, dans les faits, c'était bien Jean Passaglia qui avait la responsabilité des questions culturelles puisqu'il apparaît à l'origine de l'Ecole des Beaux-Arts en 1960, puis de l'Ecole de Musique en 1966, ainsi comme que Président de l'OMCA (fondée le 27-2-1967).
Je pense que tu dois pouvoir facilement insérer la mention de cette responsabilité (même si ce n'était pas une vraie Délégation) dans sa biographie.
Concernant l'Ecole Municipale de Musique, la date de création n'est pas 1969 comme tu l'indiques, mais 1966 : la délibération du Conseil municipal est datée du 1er Janvier 1966, elle fut approuvé par le Préfet le 28 mars et l'école commença à fonctionner sous la direction de Jean Arèse en mai 1966, pendant les 2 derniers mois du 3e trimestre de l'année scolaire 1965-1966 (source : Histoire de la philharmonique La Seynoise, Marius Autran, 1984).
Amitiés,
Jean-Claude
PS. La parution de la nouvelle édition de l'Histoire de la philharmonique La Seynoise est prévue pour le 10 novembre (couverture ci-jointe).
Q4.
Cher Jean-Claude,
Voici Passaglia et je te remercie pour ces précisions. Tu auras la photo quand elle sera numérisée. Je te trasmettrai cele de Broudeur dès qu'elle sera validée et revue.
Tu m'enverras un bulletin de souscription pur la Seynoise.
Amitiés
Nous partons demain si le TGV fonctionne.
5-7 octobre 2009 : René Dauban
Q.
Cher Jean-Claude,
As-tu des renseignements sur René Dauban et notamment quand fut-il conseiller municipal ? Il s'agit naturellement d'écrire sa bio. Il est d'accord pour m'aider.
(...) Amitiés et merci
JG
R.
Cher Jacques,
(...) Concernant René DAUBAN, tout ce que je sais, c'est sa participation aux municipalités de La Seyne de 1965 à 1983 (3 mandats complets de conseiller municipal)
- 1965 : élu sur la liste Toussaint Merle : "DAUBAN René, ouvrier, syndicaliste aux F.C.M."
- 1971 : élu sur la liste Philippe Giovannini : "DAUBAN René, ouvrier aux C.N.I.M." [+ photo ci-jointe]
- 1977 : élu sur la liste Philippe Giovannini : "DAUBAN René, ouvrier aux C.N.I.M."
(voir sur mon site à la page élections municipales : http://jcautran.free.fr/histoire_locale/histoire_locale.html#8)
Il n'est plus candidat aux municipales de 1983, 1984 et 1985. Mais il est de nouveau candidat (non élu) sur la liste de Maurice Paul en 1989, et de nouveau en 2001 (non élu) sur la liste de Denise Reverdito (Rose-rouge-verte) : "DAUBAN René, 70 ans, retraité des Chantiers"
http://jcautran.free.fr/archives_familiales/elections/municipales/candidats_municipales/d.htmlC'est à peu près tout ce que je sais. Je ne l'ai pas connu personnellement. Je crois que sa femme fut directrice du jardin d'enfants Aristide Briand.
Je vais cependant feuilleter les bulletins municipaux de 1965-1983. Il se peut qu'il se soit occupé de problèmes particuliers et qu'il ait écrit quelque chose.
Amitiés,
A très bientôt.
Jean-Claude
11 avril - 25 mai 2009 : Pierre Marius Bonamy
Q1.
Bonjour Monsieur Autran,
J'ai lu avec plaisir quelques informations sur mon grand-père, Pierre Marius Bonamy, dans votre dictionnaire du mouvement ouvrier. Né le 1er janvier 1904, mon grand-père est décédé au Québec (Canada) le 2 décembre 1996.
Sa femme Viviane, ma grand-mère, va avoir dans quelques jours 96 ans. Elle ne peut me donner beaucoup de détails sur ma généalogie et l'histoire de mon grand-père car elle n'est plus tout à fait lucide. Et ma mère, née à Pignans, est décédée il y a 7 mois d'un accident de voiture.
Si jamais vous aviez d'autres informations sur mon grand-père et si vous connaissez un éventuel lien avec votre père, je vous en serais très reconnaissante.
Avec mes félicitations pour votre site,
AB
R1.
Bonsoir,
Merci pour votre message et sur le complément d'information relatif au décès de votre grand-père.
Mon père, Marius Autran, est décédé en janvier 2007. Je n'ai pas le souvenir qu'il ait pu connaître Pierre Bonamy.
La biographie qui figure sur mon site a été rédigée par mon ami Jacques Girault, historien, spécialiste du mouvement ouvrier et socialiste dans le Var. Je ne pense pas qu'il ait davantage d'informations car sa fiche mentionne, comme sources, les archives départementales du Var - sachant que, lorsqu'il a personnellement obtenu des informations auprès de la famille, cela est indiqué. Mais je peux toutefois lui poser la question la prochaine fois qu'il vient à La Seyne (où se trouvent ses archives personnelles sur le mouvement ouvrier).
Notez aussi que votre grand-père est né le 1er Janvier 1904 à La Seyne. Vous pouvez donc obtenir auprès des archives* une copie de son acte de naissance (c'est l'acte N° 1 du 2 janvier 1904). Il n'est pas disponible sur internet (seules les tables décennales le sont pour cette époque - voir image ci-jointe des tables 1903-1913), mais vous pouvez le demander par courrier en joignant une enveloppe timbrée pour la réponse.
* Archives municipales de La Seyne, Traverse Marius Autran, 83500 La Seyne-sur-Mer
Sinon, je peux aussi vous le faire parvenir car je vais assez régulièrement aux archives municipales. A partir de là, il sera sans doute possible de remonter aux générations précédentes.
Cordialement,
Jean-Claude Autran
Q2 (à JG).
Bonsoir Jacques,
Pierre Marius Bonamy est décédé au Québec (Canada) le 2 décembre 1996. Voir message ci-après (...).
Amitiés,
Jean-Claude
R2.
Merci et fais la correction.
Amitiés
JG
R3. (à AB)
Bonjour,
Il y a quelques semaines, vous m'aviez interrogé sur votre grand-père, Pierre Bonamy, dont une biographie figure sur mon site internet dans la rubrique "Mouvement ouvrier seynois".
Je n'ai pas retrouvé de renseignement plus précis sur votre grand-père, à l'exception de son acte de naissance, à partir des archives de l'état-civil de La Seyne de 1904, qui été mises en ligne depuis peu de temps.
Voir le fichier ci-joint.
Cordialement,
Jean-Claude Autran
10-12 septembre 2008 : Biographie de Jules Forestieri
Q.
Cher Jean-Claude,
(...) Voici une nouvelle version de la notice Forestieri.
Amitiés
JG
R.
Cher Jacques,
La nouvelle notice Forestieri est en ligne [http://jcautran.free.fr/fiches_mouvement_ouvrier/F/forestieri_jules.html].
Je passerai te dire bonjour un de ce jours. Il faudrait aussi que je vérifie encore une date dans tes fiches Jauffret sur lesquelles nous avions déjà travaillé il y a quelques mois.
Amitiés,
Jean-Claude
1-2 septembre 2008 : Achille Marquand
Q.
Bonjour monsieur ,
Achille Marquand http://jcautran.free.fr/fiches_mouvement_ouvrier/M/marquand_achille.html à sa page dans le livre d'or des français libres. Je me suis autorisé à la compléter par un extrait de votre site.
Cordialement
LL
R.
Merci beaucoup.
Je fais suivre cette information au Professeur GIRAULT, qui est l'auteur de la biographie d'Achille MARQUAND.
Cordialement,
Jean-Claude Autran
25 juillet - 5 août 2008 : Antonin Pommet
Q.
Monsieur,
Petit fils de Mr. POMMET Antonin identifié sur le dictionnaire du mouvement ouvrier Seynois dans votre très intéressant site, je me permets, après lecture, de vous demander de faire la modification suivante:
Mon grand-père a eu deux enfants et non un [2 fils : Jean-Claude (mon père décédé) et Gilbert (vivant)] tous deux aussi très actifs dans le mouvement syndical des Arsenaux de Toulon.
Je vous en remercie par avance.
Bien cordialement
SP
Ra.
Bonjour,
Merci pour votre message. La modification va apparaître dès la prochaine mise à jour du site.
Cordialement,
Jean-Claude Autran
Rb.
(...) D'accord pour les deux enfants Pommet. Le site sert à quelque chose. Si le petit-fils veur contribuer à enrichir la notice, je me tiens à sa disposition. Donne-lui mes coordonnées.
(...) Amitiés à vous cinq
JG
25-27 mai 2008 : Biographie Danielle de March
Q.
Cher Jean-Claude
(…) Peux-tu ajouter à la notice De March ces lignes :
Par la suite, Danielle De March participa au travail de mémorisation engagé par l'amicale des vétérans communistes. En février 2004, elle devint présidente de l'amicale des vétérans communistes varois qui avait entrepris la rédaction d'un ouvrage J'écris ton nom liberté. 80 ans de luttes du Parti communiste français dans le Var, publié l'année suivante. Parallèlement, elle se consacrait à la rédaction d'un livre largement autobiographique, consacré à l'itinéraire de Théo Ronco, présenté dans un article de La Marseillaise du 18 décembre 2004 sous le titre « Un amour de combat ». Deux autres livres de caractère autobiographique suivirent.
- Œuvres : Cet homme face au soleil, Toulon, Manugraph, 2005, 203 p.
- Le parfum des pêches de vigne, Marseille, Transbordeurs, 2007.
- Les mots de flamme, Marseille, Transbordeurs, 2008.
(…) Amitiés à vous tous
JG
R.
Cher Jacques,
La mise à jour de la notice De March a été faite [http://jcautran.free.fr/fiches_mouvement_ouvrier/D/de_march_danielle.html].
Par ailleurs, je me suis amusé à reconstituer une « Petite Histoire des Elections Municipales à La Seyne de 1945 à 1968 » à partir des archives de mon père et quelques documents de F. Luminet. On y accède à partir de la page d'accueil de mon site ou en cliquant sur le lien suivant :
http://jcautran.free.fr/archives_familiales/elections/municipales/histoire_municipales.htmlLe document est perfectible. Il y a encore quelques éléments manquants que j'essaye de retrouver. Quelques erreurs ou omissions doivent probablement encore subsister dans les tableaux.
(…) Amitiés.
Jean-Claude
11-14 juin 2008 : Yvette Dupoyet
Q.
Voici la dernière version.
(…) Amitiés
JG
R.
Cher Jacques,
La bio d'Yvette Dupoyet est "en ligne" [http://jcautran.free.fr/fiches_mouvement_ouvrier/D/dupoyet_yvette.html].
(…)
Jean-Claude
13 mai 2008 : Allard et Jourdan, anciens parlementaires du Var
Q1.
Je cherche à vérifier si Allard, député du Var, qui a succédé à Jourdan est bien propriétaire à St Raphaël. Merci de votre aide.
EMJ
R1.
Bonsoir,
Désolé, je n'en ai aucune idée et n'ai aucune archive à ce sujet.
Vous pouvez essayer de poser la question au Prof. Jacques Girault (...), qui est spécialiste de l'histoire du Var dans la première moitié du XXe siècle et qui a constitué de nombreuses biographies d'hommes politiques varois.
Cordialement,
Jean-Claude Autran
NB. Pour info, l'état-civil de ces deux députés, d'après le site de l'Assemblée Nationale :
Q2.
Merci de votre si prompte réponse. Je vais interroger M.Girault.
EMJ
13-14 janvier 2008 : Descendants de Michel Zunino
Q1.
Bonjour.
Arrivé à l'âge de la retraite, je me suis attelé à une recherche généalogique à l'attention des jeunes générations curieuses.
Mon grand-père était né à Toulon, en 1867, d'immigrés italiens et je me souviens que ma grand-mère, décédée en 1954, parlait avec un peu de mépris d'un cousin de son mari qu'elle appelait le Rouge (!) et qui habitait le Var. Il s'agit de Michel Zunino.
Sauriez-vous me dire comment je pourrais contacter ses descendants ou quelqu'un qui aurait fait des recherches dans cette direction ?
Je vous en remercie d'avance.
Salutations
HZ
Q2.
Cher Jacques,
Je viens de recevoir un message d'un monsieur Henri Zunino, de Marseille, qui se présente comme le petit-fils d'un cousin de Michel Zunino (que dans sa famille on surnommait "le Rouge"), dont tu as rédigé la bio.
Il cherche à prendre contact avec les éventuels descendants de Michel Zunino. D'après la bio, ce dernier était père de 5 enfants. Aurais-tu été en contact avec certains d'entre eux ? Saurais-tu ce qu'ils sont devenus et si on peut les joindre quelque part ? Merci par avance.
Autre (mauvaise) nouvelle : tu avais du connaître Noël Guigou à La Seyne, "l'homme à tout faire de la Mairie" autrefois, "l'homme aux mains d'or" et grand collectionneur de cartes postales. Il est décédé le 11 janvier à l'âge de 87 ans. Je vais à ses obsèques ce mercredi.
Amitiés,
Jean-Claude
R2.
Cher Jean-Claude,
J'aimais bien Guigou. Que devient sa collection de cartes postales ? La mairie devrait les acheter, éléments importants du patrimoine régional.
J'avais rencontré la belle-fille de Zunino dans les années 70.Je dois avoir son adresse à La Seyne. Si tu es pressé, vas demander la clef à Décugis (9 bd Staline (...)), dans le bureau, dans les cartons au dessus du lit, lettre Z il doit y avoir le dossier Z.
A la mairie de La Garde, on devrait avoir son adresse. Sinon tu peux l'avoir auprès du vieux militant socialiste Salvator Libérace (adresse à trouver dans l'annuaire) s'il n'est pas dcd. Eventuellement si tu le contactes, rappelle lui mon bon souvenir.
Amités
JG
Q3a.
Merci, Jacques, pour ta réponse.
Je vais essayer d'avoir l'adresse de la belle-fille de Zunino par Salvador Liberace. Apparemment, il est toujours dans les Pages Jaunes : (...).
Si je ne l'ai pas immédiatement, ce n'est pas grave, cela attendra ta venue à La Seyne en février. Je l'expliquerai à mon correspondant Henri Zunino.
Je pense que la collection de cartes postales de Guigou a été reprise par la ville il y a déjà 2-3 ans. Je crois qu'elle se trouve à la bibliothèque municipale.
Amitiés,
Jean-Claude Autran
Q3b.
Bonsoir Monsieur,
Mon père avait bien connu Michel Zunino dans les années 50 et connaissait, je crois, plusieurs personnes s'appelant Zunino à La Seyne. Mais mon père est décédé il y a un an à l'âge de 96 ans et tous ceux de sa génération qui avaient connus Michel Zunino ont probablement tous disparu aujourd'hui.
J'ai donc consulté Jacques Girault, professeur d'Histoire à Paris-XII, qui avait rédigé la biographie de Michel Zunino :
http://jcautran.free.fr/fiches_mouvement_ouvrier/Z/zunino_michel.html
dans laquelle il est dit que Michel Zunino avait eu 5 enfants.
Parmi cette descendance, Jacques Girault m'a dit avoir rencontré seulement, dans les années 70, l'une de ses belles-filles qui habitait alors La Seyne-sur-Mer. Mais il n'avait pas son adresse avec lui. (...). Il m'a dit qu'il ne pourrait me fournir cette adresse que lors de son prochain passage, mi-février.
Mais il m'a dit aussi que vous pourriez obtenir l'adresse de cette belle-fille de Michel Zunino, soit en vous adressant à la mairie de La Garde (Var), dont Michel Zunino a été Maire en 1953-1958, soit auprès d'un vieux militant socialiste de La Garde qui connaissait bien cette famille Zunino : (...).
Voyez, avec tout cela, si vous arrivez à progresser dans vos recherches. Merci de me tenir au courant si vous arrivez à avoir le contact avec cette belle-fille, à partir de laquelle vous arriverez peut-être à savoir ce que sont devenus les autres enfants de Michel Zunino.
Cordialement,
Jean-Claude Autran
R3.
Merci infiniment pour cette réponse et pour votre gentillesse... Je vais essayer de trouver cette belle-fille !
Je vous tiens, bien entendu, au courant...
Cordialement
HZ
24-29 décembre 2007 : Biographie de Marcel Clair
Q.
Bonjour
Je suis le fils de Marcel CLAIR, que vous citez dans votre rubrique du Mouvement Ouvrier.
Malheureusement, mon père est décédé le 21 janvier 1999 (...) ; son épouse, Alice CLAIR née JACQUET, vient de le rejoindre puisqu'elle est décédée le lendemain de ses 94 ans, le 10 juillet 2007.
Mes parents sont, jusqu'au bout, restés attachés à leurs idéaux républicains et laïques et nous restons, ma soeur Michèle et moi-même, défenseurs farouches de ces valeurs.
Pour me joindre (...).
Bien cordialement
JPC
Ra.
Cher Monsieur,
Merci pour votre message et pour nous avoir signalé la disparition de vos deux parents en 1999 et 2007. Je vais communiquer votre message à Jacques Girault, Professeur d'Histoire à Paris XIII, qui avait rédigé la biographie de Marcel Clair, que nous allons compléter en rajoutant cette triste information.
Très cordialement,
Jean-Claude Autran
Rb.
Bonjour Jacques,
Pour info, décès de Marcel CLAIR
Amitiés,
JCA
Rc.
Cher Jean Claude
Merci. Il faut que tu rajoutes cette indication. Peux-tu connaître le lieu du décès.
Bonne année à tous
Amités
JG
5 décembre 2007 - 29 avril 2008 : Biographies d'Andrée et de Roland Darves-Bornoz
Q1.
Cher Jean-Claude,
(…) Je viens de téléphoner à Andrée Darves dont j'avais perdu la trace et que je retrouve car elle est la sœur d'une enseignante du Maitron.
Je lui ai appris que ton père était décédé, mais elle se demande si tu ne lui avais pas annoncé et se demande si elle t'a répondu, car en janvier elle était hospitalisée. Bref peux-tu lui indiquer ce qu'il en est.
AD (…).
Amitiés à tous
JG
R1.
Cher Jacques,
Merci pour ton message. J'ai pu ainsi parler à Andrée Darves dont j'avais perdu la trace depuis l'an dernier.
Nous nous étions retrouvés en 2003 (nous ne nous étions pas revus depuis le début des années 70), grâce à internet où j'avais réussi à identifier son fils Jean-Michel. De Jean-Michel, j'avais pu avoir l'adresse d'Andrée. Ils étaient à ce moment-là du côté de Tours et Andrée était souvent dans sa maison de Dordogne qu'elle avait achetée avec son mari vers 1980 peu avant
que celui-ci ne disparaisse.
En août 2003, étant en vacances dans l'Aveyron, nous étions d'ailleurs allés lui rendre visite dans cette maison de Dordogne (A Saint Avit Senieur), une maison extraordinaire et célèbre, "Le Cadran Solaire", datant du XVIe siècle je crois et chargée d'histoire. (...).
Ensuite, nous nous sommes écrit chaque année pour les vœux. J'ai su qu'elle et son fils s'étaient installés à Paris. Elle était alors rue de Vaugirard. En Janvier 2007, je n'avais pas eu de réponse à ma carte de vœux (où je lui annonçais que mon père était hospitalisé) et j'en avais déduit qu'elle devait avoir des problèmes de santé (...). Le décès de mon père, je l'avais alors annoncé à Jean-Michel par e-mail (…). Enfin ça nous a fait plaisir à l'un et à l'autre d'avoir pu converser quelques minutes.
(…) Amitiés.
Jean-Claude
Q2.
Cher Jean-Claude
(…) Compte tenu de l'action d'Andrée et de Roland Darves, j'ai décidé d'écrire leurs bios et des les transmettre au dictionnaire.
Je te joins ce que j'ai pour le moment. Tu recevras les deux quand elles seront terminées.
(…) Amitiés
JG
R2.
Cher Jacques,
Concernant les bios d'Andrée et Roland Darves-Bornoz, j'avais noté (probablement d'après le recensement de La Seyne de 1954)
- - Darves-Bornoz Andrée, née en 1922
- - Darves-Bornoz Roland, né en 1925
(…) Les Darves-Bornoz étaient originaires de Maurienne (je crois, du village de Saint-Alban-des-Villars). Le père de Roland était professeur de maths dans les classes préparatoires aux grandes écoles. Un frère de Roland était polytechnicien. Roland, lui-même, avait suivi l'Institut National Agronomique, puis l'Ecole Nationale du Génie Rural. Il avait aussi un diplôme d'ingénieur frigoriste.
Il fit sa carrière au Ministère de l'Agriculture, d'abord dans le Var, puis à Paris (rue du Maine). Son parcours a été : Ingénieur du Génie Rural, Ingénieur-en-chef, Ingénieur général ; chargé d'inspection technique en matière d'aménagement et de gestion des eaux, d'irrigation et de drainage à l'échelle nationale. Lors qu'il est décédé, il était Président de la Commission Internationale des Irrigations et du Drainage et Président de l'Union des Associations Techniques Internationales dans le domaine notamment de l'eau, de l'énergie, des barrages, des routes, etc.
- Andrée Darves m'avait signalé que son grand-père maternel (Cazals) avait été sénateur sous la IIIe République. J'avais oublié son prénom mais, d'après le site du Sénat (http://www.senat.fr/sen3Rfic/cazals_noel0372r3.html) il devait s'agir de Noël Cazals.
- Noël Cazals
- Ancien sénateur du Cantal
- Etat-Civil
- Né le 24 décembre 1861
- Décédé le 30 avril 1942
- Election
- Elu le 9 janvier 1921
- Fin de mandat le 13 janvier 1930 ( Non réélu )
- Profession : Médecin
Voilà ce que j'ai retrouvé.
Amitiés.
Jean-Claude
Q3a.
Cher Jean Claude,
Merci.
Voici les bios du père de Roland Darves
Celle Maitron a été publié dan s le volume 14-39 et l'autre sera publiée dans le tome suivant
Amitiés
JG
Q3b.
Cher Jean-Claude,
Un nouveau changement à La Seyne.
Voici une indication utile.
Bio de Roland Darves : http://jcautran.free.fr/fiches_mouvement_ouvrier/D/darves_roland.html
Bio d'Andrée Darves : http://jcautran.free.fr/fiches_mouvement_ouvrier/D/darves_andree.html
Amitiés
JG
5-18 septembre 2007 : Biographies Brun, Debove, Jauffret
Q.
Cher Jean-Claude,
Merci pour Brun.
Voici la bio de Debove avec une petite phrase supplémentaire suggérée par Madeleine Caminade.
(...) Amitiés
JG
R.
Cher Jacques,
La fiche Debove a bien été mise à jour sur internet :
http://jcautran.free.fr/fiches_mouvement_ouvrier/D/debove_helene.htmlComme convenu, j'ai également remanié la fiche Jauffret Marius Baptistin (en mettant sur une fiche différente ce qui concernait l'autre Jauffret : Joseph Marius). En fait, l'essentiel des activités militantes se reporte sur Marius Baptistin et il ne semble y avoir que peu d'informations relatives au Mouvement Ouvrier concernant Jauffret Joseph Marius.
Voir les fiches :
- http://jcautran.free.fr/fiches_mouvement_ouvrier/J/jauffret_joseph.html
- http://jcautran.free.fr/fiches_mouvement_ouvrier/J/jauffret_marius.html
J'ai également rajouté la date de décès sur la fiche de mon père :
http://jcautran.free.fr/fiches_mouvement_ouvrier/A/autran_marius.htmlJ'essayerai de passer dans la semaine pour te rendre les fiches que tu m'avais prêtées sur les Jauffret.
(...) Amitiés,
Jean-Claude
15 août 2007 - 19 juillet 2017 : Tino Brun
Q1.
Bonjour,
et félicitations pour votre site.
Je vous informe que Tino BRUN [BRUN Baptistin, Lucien, Julien, dit Tino] est toujours militant syndical. Il fait parti du Conseil syndical du SNUipp-FSU du VAR, toujours élu sur la liste Unité Action.
Bien cordialement,
ET
R1.
Bonjour
Merci pour cette information. [voir la fiche de Baptistin Brun dans le dictionnaire du Mouvement Ouvrier Seynois [http://jcautran.free.fr/fiches_mouvement_ouvrier/B/brun_baptistin.html]
Cordialement,
Jean-Claude Autran
Q2a. (18 juillet 2017)
Salut Jean-Claude, je te transfère le mail de notre camarade MT.
Salutations amicales
AT
Q2b.
Salut Dédé, salut René,
Je vous écris car je ne trouve pas le mail de JC Autran. Je souhaitais attirer son attention sur la page qu'il consacre à Tino Brun sur son site web. Il en parle au passé alors que Tino est toujours des nôtres, participe à toutes les manifs et est toujours membre du conseil syndical du SNUipp.
J'imagine que l'un de vous doit avoir ses coordonnées. Pourriez vous lui transmettre svp, on m'envoyer son email ?
Merci et à bientôt,
MT
R2.
Bonjour à tous,
Mon adresse mail est : (...).
Les notices biographiques du Mouvement Ouvrier et Social Seynois ont été, pour la plupart, rédigées par JG. Je ne fais que les mettre en ligne dans une rubrique de mon site internet.
Merci de m’adresser vos commentaires sur la notice de Tino BRUN. Je les ferai suivre à JG. Mais je crois que la norme d’écriture (par les historiens professionnels) des notices biographiques dans ce type de Dictionnaire est toujours le passé. Passé simple pour les actions anciennes, imparfait pour les actions récentes éventuellement encore en cours.
Bien cordialement.
Jean-Claude Autran
Q3.
Merci Jean-Claude pour cet immense travail si utile et si apprécié !
A un de ces quatre, peut-être pour une prochaine sortie "Botanique" ;-)
AT
1er août 2007 : Bio Debove
Q.
Cher jean-Claude,
Voici Debove. [http://jcautran.free.fr/fiches_mouvement_ouvrier/D/debove_helene.html].
Amiités
JG
22 juillet - 14 septembre 2007 : Louis Delesse
Q1.
Bonjour
Je réalise depuis bientôt 3 ans une étude en vue d'une parution, sur les soldats morts pendant la guerre de 14-18 inscrits sur le monument aux morts de Villiers sur Morin (77580)
Parmi les 17 soldats ce trouve ; DELESSE Georges, Alphonse - Né à Paris 14ème le 06-août-1896, décédé le 21-août-1917. À la côte 304 (Meuse 55).
Je n'ai pas retrouvé la famille de ce soldat dans notre région. Je sais qu'il avait un frère Louis marié en 1913 à Pantin avec Hélène RUFFIER et une sœur Jeanne marié à Villiers sur Morin en 1921 avec Jean DEBOUT, divorcé en 1924.
Ils sont tous les trois les enfants de ; de Louis né à Paris le 12 avril 1864 et de Jeanne GELIS né à Paris le 26 septembre 1866, mariés à Paris 10ème, le 7 décembre 1889
Je viens de lire sur votre site la note concernant Louis DELESSE Né le 12 avril 1864 à Paris,
Fils d'un cloutier et d'une journalière, Delesse, retraité à La Seyne (Var), était membre du comité de vigilance SFIO lors des élections cantonales d'octobre 1934. Présenté comme le doyen de la section, il présidait le comité électoral SFIO lors de l'élection municipale de 1935. Trois ans plus tard, il était délégué au congrès fédéral. SOURCES : Arch. Dép. Var, 4 M 50. - Presse locale.
Il est sûrement le père de Georges, de Louis et de Jeanne.
Louis est il décédé à La Seyne ? A quelle date ? Lui connaissez vous de la famille encore en vie aujourd'hui ?
Je recherche la famille DELESSE dans l'espoir qu'elle pourrait me prêter des photos ou bien des lettres de Georges qu'il aurait écrite sur le front, ou simplement me raconter son histoire.
Tous renseignements concernant cette famille sera pour moi un élément supplémentaire à l'histoire de ce soldat.
J'espère qu'il vous sera possible de répondre à courriel même partiellement.
Dans l'attente je vous adresse mes remerciements pour l'aide que vous pourrez m'apporter.
Cordialement.
LGM
R1. (à JG)
Bonjour Jacques,
L'une de mes correspondantes internet a trouvé la fiche de Louis DELESSE :
DELESSE Louis.
Né le 12 avril 1864 à Paris (XIXe), fils d'un cloutier et d'une journalière, Delesse, retraité à La Seyne (Var), était membre du comité de vigilance SFIO lors des élections cantonales d'octobre 1934. Présenté comme le doyen de la section, il présidait le comité électoral SFIO lors de l'élection municipale de 1935. Trois ans plus tard, il était délégué au congrès fédéral.
SOURCES : Arch. Dép. Var, 4 M 50. - Presse locale.
Dans le cadre d'une recherche sur les victimes de son village à la guerre de 14-18 (le père de ce Louis DELESSE serait décédé le 21 août 1917 à la côte 304, Meuse), elle recherche d'éventuels descendants de cette famille et me demande s'il est possible de savoir si Louis DELESSE serait décédé à La Seyne et en quelle année ?
Si jamais tu avais un dossier Louis DELESSE contenant davantage d'informations que sur la fiche ci-dessus, merci de bien vouloir me les communiquer.
Amitiés,
Jean-Claude
PS. Je n'ai pas encore eu le temps de modifier les fiches JAUFFRET. Dès que j'ai pu le faire je te fais parvenir un projet de textes
Q2.
Cher Jean-Claude
La personne se trompe. Le père de LD doit être né vers 1840-1848. IL était non mobilisable en 1914. LD figure sur les listes électorales de LS dans les années 1930. La presse le présente comme son doyen. En 1864, les registres de naissance de Paris ont été transférés aux archives de Paris Bd Serrurier. Ils sont librement consultables. Mais le report de la date du décès ne devient systématique que dans les années 1940 et un tel renseignement ne figure quasiment jamais sur les registres antérieurs à 1880. Il n'est pas décédé à LS d'après mes recherches. Mais rien d'assuré, il ne figure pas à mon avis sur les tables décennales.. Mais il faudrait vérifier.
Amitiés
JG
R2a.
Merci Jacques,
Pour ces compléments d'informations sur Louis DELESSE et son décès.
Mais c'est moi qui me suis trompé dans mon message. Le soldat mort à la guerre de 14-18 était un fils de LD et non son père (qui aurait eu effectivement environ 70 ans en 1914).
Si ce qu'on m'a dit est exact, Louis DELESSE, né à Paris le 12 avril 1864, aurait épousé Jeanne GELIS, née à Paris le 26 septembre 1866, le 7 décembre 1889 à Paris (10e). Ils auraient eu 3 enfants :
- DELESSE Georges, Alphonse, né à Paris 14ème le 06 août 1896, décédé le 21 août 1917. À la côte 304 (Meuse). [C'est lui dont le nom se trouve sur le monument aux morts de Villiers-sur-Morin (77580)].
- DELESSE Louis, marié en 1913 à Pantin avec Hélène RUFFIER
- DELESSE Jeanne mariée à Villiers-sur-Morin en 1921 avec Jean DEBOUT, divorcée en 1924.
Apparemment, c'est tout ce qu'on sait à ce jour. On ne sait pas s'il y a des descendants de cette famille.
Amitiés,
JCA
R2b.
Bonjour,
Je n'ai pu rassembler que peu d'informations pour répondre à votre message.
La courte fiche biographique de Louis DELESSE que vous avez trouvée sur mon site avait été écrite par Jacques GIRAULT, professeur d'histoire à l'Université de Paris 13, dans le cadre de l'édition du Dictionnaire du Mouvement Ouvrier Français.
J'ai demandé à Jacques GIRAULT s'il possédait dans ses archives davantage d'information sur Louis DELESSE et son décès. Il m'a répondu que, au cours des recherches qu'il avait effectuées dans les tables décennales de l'état-civil de La Seyne, il n'a jamais lu le nom de Louis DELESSE. Donc, sauf erreur ou omission de sa part, Louis DELESSE ne serait pas décédé à La Seyne. Mais on n'en sait pas plus.
Quant à d'éventuels descendants de cette famille DELESSE, nous n'en avons pas la moindre idée. On peut seulement noter que le patronyme DELESSE est peu représenté dans le Var. Sur les Pages Jaunes on ne retrouve que les noms suivants :
Peut-être, pour en avoir le cœur net, pouvez-vous contacter l'un ou l'autre de ces DELESSE pour vérifier s'ils ont ou non une parenté avec la famille à laquelle vous vous intéressez ??
Cordialement,
Jean-Claude Autran
NB. Voir
la suite des échanges sur Georges Delesse dans la rubrique
"Guerre, Résistance et Maquis" du forum de notre site :
6-10 mai 2006 : Bio Sprecher
Q1.
Cher Jean-Claude
Il me faut ajouter une ligne à la bio. La voici.
Je t'enverrai aussi quand les intéressés les aurant relues deux autres notices, une ancienne Beretti, une nouvelle Roux.
Amitiés à toi et à tous les tiens
JG
R1.
Merci Jacques. Bien reçu. La mise à jour de la bio de notre malheureux camarade Sprecher est en ligne [http://jcautran.free.fr/fiches_mouvement_ouvrier/S/sprecher_jean.html].
Amitiés.
JCA
7-14 juillet 2005 : Armand Bonato
Q1.
Je ne vois rien sur Monsieur BONATO Armand, dit" Mido"(fils de Auguste BONATO ouvrier aux chantiers) apprenti aux chantiers et forges de la Méditerrannée vers 1930, acteur du mouvement ouvrier aux chantiers navals de la Seyne et à TOULON (à côté de PUCCINI, GIOVANNINI, etc) dans les fiches faites par Monsieur GIRAUD (voir Messieurs GUIGOU, Maurice PAUL et beaucoup d'anciennes et anciens de LA SEYNE.
Monsieur BONATO est décédé en avril 2005. Sa veuve et le fils aîné de Monsieur Armand BONATO demeurent [...] si vous avez envie peut être de compléter l'histoire.
MK
R1.
Bonjour,
Merci pour votre message, que j'ai transmis au professeur Jacques Girault.
Jacques Girault m'a indiqué que le nom d'Armand Bonato lui était connu. Mais les biographies qu'il a rédigées sur le mouvement ouvrier à La Seyne se limitent aux personnes qui ont milité avant 1940 (car ses travaux de recherches se sont essentiellement consacrés à la période 1920-1935 de l'histoire du mouvement ouvrier).
En ce qui concerne Armand Bonato, s'il a bien été acteur du mouvement ouvrier aux Chantiers avec Puccini, Giovannini, comme vous le rappelez, cela se situait après la guerre. Et Armand Bonato, s'il était apprenti vers 1930 n'avait pas encore eu de responsabilités dans le mouvement ouvrier à cette époque, et c'est pour cela qu'il n'y a pas eu de notice biographique de rédigée sur lui.
Nous sommes cependant en possession d'un article de La Marseillaise (du 28 Janvier 1981) sur Armand Bonato [voir ci-dessous], article que je suis heureux d'ajouter aux discussions sur le « forum » de mon site internet. Vous retrouvez donc cette courte biographie d'Armand Bonato à l'adresse internet suivante :
Si vous avez d'autres documents sur Armand Bonato qui permettraient de compléter cet article, vous pouvez naturellement me les faire parvenir.
Cordialement,
JCA
(Extrait de La Marseillaise, Edition du Var, Mercredi 28 Janvier 1981)
La bonne route d'Armand Bonato
Après la vie de François Cresp, le témoignage d'Etienne Reverdito; voici celui d'Armand Bonato, un des premiers J.C. de La Seyne
Bonato Armand a adhéré en 1934, à la Jeunesse Communiste qui venait de se créer à La Seyne: Il était alors apprenti aux Chantiers. C'est jusqu'à après les évènements de février. « Ce qui m'a amené aux J.C. c'était ce que me disait l'ouvrier dont j'étais l'apprenti, Dans ce qu'il me disait, Il a fallu que je trie : Il était arnarchisant, comme pas mal d'autres. Quand il a su que c'était à la J.C. que j'adhérais, il a pris une belle colère, en me disant que ce n'était pas là bonne route. Ceci dit, je crois qu'il a finalement adhéré lui aussi, après guerre.
A l'époque on n'avait pas, surtout à la J.C., la même éducation politique que maintenant : pas tant de brochure, de journaux, et surtout d'expérience. Le principal de notre activité c'était la propagande, les chiffres, la contradiction dans les réunions publiques. (parfois les discussions étaient... disons très vives).
On se battait surtout pour l'union et en 1936, « Barto » a été élu. C'est moi qui l'ai porté en triomphe, sur mes épaules, du siège électoral qui était au Bar des Palmiers à la mairie de La Seyne. Il faut dire que la nécessité de l'union nous avait été montré d'abord par Thorez, et aussi par la présence de pas mal d'émigrés anti-fascistes Italiens qui nous parlaient de Mussolini et du fascisme..
Puis c'est 36, l'élection du Front Populaire et les grèves victorieuses : les congés payés, les salaires. Cela n'a pas empêché qu'Armand, avec plusieurs de ses jeunes camarades qui avaient « animé » les grèves, soient licenciés des Chantiers, sans que la réaction du syndicat CGT (réunifié mais dominé par les réformistes) soit très virulente.
Après, c'est là mobilisation pour Armand.
En 38, il refuse de charger une manifestation d'ouvriers en grève, et explique à son, lieutenant que S'il n"était pas soldat Il serait de l'autre côté. Il ne veut donc pas « Se taper dessus à lui-même ».
Il précise que son lieutenant ne devait pas être un mauvais type, puisque son attitude n'a pas eu de suite.
(N.D.L.R) : En 1938, après l'accord de Munich de septembre, Daladier a les pleins pouvoirs de l'Assemblée. - Il fond des décrets-lois. La C.G.T. décide la grève pour s'y opposer le 30 novembre. Le gouvernement utilise, tous les moyens pour casser le mouvement, y .compris l'envoi de la troupe contre les grévistes).
A la fin du service Armand reste sous les drapeaux : c'est là guerre.
La drôle de guerre d'abord, déclarée le 3 septembre 1939. La dissolution du P.C.F. et son interdiction sont prononcés le 26 septembre 1939, dissolution précédée, dès le 27 août, par l'interdiction de tous les journaux et revues communistes. De septembre 39 à mai 40, la drôle de guerre va être la guerre aux militants communistes, avec l'appui unanime à une exception près des députés socialistes et radicaux élus en 36, sur le programme du Front Populaire, avec les voix des communistes !
Armand est fait prisonnier en 40. Trois fois évadé, deux fois repris, il parviendra à retourner en zone non occupée. Il ne restera que très peu de temps à La Seyne, obligé de se réfugier au Luc puis dans la Drôme.
Il reviendra à La Seyne à la libération. Aujourd'hui membre de la cellule Duclos il en est également le CDH. et avec l'aide de quelques copains, il vend ses 12 HD par semaine. Afin que « le candidat communiste recueille un maximum de voix au premier tour des Présidentielles ».
23 mai - 29 juin 2005 : Agostini « le rouge »
Q1.
je suis le petit fils de agostini jean baptiste dit "le rouge"
je suis le fils de marc agostini et ça m'a surpris de lire ces choses sur mon grand père la dernière fois que je suis aller a la Seyne c'était après mon mariage dans les années 80
si vous avez d'autres renseignement ou anecdote sur mon grand père je serai heureux de les connaître.
merci d avance votre site est très bien.
JMA
R1.
Bonjour,
Je n'ai pas réussi, malgré toutes mes recherches, à vous trouver d'autres renseignements sur votre grand-père Agostini "le rouge".
Les seules informations en ma possession sont celles de la notice rédigée par le professeur Jacques Girault, et que j'ai mises sur mon site internet à la page : http://jcautran.free.fr/fiches_mouvement_ouvrier/A/agostini.html
Mon père (Marius Autran) a probablement connu votre grand-père, mais mon père a maintenant 95 ans ! Il m'a dit qu'il avait connu plusieurs Agostini de La Seyne et de Toulon, mais il n'arrive plus à se souvenir d'aucun détail les concernant.
Je suis désolé de ne rien vous apporter de plus.
Cordialement,
JCA
Q2.
si vous voulez j ai une vieille photo ou ils posent avec un journal (France d abord et l humanité quinzaine de personnes) a la main pour mettre sur votre site et nous avons habités a la Seyne sur mer ont est partis dans les années 1976 pour rentrés en corse ma pauvre mère était directrice du foyer logement pour personnes âgées AMBROISE CROIZAT al la Seyne sur mer.
merci quand même
JMA
R2.
Bonjour,
Votre second message a permis à mon père de se souvenir un peu mieux de votre famille, notamment de votre mère lorsqu'elle dirigeait le foyer Ambroise Croizat. Mais il m'a dit qu'il les avait ensuite perdus de vue parce qu'il étaient rentrés en Corse, ce que vous me confirmez.
Mais je serais très heureux de recevoir la photo dont vous me parlez. Merci par avance s'il vous est possible de me la faire parvenir.
Très cordialement,
JCA
Q3.
Je vous envoie 2 photos.
Première photo (je cite ce qu'il y a d'inscrit sur le dos de la photo) :
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Deuxième photo :
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Pour les photos téléchargez le fichier joint
JMA
R3.
Bonjour,
Merci beaucoup pour les photos. Je les ai montrées à mon père à qui cela a rappelé quelques souvenirs lointains. Il pense reconnaître les visages certains de ces vendeurs de L'Humanité et de France d'abord. En particulier votre grand-père Agostini Jeannot (et moi aussi, j'ai du le croiser lorsque j'accompagnais mon père dans les années 50, car son visage me semble familier), ainsi que Taïb et Agosti.
Merci encore.
Très cordialement,
JCA
9 juillet 2004 : Les militants du Var
C.
Quel bonheur que votre retrouver sur ce site mes camarades des années 60.
J'ai bien connu par exemple Louis Puccini et Jeanne Détruit que je retrouve parmi les camarades cités.
Et Barto bien sûr.
J'étais à cette époque secrétaire de la JC à Hyères.
Je vous adresse un salut cordial de la Région Parisienne.
MG
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© Jean-Claude Autran 2017