1982-2016 : Plages : Nettoyage, pollution, intempéries, disparition du sable

1985-2018 : Commerçants - Festivités - Marché nocturne - Feux d'artifice

1986-2000 : Aménagement  de l'isthme en parc paysager

1986-2017 : C.I.L. des Sablettes et rencontres avec les élus

1990-2018 : Sauvegarde du Grand Hôtel et de l'architecture balnéaire

1992-1998 : Luna-Park : Polémiques

1996-2017 : Plage : Paillotes et plagistes

2000-2016 : Sauvegarde, réhabilitation et valorisation du village Pouillon

2001-2009 : Le Parc Braudel après inauguration

2006-2018 : Bain de Noël et traversée de la baie à la nage

Plages : Nettoyage, pollution, intempéries, disparition du sable

Mar-Vivo (1982-2018) et Les Sablettes (1994-2016)

Bulletin municipal, mai 1982, page 32

Var-Matin, 8 août 1999

Var-Matin, 28 juillet 2001

Var-Matin, 8 juillet 2010

Var-Matin, 20 juillet 2011

Var-Matin, 16 août 2014

Var-Matin, 25 juin 2016

Var-Matin, 4 juillet 2016

— Var-Matin, 4 juillet 2016: « Réensablement de Mar Vivo : un nouveau grain de sable » - « Comme l'été dernier, le « réengraissage » de la plage à l'ouest des Sablettes suscite la colère de certains baigneurs, qui critiquent la qualité du sable apporté. Mais, pour la Ville, l'opération est un succès... - « C'est devenu l'enfer ! » - A Mar Vivo, le « nouveau » sable en provenance de Saint-Elme ne fait pas l'unanimité, même si la mairie s'en explique - Raphaëlle Le Guen, première adjointe au maire de La Seyne : « Il peut nous échapper une pierre mais... - Ca fait des années qu'il n'y avait plus de plage à Mar Vivo et, là, le sable reste. Il est resté malgré les coups de mer du week-end. L'autre motif de satisfaction, c'est le fait que nous puissions coupler le curage du port de Saint-Elme, où il y a un problème récurrent d'ensablement, avec le fait de réengraisser la plage de Mar Vivo. Ca fait dix ans que nous cherchions à obtenir l'autorisation de le faire de la part de la Direction départementale des territoires et de la mer (DDTM). Depuis l'année dernière, c'est bon. C'est une vraie opportunité pour Mar Vivo » ». (MAD)

— Le Seynois, 15 octobre 2018 : « Lutte contre l'érosion : des études de courantologie de Saint-Elme à Mar-Vivo - D'un côté l'ensablement de Saint-Elme, de l'autre l'érosion de la plage de Mar-Vivo. Les services de TPM et de la Ville mènent de front des études de courantolohie pour décider ou non de la réfection d'une digue immergée aux Sablettes » (GA).

Le Seynois, 15 octobre 2018

Plage des Sablettes (1994-2016) :


1994
— Var-Matin, 9 janvier 1994 : « Après la pluie... Deux jours de tempête... La plage des Sablettes en porte les stigmates - Les détritus se sont installés, le sable s'en est allé - Des tonnes de posidonies se sont échouées à St-Elme, juste devant le club de Kayak. Les plaisanciers craignent qu'au premier coup de mistral, elles viennent au fond du port bloquer les bateaux - Des vagues d'une taille impressionnante ont charrié des troncs d'arbre, des détritus venant des quatre coins de la Méditerranée. Elles ont léché le mur de la promenade et redessiné la plage » (MLM).

Var-Matin, 9 janvier 1994

1996
— Var-Matin, 2 avril 1996 : « Sablettes la mal nommée - La plage seynoise perd son sable régulièrement. Si les explications ne manquent pas pour justifier cette déperdition, les solutions se font attendre ».

Var-Matin, 2 avril 1996

— Var-Matin, 30 juillet 1996 : « Le Bali retient sa respiration - Protestations aux Sablettes. Propriétaires et locataires de l'immeuble sis sur l'isthme s'unissent contre les mauvaises odeurs ».

1998
— Var-Matin, 19 août 1998 : « Plages : verdict ce matin - Les analyses de la DDASS seront connues avant midi. Mais les prélèvements d'eau de mer remontant à lundi, il faut s'attendre au pire... ».

2002
— Var-Matin, 12 mars 2002 : « Sauver la baie des Sablettes - Son littoral sableux est soumis à une trop forte érosion. Hier, lors du conseil municipal, les élus ont donc décidé d'activer une étude en vue de protéger et de réensabler ce site - Du port de Saint-Elme à la plage de Mar-Vivo, la baie des Sablettes souffre de multiples maux qui la mettent en péril. Une étude pour laquelle l'Etat, les conseils général et régional ont été sollicités financièrement, devrait permettre de trouver des remèdes durables » (RM).

2004
— Var-Matin, 14 août 2004 : « Sur la plage : de moins en moins de sable - « La taille de la plage ? C'est une année sans, une année avec », déclare, un brin fataliste, le gérant de La Vague. Selon les années on a du sable devant ou pas. En théorie on a dix mètres de plage. Mais cette semaine, j'ai dû fermer deux jours, jeudi j'avais dix matelas au lieu de cinquante. C'est un peu la loterie ! » ».

Var-Matin, 14 août 2004

2005
— Var-Matin, 19 mars 2005 : « Comment protéger la plage - Une étude d'un montant de 110 000 euros va être menée dans le but de trouver une méthode « douce, écologique et naturelle » pour lutter contre l'érosion marine et assurer le réensablement de la plage des Sablettes - Michèle Durand rêve de faire revenir le sable fin sur « la plus belle plage de l'agglomération » (AT).

Var-Matin, 19 mars 2005

2008
— Var-Matin, 4 juin 2008 : « Les plages font place nette tous les matins » - « Chaque jour, tracteurs et râteaux entrent en action sur les rivages avec un impératif · finir le travail avant neuf heures du matin - L'eau à la loupe : la protection sanitaire des baigneurs mobilise chaque été des centaines d'agents, techniciens et ingénieurs, dans les DDASSC - Désinfection hebdomadaire - Entre cinq et neuf heures, les tracteurs entrent en action sur les plages des Sablettes, Mar Vivo et Fabrégas. Ailleurs, des agents manuels assurent l'entretien, quotidiennement » (PZ).

2009
— Var-Matin, 27 décembre 2009 : « Les Sablettes balayées par des « largades » - Les vagues ont provoqué d'importants dégâts sur le littoral seynois et rompu une canalisation - Une partie de la promenade Jean-Charcot est interdite à la circulation, à cause d'un effondrement sur la chaussée. Des particuliers aussi ont fait les frais de la forte houle qui a « tapé » le littoral de la Seyne » (SB).

Var-Matin, 27 décembre 2009

— Var-Matin, 28 décembre 2009 : « Pollution dans l'anse des Sablettes» - « Suite au mauvais temps de la semaine dernière, la ville attend une expertise sur une canalisation. Une association témoigne de rejets d'eaux usées en mer - Une houle violente a balayé les Sablettes et Mar-Vivo, faisant bouger un mur de soutènement -La canalisation d'eaux usées qui longe la plage a été touchée - « Les égouts debordent » - La canalisation semble bel et bien rompue et disloquée - En attente » (SB)

2010
— Var-Matin, 1er janvier 2010 : « Réseau d'assainissement : les partenaires autour de la table - Une réunion s'est tenue entre les représentants de la Ville, de TPM, « Véolia Eau » et les propriétaires qui ont donné leur accord pour une déviation provisoire de la canalisation d'eaux usées - Vers une reconnaissance de "catastrophe naturelle" ? » (MV).
— Var-Matin, 16 avril 2010 : « Charcot rénovée » - « Les premiers travaux du mur de soutènement de la promenade Charcot ont débuté hier, à La Seyne-sur-Mer. La mer avait sapé la base sur 185 mètres linéaires et plus de deux mètres de haut. la première phase de travaux va consister à refaire la base du mur grâce à des scellements en acier et des coulées de béton. L'escalier sera refait dans un deuxième temps. Les travaux coûteront 30 000 euros, pris en charge par la commune. L'allée piétonne sera rouverte avant le début de la saison estivale ».
— Var-Matin, 16 avril 2010 : « La promenade Charcot rouvrira avant l'été » - « Les premiers travaux de confortement du mur de soutènement ont débuté hier. L'allée piétonne sera rouverte avant la saison estivale - Travaux en deux phases - Les (mauvais) tuyaux de Mar-Vivo - L'accès à la promenade Charcot est fermé depuis décembre dernier. Hier, les sondages du mur de soutènement ont été effectués. Les travaux devraient durer de deux à trois semaines » (MV).
— Var-Matin, 17 juillet 2010 : « Plus d'un million d'euros pour rénover la promenade Charcot » - « Les élus ont voté hier les demandes de subventions pour réhabiliter le lieu touristique. La polémique a grondé face au désengagement du département - Plus d'un million d'euros. C'est le montant annoncé de la reconstruction de la promenade Charcot aux Sablettes, très sévèrement touchée par le coup de mer de décembre 2009. En avril et mai dernier, des travaux provisoires ont permis de rouvrir la promenade pour l'été. Mais dès la fin de la saison, le chantier de confortement et de sécurisation sera lancé. Installation de palplanches métalliques côté mer, terrassement et reprise du mur au moyen de pieux ou micropieux, reconstruction à l'identique de l'escalier en pierre... Les travaux à réaliser sont de très grande ampleur. Hors taxes, la facture grimpe à 829 626 euros - « A quoi servent nos conseillers généraux ? » - En décembre 2009, une partie du mur et le vieil escalier de la promenade s'étaient écroulés sous la puissance des vagues qui avaient raviné le sable. La promenade avait été fermée pendant plusieurs semaines avant de rouvrir provisoirement pour l'été - Les élus, réunis hier en conseil municipal, ont sollicité les partenaires institutionnels pour financer l'opération. La part de la commune devait s'élever à 21,04 %, soit 174 563 euros, avant que le conseil général refuse de participer à la rénovation - Le conseil général et TPM dans le collimateur - « La solidarité n'est pas la même pour tous » » (OM).

2011
— Var-Matin, 28 janvier 2011 : « La promenade Charcot mise en sécurité avant l'été » - « La ville va entreprendre, dès février, la seconde phase des travaux pour conforter définitivement le cheminement piétonnier, le long de la plage des Sablettes - Dans quelques jours, la promenade Charcot, aux Sablettes, mise à mal par les intempéries de novembre 2009, fera l'objet de travaux de confortement définitif - Quatre mois de travaux » (KM).
— Var-Matin, 13 avril 2011 : « La promenade Charcot sera sécurisée avant l'été » - « Dès lundi commenceront les travaux de consolidation du mur de soutènement. La fin de cette opération est prévue à la fin du mois de juin - Lundi, le premier coup de pioche - Un investissement de 700 000 euros - Claude Astore, adjoint aux travaux, et Alain Lopez, adjoint délégué aux quartiers sud, montrent les dégâts causés par la dernière largade le long du mur de soutènement de la promenade Charcot, aux Sablettes » (MP).

Var-Matin, 13 avril 2011

2014
— Var-Matin, 5 août 2014 : « Les posidonies vont-elles sauver les plages ? » - « Malgré un aspect désagréable, qui dérange parfois les baigneurs, ces plantes aquatiques sont sans danger pour la santé et de leur présence dépend l'avenir des plages - Laisser agir la nature - Un frein à l'érosion » (MM).

Var-Matin, 5 août 2014

2015
— Var-Matin, 31 juillet 2015 : « Sur le sable, ils veillent au grain » - « Sept jours sur sept, du 15 juin au 15 septembre, les équipes de nettoyage s'activent deux fois par jour sur les quatre plages de la ville. Reportage lors d'une tournée matinale aux Sablettes - Un budget de plus de 7 millions à l'année - Il est 6 h, les équipes de nettoyage s'activent sur la plage des Sablettes - Des mégots, un bateau et même une carcasse de mouton - la cribleuse-tamiseuse ratisse le sable jusqu'à 30 centimètres de profondeur. Cette machine assure la collecte des déchets tout en préservant l'environnement - Les mégots sont un véritable fléau. « À Fabrégas, on ratisse d'ailleurs exprès pour ça », assure le responsable du nettoyage » (LS).

2016
— Var-Matin, 19 mai 2016 : « La Seyne obtient son premier Pavillon bleu » - « Les Sablettes font leur entrée dans le palmarès 2016 des 45 plages distinguées pour leur qualité. Six-Fours détient le record des « bancs de sable labellisés - les plages des Sablettes (centre et est) décrochent pour la première fois leur place parmi les 45 plages élues Pavillon bleu - Obtention sous critères sévères - Les Sablettes en star(s) - Quinze ports labellisés en 2016 » (FD).

Var-Matin, 19 mai 2016

1985

— Var-Matin, 30 juillet 1985 : « Pour battre les records... il faut une poêle dans la main » - « Enfin ça y est. Trempée dans le meilleur acier, si ronde qu'elle n'en peut plus. A vous épater un régiment de cordons bleus. La poêle géante spéciale paëlla est arrivée hier près de l'embarcadère des Sablettes, via les chantiers navals où il aura fallu 100 heures pour la forger ».

Var-Matin, 30 juillet 1985

1996

— Var-Matin, 1er juillet 1996 : « Zone avec ou sans piéton » - « L'installation du marché artisanal aux Sablettes et la fermeture de l'avenue à la circulation ne se sont pas déroulées sans quelques grincements de dents - Quelle est cette alchimie typiquement seynoise qui fait que la moindre initiative soulève polémique, mécontentement, controverse : on l'a remarqué avec le Luna park, les logements sur le  site... Samedi soir, ce troublant constat a été vérifié une fois de plus : l'installation de la zone piétonne des Sablettes, une animation au demeurant fort sympathique, n'a pas généré que des vivats. Au contraire même, puisque certains commerçants ont profité de la présence de l'adjoint au commerce et à l'artisanat, Maurice Ettouati, pour faire part de leurs doléances et de leurs inquiétudes - Le marché artisanal des Sablettes, organisé par la municipalité, est ouvert tous les soirs de 20 heures à 24 heures - Le haut de l'avenue Charles De Gaulle désertée, les forains ayant été invités à s'installer du côté opposé du rond-point Lalo. Les commerçants qui ont décidé de jouer le jeu du nocturne ne l'entendent pas de cette oreille » (MLM).

2004

— Var-Matin, 14 août 2006 : « Plagiste au parc paysager Fernand Braudel, Calabrèse « Un festival ciné-plage » » - « « Pendant deux ans, le parc se cherchait un peu. Maintenant, tout commence à rentrer dans l'ordre ». Du coup, Christian Calabrèse veut foncer un peu plus. De (nouvelles) idées germent dans la tête de ce plagiste de « La Madrague ». Christian a un projet bien précis. « Créer un festival ciné plage de nuit... L'idée est originale et pourrait faire son chemin. D'autant que, dit-il, « cela n'a jamais été fait » ».

Var-Matin, 14 août 2006

2006

— Var-Matin, 16 août 2006 : « Profession créateur d'étoiles » - « Les spectacles pyrotechniques se multiplient en cette mi-août - Les techniciens de la société EFC événement étaient à pied d'œuvre depuis lundi pour régler le spectacle programmé à La Seyne » -  «  La régate des Deux Frères (44e édition) en mal de vent : Les concurrents ont « ramé» dans la pétole » (YDL).

2007

— Var-Matin, 2 juillet 2007 : « Plein soleil sur le marché nocturne des Sablettes » - « Le sud de la ville a retrouvé son parfum estival. Le marché artisanal a été inauguré hier soir - Chaque soir, depuis hier, les artisans installeront leurs étals dans les allées du parc Braudel - Florine a accueilli les élus venus inaugurer le marché nocturne qui sera ouvert pendant soixante soirs de 18 h 30 à 23 h 30.» (PHC).

2008

— Var-Matin, 5 juin 2008 : « Aux Sablettes, les commerçants renouent avec « l'esprit saison » » - Mobilisés pour obtenir de la ville le retour du marché nocturne estival sur l'avenue de Gaulle, les commerçants se sont mardi soir, fédéré en association mardi soir. Leur première demande a reçu une suite favorable de la municipalité, d'autant que les commerçants ont la volonté d'aller bien au delà dans leurs actons pour renouer avec un véritable « esprit saison » - Se donner tes moyens d'agir : Car en substance, les commerçants s'engagent bien au delà : animations, feux d'artifice (d'ores et déjà annoncé par Bernard Bénet) sont du ressort des commerçants, et devront être financés par ces derniers » (KM).

Var-Matin, 5 juin 2008

— Var-Matin, 21 juin 2008 : « Quatre feux d'artifice cet été aux Sablettes » - L'investissement lui coûte la coquette somme de 36 000 euros : l'association des commerçants du sud de La Seyne a choisi de réveiller la saison estivale du côté des Sablettes et de Saint-Elme et, en ce sens, de financer 4 feux d'artifice. Le premier d'entre eux aura lieu le 28 juin prochain, à la faveur de l'ouverture du marché artisanal nocturne, de retour sur l'avenue de Gaulle. « Ce sera digne du 15 août » assure le président de l'association des commerçants Bernard Bénet » (KM).

— Var-Matin, 30 juin 2008 : « Le hameau des Sablettes noir de monde pour la première soirée de l'été» - « Cinquante stands au marché nocturne - le premier feu d'artifice de la saison a été tiré devant une affluence monstre, de Saint-Elme à Mar-Vivo. Le marché nocturne offre cette année ses largesses à cheval sur l'avenue de Gaulle et le parc Braudel - Seul souci relevé samedi, en marge de cette soirée festive réussie, le stationnement : il va falloir changer ses habitudes » (PZ).

— Var-Matin, 31 juillet 2008 : « Les forains souhaitent plus d'animations aux Sablettes » - « Les vendeurs du marché artisanal nocturne participent à l'animation de l'avenue de-Gaulle et du parc Braudel tous les soirs de l'été. Bilan à mi-parcours - Ouvert de 20 heures à minuit, le marché nocturne des Sablettes a investi la rue. Plus propre et plus accessible pour certains, plus contraignant et moins aguicheurs pour d'autres - Des animations municipales en berne - Améliorer le marché dès l'an prochain » (RA).

2009

— Var-Matin, 10 mars 2009 : « Pas de grande roue aux Sablettes » - « Le parc Funny Land des Sablettes voulait compléter son offre avec une grande roue de trente mètres, mats la municipalité a répondu par la négative - Pas en adéquation avec la valorisation du littoral : inconcevable dans le cadre de la ZPPAUP (Zone de protection du patrimoine architectural, urbain et paysager » (PZ et BR).

— Var-Matin, mai 2009 : « Les quatre feux d'artifice des Sablettes seront bien tirés » - « Après la menace de tout annuler, l'association des commerçants devrait rentrer dans ses frais pour la saison 2008. Et lance les festivités des semaines à venir - « Le feu d'artifice est le seul événement qui attire la foule », plaide Bernard Bénet en présentant la facture des quatre feux qui seront organisés cet été, à l'initiative des commerçants des Sablettes » (SB).

2011

— Var-Matin, 4 avril 2011 : « Y aura-t-il un feu d'artifice aux Sablettes le 15 août ? » - « Les restrictions budgétaires municipales inquiètent les commerçants du quartier. Le sujet sera débattu lors de leur assemblée générale le 11 avril - Le traditionnel feu d'artifice du 15 août attire beaucoup de monde chaque année. Une manne profitant aux commerçants qui sont appelés à contribuer à « l'effort de guerre » - Mettre la main à la poche » (KM).

Var-Matin, 4 avril 2011

— Var-Matin, 13 avril 2011 : « Il y aura bien un feu d'artifice le 15 août » - « Malgré leur mécontentement, les commerçants des Sablettes ne veulent gâcher ni leur saison d'été, ni les festivités proposées - Alain Lopez, adjoint de quartier sud, Bernard Langlois, commerçant, Mélica Reiner, conseillère municipale, Bernard Bénet, président, Philippe Mignoni, adjoint en charge de l'économie, et Jean-Pierre Calmarini, commerçants » (RE).

— Var-Matin, 2 juillet 2011 : « Aux Sablettes, le premier des feux de l'été sera tiré demain » - « Offert aux Seynois et aux touristes par l'association des commerçants du sud de La Seyne, le premier rendez-vous pyrotechnique estival aux Sablettes est prévu demain soir. À ceux qui s'étonneraient que ce feu d'artifice n'ait pas lieu ce soir, Bernard Bénet, président de l'association, explique :« Nous n'avons pas besoin de le programmer samedi car c'est un jour où il y a toujours du monde. En revanche, le faire dimanche nous permet de finir la semaine en beauté. Et puis, cette belle animation est un clin d'oeil des commerçants aux touristes pour les remercier de venir à La Seyne - Six spectacles pyrotechniques au programme - Le feu du 15 août maintenu » (MG).

Var-Matin, 2 juillet 2011

— Var-Matin, 23 août 2011 : « Avant dernier feu d'artifice de la saison aux Sablettes » - « Il y avait un peu moins de monde dimanche soir aux Sablettes pour le feu d'artifice que pour celui du 15 août, mais les spectateurs présents ont apprécié le spectacle offert par l'association des commerçants du sud de la Seyne. Une nouvelle fois, les terrasses étaient bondées, amenant un sourire sur les visages des exploitants. « La saison a été difficile, particulièrement le mois de juillet ou les mauvaises conditions météo ont fait chuter de 50 % en moyenne le chiffre d'affaires des bars et restaurants comme des marchands forains. Il faut dire que certains soirs de juillet nous servions plus de chocolat chaud que de boissons fraîches. Heureusement, cette perte est en partie compensée par les bons chiffres de juillet, particulièrement les soirs de feu d'artifice », précise Bernard Benêt président de l'association des commerçants. Dimanche prochain 28 août, ce sera le dernier feu d'artifice de la saison estivale aux Sablettes » (PF).

— Var-Matin, 2 septembre 2011 : « 11^e vide-greniers des Sablettes samedi » - « Laurent Erwan et Alain Roman ont remis leurs chèques à Marie-Magdeleine Georges et Bernard Bénet - Le rendez-vous nocturne des fouineurs de vide-greniers est arrêté au prochain samedi 5 septembre, entre 16 h et minuit, sur les espaces des Sablettes qui leur sont dédiés. Ce onzième événement, initié par l'Amicale des donneurs de sang bénévoles de La Seyne, va rassembler plus d'une centaine d'exposants qui se sont inscrits auprès de la Maison du tourisme, corniche Georges-Pompidou. Cette manifestation profitera encore des éclairages estivaux mis en place par la ville, avenue du Général-de-Gaulle et esplanade Bœuf, en association avec les commerçants du Sud. Comme à l'accoutumée, le bureau de l'Amicale s'est investi au profit des associations caritatives seynoises, qui recevront une part des bénéfices réalisés. C'est avec plaisir que le président Laurent Erwan et le secrétaire Alain Roman ont remis des chèques à l'association France-Adot 83 et aux commerçants du Sud, fruits de leur dernier vide-greniers de juin » (JD).

2013

— Var-Matin, 14-15 août 2013 : « La Seyne : un quinze août de cérémonies et de rencontres aux Sablettes » - « Dans les traditions seynoises, le 15 août a été marqué par un pèlerinage à la « Bonne Mère » qui s'est transformé, à cause de l'interdiction de circulation sur la corniche de Sicié, en une messe et un hommage rendu sur le parc Braudel. Cette journée va débuter à 9 h devant la stèle érigée en l'honneur du Maréchal de Lattre de Tassigny, libérateur de la Provence, sur les lieux même où se termina, le 26 août 1944, la prise de Toulon et par conséquence, la libération de La Seyne. Ce sont les Marsouins de la 9e DlC qui reçurent la reddition de l'Amiral Ruhfus, retranché à Saint-Mandrier avec son état-major. Après le dépôt de gerbes, les Seynois se rassembleront, à 10 h dans le parc Braudel pour célébrer l'Assomption avec la grand-messe, dite par le curé de Mar-Vivo. Pour accompagner cette cérémonie, avec la chorale Stella Maris, la soprano, Anja Giraud, interprétera des œuvres de Bach, de Giulio Caccini et le splendide Ave maria de César Auguste Franck » (JD)

2014

— Var-Matin, 12 juin 2014 : « Bernard Bénet menace d'annuler des feux d'artifice aux Sablettes » - « Le président de l'association des commerçants du Sud lance un appel pour financer quatre feux d'artifice cet été - « J'en ai ras-le-bol ! », s'exclame le président de l'Association des commerçants du Sud. Coup de gueule de Bernard Bénet à l'encontre des commerçants qui ne veulent pas mettre la main à la poche pour payer les feux d'artifice de l'été. Comme chaque année, l'association organise cinq feux d'artifice aux Sablettes (prévus les 13 et 27 juillet, les 3, 15 et 24 août). Bernard Bénet avait déjà lancé un appel à la municipalité pour que la ville prenne en charge le feu d'artifice du 15 août. « On a eu un accord avec la mairie qui nous donnera 8000 euros de subventions en deux versements », précise Bernard Bénet. Reste donc à la charge de l'association les quatre autres feux, pour un montant global d'environ 30 000 euros. « Certains commerçants m'ont fait savoir qu'ils ne verseraient pas d 'argent cette année, d'autre donnent une misère et les commerçants de Saint-Elme n'ont jamais donné un sou alors qu'ils profitent des feux d 'artifice comme les autres », s'agace Bernard Bénet - Du coup, le président n 'y va pas par quatre chemins : « Soit les commerçants réagissent et participent financièrement, soit j'annule tous les feux sauf celui du 15 août. Et encore, celui-là, on ne le tirera pas de la plage des Sablettes comme d'habitude mais à Tamaris (Petite Mer, Ndlr), comme ça se faisait avant ». Bernard Bénet est d'autant plus remonté que selon lui, « tout le monde double ses recettes les soirs de feu d'artifice. Les terrasses sont pleines à craquer. Mais tout le monde veut profiter du système sans participer » . À bon entendeur ! » (MV).

— Var-Matin, 14 août 2014 : « Commémorations et festivités lors du week-end de l'assomption » - « Ce week-end de l'Assomption sera ponctué par diverses manifestations qui trouveront chacune leur public et leur succès. Ce sera d'abord le vendredi 15 août où les anciens de « Rhin et Danube » et les Seynois, rendront hommage au libérateur de la Provence, le Maréchal de Lattre de Tassigny, dès 9 h devant la stèle de Saint-Elme. Cette cérémonie sera suivie de la messe, à 10h30, parc Braudel pendant laquelle se produira la soprano, Anja Mechtild-Giraud qui interprètera des œuvres de Bach, de Franck, de Mozart et de Newton. A l'issue de la messe, un apéritif convivial sera servi devant la Maison du Tourisme - Régates et traversée de la baie à la nage » (JD).

— Var-Matin, 16 août 2014 : « Sablettes : le seul feu d'artifice de la saison sera tiré demain soir » - « Le feu sera tiré d'une barge placée dans la baie des Sablettes - « Ce sera un très beau spectacle », annonce Bernard Bénet. En début de saison, le président de l'association des commerçants du sud avait pourtant décidé d'annuler les cinq feux d'artifice prévus. Motif : le refus de certains restaurateurs de participer à la quête qu'il organise afin d'assurer leur financement (notre édition du 5 juillet). Si Bernard Bénet ne décolère pas (il a même installé un panneau édifiant sur sa terrasse), il se dit satisfait d'avoir pu « en sauver un dans la saison » (CG).

Var-Matin, 16 août 2014

2015

— Var-Matin, 5 janvier 2015 : « L'arrivée des Rois mages illumine les Sablettes » - « Accompagnant leur passage, 1000 parts de galettes de l'Épiphanie, autant de tickets de manège et 80 kg de papillotes ont été distribués hier aux enfants, avant un spectacle équestre sur la plage ».

— Var-Matin, 24 mai 2015 : « Cet été sonne le retour des feux d'artifice aux Sablettes » - « Sept annoncés ! Après l'arrêt des feux d'artifice l'an dernier, ces véritables « locomotives » économiques pour le quartier balnéaire reviennent en force, accompagnées d 'animations - Pour Bernard Bénet, « les feux d'artifice sont une façon de remercier les touristes qui viennent ici, en leur offrant ce genre de moments magiques ». Ça a certes un coût, mais les retombées, en terme d'image et d'économie, sont bien réelles - Un feu financé par la Ville, les autres par les commerçants - « L'an dernier, on s'est poignardé, mais il faut croire que cet arrêt a eu du bon, finalement » (JP).

Var-Matin, 24 mai 2015

— Var-Matin, 19 juillet 2015 : « Sablettes : feu d'artifice, troisième » - « Bernard Bénet (au centre) avec Sandra et Jean-Christophe Giol sur leur barge, d'où sera tiré le troisième feu d'artifice de l'association des commerçants du sud de la Seyne, ce soir à 22 h 30 » (SH).

— Var-Matin, 15 août 2015 : « Faites sauter 1es bouchons pour un feu d'artifice plus zen » - « Pour fluidifier un trafic qui promet d'être chargé aux abords des Sablettes, la mairie met en place un système de navettes maritimes et terrestres au départ du centre-ville - Pour profiter du feu d'artifice sans se stresser, ce soir, la solution de l'acheminement collectif semble toute désignée - Un millier de places gratuites en centre-ville - Des retours jusqu'à 1 h du matin » (LS).

— Var-Matin, 25 novembre 2015 : « B. Bénet, « Monsieur animations » des Sablettes, jette l'éponge » - « Bernard Bénet remettra sa démission lors d'une assemblée générale de l'association des commerçants, en février. Il ne sait pas, pour l'heure, si quelqu'un reprendra le flambeau - Un coup dur porté au dynamisme du plus balnéaire des quartiers seynois ? L'avenir le dira, mais Les Sablettes ne pourront plus compter sur Bernard Bénet qui, depuis huit ans, préside l'association des commerçants du sud de La Seyne. « Je suis fatigué, usé », confie « Monsieur animations », dont nul ne niera qu'il s'est démené pour déplacer les foules, autour et dans les commerces du bord de mer : entre les villages de pirates, la chasse aux œufs à Pâques, les salons auto et moto, les marchés nocturnes, sans oublier le célèbre bain de Noël, l'arrivée du père Noël et celle des Rois Mages, sans oublier les nombreux feux d'artifice tirés durant l'été, ce sont plusieurs milliers de personnes qui affluaient ici chaque année - S'il reconnaît que « rien n'aurait pu se faire sans l'aide logistique et financière de la Ville et de ses partenaires, ni sans les cotisations d'une grande partie des commerçants », Bernard Bénet se sent un peu seul, et amer : « Je suis toujours en train de pleurer, de faire l'aumône pour obtenir quelque chose : des subventions, un arrêté municipal, une autorisation... Aujourd'hui, quand j'appelle un élu ou un chef de service, on me dit « Qu'est-ce que tu veux encore ? » ». Mais je rappelle qu'à l'origine, nous avons créé l'association pour dynamiser Les Sablettes, afin que tout le monde en profite ». Et à l'entendre, il ne serait pas le premier à tirer profit, loin de là, de cette abondance de rendez-vous, à rendre jaloux les commerçants du centre-ville : « Tout ça, je le fais au détriment de ma vie de famille. Et mon affaire (le bar-restaurant L'Escale, Ndlr), est en train de péricliter... » (JP).

2016

— Var-Matin, 17 juin 2016 : « Un été de festivités aux Sablettes « malgré tout... » - « Mauvaise santé financière oblige, la Seyne a dû concocter le programme des réjouissances estivales des quartiers sud avec un budget animations amputé de moitié. Et ça fonctionne ! - Un été comme un autre aux Sablettes ? - Y aura-t-il quand même des feux d'artifice ? - Seul le feu d'artifice du 15 août se tiendra cet été aux Sablettes - Va-t-on quand même pouvoir s'amuser ? - Des nouveautés à signaler ? D'autres raisons de se réjouir ? » (MAD).

Var-Matin, 17 juin 2016

— Var-Matin, 1er juillet 2016 : « Aux Sablettes, la route restera bien ouverte » - « A la Seyne sud, face à la colère de commerçants, la municipalité a finalement renoncé hier à interdire la circulation automobile sur les avenues De Gaulle et Pompidou - Des commerçants en colère à l'emplacement de la barrière qui devait couper la route. Ils veulent créer une nouvelle association « pour le renouveau des Sablettes » - « Comment on va travailler ? » - « Personne n'était au courant » - Bernard Bénet : « Je n'ai jamais donné mon accord » » (LB).

— Var-Matin, 12 décembre 2016 : « Animation gallo-bretonne aux Sablettes » - « À l'initiative de la commission "lien social des quartiers sud", une sympathique animation en costumés s'est déroulée samedi après-midi au parc Braudel » (PF).

— Var-Matin, 29 avril 2017 : « Aux Sablettes, le nouveau marché au goût de tous » - « Le marché du vendredi matin, aux Sablettes, s'étend désormais d'une partie de l'avenue De-Gaulle jusqu'à l'esplanade Bœuf - « Plus grand », « Mieux pensé », « Davantage de choix »... - 80 exposants, dont 18 alimentaires » (JP).

— Var-Matin, 25 juin 2017 : « La grande roue va faire rayonner les Sablettes » - « Installée au coeur du quartier, au sein du parc Funny Land, elle offre des sensations vertigineuses et une vue unique sur la rade. Une belle attraction pour l'été ! - Un concept innovant - La nouvelle grande roue culmine à 40 mètres et offre une vue à couper le souffle - Le maire Marc Vuillemot était présent vendredi soir, aux côtés des représentants de la famille Calmarini - qui gère le parc - pour couper le ruban inaugural » (PF).

Var-Matin, 25 juin 2017

— Var-Matin, 25 juin 2017 : « Bernard Bénet : « Je reviens aux affaires ! » - « Déçu par « le manque d'animations dans le quartier », l'emblématique patron de bar aux Sablettes, à la Seyne, relance son association de commerçants. Interview sans langue de bois - Mais vous revenez pour quoi faire ? Bah déjà, j'ai envoyé une lettre à la Ville pour leur dire que j'allais remettre ce marché sept jours dans la semaine. Et puis il faut de nouveau des animations. Donc en plus de l'association, que je vais relancer, je vais créer un comité d'animations. Comme ça, vient qui veut me filer un coup de main : des jeunes, des vieux, je m'en fiche ».

Var-Matin, 25 juin 2017

— Var-Matin, 16 août 2017 : « Un parfum de Polynésie aux Sablettes » - « L'association des commerçants des Sablettes organise, depuis hier au parc Braudel, un marché tahitien. Une quinzaine de stands y propose des produits estivaux très convoités par les vacanciers : paréos et robes légères, jolies fleurs colorées pour orner les chevelures, sans oublier l'incontournable monoï deTahiti » (LYF).

— Var-Matin, 15 décembre 2017 : « Dimanche de fêtes aux Sablettes » - « Bernard Bénet, patron de l'Escale et président de l'Association des commerçants du sud, remercie la municipalité de La Seyne et TPM. Leurs subventions lui ont permis d'organiser l'arrivée du Père Noël et quelques belles surprises » (JP).

Var-Matin, 15 décembre 2017

— Var-Matin, 18 décembre 2017 : « L'homme en rouge avait de la concurrence hier aux Sablettes » - « C'était déjà Noël hier après-midi aux Sablettes, où l'Association des commerçants du sud avait prévu le plein d'animations. Cela a débuté par une distribution de 1 000 bonnets de Noël pour petits et grands, tandis que des personnes déguisées en héros de Star Wars déam bulaient, avant une pluie de papillotes (100 kg!) et l'arrivée du Père Noël en calèche » (PF).

Var-Matin, 18 décembre 2017

2018

— Var-Matin, 22 janvier 2018 : « Il n'y aura plus de feux d'artifice sur la plage des Sablettes » - « Parmi les nombreuses informations communiquées samedi matin par les élus lors de l'assemblée générale du CIL des Sablettes et Environs, à la base nautique de Saint-Elme, il y a en une qui pourrait décevoir bien des Seynois : elle concerne les feux d'artifice aux Sablettes. Les adjoints au maire Claude Astore et Jean-Luc Bigeard ont en effet expliqué que les nouvelles mesures de sécurité imposées pour l'organisation d'un tel événement font qu'il est maintenant quasiment impossible pour une association d'en tirer un » - « Les élus n'avaient pas que des mauvaises nouvelles à annoncer au bureau du CIL et au public présent à cette réunion riche en annonces » (PF).

— Var-Matin, 23 janvier 2018 : « Feux d'artifice aux Sablettes : « Rien n'est tranché » » - « Suite à notre article publié hier, intitulé « Il n'y aura plus de feux d'artifice sur la plage des Sablettes», les élus présents à la réunion du CIL souhaitent apporter les précisions suivantes : « S'il est vrai que les exigences de sécurité désormais imposées par l'État rendent plus compliqué et plus onéreux tout événement attirant massivement la foule, il ne peut être question de renoncerà un feu, cet été, aux Sablettes » ».

Aménagement de l'isthme des Sablettes en parc paysager

1986

— Var-Matin, 25 mars 1986 : « Circulation aux Sablettes - Nouveau visage à partir du 26 mars prochain - L'expérience qui va être tentée dès le 26 mars prochain, avec le concours de la D.D.E., si elle constitue un essai positif pourrait bien être transformée en un plan de circulation stable pour les années à venir... Concernant la circulation proprement dite, sachez que dès le 26, le sens ouest-est sera constitué d'un sens unique sur la partie de la voie comprise entre les débouchés des avenues Noël-Verlaque et de la Jetée - Les accès et les sorties des autobus seront purement et simplement inversés. Dans le sens contraire est-ouest, le C.D.18 va être dévié (carrefour de Saint-Elme a la voie Nord desservant l'immeuble « Le Bali » (voie des Marines des Sablettes). Le stationnement de tous les véhicules sera interdit sur l'ensemble de cette voie entre le carrefour de Saint-Elme et la corniche Pompidou (Tamaris). Des déviations seront mises en place à chaque carrefour par la rue Debussy et la rue Verlaque, enfin, les accès aux parkings signalés devront être rigoureusement respectés » (DA).

1993

— Var-Matin, 18 février 1993 : « Tourisme clé en mains - Présentation du projet « Forum de loisirs actifs », hier matin. Ouverture prévue en juin 1994. D'ici là, l'isthme des Sablettes aura été aménagé - le "Forum de loisirs actifs" prendra forme dans un bâtiment de 3.000 m abritant aussi un bar-restaurant, des magasins de matériel sportif, des commerces d'agrément et utilitaires et un centre aquatonic. Mais le forum de station est avant tout une structure d'accueil, d'information, de gestion et de coordination du tourisme et des activités sportives et de loisirs. Tel est le vaste projet présenté hier matin par Chartes Scaglia, Jean-Pierre Crenn, initiateur du projet et président de l'association "Forum de loisirs actifs" et Ferdinand Bernhard, président du comité départemental du tourisme du Var et président de la commission tourisme du conseil général - Charles Scaglia et son équipe sont convaincus du succès de cette ambitieuse entreprise. « Nous allons reconquérir le tourisme qui était le nôtre du temps de Michel Pacha. Nous préparons le terrain depuis de nombreuses années maintenant. Il est temps, affirmait le maire hier matin au cours d'une conférence de presse, de concrétiser ». Concrétisation de taille puisque le terre-plein de l'isthme sera complètement aménagé. « Les travaux qui seront pris en charge par la mairie, c'est-à-dire la transformation du terrain vague en parc paysager pour le public, l'installation d'un parking et le déménagement du stade de foot dans le quartier du Crouton sont programmés depuis longtemps et n'impliqueront pas de dépenses supplémentaires au budget initial », a expliqué le maire. » (MLM).

Var-Matin, 18 février 1993

— Var-Matin, 18 février 1993 : « P.S. : « absence de concertation globale -  Bernard Perin. chef de file du P.S. est intervenu sur la base des explications données par Charles Scaglia en ce qui concerne le Forum de loisirs actifs au cours du dernier conseil municipal : « Le projet présente des aspects très intéressants et innovants sur le plan touristique. La logique qui y est développée révèle de la part de ses promoteurs une bonne connaissance du secteur touristique et de ses mécanismes (promotion, commercialisation des produits ... ), mais sans doute une vision trop optimiste de l'évolution du marché et notamment de la demande touristique des activités de loisirs à caractère sportif dans le contexte seynois (...). Il ne faut pas condamner le projet conclut Bernard Perin. Il faut condamner le bâtiment et utiliser les structures déjà existantes, ou adopter une structure plus légère, afin d'éviter la création d'une seconde verrue, voir l'échec du "Bali" sur l'isthme ».

— Var-Matin, 13 mai 1993 : « Sablettes : route perdue - A qui appartient la déviation de Saint-Elme ? Depuis près de deux mois. Joël Cabras se pose la question. Le directeur-exploitant du cinéma en plein air des Sablettes a besoin d'une réponse. D'urgence. « Suite à une avarie de ma ligne électrique causée par un camion-grue, l'assurance du conducteur demande une autorisation de pose de ligne aérienne au dessus de la chaussée pour effectuer les travaux de remise en état ». Commence alors un remake du roi Ubu : tout naturellement. Joël Cabras se tourne vers la mairie. Le service concerné assure que cette portion de route ne lui appartient pas : « voyez la D.D.E. ». Aussitôt dit, aussitôt fait. La Direction départementale de l'équipement se fend alors d'un courrier « l'assurant que la ligne d'alimentation électrique du cinéma est implantée au-dessus d'une portion de voie communale ». Explication selon l'ingénieur des travaux publics signataires de la lettre : « la déviation de Saint-Elme n'a le statut de route départementale (n°18) que - jusqu'au giratoire situé à l'est du cinéma de plein-air ». Scène finale de ce mauvais film de série B : le directeur du "plein air" lance un « S.O.S. route perdue », proposant au propriétaire de la CD18 de se faire connaître au 94.30.70.66., car cet été, faute de câble d'alimentation électrique, il serait dommage qu'on ne puisse se faire une toile aux Sablettes. Joël Cabras dispose d'un dernier atout : déclarer la route aux objets trouvés. Si dans un an et un jour, personne ne l'a réclamée, il en sera peut-être officiellementle propriétaire » (PM).

1994

— Var-Matin, 8 janvier 1994 : « Un forum d'actualité - Le projet d'aménagement de l'isthme des Sablettes, baptisé "Forum de station", revu et corrigé pour mieux coller - Le projet présenté en février dernier en grandes pompes par la mairie, et baptisé " Forum de station", avait disparu des préoccupations seynoises depuis de longs mois. On pensait même qu'il n'avait pas résisté aux humeurs municipales. Pour en avoir le cœur net, quoi de mieux que de se renseigner à la source c'est-à-dire auprès du représentant de l'association porteuse du projet, Jean-Pierre Crenn ? Entretien - L'aménagement de l'isthme des Sablettes tel qu'il avait été présenté le 17 février dernier par Jean-Pierre Crenn, Charles Scaglia, maire de La Seyne et Ferdinand Bernhard, maire de Sanary et conseiller général responsable du Comité Départemental de Tourisme, a fait long feu. Il ne collait pas assez aux réalités seynoises. Mais l'aménageur n'en est pas pour · autant parti la tête basse. Non. Jean-Pierre Crenn a travaillé en toute discrétion sur le terrain pendant un an. Résultat : un projet tout neuf, cousin du premier. (...). Le projet n'a pas coulé. Au contraire, il a bien avancé depuis que je l'ai présenté officiellement le 17 février dernier. L'association 'Forum de Loisirs Actifs' est toujours concessionnaire des 7 000 mètres carrés de terrain sur l'isthme des Sablettes. Concession accordée l'an dernier par la majorité municipale pour une période de 30 ans » (MLM).

Var-Matin, 8 janvier 1994

1995

— Var-Matin, 3 novembre 1995 : « Sauver la route de la plage - Les commerçants de Saint-Elme refusent la suppression du CD.18 qui longe l'isthme des Sablettes. "Si l'on transforme le quartier en cul-de-sac, ce sera la ruine pour nous !" - Pour demeurer un pôle touristique actif, Saint-Elme veut conserver le CD.18 - C'est peu de dire que les commerçants de Saint-Elme s'inquiètent de l'aménagement futur de l'isthme des Sablettes. Dans une lettre en date du 12 octobre, une dizaine d'entre eux parmi lesquels des hôteliers et restaurateurs connus attirent l'attention du maire de La Seyne sur le danger qu'il y aurait à supprimer la route littorale au profit de la voie neuve reliant, via "Le Bali" et le nouveau giratoire, Tamaris à la route de Saint-Mandrier. Paul Lamy, au nom des cosignataires de la pétition jointe à son courrier, demande à Maurice Paul le maintien du système actuel dont la remise en cause définitive ruinerait, selon lui, les établissements concernés - Paul Lamy : « D'accord pour tout, du moment qu'on ne transforme pas Saint-Elme en impasse déserte ; nous n'avons pas écrit à Maurice Paul dans un esprit de polémique, bien au contraire, mais pour demander l' ouverture d'une concertation approfondie avec les acteurs économiques du quartier, déjà frappés par la crise. De toute façon, le maintien du CD.18 - qui constitue pour nous une impérieuse nécessité - ne compromettra pas le projet global. Les élus doivent nous entendre ». Et l' hôtelier des Sablettes de rappeler un précédent fâcheux : la substitution d'une digue aveugle à l'ancienne passerelle du port de Saint-Elme. C'était il y a une vingtaine d'année. Depuis, le bassin s'ensable sans cesse, au grand dam des plaisanciers qui ne peuvent plus y aventurer leur quillard sans risquer de l'échouer. On gagne souvent beaucoup de temps (et d'argent) à tendre l'oreille. La nouvelle municipalité, qui entend instaurer une forme de démocratie directe d'excellent aloi, tient là une belle occasion de passer des paroles aux actes. On n'imagine pas qu'elle ne sache pas la saisir » (BO).

Var-Matin, 3 novembre 1995

— Var-Matin, 15 novembre 1995 : « Isthme des Sablettes : La Région lâche la ville - Contrairement à l'attente de la majorité municipale, la Région ne versera pas son obole dans le projet d'aménagement de l'isthme des Sablettes. Ce sont 5,5 millions de francs (MF) - belle obole - en moins que la ville devra pourtant assumer comme elle s'y est engagée auprès de l'Europe. D'autant que le 6 octobre dernier, le projet a été accepté par la Commission régionale de programmation - Un simple projet communal de valorisation d'un terre-plein. Rien de plus ! Bernard Périn ne mâche pas ses mots. En fait, il fait le reproche à la majorité d'être incapable de mettre en place un projet global d'aménagement de l'isthme des Sablettes qui aurait pu dans un même élan permettre le développement de plusieurs centres d'intérêts économiques et touristiques. « Du coup, c'est toute la ville qui en pâtit puisque le Conseil régional, pressenti comme co-financeur du projet à hauteur de 5,5 MF, n'est absolument pas tenté par l'aventure. Aujourd'hui, il est faut avoir une démarche intercommunale alliée à une stratégie de développement économique. Or, l'aménagement prévu - un parc paysager - n'est même pas générateur d'emplois... ou si peu, et n'englobe en rien les alentours, voire les communes voisines ». Au cours de la séance du conseil municipal du 3 octobre dernier, Bernard Périn était longuement intervenu afin de mettre en garde la majorité sur les « pièges » d'une présentation de dossier Objectif II à la Commission de programmation sans avoir d'abord des assurances sur la participation des partenaires sollicités (...).  Et le projet est le dossier prioritaire de la ville qui s'est engagée à assurer les financements manquants pour apporter, comme le prévoit le système européen, 50 % de la somme globale, soit 16,5 MF moins les 4 du Département. Reste à la ville, dans le meilleur des cas, 12,5 MF à trouver. On est loin de 5,5 MF annoncés comme tribut municipal. D'autant que le projet a été accepté le 6 octobre dernier en Commission régionale de programmation, et qu'il n'est plus temps de reculer. Il faudra donc payer ! » (MLM).

Var-Matin, 15 novembre 1995

1996

— Var-Matin, 19 janvier 1996 : « Patrimoine : les priorités - La fin des travaux pour le clos Saint-Louis et le début de l'aménagement de l'isthme des Sablettes parmi les objectifs de Luc Patentreger pour 1996 - "Mettre en valeur ce qui existe déjà et créer le patrimoine de demain", telle est la volonté résumée de Luc Patentreger, adjoint au maire, chargé de la culture et du patrimoine. Comme beaucoup de ses confrères adjoints, il doit faire avec des finances très serrées. Le clos Saint-Louis, l'aménagement de l'isthme des Sablettes et l'organisation d'états généraux sur un partenariat économique et culturel avec d'autres villes de la Méditerranée figurent parmi ses souhaits d'adjoint pour 1996. De nouveaux concepts sont en train de naître comme la "balnéarité liée à l'urbanisme" ou encore l'identité maritime mais aussi "les archives vivantes" (...). Dans le même temps, l'isthme des Sablettes sera aménagé. Le projet de François Hérisson, jugé trop coûteux en matière d'entretien, a été complètement abandonné. "Mon idée, explique Luc Patentreger, est de retrouver l'identité seynoise, la simplicité et le côté naturel de cet espace." La route qui longe la plage devrait être transformée en un chemin piétonnier qui sera surélevé afin de dominer la baie du Lazaret d'un côté et la plage des Sablettes de l'autre. Celle-ci d'ailleurs va du même coup gagner du terrain car le chemin piétonnier sera reculé. Un espace jeux avec pelouse sera aménagé. Il sera encadré d'un côté d'une palmeraie avec un kiosque à musique ou un théâtre de verdure, le terrain des boulistes et un terrain pour les enfants. De l'autre, 600 mètres carrés seront réservés à un centre administratif abritant office de Tourisme et poste de secours. L'entrée du village de Saint-Elme sera aménagé dans la foulée. Le début des travaux est prévu pour l'automne » (RM).

— Var-Matin, ≈20 janvier 1996 : « Isthme : intérêt partagé - Au cours de son assemblée générale annuelle, hier matin, le CIL des Sablettes a présenté le projet d'aménagement du terre-plein à une salle comble - Outre les traditionnels - et insolubles ! - problèmes de stationnement, sécurité, pollution... le principal sujet abordé dans le cadre de l'assemblée générale du Comité d'intérêt Local des Sablettes, qui se déroulait hier matin dans la salle du Golf Hôtel, était sans conteste le dossier municipal d'aménagement de l'isthme. Pendant près de deux heures ce projet a été au cœur d'une discussion, parfois animée - Assemblée générale du CIL hier au Golf Hôtel des Sablettes où était présenté, plans à l'appui par Michèle Perrin, le projet d'aménagement de l'isthme » (MLM).

— Var-Matin, 23 janvier 1996 : « Isthme des Sablettes : année zéro ! - Conseillère municipale élue sur la liste de Patrick Martinenq et présidente de l'association "Héritage et Paysages", Nathalie Bicais revient aujourd'hui sur un sujet qui lui est cher. "L'isthme des Sablettes, fruit d'une longue et difficile histoire, s'affirme comme un site exceptionnel et central. Lors du dernier conseil municipal, les élus ont voté l'installation d'un petit centre de conditionnement aquacole sur le môle, près de la route. Avant que ne se succèdent une série d'opérations de cette nature dans l'urgence des besoins immédiats, je tiens à rappeler l'importance de ce lieu pour l'avenir de La Seyne. "A l'heure qu'il est, ce territoire qui tient tout autant de la mer que de la terre, offre le désastreux visage d'une société en panne. De notre époque, il exprime tous les errements : pollution de la baie du Lazaret, désolation des périphéries à l'abandon, laideur de l'architecture, désorganisation des équipements et destruction du paysage... "Personne ne se reconnaît dans ce lieu. La nudité de cette terre fait penser aux visions d'apocalypse des champs de bataille. "Après bien des projets, la municipalité a sans doute compris la nécessité de mettre en marche le processus d'aménagement de cet espace extraordinaire. Encore faut-il que les objectifs en soient clairement définis et que l'on se donne les moyens de les atteindre. "Les objectifs sont à mon sens de deux ordres :

1.- donner à La Seyne et à ses habitants le grand espace public paysager qui leur fait tant défaut.
2.- saisir cette chance d'initier un projet de développement économique pour notre commune en crise, tant sur le plan touristique que sur celui des activités d'avenir liées aux loisirs, à la culture et à l'environnement. "Pour réussir cette entreprise de longue haleine, il conviendrait de tourner le dos à une idéologie locale qui a toujours favorisé les situations acquises contre l'intérêt général, le sous-investissement contre l'ouverture économique, les modèles d'aménagement obsolètes contre les visions d'avenir.

Une chance à ne pas rater.

C'est pourquoi je crois qu'il faut affirmer dès à présent, plusieurs exigences :
1.- que soit pris en compte dès l'abord la globalité du site dans son environnement, en particulier au niveau de la stabilisation des rives et de la remise en marche des mécanismes des courants de la Baie du Lazaret. Je rappelle que l'envasement affecte la qualité des eaux de la baie, et hypothèque l'avenir de la mytiliculture et de l'aquaculture.
2.- que l'aménagement d'un site appelé à recevoir beaucoup d'activités, soit soutenu par un projet économique digne de ce nom. La démission des pouvoirs successifs et la consommation anarchique de tous les espaces libres aboutissent aujourd'hui à une situation dramatique de disparition des équipements et des espaces communs. Le citoyen se replie sur l'univers clos du logement privatif, le littoral demeure le dernier espace de liberté et de convivialité. Or, la construction puis le fonctionnement d'un lieu public de cette envergure dans la salubrité et la sécurité, impliquent une politique volontariste : un terrain vague avec des arbres reste un terrain vague !
3.- enfin qu'on mette en œuvre un véritable projet de création d'un paysage et d'un espace public, adapté aux besoins contemporains, digne d'une ville qui veut affirmer son identité et retrouver la prospérité d'une époque révolue. Refuser l'exigence de qualité exceptionnelle, reviendrait comme à l'habitude à aménager le sous-développement de La Seyne sur mer. "Il ne s'agit aucunement de faire des projets délirants, mais bien de recréer un paysage et un lieu vivant, différent du bétonnage et de la banalité. Le projet "Objectif II" manque encore, à mon avis, de cette ambition singulière. On ne peut se permettre de retaper à la va-vite un espace inachevé de remblais. Si nous réussissons ce défi, à l'image de Michel Pacha il y a exactement un siècle, ce sera une victoire de la modernité et de l'identité seynoises. Ne ratons pas cette dernière chance d'exister !"
— Var-Matin, 28 novembre 1996 : « La guerre de l'isthme - Coup de théâtre sur le site des Sablettes. Tandis que la municipalité ouvre une concertation préalable, le concessionnaire "oublié" des lieux menace de bloquer le dossier - L'affaire semble très mal engagée. Le dialogue interrompu. Tandis que la Ville lance aujourd'hui même une concertation préalable au projet de parc paysager de l'isthme des Sablettes, ressurgit du passé "scaglien" le "Forum des loisirs actifs". Représentée par Jean-Pierre Crenn, cette association - en possession d'une concession des lieux pour 30 ans - est décidée à bloquer le dossier si la Ville n'accepte pas la négociation réclamée depuis de longs mois - Course contre la montre : Le projet de l'isthme comporte, outre son aménagement sous forme de parc paysager, la revalorisation des villages de St-Elme et des Sablettes. Coût envisagé : 33 millions de francs. Financements prévus : 16,5 MF issus de la C.E.E. (Objectif II), 5,5 MF du Conseil régional (sollicités mais pas octroyés), 5,5 MF du Conseil général (sollicités mais pas octroyés puisque le Département ne prévoie de donner à La Seyne que 4 MF pris sur le budget Marepolis) et enfin 5,5 MF d'autofinancement municipal. Si la date prévisionnelle d'achèvement des travaux était décembre 1997 à l'origine, il semble plus prudent aujourd'hui de parler de la fin de l'année 98 - "Si les travaux ne sont pas terminés au 31/12/98, la Ville ne touchera pas la subvention de l'Europe. Il n'y aura pas de prolongation. Le maire l'a reconnu au cours du conseil municipal en disant qu'on est pressé. On n'a plus le choix. Il s'agit aujourd'hui d'une course contre la montre. Il s'agit pour La Seyne de trouver les fonds pour faire son projet et, plus tard, de trouver les financements pour l'entretenir !" - A.D.E.l.S. : « Informer et défendre ». Dernièrement, l'Association pour la défense de l'environnement de l'isthme des Sablettes (A.D.E.I.S.), nous avait contacté afin de préciser qu'elle poursuivait son action, quoique discrètement, sur le terrain. Mireille Dupla, la présidente de l'association, avait alors confié son inquiétude quant au retard pris par le projet municipal : "On nous avait annoncé le lancement d'un concours d'architecte pour octobre. Or, ça n'a toujours pas été fait. Les travaux auront-ils débuté avant l'été prochain ? Les négociations avec l'Etat pour le rachat du terrain situé sur le Domaine privé de l'Etat est une autre de nos préoccupations." Mireille Dupla profitait aussi de cet entretien pour rappeler le rôle d'A.D.E.I.S. : "Notre but est d'informer la population et de faire avancer le projet municipal d'un parc paysager comprenant l'agrandissement de la plage." L'association a prévu deux rendez-vous en décembre. Le premier avec Arthur Paecht, le 13 décembre et le lendemain à l'hôtel Lamy avec son assemblée générale annuelle. On peut parier que les échanges seront fructueux » (MLM).

Var-Matin, 28 novembre 1996

— Var-Matin, 11 décembre 1996 : « Acteurs du popul'isthme - La vie seynoise de demain tourne également autour de l'aménagement d'un parc paysager aux Sablettes. Le maire défend son projet auprès de la population Depuis le 28 novembre, le projet d'aménagement d'un parc paysager sur l'isthme des Sablettes et de revalorisation touristique des villages de St-Elme et des Sablettes est entré dans la phase de concertation en vue de l'élaboration du programme du concours. En clair, depuis deux semaines, il est possible à tous les Seynois concernés par ce projet de découvrir, à la mairie annexe, l'ensemble de ce programme et de formuler leurs remarques par écrit, sur un registre mis à leur disposition. Cette phase de concertation se terminera demain jeudi 12 décembre, en fin de journée. Il est encore temps de dire ce que vous en pensez. Après, il sera trop tard - Saisir l'opportunité - Ce qu'en pensent les Seynois » (AF).

Var-Matin, 11 décembre 1996

— Var-Matin, 23 décembre 1996 : « L'isthme en ligne de mire - Le conseil municipal de mercredi dernier s'est prononcé sur de nombreux points parmi lesquels figurait l'avenir immédiat du site des Sablettes - Les élus seynois ont travaillé tous azimuts mercredi soir, au cours de la dernière réunion 96 du conseil municipal. Quelques augmentations ont été annoncées en particulier en ce qui concerne le secteur funéraire ( + 2 % au lieu des 5 annoncés, grâce à une âpre négociation menée par l'opposition). Et puis, quelques bonnes nouvelles aussi comme l'avancement du projet d'aménagement de l'isthme, ou encore l'annonce réitérée par le maire que 97 ne verrait aucune augmentation des impôts locaux ! - L'aménagement de l'isthme des Sablettes était aussi à l'ordre du jour du dernier conseil municipal de l'année 96. 1997 devrait voir aboutir un certain nombre de décisions et projets le concernant » (MLM).

1997

— Var-Matin, 12 février 1997 : « Les Sablettes s'enlisent - L'association "Forum de loisirs actifs" réclame le contrôle de légalité du préfet et le retrait de la délibération ayant trait à l'isthme - La guerre de l'isthme des Sablettes qui sévit entre la municipalité et l'association Forum de loisirs actifs présidée par Jean-Pierre Crenn, titulaire d'une concession de service public du tourisme sur la totalité du territoire de la commune par convention interposée, vient d'atteindre une nouvelle étape. L'avocat de l'association a en effet envoyé deux courriers (en date du 18 décembre dernier) : le premier est adressé au préfet et réclame son contrôle de légalité. Le second, adressé au maire de La Seyne, demande le retrait de la délibération du 22 novembre sur la concertation préalable au projet d'aménagement de l'isthme - « La Ville a signé là une convention un peu légère, déclarait Maurice Paul dernièrement. Le projet de l'association "Forum de loisirs actifs" devait se faire sur des terrains qui n'appartiennent même pas à la commune, mais à l'Etat. En plus les constructions envisagées n'étaient pas en accord avec la loi littoral ! » - La balle est dans le camp de la mairie, qui devra d'abord régler ses problèmes internes avant de pouvoir faire face à cette nouvelle épreuve de force qui pourrait bien être à l'origine d'un retard fatal au projet d'aménagement des Sablettes qui n'a que jusqu'en 1999 pour sortir de terre. Au-delà de cette date les subventions européennes ne seront plus attribuées » (MLM).

1998

— Var-Matin, 6 janvier 1998 : « L'isthme au bout du stylo - L'enquête publique a commencé hier en mairie technique. Dossier et plans sont à disposition, de même que le registre où il est possible de noter les observations - Les plans s'étalent, depuis hier, sur les murs du service "Habitat-architecture" situé au deuxième étage de la mairie technique. Ils y resteront jusqu'au 5 février. Un mois d'enquête publique qui permettra à la population de mieux comprendre les tenants et les aboutissants du plus gros projet seynois. Car l'aménagement de l'isthme des Sablettes en parc paysager concerne la transformation de 7,5 hectares (améliorations apportées aux quartiers des Sablettes et de St-Elme) pour un coût global de 33 millions de francs - Dans un an, l'isthme des Sablettes devra ressembler à ça. Mais attention, ce projet de qualité, en cas d'échec, coûtera cher à La Seyne puisque la moitié des financements actuellement pris en charge par l'Europe devront être supportés par la Ville - La première phase concerne les réseaux enterrés. Les travaux débuteront donc par la plage » (MLM).

— Var-Matin, 26 janvier 1998 : « L'isthme des Sablettes : son aménagement imminent devrait redonner au quartier balnéaire son lustre d'autrefois. Faible secousse isthmique - Sereine assemblée générale du C:l.L. des Sablettes hier matin. Au menu la sécurité, l'environnement et, bien sûr, l'aménagement "européen" du secteur. On ne s'ennuie jamais aux assemblées générales du C.l.L. des Sablettes et environs en raison de l'importance des sujets traités dans ce secteur stratégique, mais aussi grâce aux subtiles dramatisations auxquelles savent procéder quelques adhérents. A commencer par le premier d'entre eux, le président Roger Ghibaudo-Brouchier qui s'y entend comme pas un pour peindre aux couleurs de l'épopée guerrière les luttes conduites au nom de l'environnement et de la protection contre le bruit - Délais respectés - Corniche réaménagée - La bataille du Luna-Park » (BO).

— Var-Matin, 14 février 1998 : « Isthme en mutation - Parkings, circulation, commerces, plagistes, transports en commun au centre des préoccupations des habitants des Sablettes consignées dans les registres de l'enquête publique - L'isthme, tel qu'il sera dans un an environ... - La plage des Sablettes, telle qu'elle ne sera plus l'été prochain - Le commissaire enquêteur ne devrait pas tarder à donner ses conclusions sur le projet d'aménagement de l'isthme des Sablettes qui fut soumis à l'enquête publique un mois durant. Plus de cent remarques ont été consignées dans les registres mis à leur disposition à la mairie technique, dans un espace où était présenté l'ensemble des plans décrivant précisément la métamorphose prochaine du quartier. En tout, mille Seynois sont passés par là, pour dire leurs craintes ou leurs espoirs, mals il semble aujourd'hui qu'il se dégage déjà un sentiment plutôt positif et qu'un printemps à nul autre pareil devrait éclore d'ici peu au quartier des Sablettes » (AF).

— Var-Matin, 3 mars 1998 : « Sablettes : l'heure du choix - L'aménagement paysager de l'isthme pourrait coûter plus cher que prévu. C'est du moins ce que laisse présager l'ouverture des plis - L'ouverture des plis concernant l'aménagement paysager de l'isthme des Sablettes s'est déroulée vendredi dernier. Deux groupements d'entreprises ont répondu à l'appel d'offre lancé par la municipalité. Hélas, les deux propositions sont supérieures à l'estimation financière de la Ville. Le choix est simple : relancer un appel d'offre au risque de dépasser les délais imposés par l'Europe ou accepter les conditions du groupement d'entreprises le mieux disant. La ville devant assumer le dépassement de budget. Une décision s'imposera au cours du conseil municipal du 12 mars - Les travaux d'aménagement de l'isthme des Sablettes devraient débuter le 18 mars. A condition toutefois que le conseil municipal se mette d'accord le 12 mars sur le choix à opérer.

— Var-Matin, 27 octobre 1998 : « La foire d'empoigne - Le conseil municipal a généré hier des débats houleux à propos du complexe aquatique, l'isthme des Sablettes, la création d'un emploi très contesté - L'isthme « prend l'eau » : L'isthme des Sablettes a été l'objet de violents échanges entre majorité et opposition lors de délibérations portant sur des avenants au programme communautaire Objectif 2. Ils concernent les marchés de bâtiments et de V.R.D. Il est par exemple question de réaliser un enduit anti-graffitis sur le mur de la Corniche Pompidou, de renforcer le réseau d'éclairage public sur les parkings et le long de la plage ou encore de supprimer certaines prestations dont la nécessité technique ou architecturale ou immédiate n'est pas démontrée. Ainsi, la jetée de Saint-Elme ne serait plus démolie pour être reconstruite comme initialement prévu et la pose de géotextiles pour tapisser le fond et les berges des bassins est abandonnée. Quoi qu'il en soit, les délibérations concluent à une augmentation de 3,75 % du marché V.R.D. et de 1,8 % de celui des bâtiments. Pour François Hérisson (RPR!) «le projet a déjà été réduit pour coller à l'enveloppe budgétaire et si des équipements sont encore supprimés, il y a danger » - Nathalie Bicais s'interroge : « Soit il est indispensable de démolir la digue de St-Elme, soit non, mais dans ce cas vous ne réglez pas les problèmes de courantologie. Les bassins sans géotextile seront des mares à canards sans compter les moustiques que cela va attirer. Pourquoi une peinture anti-graffitis sur le mur de la corniche qui ne fait pas partie du projet ? » (RM).
— Var-Matin, 24 décembre 1998 : « Visite de « fin » de chantier - « Les travaux du parc paysager de l'isthme des Sablettes sont achevés à 98 % », selon le maire - L'ouverture officielle n'est prévue que dans la seconde quinzaine de février 1999 - Afin de faire taire les mauvaises langues qui s'inquiétaient de l'avancement des travaux sur l'isthme des Sablettes, le maire a organisé hier une visite du chantier du parc paysager en compagnie de divers élus, de représentants de l'office du tourisme et de responsables d'entreprises participant au projet. « Il reste pas mal d'espaces couverts de terre, a reconnu Maurice Paul, mais 98 % des travaux sont achevés », a-t-il assuré. Et les 2 % restants ? « Des finitions, une quantité de détails qui représentent peu au regard de l'ensemble de l'ouvrage », selon le maire. Ce n'est pourtant pas l'impression que donne actuellement le chantier, en dépit des importants travaux réalisés. Il n 'est certes pas encore possible de visualiser les 8 500 m2 de pelouse, 94 000 plantes en godets et autres 40 000 arbustes et plantes de sous-végétation qui agrémenteront ce parc, en sus des 859 arbres de grande taille, dont 162 palmiers - L'avancement des travaux : En fait, il convient de préciser que les 98 % achevés correspondent aux terrassements généraux. Quant à l'avancement des autres travaux, ils ne s'élèvent qu'à 30 % pour la confection de la dune, 60 % pour les plantations, 70 % pour les plates-formes et revêtements bois, 75 % pour le nivellement des allées, les murs maçonneries, l'éclairage public et les locaux plagistes et postes de secours. Les bassins, eux, sont achevés à 90 %, le C.L.J., le garage à bateaux de Saint-Elme et les sanitaires à 90 %, les réseaux d'eau usées et pluvial à 95 %. Parmi les travaux totalement achevés, on ne compte que le réseau d'eau potable et l'arrosage primaire - Trois autres parcs : A l'heure de l'achèvement des travaux sur l'isthme, Maurice Paul a d'ores et déjà prévu l'aménagement d'autres parcs sur la commune : autour du Fort Napoléon (30 hectares), sur le site des anciens chantiers (3 hectares) et à Fabrégas (plus de 40 hectares). Des créations qui, selon lui, « contribueront à agrémenter le séjour des touristes » tant attendus à La Seyne » (AT).

— Bulletin municipal, décembre 1998, page 6 : « La Seyne-sur-Mer : Future Station Balnéaire de la Côte Provençale - Le Parc Paysager de l'isthme des Sablettes en voie d'achèvement. L'avancement des travaux est à ce jour le suivant : Terrassements généraux 98 % - nivellement des allées 75 % - confection de la dune 30 % - réseau eaux usées 95 % - réseau pluvial 95 % - réseau eau potable 100 % - réseau éclairage public 75 % - réseau d'arrosage primaire 100 % - réseau d'arrosage secondaire 90 % - murs maçonneries 75 % - plates-formes et revêtements bois 70 % - bassins 80 % - plantations 60 % - C.L.J. 90 % - locaux plagistes 75 % - postes de secours 75 % - garage à bateaux St-Elme 90 % - sanitaires 90 %. Le nouvel Office du Tourisme est quant à lui achevé, il a ouvert ses portes au public le 16 novembre dernier ».

1999

— Var-Matin, 15 avril 1999 : « L'isthme enfin ouvert - Outre la secrétaire d'Etat au tourisme, des milliers de Varois sont attendus ce week-end pour l'inauguration du parc paysager des Sablettes, et après eux des millions de touristes - Développer le tourisme - Deux jours de fête - Inauguration demain vendredi - Animations musicales pendant le week-end - Un livre pour tout raconter - L'isthme dévoilera dès ce week-end, ses sculptures, ses aménagements, mais il faudra sans doute attendre encore un peu pour que la végétation rende pleinement ses effets - Les dernières finitions, y compris sur les sculptures qui rappellent sans cesse la Méditerranée - Cette bâtisse signée du célèbre architecte Pouillon va devenir la Maison du parc et abritera différentes animations, notamment à l'attention des scolaires » (RM).

Qui était Fernand Braudel ?

D'après Le Petit Robert

2000

— Bulletin municipal, n° 19, 8-22 juin 2000, page 3 : « 18 juin, l'appel de l'été - Les Sablettes seront en fête le 18 juin, avec inauguration du nouveau rond-point de « l'appel du 18 juin 1940 du général de Gaulle » et lancement de la saison estivale par !'Office de tourisme - Le 18 juin prochain, le nouveau rond-point giratoire du Parc paysager des Sablettes sera inauguré en présence de nombreuses personnalités du monde des anciens combattants et des élus. Il sera baptisé du nom de « 18 juin 1940 », une plaque commémorative reproduisant l'appel du général De Gaulle. Ce carrefour giratoire prolonge tour naturellement le parc paysager Fernand Braudel, inauguré en avril 1999 par Michelle Demessine, secrétaire d'Etat au Tourisme. Un aménagement qui constituait le premier pas important vers la mutation de notre commune. Ce carrefour giratoire sera traité en espace paysager de qualité et s'inscrit dans une logique qui ira vers le réaménagement total de la corniche de Tamaris par le Conseil général » (CA).

Bulletin municipal, n° 19, 8-22 juin 2000, page 3

1986

— Var-Matin, 31 janvier 1986 : « C.I.L. des Sablettes : La construction du port : c'est confirmé ! - Corniche de Tamaris - Construction d'un nouveau port - Des participants presque trop nombreux - Le président Coltelli, plébiscité par les habitants du quartier ».

1992

— Var-Matin, 25 janvier 1992 : « C.I.L. des Sablettes : L'avis du quartier ».

1993

— Var-Matin, 18 février 1993 : « Tourisme clé en mains - Présentation du projet « Forum de loisirs actifs », hier matin. Ouverture prévue en juin 1994. D'ici là, l'isthme des Sablettes aura été aménagé - Conférence de presse hier matin, en présence de Jean-Pierre Crenn, Charles Scaglia - Le plan de la zone qui sera aménagée. Pas moins de 13.000 m de terrains sont concernés : plus de 3.000 seront destinés au bâtiment, 10.000 au parc paysager » (MLM).

Var-Matin, 18 février 1993

1996

— Var-Matin, ≈20 janvier 1996 : « Isthme : intérêt partagé - Au cours de son assemblée générale annuelle, hier matin, le CIL des Sablettes a présenté le projet d'aménagement du terre-plein à une salle comble - Outre les traditionnels - et insolubles ! - problèmes de stationnement, sécurité, pollution... le principal sujet abordé dans le cadre de l'assemblée générale du Comité d'intérêt Local des Sablettes, qui se déroulait hier matin dans la salle du Golf Hôtel, était sans conteste le dossier municipal d'aménagement de l'isthme. Pendant près de deux heures ce projet a été au cœur d'une discussion, parfois animée - Assemblée générale du CIL hier au Golf Hôtel des Sablettes où était présenté, plans à l'appui par Michèle Perrin, le projet d'aménagement de l'isthme - Pendant l'exposé, Arthur Paecht et Francisque Luminet ont arboré chacun un échantillonnage des eaux polluées de la baie du Lazaret remis par Henri Fournier » (MLM).

1997

— Var-Matin, 14 janvier 1997 : « Le C.I.L. fête ses vingt ans - Vingt ans, ça se fête ! Dimanche prochain, 19 janvier, à partir de 9 h 30 au Golf-Hôtel des Sablettes, le Comité d'intérêt local des Sablettes soufflera ses 20 bougies à l'issue de sa traditionnelle assemblée générale annuelle ».

1998

— Var-Matin, 26 janvier 1998 : « L'isthme des Sablettes : son aménagement imminent devrait redonner au quartier balnéaire son lustre d'autrefois. Faible secousse isthmique - Sereine assemblée générale du C:l.L. des Sablettes hier matin. Au menu la sécurité, l'environnement et, bien sûr, l'aménagement "européen" du secteur. On ne s'ennuie jamais aux assemblées générales du C.l.L. des Sablettes et environs en raison de l'importance des sujets traités dans ce secteur stratégique, mais aussi grâce aux subtiles dramatisations auxquelles savent procéder quelques adhérents. A commencer par le premier d'entre eux, le président Roger Ghibaudo-Brouchier qui s'y entend comme pas un pour peindre aux couleurs de l'épopée guerrière les luttes conduites au nom de l'environnement et de la protection contre le bruit - Délais respectés - Corniche réaménagée - La bataille du Luna-Park » (BO). 

1999

— Var-Matin, 25 janvier 1999 : « Le mur de la honte - L'assemblée générale du C.I.L. des Sablettes était placée sous le signe de l'aménagement de l'isthme et la construction d'un mur jugé indésirable - De vaines explications - L'avenir de la corniche » (AV).

Var-Matin, 25 janvier 1999

2002

— Var-Matin, 28 juillet 2002 : « Réunion d'été au CIL des Sablettes - De nombreux estivants se sont joints aux membres du Comité d'intérêt local des Sablettes, réunis, hier matin, pour discuter des points positifs et négatifs du quartier - Des réalisations positives - Travaux à entreprendre - Invitation des estivants à la réunion - Bon nettoyage de la plage des Sablettes - Des points noirs en suspens : Les travaux de dragage du port de Saint-Elme ont fortement mécontenté lesriverains qui ont dû supporter les mauvaises odeurs » (SH).

2004

— Var-Matin, 14 août 2004: « Comité d'Intérêt Local : Amélioration très sensible - Rue Debussy : Il manque des trottoirs - Brèves de quartier : Un marché à sauver ».

2007

— Var-Matin, 7 octobre 2007 : « Les élus à l'écoute sous le soleil des Sablettes - Les représentants de la municipalité étaient, hier, dans les quartiers sud - Questions, suggestions et remarques - Bonne humeur sur l'esplanade Henri Bœuf - Sous le barnum, les élus ont répondu présent pour les Sablettois » (JD).

— Var-Matin, 21 novembre 2007 : « Peu de revendications dans le quartier des Sablettes - Les élus étaient hier matin à l'écoute des habitants au parc Braudel - Pas de trottoir rue Thomas - La chaussée de la corniche - Les personnes venues à la rencontre de l'équipe municipale ont puaborder les problèmes de leur quartier » (NF).

2008

— Var-Matin, 27 juillet 2008 : « Certains points noirs plombent toujours les quartiers sud - Le stationnement et la sécurité restent les priorités de Saint-Elme, les Sablettes, Mar-Vivo et Tamaris, quatre sites passés à la loupe, hier, par le CIL - Roger Ghibaudo-Brouchier, président du CIL des Sablettes, dénonce, entre autres, le stationnement de plus en plus anarchique sur certains secteurs - L'incivilité des deux roues qui empruntent des zones interdites ne cesse de provoquer lafureur des habitants de la zone - Des doléances prises en compte par l'adjoint de quartier Alain Lopez » (MP).

2009

— Var-Matin, 19 janvier 2009 : « Des réponses pour les riverains des Sablettes - Plus de cinquante personnes ont assisté à l'assemblée  générale du comité d'intérêt local des Sablettes. Le problème de stationnement sauvage sur la corniche de Tamaris a encore été évoqué - Tamaris : quand est-ce que la corniche sera réaménagée ? Les riverains attendent depuis des années - Port de Saint-Elme : la municipalité travaille sur le projet n° 4. La copie doit être validée avant le 31 mars. Par ailleurs, l'odeur provoquée par le dépôt de posidonies incommode beaucoup de riverains. Les buses doivent prochainement être remises en état pour revitaliser le port. Jean Michel, conseiller municipal, a rappelé que ce phénomène était naturel - Hameau Pouillon : « Nous avons la chance de pouvoir bénéficier d'une étude de l'architecte Rudy Riciotti. Les propriétaires peuvent obtenir des aides de la ville pour la rénovation et également de la part de la Fondation du patrimoine ».

Var-Matin, 19 janvier 2009

2010

— Var-Matin, 19 janvier 2010 : « Le comité d'intérêt local des Sablettes distribue les bons et mauvais points - Dimanche dernier au casino des Sablettes, le CIL a dressé les points positifs de 2009 et évoqué les dossiers qui restent problématiques - Les satisfactions - Les bémols - Appel aux adhésions » (MV).

Var-Matin, 19 janvier 2010

— Var-Matin, 18 novembre 2010 : « Les Sablettes : crispations au Comité d'intérêt local - Le CIL s'est réuni hier matin au casino. Une séance au pas de course qui a laissé éclater des débats, dont celui concernant le port de Saint-Elme - Environ 70 personnes ont assisté à l'assemblée générale du CIL des Sablettes. Devant la longueur desdébats, certains ont quitté la salle avant la fin de la séance - Jacques Marcelin quitte la salle - Port de Saint-Elme : « On n'a pas perdu un an » (MV).

Var-Matin, 18 novembre 2010

2011

— Var-Matin, 12 février 2011 : « Une femme a la tête du CIL des Sablettes - Après 28 ans de présidence, Roger Ghibaudo-Brouchier cède la place à Marie-Christine Obach-Moreau, qui compte poursuivre les actions antérieures - Faire aboutir les vieux dossiers - « Je vais rester actif », promet Roger Ghibaudo-Brouchier, qui passe le flambeau de la présidence du CIL après 28 ans de bons et loyaux services. Lorsqu'il a repris l'association, en 1983, « il n'y avait qu'une poignée d'adhérents ». Il a fait grandir le CIL des Sablettes et environs jusqu'à 300 membres. L'un des plus forts de la ville. En presque 30 ans, il en a mené des combats. « Il s'est battu contre le Luna Park », se souvient Jacques Marcelin. C'était au milieu des années 1990, le parc d'attraction s'était implanté l'été aux Sablettes. « Il y avait des nuisances sonores épouvantables, se souvient l'ancien président du CIL On a fait une pétition, on a réussi à les faire partir malgré les menaces ». Roger Ghibaudo-Brouchier a mené une guerre inlassable contre les carcasses de bateaux échoués et contre les déchets pourrissant la corniche de Tamaris. Il y a eu des batailles pour soutenir des projets aussi. « J'ai soutenu la création du parc Braudel, la route en sens unique vers Saint-Mandrier », rappelle-t-il. « Et c'est lui l'initiateur de la fête du nautisme ! », renchérit Georges Hermon. « J'ai surtout connu beaucoup de satisfactions en tant que président. J'ai trouvé des amis fidèles », conclut Roger Ghibaudo-Brouchier » (MV).

2012

— Var-Matin, 12 novembre 2012: « Le maire lève le voile sur ses projets pour le quartier sud - Une cérémonie a été organisée samedi afin de baptiser du nom de Danielle Mitterrand l'allée qui traverse le parc Braudel. L'occasion pour Marc Vuillemot d'un tour d'horizon sur le quartier - Les bassins remis en eau - Des aménagements « pour tous » - L'aménagement de la corniche - Le port de Saint-Elme » (CG).

Var-Matin, 12 novembre 2012

2013

— Var-Matin, 10 mars 2013 : « Le retard des grands projets agace le CIL des Sablettes - La réhabilitation de la corniche de Tamaris et le désenvasement du port de Saint-Elme ont été, à nouveau, au cœur de la rencontre, hier, entre les riverains et les élus concernés - Si Marc Vuillemot a fait le déplacement, le député Jean-Sébastien Vialatte était aussi présent dans le public, tandis que Sandra Torrès (conseillère régionale UMP) a porté les réflexions du conseiller général Gilles Vincent, retenu àl'étranger - « Rien n'est prévu cette année » - « La corniche mérite mieux qu'un replâtrage » - Une tribune politique ? Enfin s'agissant de l'érosion de la plage de Mar-Vivo, le maire a dit espérer que « le futur chenal du port de Saint-Elme ait un impact sur la reconquête de la plage ». Au final, si les habitants du quartier ont conscience que les difficultés financières de la Ville contrarient la résolution des problèmes, beaucoup font part de leur « lassitude » et ont le sentiment que chacun se renvoie se balle. Et de fait, la rencontre d'hier a parfois pris des allures de tribune politique entre la municipalité et ses opposants, à un an des prochainesélections municipales... » (MG).

2014

— Var-Matin, 15 avril 2014: « Le CIL des Sablettes et environs énumère problèmes et réalisations - Une trentaine de personnes a assisté à l'assemblée générale du CIL des Sablettes et environs, samedi à la base nautique de Saint-Elme - Dans notre édition de samedi, nous évoquions le projet de réfection de la corniche de Tamaris, dont il a été question lors de l'assemblée générale du Comité d'intérêt local (CIL) des Sablettes et environs. Mais d'autres problèmes préoccupent également les habitants du secteur, qu'ils ont pu faire remonter aux autorités compétentes : difficultés de circulation les soirs de feu d'artifice aux Sablettes, privant Saint-Mandrier d'une arrivée des secours rapide en cas d'urgence ; épaves de bateauxdans la baie du Lazaret ; problèmes de vitesse ».

Var-Matin, 15 avril 2014

— Var-Matin, 24 novembre 2014: « Le CIL des Sablettes donne la parole aux habitants - Le bureau du CIL des Sablettes et des quartiers Sud avait donné rendez- vous aux habitants riverains, samedi matin, pour une rencontre ouverte aux suggestions et aux doléances. La présidente, Patricia Dey, et son bureau ont accueilli Jocelyne Léon, adjointe des quartiers sud, venue représenter le maire. Au cours de cette permanence, de très nombreuses personnes ont pu apporter leur contribution à l'élaboration d'une feuille de route qui sera la base d'un travail de concertation avec les autorités compétentes - ville, police, services de secours -, afin de tenter de résoudre aumieux les problèmes » (JD).

2015

— Var-Matin, 9 février 2015 : « Le CIL des Sablettes rouvre les vieux dossiers : Épaves de bateaux, sentier du littoral, port de Saint-Elme ou réfection de la corniche étaient, samedi, à l'ordre du jour du Comité d'intérêt local. Revue de détail - Une cinquantaine de personnes étaient présentes, samedi matin, à l'assemblée générale du CIL des Sablettes et environs - « Où en sont les travaux du sentier du littoral ? » - « Comment résoudre nos soucis avec les camping-cars ? » - « Où en est le projet d'aménagement du port de Saint-Elme ? » - « Qu'en est-il de la remise en état de la Corniche ? » - Les élus, présents en nombre, ont répondu aux différentes interrogations des riverains » (MAD).

Var-Matin, 9 février 2015

— Var-Matin, 10 avril 2015 : « Le CIL des Sablettes et environs organise le nettoyage de la corniche ».

2017

— Var-Matin, 16 août 2017 : « Apéritif annuel du CIL des Sablettes et environs » - « Hier en fin de matinée, après la traditionnelle messe de l'Assomption, c'est dans la cour derrière l'église que le comité d'intérêt local (CIL) des Sablettes et environs a organisé son traditionnel apéritif annuel au profit de ses membres et amis, parmi lesquels l'adjoint au maire Jean-Luc Bigeard qui représentait la municipalité. Parmi la cinquantaine de participants, on remarquait l'amiral Giraud, accompagné de son épouse qui, lors de la messe, a interprété de façon magistrale deux chants liturgiques. Cet apéritif fut l'occasion pour les participants d'échanger autour d'un verre de kir breton (cassis/cidre) ou de jus de fruit. Patricia Dey, présidente du CIL, était heureuse du succès de l'opération qui n'a pu se tenir que par l'action des bénévoles du CIL s'investissant sans compter » (PF).

2018

— Var-Matin, 12 janvier 2018 : « Le Grand Hôtel impressionne les membres du conseil du quartier Sud » - « Les membres du conseil de quartier sud ont été conviés à visiter l'hôtel. Une découverte qu'ils ne sont pas prêts d'oublier » (PF).

Var-Matin, 12 janvier 2018

— Var-Matin, 22 janvier 2018 : « Il n'y aura plus de feux d'artifice sur la plage des Sablettes » - « Parmi les nombreuses informations communiquées samedi matin par les élus lors de l'assemblée générale du CIL des Sablettes et Environs, à la base nautique de Saint-Elme, il y a en une qui pourrait décevoir bien des Seynois : elle concerne les feux d'artifice aux Sablettes. Les adjoints au maire Claude Astore et Jean-Luc Bigeard ont en effet expliqué que les nouvelles mesures de sécurité imposées pour l'organisation d'un tel événement font qu'il est maintenant quasiment impossible pour une association d'en tirer un » - « Les élus n'avaient pas que des mauvaises nouvelles à annoncer au bureau du CIL et au public présent à cette réunion riche en annonces » (PF).

— Var-Matin, 23 janvier 2018 : « Feux d'artifice aux Sablettes : « Rien n'est tranché » » - « Suite à notre article publié hier, intitulé « Il n'y aura plus de feux d'artifice sur la plage des Sablettes», les élus présents à la réunion du CIL souhaitent apporter les précisions suivantes : « S'il est vrai que les exigences de sécurité désormais imposées par l'État rendent plus compliqué et plus onéreux tout événement attirant massivement la foule, il ne peut être question de renoncerà un feu, cet été, aux Sablettes » ».

Le Seynois.fr, 13 mars 2017

Var-Matin, 25 mai 2017

Le Seynois, n° 74, mai-juin 2017

— Var-Matin, 17 août 2016 : « Roger Madern nous a quittés » - « Nous avons appris avec tristesse le décès, à l'âge de 83 ans, de Roger Madern, qui s'est éteint dimanche à l'hôpital Saint-Anne de Toulon après une semaine d'hospitalisation suite à un problème cardiaque. Le défunt était à la fois l'homme le plus et le moins connu de La Seyne et des Sablettes. Le plus connu, car tous les Seynois et les touristes connaissent à travers lui, le Grand-Hôtel des Sablettes qui est resté de longues années en travaux, mais aussi l'ex-casino attenant ou le restaurant la Vague d'Or dont Roger Madern était propriétaire. C'était aussi le moins connu des Seynois. Car cet amoureux des Sablettes qui résidait à Saint-Elme était d'une discrétion légendaire » (PF).

— Var-Matin, 29 septembre 2017 : « Le Grand Hotel Sablettes Plage inauguré mercredi soir » - « La magie d'un feu d'artifice tiré depuis la mer, à la hauteur des lieux : le Grand Hôtel des Sablettes Plage - Curio, a collection by Hilton, a très officiellement été inauguré mercredi soir. Pour marquer cet événement, preuve qu'il n'est jamais de rêves trop grands pour être réalisés par la famille Lelièvre, plus de 2000 personnes avaient été invitées à la fête, organisée entre les salles de restauration et les jardins de l'établissement quatre étoiles, les pieds dans l'eau... Pour l'occasion, le maître des lieux Stéphane Lelièvre, son épouse Sandrine et leurs enfants Marie May et Adrian ont personnellement accueilli les invités, parmi lesquels de nombreux élus, les représentants des mondes économiques, culturels etc. de l'aire toulonnaise. Et au-delà... » - « Hommage à Roger Madern et Jean Pin ».

Var-Matin, 29 septembre 2017

— Var-Matin, octobre 2017 : « Soirée chic pour l'USS au grand hôtel des Sablettes » - « C'est au sein du magnifique établissement de Stéphane Lelièvre, Le Grand Hôtel des Sablettes, que l'Union Sportive Seynoise a organisé sa première grande soirée de la saison. Devant plus de 250 personnes, les dirigeants seynois se sont adressés tour à tour à l'assistance pour évoquer le futur du club, sans passer sous silence la période difficile que connaît actuellement l'équipe fanion. Tous les partenaires, élus, joueurs et bénévoles ont pu ensuite profiter des délicieux petits fours dans une ambiancechic mais toujours aussi conviviale » (SB).

Var-Matin, octobre 2017

2018

1992

— Var-Matin, 25 janvier 1992 : « Le Luna-Park dans la cible » - « Cet été, pas de « grand huit» et de « train fantôme » aux Sablettes. Le C.I.L. et la mairie y sont opposés. Des négociations serrées ».

1994

— Var-Matin, 26 juin 1994 : « Les Sablettes en colère » - « Avant même son ouverture, le parc d'attraction des Sablettes suscite la polémique. Nuisances sonores, problème de convention et absence d'aménagement ».

Var-Matin, 26 juin 1994

1996

— Var-Matin, 1er avril 1996 : « Luna-Park : les forains proposent un référendum ».

— Var-Matin, 17 avril 1996 : « La bataille du Luna-Park » - « Délogés des Sablettes, les forains en colère envisagent de bloquer l'autoroute et les voies d'accès à la ville. "Notre décision est irrévocable", soutient de son côté M.P. Magagnosc ».

— Var-Matin, 9 mai 1996 : « Le bras de fer » - « Le président national des "Amis de la fête foraine et du cirque" refuse de renoncer à installer le Luna-Park aux Sablettes le 29 juin prochain ».

— Var-Matin, 13 juin 1996 : « Luna-Park : le bras de fer » - « Le face à face annoncé entre les forains et la Ville a débuté mardi. soir. Aujourd'hui, chacun campe sur ses positions. La situation est bloquée ».

Var-Matin, 13 juin 1996

— Var-Matin, 14 juin 1996 : « Le Luna-Park envahi » - « Les forains ont "forcé en douceur" l'entrée du parc d'attraction des Sablettes. Le maire en appelle aux tribunaux : référé le 18 juin ».

— Var-Matin, 17 juin 1996 : « Déménagez les manèges » - « Le maire renouvelle sa demande aux forains de quitter sans tarder le site des Sablettes. Une installation à Ollioules est envisagée ».

— Var-Matin, 19 juin 1996 : « Les forains condamnés » - « Le tribunal de grande instance de Toulon a prononcé hier l'expulsion des forains installés sur le terrain municipal des Sablettes ».

Var-Matin, 19 juin 1996

— Var-Matin, 20 juin 1996 : « La justice accélère » - « Les forains du Luna park condamnés à quitter le terrain des Sablettes dans les 24 heures. Maurice Paul prêt à organiser un meeting si le jugement n'était pas appliqué ».

Var-Matin, 20 juin 1996

— Var-Matin, 22 juin 1996 : « Luna-Park : l'action des "anti" » - « Ils manifesteront lundi après-midi devant la préfecture, pour réclamer l'application de la loi et l'expulsion des forains condamnés en référé ».

Var-Matin, 22 juin 1996

— Var-Matin, 28 juin 1996 : « ''Demain soir, on ouvre" » - « Malgré deux ordonnances de référé les interdisant, les manèges du Luna Park des Sablettes effectueront leurs premiers tours demain samedi ».

Var-Matin, 28 juin 1996

— Var-Matin, 29 juin 1996 : « Les ministres alertés » - « Maurice Paul demande au garde des Sceaux et au ministre de l'Intérieur de faire appliquer les décisions de justice concernant l'expulsion des forains du Luna-Park ».

— Var-Matin, 1er juillet 1996 : « Luna-Park : Ouverture hors la loi » - « Fête en demi-teinte aux Sablettes, sur fond d'interdit et moins d'attractions que les années précédentes ».

— Var-Matin, 13 juillet 1996 : « « S.O.S. Luna Park » » - « André Dolce appelle le public à soutenir les forains et demande au préfet d'appliquer une note du ministre de l'Intérieur recommandant de favoriser la concertation ».

Var-Matin, 13 juillet 1996

— Var-Matin, 28 août 1996 : « Les C.R.S. bloquent le Luna-Park » - « Hier soir, les forces de l'ordre, dans un déploiement impressionnant, ont pris position autour du site des Sablettes afin d'en empêcher l'accès au public ».

Var-Matin, 28 août 1996

1997

— Var-Matin, 20 juin 1997 : « La Seyne : la guerre du Luna-Park » - « La ville veut déloger les forains qui occupent illégalement un parking sur l'isthme des Sablettes. Une affaire qui dure depuis plusieurs années ».

— Var-Matin, 20 juin 1997 : « Coup de force des forains » - « Les professionnels du Luna-Park occupent le parking exploité par l'Office du tourisme. Le maire en appelle au ministre de l'lntérieur ».

Var-Matin, 20 juin 1997

— Var-Matin, 24 juin 1997 : « Forains : référé aujourd'hui » - « Bravant les interdits, les forains poursuivent leur installation aux Sablettes, mais le Tribunal des référés se pronondera ce matin sur leur éventuelle expulsion ».

— Var-Matin, 30 juin 1997 : « Luna-Park : les associations demandent l'intervention de la force publique ».

— Var-Matin, 1er juillet 1997 : « Tournez manèges » - « Le Luna-Park a ouvert ses portes contre l'avis du juge des référés. "Nous sommes des légalistes, affirment les forains ; les consignes de sécurité sont respectées" ».

— Var-Matin, 9 juillet 1997 : « Luna-Park : le maire se défend » - « Après la publication, hier, d'une lettre signée par les associations des quartiers sud protestant contre la présence des forains sur l'isthme des Sablettes et mettant notamment en cause le maire de la commune et le préfet du Var, la municipalité seynoise nous a adressé un communiqué, publié ci-dessous, dans lequel elle se défend des accusations dirigées contre elle ».

— Var-Matin, 29 août 1997 : « Le face à face se corse » - « Forains et municipalité campent sur leurs positions. Quant aux C.R.S., ils devront camper devant le Luna-Park quelques jours - ou semaines - supplémentaires ».

Var-Matin, 29 août 1997

1998

— Var-Matin, 26 janvier 1998 : « La bataille du Luna-Park » - « A la faveur de ses vœux, ouvrant son rapport moral, M. Ghibaudo-Brouchier a donc, d'un souffle épique, narré ce que fut la bataille contre le Luna park. "(...) Permettez-moi de souhaiter que nous connaissions en 1998 une vie paisible dans nos quartiers, dans notre ville, dans notre pays et j'ajouterais que l'épouvantail du Luna park soit éloigné à jamais, que les travaux d'aménagement de l'isthme des Sablettes, attendus depuis plus de 20 ans, si longtemps discutés, voire contestés amènent la réalisation d'un ensemble agréable et aussi, en priorité, conçu selon les vœux de la majorité des habitants de nos quartiers qui doivent y vivre en permanence ».

Plage : Paillotes et plagistes

1996

— Var-Matin, 1er avril 1996 : « Les Sablettes font le plein » - « Le sable fin de la plage a quasiment pris ses couleurs d'été, abandonnant le blanc pour se teinter de doré. Les vacances de Pâques ont un avant-goût estival - la foule des grands jours s'est massée sur le sable ce week-end. La réapparition du soleil qui a brillé... par son absence au cours des longs mois d'hiver, y a été pour beaucoup ! Les vacances de Pâques ont fait le reste plaçant les maillots de bain en tête des tenues vestimentaires arborées dernièrement du côté des Sablettes » (MLM).

1999

— Var-Matin, 2 juillet 1999 : « Tempête aux Sablettes » - « Les lots pour les plagistes ont été alloués hier, mais les conditions d'attribution de ces ensembles n'ont pas fait l'unanimité. Critiques dans la majorité et dans l'opposition - La commission d'attribution des lots de plage s'est à nouveau réunie le 23 juin, la première procédure ayant été annulée. Sur dix-huit soumissionnaires, quatre ont été retenus puisque la plage des Sablettes réaménagée compte quatre lots que les estivants doivent être pressés de voir ouvrir. Ils ont été attribués à Brigitte Estienne, Victor Calabrese, Sabine Baroux et Jean-François Dimas - Le feu en mairie : Le jour de la réunion d'attribution des lots de plages, un feu en mairie a failli compromettre les opérations. L'opposition a critiqué hier cette procédure - L'opposition de gauche menée par Marcel-Paul Magagnosc n'a pas participé au vote ».

2005

— Var-Matin, 21 juin 2005 : « Un été sans paillotes » - « À la suite d'un imbroglio juridique, les quatre ensembles ne seront pas affectés cet été - Le maire, Arthur Paecht, plaide sa bonne foi et évoque des erreurs de procédure - « Reste que j'aimerais qu'on me dise si un texte existe qui empêche un élu (en l'occurrence Sabine Baroux, Ndlr) de travailler dans sa ville ? A écouter certains, le simple fait d'être élu vous rend suspect » se désole Arthur Paecht, qui pense « qu'à travers une personne » de son camp, c'est lui « qu'on cherche à atteindre » » (CP).

Var-Matin, 21 juin 2005

2006

— Var-Matin, 25 juin 2006 : « Les paillotes des Sablettes retrouvent leur charme » - « Depuis hier, les trois établissements du parc Braudel sont ouverts tous les jours - Deux lots de matelas avaient été attribués le 15 juin à « Café Compagnie », qui a aussi récupéré l'exploitation d'une paillote, « La Playa del Sol », suite à un désistement - « Le Nomade », composé d'une paillote déjà ouverte midi et soir, et d'une plage, sera inauguré le 30 juin - Le « Havana Plage » : juste un restaurant - Un peu plus loin, une seconde paillote est tenue par Sabine Baroux. « C'est mieux qu'en 2005 », annonce la patronne qui a ouvert son établissement depuis plusieurs semaines et où la musique douce berce déjà les premiers clients. « C'est un lieu magique », ajoute celle qui, déçue, n'a pu décrocher un lopin de sable à cause « de l'absence d'un certificat » » (MP).

Var-Matin, 25 juin 2006

2007

— Var-Matin, 10 avril 2007 : « Les paillotes du parc Braudel hibernent encore » - « Si les touristes - Seynois, Varois et autres - comptaient sur la réouverture des paillotes du parc Braudel, ils ne peuvent qu'être déçus. Une seule avait levé son rideau pendant ce long week-end pascal. Dommage, car ils étaient nombreux à attendre ce moment. Qu'importe ! Qu'ils soient de la Loire, du Rhône ou... du Québec (et oui !) les premiers touristes ont su profiter de ces trois jours ensoleillés pour, les uns se promener autour du parc, les autres s'attabler à une terrasse de café ou déguster un plat régional, d'autres encore se prélasser sur le sable de la plage.Hier, si les Sablettes n'avaient pas fait le plein de vacanciers, il y avait tout de même du mouvement. « On n'a pas à se plaindre » soulignait un restaurateur « Hier (lisez dimanche) nous avons fait deux cent cinquante couverts. Ce n'est pas mal pour le premier vrai long week-end du printemps » - Les terrasses de la promenade Charcot étaient encore copieusement garnies hier après-midi » (MP).

2008

— Var-Matin, 1er février 2008 : « Le nouveau fiasco des paillotes des Sablettes » - « Devant l'échec des attributions, le maire envisage le recours à une régie - Un cahier des charges vécu comme une entrave - Alors qu'elles devaient être ouvertes à l'année, les paillotes des Sablettes pourraient même être, comme en 2005, fermées durant l'été - Sabine Baroux : « Je renonce le cœur serré » - Depuis 1999 : rappel des épisodes précédents » (PZ).

— Var-Matin, 22 mai 2008 : « Les Sablettes : encore un espoir de sauver l'été des paillotes » - « La ville met tout en œuvre pour que les chalets du parc Braudel ouvrent dès que possible. Avant de relancer une procédure d'attribution pérenne - Restauration rapide pour la saison 2008 - « Que ça bouge dans la semaine » - Terrasses fermées - Philippe Mignoni, deuxième adjoint, en charge des services publics, évoque un « véritable challenge » pour que les trois paillotes du parc Braudel soient ouvertes cet été. On saura assez vite si celui-ci est relevé ou non... » (PZ).

— Var-Matin, 26 juin 2008 : « Deux paillotes ouvertes cet été aux Sablettes » - « Deux des trois établissements du parc Fernand-Braudel ont été attribués. Dans l'urgence, ils ont ouvert leurs portes dès le week-end dernier - Après une saison complète sans ouverture l'an passé, les Seynois et les estivants pourront retrouver cet été le bonheur simple de siroter une boisson fraîche à la terrasse d'une paillote de la plage des Sablettes - Les équipes du Tropéa et du Tahiti Plage ont œuvré dans l'urgence afin de pouvoir ouvrir leurs établissements aux premières heures de l'été - « Ne pas matraquer les clients sous prétexte qu'on est au bord de mer » - Un regret : l'absence de matelas » (PZ).

— Var-Matin, 15 novembre 2008 : « Un chalet, des matelas : le casse-tête des Sablettes » - « La ville relance la procédure de délégation de service public pour des lots de plage aux Sablettes et tente à nouveau d'y joindre la gestion des chalets - Une activité touristique importante pour la ville - Nécessité économique et obstacles juridiques - D'un côté, les chalets et la restauration, de l'autre, les parasols et les matelas sur le sable tout proche : deux activités difficiles à concilier, d'un point de vue juridique, mais indissociables d'un point de vue économique. Voilà posée la problématique que les élus tentent de résoudre en lançant une nouvelle délégation de service public pour trois des quatre lots de plage aux Sablettes - Reste à savoir, et c'était un des points soulevés par Sabine Baroux, si la formulation retenue cette fois-ci dans la délibération permettra de réaliser ce qui ressemble désormais à un tour de force ! » (CM).

Var-Matin, 15 novembre 2008

2009

— Var-Matin, 29 mai 2009 : « Le retour des plagistes aux Sablettes » - « La procédure d'attribution des lots de plages, avec ou sans chalet arrive à son terme. Retour sur un dossier géré avec beaucoup de difficultés - Une difficulté juridique à contourner - La ville a donné les clés des chalets la semaine dernière et les concessionnaires sont à pied d'œuvre pour les remettre en état et ouvrir au plus tôt. « En milieu de semaine prochaine », espère le plus optimiste - Les chalets : une activité annexe - Des pédalos pour le lot n°1 sous condition - Les chalets d'abord, les matelas ensuite : Pour compliquer encore un peu, l'ouverture des chalets et le retour des plagistes pourraient être décalés » (CM)

— Var-Matin, 15 août 2009 : « Le retour des matelas ravit plagistes et touristes » - « Transats et parasols ont refait leur apparition sur les plages. Un atout économique pour les exploitants des chalets et un confort apprécié des estivants - Fréquentation en hausse en août - Une clientèle diverse qui consomme peu - « C'est la plage qui fait vivre le chalet » - « Les matelas affichent complet l'après-midi. Le dimanche, c'est la folie », commente Cyril Angéli, plagiste aux Sablettes. Parmi sa clientèle beaucoup d'étrangers dont des Espagnols, Anglais, Polonais, Russes et Italiens » (OM).

Var-Matin, 15 août 2009

2010

— Var-Matin, 3 avril 2010 : « Pâques : les cloches sonnent le retour des paillotes » - « Les restaurants de la plage sont autorisés à ouvrir dès aujourd'hui. Certains attaquent d'emblée la saison, d'autres s'y mettent doucement - Le « Tropéa » ouvre lundi - Anthony Cattanéo, le gérant du « Carré plage », accueille les clients dès ce midi. Les deux autres paillotes n'ouvriront leurs portes que lundi prochain - Chasse aux œufs, lundi, dans le parc Braudel » (MV).

— Var-Matin, 21 août 2010 : « Les Compagnons bâtisseurs rénovent à l'international » - « Depuis le 16 août et jusqu'à début septembre, douze bénévoles de 18 à 23 ans restaurent l'Espace accueil jeunes des Sablettes - Douze jeunes, neuf nationalités différentes : le projet vise aussi à donner envie aux jeunes Seynois de s'engager à l'étranger - Témoignage : Manami, une Japonaise de 20 ans » (SB).

— Var-Matin, 4 septembre 2010 : « Insertion : Fin de travaux à l'Espace accueil des Sablettes » - « Une sympathique réunion où se sont échangés les remerciements ayant trait au travail réalisé et à l'accueil » (JD).

2011

— Var-Matin, 29 avril 2011 : « Plagistes des Sablettes : la saison commence doucement » - « Terrasses accueillantes et transats sur le sable... Les trois établissements ont ouvert pour les vacances scolaires. Avec un résultat mitigé - A Carré Plage, le chef Thibault Lagutaine (à gauche) et le patron Anthony Cattanéo misent sur une carte travaillée 'qui fait la part belle aux produits de la mer - Au Napoli, Chantal Granata présente sa nouvelle terrasse abritée, idéale pour déjeuner à l'abri du vent ou de la chaleur - Un bail de 4 ans insuffisant pour fidéliser - Fin des travaux en vue au Moréa - A Mar-Vivo, les travaux retardent l'ouverture - L'Estanco, situé au bout de la plage, n'a pas encore pu ouvrir en raison des travaux sur les conduites d'assainissement - Un manque à gagner de 600 euros par jour » (CG).

Var-Matin, 29 avril 2011

— Var-Matin, 7 mai 2011 : « Pour les plagistes, la saison va (bientôt) pouvoir commencer » - « Le conseil municipal a tenu une séance extraordinaire, hier, afin de valider le choix des délégataires pour les lots de plage des Sablettes. Une attribution tardive, due à des « lenteurs administratives - « On ne fait rien comme les autres, ici » - « Objectif : ouvrir d'ici le 15 juin » (CG).

2012

— Var-Matin, 22 mai 2012 : « Les gérants de paillotes attendent les beaux jours » - « La saison démarre doucement aux Sablettes, pour les gérants de restaurants de plage. Plus que la morosité ou la crise, c'est la météo qui freine l'activité - Prudent, le gérant du Carré plage n'a pas encore embauché d'extras. Il attend que les beaux jours arrivent - En attendant la haute saison, Bertino pousse régulièrement la chansonnette. Les thés dansants du Napoli font le plein - Tropéa : une « solution provisoire » cet été » (CG).

2013

— Var-Matin, 29 juin 2013 : « Aux Sablettes, les paillotes ouvrent... doucement » - « Après des lenteurs administratives, un seul de ces établissements très prisés des vacanciers a enfin démarré sa saison. Les autres devraient suivre, normalement... - Un litige avec la municipalité - L'été a pris du retard... « Heureusement », seraient tentés de dire les exploitants des lots de plage des Sablettes. Mais le rush des grandes vacances est imminent, et dans ce genre d'endroit, on n'aime généralement pas trop se marcher sur les pieds... - « Une bibliothèque de la plage, inédite dans le Var » (interview de Jean-Jacques Taurines, conseiller municipal) » (JP).

— Var-Matin, 10 juillet 2013 : « Un lot de plage épinglé par la justice aux Sablettes » - « Le tribunal administratif de Toulon a annulé un sous-traité, validé par la commune le 27 mai pour manquement, notamment, à des obligations de concurrence. Remous en bord de mer - L'exploitation du lot de plage numéro 1 n'a pas été attribuée de façon régulière selon le tribunal, qui ordonne à la ville de relancer une procédure de mise en concurrence dans les quatre mois - Curieux avenant - Marché tronqué : le plagiste lésé porte plainte pour favoritisme » (PP). La ville pourrait saisir le Conseil d'Etat (MV).

2014

— Var-Matin, 26 avril 2014 : « Aux Sablettes, les paillotes parées pour la saison » - « Après un été 2013 en demi-teinte, les gérants des trois chalets de plage espèrent que cette année sera meilleure. Tout est fin prêt fin pour accueillir la clientèle. Etat des lieux - le Carré plage était prêt dès le début des vacances scolaires des Parisiens. Le Bikini Bay a lancé sa saison ce jeudi. La Voile est ouverte toute l'année (le midi et les jours de beau temps durant l'hiver) - Se restaurer et se divertir - A fond jusqu'en septembre - Un business aléatoire - À Mar-Vivo, l'Estanco reste à flot - Cette saison, la mer semble vouloir laisser un peu de répit à la plage de Mar-Vivo. « L'ensablement est en progression », observe Hervé Forest, gérant de l'Estanco » (MG).

Var-Matin, 26 avril 2014

2015

— Var-Matin, 4 mai 2015 : « Le match des paillotes » - « De Mar-Vivo à Saint-Elme, avec leur plage privée couverte de « bains de soleil », elles font les beaux jours de la saison touristique et ont ouvert leurs portes jusqu'à octobre. Faites votre choix - L'Estanco : la plus familiale (La plage de Mar-Vivo, sur laquelle l'Estanco déploie sa terrasse, est abritée du mistral) - Le Bikini Bay : La plus apaisante (La déco apaisée du Bikini Bay incite au repos) - Le Carré Plage : la plus lounge (Le Carré Plage est auréolé d'un label "Qualité tourisme") ».

Var-Matin, 4 mai 2015

2017

— Var-Matin, 26 mai 2017 : « Les paillottes de La Seyne font voyager vos papilles » - « Cuisine malgache, calabraise, des îles lointaines, méditerranéenne... De Mar-Vivo aux Sablettes, les restaurants déployés sur le sable du littoral assurent un dépaysement culinaire garanti - À Mar-Vivo, L'Estanco Beach sublime la cuisine malgache - La Voile met le cap sur l'Italie et les spécialités calabraises - Rhums arrangés et plats des îles lointaines, le Bikini Bay cultive la zen attitude - La Méditerranée dans votre assiette au Carré Plage » (JMV).

2018

— Var-Matin, 10 janvier 2018 : « La Ville cherche à attribuer deux kiosques aux Sablettes » - « La commune de La Seyne souhaite procéder à l'attribution de deux kiosques du parc Fernand Braudel : le kiosque Est, d'une superficie de 10,5 m2, et le kiosque Ouest, d'une superficie de 15 m2. Ils sont tous deux destinés à la vente de glaces et/ou de boissons et/ou plats et/ou de confiseries. Les dossiers doivent être remis avant le 12 février ».

2000

— Bulletin municipal, n° 23, page 5, 2000 : « Le patrimoine protégé - Deux Zones de Protection du Patrimoine Architectural Urbain et Paysager (ZPPAUP) sont en cours d'élaboration - Le point sur l'avancement de la ZPPAUP des Sablettes-Tarnaris-Balaguier en cours d'étude - La zone des Sablettes-Tamaris-Balaguier mettra en valeur l'architecture de Fernand Pouillon, celle de Michel Pacha et protégera la dimension paysagère de la corniche de Tamaris en intégrant notamment le jardin botanique (l'ancien parc du château) » (CA).

2002

— Var-Matin, 28 juin 2002 : « Sablettes : un véritable champ de bataille - Les péripéties se sont multipliées ces dernières semaines sur l'avenue Charles de Gaulle. Travaux commencé, arrêtés, mobilisation des commerçants... le ton monte - « On nous demande de retirer nos étalages et de nous mettre sous une forme réglementaire. Mais je ne vois pas pourquoi. Ça fait 30 ans que c'est comme ça et du jour au lendemain, le premier magistrat de la ville décide autrement. La police est venue nous voir, comme si nous étions des hors-la-loi. C'est inadmissible » - « C'est n'importe quoi. On nous interdit, on nous autorise... mais il n'y a aucune réelle concertation entre la mairie et les commerçants. Pourtant, les Sablettes, c'est une mine d'or non exploitée » - « Ces travaux, faits et défaits, c'est un peu écœurant, c'est un vrai gaspillage (...) Il serait intéressant que les élus contactent la population quand ils élaborent un projet » - « La police municipale a prévu de saisir nos étalages, c'est un scandale. Mon magasin existe depuis 30 ans, on a toujours fonctionné comme ça, sans compter que, depuis sept ans, je paie une redevance terrasse au Trésor public. Mais je peux vous garantir que je n'obtempérerai pas contre cette décision arbitraire car nous ne sommes pas des délinquants » - « Quelques commerçants prennent trop de liberté sur la voie publique avec leurs étalages, s'indigne le maire. Les trottoirs sont faits pour les piétons et si un accident se produit, nous sommes responsables (...). Lorsqu'ils ont acheté, ils savaient que c'était interdit et ont accepté le règlement (...) » - Mise au point de Nathalie Bicais « Je n'ai jamais rien signé » - Mise en cause par la municipalité, Nathalie Bicais, adjointe à l'Urbanisme qui s'est vue retirer ses délégations il y a quelque temps, a tenu à faire le point sur une situation, qu'elle qualifie de « pure machination ». « J'en ai assez de cette guerre politique, tout ça parce que je suis partie aux Législatives. Ça suffit. Concernant les travaux exécutés aux Sablettes. je n'ai jamais donné un accord sur le projet, je n'ai jamais été à l'origine d'un appel d'offres ou d'une lettre de commandes de travaux, et encore moins la signataire d'un ordre de service à une entreprise. La seule chose que je revendique, c'est le projet d'aménagement de l'isthme des Sablettes sur lequel j'ai fait un travail titanesque ». Pas question pour elle d'endosser toutes les responsabilités, estimant qu'il y a un problème, actuellement, au niveau du fonctionnement de la mairie. Les travaux réalisés ces dernières semaines ne la concernent pas, assure-t-elle : « Je ne suis absolument pas responsable de tout ce qui se fait au niveau de la voirie. Je n'avais aucun pouvoir. Des réunions se sont tenues avec les commerçants, mais sans moi. Je me suis contentée à deux reprises par courrier, d'informer le maire des difficultés rencontrées avec l'installation du sens unique. Quant aux travaux, j'ai seulement apporté une précision au dossier : les plans de M. Carrère ne prévoyaient plus de places de stationnement. J'ai juste demandé qu'elles soient rajoutées, c'est tout » (PT).

Var-Matin, 28 juin 2002

2004

— Var-Matin, 14 août 2004 : « Les Sablettes en vedette » - « L'actualité des Sablettes, telle que la vivent ses habtitants et ses commerçants, venus, hier, à la rencontre de la rédaction de « Var-Matin », sur l'esplanade Henri-Bœuf où bat le cœur du quartier - Six problèmes à solutionner - Route Mattei et corniche Pompidou -Pêcheurs au rendez-vous ».

2006

— Bulletin municipal, n° 57, page 13, 2006 : « Les journées européennes du Patrimoine - Le rendez-vous citoyen pour une mémoire partagée - l'architecte Pouillon sera à l'honneur à La Seyne lors des 23^èmes journées du Patrimoine les 15, 16 et 17 septembre prochains. Des expos, des visites commentées et des accès aux archives nationales de l'INA seront au programme de cette édition 2006 placée par le ministère de la culture sous le thème de « faisons vivre notre patrimoine - Au musée Balaguier le 14 septembre de 18 h à 20 h : vernissage de l'exposition "Fernand Pouillon, architecte (1912, 1986)" - Fernand Pouillon : "une architecture à vivre" ».

— Var-Matin, 17 septembre 2006 : « Hameau des Sablettes : patrimoine du XXe siècle - Mieux vaut tard que jamais. Après plus de dix ans de galère, la DRAC s'est enfin intéressée - de plus près - au hameau des Sablettes, plus précisément à son patrimoine et surtout au travail entrepris par son créateur Fernand Pouillon. Ainsi, hier, devant un public fort nombreux, Florence Cyrulnik, adjointe déléguée au patrimoine, entourée de nombreuses personnalités dont l'architecte Jean-Pierre Frappoli, a levé le voile sur une plaque apposée place Jean Lurçat qui informera désormais le visiteur qu'il se trouve au cœur d'un ensemble architectural labellisé patrimoine du XXe siècle » (MP).

2008

— Var-Matin, 29 juin 2008: « Les quartiers sud au crible de « Vivre les villes - Hier après-midi, seule une poignée de personnes sont venues au rendez-vous d'Aline Grellet pour une visite commentée du hameau des Sablettes - L'architecture de Fernand Pouillon, « qui a fait de cet isthme artificiel la première station balnéaire de la côte méditerranéenne française en 1953 », a été observée de près. « Mais le hameau des Sablettes, victime de son succès, est aujourd'hui défiguré en de nombreux endroits » (PZ).

2009

— Var-Matin, 4 juillet 2009 : « Aux Sablettes, que reste-t-il de l'architecture de Pouillon ? - Marseille a consacré au bâtisseur du hameau des Sablettes une exposition en juin, retraçant sa carrière. Son héritage seynois gagnerait à être valorisé - Conformément aux attentes des sinistrés seynois de 1945, Pouillon conçoit les Sablettes comme un véritable village provençal - La galerie de voûtes en brique  - caractéristiques du style Pouillon - sur le front de mer évoque une interminable vague. Celle-ci disparaît désormais de-ci de-là sous quelques terrasses - La maquette originelle des Sablettes par Poumon, telle que présentée au salon des arts ménagers de Paris en 1952. La station sera livrée en... 1953 ».

Var-Matin, 4 juillet 2009

— Var-Matin, 4 juillet 2009 : « Pouillon : le patrimoine se dégrade avec les années -  Depuis sa construction, « le quartier n'a de cesse d'être dénaturé, victime, avant tout, de son succès », déplore Aline Grellet. « Disparue la pension de famille, un immeuble banal de quatre étages l'a remplacé, comme l'est celui de la Caisse d'Épargne, sur le front de Mer. Le jardin public n'est également plus qu'un lointain souvenir. Les extensions - souvent commerciales - ont au fil des années grignoté, envahi, modifié quelques géniales trouvailles de Pouillon, comme ces légères galeries publiques ouvertes, côté mer, complètement bouffées par les terrasses. Les galeries marchandes, également, ont souvent été purement et simplement annexées par des commerçants qui, peut-être naïvement, se tiraient ainsi une balle dans le pied en se privant d'une réelle plus-value urbanistique et architecturale. Les œuvres d'art émaillant le hameau font parfois l'objet d'un ostentatoire mépris, comme la statue de céramique vert foncé de Jean Amado, reléguée dans une sombre arrière-cour...  Les enseignes ont proliféré durant des décennies de façon anarchique, tout comme de nombreux réseaux techniques, dissimulant souvent, notamment, les voûtes de brique si caractéristiques du style Pouillon - Un début de prise de conscience - Les collectivités ont leurs part de responsabilité, et ont mis beaucoup de temps à réagir. « La direction régionale des affaires culturelles a été la première à tirer la sonnette d'alarme en 1991. Quelques années après, la municipalité mettait sur pied la ZPPAUP, zone de protection du patrimoine architectural, urbain et paysager, notamment pour Tamaris et les Sablettes ». Voilà donc le hameau des Sablettes de Fernand Pouillon protégé  de nouvelles dérives. « Il reste désormais à réparer les erreurs du passé, conclut Aline Grellet. Quand on y pense, il n'y a pas grand-chose à faire. En modifiant quelques enseignes, quelques terrasses, en dissimulant quelques réseaux, en redonnant corps aux galeries marchandes, déjà, l'esprit de Pouillon vivrait une belle deuxième jeunesse ». Et les habitants des Sablettes, comme les commerçants, la municipalité ou les touristes pourraient bénéficier chacun à leur manière de la valorisation de ce joyau architectural de l'après-guerre » (PZ).

2010

— Var-Matin, 29 janvier 2010 : « Des aides municipales pour les maisons Pouillon - La Ville propose, pour la première fois, une subvention aux propriétaires des maisons Pouillon pour les aider à réhabiliter leurs façades - Pas moins de 46 parcelles portant la patte « Pouillon » ont été recensées, comme cet établissement derrière la statue. Une vingtaine de propriétaires ont concernés, dont une majorité d'enseignes commerciales - Cela tient sur une ligne dans le futur budget 2010 et c'est un montant que l'adjointe au patrimoine, Florence Cyrulnik, ne veut pas dévoiler faute d'avoir été voté. Elle-même concède que l'aide accordée par la ville aux propriétaires des maisons Pouillon est « minuscule ». ll n'empêche, c'et la première fois que le dispositif de zone de protection du patrimoine architectural urbaine et paysager (ZPPAUP) va s'appliquer concrètement depuis son élaboration en 2006. « Jusqu'ici, on avait surtout posé un cadre contraignant pour préserver le patrimoine. Aujourd'hui, on va pouvoir soutenir les gens pour se mettre en conformité avec le règlement », explique Florence Cyrulnik, qui fait aboutir avec la municipalité Vuillemot un dossier engagé sous celle d'Arthur Paecht - « Pouillon, c'est pas la Joconde ! » - Parmi les commerçants des Sablettes, peu savent que la ville propose des aides pour refaire les façades des maisons Pouillon. « Ah bon ?, s'étonne un commerçant du quartier qui souhaite garder l'anonymat. Je savais que la mairie voulait harmoniser les enseignes. Mais tout le monde n'a pas l'air d'accord. Nous, on attend qu'on nous l'impose ». P, qui tient une boutique de vêtements sur l'artère principale, sait juste que « même pour mettre en store, il faudra une autorisation de la mairie ». Sa boutique est logée dans une arcade, bouchée il y a de nombreuses années, ce qui est aujourd'hui interdit. Pour M, un autre commerçant qui tient un magasin de souvenirs, la réglementation imposée par la ZPPAUP est « impossible à tenir ». « Chacun fait ce qu'il veut, et la ville n'a pas les moyens de nous obliger à faire quoi que ce soit. S'ils veulent nous contraindre à mettre des bâches blanches ou des enseignes de la même couleur, ils n'ont qu'à les payer ! », s'agace-t-il. Et de conclure : « Pouillon, c'est pas la Joconde et Les Sablettes, c'est pas le Louvre ! On veut en faire un site protégé, mais qu'on s'occupe d'abord des poubelles qui débordent et des trous dans les trottoirs ». Manifestement, il reste encore des Seynois à convaincre... » (MV).

2012

— Var-Matin, 12 septembre 2012 : « L'exposition Pouillon, an 1 de la restitution du hameau des Sablettes - L'année 2012 marque à la fois le centenaire de la naissance de l'architecte Fernand Pouillon, et le soixantenaire du hameau qu'il a imaginé aux Sablettes. A l'occasion des Journées du patrimoine, une riche exposition photographique de l'œuvre de Fernand Pouillon sur les bords de la Méditerranée, se tient place Bourradet. Si elle retrace la construction du hameau, détruit en 1943, cette exposition offre un regard sur le village avant qu'il ne se soit dégradé au fil du temps et des abandons touristiques de diverses municipalités. Aujourd'hui, une prise en compte s'est manifestée, « avec le classement en zone patrimoniale protégée, et certainement avec une volonté portée par la Ville et les instances nationales de préservation de son patrimoine architectural - Les élus ont eu le plaisir, devant une large assemblée, de présenter le projet ambitieux de la restitution du hameau des Sablettes » (JD).

— Var-Matin, 11 décembre 2012 : « Florence Cyrulnik veut sauver ce patrimoine - « Patrimoine caché et révélé », c'est sous ce titre que l'adjointe au maire Florence Cyrulnik présentera l'œuvre de Fernand Pouillon jeudi à 17 h 30 à la Maison du patrimoine, à l'occasion du centenaire de la naissance de l'architecte. « 2012, c'est aussi le soixantième anniversaire de la reconstruction du chantier de gros œuvre des Sablettes » indique Mme Cyrulnik. Il faut remonter aux années 1890 et à Michel Pacha pour revivre la naissance de la station balnéaire. Michel Pacha avait compris que les gens aimaient se baigner. Il développa alors une activité touristique de bain - Protéger le patrimoine - De cette époque à aujourd'hui, l'adjointe à la culture et au patrimoine propose de mieux connaître l'histoire de la reconstruction des Sablettes par Pouillon, puis les dégradations survenues pendant ces toutes ces années, et ce qu'elle espère pour protéger le patrimoine architectural. Après une première étude de l'architecte Rudy Ricciotti en 1996, le hameau des Sablettes a reçu le label « patrimoine du XXe siècle » en 2000. En 2005, il a été classé « Zone de protection du patrimoine architectural urbain et paysager(ZPPAUP) ».

Var-Matin, 11 décembre 2012

— Var-Matin, 11 décembre 2012 : « L'architecte Pouillon raconté... par un enfant de l'époque - L'adjointe au patrimoine s'apprête à donner une conférence sur le créateur du hameau des Sablettes, à l'occasion du centenaire de sa naissance. Daniel-Baptistin raconte l'avant-Pouillon - Daniel-Baptistin se souvient. Daniel-Baptistin Viglietti a 20 ans au moment de la création du village par Pouillon. Aujourd'hui restaurateur à Fabrégas, M. Viglietti se souvient du hameau avant qu'il ne soit ravagé par la guerre. « Ma tante tenait l'hôtel de la plage, aujourd'hui Provence plage », raconte-t-il. « Je me souviens que c'était très grand. Derrière, il y avait même des écuries. J'allais à l'école non loin de là, à Verlaque. C'était la guerre... le matin, on nous faisait hisser le drapeau et chanter "Maréchal"... ». La plupart des bâtiments ont été détruits à l'époque. Pas le Golfe hôtel, car les Allemands l'habitaient. A ce moment-là, c'était une maison de repos. L'hôtel de la plage, lui, a été démoli après la guerre parce qu'il était trop large. Il gênait. Il a été reconstruit plus haut et plus étroit. Une partie des terrains des Sablettes appartenait alors à Hugues-Félix Cléry. Le quartier était divisé en lots et le ministère - on l'appelait le Remembrement - a fait les attributions. C'est à ce moment-là que Pouillon a été choisi pour la reconstruction. Quand il a présenté son projet, tout le monde était sceptique. Ces constructions en pierre, on se demandait ce que ça allait donner. Quand ça a été construit, tout le monde trouvait ça moche. Les pierres coupées à la scie, on se disait que ça n'allait pas tenir ».

Var-Matin, 11 décembre 2012

2013

— Var-Matin, 22 février 2013 : « La place Lalo pourrait prendre de la hauteur » - « Les racines des pins de cette placette des Sablettes occasionnent des chutes parfois graves. Des riverains en ont appelé à la Ville, qui pourrait entreprendre des travaux pour surélever le lieu - Les racines de la place Lalo gonflent sous le bitume, et provoquent parfois des chutes. Mercredi dernier, Claude Astore, Marcel-Paul Magagnosc et Alain Lopez se sont déplacés pour réfléchir, en concertation avec les commerçants, à une solution - De chutes en inondations - Travaux avant ou après l'été » (NH).

— Var-Matin, 8 juillet 2013 : « Aux Sablettes, l'héritage de Fernand Pouillon valorisé » - « Un « chemin de la mémoire » du côté du Parc Braudel ainsi qu'une brochure sont dédiés au célèbre architecte et urbaniste qui a redessiné le quartier après-guerre - Retour dans les années 1950. Juste après la Seconde Guerre mondiale. Le village de pêcheurs des Sablettes est alors en ruines, détruit par les forces allemandes pour éviter un débarquement. Le ministre de la Construction et de l'Urbanisme de l'époque demande alors à l'architecte Fernand Pouillon de redonner, à la ville et sa plage, son faste balnéaire d'antan. Cette rénovation est aujourd'hui au cœur d'une opération menée par Julie Castellani (qui anime la Maison du patrimoine) épaulée par Yolande Le Gallo (membre de l'association Histoire et patrimoine seynois) et Florence Cyrulnik (adjointe au maire, déléguée à la culture et au patrimoine). Désormais, les bâtiments, œuvres d'art, dissimulés ça et là, retrouvent leur splendeur - Un livret de quinze pages - Les commerçants associés - Histoire et technologies - Aux Sablettes, des autocollants permettront de se replonger dans la vie du quartier pendant les années 1960 » (LT).

Var-Matin, 8 juillet 2013

2016

— Var-Matin, 10 juillet 2013 : « Fernand Pouillon et ''ses'' Sablettes » - « Fidèle à sa passion pour l'architecture et le patrimoine, Florence Cyrulnik a inauguré la très didactique exposition consacrée à l'œuvre de Fernand Pouillon, bâtie sur le hameau des Sablettes. Superbement allergique au béton qui commençait à poser son emprise sur les architectes d'après-guerre, Fernand Pouillon a reconstruit le hameau (entièrement détruit à cause de la guerre 39-45) avec des artisans tailleurs de pierres, des maçons de tradition, accompagnés de jeunes artistes sculpteurs, céramistes ou potiers - Béatrice Tisserant, coordinatrice de l'expo réalisée avec Julie Castellani et Christian Calabrèse » (JD)

Var-Matin, 10 juillet 2013

— Var-Matin, 23 juillet 2013 : « En parcourant Les Sablettes de Pouillon - Une bonne soixantaine de personnes ont écouté leur guide passionnée, en recherchant l'ombre des ruelles sablettoises - Corollaire de l'excellente exposition de la Maison du patrimoine, sur les réalisations de Fernand Pouillon, aux Sablettes, une visite a été organisée, in-situ, ce mercredi matin. Plus d'une soixantaine de personnes ont été accompagnées par Florence Cyrulnik, élue en charge du patrimoine, pour découvrir et s'informer sur l'architecture et la philosophie d'un architecte qui n'avait pas un goût très prononcé pour le béton. En reconstruisant le hameau des Sablettes, entièrement détruit lors de la dernière guerre, il n'a utilisé que le bois, les briques et les pierres pour réussir un ensemble qui a été classé, en 1953, au patrimoine du XXe siècle » (JD).

Isthme des Sablettes : Le Parc Braudel après inauguration

2001

— Var-Matin, 20 juin 2001 : « Un parc sous haute surveillance - Face aux mauvaises fréquentations du Parc Fernand-Braudel aux Sablettes, la municipalité voudrait y installer des caméras. Tout n'est pourtant pas aussi simple - Situés en bordure de plage, les 7,5 ha du Parc paysager Fernand Braudel commencent à grouiller de monde. Le mois de juin bat son plein, et avec lui son cortège de baigneurs et de premiers estivants. Ici, le piéton est roi, où, devrait l'être. L'endroit est agréable à parcourir qui met en relation les différents espaces thématiques. On aimerait que dans cet écrin du sud de la ville nul problème ne vienne perturber la belle harmonie. Mais, hélas, là non plus, la vie n'est pas un long fleuve tranquille - La mauvaise fréquentation : Pour preuve, face à de nombreux actes de vandalisme perpétrés ces derniers temps, et une fréquentation qui tend à devenir mauvaise, surtout la nuit, la municipalité vient d'afficher sa ferme volonté de renforcer les mesures de sécurité (...). Depuis la semaine dernière, « c'est une entreprise de surveillance dûment mandatée qui envoie patrouiller deux de ses vigiles dont un maître-chien de 22 h à 6 h du matin » - L'installation de caméras de surveillance apparaît, techniquement du moins, comme une opération pas trop compliquée à réaliser. Dans la finalité, cependant, ce n'est pas du tout le cas, comme tout ce qui touche au Parc Fernand Braudel d'ailleurs. L'endroit est « protégé » par un contrat de maîtrise d'œuvre qui comporte une propriété intellectuelle ne permettant pas d'effectuer le moindre travail sans obtenir l'aval d'Alain Faragou le concepteur du site - 6 MF de travaux : Pour Joseph Minniti, « la totalité des travaux prévus sur le Parc et inscrits au budget de la commune ne sera pas réalisable avant 2002. Les services techniques vont toutefois essayer d'en accomplir le maximum dans le courant de cette année ». Revêtement des places pour éviter la poussière, création d'une nouvelle aire de jeu, renforcement de l'éclairage, sonorisation de sécurité de la plage à reprendre, mise à l'abri des conteneurs à ordures, etc. - Par ailleurs, fruit de la collaboration d'Alain Faragou avec l'ancienne municipalité, devait être réalisée une plaquette relatant l'histoire locale du sud de la ville au fil des siècles pour en arriver au Parc Fernand Braudel. son attrait, ses essences rares... » (CP).

2007

— Var-Matin, 12 février 2007 : « Le grand bassin du parc Braudel, véritable tonneau des Danaïdes - Inauguré en 1999, le grand bassin fuit. Il a été vidé, en attendant réparation -  Alors qu'il perdait quotidiennement 80 m³, le grand bassin du parc Braudel a finalement été vidé. Les poissons et tortues ont été transférés dans le petit bassin - Nénuphars perforants - « Le parc est mal entretenu » - Concepteur du parc, l'architecte paysager Alain Faragou « reste fier de cette réalisation pour laquelle je reçois encore beaucoup de louanges, et que les Seynois semblent apprécier. Un parc qui aujourd'hui pourtant est de plus en plus dénaturé, mal géré, mal entretenu, mal compris des services de la municipalité ». Son cabinet avait emporté, à l'unanimité, le concours européen. « Malgré le changement d'équipe municipale, les travaux se sont déroulés dans les règles, sans encombre », se souvient-il. « Mais un litige important est rapidement né avec la ville. Ils ont poursuivi les travaux sans moi alors que, grâce au concours, j'avais la propriété intellectuelle et artistique du site ». Un contentieux est d'ailleurs en cours à ce sujet au tribunal administratif. Quant au défaut du bassin, « je n'étais même pas au courant. Et de l'architecte jusqu'à l'entretien en passant par les bureaux d'études et les entreprises en charge des travaux, il y a une chaîne complète qu'il faut observer avant de mettre en cause la responsabilité de l'un ou de l'autre » » (PZ).

— Var-Matin, 3 mai 2007 : « Les mauvaises fréquentations du parc Fernand-Braudel - En attendant l'installation à l'année d'un poste de Police, les patrouille se multiplient - Tentative de racket -  Un parc sous surveillance « Une surveillance accrue du parc Braudel est devenue nécessaire, notamment par le biais de l'installation à demeure de policiers municipaux » demandent-ils. A cet effet, rappelons que la mairie a depuis quelques mois déjà décidé d'installer sur place et à l'année, un poste de police municipale. Chose qui devrait être effective courant 2008, le budget alloué pour l'opération ayant été voté. En attendant, les patrouilles de Police se poursuivent jusqu'à tard dans la nuit. De surcroît, durant toute la saison estivale, le parc sera placé sous surveillance 24 heures sur 24 heures » (CHP).

— Var-Matin, 6 mai 2007 : « Du centre-ville aux Sablettes, un dimanche au parc » - « Idéaux pour se détendre et prendre l'air, les parcs séduisent toutes les générations - Le parc Braudel, en plus de sa partie arborée offrant de larges pelouses au public adepte du farniente, dispose également d'installations destinées aux enfants. Le carrousel et un petit parc à thème sont autant d'activités ouvertes chaque week-end et qui séduisent parents et enfants pour leur sortie du dimanche » (NF).

2008

— Var-Matin, 1er juin 2008 : « Le parc Braudel sous vidéosurveillance » - « Les travaux d'installation de l'éclairage public et donc de la vidéosurveillance vont débuter - Le Parc Braudel sous vidéosurveillance. Ce n'est pas une nouvelle en soi puisque le lot dédié à la création de la vidéosurveillance du parc Braudel avait été précédemment attribué. En revanche, les lots consacrés aux travaux de génie civil et de rénovation des réseaux secs, nécessaires à l'installation de la vidéosurveillance ne l'étaient pas. C'est chose faite : les travaux d'installation de l'éclairage public et donc de la vidéosurveillance vont pouvoir débuter. Marc Vuillemot comme C. Barlo de souligner d'ailleurs « le bel espace paysager créé », et à préserver. J.-J. Taurines pour sa part, de déplorer l'état du parc de stationnement. « Des travaux sont en cours, soulignait Claude Astore, et devraient être finis la semaine prochaine » pour peu que les conditions météo soient favorables » (KM).

— Var-Matin, 8 septembre 2008 : « Le bassin principal de Braudel sera bientôt remis à flot » - « Plus d'un an après avoir remporté la procédure en référé devant le Tribunal administratif, la Ville entend enfin conduire les travaux du plan d'eau - Un casse-tête juridique : voilà pour résumer la procédure entamée, en 2003, par la Ville à l'encontre du maître d'œuvre de l'aménagement du parc Braudel. Inauguré en 1999, l'espace vert laisse vite apparaître des malfaçons, notamment d'étanchéité du bassin. Un défaut de fabrication qui coûtait à la ville près de 30 000 m³ d'eau par an... De quoi plomber un budget ! À qui la faute ? Des nénuphars, en apparence inoffensifs, perforaient le fond du bassin, et laissaient s'échapper près de80 m³ d'eau par jour. La ville dès lors, se retourne contre l'entreprise en charge de la maîtrise d'œuvre de l'aménagement du parc Braudel. Mais cette dernière, Paysage Méditerranée, a, entre-temps, été mise en liquidation judiciaire. Elle a été rachetée par... Méditerranée Environnement, autre entreprise à avoir œuvré au parc Braudel. Voilà pour compliquer le dossier. Le différend est porté devant le tribunal administratif qui, le 31 mai 2007, reconnaît la responsabilité de Méditerranée Environnement. Cette dernière est condamnée à indemniser la commune : 70 000 euros pour les travaux de réparation, 10 000 euros pour le remboursement des frais de procédure et... 100 000 euros de préjudice lié aux factures d'eau. S'appuyant sur la décision du tribunal, la ville et l'entreprise tentent la voie de la conciliation. C'est sans compter sur un nouveau grain de sable... : l'échec de la conciliation. Au cours de la tentative de conciliation, Méditerranée Environnement était prête à prendre en charge la totalité des frais de réparation du grand bassin (un coût évalué à 90 000 euros par la municipalité) sous réserve que la ville renonce aux 100 000 euros de remboursement lié aux pertes d'eau. Inacceptable. La tentative de conciliation n'ira pas plus loin. Aujourd'hui, après cette procédure longue et pleine de rebondissements, la dette due à la ville est remboursée, aux dires de l'entreprise, que nous avons jointe hier. Si Méditerranée Environnement se réserve le droit d'attaquer le marché initial (elle a 4 ans pour le faire), la société se déclare toujours disposée à trouver un terrain d'entente avec la Ville. La nouvelle municipalité entend entamer prochainement les travaux de réparation. « Un nouveau marché a été lancé pour effectuer les travaux. Nous verrons si les offres se situent au niveau de l'estimation effectuée il y a quelque temps déjà. Toujours est-il que la municipalité se chargera dès que possible de réaménager le bassin, à l'identique pour ne pas dénaturer le travail de l'architecte Alain Faragou », conclut Claude Astore, adjoint chargé de l'urbanisme et des infrastructures » (RA).

2009

— Var-Matin, 18 juillet 2009 : « Pour ses dix ans, le parc Braudel fait sa mue » - « Sept hectares et demi de terrain, 8000 m² de pelouse, quelque 859 arbres et 300 variétés de plantes : le parc Braudel est devenu, depuis sa création en 1999, un élément incontournable pour la ville. À l'occasion de ses 10 ans, Claude Astore, adjoint délégué à l'urbanisme, comptait bien lui offrir un ravalement quasi intégral. Les ganivelles constituent le premier gros investissement de la ville: 1000 mètres de « clôture », 750 piquets, trois semaines de travail. Formant des casiers, l'objectif de ces implantations est de favoriser la décolonisation de la dune par la flore locale. Aussi, en stabilisant le sable dans ces casiers, les ganivelles évitent par la même occasion l'ensablement du parc et des douches - Guilhem Bresson, adjoint délégué aux espaces verts, rappelle la chose à ne pas faire : « Étendre ses serviettes sur les ganivelles. À terme, les piquets se plient et tombent » - Des travaux sur deux ans - L'aménagement des parkings jouxtant l'artère Jean-Baptiste-Mattéi fait aussi partie des priorités de la mairie. « Nous voulons rajouter des places de stationnement et créer un minimum de pluvial pour éviter de dégrader le sol », explique Claude Astore. Avant d'ajouter : « Toutes ces améliorations ont un prix, c'est pourquoi nous avons hiérarchisé les priorités ». Aussi prévus : l'allée centrale du parc Braudel bénéficiera de quelques améliorations et le bassin d'eau situé près de l'esplanade Henry-Bœuf devrait être remis en état de fonctionnement courant 2010 » (DV).

2011

— Var-Matin, 7 mai 2011 : « Les bassins du parc Braudel remis en eau après l'été » - « Les plans d'eau du parc municipal des Sablettes, asséchés en 2007 à la suite de fuites, vont être réparés en septembre prochain - Quatre ans après le règlement du contentieux entre la Ville et la société qui a conçu les bassins du parc Braudel, des travaux vont être engagés fin septembre - Qui se souvient du temps où les bassins du parc Braudel étaient remplis de poissons et nénuphars ? Depuis plus de quatre ans, ils sont totalement vides, en attendant le règlement d'un vieux contentieux. Sous la précédente municipalité, on s'était rendu compte que les vastes bassins fuyaient. Près de 30 000 m³ d'eau s'évaporaient dans la nature chaque année ! La faute, en partie, aux nénuphars dont les racines perçaient les bâches qui constituaient le fond des bassins. En 2007, l'ancien maire ordonnait qu'on stoppe l'hémorragie en vidant les bassins. Le temps de régler l'affaire avec l'entreprise - Paysage Méditerranée, rachetée ensuite par Méditerranée Environnement - qui avait obtenu le marché pour la création de ces bassins. Le dossier finira au tribunal administratif, la ville pointant une « malfaçon » au niveau de l'étanchéité, contestée par la société. La commune obtiendra gain de cause le 31 mai 2007, la responsabilité de la société Méditerranée Environnement étant reconnue.

— Var-Matin, 3 juillet 2011 : « Espaces accueil jeunes : le programme de l'été » - « Le service jeunesse de la ville a mis les petits plats dans les grands, en concertation avec les principaux intéressés - Ici à l'Espace accueil jeunes des Sablettes, l'adjointe à la jeunesse, Isabelle Renier et les responsables des structures ont, en deux ans, remis sur pied une véritable politique en direction des 11-25 ans - Sports, séjours, concerts, santé... » (JP).

2012

— Var-Matin, 8 janvier 2012 : « Le parc Braudel se prépare pour la saison estivale » - « Réfection des bassins et de la promenade centrale, revégétalisation : des travaux vont être entrepris, de février à mai, sur le parc paysager des Sablettes - Coût de l'opération : 200 000 euros TTC - Des travaux d'étanchéité seront réalisés. Deux des bassins seront remis en eau, le troisième sera dédié à l'élaboration d'une « zone humide ». Dès la fin février, l'allée centrale du parc fera également l'objet d'une réfection : « On enlève le bois exotique, le sable - ce n'était pas très pratique pour les usagers - poursuit Claude Astore, et on remplace par un béton imprégné au sol, qui rappellera l'aspect du bois, mais sera plus solide... » et plus pratique également. Dans le même temps, « nous remettons en place quelque 300 mètres de ganivelles (cette barrière de lattes en bois le long de la plage ndlr). Nous procéderons également au réagréage de végétaux sur les dunes, en choisissant des végétaux qui résistent très bien au sable et au sel » - La paillote détruite sera reconstruite » (KM).

— Var-Matin, 25 février 2012 : « Danielle Mitterrand aura son allée, François attendra » - « Au terme d'un conseil municipal particulièrement léger, hier matin, les élus ont débattu au sujet de l'allée principale du parc Braudel, qui prendra le nom de l'ancienne première dame - L'allée du parc Braudel sera refaite à partir du 12 mars et prendra le nom de Danielle Mitterrand » (MV).

Var-Matin, 25 février 2012

— Var-Matin, 10 juillet 2012 : « Flâner et s'émerveiller au parc Braudel » - « Le marché nocturne est installé sur le parc paysager aux Sablettes, durant la saison estivale. Il offre aux visiteurs une agréable promenade devant les stands des artisans - Le plaisir des yeux - Un endroit sympa - Habitants de la région et vacanciers, ils sont nombreux à aimer flâner à la fraîche le long de l'allée du parc paysager Fernand Braudel où les artisans ont installé leurs étals, tous les soirs jusqu'au 1^er septembre » (FS).

2006

— Var-Matin, 24 décembre 2006 : « Cent trente et un courageux pour un joyeux bain de Noël » - « Beaucoup de monde hier matin aux Sablettes, dans l'eau à 15°, et sur le sable - Complètement givrés. La remarque a certainement traversé l'esprit de plus d'un spectateur, parmi les dizaines massées sur la plage des Sablettes et l'esplanade Henri-Bœuf, hier matin. Ils étaient venus encourager les cent trente et un inscrits au bain de Noël organisé cette année par la ville avec l'association Art, Culture, Tourisme et Événements » (CM).

Var-Matin, 24 décembre 2006

2010

— Var-Matin, 15 août 2010 : « Heureux comme des poissons aux Sablettes » - « Malgré les mauvaises conditions météorologiques, une trentaine de nageurs ont participé, hier matin, à la traditionnelle traversée de la baie - La trentaine d'engagés à la traditionnelle traversée de la baie des Sablettes avait à cœur de faire le maximum. Dans une mer calme mais sous un plafond bas, il fallait avoir du cran pour accomplir les huit cents mètres qui séparaient le départ (Mar-Vivo) de l'arrivée, la base nautique de Saint-Elme. À ce sport, Stéphane Macadré s'est montré le plus rapide. Le Parisien d'une quarantaine d'années a mis tout le monde d'accord en franchissant la bouée d'arrivée en vainqueur. « La mise à l'eau fut un peu fraîche », reconnaissait à l'arrivée ce grand sportif qui a également « touché » au triathlon. « J'ai participé au triathlon de Nice et, en 2006, à celui d'Embrun ». Athlète complet s'il en est, Steph sait de qui tirer. « Mes parents œuvrent au club de plongée de Saint-Elme (club organisateur de cette 16e édition de la traversée de la baie, Ndlr). Je
venais de la natation, initié par mon père » » (MP).

2011

— Var-Matin, 19 décembre 2011 : « Cent soixante-quatre courageux se jettent à l'eau aux Sablettes » - « On aurait pu penser que la tradition a des limites. Et que ces limites se situeraient aux alentours de 10°. Pourtant, ils étaient encore plus nombreux que l'an dernier à braver la température de l'eau, plutôt très fraîche, encore aggravée par un petit vent froid, à peine moins saisissant. 164 énergumènes ont donc pris le départ du bain de Noël, aux Sablettes, sans hésiter un seul instant. Certains trempaient toujours vingt minutes après le départ, sous les regards amusés, voire médusés des spectateurs venus nombreux les encourager. D'autres, en revanche, n'ont pu retenir quelques claquements de dents en sortant de l'eau. Et les durs, les vrais, n'étaient pas forcément tatoués : les aînés n'ont pas montré le moindre signe de frilosité. Les 16 enfants (le plus jeune avait 5 ans), les 63 femmes et les 85 hommes ont tous reçu un diplôme et se sont vus offrir par la municipalité un vin ou un chocolat chauds, franchement bienvenus » (JP).

2012

— Var-Matin, 12 août 2012 : « Cent nageurs intrépides à l'assaut des Sablettes » - « A La Seyne, la traditionnelle « traversée de la baie » s'est déroulée dans de bonnes conditions, avec un beau· soleil et une eau pointant à 23 degrés - D'année en année, la course organisée par la section plongée du club sportif municipal seynois attire de plus en en plus de concurrents.

Var-Matin, 12 août 2012

2013

— Var-Matin, 23 décembre 2013 : « Plus de quatre cents personnes se jettent à l'eau aux Sablettes » - « 412 « fadas » ont participé cette année au bain de Noël - I1 y a ceux qui, en ouvrant les volets hier matin, se sont dit que le temps était idéal pour rester sous la couette. D'autres que la grisaille aura motivé à aller s'enfermer dans les magasins, à la recherche des derniers cadeaux. Et puis il y avait les 412 « fadas » qui ont choisi d'aller faire trempette, par quelque 15 petits degrés, à l'occasion du traditionnel bain de Noël des Sablettes. Ils étaient tous tellement enthousiastes qu'un faux départ, lancé par un plaisantin, a suffi à déclencher l'impressionnante marée humaine à travers les flots... 10 minutes avant l'heure officielle ! Peu importe. L'ambiance n'en a pas pâti et c'est dans la bonne humeur que s'est terminé ce joyeux moment de tradition, autour d'une boisson chaude offerte par l'association des commerçants du Sud ».

2014

— Var-Matin, 18 décembre 2014 : « Dimanche matin, bain de Noël des Sablettes » - « Créés en 1984 par François Morin, Breton, mais Saint-Elmois de cœur, les bains de Noël ont commencé sur la plage de Mar-Vivo avant de venir sur Les Sablettes, forcés par leurs succès grandissants » (JD).

— Var-Matin, 22 décembre 2014 : « Des centaines de personnes pour le bain de Noël aux Sablettes » - « Affluence record ou presque, hier sur la plage, pour la traditionnelle immersion dans la grande bleue. Les participants en tenue de bain ou en costumes ont assuré le spectacle ! - Dès 10 h du matin, la plage a été investie par les participants venus en famille ou entre amis - Un bain de Noël en famille avec Charles, le plus jeune  (5 ans), son frère Louis, son papa Julien et son papy - Bernard Bénet, président de l'association des commerçants du sud, organisateur de l'événement, avec le doyen de ce bain, Roger - La température de la mer (17 °) n'a pas dissuadé des centaines de courageux de se jeter à l'eau - A la sortie de l'eau, les participants ont été choyés avec le vin et le chocolat chauds qui leur étaient proposés » (LAN).

Var-Matin, 22 décembre 2014

2015

— Var-Matin, 17 août 2015 : « Traversée des Sablettes à la nage » - « Âgé de 71 ans, Jean-Paul Elisabeth était le doyen de la traversée des Sablettes dans laquelle 32 nageurs étaient engagés - Il fallait être courageux hier matin à 11 h pour prendre le départ de la traditionnelle traversée des Sablettes organisée par le CSM Seynois Plongée et la municipalité. En effet, l'eau était à 17° et le vent soufflait fort, occasionnant duclapot » (PF).

Var-Matin, 17 août 2015

— Var-Matin, 21 décembre 2015 : « Un raz-de-marée de bonnets rouges à la mer » - « Le traditionnel bain de Noël des Sablettes, qui fêtait hier matin ses trente ans, a redonné des couleurs estivales à la plage de la promenade d'où la foule des grands jours s'est jetée à l'eau - La doyenne a 87 ans, la plus jeune, 2 ans - La sécurité était assurée en mer par les piroguiers de La Méduse et à terre par la fédération française de sauvetage et de secourisme. Chacun des participants a pu se réchauffer autour d'un vin ou d'un chocolat chaud et s'est vu remettre une médaille et décerner un diplôme (dans la limite des stocks disponibles). Enfin de matinée, élus et orgarnisateurs ont décerné des coupes. Déguisement le plus original : Philippe Colomb (en Cro Magnon) ; doyen des participants : Denis Royere (87 ans) ; plus jeune participante : Tereva Epinard (2 ans) ; participant venu de plus loin : Rosyada Hardini Vani (Indonésie) ; association la plus représentée : les Randonneurs seynois... qui signent un succès ! » (PF).

Var-Matin, 21 décembre 2015

2016

— Var-Matin, 15 août 2016 : « Tout le monde à l'eau ! » - « Les amateurs d'activités aquatiques ont été comblés hier à la base nautique de Saint-Elme avec la traversée des Sablettes à la nage, un raid à la rame et une régate à la voile - l'épreuve de nage libre s'est disputées ur 300 ou 900 m. Sur paddle, deux parcours étaient proposés : 3 ou 6 milles marins - En attendant les « quat'vingt » - Au départ de Saint-Elme, les "voileux" ont tiré des bords près des Deux frères » (SH).

— Var-Matin, 19 décembre 2016 : « Bain de Noël à La Seyne : Record battu » - « 460 l'an dernier... plus de 600 hier matin aux Sablettes ! Une nouvelle référence de participation a été établie pour le bain de Noël, dans une eau à 14° - « Me tenir en forme » : Denis Royere, 87 ans, participant le plus âgé - « Louis a insisté » : Louis, 2 ans et 5 mois, plus jeune participant - « C'est le sable qui est froid ! » : Nicole Martinet, 50 ans, La Seyne - « Une pile électrique ! » : Christelle Pruvost, 52 ans, La Seyne - « Premier bain de Noël » : René Devaux, 62 ans, Saint-Mandrier » (SH).

Var-Matin, 19 décembre 2016

2017

— Var-Matin, 12 août 2017 : « Traversée à la nage de la baie des Sablettes, dimanche » - « Les nageurs se jetteront à l'eau dimanche matin, pour effectuer la traversée entre Mar Vivo et Saint-Elme » (JT).

Var-Matin, 12 août 2017

— Var-Matin, 14 août 2017 : « Traversée des Sablettes dans la joie et la froideur ! » - « Comme chaque année depuis près. de trente ans, plusieurs dizaines de nageurs se sont élancés, hier matin, pour la traversée de la baie des Sablettes à la nage. Dans une eau à 16° ! ».

— Var-Matin, 15 décembre 2017 : « Dimanche de fêtes aux Sablettes » - « Bernard Bénet, patron de l'Escale et président de l'Association des commerçants du sud, remercie la municipalité de La Seyne et TPM. Leurs subventions lui ontpermis d'organiser l'arrivée du Père Noël et quelques belles surprises » (JP).

Var-Matin, 15 décembre 2017

— Var-Matin, 18 décembre 2017 : « Ils étaient 450 au bain des Sablettes » - « Les givrés de Noël » - « Poussés par un vent glacial dans une eau à 12°, certains ont osé sacrifier à la tradition, 32e du nom, hier matin à La Seyne » - Bain de Noël : moins nombreux, plus courageux - Loin des quelque 600 participants de l'an passé, les baigneurs ont quand mêmeété environ 450 à avoir le courage de se jeter dans une eau à 12° hier matin aux Sablettes (SH).

Var-Matin, 18 décembre 2017

— Var-Matin, 13 décembre 2018 : « Bain de Noël dimanche [16 décembre] : Qui aura le courage de se jeter à l'eau ? » - « Plus de 450 courageux avaient goûté, l'an passé, à une Méditerranée à 12° C... » (MAD).

— Var-Matin, 23 décembre 2017 : « Le dernier bain de l'année »
Quatre cents personnes ont.courageusement piqué une tête dans une eau à 17 degrés. En famille ou entre amis, ils n'ont pas failli à la tradition seynoise depuis trente-trois ans  ».

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